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#1
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![]() BEAST QUAKE 2.0 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade ![]() |
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"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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#2
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Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 18,311 Inscrit : 30/12/2008 Membre no 42 Tribune : Canapé ![]() |
Le Parisien
Citation Humilié à Bordeaux, Paris va devoir se remettre au travail En écrasant le PSG (4-0), les Girondins s’annoncent comme de sérieux rivaux pour les Lyonnais. Paris, en revanche, va devoir très vite se ressaisir pour rester au contact des meilleurs. A MOINS de considérer que ce 4-0 est trop gros pour être vrai — une hypothèse que confir- mera ou non lemois de janvier du PSG —, il ne reste que deux questions cematin après la débâcle. Comment ce Paris-là peut-il encaisser quatre buts ? S’en relèverat-il ? La saison dernière,meurtri par ses maux et le spectre de la relégation, Paris avait logiquement subi un cinglant revers 0-3 en Gironde où il a l’habitude de prendre des claques. Cette année, il va mieux et en prend quatre ! « Le déroulement du match est particulier, relève Paul Le Guen. On perd assez vite le fil et c’est ça qui me déçoit. La victoire des Bordelais est logique, ils ont des qualités que l’on n’a pas. Mais il y a aussi eu des maladresses de notre part, des décisions arbitrales étonnantes. On n’a pas réussi à revenir dans le match. On s’est laissés aller à pas mal d’erreurs, dilués et désunis en cours de route. On n’a pas été bons. » Si le technicien parisien parle de l’arbitre, c’est qu’il y a un problème. Et il y en a un : Stéphane Lannoy s’est montré particulièrement mauvais lors de cette rencontre. Un effort collectif Mais ce n’est pas suffisant. On poursuit notre enquête avec Laurent Blanc, qui a lui aussi une explication, mais vu du vainqueur cette fois-ci : « On avait fait une équipe pour mettre à mal Paris, notamment sur le plan physique. Je pense que Paris a un déficit de taille. Ils étaient prenables notamment sur les coups de pied arrêtés d’après les observations que l’on avait faites. » C’est une raison imparable : le PSG ne tombera pas tous les jours sur une équipe aussi athlétique dont la puissance et la masse — Diarra, Diawara, Henrique, Chamakh — se révèlent dévastatrices. En l’absence d’autres éléments, on mettra pour l’instant cette gifle sur le dos de l’adversaire du jour, trop fort, trop bon. Mais une phrase de Paul Le Guen sème un peu le doute : « Les joueurs doivent être capables d’écouter les analyses des performances, de s’analyser aussi, de s’améliorer, d’aller plus haut. » Comme si certains s’étaient vus trop beaux après six premiers très bons mois ? La suite, dès mercredi face à Lens en Coupe de la Ligue, mais plus sûrement dimanche contre Sochaux, apportera un début de réponse à la seconde interrogation. C’est maintenant que la saison se joue : le titre, l’Europe, le maintien. Bordeaux se met dans la peau d’un potentiel champion. Paris doit se convaincre que la Ligue des champions est un horizon possible. Sinon, il perdra tout, notamment le crédit accumulé lors des matchs aller. « On va l’aider, souffle Le Guen en parlant de son groupe. Il faut que tout lemonde apporte sapierrepourque cela se fasse. Et relever la tête ne se fera qu’à partir de résultats. » Après son nul fin décembre à domicile contre Valenciennes (2-2) et plus sûrement hier, il a perdu le fil. Provisoirement ? Citation Le naufrage du milieu de terrain DÈS LE DÉBUT