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Dubdadda
posté 04/09/2012 14:53
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Est-il encore possible pour un jeune de réussir au PSG?

Le rachat du club parisien par les milliardaires du Qatar et leur propension à construire une équipe de niveau international à coups de recrutements chocs et dispendieux a bouleversé la donne et les perspectives d’avenir des jeunes en formation au sein du club.

« On travaille pour que les joueurs qui intégreront l’effectif dans les années qui viennent soient issus de notre centre de formation. Je ne crois pas que le club ait intérêt à recruter trois ou quatre joueurs de top niveau tous les ans… » Ces mots, prononcés il y a quelques semaines par Carlo Ancelotti, l’entraîneur du PSG, ont sûrement eu une résonance particulière pour les jeunes joueurs actuellement en formation au club.

Pourquoi le PSG perd ses pépites

Vœu pieu ou réelle ambition? Pour l’heure, on est en tout cas encore très loin du schéma annoncé par le coach italien. Les propriétaires qatariens, pressés, ont dépensé en à peine un an près de 170 M€ sur le marché des transferts et déjà poussé vers la sortie bien des jeunes issus de la formation du PSG. Dans ce nouveau contexte, est-il aujourd’hui vraiment concevable pour un jeune, comme l’imagine Ancelotti, de percer dans son club?

NON

La politique de stars nuit à l’éclosion des jeunes
Elle semble bien loin l’époque où Paul Le Guen lançait d’un seul coup Sakho (capitaine pour l’occasion), Arnaud, Sankharé, N’Gog et N’Goyi dans le grand bain, un soir de championnat, le 20 octobre 2007 à Valenciennes. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts de la Seine. Aujourd’hui, on ne prend pas impunément, à 17 ou 18 ans, la place d’un Ibrahimovic, d’un Nene ou d’un Ménez. La part dévolue aux joueurs formés au club au sein de l’effectif actuel (seulement 5 sur 32 éléments) confirme totalement cette tendance.

Les critères de qualité revus à la hausse
L’arrivée de la nouvelle direction a aussi modifié la donne en termes de formation. « Le niveau d’exigence a changé, c’est logique, confirme Bertrand Reuzeau, le directeur du centre de formation. Maintenant, la barre est plus haut. Si je conduis une R12 ou une Ferrari, on ne me demandera pas le même temps au tour. Ceux qui sont exceptionnels intégreront le groupe pro, les autres iront ailleurs, malheureusement. » Dans les prochaines années, le PSG risque donc de former surtout des joueurs qui alimenteront finalement d’autres clubs sans jamais avoir porté chez les pros le maillot parisien.

Les talents sont déjà poussés vers la sortie
Ce phénomène de formation à destination de la concurrence semble déjà en marche. La totalité des pensionnaires de la génération née en 1992, arrivée à maturité, a ainsi quitté l’Ile-de-France cet été. C’est le cas, entre autres, d’Alassane Tambe, Jimmy Kamghain (Courtrai, L1 belge) ou de Mohamed Diarra (Odense, L1 danoise), laissés libres à la fin de leur contrat de stagiaire pro. Pis! Certains n’ont même pas attendu la fin de leur cycle de formation pour s’expatrier. On pense ici à Ilan Boccara (19 ans; Ajax Amsterdam, L1 néerlandaise) ou Moussa Dembélé (16 ans; Fulham, Angleterre), qui ont quitté le PSG en juillet. « Ça va devenir difficile de s’imposer ici (à Paris) », pensait d’ailleurs Boccara, avant de faire ses valises pour les Pays-Bas.

OUI

Rabiot montre la voie
Il y a une semaine, une surprise de taille s’est glissée dans la composition de l’équipe parisienne appelée par Ancelotti à affronter Bordeaux, le lendemain. Elle se nomme Adrien Rabiot. Le milieu de 17 ans est devenu le 2e plus jeune joueur à être titularisé avec le PSG en championnat, après Bartholomew Ogbeche (2001). Si ce choix a surpris beaucoup d’observateurs, il montre en tout cas que la porte de l’équipe fanion n’est pas fermée à double tour pour la nouvelle génération.

Une génération pleine de promesses arrive
La génération 1992 arrivant en fin de cycle, les clés de la formation jouant en CFA ont été confiées à des jeunes de qualité âgés de 17 à 19 ans. La plupart évoluent en équipes de France depuis plusieurs années et certains, comme Pierre Bourdin ou Hervin Ongenda, ont été finalistes du Championnat de France U19 la saison passée. « On ne gagne pas par hasard les titres qu’ils ont acquis, remarque Franck Rizzetto, le coach de la réserve du PSG. Notre rôle à nous est de les amener au plus haut niveau et j’espère que ce sera au PSG. »

La formation est une nécessité réglementaire
La volonté formatrice affichée par la direction sportive du club est aussi rendue obligatoire par le règlement de l’UEFA. En Ligue des champions, la liste de 25 joueurs déposée doit, en effet, contenir au moins huit joueurs formés sur le sol français, dont quatre devant être issus du centre de formation du club en question. Cet été, Carlo Ancelotti a d’ailleurs lâché que le PSG souhaitait conserver Mamadou Sakho aussi parce qu’« il a été formé au club et que c’est important pour la Ligue des champions ».


Le Parisien
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Homer
posté 07/09/2012 09:34
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Les filles joueront à Charléty

Pour son équipe féminine aussi, le PSG nourrit de grandes ambitions. Son budget est passé cet été de 1 M€ à 4,5 M€. Ces fonds proviennent en grande partie du sponsoring maillot : Al-Jazira a laissé la place à sa filiale française BeIN Sport pour un montant compris entre 800 000 et 1 M€. L’objectif est de se qualifier pour la Ligue des champions dès la saison prochaine.
Désormais, les Parisiennes s’entraînent à Bougival dans un centre dédié et elles joueront neuf de leurs matchs à domicile au stade Charléty. L’effectif et le staff ont été renforcés. Autour de la Française Laure Boulleau, on retrouve notamment deux internationales allemandes très expérimentées (Bresonik et Krahn).

Les vingt et une joueuses de l’effectif sont désormais professionnelles à 100%. Cependant, leurs revenus restent très loin de ceux des hommes : la plupart perçoivent entre 1 500 et 3 500 € mensuels…


Le Parisien.fr

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Les nouvelles ambitions des féminines

FOOTBALL - En présence de son directeur général, Jean-Claude Blanc, le PSG a présenté son équipe féminine et les futurs projets de Qatar Sports Investments...

Après le recrutement galactique réalisé par le club de la capitale cet été et le rachat du PSG handball il y a quelques mois, les dirigeants parisiens sont passés à la vitesse supérieure avec l’équipe féminine. «Le football féminin français a besoin de grands clubs capables de lutter sur la scène internationale. Il y a un effort réalisé depuis deux ans au PSG, c’était le moment de franchir un palier», entame Jean-Claude, le directeur général du club. La révolution a donc été opérée à l’intersaison avec quatre grandes manœuvres. L’équipe féminine possède désormais son propre staff, un coach de renom (Farid Benstiti) et un stade fixe (elles joueront à Charléty). Des nouveautés qui lui permettent d’être aujourd’hui la seule équipe professionnelle de première division avec l’Olympique Lyonnais.

«Objectif Ligue des champions»

Au moment d’évoquer les ambitions du Paris Saint-Germain pour la saison à venir, le nouveau coach parisien préfère rester sur ses gardes: «Il est encore trop tôt pour parler du titre. Le plus important, c’est le projet, il faut poursuivre dans cette voie». Avec l’investissement réalisé par le club pendant cette intersaison, la qualification en Ligue des champions reste une obligation. Surtout que Jean-Claude Blanc a longuement insisté sur son importance: «Si nous avons décidé de faire venir Farid (Benstiti), c’est pour son expérience et son palmarès. Il a côtoyé le haut niveau et nous avons pour ambition, dans un avenir proche, de remporter la Ligue des champions». Le PSG s’est donc donné les moyens de ses ambitions avec un technicien expérimenté. Et du côté de l’effectif, la grande espoir américaine Lindsay Horan est venue s’ajouter aux arrivées de Shirley Cruz, Linda Bresonik ou encore Annike Krahn.

Le PSG ne veut pas s’arrêter là


«On sent une volonté de faire grandir le club. Moi qui suis au PSG depuis très longtemps puisque j’entame ma huitième saison, je vois vraiment la différence, j’ai hâte que la saison commence». Laure Boulleau, latérale gauche internationale regarde le projet du Paris Saint-Germain avec beaucoup d’enthousiasme. Même son de cloche pour sa coéquipière Sabrina Delanoy pour qui «Toutes les conditions sont réunies pour faire de grandes choses». Avec le développement de son équipe féminine, les investisseurs qataris font définitivement de Paris une ville où il fait bon être footballeur. Et depuis quelques semaines, le PSG Handball est entré dans le monde merveilleux de QSI et vu des stars internationales débarquer. Un début à en croire Jean-Claude Blanc: «Il est important d’avoir des équipes de références dans une grande ville. Les prochaines années, le PSG regardera ailleurs, il en a la capacité. Mais il faut marcher avant de courir, rien ne sert de se précipiter».


20 Minutes.fr Edition Paris

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Nouvelle ère pour la section féminine

Avant d’attaquer le championnat dimanche prochain, la section féminine du club a lancé officiellement sa saison devant la presse, ce jeudi, au Parc des Princes. Compte-rendu et grandes lignes d’une nouvelle ère qui s’annonce.

