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Houdini
posté 24/08/2017 13:17
Message #21221


SANDMAN ENTHUSIAST
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"Une histoire vraie" est une merveille qui passe bien trop souvent sous le radar quand il s'agit de parler de son oeuvre. La plupart des critiques ont confondu "film mineur" avec "film intime", il perd ici un peu de son style identifiable entre mille pour gagner en émotion.

J'ai aussi une affection particulière pour "Sailor et Lula". Sans doute parce que c'est le premier et surtout parce que c'était mon film pour pécho à la fac. cool.gif
Et Cage est la définition même du flow.

Après s'il ne devait en rester qu'un ce serait forcément "Mulholland Drive", un film parfait cela n'arrive pas tous les matins.


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Demon Di Mario
posté 24/08/2017 13:34
Message #21222


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Citation (Houdini @ 24/08/2017 14:17) *
"Une histoire vraie" est une merveille qui passe bien trop souvent sous le radar quand il s'agit de parler de son oeuvre. La plupart des critiques ont confondu "film mineur" avec "film intime", il perd ici un peu de son style identifiable entre mille pour gagner en émotion.

J'ai aussi une affection particulière pour "Sailor et Lula". Sans doute parce que c'est le premier et surtout parce que c'était mon film pour pécho à la fac. cool.gif
Et Cage est la définition même du flow.

Après s'il ne devait en rester qu'un ce serait forcément "Mulholland Drive", un film parfait cela n'arrive pas tous les matins.


J'ai en effet oublié de mentionner Une histoire vraie, film qui m'avait pas mal retourné quand je l'ai vu et que je n'ai pas revu récemment d'ailleurs, ça prouve que j'aurais dû d'ailleurs. C'est du Lynch plus simpliste mais tellement fort et touchant...
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Ashura
posté 24/08/2017 16:38
Message #21223


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Vu Valérian, après avoir lu diverses critiques je m'attendais à pire franchement. Scénario complètement oubliable ouais mais ça reste un divertissement sympa et réussi artistiquement.

La semaine dernière je suis allé voir Le Caire confidentiel, vanté comme un des meilleurs polars de l'année... mouais bah je me suis pas mal fait chier au final, le scénario est cousu de fil blanc, on voit tout venir à des kilomètres ce qui me semble un peu rédhibitoire pour ce genre de film.
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Ashura
posté 25/08/2017 01:10
Message #21224


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Et j'enchaîne ph34r.gif revu Usual Suspects, toujours très bon wub.gif malheureusement impossible de retrouver le kif du premier visionnage...

Vu aussi Dunkerque, je crois que je me suis rarement autant emmerdé devant un film.
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DelSpooner
posté 25/08/2017 01:36
Message #21225


Kylian tout-puissant
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Faut voir Colossal (en VOD malheureusement), sans doute le meilleur film de cet été (avec La Planète des Singes Suprématie)


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posté 25/08/2017 07:19
Message #21226


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Citation (DelSpooner @ 25/08/2017 02:36) *
Faut voir Colossal (en VOD malheureusement), sans doute le meilleur film de cet été (avec La Planète des Singes Suprématie)


J'ai bien aimé l'idée, qui vaut à elle-seule le visionnage parce qu'elle n'est pas juste gadget en plus, mais par contre j'ai trouvé ça vraiment plat sur la forme. Pas plus emballé que ça non plus du coup. Il y avait mieux à faire.

Je me demande par contre pourquoi un film de cette teneur, et avec tout de même une tête d'affiche, se retrouve à ne sortir qu'en VOD.
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johncoltrane
posté 25/08/2017 08:12
Message #21227


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Citation (Houdini @ 21/08/2017 09:20) *
http://www.lemonde.fr/festival/article/201...03_4415198.html

Quelqu'un aurait un abo pour me copier ça svp?



