Il n'y avait rien d'hautain, où alors je me suis mal exprimé. Je voulais simplement vous faire partager ma vision de ce contexte que je suis amené à côtoyer. Je n'ai pas justifié son comportement, simplement tenté de comprendre son mode de raisonnement. Et de ce point de vue, celui des journalistes me dégoute davantage. Pour moi, il y a clairement eu intrusion dans la vie du groupe. Comme l'a dit à juste titre Domenech, si la France l'avait finalement emporté, est-ce que cette histoire serait sortie de la même façon ? Assurément pas. Comme l'intitulait TELEFOOT dans son reportage, la presse a clairement franchi un palier dans la couverture des évènements sportifs. Et pour moi, ça devient malsain. Vous n'allez pas contester le fait que Ribery en a pris plein la gueule entre l'affaire Zahia et ce qui se passe aujourd'hui. Il a beau etre sur médiatisé, il restera de toute façon un abruti fini, incapable d'aligner trois mots. Sur comme en dehors du terrain, il a fait des erreurs, mais ça ne mérite pas un tel déchainement. Pour moi, l'acharnement médiatique actuel ne peut qu'aboutir à des choses négatives pour tout le monde. Mettez vous 5 minutes à la place de Ribery, Domenech ou Anelka, ou pire, de leur famille. Ils ont beau être le plus mauvais du monde dans leur métier, ils n'ont tué personne. Comme souvent dans le football, les médias n'arrivent pas à dépassionner et relativiser la porter de leurs propos.

Il n'y avait rien d'hautain, où alors je me suis mal exprimé. Je voulais simplement vous faire partager ma vision de ce contexte que je suis amené à côtoyer. Je n'ai pas justifié son comportement, simplement tenté de comprendre son mode de raisonnement. Et de ce point de vue, celui des journalistes me dégoute davantage. Pour moi, il y a clairement eu intrusion dans la vie du groupe. Comme l'a dit à juste titre Domenech, si la France l'avait finalement emporté, est-ce que cette histoire serait sortie de la même façon ? Assurément pas. Comme l'intitulait TELEFOOT dans son reportage, la presse a clairement franchi un palier dans la couverture des évènements sportifs. Et pour moi, ça devient malsain. Vous n'allez pas contester le fait que Ribery en a pris plein la gueule entre l'affaire Zahia et ce qui se passe aujourd'hui. Il a beau etre sur médiatisé, il restera de toute façon un abruti fini, incapable d'aligner trois mots. Sur comme en dehors du terrain, il a fait des erreurs, mais ça ne mérite pas un tel déchainement. Pour moi, l'acharnement médiatique actuel ne peut qu'aboutir à des choses négatives pour tout le monde. Mettez vous 5 minutes à la place de Ribery, Domenech ou Anelka, ou pire, de leur famille. Ils ont beau être le plus mauvais du monde dans leur métier, ils n'ont tué personne. Comme souvent dans le football, les médias n'arrivent pas à dépassionner et relativiser la porter de leurs propos.

Il n'y avait rien d'hautain, où alors je me suis mal exprimé. Je voulais simplement vous faire partager ma vision de ce contexte que je suis amené à côtoyer. Je n'ai pas justifié son comportement, simplement tenté de comprendre son mode de raisonnement. Et de ce point de vue, celui des journalistes me dégoute davantage. Pour moi, il y a clairement eu intrusion dans la vie du groupe. Comme l'a dit à juste titre Domenech, si la France l'avait finalement emporté, est-ce que cette histoire serait sortie de la même façon ? Assurément pas. Comme l'intitulait TELEFOOT dans son reportage, la presse a clairement franchi un palier dans la couverture des évènements sportifs. Et pour moi, ça devient malsain. Vous n'allez pas contester le fait que Ribery en a pris plein la gueule entre l'affaire Zahia et ce qui se passe aujourd'hui. Il a beau etre sur médiatisé, il restera de toute façon un abruti fini, incapable d'aligner trois mots. Sur comme en dehors du terrain, il a fait des erreurs, mais ça ne mérite pas un tel déchainement. Pour moi, l'acharnement médiatique actuel ne peut qu'aboutir à des choses négatives pour tout le monde. Mettez vous 5 minutes à la place de Ribery, Domenech ou Anelka, ou pire, de leur famille. Ils ont beau être le plus mauvais du monde dans leur métier, ils n'ont tué personne. Comme souvent dans le football, les médias n'arrivent pas à dépassionner et relativiser la porter de leurs propos.

L'équipe.fr

L’exclu et la taupe…

L’exclusion de Nicolas Anelka a jeté un trouble à l’hôtel Pezula, où la recherche de la « taupe » est devenue une obsession.

La FFF a annoncé hier, en milieu d’après-midi, l’exclusion de Nicolas Anelka à cause des propos injurieux proférés contre son sélectionneur à la mi-temps de France-Mexique. Depuis, un seul sujet obsède les Bleus : trouver le « traître » qui serait parmi eux. À trois jours du match contre l’Afrique du Sud, l’ambiance est morose au Pezula.

