Antoine Conte prêté au Stade de Reims !Le Stade de Reims est heureux de vous annoncer l’arrivée en prêt du défenseur français Antoine Conte.
Formé au Paris Saint-Germain, ce dernier a joué une rencontre de Ligue 1 en 2012/2013 avec le PSG.
International U17, U18 puis U19, Antoine Conte a disputé, avec l’Equipe de France, la finale du Championnat d’Europe U19, le 1er août dernier face à la Serbie.
A 19 ans, Antoine Conte rejoint le Stade de Reims pour un prêt d’un an.
Il portera le numéro 28.
Bienvenue à Antoine sous ses nouvelles couleurs !
Ses premiers mots, pour notre site officiel :Antoine, peux-tu nous parler de ton arrivée au club ?Mon agent a proposé mon profil au Stade de Reims. Après il y a eu des négociations avec Olivier Létang et les dirigeants du PSG, avant que les deux clubs, Reims et Paris, commencent à négocier ensemble. C’est de cette manière que je suis arrivé au "Stade".
Quel est ton objectif personnel avec le Stade de Reims ?L’objectif est de trouver du temps de jeu en Ligue 1, m’entraîner avec l’effectif professionnel et surtout de pouvoir grandir et progresser.
Evoluer en Ligue 1, c’était une priorité pour toi ?Depuis le mois de janvier c’était déjà ma priorité. J’ai eu droit à un avant-goût de cette compétition, avec Paris, pour mon premier match en L1 face à Toulouse en janvier dernier. Je m’entraînais avec les pros et ce match, c’était vraiment du bonus pour moi.
Tu connais l’Histoire du Stade de Reims ?Je sais que le club a joué des finales de Coupe d’Europe. Pour le reste je connais surtout le club car j’ai joué deux ans de suite les matches Reims-PSG en Coupe Gambardella.
Quel est ton profil de joueur ?Je suis un défenseur solide et rapide. Je pense avoir une bonne relance. Je suis défenseur central, droitier, et s’il le faut je peux aussi jouer latéral droit.
Tu as connu une belle aventure cet été avec l’Equipe de France U19, et une finale de Championnat d’Europe à la clé. Tu peux nous en parler ?C’était vraiment un beau championnat d’Europe, avec de très bonnes équipes. Nous avions une poule assez relevée (Serbie, Turquie, Géorgie), mais on s’en est bien sorti pour arriver jusqu’en finale. Au bout du compte, on a surtout appris que ce n’est pas forcément l’équipe la plus forte qui remporte la compétition, mais que cela se joue aussi et surtout au mental.