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#1
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![]() BEAST QUAKE 2.0 ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade ![]() |
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"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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#2
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![]() Légende ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 18,719 Inscrit : 26/12/2008 Lieu : Poissy Membre no 17 Tribune : Non précisée ![]() |
Citation L’ombre du doute La semaine qui s’ouvre sera cruciale pour le Paris-SG et son entraîneur, Paul Le Guen, après la lourde défaite (0-4) à Bordeaux. DANS LES COULOIRS du stade Chaban-Delmas, Jean-Louis Gasset tente de rassurer les Parisiens. L’adjoint de Laurent Blanc leur raconte que, comme le PSG, Bordeaux a pris une correction en début de saison (première journée de la Ligue des champions, 0-4, à Chelsea, le 16 septembre 2008). Comme Paris, il a connu ce sentiment d’humiliation. La gueule de bois passée,les Girondins ont su le digérer, se redresser, en tirer les enseignements et repartir du bon pied. Paris sera-t-il capable de rebondir ainsi ? Cette « claque », comme l’a définie Paul Le Guen après la rencontre, laissera-t-elle des marques pour la suite de la saison ? « Ce n’est pas un coup d’arrêt », assurait Sammy Traoré, dimanche soir. Au risque de contrarier le défenseur malien, ce n’est pas non plus un élan confirmé. À part dix premières minutes de bonne tenue, le PSG a peu à peu succombé aux talents individuels des Girondins, indéniablement supérieurs sur le plan tactique. « On était venus pour prendre au moins un point, reprenait Traoré. Mais on est tombés sur plus fort que nous. Il y a des jours comme ça… » Ce dimanche, c’était un jour où Paul Le Guen avait demandé à ses joueurs, avant le coup d’envoi, de ne pas être obnubilés par Yoann Gourcuff. Pas évident que ce soit sa meilleure idée du début d’année. Par sa capacité à éliminer balle au pied, sa faculté à trouver des espaces et à orienter le jeu de son équipe, le meneur des Girondins a fait très mal à un milieu de terrain parisien qui ne savait plus où se situer après une demi-heure. Un vrai naufrage. Coaching passif de Le Guen La passivité de l’entraîneur parisien en termes de coaching n’a pas aidé ses joueurs. Quand Laurent Blanc bouleversait le schéma de son équipe en pleine déroute à Monaco (4-3, 19e journée, le 21 décembre) et parvenait, par ses décisions, à retourner le cours de la rencontre après avoir été mené 0-3, Paul Le Guen s’est contenté, dimanche soir, de remplacements poste pour poste et a compté sur les ressources mentales des joueurs en place. Sans jamais remettre en cause ses choix tactiques initiaux. Sans jamais bouleverser ses plans et oser un passage en 4-3-3, plus offensif, pour, au moins, réduire le score. La responsabilité de l’entraîneur parisien est engagée. Il vit cette défaite d’autant moins bien qu’elle est concédée face à l’équipe dirigée par Laurent Blanc, dont le nom a été évoqué pour prendre sa place en juin prochain. Le Guen s’est senti « humilié », sentiment très personnel, qui justifie sans doute son absence de mots pour les joueurs dans le vestiaire à la fin du match. « La semaine sera très importante, prévient Sylvain Armand. Tout va dépendre de nos résultats contre Lens, en Coupe de la Ligue (demain), et Sochaux (dimanche), en Championnat. Si on négocie bien ces rendez-vous, on reste costauds mentalement et on s’accroche. Mais on ne saura que dimanche soir si cette défaite a laissé des traces. » Au club depuis 2004, le latéral gauche sait trop bien qu’il ne faut pas grand-chose pour perturber l’équilibre. Il sait qu’à Paris plus qu’ailleurs on peut basculer sans transition de la sensation de plénitude à celle d’infortune. Hier matin, déjà , certains visages au Camp des Loges traduisaient un sentiment autant lié à leur situation personnelle qu’au dernier résultat du PSG. Jusqu’ici, la situation n’est en rien de dramatique. À Le Guen d’empêcher qu’elle ne le devienne. Il a tant à y gagner. DAMIEN DEGORRE Citation Prison ferme pour neuf supporters TROIS SUPPORTERS DU PSG ont été condamnés hier à un mois de prison ferme tandis que cinq autres hooligans parisiens et un bordelais ont écopé de quinze jours de prison après les