La photo officielle du PSG Féminin ( qualité de merde en attendant )

Rang du Haut : Elodie Bayle, Annike Krahn, Bérangère Sapowicz, Véronique Pons, Karima Benameur, Linda Bresonik, Leila Maknoun
Rang du milieu : Allisson Blais, Kosovare Asllani, Saida Akherraze, Nonna Debonne, Caroline Pizzala, Kenza Dali, Lea Rubio, Aurélie Kaci
Premier rang : Marianne Amaro, Kheira Hamraoui, Lindsey Horan, Sabrina Delannoy, Farid Benstiti, Laure Boulleau, Shirley Cruz Tana, Jessica Houara, Ella Kaabachi.

Asllani : « Gagner la Champions League avec le PSG »

Kosovare Asllani est la nouvelle recrue suédoise du PSG. L’attaquante découvre Paris, pleine d’ambition. Retour sur son transfert: « Le coach parisien m’a appelé de nombreuses fois, il m’a clairement fait savoir qu’ils voulaient gagner la Champions League, qu’ils voulaient devenir l’une des meilleures équipes mondiales féminines, je veux faire partie de ce projet, explique Kosovare Asllani à Sportbladet. Je n’ai pas pris la décision de venir au PSG par hasard, j’ai parlé avec Lotta (Schelin, la joueuse de l’OL, ndlr) du championnat de France et j’ai demandé à Pia (Sundhage, sélectionneur de l’équipe de Suède, ndlr) ce qu’elle en pensait.

Ibrahimovic? J’ai toujours aimé son attitude. Il est un joueur de classe et une personne de classe. Et puis nous sommes tous les deux suédois mais d’origine étrangère… Je dois le voir pour la photo d’équipe (aujourd’hui, ndlr).

L’accueil en France? J’ai reçu des messages de bienvenue sur Twitter ou par des commentaires sur des sites, c’est agréable.

Lyon? C’est notre principal adversaire en D1. Ce sera amusant de croiser Lotta en France. »

Kosovare Asllani : « Faire partie de la future meilleure équipe au monde »

Alors que Kosovare Asllani, la nouvelle attaquante du PSG, effectuait ses premiers entraînements cette semaine avec le groupe parisien, la Suédoise est revenue pour le quotidien Suédois aftonbladet.se sur sa nouvelle situation professionnelle et sur son ambition pour les deux années à venir.

Fraîchement débarquée de Suède, l’ancienne joueuse de Kristianstads, ne boude pas son plaisir à l’idée d’évoluer au Paris Saint Germain. En effet depuis l’arrivée de Nasser Al-Kelaifi, le club parisien a subitement pris une toute autre dimension. Investissant massivement cette année dans la section féminine, les dirigeants qataris souhaitent faire de l’équipe de Farid Benstiti, l'un des meilleurs clubs au monde.

Dotée d’une technique au-dessus de la moyenne, la néo-parisienne, a déjà fait ses preuves en Suède, dans le club de Linköpings et de Kristianstads mais aussi outre-Atlantique, chez les Chicago Red Stars où elle a évolué une saison.

Sur les conseils de Pia Sundhage, la future entraîneuse de la sélection suédoise et de Lotta Schelin qui évolue en D1 du côté de Lyon depuis 2008, la jeune attaquante de 23 ans s’est laissée convaincre de rejoindre la capitale la semaine dernière.

Séduite par le projet proposé par le PSG, Kosovare Asllani espère, en venant en France, passer un palier et s’assurer une place dans le onze type qui défendra la couleur de la Suède l’été prochain, à domicile, pour le Championnat d’Europe. Car si sa situation professionnelle actuelle la réjouie au plus haut point, l’équipe nationale reste son objectif numéro 1. Non sélectionnée en 2011 pour la Coupe du Monde en Allemagne, cette dernière fera tout cette année pour ne pas rater ce grand événement.

D’origine Kosovaro-albanaise et de nationalité suédoise, tout comme son nouveau collègue au PSG, Zlatan Ibrahimovic, on ne peut que souhaiter à Kosovare la même réussite que son talentueux compatriote.

Kosovare s’est d’ailleurs dit ravie de retrouver ce joueur qu’elle admire et respecte : « J’ai toujours aimé son attitude. C’est vraiment un joueur de classe internationale ».

Foot d'Elles.fr

Pour le match à Montpellier dimanche, sauf en cas de problème jusqu'au départ du groupe, Bresonik et Asllani devraient se rendre dans l'Hérault avec les autres.

Pons - Houara, Krahn, Delannoy ©, Boulleau - Kaci, Cruz Tana - Dali, Hamraoui, Asslani - Horan

Match nul sur la pelouse de la Mosson cet après midi. Une première mi-temps archi dominée, mais pas de but, en seconde, sur un contre, on prend un but de Marie Laure Delie, Pons lobée sur sa ligne

Derrière, le PSG pousse et obtient l'égalisation sur un pénalty, peut etre limite, Delannoy ne se posant pas de questions. Derrière sur un contre Horan file au but et se fait balayer alors qu'elle partait surement marquer...
Dommage, parce que franchement sur la premiere mi-temps, on devait rentrer avec au moins un but d'avance.

