En tout cas, ça fera bien chier les supps lyonnais qui croient tous qu'il va prendre une place dans le staff d'OL comme tous les anciens. Eh bah non !

Ils ont Bats (pour combien de temps encore ?)
Nous aurons Coupet

Ca serait pour l'équipe réserve selon le forumeur qui relate l'article

L'entraineur des gardiens de l'équipe reserve l'est également pour les U19, U17 et U15.

Et les entrainements spécifiques pour gardiens t'en as un ou deux par semaine et à cet entrainement la tu as tous les gardiens du centre de formation, des U15 à la CFA.

Foot - L1
Coupet : «Ça n'existe plus...»

Grégory Coupet revisite dans un long entretien dans L'Equipe de lundi les temps forts de sa carrière par le prisme des vestiaires.

Grégory Coupet mettra un terme à sa carrière dans quatre journées de Championnat. En dix-huit ans (1993-2011), le gardien du PSG a connu quatre clubs et autant d'ambiances différentes dans les vestiaires. Il se rappelle qu'au début des années 90, à Saint-Etienne, les anciens faisaient régner l'ordre : «Quelques règles devaient être respectées. Par exemple, quand on était en soins, on attendait toujours que les anciens passent d'abord. Ça n'existe plus aujourd'hui.»

En janvier 1996, il a quitté les Verts en cours de saison pour rejoindre l'ennemi Lyon. « Un truc de fou..., se souvient-il. En plus, à l'époque, j'avais une bagnole vert bouteille (il se marre). Quand j'arrive, je vois des tags partout. Sur une barrière, les supporters avaient marqué : "Olmeta président, Breton (le gardien remplaçant) titulaire, on ne veut pas d'un sale Vert."» Il sera resté onze saisons et demi à l'OL et a connu quelques altercations. Dhorasoo n'était pas son ami. «J'étais parti pour le secouer quand le "prés" (Jean-Michel Aulas) m'avait rattrapé. C'était comique finalement... Après, j'avais trouvé un moyen de ne plus me prendre la tête avec lui, je ne le calculais plus.»

Au PSG, il avoue être cette saison devenu un cadre. «J'ai pris une place un peu plus importante cette année. Je me suis permis de parler à certains moments, notamment quand plein de choses se disaient sur Nene.» En Espagne, Coupet a aussi été très surpris par le côté rustique du vestiaire de l'Atletico : «Aucun luxe. Hallucinant. Les chiottes sont dans la même pièce que les douches. (...) La salle de "muscu", c'est un hangar.» En équipe de France, c'est carrément une autre histoire. «e vestiaire est plus hiérarchisé. A l'Euro 2008, les boss, c'était «Pat» Vieira, «Titi» Henry et «Tutu» (Lilian Thuram). On n'a jamais refait le monde après une belle victoire comme durant mes années de succès à Lyon.»
Retrouvez l'intégralité de l'entretien ce lundi dans L'Equipe.

C'est pas une histoire de femmes?

Il est meme "lotentique" comme dirait Jean de Florette. Il a ce coté gentil-terroir qui ne correspond en rien a notre culture parisienne.

Sinon pour en revenir à quelque chose d'objectif, il est a un niveau acceptable depuis quelques temps, c'est balo il reviens juste en forme a 2 mois de la fin de carriere.

Mais pourquoi l'embrouille avec Vikash en fait?

Votre premier accrochage dans un vestiaire ?
C'était à la mi-temps du match contre Arsenal (en deuxième phase de la Ligue des champions, le 13 février 2001, 0-1), avec Vikash Dhorasoo. Je lui avais demandé de se placer sur une action, il m'avait regardé et fait l'inverse, une manière de me montrer qu'il m'emmerdait... J'étais allé le voir pour lui dire que ce n'était pas bien. Quand il était revenu dans le vestiaire, il m'avait allumé devant tout le monde. Là, j'avais vu rouge. J'étais parti pour le secouer quand le "prés" (Jean-Michel Aulas) m'avait rattrapé. C'était comique finalement... Après, j'avais trouvé un moyen de ne plus me prendre la tête avec lui, je ne le calculais plus.
Il parait qu'à l'entraînement vous n'arrêtiez plus ses frappes...
C'est vrai. Pour tout ce qui était travail individuel, je ne jouais pas le jeu. Quand c'était collectif, en revanche, je ne voulais pas pénaliser mon équipe.

Loin d’être abattu malgré la défaite contre Lille en finale de Coupe de France, c’est un Grégory Coupet presque détendu qui est revenu sur le but nordiste, avant de prôner un discours conquérant pour la fin de saison parisienne en Ligue 1.
par Cédric Callier, le 15-05-2011

Au Stade de France

Grégory, que s’est-il passé sur le but que vous encaissez ?
Grégory : Il y a un super coup-franc, tout simplement. A la base, je ne la vois même pas dedans. Et puis finalement, elle va au fond des filets, c’est comme ça, une trajectoire de fou. C’est que cela devait arriver.
Forcément, ce n’est sans doute pas le match dont vous rêviez comme dernière finale…
Grégory Coupet : Oh si, moi, vous savez, tout va bien (sourire). Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas le match que j’espérais. Je pensais à un match un peu plus fou, un peu plus débridé. Au lieu de cela, on a eu un match plutôt stressant, avec deux équipes très bien en place tactiquement et il a manqué un peu de folie.

(...etc...)

Je n'arrive même pas à lui en vouloir, on sait tous qu'il est finit sportivement, qu'il est très loin de son niveau d'il y a quelques saisons. De plus, il se rattrape comme il peut en arrêtant un pénalty derrière. Le mec a quand même un sacré palmarès en France et même s'il est maladroit dans sa réaction je pense que c'est une façon de relativiser, il en a vu d'autres. Pour moi le match se perd avant tout sur la stérilité offensive de l'équipe, Hoarau en tête. Coupet j'arrive pas à lui jeter la pierre.