Les 3 japs de droite sont dégueu. J'aimerai bien revoir la française milf aux gros nibards.

Y a pas ça à Château d'eau

Sinon, la Grecque restera ma préférée.

Sinon, la Grecque restera ma préférée.

Sinon, la Grecque restera ma préférée.

Gros potentiel pour le CR de Rod au vu du match

Il me faut du temps là, j'ai vraiment cru que j'allais décéder, premier fois que je suis dans cet état dans un stade de foot.
Ya même un mec qui m'a dit de m'asseoir parce qu'il vait peur pour moi pendant la prolong.

Que ce fut laborieux, mais c'est fait, qu'on gagne les 3 derniers comme ça je signe des deux mains.

HEY JULIOOOOOOOOO CESAR

Ca se joue à rien le foot, et c'est ce qui fait sa beauté.

Si ça avait basculé dans l'autre sens pas sur que tu aurais trouvé ça beau.

Merci pour tes CR, toujours un plaisir à lire.

Merci Rod, à lire le CR on sent bien que t'étais ailleurs pendant le match Profite à fond Rod c'est des moments rares

Tu vas le voir le quart non? Tu vas kiffer El Bandido salop

Il me faut du temps là, j'ai vraiment cru que j'allais décéder, premier fois que je suis dans cet état dans un stade de foot.
Ya même un mec qui m'a dit de m'asseoir parce qu'il vait peur pour moi pendant la prolong.

Pour compléter le post d'hadjuk côté individualités, un point sur le jeu proposé par les 32 nations au premier tour.

Pour compléter le post d'hadjuk côté individualités, un point sur le jeu proposé par les 32 nations au premier tour.

Pour chaque match, chaque équipe obtient une note de 0 à 5, 5 étant la plus haute, en fonction des intentions et du spectacle proposé.

Un pays entier dans la rue

Ecrans géants, bars ouverts toute la nuit, la fête a commencé bien avant le huitième de finale contre la Grèce, ce dimanche (22h00),et on a même failli manquer de bière !



Tout un peuplue uni derrière son équipe de foot, surprise de ce début de Mondial. (Reuters)

Depuis trois jours, les grandes villes du Costa Rica sont paralysées. Les grandes avenues, les rues, les places de San José, la capitale, celles de Cartago, Heredia, Limon et Puntarenas sont noires de monde jusque très tard dans la nuit. Drapeaux et banderoles à la gloire de l’équipe nationale pendent aux balcons des maisons, ornent les vitrines des magasins. A la sortie des bureaux, les gens vont faire la fête. On danse et on boit, aussi. Au point que deux des grandes brasseries du pays ont frôlé la rupture de stock. Le Panama et le Nicaragua, en bons voisins, ont envoyé du houblon en renfort. Ici, il n’y a pas de "ley seca", pas d’interdiction de servir de l’alcool. Les bars tournent quasiment jour et nuit. Au début du Mondial, personne n’aurait imaginé cela. Les Ticos, qui se retrouvaient dans un groupe avec trois anciens champions du monde, ont terminé premiers. Un événement qui a permis aux quatre millions et demi d’habitants d’oublier les soucis, le chômage et les prix qui s’envolent. Avant hier, les tarifs de l’électricité ont enregistré une hausse de 16%. A la fin de l’année, l’inflation devrait avoisiner les 15%, mais rien ne pourra altérer la fête. Pour le Costa Rica, ce Mondial brésilien est devenu une cause nationale.

Les principaux sites de paris en ligne de San José accordent à la Grèce une cote trois fois et demi plus haute qu'au Costa Rica. Dans les écoles, on a suivi tous les matches de la Seleccion en direct. Dans les entreprises d’Etat, les fonctionnaires cessent carrément le travail. L’ordre est venu du gouvernement et il est très suivi. Ailleurs, tout le monde est à l’unisson. Des écrans géants ont été dressés dans les parcs municipaux. Des orchestres improvisés assurent l’ambiance. La Grèce est vue comme un adversaire à la portée des hommes du sélectionneur colombien Jorge Luis Pinto. Et comment ne pas s’en persuader quand les principaux sites de paris en ligne de San José accordent à la Grèce une cote trois fois et demi plus haute qu’au Costa Rica?? Tout le pays s’imagine déjà en quart de finale.

