Citation
Alors qu'un octogénaire, agressé avec une violence rare dans son jardin de Wignehies samedi, devrait survivre en dépit de terribles séquelles, les villageois s'interrogent sur l'auteur présumé des faits, interné d'office.
« Je peux encore comprendre qu'un homme, sur un coup de folie, tabasse le premier venu, mais un acte comme ça, non. » Même avec « tout ce qu'on entend », ce riverain de la rue Gambetta de Wignehies a du mal à croire au martyre subi par l'un de ses voisins âgé de 80 ans, samedi (lire notre édition d'hier), pour une raison totalement obscure. Les gendarmes qui ont interpellé son agresseur présumé en flagrant délit dans le jardin à l'arrière de l'habitation de l'octogénaire auraient interrompu une scène épouvantable, l'octogénaire subissant des violences sexuelles à l'aide d'une bouteille, et alors que ses deux yeux avaient été ôtés de leur orbite.
Hospitalisée à Lille, la victime a subi des séquelles physiques lourdes, sans évoquer le choc psychologique. Mais la vie de l'habitant de Wignehies n'est pas en danger, comme le confirmait hier le maire Dominique César. Menuisier retraité, la victime occupait la maison qui flanquait son ancien atelier. « C'était une figure connue et appréciée. Le sentiment d'abomination domine ici, cet homme n'aurait pas fait de mal à une mouche », explique Marcel Dehoux, ancien édile.
Âgé de 47 ans, l'auteur présumé se serait introduit dans la propriété de l'octogénaire par le jardin voisin. Également domicilié au village, il se trouvait chez sa mère ce samedi matin. Le comportement de cet homme décrit comme agité aurait fini par inquiéter ses proches. Lancé apparemment dans un galimatias mêlant la musique, le diable et un frère mort dont il s'agissait du jour anniversaire de l'enterrement, il se serait enfui à l'arrivée des pompiers appelés par sa mère.
Une information judiciaire devait être ouverte hier pour « viol avec torture et actes de barbarie ». Elle devra se pencher sur le déroulement des sévices et des faits qui les ont précédés. Ses proches ont laissé entendre que l'auteur présumé les avait maintenus sous sa menace pendant plus d'une heure et avait ensuite disparu plusieurs minutes avant d'être découvert par les gendarmes. Il a été interné d'office.
C'est peu dire que son retour à Wignehies n'est ni attendu ni espéré de sitôt : « Si samedi il s'était enfui par-devant, mes enfants auraient pu être en train de jouer dans la rue », soupire un riverain.
« Je peux encore comprendre qu'un homme, sur un coup de folie, tabasse le premier venu, mais un acte comme ça, non. » Même avec « tout ce qu'on entend », ce riverain de la rue Gambetta de Wignehies a du mal à croire au martyre subi par l'un de ses voisins âgé de 80 ans, samedi (lire notre édition d'hier), pour une raison totalement obscure. Les gendarmes qui ont interpellé son agresseur présumé en flagrant délit dans le jardin à l'arrière de l'habitation de l'octogénaire auraient interrompu une scène épouvantable, l'octogénaire subissant des violences sexuelles à l'aide d'une bouteille, et alors que ses deux yeux avaient été ôtés de leur orbite.
Hospitalisée à Lille, la victime a subi des séquelles physiques lourdes, sans évoquer le choc psychologique. Mais la vie de l'habitant de Wignehies n'est pas en danger, comme le confirmait hier le maire Dominique César. Menuisier retraité, la victime occupait la maison qui flanquait son ancien atelier. « C'était une figure connue et appréciée. Le sentiment d'abomination domine ici, cet homme n'aurait pas fait de mal à une mouche », explique Marcel Dehoux, ancien édile.
Âgé de 47 ans, l'auteur présumé se serait introduit dans la propriété de l'octogénaire par le jardin voisin. Également domicilié au village, il se trouvait chez sa mère ce samedi matin. Le comportement de cet homme décrit comme agité aurait fini par inquiéter ses proches. Lancé apparemment dans un galimatias mêlant la musique, le diable et un frère mort dont il s'agissait du jour anniversaire de l'enterrement, il se serait enfui à l'arrivée des pompiers appelés par sa mère.
Une information judiciaire devait être ouverte hier pour « viol avec torture et actes de barbarie ». Elle devra se pencher sur le déroulement des sévices et des faits qui les ont précédés. Ses proches ont laissé entendre que l'auteur présumé les avait maintenus sous sa menace pendant plus d'une heure et avait ensuite disparu plusieurs minutes avant d'être découvert par les gendarmes. Il a été interné d'office.
C'est peu dire que son retour à Wignehies n'est ni attendu ni espéré de sitôt : « Si samedi il s'était enfui par-devant, mes enfants auraient pu être en train de jouer dans la rue », soupire un riverain.
Citation
Wignehies se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut).
La commune se trouve à 110 km de Lille (Préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 55 km de Valenciennes, Mons (
ou Charleroi (
et à 16 km d'Avesnes-sur-Helpe (Sous-Préfecture). Wignehies jouxte la ville de Fourmies.
La Belgique se trouve à 10 km et Wignhies jouxte le département de l'Aisne.
L'Helpe Mineure
La commune est traversée par une rivière, l'Helpe Mineure, affluent de la Sambre.
La commune se trouve à 110 km de Lille (Préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 55 km de Valenciennes, Mons (


La Belgique se trouve à 10 km et Wignhies jouxte le département de l'Aisne.
L'Helpe Mineure
La commune est traversée par une rivière, l'Helpe Mineure, affluent de la Sambre.
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