KNYSNA – (AFS)

de notre envoyé spécial

À LEUR RÉVEIL hier matin, les joueurs de l’équipe de France se sont trouvé un nouvel objectif, presque aussi accessible pour eux que de remporter la Coupe du monde cette année : débusquer la « taupe ». Le miracle d’une qualification pour les huitièmes de finale est un sujet relégué au second rang des conversations. La préoccupation des joueurs ? Qui a parlé, qui a délivré ce qui aurait dû rester un secret de vestiaire ? Qui est le « traître » ? « Parce qu’il y a un traître parmi nous », a pesté Patrice Évra en conférence de presse, un peu plus tard dans la soirée (lire par ailleurs). L’utilisation du singulier ne révèle qu’une vision parcellaire de ce qu’est leur quête. Car la divulgation dans ces colonnes des propos tenus par Nicolas Anelka à la mi-temps de France-Mexique (0-2), jeudi, ne s’appuie pas, c’est évident, sur un témoignage unique. Mais au moins l’espace d’une journée, après la lecture de L’Équipe – oui, les Bleus lisent bien la presse –, la chasse au « traître » est devenue une priorité dans les quartiers du Pezula.

À trois jours d’un troisième match de poules qui pourrait bien être son dernier dans cette compétition, voilà l’équipe de France plongée dans un climat de défiance à en rendre jaloux un joueur du PSG. Difficile, aujourd’hui, de répéter en chœur que ce « groupe est sain », qu’il « vit bien » lorsque ceux qui le composent se regardent l’œil en coin et se demandent si ce n’est pas « l’autre » qui a fait « fuiter » les insultes d’un joueur à l’endroit de son sélectionneur. Cela n’aurait jamais dû sortir du vestiaire, répètent-ils.

L’attaquant de Chelsea serait sans doute encore avec eux ce matin. Car son exclusion n’aurait vraisemblablement jamais été prononcée si ses paroles n’avaient pas barré la une de ce quotidien. Pourquoi avoir attendu près de deux jours avant de le sanctionner ? Parce que le président Jean-Pierre Escalettes n’en a eu connaissance que tard, vendredi soir, prétexte-t-il. Cela devait alors être très tard.

Tous saluent Domenech, sauf Anelka

À 22 h 45, il sortait d’un restaurant sur les quais de Knysna où il avait dîné avec Roselyne Bachelot, la ministre de la Santé et des Sports, ses conseillers et Jean-Louis Valentin, le directeur général adjoint de la Fédération. À le voir souriant, décontracté, il n’avait pas l’air embarrassé par une quelconque affaire. « Tant que ça ne sortait pas… », avoue-t-on du côté du Pezula.

Elle est devenue un soupçon plus gênante au petit déjeuner. Entre Raymond Domenech et Nicolas Anelka, la tension n’avait pas baissé d’un cran, hier matin. À la réunion quotidienne de 11 h 30 entre l’effectif et le staff, juste après les soins, tous saluent le sélectionneur dans le hall de l’hôtel sauf l’avant-centre des Bleus, qui passe devant lui sans un regard. Quelques minutes plus tôt, les joueurs s’étaient réunis et avaient décidé de ne plus s’exprimer devant la presse dans les prochains jours. Patrice Évra, le capitaine, ne savait pas encore qu’il devrait très vite déroger à la règle.

En tout début d’après-midi, les dirigeants de la FFF, dont Jean-Pierre Escalettes et Jean-Louis Valentin, se réunissent dans un salon de l’hôtel. Puis Anelka, accompagné d’Évra, est invité à les rejoindre. Il lui est demandé des excuses publiques ainsi qu’envers le sélectionneur et ses coéquipiers. Seule la dernière requête est acceptée. Dans ces conditions, la FFF estime qu’elle n’a plus le choix et doit prononcer l’exclusion d’Anelka de la sélection. Domenech, qui se dirige vers le stade d’entraînement avec ses joueurs, est tenu informé de cette décision vers 16 heures.

La séance durera près d’une heure et demie et Évra ne l’intégrera jamais. Le capitaine des Bleus est resté au côté d’Anelka et cherche à le persuader de s’excuser un peu plus largement que ce qu’il a concédé. Mais ses arguments glissent sur l’entêtement de son coéquipier. Il préfère partir avec ses idées. À 17 heures, son exclusion est officialisée. Une heure et quarante-cinq minutes plus tard, une conférence de presse est organisée à Knysna, où Jean-Pierre Escalettes confirme tout. À sa gauche, Patrice Évra, regard sombre, assure que l’intégralité de l’équipe était contre cette sanction et qu’elle en veut davantage au fameux « traître » qu’au futur exclu. La nuit est tombée sur l’hôtel Pezula. Ce matin, un avion devrait ramener Anelka chez lui. À Londres.

