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Alex177
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N'Gog proche de Reims

Agé de 25 ans et formé au Paris-SG, David N'Gog devrait retrouver la Ligue 1. L'ancien joueur de Liverpool, de Bolton et de Swansea est sur le point de s'engager avec Reims.
G. D
Lequipe.fr
Varino
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Coman a déjà oublié Paris

ON LUI AVAIT PROMIS l’anonymat pour avoir eu l’audace de quitter cet été, et à 18 ans seulement, le PSG pour la Juventus Turin en refusant de signer un premier contrat professionnel à Paris. Mais pour l’heure, Kingsley Coman ne regrette absolument pas son choix.
A peine débarqué à Vinovo, le centre d’entraînement de la Juve, le voilà déjà titulaire en Serie A. Il a disputé dimanche les soixante-huit premières minutes de la rencontre face au Chievo Vérone (1-0). Prévenu seulement le jour du match par Massimiliano Allegri, son entraîneur, afin de ne pas le faire trop gamberger, Coman a déjà séduit la presse italienne.

Son visage faisait ainsi la une dimanche matin de « Tuttosport » avec ce titre en forme de jeu de mots « COMANda Juve » (« la Juve commande »). Le néo-Turinois ne voit toutefois pas dans ce début encourageant la preuve de la pertinence de son choix. « Je me suis donné comme objectif de disputer entre quinze et vingt matchs cette saison, explique-t-il posément. On fera un bilan plus tard. En Italie, je suis vu comme une recrue et c’est donc plus facile qu’à Paris. Et tout le monde se moque de mon âge. Je suis certain que dans l’équipe, tout le monde ne sait pas que j’ai 18 ans. On ne regarde que mes qualités. En France, l’âge fait beaucoup plus débat. » Pour faciliter son intégration transalpine, Coman s’est installé avec ses parents dans un appartement à Turin. Il a arrêté ses études alors qu’il était en terminale S.

A la place du bac qu’il ne passera pas, il prend des cours d’italien et fréquente notamment Paul Pogba : « Quand les dirigeants turinois m’ont proposé leur projet, ils m’ont parlé de Paul. C’est un exemple très récent qui démontre que les jeunes ont leur chance ici. On m’avait garanti que si j’étais bon, j’aurais ma chance. C’est ce qui se passe. »

Officiellement, Coman ne ressent aucune rancoeur vis-à-vis du PSG. « J’y ai passé huit ans et c’est mon club formateur, souligne-t-il. Mais quand j’ai commencé à 16 ans avec les pros, je pensais que ce serait plus facile pour moi et que j’aurais du temps de jeu. » Néanmoins, il se braque légèrement quand on lui demande s’il a un message à adresser aux supporteurs parisiens. « Quel message ? S’ils n’ont pas compris ma décision, tant pis pour eux. C’est un choix réfléchi et je sais exactement pourquoi je suis parti. Je n’ai aucun compte à régler avec le PSG et je ne me dit pas : Tiens ils vont voir que je joue. Je voulais être considéré à ma juste valeur. Et cela, je le ressens plus en Italie qu’avant… »

Le Parisien
Homer
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F. Dja Djédjé au Dynamo Minsk

Libre depuis juillet et son départ de Sarpsborg (Norvège), où il avait signé pour trois mois après avoir quitté l’Ukraine et le Tchernomorets Odessa en mars, Franck Dja Djédjé s’est engagé mercredi pour un an et demi au Dynamo Minsk (Biélorussie). L’attaquant franco-ivoirien de 28 ans formé au PSG et passé notamment par Nice croisera Guingamp dans le groupe K de la phase de poules de la Ligue Europa.

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ILAG
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Ronaldinho signe à Queretaro

Sans club depuis son départ de l'Atletico Mineiro en juillet dernier, Ronaldinho s'est engagé sur un contrat de deux ans avec le club mexicain de Queretaro. Le Brésilien, âgé de 34 ans, portera le numéro 49. «J'ai choisi le Mexique pour l'affection que j'ai toujours reçue ici. Je suis très motivé pour représenter Queretaro», a t-il indiqué sur son compte Twitter. Queretaro avait failli être exclu du championnat mexicain la saison dernière pour des soucis de corruption et de salaires impayés.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/...ueretaro/496945
Homer
Momo Sissoko qui ne se dit "pas heureux au PSG" lors de sa dernière saison à Paris

http://levanteud.lasprovincias.es/noticias...06231205-v.html
DIDI.
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N'Gog : « Pourtant, il y a des jeunes de grande qualité au PSG... »

Parti du Paris Saint-Germain en 2008 avec une étiquette de crack, David N'Gog est revenu en France, à Reims, dans les dernières heures du mercato. Après s'être baladé entre l'Angleterre et le pays de Galles, de Liverpool à Swansea en passant par Bolton, l'attaquant de 25 ans entend bien relancer sa carrière en Ligue 1. Retrouvailles avec un prématuré.

Six ans après ton départ pour Liverpool, tu reviens en France. Comment expliquer ce retour en Ligue 1 ?
Je suis arrivé à un moment de ma carrière où j'ai besoin de temps de jeu. J'ai 25 ans, je suis parti du PSG en 2008 et depuis la Ligue 1 a beaucoup évolué. Le championnat est plus attractif et je trouvais ça important de revenir jouer dans mon pays d'origine.

Quel a été le discours de Reims alors que beaucoup d'autres clubs te tournaient autour ?
Finalement, c'est le seul club qui m'a fait une offre concrète. Jean-Luc Vasseur, l'entraîneur, a également montré un grand intérêt pour me faire venir et c'était important pour moi, vu que je le connaissais du temps où il entraînait les jeunes à Paris. La relation avec l'entraîneur est pour moi très importante, mais surtout Reims est aujourd'hui un club qui est en train de grandir avec un projet très ambitieux.

Le 18 novembre 2006, Guy Lacombe, alors entraîneur du PSG, te lance en Ligue 1 contre Bordeaux. À ce moment, penses-tu pouvoir t'imposer à Paris ?
Bien sûr ! Quand tu fais toute ta formation dans un club, surtout à Paris, tu es ambitieux, tu veux aller le plus loin possible avec lui.

Pourtant, comme beaucoup de joueurs de ta génération (Sankharé, Arnaud, Ngoyi), tu as quitté le club très jeune. Encore aujourd'hui, les jeunes issus du centre de formation comme Rabiot ou Coman sont partis ou en passe de le faire...
Paris est un club différent, où les attentes vis-à-vis des jeunes ne sont pas les mêmes. Les performances doivent être immédiates, c'est beaucoup plus dur de s'exprimer et de se faire une place. Pourtant il y a des jeunes de grande qualité...

Et en 2008, Liverpool te recrute pour deux millions d'euros. Comment ce transfert s'est-il passé ?
J'étais jeune (19 ans), mais ça a été une décision personnelle. J'ai reçu une proposition d'un très gros club, ambitieux, et j'ai estimé qu'il était temps pour moi de partir, que c'était le bon moment. C'était une opportunité à saisir et je ne le regrette pas aujourd'hui. J'ai eu la possibilité de grandir dans le meilleur championnat du monde, la Premier League.

Lors de ton départ de Paris, il y avait quand même beaucoup de doutes sur ton potentiel et tes capacités à te faire une place dans un club du calibre de Liverpool...
Je me fiche de ce que les gens pensent. La présence et le discours de Benítez ont été très importants. Je représentais un investissement et le club avait l'ambition de faire de grandes choses avec un bon groupe. J'étais très jeune, mais j'ai été très bien accueilli. Dès ma première saison, on a terminé deuxième avec de grosses statistiques. C'était un grand pas pour moi et j'ai découvert un environnement différent, le public d'Anfield qui est pour moi le meilleur du monde. C'était fantastique !

Et tu as aussi découvert rapidement la Ligue des champions.
Quand tu joues à Liverpool, tu souhaites la disputer tous les ans. Tu veux faire partie de cette compétition, te confronter aux meilleures équipes, aux meilleurs joueurs. Et cette musique...

Cette saison-là, Fernando Torres se blesse et Benítez te confie même l'attaque de Liverpool pour toi tout seul.
C'était dans la continuité. Mon adaptation se passait bien et Rafa Benítez me faisait beaucoup travailler. Il m'a beaucoup conseillé sur mon placement, l'attitude à adopter lors des phases de transition. J'ai également compris l'état d'esprit du foot anglais, et j'ai rapidement progressé.

Lors de tes premières semaines en Angleterre, tu as aussi connu les joies des tabloïds qui te prêtaient une liaison avec la sulfureuse Katrina Harrisson...
Ce ne sont que des rumeurs, cette relation n'a jamais eu lieu. J'étais jeune et j'ai compris très rapidement le jeu de la presse britannique. Il faut savoir s'en méfier.

Finalement en 2011, tu décides de rejoindre Bolton où tu resteras trois ans. Tu commences alors à être sélectionné en parallèle chez les Espoirs, quel est ton rapport au maillot bleu ?
Depuis le début de ma formation au PSG, j'ai été sélectionné dans quasiment toutes les catégories en sélection nationale. Porter le maillot de l'équipe de France est pour moi à chaque fois un honneur. J'adorais les rassemblements avec mes potes, entendre la Marseillaise avant le coup d'envoi... J'ai envie de continuer l'aventure avec ce maillot.

Justement, il y a quelques mois, il a été évoqué une possibilité pour toi d'être également convoqué par le Cameroun dont ton père est originaire. Qu'en est-il de ta décision ?
Aujourd'hui, je me concentre sur mon club, c'est le plus important. Le Cameroun est une grande sélection, je suis très heureux d'avoir une possibilité d'évoluer avec ce pays, mais pour le moment je n'y pense pas. Le plus important, c'est le terrain et pour le moment je n'ai reçu aucune convocation.

Avant de rejoindre Reims cet été, tu as effectué une pige de six mois à Swansea où tu as connu un autre grand entraîneur, Michael Laudrup. Comment s'est passée cette rencontre ?
Je ne l'ai connu que quelques semaines, car peu de temps après mon arrivée, Laudrup a été viré par le club. Mais je garde un très bon souvenir de lui. Il sait parler à ses joueurs de sa grande expérience de joueur et s'en sert pour faire comprendre sa philosophie de jeu qui est très arrêtée : les petites passes, le jeu dans les espaces...

Quels objectifs t'es-tu fixés pour cette saison ?
Jouer le maximum de rencontres et aider le club dans sa progression. En tant que buteur, je souhaite surtout marquer beaucoup de buts (il en a déjà inscrit un en amical lors de sa première apparition sous le maillot rémois contre Charleroi, ndlr) pour me refaire un nom ici en France. Prendre du plaisir pour se relancer, ça serait déjà le plus important.

Propos recueillis par Maxime Brigand


sofoot.com
corto-news
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Robin Leproux confirme son départ du groupe M6

Le départ du numéro 3 de M6 est désormais officiel. Robin Leproux, vice-président du directoire du groupe M6 et directeur général de M6 Publicité a confirmé ce jeudi matin qu'il quittait ses fonctions. Une décision que la direction de M6 a également confirmée.

Entré chez M6 en 1992, puis parti diriger RTL avant de prendre les rennes du PSG, Robin Leproux était revenu dans le giron de M6 en 2012. À la tête de la régie, poste stratégique pour un groupe de télévision gratuite, Robin Leproux avait une feuille de route assez claire: succéder à Nicolas de Tavernost.

En mai dernier, le mandat de ce dernier à la présidence du directoire du groupe M6 a été prolongé de mars 2015 à mars 2018. Robin Leproux, n'avait le choix qu'entre patienter ou partir. Il a donc choisi la seconde option.


Varino
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N’Gog, vous vous souvenez ?

Après six années en Angleterre, l’attaquant rémois formé au PSG s’est illustré pour son retour en marquant un but décisif pour la première victoire de son équipe cette saison.


« C’EST PRESQUE incroyable… » Quelques minutes après la première victoire rémoise de la saison, hier, Jean-Pierre Caillot n’était pas peu fier de ses recrues estivales. Et la satisfaction, teintée de fierté, exprimée par ces quelques mots simples du président champenois, allait plus précisément à l’endroit de David N’Gog, le premier buteur de la soirée face à Toulouse (2-0).

Il n’en revenait donc presque toujours pas d’avoir pu faire signer, même libre, un attaquant évoluant depuis six saisons en Angleterre. Certes, l’ancien international Espoirs français (25 ans) n’a pas réussi à s’imposer totalement en Angleterre, choisissant le Liverpool de Rafael Benitez à dixneuf ans (2008), mais il est parvenu à demeurer outre-Manche, fréquentant la Premier League et le niveau inférieur, au gré de ses passages à Bolton (2011-2014) et à Swansea, les six premiers mois de cette année.

Sa venue au Stade de Reims, où il s’est engagé le 1er septembre pour deux saisons, est le fruit de plusieurs facteurs. Le premier tient évidemment à la volonté du joueur. « J’avais cette envie de revenir en France et je suis content de faire partie de ce projet » , résume-t-il. Ce choix a ensuite été appuyé par son nouvel entraîneur, Jean-Luc Vasseur, qui l’a dirigé en équipe de jeunes au Paris-SG. « L’avantage, avec lui, c’est que l’on se connaît très bien et je pense que Reims est un club à sa dimension » , a ainsi résumé le technicien.

Et ce transfert fut validé par Jean-Pierre Caillot et facilité par ses bonnes relations avec l’agent de l’attaquant, Maxime Nana. « On le connaît bien au club, acquiesce le dirigeant. On a réussi à faire venir David dans les dernières heures du mercato. Je pense que l’on a réalisé un très bon coup et qu’il a bien fait de privilégier le Stade de Reims. Il est là pour se montrer et est, aujourd’hui, en pleine maturité. Après, il a accepté le salary-cap du club et il est donc bien loin des 200 000 euros qu’il touchait à Liverpool. »

SON DEUXIÈME BUT EN L 1... SEPT ANS APRÈS

Longtemps, en effet, David N’Gog vit sa destinée se résumer à sa signature précoce chez les Reds. Joueur en devenir au PSG, il ne réussit jamais à accomplir son rêve de devenir un titulaire chez les Reds. La faute, peut-être, à Fernando Torres, qui connut alors, sans conteste, ses plus belles années. Mais pas seulement. La marche était certainement trop haute pour cet attaquant longiligne capable de gestes subtils, comme son but d’hier de l’intérieur d’un pied droit bien ouvert (1-0, 13e), celui qui l’avait embêté en début de semaine, compromettant, un temps, sa participation au match.

