Non mais eux ce sont clairement des abrutis...si ils mettent en place une stratégie d'équipe, ils doivent bousiller ce Tour...

Bousiller non, il manque un leader qui peut être régulier en Montagne, Landa craque trop souvent, mais ils doivent jouer le podium tout les ans. Après peut être qu'ils se satisfont du classement par équipe

C'est pour ça que c'était si dommage de voir Bernal choisir Sky et pas Movistar. On aurait pu avoir une vraie concurrence.


A noter, beaucoup d'équipe fanny, avec pour certains un tour fantomatique, Astana, EF, CCC, UAE (les plus décevant je pense), Trek, Sunweb (sauf miracle demain), Cofidis, Total, Katusha, Wanty, Dimension Data, Arkea.

Si on compte Ineos et Ag2r ça fait 14 équipes sur 22 sans victoires.

Bousiller non, il manque un leader qui peut être régulier en Montagne, Landa craque trop souvent, mais ils doivent jouer le podium tout les ans. Après peut être qu'ils se satisfont du classement par équipe

C'est pour ça que c'était si dommage de voir Bernal choisir Sky et pas Movistar. On aurait pu avoir une vraie concurrence.


A noter, beaucoup d'équipe fanny, avec pour certains un tour fantomatique, Astana, EF, CCC, UAE (les plus décevant je pense), Trek, Sunweb (sauf miracle demain), Cofidis, Total, Katusha, Wanty, Dimension Data, Arkea.

Si on compte Ineos et Ag2r ça fait 14 équipes sur 22 sans victoires.

J’ai jamais compris la dernière étape du tour
C’est une étape comme une autre. Pourquoi on considère toujours que le maillot jaune est acquis ?
Y’a moins d’une minute, il est écrit qu’on ne peut pas l’attaquer ?

Arkaa a Barguil qui a montré le maillot, je pense que ça leur suffit.

C'est impossible car les équipes de sprinteurs roulent trop fort pour que ça se finisse avec un sprint. Ca + l'équipe en jaune + profil merdique = infaisable.

Autre point important, les mecs sont rincés aussi.

On bloque déjà la France durant 3 semaines, on peut pas faire pareil à Paris pour finir

Pourquoi elle a commencé aussi tard cette dernière étape ?

On bloque déjà la France durant 3 semaines, on peut pas faire pareil à Paris pour finir

Le documentaire sur France 2 est pas mal, tu sens que Pinot à vraiment les boules sur la bordure à défoncer ses coéquipiers et staff a raison.

T'as gagné le tour on s'en bat mec

N'empêche, quand tu vois un classement aussi serré que cette année pour le podium, c'est dommage de faire X tours dans le circuit habituel alors qu'ils pourraient de temps en temps passer par les hauteurs de Paris et mettre un peu de piment dans tout ça. Même si évidemment rien de comparable avec les vraies étapes de puncheur.

J'aime bien le circuit classique parce qu'il rend bien à la télé, mais c'est dommage de ne jamais varier quoique ce soit.
Tu leur fais monter la rue de Ménilmontant, c'est sur que ce n'est pas le mur de Huy et qu'il y aurait encore quelques kms derrière pour redescendre vers les Champs mais ça peut être marrant quand même (en plus de faire de jolis plans aériens sur Paris) et permettre à des équipes peu vues d'avoir une dernière chance de montrer un peu le maillot.

C'est impossible car les équipes de sprinteurs roulent trop fort pour que ça se finisse avec un sprint. Ca + l'équipe en jaune + profil merdique = infaisable.

Autre point important, les mecs sont rincés aussi.

Les Italiens sur le Giro ne se seraient pas gênés.

Landa qui attaque pour empêcher Quintana d'aller prendre le maillot vive la Movistar

J'ai jamais aimé le système du point du maillot vert qui récompense le plus "montagnard" et le plus régulier des sprinteurs plutôt que le meilleur, mais bon.

Qu'il se prépare pour le Tour l'année prochaine et se batte avec Pinot pour la gagne.

On bloque déjà la France durant 3 semaines, on peut pas faire pareil à Paris pour finir

TOUR DE FRANCE: L'ÉNORME COUP DE PRESSION DE MADIOT SUR INEOS ET BERNAL

Après l'arrivée du Tour de France conclue sur la victoire finale d'Egan Bernal, Marc Madiot a lancé un sérieux avertissement à Ineos. Le manager général de la Groupama-FDJ prévient: Thibaut Pinot et son équipe seront là l'an prochain, pour affronter les "robots" Bernal ou Thomas.

C'est évidemment un message envoyé à la concurrence. Mais on y verrait bien également un nouvel encouragement adressé à Thibaut Pinot, en très bonne posture pour succéder au dernier vainqueur français en date Bernard Hinault, contraint à l'abandon sur blessure dans les Alpes. Après l'arrivée de la dernière étape du Tour de France ce dimanche et la victoire finale d'Egan Bernal, Marc Madiot donne rendez-vous avec une certaine rage.

"Ce qui compte pour moi, ce sont les projections vers 2020, 2021 ou 2022, insiste le manager général de la Groupama-FDJ sur RMC. Il n'y a pas d'année ou jamais. Quand on a mis le pied dans la porte et qu'on ne la laisse pas se refermer, tout est possible. A partir de l'année prochaine, on va rentrer dans un nouveau match. Oui, Ineos est fort et a de gros moyens. Oui, ils ont de grands coureurs. Mais ils n'ont pas la même façon d'aborder le sujet Tour de France que nous." En clair: les humains contre les machines.

"Il faut que cela rentre bien dans le crâne de Bernal"

"Eux l'abordent avec un certain machiavélisme, des certitudes robotisées. Nous, on arrive avec de l'enthousiasme, une âme, de l'espérance, un destin, résume Marc Madiot. Et on se met à y croire. Et quand on croit à quelque chose, c'est parfois plus fort que ce que peuvent déterminer les ordinateurs. Parce que le mental, on s'en rend compte, peut jouer un rôle déterminant. Aujourd'hui, on a compris qu'ils n'étaient peut-être pas plus forts que nous. Le seul qui a largué Bernal à la pédale, c'est Pinot. Il faut que cela rentre bien dans le crâne de Bernal pendant une année. Et on sera sur la ligne de départ l'année prochaine."

"On est capables de compenser avec autre chose"

Malgré la déception finale compte tenu de l'état de forme de Thibaut Pinot, vainqueur sur le Tourmalet, Marc Madiot estime que l'équipe a progressé. Et qu'elle connaît désormais le chemin à suivre. "On avait déjà passé le cap l'an dernier. Cela ne s'est pas vu dans le résultat brut parce qu'il (Pinot) a abandonné le dernier jour du Giro mais à 24 heures de l'arrivée, on avait trois coureurs dans le top 20, on était troisièmes par équipes et on était sur le podium. Cette année, on était à peu près dans la même situation", estime-t-il.

"Il nous reste deux coureurs dans le top 20, poursuit Marc Madiot. On a reculé un peu au classement par équipes mais on était dans le match. On a été très compétitifs, notamment sur le chrono par équipes. C'est vrai qu'on n'a pas les mêmes moyens ou la même force brute qu'Ineos mais on est capables de compenser avec autre chose. Je suis persuadé que ça va le faire à un moment ou un autre." Rendez-vous en 2020.