Je ne vous cache pas que j'attends avec impatience l'édito de Duluc dans l'équipe de demain.

Un peu beaucoup ?

Quand il existait une seule coupe nationale qui comptait vraiment, ce qui a duré jusqu'a ce que la Coupe de France aille sur ses quatre-vingts ans, la plus ancienne compétition du football français était la seule manière de sauver une saison et de ramener de l'argenterie à la maison. Elle s'entourait d'une magie qu'une concurrente plus fermée aux surprises n'éventait pas en organisant sa finale trois mois plus tôt, ainsi que d'une tension qui tenait au vertige de son verdict : la gloire ou le vide.
Si le constat que le Paris-SG a remporté sa onzième Coupe de France, la troisième d'affilée, dessine une oeuvre globale de spécialiste qui mérite les louanges, la manière dont il a battu Angers, un coup du sort juste avant que la lumière s'éteigne, entretient l'ambiguïté de sa flamme, en ce printemps, et les incertitudes de sa méthode. Il est un peu compliqué de considérer autrement que comme une ironie amère un destin basculant dans le temps additionnel, le moment même de son pire cauchemar des dix dernières années.
Il n'est certes pas facile de faire ressembler à une conquête un match que l'on est obligé de gagner, mais le PSG n'a pas su donner beaucoup de talent à cette dernière impression, un peu floue, un peu encombrée par quelques crépuscules. Au moment d'en finir avec une saison qui l'a vu endurer la dégringolade européenne la plus spectaculaire de l'histoire des matches aller et retour, puis perdre son titre des pieds d'un Monaco magnifique, prolifique et populaire, le PSG suscite une question due à ses manières d'ogre des saisons précédentes : avec un budget plus de deux fois supérieur à son concurrent le plus riche, le club parisien a t'il réussi sa saison, avec ces deux succès en Coupes nationales ? Le simple fait que la question se pose indique que la réponse ne va pas de soi. Peut être notre regard sur ce groupe est-il définitivement perturbé par le souvenir de ce qui lui est arrivé à Barcelone. Ce soir-la, on avait imaginé qu'ils n'avaient aucune chance de s'en remettre. Mais ils ne se sont pas effondrés et c'est peut-être nous, qui ne les avons plus regardés de la même manière, qui ne nous en sommes jamais vraiment remis. Paris a terminé sa saison sur une joie et il faut la respecter, ainsi que sa victoire. Mais à l'été 2016, ce n'était pas complètement les rêves que le club parisien nourrissait pour lui-même. Et ce ne ne sont surement pas ceux qu'il fait pour la saison prochaine.

avec un budget plus de deux fois supérieur à son concurrent le plus riche, le club parisien a t'il réussi sa saison, avec ces deux succès en Coupes nationales ? Le simple fait que la question se pose indique que la réponse ne va pas de soi. Peut être notre regard sur ce regroupe est-il définitivement perturbé par le souvenir de ce qui lui est arrivé à Barcelone.

La question ne se pose meme pas. La saison est ratée point. Apres est ce qu'on ne s'en remettra jamais, je ne crois pas. Dès la saison prochaine, on demarrera pied au plancher. Le titre on l'a perdu dès la fin août.

La question ne se pose meme pas. La saison est ratée point. Apres est ce qu'on ne s'en remettra jamais, je ne crois pas. Dès la saison prochaine, on demarrera pied au plancher. Le titre on l'a perdu dès la fin août.

Elle est raté a cause de la perte du titre mais sinon depassé l'episode Barca qui a du faire très très mal au groupe et au club sans se laisser distancer par un Monaco marchant sur l'eau et tenir le cap jusuq'au deux victoires finales en coupes;

C'est pas mal quand meme après le jeu mais ca entre la frilosité, decouverte d'Unai et le choc du 8 mars sur les troupes..

Mitigé dans l'ensemble pas raté sauf en terme d'objectif biensur.

Il n'y a pas de "point" qui tienne puisque ton avis est minoritaire ici.
C'est d'ailleurs assez gonflant ce millenarisme d'enfants gâtés...

Il y a rien de spécial dans l'édito de Duluc, pas de quoi critiquer.

Il minimise comme d'hab. 3 coupes de France, serie en cours, 4 coupes de la ligue, série en cours.

Quand Lyon avait le double de budget que les autres et ne gagnait aucune coupe on l'entendait moins ce porc.

Il minimise comme d'hab. 3 coupes de France, serie en cours, 4 coupes de la ligue, série en cours.

Quand Lyon avait le double de budget que les autres et ne gagnait aucune coupe on l'entendait moins ce porc.

C'est incroyable Angers, c'est pas une équipe de foot bordel. Que des Djimon Hounsou

J'échange volontiers une des deux coupes contre le retrait du traumatisme du 8/3. Ce qu'on retiendra de la saison 2016/2017 c'est le 8/3, à jamais.

Apres les coupes 2017, on ne se rappèlera plus forcément direct comment on les a gagné vu qu'on en gagnera plein d'autres.

Il y a rien de spécial dans l'édito de Duluc, pas de quoi critiquer.

Parle pour toi. Moi je me souviendrais de cette saison comme un tout. Le 8 mars en fera parti, mais rester sur des moments négatifs comme ça, c'est malsain. Truc de BDSM. Faut aimer avoir eu mal une fois et remuer le couteau dan sla plaie ensuite, encore et encore.
C'est bon pour les anti-parisiens et les mecs du forum qui s'épanouissent dans la critique incessante.

Parle pour toi. Moi je me souviendrais de cette saison comme un tout. Le 8 mars en fera parti, mais rester sur des moments négatifs comme ça, c'est malsain. Truc de BDSM. Faut aimer avoir eu mal une fois et remuer le couteau dan sla plaie ensuite, encore et encore.
C'est bon pour les anti-parisiens et les mecs du forum qui s'épanouissent dans la critique incessante.

Parle pour toi. Moi je me souviendrais de cette saison comme un tout. Le 8 mars en fera parti, mais rester sur des moments négatifs comme ça, c'est malsain. Truc de BDSM. Faut aimer avoir eu mal une fois et remuer le couteau dan sla plaie ensuite, encore et encore.
C'est bon pour les anti-parisiens et les mecs du forum qui s'épanouissent dans la critique incessante.

Ouais enfin, ce genre de "mauvais moment" c'est pas juste annecdotique, ça peut pas faire partie d'un tout. T'as une cicatrice à vie. Perdre la L1 contre un Monaco qui fait 95pts, ça fait chier mais c'est pas humiliant.

Réponse de mimi. Si tu dois retenir le truc le plus marquant et que tu réponds "la saison est un tout", t'es juste un mimi qui veut pas répondre. Surtout que les événements sont juste incomparables en terme d'émotion et de valeur.

Sinon je suis déjà passé à autre chose. Par contre on est à l'heure de prendre les décisions. Si on relativise tout, on avance jamais.