de match, les Bordelais se montrent beaucoup plus agressifs dans leurs interventions et étouffent leurs adversaires. La mobilité du trio Wendel-Gourcuff-Jussiê perturbe l’organisation du milieu parisien ultra dominé. Un peu plus entreprenant en deuxième période, le PSG ne se crée qu’une véritable occasion par Sessegnon. Au final, la correction est logique. Landreau (4). Deux dégagements ratés, l’un directement en corner (52e), l’autre dévissé (57e), resteront heureusement anecdotiques. Il ne peut rien faire sur les trois premiers buts et paraît surpris sur le dernier. Ceara (4). Perturbé par les permutations entre Gourcuff et Wendel, il tente de combler les brèches au mieux. Meilleur en seconde période, mais trop d’erreurs techniques. Camara (3). Une absence terrible sur le second but de Cavenaghi (35e) ternit considérablement sa prestation. A ce niveau, une telle hésitation est impardonnable. Et le dernier but de Fernando, qu’on ne peut lui imputer, n’arrange rien. Averti à la 60e. Traoré (5). Enrhumé par Gourcuff sur le troisième but, il rend néanmoins une copie satisfaisante. Il est le seul à répondre pleinement au défi physique. Armand (5). Une mauvaise relance est à l’origine du chef-d’oeuvre de Gourcuff. Auteur d’une très bonne première mi-temps, il baisse de rythme par la suite. Une belle reprise du gauche sur un centre de Rothen frôle le cadre (37e). Une intervention décisive sur Jussiê (41e). Sessegnon (4). Le milieu droit ne suit pas Diawara sur le premier but. Poussé par Chalmé dans la surface (33e), il plonge quand il voit que le ballon lui échappe. Après une première période transparente, il se réveille et se signale par une reprise qui frôle le poteau (66e). Averti à la 31e. Clément (4). Perturbé par la densité et le pressing du milieu de terrain bordelais, il subit comme Makelele et confond vitesse et précipitation dans ses relances. Makelele (3,5). Il tente de remettre de l’ordre dans l’équipe mais perd un nombre incalculable de ballons, par lenteur ou manque de précision. Logiquement averti à la 78e. Rothen (3,5). Ses coups de pied arrêtés hauts et flottants n’ont posé aucun problème à la défense bordelaise. Il ne percute pas et ne fait plus la différence sur son côté gauche. Mais ce n’est pas nouveau. Remplacé par Luyindula (73e). Giuly (4). Il rate deux grosses occasions dans les dix premières minutes et court ensuite dans le vide, appelant des ballons qui n’arrivent jamais. Frustrant. Hoarau (3,5). Le meilleur buteur parisien a constamment été accroché par Henrique ou Diawara. Enervant. Il n’a rien fait de bien, n’a jamais été servi dans de bonnes conditions et ne s’est pas créé de véritables occasions. Une mauvaise soirée. Remplacé par Sakho (73e). A Bordeaux, Gourcuff, forcément, a éclaboussé la partie de sa classe et Jussiê retrouve son meilleur niveau. La charnière dégage une force impressionante et Chalmé est le latéral le plus décisif de L 1. L’arbitre, M. Lannoy (3), a parfois semblé dépassé par les événements. Il a oublié de nombreuses fautes sur Hoarau. Son laxisme aurait pu échauffer les esprits dans une partie plus serrée. Citation « C’est une bonne gifle » ZOUMANA CAMARA défenseur du PSG Bordeaux (Gironde) UN BONNET sur la tête et vêtu du survêtement du PSG, Zoumana Camara traverse la mine grave le « paddock » de Bordeaux pour rejoindre le bus parisien et digérer le couac bordelais. Sollicité pour évoquer « l’humiliation » selon l’expression de Paul Le Guen, le défenseur ne s’est pas défilé. Le score est lourd. Est-il mérité ? Zoumana Camara. On se procure deux occasions en début de match que l’on ne transforme pas. Sur sa première situation, Bordeaux marque. Après au vu