ÉDITION ABONNÉS
Nicolas Winding Refn dans l’enfer du 35 mm
Par Samuel Blumenfeld
Le 20 août 2017 à 18h00 Mis à jour le 20 août 2017 à 19h09

Collectionneurs de films (1/6). Le réalisateur danois de « Drive » se saigne aux quatre veines pour sauver de l’oubli les films d’horreur d’Andy Milligan et les œuvres évangélistes du couple Ormond.
Nicolas Winding Refn sur le tournage de son film « Only God Forgives » (2013).
Nicolas Winding Refn sur le tournage de son film « Only God Forgives » (2013). / SPACE ROCKET NATION/PHOTO12

Pendant longtemps, bien avant qu’il devienne réalisateur, l’existence, selon Nicolas Winding Refn, consistait à amasser. Adolescent, il consacrait l’intégralité de son budget aux 33-tours. Essentiellement des musiques obscures. S’il tombait sur l’enregistrement pirate d’une chanson des Beatles, même dans une version alternative, il mettait l’objet de côté. A la fin de l’adolescence sont arrivés les jouets japonais. Puis les cassettes vidéo. Et enfin les copies 35 mm. Le réalisateur de Pusher et de Valhalla Rising faisait partie d’un groupe de cinéphiles danois qui s’échangeaient, à Copenhague, des classiques de l’histoire du cinéma, à une période – les années 1990, avant l’arrivée du numérique et du DVD – où la pellicule conservait une aura et offrait une qualité technique très supérieure à la cassette vidéo. La rencontre avec sa future femme, puis la naissance de ses deux filles, bousculent l’ordre de ses priorités. Il laisse de côté les copies 35 mm, faute de savoir où les entreposer. Aussi parce qu’il ne pense pas être habité par la passion du celluloïd.

Lire aussi : « Bleeder » : le Copenhague gris de Nicolas Winding Refn
Le déclic se produit peu après la sortie de Drive (2011), au moment où le réalisateur rencontre son plus grand succès public. En surfant sur eBay, Refn découvre par hasard que les copies du cinéaste Andy Milligan, mort du sida en 1991, sont mises en vente par son biographe officiel, Jimmy McDonough. A cet instant, le réalisateur danois comprend que sa vie ne sera plus jamais la même.

« TU ES DINGUE ? TU VIENS DE DÉPENSER 25 000 DOLLARS POUR DES FILMS DONT PERSONNE N’A RIEN À FOUTRE ? »
Refn se souvenait des titres de plusieurs films de Milligan, Guru, the Mad Monk (« Guru, le moine fou », 1970), Bloodthirsty Butchers (« Les bouchers assoiffés de sang », 1970), The Rats Are Coming ! The Werewolves Are Already Here ! (« Les rats arrivent ! Les loups-garous sont déjà là ! », 1972), pour en avoir trouvé la trace dans différentes encyclopédies du cinéma. Andy Milligan était le fils d’un capitaine de l’armée américaine et d’une mère obèse, alcoolique et bipolaire qui martyrisait ses enfants et son mari. Les films de ce cinéaste autodidacte étaient distribués dans les cinémas de la 42e rue, à Manhattan, ceux fréquentés par Robert De Niro dans Taxi Driver. Des salles de cinéma porno le plus souvent, ou qui distribuaient des films d’horreur ultra-violents. Lorsque Refn se trouva en âge de les fréquenter, ces salles avaient disparu, et leurs films avec.

Lire aussi : Nicolas Winding Refn, de « Drive » aux affiches de séries B
En acquittant la somme de 25 000 dollars pour le lot, le réalisateur s’offrait le droit de les voir enfin. « En les découvrant, j’ai été surpris. Par leur violence, extrême. Et leur qualité, contrastée. Soyons honnêtes, il est difficile de regarder un film d’Andy Milligan jusqu’au bout. Mais, en même temps, je comprenais qu’il s’agissait d’un homme qui réalisait ses films à sa manière, dans son propre système. Son utilisation du médium reflétait le flux de sa conscience. Ce qui peut faire peur. Mais qui me fascine. »