Si le joueur a forcément évolué, progressé même, il a gardé sa réserve naturelle. Ne comptez donc pas sur lui – pas encore – pour tirer un bilan de sa première partie de carrière, que certains qualifieraient sans doute un peu vite de « gâchis ». « J’ai beaucoup appris en Angleterre, ce fut une bonne expérience, leur répond-t-il poliment, lui qui n’avait marqué qu’une seule fois en Ligue 1 jusqu’alors (*). Mais je ne peux pas comparer avec le Championnat de France. Cela ne fait que deux semaines que je suis ici et j’essaie de m’adapter, tranquillement. »

Son entraîneur est évidemment optimiste, après une telle entrée en matière, qui aura duré 63 minutes (remplacé par Gaëtan Courtet). « Il a marqué et il a réussi un bon match, analysait Jean-Luc Vasseur. Il peut beaucoup nous apporter et il a tout pour réussir. »

L'Equipe
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Jean-Eudes Maurice file en Inde

RMC SPORT la rédaction Publié le 20/10/2014 à 12h18

L’ancien Parisien Jean-Eudes Maurice, évoluera désormais en Indian Super League. L’attaquant haïtien de 28 ans, qui avait notamment été prêté à Lens et au Mans, évoluera au Chennaiyin FC, aux côtés de Marco Materazzi. Le club indien a également annoncé s’être attaché les services d’Eric Djemba-Djemba, ancien milieu de terrain camerounais de Nantes ou encore de Manchester United.
Écrit par la rédaction
liampsg
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Affaire Fiorèse: vers un renvoi devant les assises

Le parquet de Chambéry a demandé le renvoi devant les assises de Savoie de six des huit personnes soupçonnées d'avoir participé à l'enlèvement avorté de l'ex-footballeur Fabrice Fiorèse en septembre 2012. Parmi elles figurent l'ancien ami et coéquipier de Fabrice Fiorèse à l'Olympique Lyonnais, Ghislain Anselmini, soupçonné par la justice d'être le commanditaire du rapt raté, mais aussi les trois ravisseurs présumés du sportif, dont deux sont toujours incarcérés.

Dans son réquisitoire définitif, le parquet de Chambéry a également formulé une demande de non-lieu, faute de charges suffisantes, à l'encontre d'un couple également soupçonné d'être impliqué dans cette affaire. L'une des deux personnes était incarcérée au moment des faits.

Le 28 septembre 2012, l'ancien footballeur international, alors âgé de 37 ans, avait été enlevé sous les yeux de son épouse par trois hommes cagoulés et armés qui l'attendaient à son domicile de Salins-les-Thermes, en Savoie. Contraint de monter dans sa propre 4x4, l'ancien pensionnaire du Paris Saint-Germain et de l'Olympique de Marseille était parvenu à s'échapper quelques minutes plus tard en brisant une vitre du véhicule, alors ralenti par des embouteillages.

Source :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/...les-assises.php
Homer
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Claude Makelele démis de ses fonctions d'entraîneur

Deux jours après la défaite à Guingamp (0-1), Claude Makelele a été démis de ses fonctions et n'est plus l'entraîneur de Bastia, 19e de Ligue 1. Le club corse a annoncé ce lundi que Ghislain Printant et Hervé Sekli allaient assurer l'intérim.

Claude Makelele (41 ans) a été démis de ses fonctions d'entraîneur de Bastia, a indiqué ce lundi le club corse. Cette annonce fait suite à la nouvelle défaite des insulaires, samedi à Guingamp (0-1), qui les place désormais en 19e position au classement de Ligue 1. Nommé l'été dernier en remplacement de Frédéric Hantz, dont le contrat était arrivé à son terme, l'ancien adjoint de Laurent Blanc au PSG est le premier coach de l'élite à être limogé cette saison. Il a appris son renvoi en début d'après-midi, alors qu'il s'apprêtait à avoir une réunion technique avec son staff à 14h30, qu'il a finalement annulée. «Dès cet après-midi, la séance d’entraînement sera assurée par Ghislain Printant (entraîneur de la réserve) et Hervé Sekli (préparateur des gardiens), a précisé le Sporting dans un communiqué, et ce jusqu’à la nomination du prochain entraîneur général».

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Homer
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Makelele : «J'en tirerai les conséquences positives»

Limogé de son poste d'entraîneur du SC Bastia, Claude Makelele a quitté à 15h15 le centre d'entraînement du club. Le technicien se semblait pas abattu, expliquant tirer du positif de sa (brève) première expérience d'entraîneur principal.

«Claude Makelele, quelle est votre première réaction ?

L’aventure s’arrête. Ce sont les aléas du métier d’entraîneur. Je l’accepte. Je voudrais remercier le club de m’avoir fait confiance. Ça a été un plaisir d’entraîner cette équipe. Je suis persuadé qu’ils vont s’en sortir parce qu’il y a de la qualité. Je sais que le SCB restera en Ligue 1.

Que vous ont dit les dirigeants ?

C’est une décision entre hommes. Ils m’ont expliqué leur décision. Je la comprends tout à fait. Ce sont les aléas du métier. Ça va me conforter dans ce métier-là. Avec ça, je vais apprendre encore davantage.

«Je ne ferai pas les mêmes erreurs dans l'avenir»

Que retenez-vous de cette expérience, une expérience malheureuse ?


Non, au contraire. Pour moi, ce n’est que du positif dans la mesure où c’est un apprentissage. Comme ça, je ne ferai pas les mêmes erreurs dans l’avenir.

Quelles erreurs estimez-vous avoir faites ?

Il y en a, mais ce sont des choses personnelles.

Il y a un constat d’échec dans cette première partie de Championnat pour Bastia. Quelle est votre part de responsabilité ?

Il y a plein de choses. Dans ce genre d’expérience, il faut en tirer des conséquences et j’en tirer des conséquences positives.»

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Beuzech
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Debbah nommé sélectionneur

L'ancien attaquant du Monaco et du PSG James Debbah a été nommé vendredi sélectionneur du Libéria. La Fédération libérienne lui a donné pour mission de bâtir une équipe capable de tenir son rang sur la scène internationale, elle qui n'a pas su se qualifier pour la CAN 2015. L'ancien capitaine des Lone Stars, qui avait eu un temps pour ambition de briguer la présidence de la Fédération de son pays, sera assisté dans sa tâche de son ancien coéquipier Kelvin Swebe.


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Homer
Citation
Coupet vice-président !

Le Club des Internationaux de football (CIF) vient d'accueillir deux nouveaux membres avec Grégory Coupet et Manuel Amoros, 116 sélections à eux deux. Nommé premier vice-président, l'ancien gardien de Lyon et du PSG, 41 ans, prend son nouveau rôle à coeur.

« La convention récemment signée avec la FFF doit être, pour le CIF, l'occasion d'un nouveau départ. Il faut ressouder et agrandir la famille des internationaux, lui donner une réelle visibilité et lui permettre de tenir un rôle à sa mesure dans les actions qui vont mener à l'Euro 2016. » Regroupant tous ceux ayant porté au moins une fois le maillot de l'équipe de France, le CIF, présidé par Jean Djorkaeff, se montre toujours actif sur le terrain à travers notamment des matchs à vocation caritative et humanitaire.

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lolomutch
Edel Champion

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L'Atlético de Calcutta a été sacré champion de l'Indian Super League, ce samedi à Mumbai. Grâce à sa victoire in extremis sur les Kerala Blasters (1-0) et surtout à un but inscrit de la tête par Rafique dans le temps additionnel (90e+4), sur corner, l'équipe de l'ancien gardien du PSG, Apoula Edel, excellent tout au long du tournoi et de la finale, devient le premier champion de l'histoire de ce nouveau Championnat!




lequipe.fr
Dagoberto
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Weah élu sénateur

L'ancien attaquant du PSG et de l'AC Milan George Weah (48 ans) a été élu sénateur du Liberia, en battant largement un des fils de la présidente Ellen Johnson-Sirleaf avec 78% des voix, selon les résultats officiels. Weah a été élu pour la région de Montserrado, où est située la capitale Monrovia. Le scrutin s'était déroulé le 20 décembre.


http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/...senateur/524701

Dagoberto
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Un club angolais se positionne pour Ronaldinho

Ronaldinho n'a toujours pas repris l'entraînement depuis son retour de vacances et devrait quitter le Mexique plus tôt que prévu.

Selon les médias mexicains, l'ancien barcelonais intéresserait un club angolais et le club de Kaka, Orlando City. Le Kabuscorp, ancienne équipe de Rivaldo, a confirmé avoir débuté les négociations avec Ronnie.


Golazo
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Leeds United : Ngoyi avec Bamba

Selon TMW, Granddi Ngoyi, le milieu de terrain récupérateur de Palerme, rejoint Leeds United, qui a déjà accueilli son coéquipier [b]Sol Bamba.

Après avoir accueilli Sol Bamba, Leeds United enregistre le renfort d’un autre joueur de Palerme : Granddi Ngoyi (26 ans). Sous contrat jusqu’en juin 2017, l’ancien milieu de terrain récupérateur du PSG ou encore de Troyes fait l’objet d’un prêt avec option d’achat (2 M€).
Golazo
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Alassane També au Genoa

Non conservé en 2012 par son club formateur, le PSG, après avoir été utilisé à deux reprises seulement en équipe première, Alassane També (23 ans) poursuit sa carrière à l'étranger. Après avoir évolué en Belgique avec le KV Courtrai puis au Royal Anvers, le défenseur franco-malien va cette fois découvrir l'Italie. L'ancien international français des moins de 20 ans, récemment appelé en sélection du Mali pour les qualifications à la Coupe d'Afrique des nations, s'est engagé pour quatre ans et demi avec le Genoa (8e de Serie A).
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Alambert
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Si on parle peu de lui en France, Guillaume Hoarau, arrivé à Berne l’été dernier, brille cette saison avec les Young Boys. Dimanche, l’attaquant de 31 ans a grandement contribué à la victoire de son équipe en réalisant un doublé – une reprise du gauche et une tête puissante - contre Sion (3-2). Du coup, l’international français (5 sélections), déjà deuxième buteur de la Ligue Europa (6 réalisations), est également le deuxième buteur de la Swiss Super League (9 réalisations). De quoi justifier sa prolongation de contrat signée cette semaine avec le club suisse (jusqu’en 2018).


L'Equipe
Varino
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Nambatingue Toko



PAROLES D’EX

BIEN SÛR, JE VAIS SUPPORTER PARIS PARCE QUE C’EST MON CLUB. L’OM, JE N’AIME PAS


1. « JOUER AVEC ZLATAN M’AURAIT ASSEZ PLU »
« Ibrahimovic, c’est un joueur d’une autre dimension. J’ai du mal aujourd’hui à regarder les matches en entier à la télé. Je préfère aller au stade. Quand je vais jusqu’au bout, c’est que je suis invité chez quelqu’un, mais pour regarder jouer Zlatan, je fais l’effort. Jouer avec lui m’aurait assez plu. Ses passes sont nickel, c’est toujours très propre, ajusté. Il ne court pas beaucoup et parfois, c’est vrai, cela peut être énervant, mais il peut se le permettre car il est une classe audessus de tout le monde. C’est pourquoi il fait la loi dans le vestiaire. Est-ce que j’aurais pu accepter ça ? Je ne sais pas ! Quand quelqu’un va trop loin, il faut savoir le remettre à sa place. Lorsque je jouais à Nice, à l’époque, il y avait (Josip) Katalinski, le pauvre est mort en 2011. C’était le roi du vestiaire niçois. Intouchable. Il m’engueulait souvent, refusait systématiquement mes excuses. Et, un jour, j’ai fini par l’envoyer ch… Il s’est calmé. »

2. « JE NE COMPRENDS PAS POURQUOI CLAUDE PUEL S’OBSTINE À FAIRE JOUER SON FILS »
« Claude Puel doit être honnête et sincère mais, franchement, je ne comprends pas pourquoi il s’obstine à faire jouer son fils (Grégoire) . À mon avis, son fils ne peut pas jouer à l’OGC Nice. Ou alors, c’est que les autres sont trop mauvais. S’il était bon, ça se saurait. Il a suivi son père partout, à Lille et à Lyon, mais est-ce qu’il jouait, même avec l’équipe réserve de l’OL ? Tu l’as vu jouer ? Il n’est pas bon. Les gens ne sont pas bêtes, ils voient vite qui est bon ou pas. Pourquoi je dis ça ? Parce que je le pense. Je n’ai pas de mauvais rapports avec son père. La dernière fois que je l’ai vu, c’était à l’occasion de la fermeture du stade du Ray à Nice (le 1 septembre 2013) . Les anciens joueurs niçois avaient été invités. Je me suis approché de lui et, pour blaguer, je lui ai dit : “Tu te rappelles, le 10 septembre 1983, tu m’avais cassé la jambe (lors d’un Paris SG-Monaco, 0-1) . Tu ne m’as toujours pas payé de rente. ” Je ne sais pas s’il comprend la plaisanterie ou non, mais il m’a regardé comme si je sortais une énormité. Il est un peu coincé ce garçon… »

3. « AVEC COURBIS, LE PARIS-SG SERAIT EN TÊTE AVEC DIX POINTS D’AVANCE »
« Le meilleur entraîneur de France actuellement, c’est Rolland Courbis. Il obtient toujours des résultats partout où il passe. En Ligue 1 ou en Ligue 2, où il a souvent fait remonter ses équipes. Moi, je jouerai toujours Montpellier gagnant. C’est un entraîneur qui te réserve toujours des surprises. C’est quand même incroyable les résultats qu’il obtient avec ces joueurs de Montpellier. Tactiquement, il est bon et, mentalement, il parvient toujours à transcender ses joueurs. Je ne sais pas comment il s’y prend. Et puis il a une grande gueule, réponse à tout et une bonne bouille. Il est fait pour ce métier. Pour moi, le style Courbis ressemble un peu à celui de Mourinho. Sans contester les compétences de Laurent Blanc, je suis persuadé qu’avec lui, le Paris-SG serait en tête avec dix points d’avance. Il saurait prendre Ibra parce que c’est un gros malin. Je ne le connais pas, même si je l’ai vu fracasser Lemoult (voir par ailleurs), mais j’aimerais bien le rencontrer. »

4. « À MON ÉPOQUE PARISIENNE, MARSEILLE, C’ÉTAIT LES MINOTS »
« Tout le monde parle de ce Marseille - Paris SG qui va avoir lieu ce soir mais, moi, je ne suis même pas sûr de le regarder à la télé. Bien sûr, je vais supporter Paris parce que c’est mon club. L’OM, je n’aime pas. À l’époque, quand je jouais à Paris, Marseille, c’était les minots. Ils évoluaient en Deuxième Division. La tension entre les deux clubs est venue bien plus tard, avec la prise de pouvoir de Canal + sur le club parisien. Mais je me souviens avoir joué un match de Coupe de France au Vélodrome (le 30 mars 1982) que l’on avait gagné 1-0 grâce à un but de Luis Fernandez. Il y avait un joueur là-bas, Denis Jouanne, qui avait vécu dans une caravane quand il évoluait à Valenciennes, et Luis l’avait chambré pendant tout le match. Comme il sait si bien le faire. C’était même assez amusant… »



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« Je vis avec une retraite d’ouvrier »

L’ancien attaquant du PSG, qui a fait vibrer le Parc des Princes dans les années 1980, vit dans le sud de la France. Il rêve de retrouver un jour sa famille au Tchad.