Nouveau staff et recrutement de standing, à l’image de leurs homologues masculins, les féminines Rouge et Bleu sont entrées dans une nouvelle dimension à l’intersaison. Une période estivale qui aura vu la cellule féminine du club largement redessinée. Sur la forme d’abord, avec l’arrivée dans la capitale d’un nouveau technicien, l’expérimenté Farid Benstiti. Côté terrain, les internationales allemandes Linda Bresonik et Annike Krahn, mais aussi la Costaricienne Shirley Cruz, pour ne citer qu’elles, devraient également permettre à l’équipe fanion féminine de passer un nouveau cap.

C’est en substance le message envoyé devant les médias par Farid Benstiti, d’attaque pour goûter à cette aventure parisienne : « C’est le début d’une belle aventure, et la philosophie proposée ici me correspondait en tout point. A savoir professionnaliser cette section, avec en ligne de mire le projet d’être compétitif sur les scènes française et internationale. »

Professionnalisation qui rime avec ambitions

L’entraîneur des Parisiennes, qui renoueront dimanche prochain avec la D1 féminine à Guingamp (16h), assure disposer de talents lui permettant de construire le puzzle idéal. Un effectif et des structures à même de répondre aux exigences du plus haut niveau, témoins d’une volonté du club de la capitale de jouer les tous premiers rôles dans un futur proche.

Un objectif clairement affiché par Jean-Claude Blanc, Directeur Général Délégué du Paris Saint-Germain : « Le club a fait des efforts pour aider l’équipe à passer un cap. Le Paris Saint-Germain est en route pour construire un grand club d’Europe. Un grand club qui se veut exemplaire au niveau de ses infrastructures, ses formateurs, ou encore concernant l’encadrement technique. Le football féminin est un élément très important de cette stratégie et nous avons voulu nous donner les moyens d’y parvenir. »

Bougival à l’entraînement, Charléty à domicile

Dans les faits, cette stratégie se matérialise par un nouveau cadre de travail quotidien pour le groupe féminin, doublé d’un nouveau terrain de jeu à domicile, comme le détaille Philippe Boindrieux, Directeur Général adjoint du club, en charge de la section féminine du Paris Saint-Germain : « On entame un nouveau cycle. Les filles s’entraînent désormais à Bougival, dans un centre d’entraînement qui leur est spécialement dédié. Il y avait une vraie volonté commune avec la Mairie de Paris d’ancrer cette équipe dans la capitale, et nous jouerons donc au moins 9 de nos 11 matches de championnat à domicile au Stade Charléty. »

Un souci de professionnalisation donc, concrétisé par la signature d’un contrat fédéral par chacune des 21 joueuses de l’effectif.

Les principales protagonistes d’ailleurs prêtes à relever défi, en témoigne Sabrina Delannoy, capitaine historique des Rouge et Bleu : « Les ambitions du club ont bien évolué, toutes les conditions sont réunies pour avancer. Jouer aux côtés de joueuses de standing va forcément faire avancer le groupe, et notamment les plus jeunes. »

Un optimisme partagé par Laure Boulleau, autre cadre du club, à l’aube de sa huitième saison sous les couleurs parisiennes : « On sent une avancée certaine, une volonté de franchir d’autres paliers, au niveau national et donc de participer à la Champions League rapidement. »

Parole d’internationale…

PSG.FR


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Homer
posté 07/09/2012 12:34
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Lindsay Horan s'invite chez les grandes


La joueuse du PSG, Lindsey Horan, lors de sa présentation avec son nouveau maillot, le 6 septembre 2012 à Paris V.Wartner/20minutes

FOOTBALL - Recrutée par le PSG à seulement 18 ans, elle symbolise les nouvelles ambitions du club...

Son arrivée dans le championnat de France suffit à elle-même pour illustrer les nouvelles ambitions du PSG. Lindsay Horan, 18 ans, débarque au PSG avec le statut de grand espoir du football américain. «Par rapport au projet du club, il était logique de recruter une telle joueuse. Lorsqu’on connaît la qualité du football aux Etats-Unis, c’est une vraie garantie», explique Farid Benstiti, le nouvel entraîneur du club de la capitale. La jeune internationale des moins de 20 ans n’est pas encore une star à proprement parler mais son potentiel entrevu en sélection laisse à penser que le PSG tient là une véritable pépite. «Je vais faire de mon mieux. Je ne pense pas à moi, je suis là pour aider l’équipe», commence l’attaquante parisienne.

«Une opportunité énorme»

Le PSG a réussi à attirer la gâchette américaine (10 buts en 12 apparitions avec les moins de 20 ans) malgré l'intérêt des universités locales. «Je m’étais engagée avec l’Université de Caroline du Nord. Puis quand Paris s’est manifesté, je ne pouvais pas refuser une opportunité aussi énorme. J’ai le temps de continuer les études plus tard», raconte Lindsay Horan. Une chance unique pour une joueuse aussi jeune, tant au niveau du projet que de l’aspect financier. Pour la convaincre de rallier la France, le PSG n’a pas lésiné sur les moyens. A peine majeure, la nouvelle attaquante parisienne toucherait 120.000 euros par mois. Un salaire dix fois supérieur à ce que touche actuellement Lotta Schelin à Lyon, joueuse la mieux payée du championnat. «Nous avons une capacité d’investissements plus rapide que les autres, il fallait en profiter pour passer un cap et recruter des joueuses de très haut niveau», explique Jean-Claude Blanc, le directeur général du club.

«J’ai vu des matchs de l’OL et de l’équipe de France»

Bien renseignée, la jeune pépite a mis toutes les chances de son côté pour débarquer en terrain connu. «Au moment même où les dirigeants m’ont contactée, je suis venue deux ou trois fois à Paris. C’était important de connaître un peu la ville avant de faire le grand saut», précise-t-elle. Grande fan de football, Horan arrive également dans un club et un championnat dont elle avait déjà beaucoup entendu parler. «J’aime le football, je savais où je mettais les pieds. J’avais déjà vu des matchs de l’Olympique Lyonnais et de la sélection nationale par exemple. Puis je sais forcément ce qu’il se passe du côté de l’équipe masculine du PSG». Attendue comme la future Alex Morgan (49 sélections, 31 buts) aux Etats-Unis, Lindsay Horan devra désormais soutenir la comparaison au PSG avec son homologue masculin Zlatan Ibrahimovic. Le géant suédois n’a eu besoin que de quelques minutes pour s’illustrer, de quoi donner des idées à la nouvelle attaquante du club de la capitale.

20 Minutes.fr


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Titipi
posté 09/09/2012 07:48
Message #164


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Ici aussi, Paris grandit

Budget triplé, effectif professionnalisé, nouveau centre d’entraînement : le PSG a entamé sa mutation. Et entend contester l’hégémonie lyonnaise dans un Championnat qui redémarre aujourd’hui.

CE N’EST MÊME pas une blague, juste un clin d’œil ironique. L’équipe féminine du PSG s’entraîne depuis le début de saison au centre sports et loisirs de… la Banque de France de Bougival, dans les Yvelines. Les Parisiennes, habituées depuis des années à partager leur terrain avec les jeunes du centre de formation, à Saint-Germain-en-Laye, ont enfin un lieu, cossu, qui leur est dédié. Et c’est plus qu’un
symbole. La volonté (récente) des dirigeants qatariens, arrivés il y a quatorze mois à la tête du club parisien, d’investir dans la section féminine, a permis d’augmenter le budget de 1,2 M€ l’an passé à 4,5 M€ cette saison (celui de Lyon est estimé entre 5,5 M€ et 6 M€). L’effectif, lui, comprend vingt et une joueuses sous contrat fédéral à temps plein quand, lors de l’exercice précédent, seules sept joueuses en bénéficiaient, parfois à temps partiel, avec un salaire maximal de 1 500 €. Aujourd’hui, plus aucune Parisienne ne travaille. Celles qui avaient une activité professionnelle en parallèle n’ont pas trop eu le choix et ont dû démissionner pour être de l’aventure… Car les dirigeants veulent « passer un cap » comme l’a rappelé le directeur délégué du club, Jean-Claude Blanc, s’appuyant sur le modèle de l’OL féminin de Jean-Michel Aulas.

Jean-Claude Blanc : « Ce n’est pas une mode… »

Les coéquipières de Sabrina Delannoy goûtent donc au tout-professionnel, avec un staff élargi, un stade fixe pour les matches (Charléty), des conditions d’entraînement et de déplacement dont les plus anciennes n’auraient jamais osé rêvé il y a quelques années. « Cela n’avait rien à voir, se souvient la capitaine Delannoy. Aujourd’hui, l’idée est de faire progresser tout le monde en côtoyant de grandes joueuses. »

Si Farid Benstiti, le nouvel entraîneur (45 ans), s’appuie sur une grande partie du groupe de l’an dernier, il l’a renforcé par des pointures comme la Costaricienne Shirley Cruz (qui a le même contrat qu’à l’OL, son ancien club) ou l’Allemande Linda Bresonik (voir par ailleurs). Et celui qui a remporté quatre Championnats avec Lyon (de 2007 à 2010) et perdu la première finale de la Ligue des champions en 2010, ne s’interdit plus de rêver à ce qui se fait de mieux au monde pour compléter son effectif : l’Américaine Abby Wambach, la Canadienne Christine Sinclair… Elles sont dans son viseur et dans les cordes de l’actionnaire. « Même si ce n’est pas dans ses gènes, c’est important que le PSG ait une équipe féminine de qualité », insiste Blanc. Un joli coup de pub gratuit alors que le football féminin n’a jamais été aussi médiatisé et populaire ? « Le programme de développement était lancé (avant l’arrivée des Qatariens) mais nous avons la chance d’avoir la capacité (financière) d’accélérer ce mouvement. Ce n’est pas une mode mais un train qui était déjà en route. »

L’an passé, les Parisiennes devaient pourtant encore faire l’aumône pour les primes ou se débrouiller avec 50 € par match pour la collation… Mais vendredi, après l’entraînement, elles ont pris le même bus que les coéquipiers de Zlatan Ibrahimovic, direction Guingamp, pour l’ouverture de la saison, aujourd’hui. Comme des pros.

