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27/11/2008 21:54
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#1
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BEAST QUAKE 2.0 Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade |
Postez ici tous les articles en rapport avec le club SANS commentaires. Faites un effort sur la présentation et la structure. Assurez-vous que l'article n'a pas déjà été posté.
Pensez à indiquer la source en dessous de l'article en question. Merci de ne pas poster les articles provenant de sites tels que maxifoot, football.fr ou autre blog. -------------------- "La potitique de Colony Capital, on peut la comparer à traverser la France sans prendre l'autoroute pour pas payer les péages mais en prenant les routes de campagne : au final ils vont arriver deux jours après, en ayant consommé deux fois plus d'essence avec la voiture défoncée par un sanglier." ElMagnifico
"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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19/01/2009 08:03
Message
#2
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Enculé d'ta race Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 11,235 Inscrit : 12/01/2009 Membre no 500 Tribune : Viré du stade |
Citation Ils ont écarté Villeneuve Un conseil d’administration extraordinaire a mis en minorité le président du PSG. Sébastien Bazin est pressenti pour lui succéder. Quatre heures après sa victoire contre Sochaux au Parc des Princes (2-1), le Paris-Saint-Germain a perdu son président. Après sa lettre virulente déplorant des dysfonctionnements et réclamant des pouvoirs élargis, Charles Villeneuve a été sanctionné par les membres du conseil d’administration à l’unanimité. CHARLES VILLENEUVE n’est plus le président du PSG. À l’issue de trois heures de délibérations, le conseil d’administration extraordinaire du club parisien a voté une motion de défiance à l’égard de Villeneuve. Un vote qui ouvre la voie à sa révocation.Un vote à l’unanimité, par souci de solidarité entre les membres du conseil, qui aura marqué l’épilogue de discussions parfois tendues entre les pro et les anti-Villeneuve. Episode cocasse : à minuit, Villeneuve dînait dans un restaurant porte d’Auteuil avec Arsène Wenger, tout comme certains des administrateurs qui venaient de voter sa destitution, attablés à quelques mètres de lui.Vers 22 heures, hier soir, la décision adonc été prise d’évincer l’ancien directeur des sports de TF 1, nommé le27 mai dernier. Selon toute vraisemblance,c’est Sébastien Bazin, déjà patron de la holding propriétaire du club et de la société d’exploitation du Parc des Princes, qui va assumer la présidence d’un club décidément voué aux tremblements de terre.En adressant à tous les membres de ce conseil d’administration, jeudi dernier,une lettre déplorant certains dysfonctionnements set réclamant des pouvoirs élargis, notamment sur le plan financier (voir L’Équipe d’hier),Charles Villeneuve aura donc mis le doigt dans un engrenage fatal. C’est cette lettre, son contenu incisif et ses revendications tranchées, et non pas le bilan global de Villeneuve, qui a amené Colony Capital à écarter le président du PSG.L’actionnaire majoritaire du club (62,5 %) y a vu une manifestation de défiance impardonnable. « Demain (aujourd’hui) je serai toujours président du club » Aux yeux de Villeneuve, ce courrier devait plutôt se lire comme un message d’alerte. Alerte pour une meilleure répartition des pouvoirs. Alerte pour une clarification de l’horizon financier du club, qui lui paraissait assez opaque, notamment depuis la démission, fin décembre, de Jérôme de Metz. Cet ancien membre de la DNCG déplorait la « structure déficitaire » du PSG, dont les pertes devraient encore dépasser les 10 M_ cette saison, surtout si le club ne se qualifiait pas pour la Ligue des champions. Joint vers 23 h 15, Villeneuve a laissé entendre qu’il pourrait contester le bien-fondé du vote organisé, hier soir, au Parc des Princes. « Je garde mon calme et je vais consulter mes