DANS LES RUELLES désertes et inondées de soleil de Vallauris, cette douce cité des Alpes-Maritimes, célèbre pour ses poteries artistiques et céramiques et qui a un temps accueilli des personnalités illustres comme Pablo Picasso ou Jean Marais, une ombre géante, protégée par un immense chapeau, se profile sur les murs jaunes parfois décrépis. Avec son feutre sur la tête, ses nombreuses bagues aux doigts et sa prestance naturelle, Nambatingue Toko ne passe pas inaperçu dans la ville endormie qui se prépare à accueillir des hordes de touristes dans les semaines à venir. Mais celui qui fut grand, très grand sur toutes les pelouses de France et notamment sous le maillot du Paris-SG dans les années 1980, ne marche plus dans les empreintes de la renommée. Le premier Tchadien devenu professionnel en France a connu ses heures de gloire avant de prendre sa retraite sportive en 1986, après une pige d’un an au Racing de Paris, et sa retraite tout court en 2013. Une retraite courte, inversement proportionnelle au talent de ce buteur d’exception de plus d’un mètre quatre-vingt-dix.

Car les aléas de la vie ont vite rattrapé celui qui n’avait plus envie de faire des efforts. Quelques missions par-ci par-là pour superviser des joueurs et des adversaires pour le compte du Paris-SG jusqu’en 1999, puis en free-lance pour presque autant de séparations, de divorces, de pensions alimentaires à payer qui lui ont tout pris. Sauf sa dignité. « Je vis aujourd’hui ici, dans un studio, avec une retraite d’ouvrier », explique discrètement la « Toke », attablé au Vallauris , un café central transformé depuis des mois en QG. La vie ne fait pas de cadeaux aux personnes généreuses et désintéressées. « Moi, je ne suis pas plus bête qu’un autre. J’ai eu des appartements à Bordeaux et dans les Yvelines. Je faisais quand même partie des joueurs qui, à l’époque, gagnaient bien leur vie. Mais les liquidations de biens, les impôts ne m’ont rien laissé. Et puis je ne suis pas un homme d’argent. Pour divorcer, j’allais au tribunal sans avocat… »

« JE MANGE, UNE FOIS PAR JOUR SEULEMENT, C’EST BON POUR LA LIGNE »

Puis, après une énième rencontre, celle de la mère de son fils de onze ans, des années passées sans rien faire en Tunisie et en Italie auprès d’une femme puissante qui travaillait à la BAD (Banque africaine de développement), Toko, père de quatre enfants, deux fois grand-père, s’est retourné sur sa vie pour constater que celle-ci lui avait beaucoup donné et surtout beaucoup pris. « Mais je ne suis pas le plus malheureux. Cela se passerait mieux avec une retraite un peu plus conséquente, cela me permettrait d’aller m’installer à Paris. Mais je vis, je mange, une fois par jour seulement, c’est bon pour la ligne et je me protège du soleil. Ah, je n’aime pas le soleil ! » L’homme pourtant n’a qu’une envie : retourner un jour, même ponctuellement, au Tchad retrouver sa famille. « Mes parents sont décédés, mais j’ai encore tellement de parents là-bas. Cela fait dix ans que je n’y suis pas retourné. Cela me manque. J’y pense même tous les jours… » Nambatingue Tokomon Dieudonné, l’un de ces grands joueurs du Parc des Princes de l’époque des Safet Susic et Mustapha Dahleb, qui ont façonné ce club de la porte de Saint-Cloud, à Paris, et tatoué à l’encre indélébile le sigle « PSG » sur le coeur de milliers de supporters, ne se plaint pas.

En Afrique, les paroles des anciens servent très souvent de paraboles aux plus jeunes. « Si tu as de nombreuses richesses, donne ton bien. Si tu possèdes peu, donne ton coeur. » Voilà la vie parfaitement résumée de ce « Tok » parfois un peu toc-toc, qui n’a jamais su se vendre et qui s’en fout royalement même si son chapeau, qui n’arrive pas à cacher des yeux espiègles, aimerait bien prendre un peu plus souvent l’air du continent de l’irrationalité. « Je suis libre, disponible pour beaucoup de choses, mais je n’attends rien de personne. » À Vallauris, l’ombre imposante du géant tchadien se faufile finalement parmi tant d’autres, beaucoup plus célèbres. Mais quelque chose nous dit que l’empereur Tok 1 y a trouvé sa villégiature. En attendant mieux. Beaucoup mieux pour un prince du Parc et de l’Afrique.



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SOUVENIRS D’EX

QUEL EST LE JOUEUR LE PLUS FORT AVEC LEQUEL VOUS AYEZ JOUÉ ?

Oh, il y en a beaucoup. À Nice, il y avait un milieu de terrain royal avec (Jean-Noël) Huck, (Jean-Marc) Guillou et (Roger) Jouve. C’était impressionnant. Et à Paris, comment ne pas citer Dahleb et Susic. Dahleb était extraordinaire. Un vrai génie. Susic aussi bien sûr, mais un cran en dessous.

QUEL EST LE JOUEUR LE PLUS MÉCHANT QUE VOUS AYEZ RENCONTRÉ ?
Rolland Courbis. Un jour, avec le Paris-SG qui jouait à Toulon, je l’ai vu défoncer (Jean-Claude) Lemoult de façon incroyable. Je crois même que Lemoult n’a pas pu finir le match. Il l’avait littéralement explosé. À l’époque, à Toulon, les défenseurs comme Courbis et (Bernard) Boissier étaient de vrais méchants.

LE JOUEUR PERDU DE VUE QUE VOUS AIMERIEZ REVOIR ?
Franchement, j’aimerais revoir tous mes anciens coéquipiers. Mais posez-moi plutôt la question de savoir qui je ne voudrais plus jamais revoir.

OUI, ALORS ?
(Alain) Giresse, (Philippe) Bergeroo et (Jean-Luc) Lamarche avec qui j’ai travaillé au Paris-SG. Giresse, c’est un incompétent, un “mouilleur”, tellement il a peur de tout. Bergeroo, un faux-cul, et Lamarche, un lèche-cul. Giresse, je respecte sa carrière, mais c’est un petit entraîneur qui ne va jamais à l’essentiel. Moi, je représentais une certaine idée du Paris-SG et j’avais l’impression que ma présence les étouffait tous là-bas.

LE JOUEUR LE PLUS FORT QUE VOUS AYEZ JAMAIS VU SUR UN TERRAIN ?
Il y en a beaucoup, mais franchement Platini était audessus du lot. Avec le PSG, en finale de Coupe de France contre Saint-Étienne (2-2, 6-5 aux t.a.b.) ,il était sur la ligne médiane quand son gardien, (Jean) Castaneda, a dégagé sur lui. Moi, j’arrivais derrière, à fond, pour le tacler, mais il avait des yeux partout. Il m’a senti arriver sans se retourner et sans contrôle a fait une transversale de quarante mètres parfaite pour un de ses potes. C’était ça Platini. Même en méforme, il pouvait faire gagner son équipe.

QUELLE EST LA PLUS GROSSE ENGUEULADE DE VESTIAIRE À LAQUELLE VOUS AYEZ ASSISTÉ ?
Une engueulade entre Jacques Robert et moi. On jouait alors tous les deux à Valenciennes. Moi, j’étais prêté par Bordeaux. À l’aller, on prend 7-0 et au retour, chez nous, 3-0. Jacques Robert n’avait fait aucun effort, et pourtant il s’était mis à gueuler. Cela m’avait énervé et je l’avais giflé. Il avait alors cassé une bouteille en verre et était venu vers moi pour m’attaquer. Alors moi aussi, j’avais cassé une bouteille et on s’était retrouvé tous les deux avec nos tessons à la main en train de se menacer. Heureusement, on nous a séparés à temps.

LA CONSIGNE D’ENTRAÎNEUR QUE VOUS N’AVEZ TOUJOURS PAS COMPRISE ?
Celle de Lucien Leduc, alors entraîneur au Paris-SG (1983-1984) . Il nous interdisait de parler lors des entraînements. Il ne voulait pas entendre un mot. C’est impossible de s’entraîner sans parler. On essayait, mais au bout de vingt secondes on se remettait à crier, à faire des appels. Dahleb hurlait : “Passe-moi le ballon”, et Leduc nous engueulait. Comment pouvait-on demander à un groupe de s’entraîner sans parler ? Je me suis toujours posé la question…

QUEL EST VOTRE PLUS BEAU BUT ?
Celui inscrit à Jean-Luc Ettori lors de Monaco-Valenciennes (0-1, en 1979-1980) . Notre gardien (Patrick) Bas dégage directement sur (Dominique) Vesir, côté droit, qui me voit faire un appel. Il me lance immédiatement, mais le ballon me passe au-dessus. Ettori s’attend à ce que je contrôle et sort. Moi, j’évite de faire un contrôle à… l’américaine et je reprends instantanément du gauche, mon mauvais pied. Dans la lucarne. Tout le monde me parle de celui que j’avais inscrit en Coupe des Coupes avec le PSG, contre le Lokomotiv Sofia. À la fin du match, à la télé, Georges Dominique me demande si c’est le plus beau de ma carrière. Je lui ai répondu : “Non, vous me connaissez, j’en ai inscrit de plus beaux. Et le plus beau, c’est celui contre Monaco.”

L'Equipe
Sneijder
Interview de Bernard LAMA issue de l'ex-magazine de jeux vidéo Player One (N°58 - Novembre 1995). On y apprend quelques informations précieuses sur la jeunesse de Dready, qui à l'époque, employait ses doigts sainement en jouant à des jeux violents sur Super Nintendo et Megadrive :

DIDI.
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Bartholomew Ogbeche : « Lire "Macbeth" m'a appris beaucoup de choses »

Bartholomew Ogbeche est un mec à la coule. Dernier à quitter le vestiaire, il erre nonchalamment dans les couloirs du stade de Cambuur et lâche de temps en temps une phrase à un dirigeant ou à un coéquipier. En anglais ou en néerlandais, peu importe : « Batho » parle les deux langues parfaitement. Puis il débarque dans un sourire : « Salut ! Ça va ? » Le français est également au poil. Rencontre avec un joueur trilingue, mais pas que, bien content d'avoir trouvé la stabilité dans le Nord des Pays-Bas, qui disserte avec facilité de son parcours parfois chaotique, de son amour immodéré du PSG et de... Macbeth.

Si j'ai bien compris, ici, on ne t'appelle pas Batho, c'est ça ?
Quand je suis arrivé au SC Cambuur et que je me suis présenté à l'équipe, je leur ai dit que je m'appelais Bartholomew Ogbeche, mais qu'ils pouvaient tous m'appeler Batho. Ils m'ont dit : « Ah non, ça va pas être possible ! On a déjà un Barto. En plus, il joue en attaque comme toi. » Barth, alors ? « Non, ça aussi on a, tiens regarde les noms sur les casiers ! » J'ai commencé à me dire qu'ils se moquaient de moi... En effet, il y avait déjà un Bartho et un Barth. Ils s'appellent tous Barth ici, c'est la première fois que ça m'arrive. Donc maintenant, pour moi ici, c'est « B ». Simplement « B ».

Tu t'es fait à la vie à Leeuwarden ?
Oui, très bien. Bon maintenant, je ne vis plus à Leeuwarden, mais à Groningen depuis une petite semaine. J'ai pas encore eu le temps de découvrir la ville, mais ça a l'air d'être une belle ville. Et puis, tout le monde m'en a dit du bien. Je me sens bien à Cambuur. J'ai eu pas mal d'offres, mais je me sens bien ici. Ça fait un an et demi que je suis ici, je me suis bien adapté et les gens sont bien, chaleureux et gentils avec moi. Dès qu'il y a quoi que soit, ils te disent qu'il ne faut pas hésiter à aller vers eux, peu importe la raison. On se sent plus à l'aise, pas comme un étranger. Donc quand le club m'a proposé de prolonger mon contrat, je me suis dit : « Pourquoi pas ? » Ça a été une décision facile.

D'autant que le SC Cambuur t'a apporté la stabilité qui t'a manqué pendant plusieurs saisons...
Tout à fait. L'Espagne, tout le monde sait que c'est un bon pays, où il fait très beau et où les gens sont chaleureux. Mais où les contrats ne sont malheureusement pas respectés. Dans tous les clubs où je suis passé en Espagne, aucun ne m'a payé. À chaque fois, je devais appeler mon avocat pour amener le club au tribunal. Moi, j'arrive toujours dans un club en toute confiance, je ne me concentre que sur le football. D'abord, on te dit que c'est la banque, que c'est ceci ou cela et au final, tu parles avec les joueurs espagnols déjà en place et on t'explique que c'est toujours comme ça. Donc tu prends un avocat et tes relations avec le club ne sont plus très fluides... Finalement, le club te met de côté tant que ce problème financier n'est pas réglé. À Alavès, on m'avait promis la Terre, le ciel, tout ce que tu veux, et au bout de quelques mois, ça ne me convenait pas. Moi, j'étais parti avec une mentalité française : je travaille donc à la fin du mois, j'ai mon salaire. Mais non. Ensuite, je suis parti à Valladolid : c'était la Liga, et le club me voulait vraiment. Je me suis dit que c'était un autre niveau, qu'ils seraient professionnels. Ça n'a pas été le cas non plus. Et puis, pour te libérer, c'était pas facile... J'en avais vraiment marre de l'Espagne. Du coup, je suis parti en Grèce à Kavala. Je dois reconnaître que la Grèce, ça m'attirait pas trop...

Pourquoi t'es parti là-bas, du coup ?
Ils ont dit oui à toutes mes demandes, donc je me suis dit OK. Ça avait l'air d'être un club sérieux et il y avait Pierre Ducrocq, que j'avais connu au PSG, qui était capitaine là-bas depuis un an. Au bout de trois mois en Grèce, je voulais repartir : pas professionnel, cinq entraîneurs en trois mois, pas le niveau de football que j'attendais, les problèmes de paiement encore... C'était n'importe quoi. J'avais l'opportunité de retourner en Espagne, mais vraiment, en dernier recours. Après, j'ai eu Middlesbrough. Je suis arrivé à la mi-septembre. C'était clair qu'il fallait que je me batte, parce que Marvin Emnes et Scott McDonald étaient déjà les meilleurs buteurs du championnat quand je suis arrivé. Ce que j'ai fait, et j'ai fini par gagner ma place de titulaire. Malheureusement, je me suis blessé à la période de Noël, quand tu joues toutes les 48 heures... Du coup, il a fallu que je recommence tout. Il fallait aussi que Middlesbrough remonte en Premier League parce qu'ils avaient des salaires de Premier League. Moi, je voulais rester, mais sans ça, ils ne pouvaient pas me garder. On a raté la montée de peu en se faisant dépasser à la toute fin par West Ham.

Et après toutes ces années de galère, plus ou moins depuis que tu as quitté le PSG, tu n'as jamais lâché prise ?
C'est vrai que c'est pas facile mentalement, mais si on a commencé ce métier, c'est par amour du football. Après, il faut faire vivre ta famille, alors il fallait juste que je change. Mais je n'ai jamais perdu espoir. Ça, je le perds jamais. J'ai toujours cru en moi.