YOHANN HAUTBOIS


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Aulas : « Je ne m’y serais pas pris de cette manière »

LA DIMENSION prise par le PSG suscite à la fois fascination et crainte. Chez les « petits » comme Guingamp (300 000 euros de budget, cinq contrats fédéraux), qui accueille les Parisiennes aujourd’hui, on ne s’avance pas en victimes. « On espère les titiller sur une mi-temps, même les battre », sourit Marlène Bouedec, la manager générale du club. À Juvisy, Marie-Christine Terroni, présidente de cette équipe semi-professionnelle, vice-championne de France derrière l’OL, la saison passée, et qualifiée pour la Ligue des champions, assure : « Cela aurait été dommage que le PSG ne se donne pas les moyens d’avoir une grosse équipe. Maintenant, oui, cet argent peut corrompre l’état d’esprit de la discipline, ce côté bling-bling peut endommager l’image du foot féminin. » Jean-Michel Aulas, le président de l’OL, qui reste sur deux victoires en Ligue des champions, se dit, lui, « ravi que le PSG joue le jeu du foot féminin. Cet effort permettra d’augmenter le niveau du Championnat. Mais je ne m’y serais pas pris de cette manière. Ils ont recruté des Lyonnaises qui n’avaient plus de contrat chez nous et deux Allemandes de Duisburg, un club qui n’est pas qualifié pour la Ligue des champions. Je crois savoir qu’en janvier ils vont mettre le paquet sur des recrues américaines, et notamment sur la gardienne Hope Solo, qui jouait chez nous il y a six-sept ans ».


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Titipi
posté 10/09/2012 08:11
Message #165


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Comme les hommes!

Nouvelle puissance financière du Championnat féminin, le PSG a débuté par un nul poussif à Guingamp (1-1), hier.


JUSQU’AU BOUT, les Parisiennes auront donc fait les choses comme leurs homologues masculins. En déplacement hier à Guingamp, avec le bus des pros, les joueuses du PSG, toutes devenues professionnelles cette saison, ont raté leur entame de Championnat, concédant le nul (1-1) un mois après celui d’Ibrahimovic et de ses coéquipiers contre Lorient (2-2, le 11 août).

Même si, depuis plusieurs semaines, l’entraîneur parisien Farid Benstiti cherche à minimiser la puissance financière de son nouveau club, deuxième plus gros budget de D 1 derrière Lyon (*), et le rôle de favori qui l’accompagne, il a admis, hier sur France 4, que ce partage des points était « un contretemps. C’est le type de match qu’il faut gagner ».

Laure Boulleau et ses coéquipières auraient pourtant pu le perdre, surtout après vingt minutes poussives. Mieux en place ensuite, en particulier au milieu de terrain, les Parisiennes reprenaient le contrôle du match et ouvraient même le score juste avant la mi-temps grâce à une action de deux de leurs recrues, l’ancienne Lyonnaise Shirley Cruz servant l’ancienne Stéphanoise Kheira Hamraoui, qui trompait Emmeline Mainguy, la gardienne bretonne (42e).

Mais, plutôt que d’en terminer et de décrocher ses quatre premiers points de la saison, le PSG laissa filer les occasions (penalty non sifflé sur Kaci, frappe de Boulleau sur la barre) et revenir Guingamp après une erreur de sa capitaine Sabrina Delannoy et un exploit individuel de la Bretonne Julie Morel (80e). Avec deux points, Paris voit déjà ses adversaires prendre un peu le large.

Lyon cartonne déjà

Car Lyon, champion de France depuis six saisons, et Juvisy, son dauphin l’an dernier, ont assuré. Les deux équipes françaises en lice pour la Ligue des champions ont mis exactement une demi-heure pour ôter tout suspense aux rencontres. Face à Rodez (8-0), les Lyonnaises, sous l’impulsion de Dickenmann, dans tous les bons coups, ont ouvert la marque par leur recrue Laëtitia Tonazzi (18e), arrivée cet été de Juvisy, qui a remis ça peu après (34e). À Gerland, c’était d’ailleurs la journée des doublés pour Camille Abily, la Suédoise Lotta Schelin et la Japonaise Ami Otaki.

Si Juvisy a perdu sa buteuse star, le club francilien s’est également renforcé avec les internationales françaises Camille Catala et Julie Soyer, mais aussi l’expérimentée Sandrine Dusang, l’ex-défenseuse de l’OL, y allant même de son but, pour une large victoire face à Arras (6-0). L’autre outsider, Montpellier, malgré un déplacement compliqué à Saint-Étienne, n’a pas tremblé non plus (0-2). En fait, tous les candidats au titre ont gagné hier. Sauf le PSG.

YOHANN HAUTBOIS

(*) 4,5 millions d’euros pour le PSG, entre 5 et 6 millions pour l’OL


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vayemine
posté 12/09/2012 09:23
Message #166


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Je ne savais pas trop où mettre ça mais ça m'a fait tilter vu que c'est le problème qui est le plus souvent relevé sur le forum.
Extrait de l'interview de Alain ROCHE pour L'équipe

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« Je suis très fier de ce qu’on a fait avec la post-formation et la formation. Ca a porté ses fruits. On a sorti quelques joueurs, on a eu des résultats exceptionnels chez les jeunes, mais cela n’intéresse personne. »
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Homer
posté 18/09/2012 11:14
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Bérangère Sapowicz : « Je n’ai pas définitivement pris ma retraite sportive »

Absente des terrains depuis la Coupe du Monde 2011, Bérangère Sapowicz revient pour Foot d’Elles sur sa situation actuelle, ses envies et nous livre son regard sur les performances des Bleues aux J0 2012.

Certains médias avaient annoncé votre retraite sportive en mars 2012, pouvez-vous nous confirmer cette information ?
En réalité, je n’ai jamais vraiment annoncé ma retraite sportive. Suite à ma blessure lors de la Coupe du Monde 2011, j’ai mis 2 mois à récupérer de ma grave blessure à la cheville. Cette blessure est survenue alors que j’avais déjà connu des pépins physiques les saisons précédentes et ma reprise de l’entrainement avec PSG a été difficile notamment au niveau de l’un de mes genoux qui avait également souffert dans cette histoire.
Malgré tous les traitements et du repos, je n’ai pas pu supporter les 4 à 6 entrainements par semaine et j’ai préféré « dire stop » au coach. Ce fut une décision difficile à prendre car elle m’obligeait à tirer un trait sur les JO.

Et aujourd’hui, où en êtes-vous sur le plan physique ?
Je me suis remise à courir depuis le mois de mars et à refaire des soins depuis la fin mai. Malgré des douleurs toujours présentes, je suis quand même restée active, à faire des footings de 20 minutes. Et finalement, pendant les vacances d’août, je suis repartie sur une base de 30 à 35 minutes de footing et le seuil des douleurs a reculé.

Donc vous n’avez pas rangé les gants ?
Non. J’ai échangé avec le nouveau coach du PSG (Farid Benstiti), il me reste encore 1 an de contrat en tant que joueuse. Ma situation n’est pas encore tranchée, je fais encore pas mal d’examens avec les docteurs.
Cette année, le staff pourrait accepter que je m’entraîne avec un nombre d’entraînements moins important que l’année dernière. Je ferai plus du dépannage sur les séances d’entraînement en quelque sorte. Il y a déjà 2 autres gardiennes au PSG qui sont de très bon niveau, qui sont plus jeunes que moi, qui ont peut-être connu moins de blessures que moi. Ce sont elles qui sont et qui seront prioritaires quoi qu’il arrive sur les matchs.

« Ma priorité est aujourd’hui de retravailler »

Cette reprise de l’entrainement vous permettrez également de reprendre votre poste à la communication de la sélection féminine du PSG ?
En effet, ma priorité aujourd’hui est de retravailler. Comme je suis toujours en arrêt de travail, je ne peux ni aller m’entraîner ni aller au bureau. Je suis sous contrat fédéral à mi-temps mais l’arrêt de travail est également valable pour mon contrat administratif.
Aujourd’hui, je veux revenir dans le monde du travail et aider à développer la section féminine au PSG. C’est vraiment ça dont j’ai envie !

La D1 Féminine bénéficie depuis cette saison d’une plus grande médiatisation, notamment via Eurosport et France 4. Seriez-vous intéressée par un poste de consultante à la télévision ?
Oui, pourquoi pas. Sur Eurosport, j’ai déjà dû faire 2 ou 3 matchs la saison passée, c’est sympa. Je pense que plus on en fait, plus on est à l’aise et plus on arrive à enchaîner des phrases. Quand on ne connaît pas, c’est un peu compliqué au départ !

