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27/11/2008 21:54
Message
#1
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BEAST QUAKE 2.0 Groupe : Members Messages : 52,292 Inscrit : 16/11/2008 Membre no 2 Tribune : Viré du stade |
Postez ici tous les articles en rapport avec le club SANS commentaires. Faites un effort sur la présentation et la structure. Assurez-vous que l'article n'a pas déjà été posté.
Pensez à indiquer la source en dessous de l'article en question. Merci de ne pas poster les articles provenant de sites tels que maxifoot, football.fr ou autre blog. -------------------- "La potitique de Colony Capital, on peut la comparer à traverser la France sans prendre l'autoroute pour pas payer les péages mais en prenant les routes de campagne : au final ils vont arriver deux jours après, en ayant consommé deux fois plus d'essence avec la voiture défoncée par un sanglier." ElMagnifico
"Joe Dassin mais lui il été indien seulement" Red Dwarf |
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04/01/2009 12:28
Message
#2
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L'Homme Beau Groupe : Adhérents CulturePSG Messages : 23,407 Inscrit : 30/12/2008 Lieu : Paris Membre no 55 Tribune : Non précisée |
Citation Paris met toutes les chances de son côté CHAQUE début d’année, c’est la même histoire. Juste après la bûche de Noël, le club parisien se reprend à rêver de succès dans la plus prestigieuse des deux coupes nationales. Aujourd’hui nanti de sept victoires en Coupe de France, le PSG, qui entame tout à l’heure une nouvelle campagne face à Montluçon (CFA), fait logiquement partie des favoris. Bien sûr, il y a toujours les risques inhérents à ces premiers tours. La passion qu’engendre cette compétition, la qualité moyenne des pelouses, voire la météo, font parfois chuter les nantis du haut de leur piédestal professionnel. Mais tout au long de son histoire, Paris a appris à seméfier de ce type de pièges. Le club de la capitale n’a d’ailleurs plus perdu un 32e de finale depuis dix ans. Et Paul Le Guen comme ses joueurs ne sont pas vraiment enclins à se laisser aller à des excès de suffisance. S’il fallait des preuves de leur volonté de bien se comporter dans cette épreuve, elles figureraient dans la liste qui sera couchée sur la feuille de match. « Ce n’est pas une remise en jambes » Le coach parisien devrait en effet aligner l’équipe type de Ligue 1 à l’exception de Landreau, victime d’une douleur à l’épaule droite et remplacé par Edel dans les buts. « Dans mon esprit, ce n’est pas une remise en jambes, c’est un match de compétition, confirme Le Guen. Il n’y a pas de raison de tourner, l’effectif est totalement disponible et on ne rejoue que dans une semaine (NDLR : à Bordeaux en championnat). Je ne suis pas du genre à tourner pour faire tourner. » Bien sûr, il y a ces petits signes qui inquiéteront les plus superstitieux. Le stade Gabriel-Montpied de Clermont-Ferrand, où va se dérouler cette rencontre, est le même où le PSGavait subi une de ses pires déroutes, en 1997, face aux Clermontois, en 8e de finale de la Coupe de France. Paul Le Guen y avait de nouveau perdu huit ans plus tard avec Lyon, mais cette fois-ci comme entraîneur. « J’ai une histoire particulière avec ce stade, a réagi hier Le Guen avec un petit sourire en coin. Deux défaites en 8e de finale, deux fois au penalty et deux fois le jour de mon anniversaire. On me dit que Clermont est une très belle ville mais, pour le moment, je suis circonspect… » Heureusement pour le PSG, le 4 janvier ne coïncide pas avec l’anniversaire de Paul Le Guen. L’entraîneur breton est né un 1er mars. Frédéric Gouaillard Citation MONTLUÇON (CFA) - PSG (L 1) Aujourd’hui (17 h 