Au point, aussi, de croire un peu trop en ce que disaient les autres, non ?
Ça, c'est le problème. J'ai toujours fait confiance aux autres parce que j'ai été élevé comme ça. Et lorsque je suis arrivé en France, on m'a toujours respecté.

Le SC Cambuur, on ne connaît pas vraiment en France...
(Il coupe) Je ne connaissais pas non plus avant de signer !

Tu peux nous en dire plus sur ce club ?
C'est un club assez familial, tout le monde est proche. Ça me rappelle un peu le FC Cadiz. Si tu veux acheter des places pour un match du mois prochain, on va te dire que tout est vendu. D'ailleurs, l'année prochaine – si je ne me trompe pas – on aura un nouveau stade. Il y a trop de demandes. On a aussi plein d'entraîneurs de qualité, comme tu peux le voir (il pointe le doigt vers le mur, qui affiche des portraits de Leo Beenhakker, Nol de Ruiter, Han Berger notamment, ndlr)... C'est un club qui essaie de monter d'un cran parce qu'aujourd'hui, on joue le maintien, mais on a l'ambition d'aller plus haut. Et puis, c'est un club sérieux : ici, on prend le petit déjeuner, le déjeuner et parfois même le dîner ensemble au club. C'est carré.

Et l'ambiance dans le stade, c'est comment ?
On n'a que dix mille spectateurs, mais c'est comme en Angleterre : de la première minute jusqu'à la fin du match, ils n'arrêtent pas de chanter. Et les tribunes sont juste à côté du terrain, donc on est poussés du début jusqu'à la fin. C'est très difficile d'entendre le public siffler les joueurs. Rien qu'avec le fait de nous voir mouiller le maillot, ils sont satisfaits. L'ambiance, ici, est assez spectaculaire.

En matière de jeu, ça donne quoi le SC Cambuur ?
Un peu comme le jeu espagnol : super technique. Super tactique aussi, mais avant tout super technique. On essaie de jouer vraiment, et surtout au sol. Ça arrive de balancer quand on perd pour mettre la pression sur l'adversaire, mais ça n'arrive pas souvent. La plupart du temps, on joue en 4-3-3 avec deux ailiers rapides. On cherche vraiment à jouer techniquement en mettant une pression assez haute pour ne pas laisser jouer les équipes. On est toujours sur la gorge de l'adversaire, même s'il s'agit de l'Ajax ou de Feyenoord.

En un an à Cambuur, tu as battu le record de buts marqués en Eredivisie par un joueur du club. Ça te fait quoi ?
C'est une satisfaction. C'est le travail qui paie. Comme t'as pu le voir, j'arrive ici très tôt et je ne suis pas pressé de rentrer chez moi. Après l'entraînement, des fois, j'appelle quelques gardiens pour continuer à bosser. Les deuxième et troisième entraîneurs sont toujours disponibles aussi, toujours dans les parages. Tout ça, je le fais avec plaisir et c'est de cette façon que mon travail aboutit. Parce que le talent sans travail, ça n'apporte rien.

Tu as aussi eu la chance de te faire accepter très rapidement des supporters en marquant, pour ton premier match, un but contre « l'ennemi » Heerenveen...
(rires) Oui, c'est vrai ! Je me suis rendu compte de ça en arrivant, j'en savais rien. C'est Dwight Lodeweges qui m'en avait parlé lorsqu'il m'avait signé – et que j'avais rencontré lors de mes six mois aux Émirats (à Al-Jazira, ndlr). Je savais juste que j'allais jouer un match contre Heerenveen, pas l'importance que ça avait pour les gens du club, de la ville, de la région même. Je me suis retrouvé titulaire alors que j'avais passé à peine trois jours avec l'équipe, et Dieu merci, ça s'est bien passé. Les gens ont eu confiance en moi, et mon histoire avec Cambuur a commencé.

Les derbys de Frise contre Heerenveen, c'est spécial, non ?
Oui, je dirais même que ça va un peu plus loin que le football. Il y a quelque chose qui va plus loin que les supporters qui ne s'aiment pas entre eux. Ils cherchent la supériorité de la ville. Des semaines, voire des mois avant ce derby, tu entends toute la ville en parler. Partout où tu vas, tu en entends parler. Ici, les gens ne parlent pas de Heerenveen, ils parlent de « l'équipe qui est à trente kilomètres ». Ils ne veulent même pas dire le nom du club ! Disons que Heerenveen se considère comme frison et Cambuur comme néerlandais. Si tu regardes les tribunes, c'est un combat de drapeaux frisons-néerlandais. Et puis, ils jouent l'hymne frison à Heerenveen... En plus, il y a toujours plus de sécurité pendant le match parce qu'il y a de la tension. C'est toujours des bons matchs à jouer, ça !

De ce que j'ai pu entendre, tu parles déjà néerlandais ?
J'essaie ! C'est une langue très difficile. Quand t'es dans un pays, t'essaies de t'adapter au mieux et t'es plus facilement intégré en parlant la langue. Donc j'essaie et j'ai pas honte de demander à mes collègues ou mes amis de me corriger. C'est qu'un bonus pour moi, donc je fais l'effort. Savoir le parler, c'est bien, mais je veux aussi savoir l'écrire et le lire. Et j'aime bien lire, en plus.

Tu lis quoi ?
Quand il s'agit d'apprendre une langue, je lis tout et n'importe quoi. C'est pas en regardant la télé ou en parlant dans le vestiaire que je vais apprendre la langue, donc il faut sortir un peu du monde du football. Je vais prendre un journal qui parle de tout sauf de foot, par exemple. Je découvre de nouveaux mots, de nouvelles phrases comme ça. Après, j'aime bien lire des romans, mais je le fais en anglais, donc quand j'arrive dans un nouveau pays, je laisse un peu ça de côté. Mais je choisirai toujours un roman plutôt que me planter devant la télé à regarder un film : polars, livres de guerre ou historiques, je lis tout. L'un des livres que j'aime le plus, c'est Macbeth. Quand j'étais plus jeune, l'histoire me paraissait compliquée, mais je l'ai relu avec l'âge et j'ai mieux compris. Macbeth, ça m'a appris beaucoup de choses. C'est bien de sortir de son monde un peu irréel, non ?

Bon, tu es très heureux aux Pays-Bas, mais s'il y avait un point négatif, ce serait lequel ?
Jusqu'ici, je n'en ai pas vraiment trouvé. Par exemple, on parle souvent de nourriture, mais moi, je mange très souvent chez moi et le reste du temps, il y a plein de restaurants internationaux. Je crois qu'il faut juste s'habituer au temps ici. Le temps, ici, c'est autre chose. On ne peut pas comparer au temps espagnol. L'hiver est assez brutal, surtout au nord. À part ça, rien à signaler.

En France, on te connaît surtout pour ton passage au PSG. Quels souvenirs tu en gardes ? Tu as gardé des contacts là-bas ?
Je suis toujours en contact avec des gens, oui. Il y a deux ou trois semaines, j'ai eu Jean-Louis Gasset au téléphone. Je parle toujours avec Pierre Ducrocq, Mounir Obbadi, Paulo Cesar... Paulo Cesar, il vit au Brésil, mais il finira un jour ou l'autre par revenir en France parce qu'il me parle souvent de rentrer à Paris. Je garde de très bons souvenirs du PSG parce que je lui dois tout. J'y suis arrivé à quinze ans, j'ai pu aller dans une bonne école internationale au Vésinet et j'ai pu combiner ça avec mon football. Et grâce au PSG, je suis devenu joueur professionnel et surtout, je suis devenu le joueur que je suis maintenant. Je serai toujours redevable envers le PSG, c'est certain. C'est mon club de cœur et Paris, ça reste ma deuxième ville après là où j'ai grandi au Nigeria. J'ai toujours mes amis de collège à Paris, ma maison à Saint-Germain...

Ça te manque Paris, des fois ?
Oui bien sûr, ça me manque ! Dès que je peux, dès que j'ai un peu de temps, j'y vais. Mais bon, tu sais, on n'a pas toujours les jours libres... Après, d'ici, c'est beaucoup plus simple d'aller à Paris que depuis l'Espagne. De Leeuwarden, tu mets moins de cinq heures pour aller jusqu'à la gare du Nord. Ça fait toujours plaisir de rentrer dans sa deuxième maison

Sportivement, quels souvenirs tu gardes du PSG ?
J'ai surtout eu la chance de rencontrer Luis Fernandez, qui m'a fait débuter au milieu de toutes ses stars. Luis Fernandez et Jean-Louis Gasset. Je garde beaucoup de bons moments en mémoire parce que c'est le rêve de beaucoup de jeunes de jouer pour le PSG, mais on n'est pas beaucoup à l'avoir fait. J'ai toujours été bien accueilli par le groupe qui ne m'a jamais vu comme le petit jeune qui veut prendre la place d'un autre. Je remercie Dieu pour ça.

Ça a bien commencé pour toi, mais ça s'est mal terminé, avec Vahid Halilhodžić qui te fait comprendre qu'il n'a pas besoin de toi...
(Il coupe) C'était bien de dire qu'il ne comptait pas sur moi. Ce qui l'était un peu moins, c'est de ne pas avoir tenu sa parole. C'est là que les problèmes ont commencé. Si je trouvais un club, je pouvais partir. J'ai trouvé le club, mais il m'a mis des bâtons dans les roues. Ça s'est mal terminé au PSG, oui, mais ça n'est pas une personne qui va me faire oublier tout ce que le club a fait pour moi. Pour moi, Vahid, c'était pas le PSG. C'était pas un bon exemple. Il m'a tellement frustré que je suis parti jouer aux Émirats. Ce qui est marrant, c'est que lorsque mon contrat s'est terminé là-bas, j'ai voulu rentrer en Europe parce que j'avais des opportunités, mais lui venait de signer en Arabie saoudite et son président me voulait dans son équipe. Je crois surtout qu'il avait un problème personnel avec moi. Mais il faut juste savoir rester humble et respecter tout le monde.

Le PSG, tu y arrives à quatorze ans. Comment ça s'est fait ?
C'est un agent que j'avais à l'époque, qui m'avait repéré lors d'un tournoi à Cape Town. Barcelone, l'Inter Milan et le PSG me voulaient. Moi, je voulais Barcelone, mais bon, il aurait fallu que mes parents viennent vivre en Espagne avec moi. Barcelone était prêt à tout prendre en charge, mais Dieu merci, je viens d'une famille assez stable et mon père ne pouvait pas laisser son boulot pour aller vivre ailleurs. Ma mère non plus. Donc le choix qu'on pouvait faire, c'était le PSG parce que mon père pouvait signer les documents pour que j'ai un tuteur et que j'intègre une école internationale.

En parlant « d'international », cela fait onze que tu n'as plus été convoqué en équipe du Nigeria. Tu le vis comment ?
Pour moi, la priorité a toujours été le club. C'est toujours bien d'aller en sélection, c'est un honneur, mais pourquoi aller en sélection quand on n'a pas trouvé sa place au sein du club ? Les années que j'ai passées en Espagne n'ont pas aidé. Maintenant, je suis plus stable et peut-être qu'ils penseront à moi. J'ai eu quelques contacts avec Sunday Oliseh qui vient d'être nommé sélectionneur depuis un petit mois. Mais bon, avant de donner un coup de main en sélection, il faut que ça se passe bien au club.

De toute façon, tu as déjà joué une Coupe du monde...
Je n'y pense pas, à ça. J'ai toujours envie de plus et ce qui est passé appartient au passé. Maintenant, j'ai juste envie d'être meilleur aujourd'hui que je ne l'étais hier. J'espère que j'aurais à nouveau ma chance, forcément. Cette Coupe du monde 2002, c'est une expérience incroyable, c'est sûr. Tu ne peux pas oublier ça. C'est le rêve de tout gamin de porter les couleurs de son pays et la Coupe du monde, c'est l'apogée du football. Mais tout ça, c'est derrière moi.

Et devant toi, qu'est-ce qu'il y a ? J'ai cru comprendre que tu étais branché tactique. Un avenir d'entraîneur dans quelques années, ça te tenterait ?
Maintenant, si tu me demandais si je suis intéressé par le métier d'entraîneur, je te dirais que non. Mais j'aime le football. Je ne suis pas du genre à simplement y jouer et arrêter une fois l'entraînement fini. J'en regarde beaucoup, je vois pas mal de matchs. Tactique ou pas tactique, je regarde les joueurs qui jouent à ma place, la façon dont ils font des efforts pour défendre. Je ne suis pas seulement un joueur de football, je suis un amoureux du football. J'aime ce que je fais. Je suis assez footeux, comme on dit.

Et dans l'immédiat, il y a quoi devant toi ?
Je viens juste d'emménager, donc c'est pas très marrant, mais demain – comme toute la semaine, d'ailleurs –, je vais faire de l'administratif !

Propos recueillis par Matthieu Rostac, à Leeuwarden


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Golazo
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Pays-Bas : nouveau doublé pour Bartholomew Ogbeche

Bartholomew Ogbeche a inscrit les deux premiers buts lors de la victoire du SC Cambuur sur le terrain de l’Excelsior Rotterdam dimanche (4-1). C’est le deuxième doublé de l’attaquant nigérian formé au PSG (31 ans) après celui lors de la victoire contre le NEC Nimègue (3-0) le 12 décembre. Il en est désormais à neuf buts en 14 matches de Championnat. Grâce à cette deuxième victoire consécutive, Cambuur remonte à la 18e place d’Eredivisie et compte provisoirement deux points de retard sur le premier non-relégable, Willem II.
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P.O.M.
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LE CORPS DE STEVE GOHOURI RETROUVÉ DANS LE RHIN

Triste nouvelle en Allemagne.

Le corps de l'ex-international ivoirien aux 13 sélections, Steve Gohouri, a été retrouvé ce jeudi dans le Rhin, près de Düsseldorf. Porté disparu depuis le 12 décembre, l'ancien joueur du Borussia Mönchengladbach avait assisté à la fête de son club avec lequel il s'était récemment engagé, à Steinbach toujours en Allemagne, avant d'avouer à ses amis qu'il comptait rejoindre sa famille à Paris, pour les fêtes. Malheureusement, l'autopsie d'un corps retrouvé dans le fleuve traversant le Nord de l'Allemagne a confirmé son identité, d'après le rapport de la police. Aucun signe de violence n'a été découvert jusqu'à présent.

Steve Gohouri était âgé de 34 ans.


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giovanni pontano
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Kinglsey Coman (Bayern Munich) élu meilleur jeune joueur du monde

Selon un classement de cinquante joueurs de moins de vingt ans établi par le quotidien italien La Gazzetta dello Sport, Kingsley Coman a été élu meilleur jeune joueur du monde. L'attaquant du Bayern devance Leroy Sané (Schalke 04) et Youri Tielemans (Anderlecht).Augustin est 50ème.