« Le poste de gardien est un poste très compliqué, on fait un arrêt on est le roi du monde, on fait une boulette on nous dit tout le mal du monde »

Sarah Bouhaddi a subi de nombreuses critiques après sa faute de main en demi-finale des JO contre le Japon. Ces critiques ont forcément dû être difficiles à entendre pour vous également ?
J’ai vécu en direct ce match contre le Japon et je me suis dis « ce n’est pas possible ». Sarah est vraiment une très grande gardienne, elle est très forte. C’est le genre d’erreur que l’on peut faire lors d’un match amical, sauf que là ça lui arrive en demi-finale.
Le poste de gardien est un poste très compliqué, on fait un arrêt on est le roi du monde, on fait une boulette on nous dit tout le mal du monde, je l’ai vécu également.

Les écarts de niveaux entre les matchs nationaux et internationaux peuvent-ils expliquer quelques erreurs chez les gardiennes ?
C’est vrai qu’au cours de la saison, nous pouvons jouer plein de match sans être beaucoup sollicitées. Une fois en sélection, le niveau de l’opposition monte et nous avons beaucoup de choses à gérer. C’est un peu le cas de Sarah à Lyon qui est souvent assez peu sollicitée en championnat et même au cours des premiers matchs de Ligue des Champions.

Au final, les Bleues ont à nouveau fini quatrième aux JO après la Coupe du Monde 2011. Une déception selon vous ?
Mes sentiments sont vraiment partagés entre déception et fierté. Finir deux fois quatrièmes d’une grande compétition internationale, ce n’est pas rien. Je qualifierai plus cette quatrième place de rageante car les Bleues étaient largement capables d’aller en finale.

Que pouvons-nous vous souhaiter pour cette fin d’année 2012 et pour 2013 ?
Plus de blessures, que ma dernière année de contrat au PSG se passe bien et que je reste sur le terrain toute la saison afin de bien finir ma carrière.

Foot d'Elles.fr


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Kaionedirection
posté 20/09/2012 14:17
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Kaione Lo Seumso
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RECTIFICATIF PARIS SAINT-GERMAIN ÉQUIPE FÉMININES

Suite à la parution dans différents media d’une information erronée concernant le montant du salaire de la joueuse de l’équipe du Paris Saint-Germain, Lindsay Horan, la Direction du club souhaite signaler que le montant avancé ne correspond nullement à la réalité.

« Nous avons été surpris de lire et d’entendre un tel montant concernant Lindsay Horan. Notre devoir est de protéger nos joueuses de toute pression supplémentaire et injustifiée. Notre politique est de ne pas communiquer les salaires de nos joueuses mais il me paraissait essentiel de faire une mise au point en précisant que leurs revenus sont en adéquation avec ceux pratiqués dans le monde du football professionnel féminin en France », a déclaré Philippe Boindrieux, Directeur Général Adjoint Administration et Finances en charge de l’équipe féminine du PSG.


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Pierrot
posté 21/09/2012 10:52
Message #169


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C’est depuis le Camp des loges, le Centre d’entraînement du Paris Saint-Germain, que nous avons discuté avec l’entraîneur de la réserve du PSG à propos du match de samedi contre notre club. L’équipe qu’il entraîne est une véritable passerelle pour les jeunes du Paris Saint-Germain qui leur permet de s’aguerrir au contact du foot Senior avant d’intégrer les Pros.

Franck, vous avez une belle expérience en CFA puis en National avec Rodez, comment se passe la transition avec une équipe réserve par rapport à une équipe première?

« C’est vrai que l’approche est différente, après il y a équipe réserve d’une équipe professionnelle donc on est avant tout là pour l’évolution des joueurs, pour les amener justement dans le monde professionnel, dans des équipes unes, pour leur apprendre, il y a moins l’impératif du résultat, il y a surtout la manière et l’impératif quand même de se maintenir en CFA pour cette fin de saison.«

Ensuite, lorsque l’on regarde vos effectifs, mine de rien vous n’alignez que rarement des joueurs pros habitués à la Ligue 1. Vous avez aligné Sissoko une fois, Luyindula une fois?

« Voilà, c’est vrai que l’arrivée du staff italien, M. Ancelotti, fait que, il aime bien avoir son groupe de joueurs mais il met rarement des joueurs à disposition. Ca se fait souvent à l’étranger, en Italie c’est tout le temps comme ça, en Angleterre aussi souvent, en France parfois, mais c’est vrai que c’est moins rare, on a moins l’habitude de ce principe mais bon, voilà il faut accepter. Nous on le savait, c’est vrai que l’année dernière on a appris ça mais bon, on a un petit peu essayé de, la saison dernière notre difficulté dans le championnat de jouer plus le bas de tableau et bon on a recruté un petit peu quelques joueurs plus expérimentés, justement (Dufrennes, Atlan) entre autres Malik Rouag, voilà, il y a un autre jeune qui a l’habitude de jouer la CFA, Youness El-Baillal, pour justement encadrer les jeunes joueurs pour les aider à appréhender les choses, à mieux vivre, à avoir un peu l’opportunité d’être encadrés surtout lors des matchs.«

Donc vous vous placez vraiment dans une optique post-formation des joueurs U19?

(transcription de la vidéo) »Oui, oui, les joueurs arrivent dans le monde Senior, donc c’est vrai que quand ils étaient jeunes, ils ont tout le temps été au-dessus et là, ils arrivent dans le monde adulte donc ils partent de zéro parce que ce qu’ils ont fait avant, c’était très bien, souvent ils ont fait l’équipe de France ou de sacrés CV maintenant tout le monde la vérité c’est le monde Senior donc on les apprend à être, à jouer avec cette intensité là, cet impact là, à ce niveau là et c’est vrai que l’apport de joueurs un peu plus expérimentés, ça aide voilà, ça sert de relai un petit peu aussi.«


Alors concernant votre adversaire de samedi, est-ce que vous avez suivi un peu le parcours de Grenoble ou est-ce que vous connaissez un peu les joueurs?


« J’en connaît quelques uns parce que venant de Rodez, il y a le petit Delétraz qui vient de Rodez, qui était à Tours avant, un joueur que j’avais eu quelques connaissances, quelques informations, que j’aurai bien aimé avoir à l’époque à Rodez mais bon, il était à Tours en professionnel, c’était plus intéressant pour lui d’être là-bas puis après c’est bien évident que j’ai suivi l’évolution de ce club, j’ai envie de connaître le nouveau stade forcément mais bon je suis juste un petit peu surpris de leur position actuelle, qu’ils font de très belles prestations mais que actuellement, ils n’ont pas la réussite offensive mais que le contenu de leur match est plus qu’intéressant.«

Qu’attendzez-vous justement de vos joueurs par rapport à cette équipe de Grenoble pour ce prochain match?

(transcription de la vidéo) »Disons que nous, on essaie de mettre des choses en place, d’essayer d’avoir le maximum la maîtrise du ballon et quand on ne l’a pas d’essayer d’appréhender au mieux, d’être prêts techniquement, tactiquement pour contrer les systèmes adverses tout simplement. Il faut qu’ils apprennent à mesurer les événements, le niveau de l’équipe adverse, s’adapter au système de l’équipe adverse, au style de jeu de l’équipe adverse, tout ça fait partie de leur évolution, voilà, je pense qu’ils vont rencontrer une belle équipe, à nous, ça va être un bon test pour nous aussi, de se jauger et voilà tout simplement.«

Le fait pour vos joueurs de se retrouver cette saison avec deux gros clubs notamment comme Strasbourg et Grenoble et pouvoir disputer des matches dans de grandes enceintes, c’est un plus pour vous?

« Ça peut leur montrer ce qui est intéressant le niveau au-dessus même s’ils ont actuellement à ce niveau là mais ça veut dire que ça été un grand club et de jouer dans des enceintes comme ça, c’est toujours plus stimulant enfin je pense, quand j’était jeune joueur, j’étais comme ça et je pense d’être à ce niveau là, face à des équipes comme ça, c’est toujours plus motivant donc ça fait partie de leur apprentissage, comment ils vont appréhender la chose, bien je pense parce que certains ont déjà évolué dans des beaux stades par exemple nos jeunes ont fait la champions League là, c’est une nouvelle compétition (la Next-Gen Cup), c’est une nouvelle compétition donc c’est bien pour l’appréhension et c’est toujours intéressant pour la formation du joueur.«

En termes de jeu, vous avez une équipe qui est à priori intraitable à domicile, puisque vous n’avez que des victoires à domicile, à l’extérieur deux nuls et une défaite, vous marquez beaucoup, par contre lecorollaire c’est que vous prenez beaucoup de buts, comment expliquez-vous cela?

« Bon, c’est vrai qu’on essaie de mettre le jeu en place et puis avec ses avantages et ses inconvénients. Les avantages c’est de faire beaucoup circuler le ballon, d’aller au maximum de l’avant mais aussi des fois, on se découvre un peu trop et donc ça laisse parfois des espaces. Voilà, on a fait surtout des erreurs souvent individuelles donc à nous de gommer ça, pour essayer d’être plus forts défensivement déjà. Voilà«

Malik Rouag (auteur de 5 buts cette saison) jouera ou il est encore blessé?
« il est encore blessé, maintenant il a repris un petit peu,pas avaec le groupe, individuellement, voilà, il faut que je fasse le point avec le docteur et les kinés pour savoir s’il peut être parmi nous ce week-end, voilà.«


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Homer
posté 27/09/2012 14:31
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Krahn a un nouveau défi en tête

Championne du monde 2007 et d'Europe 2009, la défenseuse Annike Krahn se lance dans une nouvelle aventure. Pendant des années, l'Allemande a évolué en Bundesliga féminine, avant de rejoindre le Paris Saint-Germain à l'intersaison.