de la rencontre, il ne faut pas oublier que les Girondins ont eu la maîtrise. Mais si on marque les premiers, ça peut changer pas mal de choses. Vous aviez la possibilité de passer votre adversaire du soir au classement et de prendre la troisième place... Quand on joue la troisième place, on a évidemment des regrets lorsque ça se finit comme ce soir (NDLR : hier). Bordeaux a été meilleur que nous. C’est une bonne gifle.On a un match important dans trois jours en coupe de la Ligue contre Lens, c’est positif. Il va nous permettre de ne pas cogiter et de nous racheter tout de suite. Cette défaite peut-elle être un mal pour un bien ? C’était un match décisif pour les deux clubs. On connaissait l’importance de cette rencontre. On pouvait franchir une marche, on l’a ratée. Sur ce match, on n’a pas retrouvé le PSG de la première partie de saison : fort dans les duels et à l’état d’esprit irréprochable... On a essayé de mettre de l’impact physique et d’être présent dans les duels. L’arbitre a beaucoup sifflé de coups francs contre nous, ça nous a freiné. Ce n’est pas une excuse mais on sait que l’impact physique dans ce genre de matchs est capital. On annonçait Paris comme un prétendant à la Ligue des champions. Ce lourd revers remet-il tout en cause ?Le PSG est en reconstruction. Quand on était classés dans les cinq premiers, c’était mérité. Après, comme c’est Paris, les gens ont tendance à s’emballer. On va continuer à travailler.Onne va pas commencer à jouer petit bras. Lyon et Bordeaux sont des calibres au-dessus de nous mais cette défaite ne remet pas tout en cause pour autant. Citation Sylvain Armand (PSG) : « Ça va nous remettre les idées en place parce que peut-être qu’on commençait à s’installer dans un confort qui est fatal à Paris.On ne va pas tout remettre en question. Mieux vaut perdre une fois 4-0 que quatre fois 1-0. Il faut réagir, c’est bien de rejouer dès mercredi. Gourcuff est un joueur au-dessus de la moyenne, on se disait dans le vestiaire qu’il est extrêmement difficile à prendre. Son but est un exploit, c’est un grand joueur qui a un grand avenir ». Sammy Traoré (PSG) : « On a pris une gifle qui n’est pas méritée mais bien présente. On va continuer à travailler. Ce n’est pas un coup d’arrêtmais un avertissement.On doit se rattraper mercredi en Coupe de la Ligue et rattraper les points perdus dimanche face à Sochaux. Il y a des soirs comme ça où ça ne fonctionne pas ». Nicolas de Tavernost (Patron de M6, actionnaire des Girondins) : « Cela augure bien de la deuxième partie de saison. On croyait avoir un coup à jouer dans cette compétition, ça se confirme. Ce n’est pas absurde de penser au titre, on a un effectif pour ça. Après, Bordeaux a besoin d’être régulièrement en C1 pour développer et amplifier son effectif. » Laurent Blanc, entraîneur de Bordeaux : « On est heureux d’être à un point de Lyon,mais on aimerait être devant... Il avait été dit, à juste titre, que Bordeaux n’arrivait pas à prendre les points contre des concurrents directs. On ne pourra plus le dire. » Citation Gourcuff raconte son chef-d’oeuvre IL N’A REVU ce but qu’une fois, I quand il passait sur les écrans géants du stade Chaban-Delmas sous les clameurs du public époustouflé par sa classe. A la manière d’un Zinedine Zidane au sommet de son art, Yoann Gourcuff a réalisé une succession de gestes exceptionnels et inscrit l’un des plus beaux buts de l’histoire de la Ligue 1. En l’occurrence, le troisième but des Girondins hier soir (71e). « C’est un grand geste d’un grand joueur, déclare Laurent Blanc, son entraîneur. C’est certainement un futur très grand joueur… » 1 et 2. Les deux roulettes « C’est une situation un peu