La compo : Pons - Houara, Delannoy, Krahn, Boulleau - Cruz Tana, Kaci - Dali ( Bresonik 62è ), Hamraoui ( Akherazze 82è ), Asllani ( Debonne 83è ) - Horan.

Pour le prochain match, elles vont à Toulouse, 4 déplacements de suite c'est normal ?

Match interessant, il y a encore des automatismes a trouver.
Attention a ne pas lacher de points dans les matchs a venir sinon les autres gros vont prendre le large.

Poins

Techniquement au point mais le mental n'est pas là ! Elle nous coute des points. De plus, on a Benameur sur le banc, on verra si la concurence sera mise en place ....

Horan toujours dans les bons coups, plus renard des surfaces / pivort qu'autre chose .

Sinon Asllani bonne en 1ère période moins présente en 2ème. En moins d'une semaine, elle a l'air de s'être adpatée, c'est très bien.

Reste à savoir si Farid tentera une organisation à 2 attaquantes !

Pourquoi Paris doit y croire ?
Face à Montpellier, Paris a enregistré son deuxième nul de la saison (1-1). Malgré ce qui résonne comme une contre-performance, le club de la capitale a des raisons d'espérer.

Dimanche 14h00. La Mosson. Une dizaine de supporters du Paris Saint-Germain ont avalé les 784 kilomètres pour assister à la deuxième victoire de leur équipe après le succès face à Saint-Étienne le week-end précédant (5-0). Mais il n'en sera rien. Les quarante cinq premières minutes furent largement en faveur des Parisiennes. Si Montpellier n'a pas retrouvé les vestiaires avec un score lourd dans la musette, le club héraultais le doit à ses défenseuses et en particulier à Marion Torrent et Kelly Gadéa. Mais dans le jeu, il n'y avait pas photo, aucune contestation possible. Malheureusement pour Farid Benstiti, la finition laisse encore à désirer.

Une première mi-temps de haut vol

Après une première mi-temps de très haut vol, les filles de Farid Benstiti ont beaucoup souffert lors de la seconde période. Le jeu disparaissait, les longs ballons se multipliant à l'excès. Montpellier parvenait alors à poser le cuir et à porter le danger sur la cage de Véronique Pons. Logiquement, les locales vont concrétiser leurs nombreuses occasions grâce à Marie-Laure Delie à la 72e minute suite à centre piègeant la gardienne parisienne. Paris se révolte, mais reste brouillon. Et il faut un pénalty (litigieux) pour permettre à Sabrina Delanoy de ramener les deux équipes à égalité à la 91e minute. Horan aurait pu donner l'avantage aux Parisiennes dans les ultimes secondes, mais Cynthia Viana, dernière défenseuse, dû se sacrifier, arrêtant l'attaquante américaine à l'entrée de la surface. Rouge, mais un point de sauvé.

Farid Benstiti : "Je suis plus que confiant"
Pour Farid Benstiti, l'état d'urgence n'est pas encore à décréter. "On a souffert psychologiquement mais aussi physiquement. J'ai pas mal de joueuses qui ont fait beaucoup d'efforts, notamment Kheira Hamraoui qui retrouve la forme. De plus, Aurélie Kaci et Lindsay Horan reviennent de blessure. Tout comme Linda Bresonik. Malgré cela, on a réalisé 60 belles minutes, il nous en manque 30. On a beaucoup de qualité, avec notamment Shiley Cruz qui est vraiment capitale pour nous. Mais si en étant juste physiquement, on arrive déjà à produire un tel jeu, je suis plus que confiant ! Puis Montpellier...(Soupir). Quelle belle équipe. Quand je vois ce que fait Viviane Asseyi... Puis des filles comme Hoda Lattaf. Quelle technique, quelle classe." Farid Benstiti le sait. Paris a besoin de temps. "Je sais qu'on va souligner notre match nul, mais il faut comprendre qu'une équipe a besoin de temps". Et il faudra en laisser un peu. Si l'attente est grande, une équipe ne peut se construire en quelques matches. Sur les 16 joueuses présente sur la feuille de match dimanche, 12 sont des recrues.

Aujourd’hui, toute l’association est autofinancée, nous n’avons aucune aide du club. Si nous connaissons bien les joueuses depuis le temps que l’on suit l’équipe, nous ne voyons pas beaucoup les dirigeants. Pour le moment ce n’est pas franchement nécessaire vu que nous sommes encore assez peu nombreux mais si nous devions grandir c’est sûr que nous leur demanderions un peu d’aide pour organiser les déplacements.