A 27 ans, elle découvre aujourd'hui la Division 1 Féminine. "Je veux encore progresser sur le plan footballistique et j'avais envie de vivre une nouvelle aventure", explique à FIFA.com la joueuse qui a porté durant huit ans le maillot du FCR Duisbourg, avec lequel elle a disputé 146 matches de Bundesliga, été couronnée cinq fois vice-championne d'Allemagne, deux fois vainqueur de la Coupe d'Allemagne et même vainqueur de la Ligue des champions féminine de l'UEFA en 2009. "Ça n'a pas été facile pour moi de tourner le dos à mon pays, mais j'ai décidé de relever un défi qui, je l'espère, devrait donner un nouvel élan à ma carrière", annonce l'internationale allemande.

L'équipe de la capitale, en plein bouleversement, ne lésine pas sur les moyens pour tenter d'accéder aussi vite que possible au sommet du football féminin français et contester la suprématie de Lyon. Il a ainsi recruté un entraîneur très expérimenté en la personne de Farid Benstiti, qui a déjà disputé une finale de Ligue des champions avec l'Olympique lyonnais. Outre Krahn, le PSG s’est aussi assuré les services d'autres joueuses prestigieuses comme Linda Bresonik, autre internationale allemande et ancienne coéquipière de Krahn à Duisbourg, ou l'attaquante américaine Lindsay Horan.

Tout est plus grand
"Bien sûr, nous devons d'abord trouver nos marques collectivement. Mais la qualité est présente et notre objectif est clair : la qualification pour la Ligue des champions", précise l'ancienne capitaine des Lionnes de Duisbourg, séduite par le travail avec son nouvel entraîneur : "Benstiti est un grand nom du football féminin. J'espère que sous sa direction, je pourrai m'améliorer et franchir un nouveau palier".

Au PSG, de nombreux jeunes talents comptent sur l'internationale aux 82 sélections pour leur transmettre son savoir. "On a ici certaines attentes envers moi. Je vais essayer d'y répondre du mieux possible, d'aider et d'orienter les jeunes joueuses", promet-elle. "Mais ça ne marchera que si mes propres prestations sont de qualité. À Paris, je dois moi-même m'intégrer, pour commencer, me familiariser aussi vite que possible avec mon nouvel environnement et surtout apprendre la langue. Ensuite je verrai quel rôle je jouerai au sein de l'équipe, mais ça ne me dérangerait pas d'assumer des responsabilités, au contraire.

Reconversion assurée
Son diplôme d'entraîneuse, qu'elle a obtenu cet été, l'aidera sûrement à trouver ses marques en tant que leader. Si grâce à cette licence elle a déjà jeté les bases d'une éventuelle reconversion après sa carrière de joueuse, elle se concentre pour l'heure sur son travail avec son nouveau club, qui, au bout de quelques semaines, l'impressionne toujours. "Tout est beaucoup plus grand ici. Le club est doté de structures professionnelles et on sent que quelque chose d'important est en train de voir le jour. Mais le nouvel engouement que suscite le football féminin ne se limite pas à Paris. L'intérêt pour cette discipline semble progresser dans tout le pays. Les matches de première division française sont diffusés en direct à la télévision. Pour nous, c'est fantastique et cela nous procure beaucoup de plaisir de sentir cet enthousiasme qui monte."

En équipe d'Allemagne, la concurrence est de plus en plus rude et la sélectionneuse Silvia Neid a un grand nombre de joueuses à sa disposition, notamment les membres de la sélection U-20 récentes vice-championnes du monde au Japon. Si le transfert de Krahn à Paris l'éloigne peut-être un peu du champ de vision de la sélectionneuse, elle ne compte pas se faire oublier facilement. "J'espère continuer à me faire remarquer en livrant de bonnes prestations en club et aux entraînements de l'équipe nationale, pour que l'entraîneuse fasse appel à moi", annonce-t-elle. "Il y a une grande concurrence à mon poste, mais peut-être que mon transfert au PSG me donnera l'impulsion nécessaire pour m'imposer".

FIFA.Com


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Madi$kwale
posté 11/10/2012 02:07
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Reuzeau : « Les efforts consentis portent leurs fruits »

Alors que Mamadou Sakho et Clément Chantôme, deux joueurs formés au Paris Saint-Germain, ont été appelés en Equipe de France, le Directeur du centre de formation Bertrand Reuzeau évoque leur parcours qui illustre la bonne santé de la formation parisienne.



Bertrand Reuzeau, que vous évoque la présence de Clément Chantôme en Equipe de France pour la première fois de sa carrière ?
« C’est une grosse étape dans la carrière de Clément. Être appelé en équipe nationale c’est ce qu’un joueur professionnel peut espérer de mieux. On est très contents pour lui. Avec Mamadou Sakho, c’est le deuxième joueur à intégrer les Bleus qui sorte du centre de formation du Paris Saint-Germain. C’est une reconnaissance au niveau international du travail réalisé au club, de la même façon que les internationaux Espoirs comme Jean-Christophe Bahebeck. »


Deux internationaux tricolores issus du centre de formation parisien, ce n’était plus arrivé depuis 29 ans…
« Cela prouve que les efforts consentis à tous les niveaux du club portent leurs fruits. Nous sommes déjà efficaces au niveau des compétitions de jeunes et nos joueurs sont présents dans toutes les sélections nationales. Chaque année entre 15 et 25 jeunes sont appelés en équipe nationale de jeunes. Avec l’Equipe de France A, la boucle est bouclée. C’est la récompense de plusieurs années de travail. On voit des joueurs arriver à maturité et atteindre un haut niveau très élevé. »

Dès leurs débuts, le potentiel de Mamadou Sakho et Clément Chantôme était-il évident ?
« S’ils ont suivi toute leur formation avec nous, c’est qu’ils avaient forcément révélé un potentiel. En revanche, ce qui est paradoxal, c’est qu’ils ont tous les deux suivi une trajectoire très différente. Mamadou a été très précoce dès la préformation et a intégré le groupe professionnel très jeune. Clément a pris plus de temps pour arriver à maturité sur le plan athlétique. Il a fallu prendre le temps pour y arriver un peu plus tard, mais réussir aussi bien que les autres »


Comment se passe le début de saison avec les équipes de jeunes ?
« Pour le moment, tout se passe bien. La CFA est en première partie de tableau (5e). On ne leur demande pas d’être champions, mais de rester à un classement honorable de façon à travailler tranquillement la semaine. Nos U19 et U17 n’ont connu qu’une seule défaite depuis le début de la saison et s’installent dans le haut de tableau. C’est intéressant au niveau de l’équipe, mais notre priorité reste de former des joueurs pour l’avenir. »

Que nous réserve la nouvelle génération de joueurs parisiens ?
« Nous avons de bons jeunes, des profils très intéressants. Y arriveront-ils tous ? Peut-être pas. Cependant, le staff pro est conscient que nous formons des joueurs à fort potentiel et les prend de temps en temps à l’entraînement. Il y a un suivi réalisé par le club et par l’équipe professionnelle. »



PSG.fr


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Homer
posté 31/10/2012 10:32
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Horan : «Une question d'argent»

La D1 féminine a pris des accents américains cet été avec l'arrivée de la jeune attaquante Lindsey Horan au PSG. Coup de projecteur en sa compagnie sur la situation du soccer féminin, qui connaît quelques soucis depuis la faillite de la 1re division du championnat pro.

«Lindsey Horan, pourquoi avoir choisi de venir en France, et au PSG, cet été, alors que le foot féminin reste tout de même plus populaire aux Etats-Unis ?
La WPS, la Ligue professionnelle en Amérique, a fait faillite, donc j'ai pensé que ce serait mieux pour moi de venir en France, où évoluent de très bonnes joueuses. Je savais que le PSG avait un bon coach et que rejoindre votre pays me permettrait davantage de m'améliorer que si j'étais restée aux USA.

Comment expliquer que l'équivalent de notre D1 féminine ait fermé dans votre pays ?
C'est vraiment une histoire d'argent. Aujourd'hui, les gens regardent du football féminin en grande partie lorsque l'équipe nationale évolue dans des compétitions internationales, comme aux Jeux Olympiques cet été, mais ils ne vont pas plus que ça dans les stades tous les week-ends. On ne ramenait donc pas tant d'argent que ça. Cela a été très décevant pour nous.

Ce qui est fou, c'est que la plupart de vos joueuses internationales (dix sur les dix-huit de la dernière sélection) n'ont donc pas de club cette année !
Les grands noms de l'équipe ont fait un «Fan Tribute Tour» après les JO (trois amicaux gagnés en septembre face au Costa Rica et l'Australie, deux nuls contre l'Allemagne en octobre). Elles jouent des matches presque toutes les semaines, ou au moins tous les mois. Elles n'ont pas de club pour l'instant, ce qui est effectivement très bizarre à entendre, mais elles devraient retrouver une équipe en janvier, quand le marché des transferts ré-ouvrira.