« Si je ne sauve pas ses films... »

Son achat effectué, pour une somme significative, a fortiori pour ce metteur en scène qui a évité, même après Drive, de travailler à l’intérieur du système hollywoodien, refusant les chèques importants qui lui étaient offerts, Refn a dû affronter sa femme et son bon sens de mère de famille. « Tu es dingue ?, a-t-elle hurlé. Tu viens de dépenser 25 000 dollars pour des films dont personne n’a rien à foutre ? » Ce à quoi le réalisateur répondit : « Chérie, tu ne comprends pas. Andy Milligan aurait pu être moi. Si je ne sauve pas ses films, Milligan disparaîtra. »

A travers cette disparition, Refn entrevoit la sienne. Ce souci de la préservation, de l’héritage improbable, est devenu une obsession. Pour laquelle il a trouvé un modèle économique. Les sommes perçues pour réaliser ses deux derniers films, Only God Forgives (2013) ou Neon Demon (2016), sont faibles. En revanche, celles, plus conséquentes, touchées pour réaliser des publicités pour Hugo Boss, Shell ou, plus récemment, Le Bon Marché servent à financer cette passion.

Image extraite du film évangéliste « The Burning Hell » (1974), de Ron Ormond.
Image extraite du film évangéliste « The Burning Hell » (1974), de Ron Ormond. / PROD DB © THE ORMOND ORGANIZATION/DR

Sur les conseils de Jimmy McDonough, le cinéaste danois a acquis pour 8 000 dollars, auprès de leur fils, Tim Ormond, les masters vidéo des films de Ron et June Ormond. Ron Ormond était magicien. June Ormond avait été meneuse de revue. Le couple s’était lancé dans le cinéma – Ron réalisait, June produisait. Des westerns à tout petit budget d’abord, tout au long des années 1950. Puis, fatigué de travailler à Hollywood, le couple s’est établi à Nashville (Tennessee) pour s’atteler à des films de « sexploitation » destinés au seul circuit des drive-in du sud des Etats-Unis. The Monster and the Stripper (1968), dans lequel une espèce d’homme des cavernes assassine des strip-teaseuses, deviendra leur succès le plus notable. Juste avant le moment d’épiphanie du couple. Ron Ormond, ancien pilote de l’US Air Force, pilotait, avec son épouse et leur fils à bord, son avion privé au-dessus du Tennessee, quand l’engin s’écrasa après une panne de moteur, laissant ses passagers miraculeusement indemnes. Ron Ormond l’interprète comme un signe du seigneur. Il se rapproche d’un prêcheur baptiste du Mississippi, Estus Pirkle, intéressé par la production de films lui permettant de populariser ses sermons.

« Cette quête me stimule »

Pirkle met à disposition du cinéaste son réseau de fidèles, lesquels pourront, contre rémunération, tenir un petit rôle dans ses films. Ormond prend le projet de son commanditaire à la lettre, avec des ambitions démesurées, où les méthodes du cinéma d’« exploitation » se trouvent mises au service d’un discours évangéliste. De cette collaboration naissent trois films : If Footmen Tire You, What Will Horses Do ? (1971), dans lequel des soldats russes et cubains torturent des citoyens américains pour les faire renoncer à la foi chrétienne ; The Burning Hell (1974) ; Believer’s Heaven (1976), sur les dangers d’entrer en contact avec l’au-delà. « Le truc avec les films des Ormond, assure Nicolas Winding Refn, c’est que tout le monde, même les collectionneurs les plus pointus, était passé à côté. Je ne puis décemment soutenir que ces films soient bons, mais ce n’est pas la question. La perfection ne me semble pas si intéressante que ça, je préfère sentir la voix d’un cinéaste. »