DAMIEN DEGORRE

Il n'y avait rien d'hautain, où alors je me suis mal exprimé. Je voulais simplement vous faire partager ma vision de ce contexte que je suis amené à côtoyer. Je n'ai pas justifié son comportement, simplement tenté de comprendre son mode de raisonnement. Et de ce point de vue, celui des journalistes me dégoute davantage. Pour moi, il y a clairement eu intrusion dans la vie du groupe. Comme l'a dit à juste titre Domenech, si la France l'avait finalement emporté, est-ce que cette histoire serait sortie de la même façon ? Assurément pas. Comme l'intitulait TELEFOOT dans son reportage, la presse a clairement franchi un palier dans la couverture des évènements sportifs. Et pour moi, ça devient malsain. Vous n'allez pas contester le fait que Ribery en a pris plein la gueule entre l'affaire Zahia et ce qui se passe aujourd'hui. Il a beau etre sur médiatisé, il restera de toute façon un abruti fini, incapable d'aligner trois mots. Sur comme en dehors du terrain, il a fait des erreurs, mais ça ne mérite pas un tel déchainement. Pour moi, l'acharnement médiatique actuel ne peut qu'aboutir à des choses négatives pour tout le monde. Mettez vous 5 minutes à la place de Ribery, Domenech ou Anelka, ou pire, de leur famille. Ils ont beau être le plus mauvais du monde dans leur métier, ils n'ont tué personne. Comme souvent dans le football, les médias n'arrivent pas à dépassionner et relativiser la porter de leurs propos.

dans l'Equipe aujourd'hui

On est tous d'accord là dessus. Mais qui n'a jamais balancé deux mots maladroits dans un excès de colère et de pression? Comme on dit, l'erreur est humaine. Anelka en a fait une, il a eu l'opportunité de s'excuser, il l'a refusée, il a été sanctionné (expulsion). Tout devrait (normalement) s'arrêter là, comme a tenté de l'expliquer Domenech. Mais non, on dirait que les médias et l'opinion publique en veulent plus. Perte de ses sponsors, retraite internationale...demain on aura droit à une demande de travaux d'intérêt généraux, de la prison par un élu en quête de notoriété et désireux de se faire mousser sur fond de populisme (cf le maire de Lens après l'affaire de la banderole).. La machine médiatique s'emballe et la vindicte populaire est tout simplement ridicule. Aujourd'hui, je suis sûr que si le sondage L'Équipe demandait : "faut-il rétablir la peine de mort pour Anelka", certains voteraient oui comme ils ont voté pour la dissolution du PSG il y a quelques mois.

On critique la presse britannique, mais on y vient petit à petit. Même s'ils ont profité du système, dites-moi quel homme est capable de supporter une telle haine de tout un pays pour des raisons finalement futiles : une erreur professionnelle

On critique la presse britannique, mais on y vient petit à petit. Même s'ils ont profité du système, dites-moi quel homme est capable de supporter une telle haine de tout un pays pour des raisons finalement futiles : une erreur professionnelle

Aujourd'hui, je suis sûr que si le sondage L'Équipe demandait : "faut-il rétablir la peine de mort pour Anelka", certains voteraient oui comme ils ont voté pour la dissolution du PSG il y a quelques mois.

Tu vas un peu loin là , non ?

Tu vas un peu loin là , non ?

Mettez vous 5 minutes à la place de Ribery, Domenech ou Anelka, ou pire, de leur famille. Ils ont beau être le plus mauvais du monde dans leur métier, ils n'ont tué personne. Comme souvent dans le football, les médias n'arrivent pas à dépassionner et relativiser la porter de leurs propos.

On est tous d'accord là dessus. Mais qui n'a jamais balancé deux mots maladroits dans un excès de colère et de pression? Comme on dit, l'erreur est humaine. Anelka en a fait une, il a eu l'opportunité de s'excuser, il l'a refusée, il a été sanctionné (expulsion). Tout devrait (normalement) s'arrêter là, comme a tenté de l'expliquer Domenech. Mais non, on dirait que les médias et l'opinion publique en veulent plus. Perte de ses sponsors, retraite internationale...demain on aura droit à une demande de travaux d'intérêt généraux, de la prison par un élu en quête de notoriété et désireux de se faire mousser sur fond de populisme (cf le maire de Lens après l'affaire de la banderole).. La machine médiatique s'emballe et la vindicte populaire est tout simplement ridicule. Aujourd'hui, je suis sûr que si le sondage L'Équipe demandait : "faut-il rétablir la peine de mort pour Anelka", certains voteraient oui comme ils ont voté pour la dissolution du PSG il y a quelques mois.

On critique la presse britannique, mais on y vient petit à petit. Même s'ils ont profité du système, dites-moi quel homme est capable de supporter une telle haine de tout un pays pour des raisons finalement futiles : une erreur professionnelle

Je viens de voir Ribéry, il m'a fait limite de la peine...
J'ai l'impression que l'entraineur est complètement dépassé, il est surtout la le problème. Après soit c'est un bon acteur, en tout cas moi je l'ai cru Ribéry et je pense qu'il y a eu pas mal d'artifices!

Quel fiasco quand même...

dans l'Equipe aujourd'hui