Est-ce que le football féminin américain produit encore des vedettes aussi médiatisées que celles de la NBA ou de la NFL ?
Oui. Récemment, on peut dire que des joueuses comme Hope Solo (gardienne de but de 31 ans passée par Lyon et évoluant à Seattle en W-League), Abby Wambach (à 32 ans, elle est l'entraîneur-joueuse de l'équipe d'exhibition magicJack) ou Alex Morgan (attaquante de 23 ans appartenant aussi à Seattle) sont devenues de vraies stars chez nous. La victoire aux Jeux Olympiques a aidé, et c'est très bien pour notre discipline, pour qu'elle prenne encore plus d'importance.

« Aujourd'hui, les gens regardent du football féminin en grande partie lorsque l'équipe nationale évolue dans des compétitions internationales, comme aux JO, mais ils ne vont pas plus que ça dans les stades.»

Comment expliquez-vous que la sélection US (première nation FIFA devant l'Allemagne) rafle tout depuis des années ?
Les Américaines ont la réputation d'être de grandes bosseuses mais depuis quelques années, elles s'ouvrent aussi à la technique, qui est peut-être devenue la chose la plus importante. Elles ne lâchent rien jusqu'à la dernière minute, c'est assez incroyable, et agréable à regarder.

Existe-t-il une réelle différence de style entre les deux continents ?

En France, on met plus d'accent sur la technique, et on privilégie le jeu en passes rapides. Aux Etats-Unis, le football est plus «travailleur», bien que la possession ne suffise plus et qu'on cherche à être plus séduisant dans le jeu, dans la lignée de l'esprit européen.

Est-ce que les Bleues pourront un jour surpasser les Américaines ?
Non ! (Elle éclate de rire). Vous savez, l'équipe de France est, de par son style de jeu, une de mes équipes favorites à regarder jouer. Il y a chaque année une nouvelle équipe qui m'impressionne, et j'adore en découvrir chaque fois. Pour la France, on verra bien !


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De retour en 2013 ?
La Women's Professionnel Soccer (WPS), équivalent de la 1re division en France, a fermé ses portes en février 2012. L'épilogue d'un bras de fer judiciaire avec l'un des propriétaires d'une des équipes, le MagicJack (ancien Washington Freedom). Avant cela, la WUSA, précédente appellation de cette première division, s'était déjà cassée le nez après trois ans d'existence. Toutefois, une nouvelle League devrait être créée en 2013, sous l'oeil bienveillant de la Fédération américaine de soccer.

L'Equipe.fr


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Noreaga
posté 04/11/2012 10:48
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Ballo, un pur produit du PSG

SÉBASTIEN BIRDEN | Publié le 04.11.2012, 07h00


MAISONS-ALFORT (Val-de-Marne), MARDI. Fodé Ballo (balle au pied), l’attaquant de l’équipe de France U 16 est arrivé au PSG chez les poussins. | (LP/C.L.)

« Lui, on a été le chercher nulle part, il était déjà là! » s’amuse Pierre Reynaud, le recruteur du centre de formation du PSG. Fodé Ballo, longiligne attaquant de l’équipe de France U16, a trouvé tout seul la poignée de la porte menant au PSG. « Lors d’une détection réservée aux joueurs nés en 1995 (lui a vu le jour en… 1997), je m’étais bien débrouillé, raconte le jeune international, alors poussin à Eragny, sa ville d’origine.
» Suffisamment pour taper dans l’œil des éducateurs de la section amateurs du PSG. Ses qualités de vitesse — mais aussi sa capacité à répéter les efforts et sa technique au-dessus de la moyenne », précise Reynaud — lui ont permis d’intégrer ensuite, à 12 ans, le centre de préformation. Depuis, avec ses potes Jean-Kévin Augustin, Christopher Nkunku (eux aussi de la partie cette semaine), Nathan Epaillard (absent pour cause de blessure) et Bryan Labissière (non retenu), il forme le noyau inséparable d’une prometteuse génération, emmenée actuellement par Laurent Bonadéi, coach des U17 du PSG, champion de France en titre. « On est presque devenus des frangins », sourit Fodé, seul titulaire hier encore face aux Pays-Bas.

« Le voir en équipe de France, c’est une fierté pour sa mère et moi », savourait mardi son beau-père lors du match face à la Norvège (3-0). Selon lui, Fodé souhaite désormais « suivre l’exemple de Sakho et Chantôme ». Actuellement élève en 2nd, Ballo sait pourtant qu’il faudra continuer à « travailler dur pour atteindre leur niveau ». « C’est aussi pour ça qu’on veut qu’il ait une autre formation à l’école, au cas où », reprend son beau-père. « D’autant que ce n’est pas un gage d’avenir d’être là aujourd’hui, insiste le sélectionneur Jean-Claude Giuntini. Ils doivent comprendre que tout sera désormais de plus en plus dur. On verra dans quelques années ceux qui sont encore là… »


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Homer
posté 26/11/2012 11:27
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Le PSG en veut toujours plus

Après le Val-d'Orge (25 oct.), Montigny (14 nov.), Juvisy (voir article ci-dessous) et en attendant Rueil, mercredi (28 nov.), c'est le PSG qui a été récompensé, jeudi au Camp des Loges, pour la qualité de son Ecole Féminine de Football par la Fédération et Carrefour, avec des dotations (mini-buts, ballons, chasubles, plots...) toujours très utiles et appréciées.

Les petites filles étaient heureuses, les éducatrices fières et les dirigeants ambitieux. C'est dans cette ambiance festive qu'ont été remises, jeudi soir au Camp des Loges, les dotations récompensant le PSG pour la qualité de son école féminine de football. Pour la 2e année consécutive, la FFF et Carrefour ont donc reconnu et mis en valeur le travail en profondeur effectué au sein du club de la Capitale.

Un travail que Simon Tahar, dirigeant historique du PSG, sous le regard du Président Jack jacquet, a tenu à souligner et à inscrire dans un processus global : "Il est très important que le PSG développe une vraie pratique du football féminin. Nous avons notre équipe d'élite qui est sous la responsabilité de la SASP et l'Association qui s'occupe des filles de l'école de foot jusqu'aux U18. La récompense que nous recevons ce soir est un signe de reconnaissance du travail accompli avec beaucoup d'enthousiasme et de bonnes valeurs. Nous devons aussi remonter le niveau d'exigence afin que le PSG devienne réellement un pôle d'excellence avec l'objectif de former, à notre niveau, des talents qui deviendront ensuite des internationales."

A l'image d'une Bérangère Sapowicz, ancienne gardienne de but internationale, présente hier soir. Elle n'était pas la seule ex-joueuse de haut niveau puisqu'évidemment Elodie Gauché, Cadre d'Animation Technique Régional Féminin, est venue encourager le PSG dans ses initiatives : "Je vous félicite au nom de l'ensemble des techniciens. Il faut préciser que ce label répond à des critères d'exigence précis et difficiles à atteindre. Cela passe par le nombre des licenciées mais prend en compte également la qualité de l'encadrement. Il faut signaler également que ce label n'existerait pas sans le soutien des magasins Carrefour.

Les hypermarchés qui avaient dépêché pour l'occasion, Christophe Botella, Directeur de l'hypermarché Carrefour de Chambourcy : "Je suis responsable en terme de management mais aussi en ce qui concerne l'intégration dans le tissu social. Ce genre d'opération y contribue." Une proximité représentée aussi par le District des Yvelines et son Président Jean-Pierre Meurillon : "C'est toujours un plaisir de venir pour l'attribution d'une récompense qui souvent revêt un caractère sportif. Aujourd'hui, il s'agit d'un investissement réalisé en faveur des jeunes filles. Cette école du PSG avait déjà été labellisée l'année dernière. Cette saison, 7 écoles en Ile-de-France ont reçu ce label. Deux, dans les Yvelines avec Montigny et le PSG alors qu'il n'y en a que 121 en France. Cette récompense n'est donc pas galvaudée. Je voulais donc dire aux responsables du PSG que le travail dans leur école de foot est sérieux. Je souhaite dire aussi aux parents présents ce soir que vous avez raison de confier vos filles au PSG."

Car au-delà de l'aspect sportif, les petites filles prennent aussi et surtout beaucoup de plaisir sur les terrains. Une notion que Michel Robles, CTD des Yvelines, a tenu à rappeler au terme de cette soirée : "Je suis surtout content de voir le sourire sur le visage de ces toutes jeunes filles. Le PSG et ses joueuses ont une responsabilité dans le développement du foot féminin. Il doit être une locomotive." Et pour l'instant le club a démontré que les wagons étaient déjà bien accrochés.

FFF.fr

Edit Philo : Onlysportall n'a rien à faire en revue de presse, surtout vu le niveau de l'article.


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Noreaga
posté 31/12/2012 18:59
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Coman, la dynamite

ABDER ZOUINA | Publié le 31.12.2012, 07h00


Saint-Germain-en-Laye, le 19 décembre. A 16 ans, Kingsley Coman impressionne tous les observateurs. | (LP/Philippe Le Brech.)