avocats.Il me paraît très étonnant d’en arriver là. J’ai simplement demandé le plein exercice de mes pouvoirs. » Et de poursuivre, d’un ton posé : « Je me considère encore dans l’exercice de mes fonctions. Demain (aujourd’hui), je serai toujours le président du club. » Depuis samedi, Villeneuve se prépare à une bataille juridique pointue. Dans la journée d’hier, il avait fait savoir à Bazin par l’intermédiaire de son avocat qu’il ne se rendrait pas à la réunion que le directeur Europe de Colony Capital venait de programmer à l’issue de PSG-Sochaux. Mais qu’il préférait le voir en tête à tête aujourd’hui, lundi, dans un lieu neutre. Un échange froid qui n’a pas dû contribuer à décrisper l’atmosphère et qui aura peut-être convaincu les opposants à Villeneuve qu’il fallait s’en séparer. Ni les manifestations de soutien venues de Bernard Laporte, le ministre des Sports,présent hier au Parc, ou de Lilian Thuram,ni le coup de fil de Claude Makelele à Sébastien Bazin n’auront été d’un poids assez fort pour faire douter un actionnaire visiblement décidé à reprendre la main. Car la nomination imminente de Sébastien Bazin au poste de Charles Villeneuve dessine clairement une reprise en main du club par Colony.Jusqu’à présent, tant sous Alain Cayzac (2006-08) que sous Villeneuve, le patron Europe du fonds de pension américain n’avait jamais été en première ligne. Ni lui ni sa compagnie.Désormais, la donne va changer. Colony met notamment fin aux dissensions apparues sur la question d’un nouvel investisseur, un dossier sur lequel Villeneuve comptait asseoir son pouvoir en trouvant des partenaires dans le Golfe. Bazin va se retrouver à un poste particulièrement exposé. Un poste où – en temps normal – les présidents sont souvent jugés à l’aune des résultats sportifs de leur club. Pour trouver une caution sportive, le dirigeant de Colony pourrait se voir épaulé par Gérard Houllier, le DTN. Une idée qui lui aurait été soufflée par Alain Cayzac, resté très proche de lui depuis sa démission en avril dernier. L’« affaire Villeneuve » laissera-t-elle des traces au PSG ? Si la ligne dure l’a emporté, plusieurs membres du conseil d’administration se sont montrés contrariés par la tournure des événements.Dès samedi, l’actionnaire Walter Butler (4,2 %) avait manifesté un soutien au président en place et militait pour un apaisement. Les derniers jours avaient créé une montagne de rancoeurs qui auraient probablement nourri chez Villeneuve – s’il était resté en place – la volonté de réduire l’influence de ses détracteurs. Ces derniers ont donc préféré frapper fort tant qu’ils avaient la main. Pour Colony, l’heure est venue de gérer directement le PSG. Bientôt trois ans après son arrivée, l’occasion est donnée à l’actionnaire américain de clarifier ce qu’il compte faire du club de la capitale. JÉRÔME TOUBOUL Citation Un président météore SON ARRIVÉE. – Elle est liée à la volonté de Sébastien Bazin, le directeur Europe de Colony Capital, l’actionnaire majoritaire de ne pas renouveler l’expérience Michel Moulin. Son passage au PSG, en tant que conseiller, l’avait effrayé et il adonc cherché un homme capable de tenir la maison Paris. Son but était de voir Arsène Wenger s’asseoir dans le fauteuil. Mais Bazin s’est vite rendu compte de l’impossibilité de ce rêve. Michel Derbesse, ancien directeur général délégué du groupe Bouygues, lui souffle alors le nom de Charles Villeneuve. Son amitié avec Wenger pouvait aussi être une opportunité de récupérer l’Alsacien dans l’avenir.Le 27 mai, Villeneuve, l’ancien journaliste de TF 1, âgé de soixante-sept ans, est donc nommé à la présidence du club par le conseil d’administration. SES PRINCIPALES DÉCISIONS. – Villeneuve n’a pas eu un impact important dans le recrutement de l’été. Il est seulement à l’origine des venues de Ludovic Giuly et de Mateja Kezman, un choix pas encore payant. Le futur ex-président n’a pas eu le temps de mettre en place la politique ambitieuse qu’il promettait. SES RÉSEAUX. –Villeneuve avait compris l’intérêt de se rapprocher