Il n'y avait que 3 offensifs. ©

C'est aussi mon impression. D'ailleurs Motta et Verratti étaient rarement alignés ensemble et nous ont épargnés leur lot de passes inutiles dans l'entrejeu. Ils ont énormément joué vers l'avant, souvent en première intention et donc non, il ne me semble pas du tout que c'était une redite du jeu sous Blanc.

Voilà, énormément de verticalité par rapport au jeu de Blanc, avec notamment Lucas - seul - souvent trouvé entre leur défense et leur milieu.

Je ne suis pas d'accord. On avait un truc de l'ordre de 70% de possession (légèrement plus je crois).
Or on ne s'est pas cree une quinzaine d'occasions.
Pour moi, un bon indicateur qu'on cesse de jouer a la blanc est bien entendu le nombre d'offensifs mais aussi le chiffre de possession combine au nombre d'occasions. Tres large possession plus un bombe d'occasions moyen c'est du blanc pur sucre.

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+ 1. On l'a vu le rouleau compresseur en 1ère mi-temps. Les Girondins ont passé une fois la ligne médiane en une mi-temps... sérieusement, rarement vu une équipe aussi acculée sur son but, surtout qu'ils n'ont pas qu'une équipe de peintres cette année. Toulalan, Plasil, Menez, etc ça reste pas mal pour la L1.

On les a simplement étouffés en jouant très haut, ce que j'ai rarement vu sous Blanc, tout comme la verticalité. Ce qui est dommage, c'est de ne pas avoir continué en début de 2ème mi-temps, mais la succession de matches et la dépense physique engendrée par ce type de jeu explique peut-être cette 2ème période sous contrôle.

Le truc avec Blanc, c'est que l'on jouait beaucoup latéralement pour bouger la défense adverse dans la largeur et provoquer ainsi une brèche pour pouvoir adresser une passe verticale. Contre Bordeaux, on a pas eu besoin de ce genre de préparation lente et je pense que c'est plus dû à la faiblesse de l'organisation l'adversaire plutôt qu'au talent de nos joueurs.

Ben on faisait circuler beaucoup plus rapidement et decisivement contre Bordeaux.

la stats qui devrait être intéressante c'est celle du nombre de ballon récupéré haut sur le terrain. Parce que même si on a eu une possession de 70% on a tenté beaucoup plus de passes difficile et on la recèperait de suite à la perte du ballon. Le jour et la nuit pour moi par rapport à la saison dernière.

Il doit y avoir de ça mais ça me semble insuffisant comme explication. Pour moi, c'est aussi dû au positionnement bas des bordelais qui pnt manqué cruellement d'agressivité et qui étaient rarement présents dans les duels, au delà de leurs 25m.

C'est le cas depuis plusieurs saisons les équipes très basse et qui presse peu , pourtant on jouait dans nos 30 mètres.

J'ai pas trouvé Bordeaux venus spécialement bas. Ils tentaient même de nous presser à un moment. Ils sont juste venus naïvement, toujours à la bourre, des écarts entre les lignes permettant à la vista de Motta de casser tout ça avec des joueurs qui s'intercalaient tranquillement.
Pour moi on était loin du bus. Ils étaient juste nuls, sans idées, venus se faire plier parce que Paris en a bien profité aussi en jouant comme il le fallait.

Après, je ne trouve pas de changement radical par rapport à la saison passée même si hier, on a eu quelques phases intéressantes.
Je crois avoir mater le chrono à un moment (63eme je crois ) et il y a un échange très rapide avec Verratti qui joue vraiment vers l'avant malgré un redoublement de passes et c'est très bon.

Motta a certainement sorti son meilleur match depuis un bon moment, sorte de récital (il a touché un paquet de ballons non?) mais le contexte s'y prêtait et contre des équipes bien plus costaudes avec un autre rythme on risque d'avoir un souci. C'est bien de se baser sur certains acquis des saisons passées, on ne peut pas tout effacer mais il y a certaines choses qui pêchaient et risque de perdurer...

Sinon les "On a retrouvé Matuidi qui fait son taff"

L'ouverture précoce du score a aussi donné de l'espace à nos joueurs et a semblé mettre les bordelais en porte à faux. C'est d'ailleurs une constante cette année. Soit on ouvre tôt le score grâce à une haute intensité installée d'entrée, soit on y parvient pas, on rame alors dans le jeu et on se fatigue sans trouver de solution.

Verratti en deuxième il à une phase de quaterback il envoyait de tous les côtés.

Toi t'as pas bien regardé la saison dernière. Sous Blanc, on jouait aussi assez haut pas toujours mais c'était la volonté. Et dans l'ensemble quand on jouait plus bas, c'était plus lié à la forme de nos centraux, retour de blessures, fatigue ou sélection qui faisait qu'il ne se sentait pas prêt à jouer les duels si haut.

L'analyse du match.

Pour toi, quand on joue avec Maxwell et Marquinhos sur les cotes mais avec Pastore, Lucas, Di Maria, Cavani, on a plus d'offensifs que quand on joue avec Kurzawa et Meunier mais avec un Verratti a la place de Pastore.

Tu fais tellement une fixette sur tes 4 offensifs que t'oublies la différence majeure entre un Kurzawa et un Maxwell au niveau de l'apport offensif.

Merci, je me sens moins seul.




Kurz etait la a Monaco par exemple, avec 3 offensifs.
On a vu le resultat.

C'est un excellent joueur mais qui a besoin de decalage cree par un offensif.