Lequipe
Dagoberto
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Nenê: "J'aurai pu porter le maillot du Brésil si j'étais resté au PSG"

Interrogé par Globoesporte.com, l'ancien milieu offensif du PSG, Nenê, est revenu sur son départ du club parisien pour le Qatar. L'actuel joueur du Vasco de Gama a également avoué qu'il aurait pu porter le maillot de la Seleção s'il était rester à Paris:
"Je suis resté longtemps en Europe, j'ai évolué pour plusieurs clubs. Après Paris, je suis allé au Qatar, il n'y avait pas de supporters. L'adaptation fut compliquée. J’étais bien physiquement, j'aurai pu continuer à Paris. J'aurai pu jouer en Seleção. Carlo Ancelotti m'avait conseillé d'être patient, de ne pas partir. Mais réellement la proposition était irrécusable. Je devais aussi penser à ma famille."


http://www.sambafoot.com/fr/informations/7...te_au_psg_.html

J'ai une famille à nourrir ©
Golazo
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Foot - Transfert - Shanghaï Shenhua libère Momo Sissoko

Arrivé au Shanghaï Shenhua l'été dernier, Momo Sissoko n'y a plus sa place après le recrutement de nombreux joueurs étrangers (D.Ba, Guarin, O.Martins...) dont le nombre est limité par la fédération chinoise. Du coup, le milieu malien de 31 ans passé par Auxerre, Valence, Liverpool ou encore le PSG a été libéré de son contrat.

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Lokomotivé
Pochettino, grosse tête et petite poche

Il y a vingt-neuf ans, Marcelo Bielsa sortait de son lit Mauricio Pochettino pour l'embarquer avec lui à Rosario. C'était en 1987, bien avant que l'ancien élève ne révolutionne le foot anglais par ses idéaux et n'amène Tottenham aux portes d'un éventuel premier titre de champion depuis 1961. En se servant des bases du travail de Bielsa pour l'adapter à sa façon. Sur un tableau noir et avec la mèche parfaite en plus.




D'un côté, une Fiat 147 modèle 1985. De l'autre, posée sur la table d'un bureau de Rosario, une carte. Pour tout prévoir, tout contrôler, signe du caractère carré d'un homme poussé à son paroxysme. Au centre du plan, des zones définies par des traits fins. Il y en a soixante-dix pour couvrir 25 000 kilomètres. Au total, le voyage se décompose en cinq étapes de 5 000 kilomètres chacune. À chaque arrêt, à chaque village, le même rituel : rencontrer le meilleur observateur en matière de football du coin. Sur la RN 33, au cœur de la province de Santa Fe, le village de Murphy et ses quelque trois mille habitants. La scène se déroule en 1987. Marcelo Bielsa, alors élève de Jorge Griffa au sein de l'académie de Newell's Old Boys, vient d'entamer un périple initiatique à travers l'Argentine pour dénicher de jeunes joueurs et leur éviter de rejoindre les grands clubs de Buenos Aires. L'autre objectif est de griller le voisin détesté de Rosario Central, institution dont le père de Marcelo, Rafael, est supporter. L'hiver est costaud, il fait froid, mais Bielsa sait ce qu'il veut et est prêt à tout faire pour l'avoir, avec le rêve assumé de reprendre l'équipe première des Leprosos quelques années plus tard, derrière José Yudica.

Les jambes et la ligne

La Fiat 147 de Bielsa et Griffa débarque dans la province de Santa Fe, et les deux hommes assistent avec attention aux interminables picados à travers les villages de la région.
Pendant ce temps-là, Mauricio Pochettino, 13 ans, passe ses journées entre les bancs de l'école et le foot dans les rues de Murphy. Il ne peut passer sous l'œil de Bielsa jusqu'à ce que l'un de ses entraîneurs ne le recommande à celui qui est à l'époque surnommé El Cabezon, soit la grosse tête. Pochettino est alors considéré comme le meilleur gamin de la zone. Bielsa et Jorge Griffa grimpent alors en voiture, s'enfilent 200 kilomètres en pleine nuit et débarquent à Murphy à deux heures du matin. Dans l'une des rares interviews qu'il a données, il y a quelques années, Mauricio Pochettino raconte l'épisode au journal espagnol El Mundo : « Dans un premier temps, ma mère ne voulait pas ouvrir la porte, et finalement, mon père leur a offert un café. Ils ont demandé s'ils pouvaient me voir. Moi, j'étais en train de dormir. Mon père les a emmenés dans ma chambre, et Bielsa a demandé à voir mes jambes. Il a regardé et a dit : "Quelles jambes de footballeur !" » Quelques mois plus tard, Pochettino débarque à Rosario, et Bielsa a réussi son pari : le petit Mauricio n'a pas signé à Rosario Central.

C'était il y a 29 ans et l'histoire a écrit une partie de la légende de Bielsa. Mais aussi un prologue de celle de Mauricio Pochettino. Car au début des années 90, les deux hommes, Marcelo Bielsa sur le banc de l'équipe première et Pochettino en défense centrale avec Fernando Gamboa, remporteront un titre de champion d'Argentine en 1991 et un tournoi de clôture en 1992. Le tout avec une équipe de cannibales affamée de titres et libérée par la folie de son entraîneur. Il y a quelques semaines, celui qui est aujourd'hui entraîneur de Tottenham et qui rêve doucement d'un titre de champion d'Angleterre en mai prochain est revenu sur cette période : « Quand on a remporté ces titres, et quand on a atteint la finale de la Copa Libertadores (en 1992, face au São Paulo de Rai et Cafu, ndlr), on était une équipe similaire à celle que j'ai aujourd'hui. Que ce soit en matière de moyenne d'âges ou sur le plan de la balance entre jeunesse et expérience de mon effectif. On avait de très bons jeunes à l'époque - comme moi - et des mecs de grande expérience. Une balance identique, un projet identique. » Voilà où en est aujourd'hui Pochettino, après dix-huit années passées sur les pelouses entre Newell's, la France et l'Espagne. Comme son maître, le jeune Mauricio est passé de l'autre côté de la ligne. « Déjà quand il était joueur, il aimait parler tactique avec moi, confie son ancien entraîneur Luis Fernandez*. Il était toujours dans l'analyse, la discussion et travailler avec des joueurs comme ça, c'est un plaisir. Il a puisé dans tous les coachs qu'il a rencontrés au cours de sa carrière et a construit un staff solide qui le suit partout. C'est sa force, avec son calme naturel. »



La révolution du 9
Il le sait et l'assume, la comparaison avec Marcelo Bielsa est naturelle.

« Certaines personnes disent que je suis bielsista, mais je pense avoir développé mes propres caractéristiques et mon propre style de jeu. On est similaires sur certains points, mais complètement différents sur d'autres, même si je ne peux pas nier qu'il m'a inspiré » , avait expliqué il y a quelques années le coach des Spurs, qui a débuté sa carrière de coach en 2008 auprès de l'équipe féminine de l'Espanyol, à Barcelone. Depuis, le refrain est identique, en Catalogne, à Southampton et aujourd'hui à Londres, Pochettino a doucement amené une certaine conception du football. Sa conception, ses idéaux et sa marque de fabrique, notamment au cœur d'un football anglais qui avait besoin d'un certain renouveau. Le gosse de Murphy a gardé de Bielsa le mouvement perpétuel, la condition physique optimale et le dépassement mental. Il a installé une défense à quatre plutôt qu'une défense à trois chère à l'ancien coach de l'OM et a surtout réinventé le rôle de l'attaquant de pointe. Il suffit de poser son regard sur le jeu de Kane ou de se repasser les bandes du Rickie Lambert de Southampton pour le voir. Sur le tableau, Pochettino installe un 4-2-3-1 qui, en phase offensive, se déforme en un 4-2-4 assez net où l'attaquant de pointe décroche en permanence pour installer le mouvement et libérer les ailiers que l'entraîneur argentin affectionne particulièrement. Que ce soit Chadli et Lamela à Tottenham, ou Lallana, Davis et Ward-Prowse chez les Saints, hier.

Là est toute la différence du football à la Pochettino qui tourne autour d'un pressing haut, intense et qui commence « au gardien adverse, là où Klopp le démarre sur un bloc médian étouffant » , comme il l'avait expliqué peu avant la rencontre entre Tottenham et Liverpool en octobre dernier. Mauricio Pochettino accepte la patience, l'attente et la construction, loin du style heavy metal dicté par le technicien allemand. Avec pour clé de la réussite des ailiers, décisifs dans la dernière passe, là où l'ancien entraîneur de Dortmund favorise la technique et la vivacité. Au fil des années, Mauricio Pochettino est devenu un mix où il favorise la jeunesse dans un onze type où le joueur le plus âgé est Hugo Lloris (29 ans). « C'est un sujet récurrent dans le football. On veut essayer de montrer que l'on peut réussir avec des jeunes joueurs, de bons jeunes qui ont la bonne mentalité et la faim du jeu » , détaillait Pochettino il y a peu. C'est le dernier aspect de sa conception du foot. Car sur ce point, il y a du Bielsa dans l'ancien joueur du PSG qui « passe une bonne partie de ses semaines à observer les catégories de jeunes de l'académie des Spurs » . L'œil et la méthode donc, comme le raconta en 2014 au Guardian Pablo Osvaldo, qui a connu Pochettino à l'Espanyol et à Southampton : « Il vous fait souffrir comme un chien. Sur le moment, vous le détestez comme vous n'avez jamais détesté personne, mais le dimanche, vous le remerciez, car ça marche. » Petite poche est devenu grande.

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Dagoberto
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MOHAMED DIARRA : « J'ÉTAIS DANS LA MÊME CLASSE QUE MAMADOU SAKHO, UN BON ÉLÈVE »

Après une trêve de plus de deux mois, le championnat danois reprend ce vendredi avec Odense-Aarhus. Seul représentant français (il est franco-guinéen) de Superliga, Mohamed Diarra (défenseur ou milieu de terrain) d'Odense présente ce championnat méconnu et ses joueurs à fort potentiel. Ancien capitaine de la réserve du PSG, Mohamed Diarra en a profité pour parler de sa rencontre avec Nasser Al-Khelaïfi et ses souvenirs du centre de formation avec Mamadou Sakho.




Mohamed, comment es-tu arrivé au Danemark en 2012 à la fin de ton contrat au PSG (ex-capitaine de l'équipe réserve, ndlr) ?
Le recruteur d'Odense est entré en contact avec mon agent qui m'a fait part de l'intérêt du club. Au départ, je n'étais pas fan, car on m'a juste dit « le Danemark » . J'ai associé le pays au froid et au Nord (rires). Mais quand je suis venu, l'environnement m'a plu. C'était un bon endroit pour moi, pour travailler dans la discrétion.

As-tu également pensé à Bernard Mendy qui a joué à Odense avant toi ?
Ouais. À Odense, on me parle toujours de Bernard Mendy. Les Danois me disent que c'est « un bon gars » et qu'il « court trop vite » . Après, c'est clair, il va vite. En tout cas, ils gardent un très bon souvenir de Bernard Mendy.

Le changement a dû être brutal pour toi après avoir connu l'environnement du PSG...
Le truc qui m'a frappé, c'est la droiture des Danois, même s'ils sont un peu froids. Ils sont aussi travailleurs et ont plus faim dans la vie de tous les jours. Je me suis senti aussi bien intégré. Depuis quatre ans, je n'ai eu aucun souci par rapport au racisme. Les Danois aiment beaucoup la France et les Français. Ici, ça me correspond bien, car je suis calme et pas « fou-fou » dans ma tête. L'environnement est posé. Rien à voir avec Paris. Dans les stades, les supporters sont passionnés, mais cool. Ils encouragent beaucoup et sont moins agressifs. Sauf peut-être à Brøndby où on retrouve un peu l'ambiance française. Au Danemark, les supporters ne cassent pas ta voiture après une défaite comme ça arrivait au PSG.

Quelle est la différence de niveau entre le championnat de France et la Superliga danoise ?
Le niveau du championnat de France est plus élevé que la Superliga danoise. Il y a aussi une grosse différence de jeu. Ici, c'est plus basé sur le physique et les courses sur le terrain. Il y a moins d'équipes joueuses au Danemark. Beaucoup d'équipes ici comme Odense joueraient le bas de tableau en France, à part le FC Copenhague qui se situe plus au niveau de la dixième place de Ligue 1. Sinon, au Danemark, le championnat de France n'est pas suivi, à part le PSG.

La Superliga reprend ce week-end. Qui sera favori pour le titre de champion ?
Le FC Copenhague.

Quels joueurs faut-il suivre pour cette deuxième partie de saison ? Qui aurait sa place dans les meilleurs championnats européens ?

Au FC Copenhague, le meilleur, c'est l'attaquant Nicolaï Jørgensen. C'est sûrement même le meilleur de Superliga. Il est fin techniquement et va vite. Il a le niveau pour percer en France ou en Europe comme d'autres joueurs du championnat. Je pense aussi à l'arrière latéral gauche suédois du FC Copenhague, Ludwig Augustinsson, et surtout au milieu de terrain Youssef Toutouh. C'est chiant de jouer contre lui, car il est très à l'aise techniquement. Il est toujours en mouvement. Dès sa prise de balle, il sait ce qu'il va faire et a un temps d'avance sur son adversaire.

Quels sont les joueurs qu'il faut suivre à Brøndby, au FC Midtjylland, à Odense ou Aalborg ?
L'arrière gauche danois de Brøndby, Riza Durmisi, aurait sa place dans un bon club d'Europe, tout comme le milieu sud-africain Lebogang Phiri. Il y a aussi Pione Sisto au FC Midtjylland. Quel joueur ! Il est très percutant et fatigue beaucoup ses adversaires. Il est présent quand il faut être décisif. Je n'ai aucun doute pour son avenir. Je pense également au milieu de terrain Rasmus Falk qui joue avec moi à Odense (il rejoindra le FC Copenhague l'été prochain), il est très fort techniquement. J'aime aussi beaucoup Lukas Spalvis, l'attaquant d'Aalborg (meilleur buteur au Danemark en 2015/16 avec 14 buts). Il a un profil à la David Trezeguet. Il n'a pas besoin de beaucoup d'occasions pour marquer. À Aalborg, il y a aussi le milieu Nicolaj Thomsen, c'est un très bon meneur de jeu. Sinon, il y a évidemment Daniel Agger. Ça fait plaisir de jouer contre un joueur comme ça. Il dégage tellement d'assurance. Il voit avant les autres au niveau du placement.

Tu as enchaîné les saisons à Odense et, en 2014, tu as eu des contacts avec Lyon et Saint-Étienne. Où aimerais-tu jouer à l'avenir ?
J'aimerais jouer en Ligue 1. Cette saison, je n'ai pas été épargné par les blessures (3 matchs joués pour l'instant), mais ça va beaucoup mieux et je suis apte pour jouer la deuxième partie de saison.

