Courtois s'est fait le genou. Minimum 3 mois d'absence.

La com de Van Gaal sur Martial est parfaite pour l'instant
Il lui enleve toute pression

Le probleme avec ce malade c'est qu'il est vraiment capable de pas le faire jouer jusquau prochain coach de MU.
Comme de le mettre titu direct et en faire le soulier d'or.

LVG

Après son transfert mirobolant à Manchester United, les attentes autour d'Anthony Martial son énormes. Son nouvel entraîneur, Louis van Gaal, a insisté sur sa volonté de ne pas lancer trop tôt le jeune joueur.

«C'est le meilleur joueur de son âge, c'est pourquoi nous l'avons acheté, a-t-il rappelé à MUTV. Mais nous devons attendre. Il a 19 ans et il doit s'adapter. Vous avez vu comment Di Maria a eu du mal ici, et il avait 27 ans. Falcao de son côté avait 29 ans». Pas question de céder à la pression des médias : «Nous devons lui donner du temps mais c'est difficile, car les fans lisent les nouvelles au sujet de l'argent dépensé pour lui, et pensent qu'il doit marquer à chaque fois. Mais ce n'est pas comme ça».

«Peut-être qu'il peut montrer des signes de son talent cette saison»

Alors qu'il avait déjà évoqué ce transfert en conférence de presse, Van Gaal a une nouvelle fois commenté le prix de la transaction, qui s'élève à 50 millions, plus de 30 millions de bonus : «Nous vivons dans un monde fou, et maintenant nous devons payer ce type de somme, sinon il serait allé dans un autre club. Nous l'avons acheté parce que nous avons besoin d'un buteur pour le futur. Peut-être qu'il peut montrer des signes de son talent cette saison. Nous allons le façonner, et au bon moment, il pourra entrer en jeu».

Le probleme avec ce malade c'est qu'il est vraiment capable de pas le faire jouer jusquau prochain coach de MU.
Comme de le mettre titu direct et en faire le soulier d'or.

LVG

Mi-juillet 2002, Juan Roman Riquelme, auréolé de deux titres de meilleur joueur argentin, débarque à Barcelone en grande pompe, afin de remplacer un Rivaldo annoncé sur le départ depuis des mois et dont les rapports avec Van Gaal sont alors invivables. Devant les micros, Van Gaal est d'abord plutôt élogieux, tout en maniant son ironie légendaire : « Je suis très content de l'arrivée de Riquelme, c'est un joueur très talentueux qui peut triompher à Barcelone, mais lui aussi doit travailler, comme le reste des joueurs. Il y a beaucoup de comparaisons avec Maradona, mais rappelle-toi - en se tournant vers l'Argentin - que Maradona n'a pas beaucoup gagné à Barcelone. » Une fois la conférence de presse terminée, le Batave, en coulisses, demande à parler à Riquelme. La suite, c'est le légendaire numéro 10 qui la raconte : « J'entre dans le vestiaire et il me montre une table sur laquelle sont empilées des cassettes vidéos. Il me dit : "Tu es le meilleur joueur quand tu as le ballon, mais quand tu ne l'a pas, nous jouons à dix. Ici, nous avons un système, et tu vas devoir jouer ailier gauche." »
Pas de pitié pour les stars

En réalité, Van Gaal en veut à sa direction de lui avoir mis dans les pattes un joueur qu'il n'a pas désiré, et qu'il considère comme une recrue « politique », selon ses propres termes. Résultat ? Au grand dam des socios, le joueur, pas vraiment connu pour sa vitesse de pointe, évolue dans une position contre-nature et, logiquement, déçoit. Alternant entre le banc, les mises à l'écart et les titularisations peu convaincantes, le numéro 10 termine sa première saison en Europe avec cinq petits buts, et surtout, une seule passe décisive. Une hérésie au vu de la qualité de passe du meneur argentin.