30), stade Gabriel-Montpied de Clermont-Ferrand Arbitre : M. Auriac. PSG : Edel - Ceará, Traoré, Camara, Armand - Sessegnon, Makelele (cap.), Clément, Rothen - Giuly, Hoarau. Montluçon : Bourgeois - Boulabar, Moreau, Vernier (cap.), De Oliveira - Kuzmic, Ouattara, Bessaque, Ollier - Caceres, Komenant. le parisien 04/01 Citation Ils l’avaient fait avec Clermont Trois vainqueurs du Paris-SG en 1997 sont aujourd’hui montluçonnais. « DEPUIS HUIT ANS que je suis ici, je n’en ai jamais parlé ». Nicolas Le Bellec, entraîneur de l’Étoile des Sports de Montluçon, est un survivant discret. Le 1er mars 1997, il était le capitaine du Clermont Foot, vainqueur du PSG en huitièmes de finale de la Coupe de France. Un exploit retentissant, fruit d’un incroyable scénario (voir par ailleurs), qui a ressurgi avec le tirage au sort des 32es de finale. « L’attention médiatique est focalisée sur nous car le lien est simple, c’est un trait d’union, relève Mickaël Bessaque. Mais parfois, on a l’impression qu’on rejoue Clermont-PSG, ça agace un peu nos coéquipiers. Ils ont raison. C’est un match complètement différent, avec d’autres hommes. » Un tiers de l’effectif est passé par Clermont dans sa carrière, dont trois qui ont renversé le PSG : Le Bellec, l’entraîneur, Ribérol et Bessaque. Trois personnes à part, sur lesquelles le public se retourne quand elles visitent le stade Gabriel-Montpied. Là bas, les Clermontois de 1997 sont un peu comme les champions du monde 1998 dans le reste de la France. Pourtant, à Montluçon, ce statut n’existe pas. Le souvenir demeure enfoui. « On se voit tous les jours, mais on n’en discute jamais entre nous », assure Le Bellec. Au départ, l’entraîneur pensait utiliser ce vécu dans la préparation de l’événement. Il a renoncé. Par peur que trop de références à Clermont ne froissent son groupe, dénaturent l’enjeu. « Notre quotidien, c’est l’inverse des paillettes de ce 32e », rappelle Mickaël Ribérol, troisième larron du trio. En exagérant à peine, il flotterait presque un sentiment d’abandon au dessus du club. Jeudi soir, pour le deuxième entraînement de la journée, deux dirigeants sont passés, mais pas le moindre supporter. En Championnat, les Montluçonnais attirent en moyenne 200 à 300 spectateurs quand le club de rugby, qui évolue en Fédérale 1, dépasse systématiquement le millier. Le Bellec : « On est largués, on bricole » En ville, cette semaine, il fallait vigoureusement chercher la moindre trace visible d’un événement à venir. Comme si l’ancien club « des Dunlop » illustrait la souffrance d’une cité rudement touchée par l’extinction de son tissu industriel. Avec 750 000 euros de budget, Montluçon sait ses ambitions limitées. Et s’il lui venait des rêves de grandeur, un coup d’oeil au vétuste stade Dunlop suffirait à les réprimer. Une autre enceinte esten gestation, à quelques centaines de mètres de là . Mais elle est dévolue au rugby. Il y a quelques jours, en raison des conditions climatiques, Le Bellec avait projeté une petite opposition amicale sur un terrain synthétique. Il était occupé, et les utilisateurs habituels ont refusé de s’effacer. Le match a été annulé. Montluçon est un vrai club amateur, avec ses petites misères. Le CE de Dunlop ne subvient plus à ses besoins depuis longtemps. Désormais, il n’y a même plus de travail en ville pour attirer d’éventuelles recrues. « Au niveau des moyens, on est largués, reconnaît Le Bellec. On essaie de se débrouiller du mieux possible, mais on bricole. » Montluçon, pourtant, a des arguments. Cet automne, il a réussi une série de 13 matches sans défaite. « Ce n’est pas innocent, rappelle Le Bellec. Et c’est ce que je dis aux joueurs : le PSG, ce n’est pas une finalité. On a des