Lire aussi : Nicolas Winding Refn ou la beauté en horreur
La quête des négatifs 35 mm des films évangélistes des Ormond a nécessité le recrutement de plusieurs archivistes à plein-temps. La trace des héritiers du prêcheur Estus Pirkle a été retrouvée, les négatifs sauvés et, depuis, restaurés. « Sauver les films est une tâche aussi créative que les réaliser, précise le cinéaste danois. Loin de m’assécher, cette quête me stimule. Elle n’est pas limitée par des ressources financières. Je mène un travail de résistance. J’ai l’argent pour cela. » Avant de rendre disponible, sur Internet, la trilogie évangéliste des Ormond, Nicolas Winding Refn va éditer en format beau livre, avec les qualités d’impression les plus pointues, une biographie des Ormond par Jimmy McDonough. « Ce sera moins un livre qu’un écrin. » Depuis, le réalisateur s’est trouvé une autre passion : les disques vinyles évangélistes.

Une série en six volets

Ils entretiennent une passion dévorante pour le patrimoine mondial du cinéma et sa plus haute tradition, celle qui utilise du Celluloïd et un projecteur.

1. Nicolas Winding Refn dans l’enfer du 35 mm

2. Serge Bromberg, archéologue de Charlot

3. Joe Dante et ses drôles de bobines

4. Jack Stevenson, le plaisir par la bande

5. Kevin Brownlow, la démarche de l’empereur



Copié collé sur tablette désolé pour la mise en page mais je galère.
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florian
posté 25/08/2017 08:24
Message #21228


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Citation (Ashura @ 24/08/2017 17:38) *
Vu Valérian, après avoir lu diverses critiques je m'attendais à pire franchement. Scénario complètement oubliable ouais mais

Vu aussi Dunkerque, je crois que je me suis rarement autant emmerdé devant un film.



Ah ben on est fait pour s'entendre, je me suis régalé devant Dunkerque et emmerdé devant Valerian...


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n'oubliez pas: https://www.tipeee.com/culturepsg
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RegardZehef
posté 25/08/2017 14:15
Message #21229


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Je suis dans un cycle Spike Lee :

Vus (ou revus) :

Mo' Better Blues : un affrontement musical Denzel/Wesley Snipes, un cameo de Samuel Lee Jackson, du son et du son, beaucoup aime. Un theme constant de Spike Lee est le type emmerde par la terre entiere.

Do the Right Thing : un classique, un film que j'ai trouve intelligent sur le(s) racisme(s) et la violence, sans lecons de morale et qui laisse le dernier mot au spectateur. Belle esthetique, un excellent Danny Aiello (apparition d'un tres jeune Martin Lawrence). Il a vraiment reussi a capturer une epoque dans ce film, la fin des 80s a Brooklyn.

Clockers : Je regrette de l'avoir vu avant The Wire, tant le theme est similaire. Mais quand meme un tres bon film.

He got game : Un propos un peu caricatural par moments, mais tres bon film.

Malcolm X : pas fan des biopics en general, belle performance de Denzel Washington et film agreable a voir. Je ne connais pas assez la vie du frere Malcolm pour juger de la pertinence du propos cela dit.

The 25th hour : premier film post 11 septembre de Spike Lee, en rupture avec ses films d'avant, (casting majoritairement blanc, qui ne se passe pas majoritairement a Brooklyn), avec Edward Norton, Philip Seymour Hoffman et Rosario Dawson wub.gif wub.gif . Tres reussi.

Inside Man : beaucoup plus Blockbuster que le reste de sa filmographie,je l'ai trouve reussi, avec un superbe twist final, et des dialogues amusants.


Est-ce que vous en avez d'autres a recommander ? Ses films post 2006 valent-ils le coup ? Il est un peu tombe dans l'oubli Spike.
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florian
posté 25/08/2017 14:20
Message #21230


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Citation (RegardZehef @ 25/08/2017 15:15) *
Je suis dans un cycle Spike Lee :

Vus (ou revus) :

Mo' Better Blues : un affrontement musical Denzel/Wesley Snipes, un cameo de Samuel Lee Jackson, du son et du son, beaucoup aime. Un theme constant de Spike Lee est le type emmerde par la terre entiere.