Revenons sur ton époque parisienne. Comment es-tu arrivé au PSG (en 2005) ?
J'ai grandi en Guinée et je suis arrivé à 9 ans en France. J'ai d'abord habité chez mon oncle à Créteil (Val de Marne), puis à Bondy (Seine-Saint-Denis) où j'ai commencé à jouer au football. Mes parents sont restés en Guinée. À 13 ans, notre équipe jouait dans la même poule que le PSG et c'est comme ça que je me suis fait repérer par leurs recruteurs. Voilà comment est née mon histoire avec le PSG, où j'ai effectué toute ma formation, même si Lens était aussi intéressé par mon profil au départ. Mais mon oncle préférait que je reste en Île-de-France pour avoir un œil sur moi et me soutenir.

Comment as-tu vécu tes premiers pas au PSG ?
Franchement, c'était fantastique ! Au PSG, tout était bien organisé au niveau des entraînements. C'était très professionnel. J'ai été capitaine pendant toutes les catégories de jeunes, jusqu'en équipe réserve. J'y ai côtoyé Neeskens Kebano (Genk), Jean-Chrisophe Bahebeck (Saint-Étienne), Younousse Sankharé (Guingamp), Loïck Landre (Lens) ou Mamadou Sakho (Liverpool). À l'époque, Mamadou était déjà mature et responsable. C'était un vrai leader et il aidait beaucoup les jeunes. C'était un grand frère, il nous disait toujours : « Faut pas lâcher. » Nous étions dans la même classe, et c'était un bon élève, sérieux. Je ne suis pas étonné par sa carrière, car il était vraiment déterminé.

As-tu également côtoyé Adrien Rabiot ou Kingsley Coman ?
Oui, j'ai joué avec Adrien Rabiot en réserve. Il était cool, simple et un peu timide. Pas de problème. Il faisait son taf sur le terrain. J'ai côtoyé de loin Kingsley Coman. Je n'ai pas joué avec lui, car il était plus jeune. Il jouait en pointe, percutait beaucoup et marquait énormément de buts.

As-tu eu l'opportunité de jouer avec l'équipe première ?
Parfois, Antoine Kombouaré appelait des joueurs de la réserve pour s'entraîner avec les professionnels. Il me rassurait et instaurait beaucoup de discipline. J'ai joué un match amical avec les A contre une équipe du Qatar. C'était quelques mois après le rachat du club par QSI (Qatar Sports Investment). J'avais été impressionné par Nene, Jérémy Ménez mais aussi Blaise Matuidi à l'entraînement. Ça ne m'étonne pas que Blaise Matuidi ait explosé. Dès son arrivée en 2011, il avait vraiment envie de s'imposer. Il n'avait pas froid aux yeux et jouait son jeu. Les professionnels nous encourageaient dans le bon sens. Quand tu avais besoin de crampons, ils te les donnaient.

Est-ce que les Qataris ne sont pas arrivés trop tôt pour toi, car Jean-Eudes Maurice ou Jean-Christophe Bahebeck ont eu leur chance avant avec Antoine Kombouaré ?
Non, je n'ai pas eu de regrets, car j'avais tout donné, mais j'étais triste quand j'ai quitté le PSG, car j'y ai vécu mon adolescence. Je vivais et mangeais PSG. Mais, depuis, le club a changé de dimension.

Lors de la saison 2011-12, les joueurs de l'équipe réserve du PSG avaient-ils des contacts avec Nasser Al-Khelaïfi ?
Oui, nous l'avions rencontré. Il était venu au centre de formation. Il a évoqué son envie de voir grandir les jeunes joueurs du PSG et disait qu'il « comptait » sur nous, même s'il y avait des gros investissements. Il a également dit qu'il y avait peut-être le futur Lionel Messi au centre de formation. Son discours était encourageant. Il venait parfois voir des matchs de l'équipe réserve, mais également toutes les autres catégories de jeunes. Même les 13 ans. Il était aussi venu à un dîner au centre de formation. Il nous a serré la main. Il est resté simple. C'est un mec simple. En revanche, je n'ai pas côtoyé Carlo Ancelotti. Il est arrivé quand je suis parti au Danemark.


http://www.sofoot.com/mohamed-diarra-j-eta...eve-218040.html
john doe
Info non officielle, Notre ami vikash dhorasoo passait devant le juge aujourd'hui parce qu'il a essayé d'enfumer les impôts. Près de 400 000€ de gains de Poker qu'il essayait de faire passer pour un loisir amateur. Bon il ne s'est pas pointé à l'audience.
Panenka
Citation
Foot - L2 - Brest - Le Guen en pole pour entraîner Brest (L2)

Le club finistérien, qui va changer de présidence, prépare aussi la succession d'Alex Dupont sur le banc. Et Paul Le Guen est le mieux placé. Comme révélé dans notre journal le 18 mars, Paul Le Guen figure parmi les techniciens approchés par le Stade Brestois en vue de la saison prochaine, en compagnie notamment de Christian Gourcuff et d'Olivier Guégan. Depuis, Guégan a été limogé par Reims et il est intéressé par le projet finistérien, tandis que Gourcuff, également convoité par Rennes et Nantes, n'a toujours pas donné de réponse. Mais c'est bien Paul Le Guen qui est le mieux placé pour prendre la relève d'Alex Dupont sur le banc brestois, puisque l'ancien joueur de Brest, formé au club et proche d'un des actionnaires, a rencontré pour la troisième fois des dirigeants bretons en fin de semaine dernière.Le Guen (52 ans), libre depuis son départ d'Oman en novembre 2015, s'est entretenu vendredi dernier avec le futur président du SB 29, Denis Le Saint, qui succèdera officiellement à Yvon Kermarec au mois de mai. Selon nos informations, les bases d'un contrat de deux ans ont été discutées mais l'entraîneur a demandé des garanties en termes d'effectif. Brest traverse une saison décevante et stationne actuellement à la dixième place de L2, mais le futur président veut donner une nouvelle impulsion, qui passe par un nom prestigieux sur le banc. Un autre rendez-vous avec Paul Le Guen est prévu en fin de semaine afin de poursuivre les négociations.



soken
2 entretiens avec Ancelotti parus dans le Financial Times. Google translate est l'ami des non-anglophones.
Citation
January 17, 2014 12:01 pm
Interview: Carlo Ancelotti
By Simon Kuper


The manager of Real Madrid talks about handling the pressure, the players and the demanding billionaire owners

“I have a lot of power,” grins Carlo Ancelotti, manager of Real Madrid. “Here I can decide: training at six in the morning! Training 11 in the night! But my style is not to impose. I would like to convince the players of what they are doing. This takes more time.”
We are sitting in the coaches’ office at Madrid’s spiffy new training ground, just north of the city. The Italian, his chubby frame bulging out of a bright blue Madrid tracksuit, is puffing on a cigarette, confident that the club president isn’t about to walk in and catch him smoking, as happened at a previous club. Florentino Pérez, Madrid’s president, mostly leaves his head coach alone. Ancelotti landed in Spain last summer, his fourth country in four years after jobs at AC Milan, Chelsea and Paris Saint-Germain. Though he’s much lower-profile than peers such as José Mourinho and Arsène Wenger, Ancelotti has won football’s biggest prizes. Now his task is to win Madrid the Champions League, its record 10th – the mythical la decima. There is nobody better than this international crisis manager to explain how to handle superstar players (currently Cristiano Ronaldo and Gareth Bale), difficult club presidents (previously Silvio Berlusconi and Roman Abramovich) and hysterical media. Here are the management secrets of a nice guy.

To gather them, I have got a lift from Madrid’s airport with Paul Clement, Ancelotti’s assistant manager. The burly English former gym teacher met the Italian at Chelsea, and is tipped for a solo managerial career soon. Clement’s car purrs through the soft winter sunshine to the training ground, where even on this quiet afternoon a couple of dozen journalists, television cameras and autograph hunters are waiting by the gate for something to happen.
Yet inside the training ground of the world’s richest club, life feels tranquil. Everything possible has been done to keep the hysteria outside the gate. Clement parks opposite a gleaming white Batmobile-like sports car belonging to Bale, the Welshman whom Real bought from Tottenham Hotspur last summer for a world-record fee of more than £85m.
The main building is almost empty. In the coaches’ room, Ancelotti’s son Davide, a polite, slender young man who works on his father’s staff, is reading the pink Italian daily La Gazzetta dello Sport. The surrounding hillsides have gone a wintry brown but outside the window of the coaches’ room a dozen groundsmen are tending Real’s impossibly green practice field. Ancelotti keeps his staff happy: the previous evening, he took 50 colleagues to the Basque restaurant Mesón Txistu and picked up the bill himself.
Today Ancelotti distributes excellent espressos, sits down and lights up. His mobile phone vibrates frequently but he ignores it. Talking slowly in his serviceable English, sometimes doodling with a green pen, he exudes an unhurried calm.
“Carletto”, the farmer’s son from Emilia-Romagna, has spent his adult life in pressurised environments. A canny midfielder in Italian football, he learnt leadership from his coaches, notably the Swede Nils Liedholm, who managed him at AS Roma in the 1980s. “When we played in the north, we wouldn’t go by plane, because he was afraid of flying,” says Ancelotti. “We took a train, from Rome to Milan. The train left Rome at midnight. But Liedholm went to bed early! So he would get on the train at 9.30pm and go to sleep at 10. The players would get on at midnight and not sleep. The worst preparation!” On match day the team would get to the stadium hours early and hang around the changing room. To relax the players, Liedholm would get Roma’s doctors to tell jokes. Later, as coach, Ancelotti usually did the pre-match jokes himself – even before Champions League finals. He knows a truth about top-level football: most players don’t need to be motivated. They need to be calmed down.
From Liedholm he learnt how to treat players as adults. Other coaches taught him how not to do it. Ancelotti remembers: “I had managers who said, ‘You have to do this because I tell you to.’ I didn’t understand this. I cannot be – come si dice? – authoritarian.”
In 1987, when Ancelotti was 28, already with ruined knees, Milan’s coach Arrigo Sacchi brought him north. Sacchi saw him as an on-field “conductor of the orchestra”, a midfielder without pace or exceptional skill but with a football brain. “Usually the most intelligent player is a midfielder,” Ancelotti says, and lists the cleverest he has managed. “I could say [Andrea] Pirlo, I could say Xabi Alonso, Thiago Motta, Didier Deschamps. All midfielders.”
Ancelotti provided much of the intelligence of the “Grande Milan” that won two European Cups playing perfectly orchestrated attacking football. When he entered coaching in 1992, he was a believer in Sacchi’s 4-4-2 formation. He says: “In my experience, it was the only way to play football.”
Nils Liedholm©PA
The joker: Ancelotti learnt the value of pre-match jokes from AS Roma coach Nils Liedholm
He became Sacchi’s assistant manager with Italy’s national team, then joined Reggiana in his home region. Though the club was tiny, he initially found the stress of management almost unbearable. “I said at the end of the first year, ‘I do this three or four years, and after this, holiday.’” Chuckling, he quotes Liedholm: “The coach has the best job in the world, with the exception of the matches.” But gradually Ancelotti learnt to live with the pressure, to the point where he now claims: “My ass is earthquake-proof.” The knowledge that he can be sacked any day no longer eats at him. Nowadays he even enjoys matches.
After Reggiana he coached Parma. There he had the chance to sign the “divine ponytail” Roberto Baggio. But Baggio wanted the role of playmaker, or “number 10” – a position that didn’t exist in Sacchi’s system. Ancelotti recalls, “I said, ‘No, you have to play striker.’ Baggio went to another club. That year Baggio scored 25 [actually 22] goals – for Bologna! I lost 25 goals! Big mistake.” The incident changed Ancelotti’s thinking: no system, he decided, was more important than the players. He became adaptable by conviction.
He joined Juventus, and then Milan. Managing Berlusconi’s club entails managing Berlusconi. Ancelotti – who in his autobiography jocularly calls Berlusconi “He” with a capital H – did this masterfully. He grasped the key fact: since Berlusconi owned Milan, the coach’s job was to please Berlusconi. Ancelotti says: “The tradition at Milan is to play a good style of football – differently from Juventus, where the most important thing is to win. When Berlusconi bought Milan, it was this.” Accordingly, Ancelotti constructed a very attacking line-up. “This was the only reason to play Pirlo, Seedorf, Rui Costa, Kaká, Shevchenko at the same time.” Here was another discovery: no system is more important than the club president.
Many managers tolerate no intrusion from their chairmen but Ancelotti let Berlusconi tell the jokes in the changing room. Before Milan played Juventus in the Champions League final of 2003, Ancelotti even allowed Italy’s then prime minister to sit in on his team talk.
Carlo Ancelotti©Contrasto/Eyevine
Ancelotti the player: a midfielder with a football brain
“I handed out sheets of paper with the formation and the plays,” wrote Ancelotti in his autobiography. “He wanted copies for himself. (Later I saw them published in a book by Bruno Vespa; the chairman passed them off as his own…).” Ancelotti recounts all this with humour but indulging Berlusconi was an essential career move. Better yet, Milan beat Juve on penalties. Ancelotti became one of just six men to win the Champions League as both manager and player.
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In 2005, in Istanbul, he lost the trophy to Liverpool in an unforgettable final. Milan led 3-0 at half-time, then conceded three goals and lost on penalties. Yet later that night, a relaxed Ancelotti could be seen sitting in the hotel bar, chatting cheerily with acquaintances about the sights of Istanbul. He’d done his work. Now he was off duty. Looking back, he says: “The team had done the maximum to win this game. So I couldn’t be angry. I think this was destiny.” Anyway, he adds, “Football is the most important of the less important things in the world.”
He says he has no regrets about Istanbul: “What can you do when in six minutes they score three times? It’s impossible to change something, because there is no time. I was a manager for 800 games in my career. If I had to choose two games that my team played really, really well, it would be this game. Another was the semi-final in 2007 against Manchester United.”
The smartest guys on the pitch

‘Usually the most intelligent player is a midfielder. I could say [Andrea] Pirlo, I could say Xabi Alonso, Thiago Motta, Didier Deschamps. All midfielders’
In 2007, after Milan had reached the final again, Milan’s squad gathered around a big screen at their training ground to cheer on Liverpool in the other semi-final against Chelsea. “We were shouting and howling against Chelsea,” says his autobiography. “Liverpool team hats and toy trumpets were pulled out at one point.”
The cheering worked. Liverpool beat Chelsea, and in the final in Athens, Milan got their revenge for Istanbul, winning 2-1. Afterwards Ancelotti and the players told jokes all night, trying to fix the victory in their minds forever.
At multinational Milan, Ancelotti learnt to coach players from everywhere. Once he had to brief his squad on a practical joke being prepared at the expense of newcomer Mathieu Flamini. “First you tell the Italians, in Italian,” he recalls, “then you tell the Brazilians, in pseudo-Italian, and then you tell Beckham, with grunts and gestures.” (Like most Ancelotti jokes, this one is told fondly: Beckham is a friend.)
The cross-cultural skills would come in handy. Ancelotti had dreamt of staying at Milan for ever but Berlusconi reduced funding, the team declined and in 2009 Ancelotti joined the exodus of highly skilled Italians fleeing a bad economy. Chelsea’s owner Abramovich had hired his combination of people skills and tactical nous.
Ancelotti remembers: “The first time I met Roman Abramovich he said, ‘When I see Chelsea, I don’t recognise it is Chelsea – the identity, the style of play.’” Ancelotti’s job was to give the team an identity. In London, he says, “The only problem was the language. Difficult to speak, difficult to show emotion. But the team was organised.” Chelsea won the Premier League in 2010 and then went into the FA Cup final against Portsmouth aiming for the league-and-cup “double” – a feat the club had never achieved.
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Before the final, Ancelotti did something unusual: after naming the starting 11, he asked them to decide the match strategy themselves. He recalls: “Everyone said one thing. For example, [goalkeeper Petr] Cech said, ‘You have to control the space behind, to avoid the counter-attack.’ That season we played 60 games, and 60 times I made the strategy. So I think the players understood very well what they had to do.”