violences qui ont eu lieu à Bordeaux dans la nuit de samedi à dimanche. Poursuivis pour violences avec armes en réunion, et violences envers personnes dépositaires de l’autorité publique, le tribunal correctionnel de Bordeaux a prononcé des peines plus sévères que celle de « deux à quatre mois » de prison assortie de sursis qu’avait réclamée le ministère public. Un mandat de dépôt a été délivré à l’encontre des neuf jeunes hommes, qui ont immédiatement été conduits à la maison d’arrêt de Gradignan (Gironde). Outre la période de détention, la peine des supporters est assortie d’un sursis de cinq mois pour trois d’entre eux et de cinq mois et quinze jours pour les six autres. Le commissaire principal de la sécurité publique de Bordeaux, David Book, a expliqué à l’audience que ses services avaient été informés qu’un « fight » (combat) avait été organisé entre soixante à quatre-vingts supporters parisiens et autant de bordelais, dont certains armés de barres de fer, poings américains et divers projectiles, en marge du choc de la vingtième journée de L 1, dimanche soir, au stade Chaban-Delmas. Citation COUPE DE LA LIGUE (quarts de finale) PARIS-SG - LENS (demain) Changements en vue ? DE RETOUR DE BORDEAUX dans la nuit de dimanche à lundi, les Parisiens ont eu droit à un léger décrassage hier matin. Certains ont couru (Traoré, Rothen, Landreau, Clément, Ceara et Hoarau), d’autres sont restés aux soins (Makelele, Giuly, Armand, Camara, Sessegnon) et ceux qui n’avaient pas ou peu joué la veille ont travaillé sur le terrain synthétique.Aucun blessé n’est à déplorer, mais Le Guen devrait procéder à quelques changements dans sa composition d’équipe pour affronter Lens. Une nouvelle séance a lieu ce matin à huis clos. Les joueurs se retrouveront ensuite au Parc des Princes, en fin d’après-midi, pour la galette des rois du club avant de partir au vert. Côté lensois, Doumeng, touché aux adducteurs, s’est contenté de trottiner et n’a pas participé au tennis-ballon d’hier matin, à La Gaillette. Il est très incertain pour le déplacement au Parc des Princes, où Hermach, en phase de reprise et qui devrait passer par la case réserve en CFA, ne sera pas présent. Les équipes probables. – PARIS-SG : Landreau – Ceara, Sakho, Camara, Armand (cap.) – Chantôme, Bourillon, Clément, Rothen – Luyindula, Kezman. LENS : Runje – Laurenti, Chelle (cap.), Sartre ou Yahia, Ramos – Kovacevic, Sablé – Demont, Roudet, Boukari ou Aruna – Monnet-Paquet. Citation LA PELOUSE DUPARC INSPECTÉE La direction du PSG a sollicité la Ligue de football professionnel pour qu’elle envoie aujourd’hui un représentant inspecter l’état de la pelouse du Parc des Princes, avant le quart de finale de Coupe de la Ligue PSG-Lens demain soir. En raison de températures toujours très basses, un léger doute subsiste quant à la possible utilisation du Parc pour un match à 21 heures. Toutes les précautions ont cependant été prises par le club parisien : un dôme recouvre la pelouse vingt-quatre heures sur vingt-quatre depuis le 8 janvier, ce qui représente un coût en fioul de 15 000 euros. Citation Le maire de Lens en colère GUY DELCOURT, le maire de la cité artésienne, ne se rendra pas au Parc des Princes demain soir. « Je n’y serai pas car j’ai reçu des insultes sur un site Internet, explique le premier magistrat lensois. Certains veulent laisser en l’état ce qui s’est passé en mars dernier (le déploiement d’une banderole anti-ch’tis en finale de la Coupe de la Ligue 2008, remportée 2-1 par le Paris-SG), et moi, je suis de ceux qui pensent qu’il faut aller jusqu’au bout. Nous travaillons d’ailleurs avec notre avocat en ce sens et nous attendons de la justice des décisions ne concernant pas seulement les lampistes qui ont déjà été identifiés. » Le maire de Lens ne cache pas son courroux. « J’attendais des déclarations fortes du président de la Ligue, elles ne sont pas venues, idem pour Bernard Laporte (secrétaire d’État aux Sports). Ma rancune est totale car je maintiens que le monde du football est responsable de tout cela. » Selon Guy Delcourt, la LFP n’a pas pris les bonnes décisions au bon moment : elle aurait dû, selon lui, donner match perdu au PSG et non le sanctionner, comme ce fut le cas dans un premier temps, d’une interdiction de disputer l’édition 2009 de la Coupe de la Ligue. LEQUIPE |
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