compliquée, tout se passe très rapidement. Je suis dos au but, je sens qu’il y a beaucoup de défenseurs autour de moi et je dois faire quelque chose de rapide pour les surprendre. C’est un peu de l’instinct. Je fais à peu près les mêmes gestes que contre Toulouse (NDLR : pour l’ouverture du score le 18 octobre, 9e journée). » 3. Double contact « Je me retrouve face au jeu et, là encore, tout va très vite. Il faut enchaîner sans réfléchir toujours afin de surprendre le défenseur (NDLR : Sammy Traoré) qui est près de moi. Celui-ci fait un petit pas sur la gauche, et moi un double contact pour rentrer. C’est surtout la vitesse d’exécution qui fait la différence. » 4. La frappe « Après, je ne me pose pas trop de questions à la sortie du dribble. Le ballon est devant moi et je suis obligé de tirer rapidement pour ne pas le perdre. Je frappe du pointu. Je me suis inspiré de Fernando (NDLR : son coéquipier, qui a inscrit deux buts de la sorte à Lorient, 2-1). Je pense que ce but est plus beau que celui face à Toulouse, car il est plus dur. » Citation Spectateurs : 31 910. Arbitre : M. Lannoy. Buts : S. Diawara (9e), Cavenaghi (35e), Gourcuff (70e), Fernando (88e). Avertissements. Bordeaux : Chamakh (90e + 1) ; PSG : Sessegnon (31e), Camara (60e), Makelele (78e). Bordeaux : Ramé (cap) - Chalmé, Henrique, S. Diawara, Tremoulinas - Jussie (Gouffran, 79e), A. Diarra, Gourcuff (Bellion, 85e), Wendel - Cavenaghi (Fernando, 67e), Chamakh. PSG : Landreau - Ceara, Camara, Traoré, Armand - Sessegnon, Makelele (cap), Clément, Rothen (Luyindula, 73e) - Giuly (Kezman, 83e), Hoarau (Sakho, 73e). LES BUTS 9e : le PSG concède un coup-franc excentré côté gauche à 25 mètres environ du but de Landreau. Le coup de pied arrêté de Gourcuff est bien ajusté. Diawara s’impose devant Sessegnon et, dans les six mètres, bat le gardien parisien qui ne peut rien faire. 1-0. 35e : Chalmé adresse un ballon en profondeur en direction de Cavenaghi. Camara, qui est à la lutte avec l’Argentin, juge mal la trajectoire et est battu. Le buteur bordelais marque son 12e but de la saison du plat du pied presque sans regarder. 2-0. 70e : Armand dégage un ballon aérien vers Rothen qui ne peut le récupérer. Chalmé transmet à vingt mètres à Gourcuff qui réalise un chef-d’oeuvre. L’international réussit une roulette puis un double contact sur Traoré avant de battre Landreau d’un extérieur du droit. Eblouissant. 3-0. 88e : Gouffran, couloir droit, centre dans la surface parisienne. Makelele, en taclant, prend ses partenaires à contre-pied et remet involontairement le ballon à Fernando. Le Brésilien efface Landreau et marque le quatrième but des Girondins. 4-0. LE FAIT DU MATCH : 8e minute le PSG développe une action côté gauche, le ballon est transmis à Rothen par Hoarau. Le Parisien a le temps d’ajuster un bon centre enveloppé au second poteau. Giuly, seul, déboule mais enlève trop sa reprise qui passe loin du cadre de Ramé. Les deux équipes étaient encore à 0-0. LE CHIFFRE : 6 Après le lourd revers concédé (4-0) à Bordeaux hier soir, le PSG est désormais la sixième défense de Ligue 1 avec 21 buts encaissés. Avant ce déplacement en Gironde, les coéquipiers de Makelele étaient la troisième meilleur défense. En une rencontre, ils ont pris presque 25 % du total de buts pris Citation LA QUESTION
Depuis quand le PSG n’avait pas reçu une telle correction ? Le PSG n’avait pas perdu un match par quatre buts d’écart depuis le 2 décembre 2000 et une funeste défaite 5-1 à Sedan qui avait coûté son poste à Philippe Bergeroo. Les conséquences ne seront bien sûr pas les mêmes, mais cette lourde défaite va laisser des traces |
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