arguments, de bons éléments. » Dont Komeman, meilleur buteur du groupe C de CFA (12 réalisations). Un bon tiers de l’effectif a plus de trente ans : « Ils savent la réalité du très haut niveau amateur », dit Ribérol. Ils connaissent les dangers de la Coupe. Ses vertus, aussi. « Avant Paris, nous n’étions pas tous des mecs qui s’adoraient, rappelle Le Bellec. Mais ça crée des liens très forts. Il n’y a que la Coupe qui peut engendrer ça. » L’entraîneur de Montluçon avait marqué contre Paris. « Quand j’ai serré la main de Rai avant le coup d’envoi, je me sentais tout petit. Alors, quand il a marqué sur un enchaînement poitrine volée sous la barre, je me sentais vraiment tout, tout petit ! Pendant les vingt dernières minutes, par contre, qu’est-ce que je me sentais fort ! La Coupe, c’est ça : elle te révèle à toi-même. » Ce soir, au stade Gabriel-Montpied de Clermont-Ferrand, les anciens de 1997 sont évidemment invités. Sait on jamais. RÉGIS DUPONT Citation Le Guen n’aime pas l’endroit Ses deux derniers passages au stade Gabriel-Montpied n’ont pas laissé de bons souvenirs à l’entraîneur du PSG. CET APRÈS-MIDI, il va faire froid, très froid. Comme en 1997 et en 2005, les deux dernières fois où Paul Le Guen a foulé la pelouse du stade Gabriel-Montpied, à Clermont-Ferrand. Deux rappels douloureux, deux éliminations en Coupe de France, deux voyages qu’il aimerait tant n’avoir jamais effectués. La première fois, c’était avec le PSG, dont il était un précieux milieu de terrain : 4-4 à la fin du temps réglementaire (le PSG menait 3-1) contre le Clermont Foot, équipe de Nationale 2 (niveau 4, comme Montluçon, son adversaire du jour), défaite 3-4 aux tirs au but, Le Guen manque le sien et élimination en huitièmes de finale. « Je n’ai pas de pire souvenir qu’à Clermont », lâchait-il. La deuxième fois, alors qu’il était à la tête de l’Olympique Lyonnais, lors d’un retour, au même stade de la compétition, sur des terres inhospitalières. Nouveau camouflet (1-1, 3-4 aux t.a.b.). « C’est vrai que j’ai une histoire particulière avec ce stade. À chaque fois, c’était le jour de mon anniversaire », souriait-il hier juste avant de prendre l’avion pour l’Auvergne. C’était donc un 1er mars. Voilà un bon moyen de mettre un terme aux comparaisons avec les deux séjours précédents. Aujourd’hui, dimanche 4 janvier, Paul Le Guen n’affrontera pas Clermont, piteusement éliminé hier, mais Montluçon. Et ce n’est plus en huitièmes, mais en trente-deuxièmes de finale. Et puis non, son pire souvenir, ce n’est pas Clermont, rectifiait-il hier : « J’étais quand même dans l’équipe de France qui a perdu contre Israël (2-3) en 1993. »Autant de façons de se persuader que le mal est passé, digéré, éliminé. « De toute façon, je ne suis pas superstitieux, reprend l’entraîneur du PSG. Il faut persévérer et essayer d’aller gagner là -bas. J’ai été marqué par le premier épisode, mais le deuxième était différent. Depuis, j’ai tenté d’oublier. Par rapport à ce match contre Montluçon, je n’ai pas de crainte particulière. Il faudra l’aborder avec professionnalisme et vigilance. Je n’ai pas de raison de faire tourner l’équipe, car on a une semaine pour récupérer ensuite, ce qui n’était pas le cas lors des rendez-vous en Coupe d’Europe cette saison. La Coupe est une compétition qui me tient à coeur et on a envie de la gagner. » Pas de raison de redouter ce troisième acte à Clermont, donc ? Le Guen sourit. Un sourire crispé. « On me dit que c’est une très belle ville. J’ai travaillé avec Hervé Mathoux, Clermontois, qui me vante sans cesse les charmes de sa ville. Mais bon, c’est vrai, je suis encore circonspect… » DAMIEN DEGORRE l'équipe 04/01 |
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