Mistakes: At Parma, Roberto Baggio wanted the role of playmaker. “I said, ‘No, you have to play striker.’ Big mistake!” Baggio went on to be a top goal-scorer for rivals Bologna
Still, why try something so risky before a crucial match? “I was sure the players followed the strategy, because they made the strategy. Sometimes I make the strategy, but you don’t know if the players really understand. Sometimes I joke with the players: ‘Did you understand the strategy?’ ‘Yes, yes!’ ‘Repeat, please!’” Chelsea beat Portsmouth 1-0 to complete the double.
Ancelotti has often contrasted his own flexibility on tactics, his lack of ego and his chilled manner with a manager who could be the anti-Ancelotti: Mourinho. When Ancelotti’s Chelsea played Mourinho’s Inter Milan in 2010, Ancelotti reports in his autobiography, “We met in a corridor at the San Siro [stadium] and we made a pact: no more bickering, no more controversy. Six words, a handshake, and in 10 seconds we had an understanding.” After Chelsea won the English league, Mourinho texted Ancelotti: “Champagne.” After Inter won the Italian league, Ancelotti texted back: “Champagne, but not too much.” Nonetheless, Ancelotti’s autobiography ironically invokes Mourinho as “the Great Communicator, He who Knows, the Lord of the Press Conference, the Immense Provocateur, the Special Coach” etc. This, by contrast, is his self-description: “Here comes the fat boy with a bowlful of Emilian tortellini.”
No manager lasts long at Chelsea. In 2011 Paris Saint-Germain’s new Qatari owners lured Ancelotti to France. There he encountered a new set of national peculiarities. He says: “The problem of the English player – sometimes it’s difficult for them to understand that they don’t have to work 100 per cent in training. There are some training sessions where it’s important not to work 100 per cent. The French don’t understand why they have to work 100 per cent every day.”
Paris wasn’t professional enough. “PSG was a good experience because it was the first time in my experience to build something new. It’s different to arrive at Chelsea or Real Madrid, where you have already a good organisation of the club, a good team. At PSG you have to build everything from a low, low level,” and he rubs his hand over the table to indicate ground zero. Some past club executives have accused him of being lax with players but in Paris, Ancelotti was interventionist.

The language barrier: 'First you tell the Italians, in Italian, then you tell the Brazilians, in pseudo-Italian, and then you tell Beckham, with grunts and gestures'
The team was divided into ethnic factions. “We had the South Americans, the French, the Italians,” he says. “The relationship is not easy. The South Americans like to play with each other. The Italians the same. The players were not used to having a winning mentality. Training was at 11am usually. The players were used to coming at 10.30am, training – and at 12.30pm, 1pm, to leave the training ground. To change this was not easy, to tell them: ‘You have to stay after training, to eat properly, to drink properly, to rest.’ You cannot miss one day. It was important to have [Zlatan] Ibrahimovic, the best player with good professionalism. He was a model for others to follow in training sessions, because he concentrated every time. We took six months to have results.” In 2013, PSG became French champions for the first time since 1994.
Almost immediately, Ancelotti was off to Madrid. In the small world of top-class football, Pérez had been greeting him for years with the words: “Carlo, someday you will be my coach.” In 2006, Ancelotti had even signed a contract with Madrid but Milan hadn’t let him go. Last summer the time came. Madrid needed an antidote to Mourinho. The Portuguese had coached Real for three years, imposing his characteristic defensive football and trying to crush uppity players.
Abiding by the San Siro pact, Ancelotti will not criticise Mourinho but he does say of his own task at Madrid: “The goal is to play football a little bit differently, because the culture of this club is to play” – he blows out his cheeks, searches for the right word – “spectacular football. The supporters here are exigent. They don’t like to see counter-attack. They like to see a team that has control of the game, with possession. We are trying to follow the history, the tradition of the club.”
One thing that makes Ancelotti attractive to big clubs is that in a profession dominated by big egos, he is happy to adapt to his surroundings. In each new country, he looks for little differences. “In England, in general, teams have less tactical skills defensively,” he says. “In France, the teams are hard, physically, because there are a lot of African players. And in Spain, teams have the pleasure to play football. You have to adapt your methodology to these differences.”
Adapting when moving countries sounds obvious but many players and managers cannot do it. “It’s not easy,” says Ancelotti, “above all for players that leave England. I think of Ian Rush, Michael Owen.” The Welsh striker Rush returned from a bad year in Italy in 1988 complaining, “It was like another country.” Likewise, Owen left Real Madrid after a year, homesick for English food and weather.
The £85m man: Welshman Gareth Bale, Madrid’s recent record-breaking signing, is adapting well. “He is a humble man,” says Ancelotti
So how is Gareth Bale adapting to Madrid? “Bale didn’t have a lot of problems, because he is a humble man, not very demanding. He doesn’t want too much.” Can he speak any Spanish? “He is starting to speak. My job is to help him be comfortable on the pitch, comfortable with teammates. We have a lot of players that speak English.”
One of them is Cristiano Ronaldo. The Portuguese is Madrid’s best player but hardly an easy-going guy. Ronaldo wants Madrid to play the way he wants. How does Ancelotti manage such a big talent? “For me, it’s managing people. Managing Ronaldo is the same for me as managing Carvajal or Morata [two of Madrid’s more junior players].” In fact, says Ancelotti, superstars tend to be easier to manage because “usually they are more professional than the others. Ronaldo is really professional.” Ancelotti blows out his cheeks in admiration. He’s thankful not to have to police his star. “I don’t like to control the private life of the player, because I’m not the father, I’m not the brother.”
Footballers are much more professional nowadays, Ancelotti says, than when he played in the 1980s. The average player today “controls more his private life, his style of life”. And the average player today eats less pasta. Under Liedholm at Roma, Ancelotti marvels, “We arrived at the hotel before a match and everyone could choose from the menu! There was no diet. When I played, the feedback was: the best training was, the day afterwards you wake up with pain in your legs. If you were not able to go upstairs, it means that was fantastic training!” He guffaws. Nowadays players wear GPS devices in training, and physical trainers calibrate the right workload for each player day by day.
Today’s disciplined professionals don’t engage in power struggles with managers, says Ancelotti. Has he ever had a player he couldn’t work with? “No.” Or a player who couldn’t work with him? “No.” He puffs on his cigarette. Madrid’s players are obedient, and smart enough to adapt even if he changes formation mid-match: “When you manage top players, they understand quickly.” Xabi Alonso in particular is practically a coach on the field.
Madrid have wonderful players, and the highest revenues of any club in any sport in history (€521m last year). So why haven’t they won the Champions League since 2002? Ancelotti dodges the issue with another chuckle: “I don’t know. This is a question even the club is asking itself. In 10 years they didn’t reach the final. This is a little bit strange. But they played three semi-finals in a row. This is not bad.”
Ancelloti with Silvio Berlusconi©AFP
The president problem: There is no one better than this international crisis manager to explain how to handle difficult club owners such as Roman Abramovich and Silvio Berlusconi
To make Madrid’s wait even more irksome, Real’s next Champions League would be its record 10th. Ancelotti is tasked with delivering la decima, starting with the round-of-16 encounter with Schalke of Germany next month. Oh, and Real must also win the Spanish league, in which they currently stand third. How does Ancelotti cope with the daily pressure? “Because I have experience of this world… I’m not so depressed when the result is not good, I am not so happy when results are good. I don’t feel there is a lot of pressure on my shoulders because I love this job. The pressure on a manager is normal.” Then he walks me to reception and arranges my taxi.
One of his predecessors in Madrid’s hot seat, the Dutchman Guus Hiddink, whom Ancelotti resembles in girth and tranquillity, once explained how any manager in Spain should deal with the inevitability of being fired. “Finiquito” is what Spaniards call it. In Hiddink’s telling: “Being sacked isn’t considered a disgrace here. It goes like this: you’re called in to see the club president. ‘Mister,’ he says, ‘mister, it’s better if you don’t continue.’ He hugs you, and says, ‘Go see the treasurer tomorrow.’ The next day you go see the treasurer, you get your cheque, you go to the corner of the street and you’re given a suitcase full of money. Boom, done in one go. In Spain you’re killed romantically.”
No doubt Ancelotti will eventually experience finiquito – perhaps after winning la decima, more likely before. He won’t treat it as a disgrace. It will be just another anecdote to serve up to old friends over tortellini one evening in Emilia-Romagna. Then he’ll get another top job, because few other leading managers are internationally adaptable nice guys who can rub along with everyone from Ronaldo to Berlusconi.
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Ancelotti: The career
Reggiana 1995-96: Begins his club coaching career
Parma 1996-98: Returns to the club as manager, having played there in the late 1970s
Juventus 1999-2001: His sacking is announced halfway through the last league game of the 2001 season
Milan 2001-09: Becomes one of only six people to have lifted the European Champions Cup as both player and manager
Chelsea 2009-11: Completes ‘the double’, winning the Premier League and the FA Cup
Paris Saint-Germain 2011-13: Wins the French League
Real Madrid 2013-
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Star players:‘I don’t like to control the life of the player, because I’m not the father, I'm not the brother’
The method
Mike Forde was Chelsea’s director of football operations when Ancelotti coached the club from 2009 to 2011.
Here is his analysis of Ancelotti’s leadership style:
● The Italian, says Forde, practises “servant leadership” – he gives people a say in designing the strategy and vision. That gives them a stake in the process and increases their commitment to him.
● Ancelotti can listen. He stays “in the moment” with people. Forde says: “No interruptions, no outbursts, just a very calm and considered guy. People enjoy talking with him and therefore feel comfortable volunteering personal information about themselves.” This helps him manage them with less conflict.
● Ancelotti takes the situation seriously but not himself, says Forde. By not showing the pressure he is under, he protects others from stress.
● Many leading coaches have well-tried operating models that have brought them success. They are accordingly reluctant to change methods. Ancelotti has remained humble and curious enough to keep adapting and learning.

Citation
Lunch with the FT: Carlo Ancelotti
Janan Ganesh


The food-loving Italian talks about managing galactic egos and how big businesses like his new club Bayern Munich can still be a family
Illustration by James Ferguson of Carlo Ancelotti©James Ferguson
“German is the hardest language.” Bavaria-bound Carlo Ancelotti remembers the relative doddle of English, Spanish and French when he grapples with the snaking compound nouns of his new home. “And the verbs,” he groans, “sometimes they go in the second position in a sentence, and then again at the end.” He puffs out his cheeks and — there it is — raises the arced left eyebrow that is the most celebrated feature on his Federico Fellini face.
Even in the bland livery of successful men — navy jacket, tieless pale-blue shirt — the 56-year-old Italian football coach is distinctive enough to obviate any need for a caricature. This summer Bayern Munich joins Juventus, Milan, Chelsea, Paris Saint-Germain and Real Madrid as the sixth European super-club to submit to his leadership. He will arrive from Vancouver — where he has a home with his Canadian wife, Mariann — and he will win major prizes. We know this because he always does.
The hand that shakes mine at Babbo, an Italian restaurant of his choosing in Mayfair, has lifted the Champions League trophy three times. It is a record in the modern history of Europe’s highest competition. He has prospered in four countries. Steeped in glory, loved by players for his light touch, he is probably the most coveted coach in the world.

He is also the only one you can imagine choosing a club by the local restaurants. Food plays the cameo in most Lunches with the FT but Ancelotti, a gourmand, makes it central to this one. My resolve to order lightly — I usually avoid daytime eating altogether — melts in the glare of his keenness. We ask for some starters to share, of which the best-judged is a baked aubergine melanzane with a layer of cheese that knocks the adjacent plate of burrata into apologetic irrelevance. “You like Italian food?” he checks, and I nod, deciding not to sell him on the superiority of Spanish.
Babbo is technically superb but very Mayfair. Four old women in pearls and taffeta sit near us, two hedgies of indeterminate nationality squint at my guest between mouthfuls from the other side of the room. I give him the name of an edgier trattoria in Islington and he rolls it around his mouth a few times as if committing it to memory. This is a man who titled his autobiography Preferisco La Coppa, which declares an ambition for trophies and a taste for ham in one three-word pun.
Italians can be unswervingly faithful to the produce of their region but Ancelotti, who grew up in Emilia-Romagna in the north, veers as far as next-door Tuscany for his wine. He summons a bottle of Guidalberto — “I don’t need to try it, I know this wine” — a blend of Cabernet Sauvignon and Merlot that mimics the strength of claret without zapping you into a thousand-night coma.
For Ancelotti, football clubs are either “families”, such as AC Milan, or “companies”, of which Juventus is a purring example. With his genial style, his cultivation of personal bonds with players and directors, it is clear which he prefers. Silvio Berlusconi ran Milan as a patriarch, involving himself intimately with technical matters. The Agnelli family, which still owns Juve, preferred to put systems in place and keep itself in reserve for strategic judgments. As he raises his glass, I ask him to categorise Bayern. “I have not had so many meetings with them but I think it is a family,” he says, perhaps sanguinely of an institution that is part-owned by Audi, Adidas and Allianz. “They have former players on the board. The club is 70 per cent owned by members.”
It is certainly corporate in its ruthless pursuit of players. I wonder who he rates among the nascent talents of world football and that eyebrow vaults up again. “I cannot tell you on the record because the price will go up,” he says, before naming teenagers from France and Brazil, even taking out his phone to show me the latter. “Don’t tell Arsène Wenger!”
He is more candid about the established greats he has already managed. There is special affection for Cristiano Ronaldo, a self-motivating near-cyborg who took 3am ice baths in Real Madrid’s training complex. “Even though he had Irina Shayk waiting for him at home!” Ancelotti yelps, referring to the Portuguese’s former lover. “He does not care about money, he just wants to be the first” — meaning the best. Other favoured sons include Andrea Pirlo, who played the midfield role Ancelotti himself held down for Milan and Italy in the 1980s, and the country’s decorated goalkeeper Gigi Buffon (“I found him at 17 in the Parma academy”).
We have both ordered the lobster main course. The dish turns out to be a filleted hunk of the crustacean atop a morass of tagliolini. Like all the best pasta, it is moreish for reasons of texture rather than taste. Having no potent flavour to vie with, Ancelotti’s choice of wine suddenly comes into its own. It is as though he does this a lot.
 . . . 
Before our lunch, I tested Ancelotti’s name on friends who care little or nought for football but know their José Mourinho from their Pep Guardiola. Most had never heard of him. Two assumed I meant Claudio Ranieri of Leicester City. One knew the name but could not place the face. His lack of cut-through — which, like all things in life, fails to trouble this equable soul — owes everything to the brand of quiet leadership that is also the name of his new management book.
Babbo