Do the Right Thing : un classique, un film que j'ai trouve intelligent sur le(s) racisme(s) et la violence, sans lecons de morale et qui laisse le dernier mot au spectateur. Belle esthetique, un excellent Danny Aiello (apparition d'un tres jeune Martin Lawrence). Il a vraiment reussi a capturer une epoque dans ce film, la fin des 80s a Brooklyn.

Clockers : Je regrette de l'avoir vu avant The Wire, tant le theme est similaire. Mais quand meme un tres bon film.

He got game : Un propos un peu caricatural par moments, mais tres bon film.

Malcolm X : pas fan des biopics en general, belle performance de Denzel Washington et film agreable a voir. Je ne connais pas assez la vie du frere Malcolm pour juger de la pertinence du propos cela dit.

The 25th hour : premier film post 11 septembre de Spike Lee, en rupture avec ses films d'avant, (casting majoritairement blanc, qui ne se passe pas majoritairement a Brooklyn), avec Edward Norton, Philip Seymour Hoffman et Rosario Dawson wub.gif wub.gif . Tres reussi.

Inside Man : beaucoup plus Blockbuster que le reste de sa filmographie,je l'ai trouve reussi, avec un superbe twist final, et des dialogues amusants.


Est-ce que vous en avez d'autres a recommander ? Ses films post 2006 valent-ils le coup ? Il est un peu tombe dans l'oubli Spike.


J'avais plus apprécié He Got Game que toi, j'adore ce film. Et je te conseille Summer of Sam que je trouve également très bon.


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RegardZehef
posté 25/08/2017 15:11
Message #21231


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Citation (florian @ 25/08/2017 15:20) *
J'avais plus apprécié He Got Game que toi, j'adore ce film. Et je te conseille Summer of Sam que je trouve également très bon.


Merci. J'adore He Got Game aussi, juste trouve qu'il y avait un peu de facilites scenaristiques par rapport a ses autres films
Spoiler :
la copine salope, les mechants blancs qui veulent exploiter son talent, sans parler du scenario de base qui est un peu surrealiste
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bonda lover
posté 25/08/2017 18:04
Message #21232


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Citation (johncoltrane @ 25/08/2017 09:12) *
...



Tu devrais le mettre en spoilers. Le Monde a des bot qui parcourent le Web et cherchent des trucs de ce genre.

Des bons films récents à conseiller sur l'espace. J'ai vu Gravity et Interstellar en blockbuster.
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Beuzech
posté 25/08/2017 18:25
Message #21233


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Citation (bonda lover @ 25/08/2017 19:04) *
Tu devrais le mettre en spoilers. Le Monde a des bot qui parcourent le Web et cherchent des trucs de ce genre.

Des bons films récents à conseiller sur l'espace. J'ai vu Gravity et Interstellar en blockbuster.


Pas forcément très récent mais il y a Moon avec Sam Rockwell si tu l'as pas vu. Huis-clos efficace qui n'est pas sorti en salles en France.
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Houdini
posté 25/08/2017 19:27
Message #21234


SANDMAN ENTHUSIAST
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Un grand merci pour l'article. happy.gif


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Boulick
posté 25/08/2017 19:33
Message #21235


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Citation (bonda lover @ 25/08/2017 19:04) *
Tu devrais le mettre en spoilers. Le Monde a des bot qui parcourent le Web et cherchent des trucs de ce genre.

Des bons films récents à conseiller sur l'espace. J'ai vu Gravity et Interstellar en blockbuster.

Ca change rien du tout pour un bot que ce soit en spoiler
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Grifith
posté 26/08/2017 15:41
Message #21236


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Vu le Death Note de Netflix ou comment ruiner l'œuvre originale...
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Zorglub
posté 27/08/2017 00:02
Message #21237


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Citation (Grifith @ 26/08/2017 16:41) *
Vu le Death Note de Netflix ou comment ruiner l'œuvre originale...

