Lorenza Izzo et Ana de Armas

Sur Foxcatcher: J'ai trouvé ça relativement quelconque dans son ensemble, un peu trop froid et un peu long aussi.

Par contre je trouve que Ruffalo est une fois de plus fantastique. Dès qu'il disparait de l'écran il manque au film, qui perd tout de suite en intensité

Et je suis aussi aller voir The smell of us: Il ne reste plus grand chose de l'étrange candeur de Ken Park ou de la brutalité dérangeante de Bully. Là ça m'a semble vide et gratuit.

Après c'était assez "marrant" de voir ça en région parisienne et il y'a un parallèle assez surprenant à faire avec le début d'Eastern Boy.

Et il y'a quelques jours j'avais plutot bien aimé The cut, qui manque toutefois d'un peu d'ampleur à mon sens.




Du Pont c'est plutot Nasser ou Al-Thani pour le coup !

Je conseille vivement Boyhood.
C'est un peu l'expérience cinématographique définitive suivant la jeunesse d'un garçon de la middle class américaine. Ici, les 12 ans que durent le film sont joué par les mêmes acteurs qui vieillissent donc devant la caméra.
2 h 46 sans s'ennuyer où les ellipses d'enchaînent avec fluidité comme l'écoulement d'un fleuve.
Joli et poétique.

J'aime bien le film mais je le trouve assez sage et "petit" par rapport à ce qu'on pouvait en attendre, et le concept du tournage en temps réel ne lui apporte rien de fondamental au final.

Oui, mais le problème, c'est qu'il y a une bonne moitié du film qui aligne des scènes que l'on qualifierait de très communes cinématographiquement parlant, dans d'autres films que celui-là.

Très bien Foxcatcher.

Grandes performances des trois interprètes principaux. Steve Carrell fait vraiment 15 ans de plus, impressionnant

Ah mais j'ai trouvé Carrell fantastique, juste le caractère du personnage m'a fait pensé à Laurent Blanc

Et quand je dis que je peux difficilement "aimer" le film, c'est juste qu'en général le ton dépressif de ce genre de film, je ne suis pas fan, je ne pourrais pas le revoir une 2ème fois par exemple. Mais je suis assez admiratif du talent de Miller et de ses interprètes.

Avec toutes les branlettes intellectuelles sur le cine asiatique, j'ai été surpris de ne trouver aucun resultat quand je cherche the Man from nowhere dans le topic. Un film d'action coréen de 2010 type Leon/Taken/Equalizer. Bref, tout ca pour dire que j'ai bien aimé.

J'en ajoute un vu récemment et que je vous conseille : A bittersweet life.

Parce que c'est tout le propos du film. Un successions de séquences nous montrant les étapes initiatiques de le jeunesse. Et donc? Et donc rien, tout est mis en lumière par la crise de la mère à la fin (tu aimes, tu te maries, tu fais des gosses, pourquoi? C'est juste ça en fait? Eh bien oui, c'est un non-évènement la vie), et le dialogue du garçon avec la fille dans le désert sur la saisie de l'instant (n'attends rien d'autre que le moment présent parce que finalement, la vie espérée n'est que peu de chose).

Je pense que c'est un parti-pris de totalement épurer l'intringue ou la tension dramatique, c'est au mieux esquissé, dans le film, la vie s'écoule tranquillement, comme les ellipses s'enchaînant avec fluidité.

Je suis tout à fait d'accord mais l'épure est aussi une mise en scène quelque part, mais ici ce n'est pas épuré, c'est juste filmé de façon très commun. Je trouve ça facile, sans compter qu'il y a quelques situations très caricaturales, notamment en ce qui concerne les différents maris de la mère.

Le montage concernant les ellipses, la bande-son, les cadrages hors-champ esquissant certains évènements marquant (la mère au sol, battue, le premier déménagement avec l'image lointaine et presque imperceptible de son ami en vélo lui faisant signe de la main). C'est par petite touche, c'est limite effacé mais ça épouse bien le caractère du gamin.,Il y a de la mise en scène pour moi.

Bon je vais pas en faire un plat, j'ai trouvé que c'était un joli film et si je ne me suis pas ennuyé sur 2h46 sans réel intringue, c'est que le réalisateur a réussi à capté quelque chose, du moins chez moi.

Ah merci!!!

Vu pour la première fois 2001 L'Odyssée de l'espace.

J'ai tout bien aimé et puis à partir du moment où ça devient un kaléidoscope

Même ressenti il y a un mois de ça la technique du slit scan

Un peu pareil la première fois que j'ai vu Brazil

moi la premiere fois que j'ai essayé le crack

Into the Woods

Va falloir qu'Hollywood arrête avec ses comédies musicales à Oscars chaque année, c'est vraiment indigeste, comme le surplus de biopics.