Son but inscrit avec une aisance déconcertante, le 19 décembre avec les U19 du PSG contre la Juventus Turin en NextGen Series au camp des Loges, a encore marqué les esprits. Patrick Vieira (Manchester City), Gilles Grimandi (Arsenal) ou David Friio (Manchester United), venus en observateurs pour leurs clubs respectifs, ont forcément apprécié. Car toute la planète foot s’intéresse au phénomène Kingsley Coman.
A 16 ans (depuis juin), le garçon impressionne déjà par son sens du dribble et sa qualité de percussion. Buteur ou passeur, aussi à l’aise à droite qu’à gauche, sa vitesse et son explosivité balle au pied créent des différences incroyables. « Il est talentueux, complet et très intelligent, juge Patrick Gonfalone, le sélectionneur national des U17. Sa lecture du jeu et sa technique au-dessus de la moyenne le rendent redoutable. Il n’a déjà plus rien à faire en U17. Il évolue en club en U19 et c’est déjà le meilleur… »

Polyvalent en attaque

Né à Paris, mais originaire de Seine-et-Marne, où il a débuté au club de Moissy-Cramayel à 6 ans, Kingsley a vite surclassé tous les gamins de son âge. Son père, Christian, fan du PSG, attendra qu’il ait 9 ans pour pousser la porte du camp des Loges. Le début d’une inexorable ascension. Il est amené ensuite à intégrer le centre de préformation du club à Verneuil et sa polyvalence fait alors des ravages dans les rangs des 13 ans. Sa réputation naît, alimentée par des commentaires dithyrambiques un peu partout sur Internet. Tous voient en lui une future grande star.Sélectionné en avril en équipe de France U16 pour disputer le renommé Tournoi de Montaigu (Vendée), il confirme ce statut en étant sacré meilleur joueur de la compétition puis en contribuant à la qualification des U17 pour la phase finale de l’Euro (en Slovaquie au mois de mai prochain). « C’est le plus grand espoir de la génération 1996 du PSG », avance un observateur proche du club.

« Dans un autre club que le PSG, il aurait peut-être déjà joué en pro, assure même Patrick Gonfalone. Un peu à l’image du Niçois Neal Maupay (NDLR : buteur en Ligue 1 à 16 ans, le 15 décembre). Cela fait longtemps que je n’ai pas vu un garçon aussi complet. Même s’il faut lui laisser le temps, il ne dépareillerait pas dès aujourd’hui dans une équipe de L1. Ce garçon est déjà armé pour les joutes du haut niveau. » A quel poste, lui, le polyvalent sur le front de l’attaque. « Il est bon partout! répond Gonfalone. Il peut évoluer en attaque, au milieu, ce qui nous rend bien service en équipe de France. Mais si je devais le fixer à un poste, je crois que ça serait en neuf et demi, derrière l’attaquant de pointe. »


Le Parisien
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roro10
posté 05/01/2013 16:39
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Arras-Paris : Le groupe parisien

Coupe de France Publié le samedi 05 janvier 2013 à 16h00
Arras-Paris : Le groupe parisien

Voici le groupe retenu par Carlo Ancelotti pour la rencontre opposant le Paris Saint-Germain à Arras, ce dimanche 6 janvier à 20h45 au Stade de l'Epopée, à Calais, à l'occasion des 32es de finale de la Coupe de France.

Groupe :
AREOLA Alphonse
ARRONDEL Alvin

BODMER Mathieu
CAMARA Zoumana
CHANTÔME Clément
DOUCHEZ Nicolas
GAMEIRO Kevin
IKOKO Jordan
JALLET Christophe
LAVEZZI Ezequiel
LE CROM Ronan
LUGANO Diego
MATUIDI Blaise
MAXWELL Sherrer
ONGENDA Hervin
PASTORE Javier
RABIOT Adrien
SAKHO Mamadou
VERRATTI Marco

Absents :
ALEX (choix)
ARMAND Sylvain (blessé)
IBRAHIMOVIC Zlatan (choix)
HOARAU Guillaume (choix)
LUCAS (choix)
MENEZ Jérémy (suspension)
NENE (blessé)
SIRIGU Salvatore (choix)
SISSOKO Mohamed (CAN)
THIAGO MOTTA (choix)
THIAGO SILVA (choix)
TIENE Siaka (CAN)
VAN DER WIEL Gregory (blessé)

ARRAS FA - PARIS SAINT-GERMAIN
Dimanche 5 janvier 2012 à 20h45
Coupe de France - 32es de finale
Stade de l'Epopée (Calais)
Match diffusé en direct sur Eurosport


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HHA
posté 08/01/2013 07:15
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Ongenda rêve de s’imposer à Paris

« Etre dans le groupe pro à 17 ans, ce n’est pas donné à tout le monde. J’en rêvais depuis longtemps. Maintenant, je vais tout faire pour revenir. » Hervin Ongenda n’a pas voulu en dire plus après sa première apparition dans le groupe professionnel. En remplaçant Lavezzi à neuf minutes de la fin d’Arras - PSG (3-4) dimanche, il a pourtant donné du crédit à tous ceux qui lui prédisent un avenir doré.
Repéré par le PSG en 2007 lors d’un tournoi de benjamins en Espagne, le natif de Paris a intégré le centre de formation dans la foulée. Souvent surclassé, le petit attaquant (1,70 m) a attiré de nombreux recruteurs étrangers au camp des Loges.

Manchester United, Arsenal et Chelsea le convoitent


Pour l’instant, sa situation est simple. Hervin Ongenda termine la troisième et dernière année de son contrat d’aspirant qui arrive à échéance le 30 juin. Le PSG a jusqu’au 30 avril pour lui proposer de signer son premier contrat professionnel. S’il ne le fait pas, Ongenda pourra signer n’importe où sans que le PSG touche le moindre euro. Si les dirigeants parisiens lui soumettent ce premier contrat professionnel, Ongenda pourrait tout de même partir dans un club étranger. Mais ce dernier serait alors contraint de verser une indemnité de formation pour ses six années passées à Paris.

« Mon fils ne se pose pas ce genre de question, note Félix Ongenda, le père d’Hervin. Lui, il ne pense qu’au terrain et il rêve d’exploser à Paris. C’est le seul club qu’il a connu. On verra bien ce que Paris lui propose ou non d’ici quelques mois. »

Mamadou Sakho aimerait bien le voir rester à Paris. Dimanche soir, ce dernier n’a voulu faire qu’une seule déclaration : « Je tiens à féliciter le petit Ongenda. Il a fait un bon début et il ira loin. » Sakho et Ongenda ont les mêmes agents. Ces derniers ne manquent pas de travail avec la jeune perle. Plusieurs clubs anglais le suivent de très près. Notamment Chelsea, Arsenal et Manchester United. Pour son père, la possibilité de voir son fils partir aussi jeune n’est pas incongrue.

« Dans cinq mois, Hervin aura fini sa formation, explique-t-il. Il sera comme un produit fini, donc prêt à travailler n’importe où. »Le cas Ongenda va permettre d’en savoir plus sur les intentions du PSG version Qatar en matière de formation. Intégrer au groupe pro l’un des éléments les plus prometteurs du centre de formation serait un signe positif, alors que de plus en plus de pensionnaires se posent des questions sur leurs chances de percer un jour dans cette équipe galactique.

« Tout le monde me disait qu’avec le Qatar mon fils ne jouerait jamais, conclut Félix Ongenda. Là, j’ai vu Ancelotti lancer mon fils sur le terrain. En le récupérant à la descente du bus au camp des Loges après le match, je ne l’avais pas vu aussi heureux depuis longtemps. »


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Homer
posté 17/01/2013 13:08
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Mariane Amaro : "Le Portugal y arrivera !"



Seule Internationale portugaise (5 sélections) à évoluer en D1 féminine, Mariane Amaro a accepté de répondre à nos questions sur le développement de la discipline au pays d'Eusebio, Figo, Ronaldo et Mourinho. La jeune défenseuse du PSG (19 ans), dont la sélection U19 a atteint les demi-finales de l'Euro l'an passé, se montre confiante pour l'avenir. Zoom sur un talent qui ne devrait pas passer inaperçu très longtemps.

Le football masculin est roi au Portugal... Comment est perçu le football féminin ?

Le football féminin au Portugal n’a pas une place dominante mais il évolue de jour en jour. Á titre d’exemple, avant nous avions un petit article de temps en temps dans le magazine A bola, qui est un peu l’équivalent de L'Équipe en France, maintenant on a une page chaque jour consacrée au football féminin. Les matches sont de plus en plus diffusés à la télévision. La mini Coupe du monde « Mundialito » organisée par le Portugal, voit l’intégralité de ses rencontres retransmises à la télé. Le phénomène est assez récent, environ deux ans, mais c’est déjà un grand pas en avant pour le développement du football féminin au Portugal.

Sens-tu un intérêt grandissant pour le foot féminin au Portugal comme il y a pu y avoir en France après la Coupe du monde en Allemagne ?

Les gens s’y intéressent d’avantage mais pas grâce à la coupe du monde puisque le Portugal n’était pas qualifié. C’est surtout grâce aux articles qui se multiplient, les campagnes de pub organisées, le fait d’aller dans les écoles etc. Du coup les petites filles se passionnent pour le football, demandent à leurs parents si elles peuvent y jouer et ça marche vraiment ! C’est rassurant.

Que peux-tu nous dire sur le niveau des équipes qui composent le championnat portugais ? Est-ce comparable à la D1 française ?

Il y a une équipe dans le championnat qui s’appelle « 1°Dezembro » qui est presque invaincue, elle n’avait plus perdu depuis presque 3 ans avant d’être battue au mois de novembre dernier. C’est une équipe d’un bon niveau, c’est un peu le « Lyon portugais » à son échelle bien sûr. Disons que le premier du classement au Portugal équivaudrait à une équipe de milieu de tableau de D1 française comme Saint-Étienne par exemple.

Existe-t-il des centres de formation pour former des jeunes joueuses ?