des hommes forts du vestiaire.Claude Makelele était devenu son relais privilégié. Il était proche d’Alain Migliascio, l’agent de Zinédine Zidane, qui lui avait d’ailleurs prêté son jet privé pour revenir de Rome après la finalisation du transfert de Giuly. Villeneuve avait aussi rencontré Didier Deschamps en septembre dernier, en vue de discuter d’une collaboration future. SON ERREUR. – De manière assez brusque, Villeneuve a envoyé, la semaine passée, une lettre très virulente et offensive contre l’actionnaire. Personne n’a compris en interne cette attitude. Et Bazin a considéré que cette missive était une tentative de prise de pouvoir par la force. Villeneuve a signé, à la surprise générale, sa fin... D. D. et H. P. Citation Citation « Je me concentre sur le terrain» PAUL LE GUEN, entraîneur du PSG, difficile vainqueur de Sochaux, ne se préoccupe pas de ce qui se passe autour. Sans surprise, le coach parisien ne s’est guère appesanti sur l’agitation qui règne au sommet de son club.Au moment où ses dirigeants se réunissaient, sans qu’il ait connaissance de leur décision (voir ci-dessus), Le Guen retenait surtout que ses joueurs avaient su renouer avec le succès en Championnat, tout en bouclant une belle semaine après leur qualification pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue, mercredi, contre Lens (L 2, 2-0). « COMMENT ANALYSEZ-VOUS cette victoire ? – D’abord, elle nous permet de rester au contact des équipes de tête et c’est très important. Surtout qu’en Championnat, on restait sur un nul à domicile (contre Valenciennes, 2-2) et une défaite à Bordeaux (0-4). On a réalisé de très bonnes choses en première période, puis on a eu chaud pendant dix à quinze minutes en début de seconde mi-temps. Mais on a réussi à prendre le dessus C’est donc difficile d’être constant sur quatre-vingt-dix minutes ? – Quand on joue tous les trois jours, c’est en effet compliqué et il est normal d’éprouver parfois quelques difficultés au cours d’une rencontre, même si on doit afficher davantage de maîtrise. Pourquoi avez-vous modifié votre équipe de départ en L 1après huit matches sans en changer? – Je continue à faire mes choix tranquillement, dans l’intérêt de l’équipe et en recherchant toujours le maximum d’efficacité. Par exemple, Ludo (Giuly) a beaucoup joué ces derniers temps. Alors Peguy (Luyindula) a commencé, mais ça ne remet nullement en cause la valeur du premier. J’ai un effectif que j’essaie d’utiliser au mieux, en fonction des états de forme de chacun et je ne m’enferme jamais dans des dictons du genre : “On ne change pas une équipe qui gagne.” Le fait d’être la seule équipe toujours en course dans quatre compétitions (L 1, C 3, les deux Coupes nationales) aide aussi à mieux faire passer votre turnover, non ? – Je ne vais pas donner d’explications aux joueurs alors qu’ils ne m’en demandent pas ! Je maintiens que la priorité reste le Championnat, mais qu’on est toujours très intéressés par de bons parcours dans les Coupes.Mon rôle consiste de toute façon à trancher, et je n’arriverai pas à ne faire en permanence que des heureux... Comment vivez-vous les événements se déroulant à la tête du club ? – Mon rôle consiste à entraîner, alors je m’y tiens, mais je tiens à le faire complètement.Même si je ne coupe pas mon téléphone bien qu’il ne passe pas bien chez moi (rires) et que je me tiens informé, tout ce qui se passe au-dessus n’étant pas de mon ressort, je me concentre sur le terrain et je protège avant tout mes joueurs. C’est le message que je leur ai fait passer hier (samedi). Je suis satisfait de leur réponse... Enfin, ce n’est pas en réponse à ce qui se passe, mais je suis satisfait qu’ils aient su mettre cela de côté pour gagner. De toute façon, on sait ce qu’on veut et on est bien conscients qu’on a besoin de rester concentrés à cent pour cent pour obtenir des résultats. Chaque fois qu’on n’a pas fait preuve d’une implication totale cette saison, on a été punis. » LUC HAGÈGE L'équipe |
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