Même les volcans sont en ébullition !
Les deux principaux quotidiens, La Nacion et Al Dia, ont déjà doublé leur tirage, frôlent les deux cents mille exemplaires et espèrent encore battre des records. Les radios Columbia, ADN, Monumental, les chaînes de télévision Canal 6 et Canal 7 ont révolutionné leurs programmes et cartonnent. Même les volcans, - on en dénombre cent douze au Costa Rica – envoient des signes d’activité domestique de plus en plus rapprochés. El Poàs, le plus grand et le plus célèbre, est passé cette semaine de deux à cinq éruptions par jour. «Comme s’il voulait lui aussi prendre part à la fête», a écrit La Nacion.

Guy ROGER, à San José

Au costa rica, pénurie de houblon, obligé de se faire ré approvisionner par les voisins panama et nicaragua, capitale du pays san josé bloqué par la foule, ça doit être une de ces putains de folie la bas

J'ai cru voir que Japon faisait partie des équipes avec le plus grand score coté possession, c'est d'autant plus désolant quand on sait ce qu'il en ont fait.

Dire qu'ils risquent de faire pleurer les 4 somatofílakas du forum que sont Nicos, Yo-yos, Dimis et Philos. Soutiens aux frèros.

Mon Dieu (oui je suis redevenu croyant sur la barre de Pinilla) que ce fut dur, que ce fut intense et que ce fut bon au final.

Arrivé au stade vers 12H15, juste au moment de l'entrée des gardiens brésiliens pour l'échauffement.
Julio Cesar très applaudi même si les supporters locaux lanceront plusieurs chants à la gloire de Victor, gardien de l'Atletico Mineiro...

Les joueurs rentrent sur "O campeons volto" (Le champion est de retour).
La pression monte durant l'échauffement, David Luiz harangue plusieurs fois le public.
Chants pour Neymar, mais aussi Bernard et Jo (comme Victor, ils jouent au Galo).
Hulk est aimé aussi sauf que son chant c'est des cris de singe (oulk oulk oulk), ça fait bizzare, en plus j'étais derrière le but en bas, il manquait juste la séparation R1/R2

Les chiliens rentrent sous une bronca.
Ils viendront saluer leurs blocs, qui bougent bien même s'ils ne sont pas souvent audibles de l'autre coté du stade.

Entrée des joueurs, hymnes.
Celui du Chili sera respecté le temps ou la musique suivait, leur partie à capela sera conspuée.
Hymne du Brésil, grosse émotion, comme prévu la deuxième partie à capela impressionne.

Rien à voir avec les autres matchs que j'ai vu ici en terme d'ambiance.
Les chants ne sont pas très variés mais je trouve que pour une sélection ça allait.
Gros début de match du public j'ai trouvé récompensé par l'ouverture du score de David Luiz.
Belle communion entre les joueurs et le public.
Ensuite c'est vraiment pas mal jusqu'à l'égalisation, bien aimé le public qui reprend instantanément des chants après le but.

La suite sera moins bien, mais c'est clairement du à la pression du résultat.

Le but refusé à Hulk (j'étais à genoux les bras en l'air 30 secondes apres le but quand je me suis rendu compte qu'il était annulé), pareil pour le reste de la tribune.

On sentira une envie exceptionnelle durant les moments ou le stress retombait (entre les prolongs etc).
Les blocs chiliens rendaient très bien visuellement.
Le public a été derrière les joueurs, même si Fred a été sifflé par la moitié du stade, autant pour ses performances que pour sa concurrence avec JO, le local.
Le Brésil pousse sans être dangereux.

La prolong arrive, David Luiz, Julio Cesar et Hulk réclameront le soutien du public, qui répondra par un hymne qui claquera bien.
Prolongation intense, un des moments les plus durs au stade pour moi.
Je n'ai plus d'ongle, j'étais vraiment pas bien et les gens autours de moi l'ont vu.
J'étais pas le seul, d'autres ont passé leur prolong à prier, et ils ont bien fait.
120 eme Pinilla trouve la barre, derrière le Brésil exploite mal le contre et ça fait TAB.

Que de stress durant cette séance.
Luiz Gustavo en transe sur le sol dans le rond central à prier.
Julio Cesar acclamé et qui sort les deux premiers.
Willian et Hulk qui rate, le coeur est pas loin de lacher.

Dans l'excitation, je pensais qu'il yavait encore un brésilien après le loupé donc j'ai même pas explosé du premier coup.
Grosse joie des joueurs, comme s'ils avaient gagné.
Une bonne dizaine de brésiliens sur le terrain à prier.
Dans les tribunes, pas mal de larmes, beaucoup moins salées qu'elles auraient pu l'être.