Most elite coaches today are incendiary. There is Diego Simeone at Atlético Madrid, with his bandit chic. Liverpool contains, just about, the white heat of Jürgen Klopp’s enthusiasm. Guardiola is bringing his Rasputin intensity from Bayern to Manchester City. Ancelotti has none of this. “My character is quiet,” he says quietly. “It is because of my family. My father was quiet. He never shouted. He never kicked me. My mother also. That is the fundamental reason.”
His book describes a manager who nudges more than he pushes, often going along with conclusions reached independently by his players instead of mandating his own. Leaders within a squad are, he believes, “chosen by the group, not the manager or the president”, and the Dutchman Clarence Seedorf was one of these natural characters at Milan. During his time there, Ancelotti had to cram a galaxy of talent into four midfield positions. With gentle shepherding from him, the players thought themselves into the “diamond” formation — with Pirlo at its base, the Brazilian Kaká at its tip, and Seedorf and Manuel Rui Costa, a lavishly gifted Portuguese, either side — that gleamed on the European stage.
Between sips, I ask whether he feels under-exalted, at least outside the game’s cognoscenti. “You have possibilities to be angry every single day,” he says. “But the happiness is not in the credit, it is in the work, in the relationship with the players, with the staff. I don’t worry what they put in newspapers.”
Lots of people in public life say that last sentence. Ancelotti means it. If anything, obscurity means privacy, especially in Canada. Even after decades in the Italian countryside and Europe’s great cities, he is thrown by Vancouver’s gorgeous setting. “The beach, the mountains . . . ”
He does not take material comfort for granted. The Ancelotti family worked, but did not own, the farm on which he was raised, turning out slabs of Parmesan cheese to a grateful world. Rural life left him with a discriminating palate (he has a mental map of Italian restaurants worth a damn in London, Paris, Vancouver and Madrid) and a dialect that can stump his own countrymen.
Football-barmy in the Italian way, he launched his career as a tactically astute midfielder at nearby Parma. From there he went to Roma, in the capital, which could have been Saturn for this country boy. A knee injury put him out of the 1982 World Cup that Italy won but no bitterness lingers, just gratitude for a career that survived. “You are 23 and you don’t know if you can play again,” he recalls with a wince. “The physical therapy was terrible in those days.”
In 1987, Ancelotti made the move that changed his life. A figure of fun called Arrigo Sacchi brought him to Milan. Until then, Italians had favoured a defensive mode of play called catenaccio. “It means this,” he says, tapping the lock on a door next to our table. Sacchi smashed convention by drilling his players to challenge for the ball — or “press” — high up the field, forcing opponents into errors and exploiting them with a lethal batch of imported forwards such as the Dutch great Marco van Basten. Ancelotti was the point of fixity in this swarm, which dominated Europe and still inspires modern coaches.
Sacchi turned out to be no joke. His pressing game is visible today from Liverpool to Munich. Some of the most in-demand players are midfielders who seldom score or assist but have the sangfroid and close-control to retain the ball under intense pressure. Clubs have upgraded their fitness and conditioning regimes to sustain the physical effort Sacchi-ism demands.
As a player at Milan, Ancelotti served as an on-field conduit for these visions. A deep-lying midfielder must think systemic thoughts about the game, like a coach. After a season or two in the position, a future in management is virtually hard-wired. Not coincidentally, Simeone and Guardiola mastered versions of the role as players. Sure enough, after helping Sacchi steer Italy to the 1994 World Cup final, Ancelotti returned to his roots to start his own coaching career: first with Reggiana, then Parma.
I wonder who he rates among the nascent talents of world football and he names teenagers from France and Brazil. ‘Don’t tell Arsène Wenger!’
Success took him to Juventus and the lofty echelon of clubs from which he has never stooped since. There was Milan, where he clinched two of his Champions Leagues and assembled that luminous midfield. Then Chelsea, where he won the league and cup double in his first season. Then Paris Saint-Germain, where he won the league and imposed professional standards on a club that had more ambition than know-how (“There was no restaurant for the players”). And then, two years ago, la decima — a tenth Champions League for Real Madrid, and a hat-trick for Ancelotti.
No tactical revolutions, no psychological ploys, no memorable quotes, just frictionless success in all of Europe’s major leagues. There is no record quite like it. Zlatan Ibrahimovic, a player who surrenders compliments as though they singe his throat, says Ancelotti is the best coach in the world.
On the subject of galactic egos, how does a quiet man bend them to his will? “There are things where you can be elastic,” he explains, “and things where you must be strong. If the players say ‘Coach, we have a tough week, can we stay in bed one more hour?’ that is OK. But when I have a meeting before the game, you must be on time. At Chelsea, we had a meeting at 10.30am and [Didier] Drogba was not there. I don’t know if it was traffic or what. He came at 11. He didn’t play.”
What Ancelotti lacks in fire, he more than covers with deep, deep sanity. Quiet leadership, to judge by the book and his personal manner, is less a technique than a disposition, an aura. By standing still in football’s storm of hype and cupidity, he reassures players. He coaches like he played, always providing that fixed point from which others can do spectacular things. The Chelsea squad of 2010 was not so different to the one that fell short in the previous three seasons. The talent was there. Ancelotti got out of its way.
The criticism is that, like a less provocative Mourinho, he is ultimately a hired gun. He slides into great clubs, wins prizes commensurate with their station and moves on without leaving his imprint. He is not associated with a style of play like Guardiola, or with a litter of youngsters he nurtured to greatness, like Klopp in his stint at Borussia Dortmund. He is curiously identity-less, like a restaurant in Mayfair.
Maybe that is what it takes to live an itinerant life. He has gone farther, seen more, than his rustic roots ever promised. I press him for his favourite posting. “France is difficult because football is not always number one. They have rugby and cycling. They also have some violence in PSG. England has the best atmosphere, the best stadiums and no violence,” he says. Despite leaving Italy seven years ago, the disorder and vegetating infrastructure blighting parts of its league, which was Europe’s best as recently as the 1990s, still pains him.
“England is different. When I was with Chelsea, we went to play up in Sunderland. The bus could not drive all the way to the entrance. So the security man from the stadium says, ‘It’s OK, get out and walk.’ I say, ‘No, I don’t go!’ There were Sunderland fans all around. After some time, we had to do it.”
And it was OK?
“It was perfect. Some fans took pictures. No trouble. I never received an insult in England, ever.”
We ask for espressos in lieu of dessert but, before the waiter can retreat, Ancelotti has an idea. “You like grappa?” Yes, Carlo. So what began as an ascetic denial of a sugar rush has turned into a spread of caffeine hits, petits fours and Italy’s answer to sherry. I try to pay but Ancelotti has already arranged something with the proprietor. How quiet. How effective.
Janan Ganesh is the FT’s political columnist
Illustration by James Ferguson

FT
Homer
Citation
Luis et la Guinée, c'est fini !

Luis Fernandez n’est plus le sélectionneur de la Guinée. Il a décidé de quitter son poste. «Ça s’est fait d’un commun accord entre les deux parties suite au changement de dirigeants à la tête de la fédération», explique-t-il. Il s’en va après une seule année à la tête du Sily National.


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Homer
Citation
David Ginola va beaucoup mieux

L'ancien joueur du PSG, victime d'un malaise cardiaque jeudi, restera toutefois encore au moins une semaine au repos.

Victime d’un arrêt cardiaque jeudi après-midi lors d’un match de foot, David Ginola (49 ans) se porte aujourd’hui, « très bien » selon Jean-Stéphan Camerini, organisateur du tournoi de golf auquel devait participer l’ancien joueur. « Je l’ai vu dimanche, il a retrouvé toutes ses facultés. J’ai eu le plaisir de le voir souriant. »

Secouru par M. Pokora, Frédéric Mendy et Olivier Girault qui lui ont prodigué les premiers soins, l’ancien Parisien a subi un quadruple pontage au centre cardio-thoracique de Monaco. «Il va très bien, enfin comme quelqu’un qui a subi une intervention de plus de quatre heures», relativise Camerini. Ginola restera encore au moins une semaine au repos. Si tout va bien, il devrait pouvoir présenter l’Euro sur M 6.

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LudoG
http://asmonacofc.fr/exclu-asmonacofc-fr-i...-ludovic-giuly/ : Voici des nouvelles de Ludo Giuly (100 matchs pour 16 buts sous les couleurs du PSG !)
Panenka
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Osasuna : rupture du ligament croisé antérieur du genou droit pour Didier Digard
Mis à jour le 31/10/2016 à 14:55:34 |

Après avoir collectionné les blessures au Betis Séville la saison dernière, Didier Digard avait été prêté à Osasuna. Le milieu français de 33 ans n'a pas eu plus de chance dans son nouveau club. L'ancien joueur du PSG et de Nice s'est gravement blessé dimanche sur la pelouse de l'Athletic Bilbao (1-1). Il souffre d'une rupture totale du ligament croisé antérieur du genou droit. Digard va être opéré prochainement, et sera absent durant plusieurs mois.


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niramo
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Qui est Tom Barrack, maître de cérémonie et vieil ami de Trump?

Vieil ami de Donald Trump, le milliardaire Tom Barrack l'a conseillé pendant la campagne et dirige le comité chargé d'organiser la cérémonie d'investiture. Fondateur du fonds d'investissement Colony capital, le Californien n'a pas réussi à attirer de vedettes d'Hollywood.

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/ame...mp_1870298.html
Golazo


Biz Markie
psgmat92i
Nicolcho
Vu sur le facebook de Mamadou Sakho : direction Crystal Palace
Zander
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Coman jugé aujourd'hui
Placé en garde à vue fin juin dans le cadre d'une affaire de violences conjugales, l'attaquant du Bayern de Munich Kingsley Coman (21 ans) sera jugé aujourd'hui. L'ancien parisien avait immédiatement reconnu les faits. Ce qui pourrait lui éviter d'être trop lourdement condamné



Citation
Jugé ce jeudi dans le cadre d'une affaire de violences conjugales, l'attaquant du Bayern Munich Kingsley Coman a été condamné à 5 000 euros d'amende. Le Français qui, fin juin, avait immédiatement reconnu les faits versera un euro de dommages intérêts ainsi que les frais de justice à son ex compagne


L'équipe
Schultzy
Jocelyn Beaumont


Cara


Premier titre pour Momo Sissoko
Noreaga
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Bonaventure Kalou : les défis de monsieur le maire



L’ancien joueur du PSG (2005-2007) est le premier international ivoirien à devenir maire d’une grande ville de son pays : Vavoua. De passage à Paris, il nous a raconté cette étonnante reconversion.

Du Parc des Princes à la mairie de Vavoua, Bonaventure Kalou a parcouru beaucoup de chemin. Le 14 octobre, il a été élu maire de la ville de 500 000 habitants, située à 430 km au nord-ouest d’Abidjan, en lisière de la zone forestière, au sud, et de savane, au nord. Le paysage actuel n’a pas grand-chose à voir avec le faste dans lequel a vécu l’ancien l’attaquant (40 ans) au gré d’une carrière à 51 sélections et de passages par Rotterdam, Auxerre, Paris ou Lens.

« C’est terrible, pour une ville de cette taille, il n’y a presque pas d’eau courante ou de routes dignes de ce nom, dépeint Bonaventure Kalou, que nous avons rencontré jeudi à Paris. C’est un véritable chantier. » Ajouté à cela des tensions entre ethnies, sur fond de migration de populations dans une zone secouée par des conflits armés.

«Ce serait trop facile si le passé de joueur suffisait»

Cette réalité saute aux yeux de Kalou il y a deux ans, lors des funérailles de son père, dans sa ville d’origine. « J’ai touché du doigt la réalité dans l’endroit où j’ai grandi et d’où viennent mes deux parents. Et cela m’a décidé à faire quelque chose, raconte l’Ivoirien. Depuis la fin de ma carrière, je m’impliquais dans des projets sociaux avec la fondation Kalou, que nous avons créée avec mon frère Salomon. »

L’ancien joueur se lance alors dans la campagne électorale, avec des meetings publics et des réunions par groupes de 20 à 50 personnes, avec un programme lié aux premières nécessités.

« Les gens connaissaient le footballeur, il fallait leur montrer une autre facette, détaille-t-il. Ce serait trop facile si le passé de joueur suffisait. Mon programme est axé sur le développement. Ce qui a fait la différence avec les autres candidats, c’est que je ne suis pas un politicien, les gens sont un peu lassés de certaines promesses non tenues. Il y a énormément d’attentes. Je dois y répondre, mais j’ai prévenu que ça ne se ferait pas en un claquement de doigts. »

«Ma carte de visite est utile»

Avant même son élection, Bonaventure Kalou a organisé un match de foot et un concert géant dans le stade local. Depuis, il fourmille de projets en matière d’éclairage public, de ramassage des ordures. Par le biais de sa fondation, il a déjà lancé la construction d’une école et d’une maternelle qui porteront le nom de son père. Le vainqueur de deux Coupe de France (2005 et 2006) veut profiter de sa notoriété pour nouer des partenariats en France et pour peser politiquement.

Car il estime que Vavoua souffre d’un déficit criant entre sa contribution à l’économie nationale et les subsides qu’elle en retire : « La ville est la deuxième de Côte d’Ivoire en termes de production de cacao. Il y a beaucoup de cultures de café, d’anacarde et d’agriculture vivrière. Mon rôle consiste à aller frapper aux portes pour libérer des budgets, puisque c’est l’Etat qui centralise les taxes et redistribue. Dans ce cadre, ma carte de visite est utile. »

«J’ai aussi des perspectives dans le football»

L’ex-footballeur se définit « de gauche » et cite comme modèles l’ancien président du pays Félix Houphouët-Boigny, Nelson Mandela ou George Weah, devenu président du Liberia. Il projette d’ailleurs de lui rendre visite dans les prochaines semaines. Au terme de son mandat de 5 ans, s’imagine-t-il, lui aussi, un destin national ? Pas forcément.

« Je veux d’abord réussir mon mandat, et j’ai aussi des perspectives dans le football, qui est secoué par une grave crise », assure l’ex-Parisien. Avant de lancer un éventuel projet de formation, il va d’ailleurs s’astreindre à redonner un peu d’éclat au football de Vavoua. « Le club est en 4e division, ce n’est pas possible », sourit-il. Son objectif : un retour parmi l’élite locale d’ici à son départ. Un défi de taille, mais sans doute pas le plus difficile à relever pour Monsieur le Maire de Vavoua.


Le Parisien
Zander
Il est toujours chauve et porte le numéro 13 :

wil


Pancrate et Rabe dans un délire avec Thouroude.
lolomutch
Ils sont bons les frites saucisses...Méconnaissable Rabé mellow.gif
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