Non il n’y en a pas. Mais la mise en place d’un centre de formation tel que Clairfontaine serait un tremplin pour le foot féminin.

46ème au classement Fifa, le Portugal ne s’est jamais qualifié pour une compétition internationale, comment l’expliques-tu ?

En sénior jamais, mais en U-19 nous nous sommes qualifiées pour la première fois à l’Euro l’année dernière. C’était l’euphorie dans le pays et nous nous sommes hissées jusqu’en demi-finale ce qui était une excellente performance. Pour l’équipe sénior, il y a un encore une différence de niveau avec les autres équipes, une différence au niveau des moyens également mais nous sommes en pleine évolution donc nous verrons par la suite.

La coupe du monde 2015 au Canada, tu y penses ? C’est un rêve pour toi ?

Oui j’y pense, évidemment c’est un objectif, après si ce n’est pas pour 2015 ça sera pour plus tard mais je suis convaincue qu’on y arrivera !

Tu as été sélectionnée avec l’équipe A portugaise pour disputer le tournoi de Sao Paulo au Brésil, quel(s) souvenir(s) en gardes-tu ?

C’était super ! On a eu la chance de se confronter à des grosses équipes pour progresser. Malheureusement on a loupé la finale à la différence de buts, c’était assez serré alors qu’on était les outsiders. Nous avons terminé quatrième mais nous nous sommes vraiment bien défendu, je pense que la place à laquelle nous avons terminé ne reflète pas ce que nous avons montré sur le terrain. Néanmoins cette expérience nous a fait grandir en tant qu’équipe ce qui est très positif.

Tu as la double-nationalité, portugaise et française, pourquoi as-tu choisi de jouer pour l’équipe du Portugal plutôt que pour l’équipe de France ?

Je devais avoir 16 ans, on m’a contacté pour faire un stage d’un week-end au Portugal. Je suis partie vers l’inconnu, je ne connaissais pas un mot de portugais mais tout s’est très bien passé. Ça s’est fait aussi simplement que ça. Les filles de l’équipe ont pris le temps de m’apprendre le portugais, maintenant je peux tenir une conversation.

Recrutée par le PSG il y a trois ans, tu n’as joué qu’un bout de match cette année. Quel était ton objectif ? Tu serais prête à tenter l'étranger ?

Honnêtement, je ne m’étais pas vraiment fixé d’objectifs, je m’embarquais dans une aventure dans laquelle je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. En passant dans un club professionnel je savais que j’allais me retrouver avec des joueuses très talentueuses, certaines ont beaucoup plus d’expérience que moi et j’ai beaucoup, beaucoup de choses à apprendre. Je ne regrette pas du tout ce choix de carrière, je suis là pour apprendre. J’aurais pu partir dés cette année dans un club aux États-Unis notamment, mais au final j’ai décidé de tenter l’aventure ici et pour le moment je ne compte pas partir. Étant donné que j’ai eu l’occasion une fois, je me dis qu’elle se représentera surement à nouveau. Pour l’heure je vis ce que j’ai à vivre ici et on verra pour la suite.

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Noreaga
posté 26/01/2013 16:47
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Arrondel plus près des étoiles
Abder Zouina | Publié le 26.01.2013, 07h00



Depuis le mois de juillet et le stage d’avant-saison à Stegersbach (Autriche), Carlo Ancelotti intègre régulièrement des jeunes issus de la pouponnière du PSG aux entraînements de son groupe professionnel. « C’est une marque de confiance mais aussi une chance pour nous de montrer notre progression. Je fais tout pour être à la hauteur et pour ne pas le décevoir », confie Alvin Arrondel (19 ans), défenseur central et capitaine de la CFA, qui a vécu d’autres moments aussi intenses en prenant place notamment sur le banc des remplaçants lors des matchs contre Arras en 32es de finale de Coupe de France, puis face à Toulouse au Parc des Princes en 16es de finale, mercredi.


« Je vis intensément tous ces moments fabuleux. Je prends tout ce que l’on me donne. J’en profite pour emmagasiner de l’expérience en me donnant à fond », exprime l’enfant de Pontoise, qui s’est formé au football durant dix ans dans le petit club d’Osny (Val-d’Oise). « Comme tous les gosses, je rêvais d’être footballeur, mais sans réellement penser que j’y arriverais », se rappelle Alvin, qui a passé avec succès la détection des 14 ans Fédéraux de l’Entente Sannois-Saint-Gratien. « Quand on m’a demandé à quel poste je jouais, j’ai dit défenseur central, alors que je jouais en réalité no 10 à Osny. Je dépannais seulement en défense centrale quand il manquait du monde. » Et ça passe.

Humilité lucide

A tel point que le bonhomme, qui s’impose dans l’axe, est repéré peu de temps après par Pierre Reynaud, l’un des hommes de la cellule recrutement du PSG. « Ils ont approché ma famille, qui était d’accord. Ma mère adore le football, mon père et mon beau-père également. Moi, ce qui me faisait rêver, c’était le PSG », poursuit le jeune homme, dont le désir va être assouvi d’une manière pour le moins amusante. « Un jour, Jérôme Klein, mon coach de l’Entente, me convoque. Il avait sur son bureau plusieurs sollicitations de clubs de Ligue 1. Et, sans me dire lesquels, il me demande dans quel grand club j’aimerais jouer. J’ai répondu : Au PSG.Eh bien, c’est là que tu vas aller, m’a-t-il lâché. A part Toulouse, je n’ai jamais su quels étaient les autres. »

Dès son arrivée en 2008 au centre de formation du PSG, où il évolue avec les 16 ans Nationaux, Alvin s’impose par ses qualités de joueur, mais également pour son état d’esprit irréprochable. Sacré vice-champion de France U17, champion de France, puis vice-champion U19, il est international tricolore U17 (11 sélections) et U18 (9 sélections). « Il progresse à son rythme et devient mature. C’est un garçon posé, réfléchi, lucide, dit de lui Franck Rizzetto, son entraîneur en CFA. Le fait qu’il ait été nommé capitaine n’altère en rien son rendement. Il assume parfaitement son rôle. Il n’a pas pris la grosse tête parce qu’il s’entraîne avec les pros. Il a les qualités techniques pour jouer au milieu, mais son poste de prédilection reste en défense axiale. »

Stagiaire 2e année, Alvin Arrondel arrivera à l’issue de la saison à la fin de son cycle de formation avec le PSG. Mais le garçon est fixé pour l’instant sur un autre souhait. « Bien sûr que j’aimerais signer un contrat professionnel au PSG. Mon espoir est de multiplier les entraînements avec ces pros, tous ces grands noms. Ce sont d’immenses champions qui font tout ce qu’ils peuvent pour mettre les jeunes à l’aise », confie admiratif Alvin, lequel n’ignore surtout pas qu’il peut retourner à tout moment avec ses camarades de CFA. « Je n’oublie pas d’où je viens », dit-il, avec une humilité lucide. Déjà la marque d’un jeune champion…


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roro10
posté 08/02/2013 19:41
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Ongenda « Je suis fier ! »

Image attachée

Jeune joueur prometteur du Paris Saint-Germain, Hervin Ongenda (17 ans), a accepté de répondre à nos questions. Un entretien réalisé par Antoine K.

Âgé de seulement 17 ans, Hervin Ongenda est déjà considéré comme la pépite du centre de formation du Paris Saint-Germain. Entré en jeu face à Arras, il a impressionné par sa maturité. Les commentaires qui ont été fait démontrent que le jeune parisien est très prometteur, ce qui est d’ailleurs de l’avis de Carlo Ancelotti.

Hervin Ongenda : « Après le match, Carlo Ancelotti m’a dit qu’il était très content de mon entrée en jeu. C’est une grande satisfaction ! J’attendais ça depuis très longtemps. »

Il avoue lui aussi avoir bien aimé sa première expérience en coupe de France face à Arras, où il a joué aux côtés de Mamadou Sakho, Ezequiel Lavezzi, Javier Pastore ainsi que tous les autres joueurs professionnels.

Hervin Ongenda : « Au moment de rentrer, j’ai eu du mal à réaliser. C’était vraiment un sentiment particulier. J’ai vécu ça comme un grand moment de joie ! »

Face à cette entrée en jeu concluante, des rumeurs de départ se sont rapidement propagées dans la presse. Le lendemain, on pouvait lire par exemple que Manchester City était intéressé.

Hervin Ongenda : « C’est totalement faux ! » m’a t-il confié.
« Je n’ai reçu aucune proposition, et tout ce que l’on a pu lire dans la presse a été inventé. »

Il se veut d’ailleurs rassurant quant à son avenir dans le club de la capitale.

Hervin Ongenda : « Le PSG est devenu un très grand club, l’équipe tourne vraiment bien. Pour moi, c’est une grande fierté d’évoluer dans une équipe pareille, je ne suis pas pressé et il n’est pas question de partir. »

On devrait ainsi pouvoir le revoir très prochainement en équipe première, et pourquoi pas une nouvelle fois en coupe de France. Mais pour l’instant, il reste concentré et ne souhaite pas griller les étapes.

Hervin Ongenda : « J’espère retourner en équipe première le plus rapidement possible. Franchement, je fais beaucoup d’efforts, et je travail énormément aux entraînements pour avoir un jour la chance de jouer au Parc des Princes avec le maillot du PSG, mon club de cœur. Mais je n’ai pas envie d’aller trop vite. » a-t-il conclu.


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