Très bonne nouvelle!
Question : cette organisation avec un entraîneur par "secteur" de jeu que l'on a plus l'habitude de voir en rugby en France existe dans les gros clubs étrangers?

Leparisien qui considère Camara comme le meilleur defenseur de la 1ère partie de saison...

Il a été plus bon sur les matchs qu'il a joué.

Je ne dis pas qu'il a été bidon, mais de la à le considérer comme le meilleur DC de la 1ère partie de saison, il y a une limite...

C'est surtout le signe de Mamad n'est pas jugé de la même façon que les autres. Une mauvaise relance de sa part à autant d'imact qu'une dizaine de la part de Camara...

Honnêtement je suis d'accord avec eux sur le coup. Des 4, il a été le plus régulier sur les matchs qu'il a joué.. J'ai trouvé Sakho un ton en dessous..

Y'a que moi qui trouve ça très étrange que le Milan AC n'ai pas proposé de reconversion à Maldini ?
Se priver de l'emblème du club et d'un mec avec une telle expérience

Y'a que moi qui trouve ça très étrange que le Milan AC n'ai pas proposé de reconversion à Maldini ?
Se priver de l'emblème du club et d'un mec avec une telle expérience

Un grand joueur ne donne pas forcément un grand entraîneur, loin de là même. Et même sur du spécifique (Gerd Müller n'a pas fait de miracle comme entraîneur des attaquants du Bayern, Sonny Anderson à l'OL non plus).

Ceci dit, Roche est également un sacré défenseur...

Peut-être bien. Mais l'entraîneur c'est Ancelotti, pas Maldini.

Maldini, l'avantage c'est qu'il doit bien connaître 2-3 trucs à apprendre et qu'en plus quand il donne son avis, tu en tiens compte.


Ceci dit, Roche est également un sacré défenseur...

Un grand joueur ne donne pas forcément un grand entraîneur, loin de là même. Et même sur du spécifique (Gerd Müller n'a pas fait de miracle comme entraîneur des attaquants du Bayern, Sonny Anderson à l'OL non plus).

Pendant le match de ce soir, le commentateur a parlé d'un article de l'Equipe sur makelele ...quelqu'un la lu ?

À la Saint-valentin ou à la Saint-Glinglin

L’UBIQUITÉ TÉLÉVISUELLE d’un week-end glacé, qui donne envie d’être partout mais pas dehors, nous a laissé trois images majeures.

D’abord, les joueurs zambiens, à genoux, se tenant par les épaules, en train de chanter pendant qu’un des leurs s’élançait dans la série des tirs au but de la finale de la CAN. C’étaient des psaumes plutôt qu’un hommage à Whitney Houston, et s’ils regardaient le ciel, c’était en songeant à la génération zambienne morte dans un accident d’avion, en 1993, au Gabon, en tombant exactement de ce ciellà. Hervé Renard dit avoir senti une force. On peut très bien ne croire à rien et croire à cette force. L’irrationnel est le décor traditionnel du football africain. On connaît un président d’un grand club français qui faisait régulièrement appel à un sorcier africain, après que celui-ci lui avait annoncé un score, le nom du buteur, et la minute du but, à la veille d’un exploit historique. À ce niveau de stress présidentiel, le réconfort était donné, ou presque. Dans un moment difficile, devenu entraîneur, l’un de ses anciens joueurs lui avait demandé le contact du sorcier, plus de dix ans après. Mais dimanche, à Libreville, il n’y avait rien de sorcier. C’était magique, c’est tout.

La deuxième image, c’est Suarez refusant de serrer la main de Patrice Évra. C’est l’image d’un sale type, qui piétine l’honneur de Liverpool et de sa profession, en surplus des insultes racistes pour lesquelles il a écopé de huit matches de suspension. Après son arrêt sur la ligne en demifinale de la Coupe du monde 2010 face au Ghana, il est dommage que la main de l’uruguayen soit plus célèbre que ses pieds. Pour le communiqué d’excuses diffusé dimanche, on peut être sûr que ses mains n’ont pas servi. Rien ne venait de lui, rien n’était sincère. Suarez, « We will always not love you ». C’est pas très joli, pas très anglais ? Tout le monde a chanté Whitney en yaourt, l’essentiel est que l’idée passe.

Enfin, troisième image, M. Varela s’adressant à Claude Makelele. Là, ce qui marque, ce n’est pas seulement l’image. C’est le micro. Ce qui est étrange, c’est que l’on se dit qu’il ne peut pas ne pas savoir. On connaît des générations d’arbitres qui ont provoqué des arrêts de jeu, pris leur temps, demandé à des joueurs de venir les voir, dans les matches de 21 heures du dimanche soir, dans un rêve de gros plans répétés sur Canal +. Quand un arbitre est grandiloquent devant un banc, il sait que les caméras sont là. Le micro, c’est autre chose, et c’est ce qui fai t toute la différence, dimanche soir. La manière dont M. Varela intime : « Assis, assis ! » à Claude Makelele laisse pantois. Il le traite comme un chien, au sens premier du terme. Alors qu’à son poste de milieu de terrain finissant, « Keke » était devenu, par roublardise et influence, l’un des meilleurs arbitres de L 1, ces deux dernières saisons, cet épisode niçois est troublant, et interroge sur la manière dont ce jolimondes’adresse à lui-même. Ce n’est sûrement pas un reproche à sens unique : sur ce terrain-là, il est évident que ce ne sont pas les arbitres qui ont commencé. Mais l’arrogance sied mal à cette vocation. Aujourd’hui, c’est la SaintValentin, mais ces gens-là ont plus de chances de s’embrasser à la Saint-glinglin.