Citation
Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération cellulaire anormalement importante au sein d'un tissu normal de l'organisme, de telle manière que la survie de ce dernier est menacée. Ces cellules dérivent toutes d'un même clone, cellule initiatrice du cancer qui a acquis certaines caractéristiques lui permettant de se diviser indéfiniment. Au cours de l'évolution de la maladie, certaines cellules peuvent migrer de leur lieu de production et former des métastases. Pour ces deux raisons, le dépistage du cancer doit être le plus précoce possible.
« Cancer » est un terme général désignant une maladie pour lesquelles certaines cellules d'un organisme adoptent un comportement anormal caractérisé par1,2,3,4 :
une indépendance vis-à-vis des signaux qui stimulent normalement la prolifération cellulaire ;
une insensibilité aux signaux et mécanismes anti-prolifératifs ;
une capacité proliférative qui n'est plus limitée (croissance à l'infini) ;
la disparition du phénomène d'apoptose ;
une capacité anormale à susciter l'angiogenèse ;
et l'acquisition d'un pouvoir invasif et de production de métastases.
Les nouvelles cellules résultantes, dites « cancéreuses » ou « tumorales » peuvent former une tumeur maligne (un néoplasme) ou se propager à travers le corps.
Les facteurs de risques sont internes (génome, mutation5, etc.), induction par un agent infectieux, etc. et/ou externes (alimentation, exposition à des substances cancérigènes ou à des conditions telles que l'irradiation, etc.). Des facteurs hormonaux, épigénétiques et psychosomatiques sont possibles. 90 à 95 % des cas de cancers ne sont pas attribuables à des mutations génétiques6.
Durant la dernière décennie, plusieurs types de cancers semblent en augmentation, si dans certains cas cette progression est facilement liée à des facteurs de risque identifiés (tabac, alcool, polluants industriels reconnus cancérigènes, obésité, sédentarité, exposition au soleil) dans certains cas il est difficile d'attribuer à des facteurs précis l'augmentation observée. L'amélioration des outils de diagnostic7 et le vieillissement de la population8 expliquent une part importante de la progression de l'incidence de certains cancers. À l'inverse une étude de l'Institut de veille sanitaire montre que les cancers de l'estomac, de l'oesophage (chez l'homme), du col de l'utérus et le lymphome Hodghinien ont régressé entre 1980 et 20009.
« Cancer » est un terme général désignant une maladie pour lesquelles certaines cellules d'un organisme adoptent un comportement anormal caractérisé par1,2,3,4 :
une indépendance vis-à-vis des signaux qui stimulent normalement la prolifération cellulaire ;
une insensibilité aux signaux et mécanismes anti-prolifératifs ;
une capacité proliférative qui n'est plus limitée (croissance à l'infini) ;
la disparition du phénomène d'apoptose ;
une capacité anormale à susciter l'angiogenèse ;
et l'acquisition d'un pouvoir invasif et de production de métastases.
Les nouvelles cellules résultantes, dites « cancéreuses » ou « tumorales » peuvent former une tumeur maligne (un néoplasme) ou se propager à travers le corps.
Les facteurs de risques sont internes (génome, mutation5, etc.), induction par un agent infectieux, etc. et/ou externes (alimentation, exposition à des substances cancérigènes ou à des conditions telles que l'irradiation, etc.). Des facteurs hormonaux, épigénétiques et psychosomatiques sont possibles. 90 à 95 % des cas de cancers ne sont pas attribuables à des mutations génétiques6.
Durant la dernière décennie, plusieurs types de cancers semblent en augmentation, si dans certains cas cette progression est facilement liée à des facteurs de risque identifiés (tabac, alcool, polluants industriels reconnus cancérigènes, obésité, sédentarité, exposition au soleil) dans certains cas il est difficile d'attribuer à des facteurs précis l'augmentation observée. L'amélioration des outils de diagnostic7 et le vieillissement de la population8 expliquent une part importante de la progression de l'incidence de certains cancers. À l'inverse une étude de l'Institut de veille sanitaire montre que les cancers de l'estomac, de l'oesophage (chez l'homme), du col de l'utérus et le lymphome Hodghinien ont régressé entre 1980 et 20009.