Sport24

Pas une bonne nouvelle ça. Mais bizarre parce qu'il me semble que le principe du fair-play financier va à l'encontre des règles de la concurrence.

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Pas une bonne nouvelle ça. Mais bizarre parce qu'il me semble que le principe du fair-play financier va à l'encontre des règles de la concurrence.

Encore une fois, le PSG ne vit pas au-dessus de ses moyens et n'a contracté aucunes dettes (merci la DNCG en passant), du coup, ces articles de merde qui fleurissent à léquipe, on va rester mesuré sur leur portée.

Pour l'instant, à travers ces articles et les déclarations de haineux concurrents, on voit surtout que le FPF entrave tout simplement toute possibilité d'investir dans un club de football.

Il faudra m'expliquer les dérives financières du PSG.

Nissan remplace Ford

Sponsor historique de la Ligue des champions (depuis 1992), Ford cédera la place à son concurrent Nissan à partir de la saison prochaine.

Le constructeur américain aurait renoncé à prolonger avec l'UEFA en raison des difficultés du marché automobile en Europe. Le groupe japonais, allié de Renault, a signé pour quatre saisons pour un montant estimé à une cinquantaine de millions d'euros par an, ce qui représente son «plus gros contrat de sponsoring». Dans un entretien au Figaro, Bastien Schupp, vice-président du marketing de Nissan Europe, se félicite d'un accord "gagnant-gagnant". «L'UEFA avait besoin de promouvoir sa marque Ligue des champions dans le monde entier, (or) notre part de marché hors Europe est plus importante qu'en Europe (...) Ce partenariat doit nous permettre d'améliorer notre notoriété sur le Vieux Continent mais également dans le monde.»

Non au PSG

Interrogé sur l'intérêt que Nissan pourrait trouver à un partenariat avec le PSG - dont la notoriété dans le monde ne cesse de croître - le dirigeant répond : «Non, car si nous devenons partenaire du PSG, nous nous mettrons le reste de la France à dos. Et ce n'est pas notre objectif. Nous pensons que la meilleure stratégie pour un constructeur automobile, c'est de s'associer avec une compétition. La visibilité est permanente et neutre.»

On est où dans le dossier du centre d'entrainement? J'ai l'impression que ça fait deux ans que l'on se touche, le temps de trancher sur le lieu d'implantation, de dépolluer le terrain, de lancer les travaux...

On ne le verra pas avant l'euro

Les élections sont passées par là donc il y a eu du ralenti à mon avis même si le processus à St Ger semble en marche (le Maire a été réélu). Les études sur la dépollution et le chiffrage des travaux c'est relativement long quand même. Pour en avoir eu à traiter durant mes études, c'est vraiment long ce genre de projets, qataris ou non.

Merci pour ces précisions. On ne peut pas en vouloir aux qataris de se focaliser sur la question des accords commerciaux car on sent bien que le club est actuellement sous le feu des projecteurs avec la mise en place du fairplay financier.
Personnellement le principal reproche et de loin c'est le fait de ne pas mettre en place une direction sportive car elle est le garant de la mise en place d'une politique sportive sur le long terme (exemple parfait du Bayern). Cela aurait sans doute permis peut être de ne pas gâcher les plus gros talents formés depuis une dizaine d'années.

Selon RMC, sur cinq candidatures, deux ont été retenues par les dirigeants du PSG pour accueillir, en 2015, le futur centre d’entraînement du club : Saint-Germain-en-Laye et Saint-Quentin-en-Yvelines. Etats des lieux des deux dossiers finalistes.

Saint-Quentin-en-Yvelines, l’outsider

Caractéristiques : La communauté d’agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines propose de céder une partie de la base de loisirs, qui appartient au Conseil Régional d'Ile-de-France, et dont les terrains sont situés sur la commune de Montigny-le-Bretonneux. Au total, la base de loisir s'étend sur 600ha. Sur cette surface, 70ha sont disponibles, dont la moitié pourrait être exploitée par le PSG.


Les atouts : L'un des points forts de ce dossier réside dans le trajet (environ 25mn) sans feu rouge entre le Parc des Princes et le terrain. Un atout non-négligeable pour les transferts entre le futur centre d’entraînement et l’enceinte du PSG les soirs de match.


Les faiblesses : Certaines voix au conseil général des Yvelines n’admettent pas de céder cet espace dédié à la jeunesse et aux activités des habitants de l’agglomération. De plus, les responsables de cette candidature avouent qu'il sera difficile de respecter les délais de livraison exigés par le PSG, à savoir l’année 2015.

Le mot du maire (Michel Laugier) : « Cette implantation se ferait le long de la RN12. Il n’y aurait aucun feu rouge à franchir entre le départ du centre d’entraînement et le Parc des Princes. Nous sommes situés sur une base de loisirs. Juste à côté, il y a de l’espace. Nous avons déjà une infrastructure importante qui permettrait d’accéder au centre de formation sans passer par le centre-ville ou l’entrée de la base de loisirs. Nous avons aussi un aérodrome d’affaires qui est à 15mn des terrains d’entraînement, si le site de Montigny est retenu. »

Source : RMC

Nasser viens a trappes tu vas kifé, venez chez moi

Il date de quand l'article, parce qu'il semble que Montigny, St Quentin, Poissy, c'était mort pour eux.

Montigny et St Quentin c'est pareil Et le problème c'est les agriculteurs je crois.

Non, la c'est le club qui trouve ca trop loin de Saint Germain et le Conseil Général qui veut pas lacher les terrains.

Saint Quentin c'est plus d'actualité car les Qataris ne pouvaient pas être proprio des terrains or c'est l'une des conditions

L’incertitude qui pèse toujours sur le club de la capitale ne tient pas à son déficit — quelques millions d’euros en 2012-2013 — mais au contrat d’image signé avec l’office de tourisme qatarien (QTA). Le montant de ce partenariat, 200 M€ par an, est soupçonné d’avoir été surévalué.

Mais c'est justement grâce au contrat d'image que le PSG se retrouve avec un déficit de seulement quelques millions d'euros non ?

Oui mais de façon comptable ce contrat est bel et bien réel.
L'UEFA pour le Fair Play Financier regarde d'abord le deficit comptable sur l'exercice precedent. Dans ce domaine on est ok, pas de probleme car deficit minime (grace a ce contrat notamment)
Ensuite ils se penchent sur les recettes, notamment les contrat de sponsoring pour voir s'ils sont "reguliers". Et c'est là qu'on a un probleme. Ensuite ils decident d'une "vraie" valeur et donc d'un deficit fictif sur lequel ils appliquent leurs regles

Bref l'article explique juste d'ou viendraient nos problemes