Je viens de le voir aussi. Perdez pas votre temps. Même sans vouloir le comparer à l'anime, c'est un film de merde.


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"Que certains continuent de faire les rageux, mais dans 10 ans tout le monde aura oublié Messi parce qu'aussi beau à voir jouer, il est laid, teubé et inintéressant : il fera ambassadeur du Barça et on le verra lors des tirages aux sort du Barça avec ses costards cheum. Il se butera au Coca et restera assis sur son canapé parce qu'il n'est jamais sorti de sa zone de confort."@Filet-o-fish
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Mamadieu
posté 27/08/2017 02:11
Message #21238


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C'était nul neokill@h.gif pourtant c'est le réal de You're Next et The Guest on aurait pu s'attendre à mieux, là y'a même pas eu d'efforts on dirait un projet étudiant avec un peu de budget des acteurs amateur.

Alors que sur le papier Death Note ça devrait pas être difficile à adapter correctement.
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lausui
posté 27/08/2017 02:42
Message #21239


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Citation (RegardZehef @ 25/08/2017 15:15) *
Je suis dans un cycle Spike Lee :

Vus (ou revus) :

Mo' Better Blues : un affrontement musical Denzel/Wesley Snipes, un cameo de Samuel Lee Jackson, du son et du son, beaucoup aime. Un theme constant de Spike Lee est le type emmerde par la terre entiere.

Do the Right Thing : un classique, un film que j'ai trouve intelligent sur le(s) racisme(s) et la violence, sans lecons de morale et qui laisse le dernier mot au spectateur. Belle esthetique, un excellent Danny Aiello (apparition d'un tres jeune Martin Lawrence). Il a vraiment reussi a capturer une epoque dans ce film, la fin des 80s a Brooklyn.

Clockers : Je regrette de l'avoir vu avant The Wire, tant le theme est similaire. Mais quand meme un tres bon film.

He got game : Un propos un peu caricatural par moments, mais tres bon film.

Malcolm X : pas fan des biopics en general, belle performance de Denzel Washington et film agreable a voir. Je ne connais pas assez la vie du frere Malcolm pour juger de la pertinence du propos cela dit.

The 25th hour : premier film post 11 septembre de Spike Lee, en rupture avec ses films d'avant, (casting majoritairement blanc, qui ne se passe pas majoritairement a Brooklyn), avec Edward Norton, Philip Seymour Hoffman et Rosario Dawson wub.gif wub.gif . Tres reussi.

Inside Man : beaucoup plus Blockbuster que le reste de sa filmographie,je l'ai trouve reussi, avec un superbe twist final, et des dialogues amusants.


Est-ce que vous en avez d'autres a recommander ? Ses films post 2006 valent-ils le coup ? Il est un peu tombe dans l'oubli Spike.


Je te conseille vivement Jungle Fever! Ces derniers films sont moins bons effectivement. Chiraq avait un bon potentiel mais le film est assez chiant finalement.


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DelSpooner
posté 27/08/2017 23:48
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Citation (Mamadieu @ 27/08/2017 03:11) *
C'était nul neokill@h.gif pourtant c'est le réal de You're Next et The Guest on aurait pu s'attendre à mieux, là y'a même pas eu d'efforts on dirait un projet étudiant avec un peu de budget des acteurs amateur.

Alors que sur le papier Death Note ça devrait pas être difficile à adapter correctement.


C'était déjà pas ouf You're Next.

Et son "remake" de Blair Witch neokill@h.gif

Citation (lausui @ 27/08/2017 03:42) *
Je te conseille vivement Jungle Fever! Ces derniers films sont moins bons effectivement. Chiraq avait un bon potentiel mais le film est assez chiant finalement.


Je conseille pas son remake d'Old Boy par contre ph34r.gif

Même si ça aurait pu être plus honteux que ça.


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