Ca se joue à rien le foot, et c'est ce qui fait sa beauté.
Respect aux chiliens qui m'ont fait kiffé à Rio.




+ 2 vidéos pour ceux qui m'ont sur FB

Tu devais pas aller voir un match de l'Argentine aussi ( vs Nigeria?)?

Comment les stars du Mondial tirent leurs penalties
La phase à élimination directe du Mondial offre la possibilité de voir des matches se terminer par des séances de tirs au but, exercice qui concentre toute la dramaturgie, l'imprévisibilité et parfois l'injustice du football, comme l'a d'ailleurs illustré le premier huitième de finale entre le Brésil et le Chili (1-1 a.p., 3-2 t.a.b.).


Pour bien préparer vos séances de tirs au but depuis votre canapé, deux lectures sont indispensables. D'abord, cet article de Jean-Marie Pottier vous expliquant pourquoi ces séances ne sont pas tout à fait une «loterie» comme le veut l'expression consacrée, et détaillant tout ce qu'il y a à savoir sur les facteurs qui influencent la réussite des équipes.

Et puis, il y a cette excellente visualisation du Wall Street Journal (voir ci-dessus) montrant les habitudes de tir, en club ou en sélection, des grandes stars encore en lice au stade des huitièmes, et autres joueurs les plus susceptibles de prendre leurs responsabilités en cas de séance de tirs au but dans ce Mondial.
Randomisation

Ces schémas confirment certaines observations relevées dans notre article consacré à la question, comme le fait que «les joueurs amenés à tirer des pénaltys très régulièrement au cours de la saison tendent à "randomiser": afin d'être moins prévisibles, ils ne tirent pas tout le temps du même côté et n'alternent pas non plus binairement entre gauche et droite, mais tirent en gros 60% du temps de leur côté "naturel" (à gauche du but en regardant le gardien pour un droitier) et 40% du temps de l'autre côté. La même chose vaut pour les gardiens.»

Le Chilien Arturo Vidal, sorti avant la fin du temps réglementaire contre le Brésil et qui n'a donc pas tiré, en est l'exemple parfait: 54% de tirs à gauche, son côté naturel (les droitiers tirent plus naturellement à gauche), 46% à droite et un taux de réussite exceptionnel de 91,7% –autant dire qu'il aurait été utile aux hommes de Sampaioli samedi... Le Néerlandais Van Persie affiche des stats assez comparables (53% à gauche, 42% à droite) mais pour un taux de réussite bien inférieur.
Giroud penche à droite

D'autres virtuoses de l'exercice, comme Eden Hazard ou Thomas Müller, ont une distribution parfaite entre gauche et droite (exactement le même nombre de tirs des deux côtés) et un taux de réussite supérieur à 85%. C'est aussi le cas de Lionel Messi, qui tire dans à peu près toutes les zones du but avec la même efficacité.

D'autres tireurs sont moins inspirés. L'attaquant uruguayen Diego Forlan, qui ne participera pas à une séance après l'élimination de son pays par la Colombie (0-2), a un taux de réussite de 16,7%, avec une forte tendance à tirer au centre et à droite. Le cas du Français Olivier Giroud est intéressant: il a raté tous ses tirs côté gauche et réussi toutes ses tentatives côté droit, son côté naturel (il est gaucher). À noter également une information intéressante pour Hugo Lloris: le Nigérian Peter Odemwingie a tiré tous ses pénaltys à gauche du but.
Le tir au but plus dur que le penalty

Si vous décidez de regarder les séances de tirs au but avec les fiches de tous les joueurs devant les yeux, sachez néanmoins que vous pouvez vous attendre à des taux de réussite légèrement inférieurs: le journaliste Ben Lyttleton a montré dans son ouvrage de référence sur le sujet, Twelve Yards, que les joueurs ont tendance à être moins efficaces dans l'exercice en Coupe du monde, et encore moins quand il s'agit d'une séance de tirs au but et non d'un pénalty pendant le match, sans doute sous l'effet de la pression énorme qui pèse sur leurs épaules. Un phénomène qui s'est vérifié pendant Brésil-Chili avec seulement 50% de réussite, ce qui amène le taux global de réussite depuis le France-RFA de Séville à 70% environ.

je cherche des stat genre "joueur le + jeune de la cdm", "joueur le + petit" etc.

Vous avez ça en stock?




Merci

je cherche des stat genre "joueur le + jeune de la cdm", "joueur le + petit" etc.

Vous avez ça en stock?




Merci

Le plus jeune: le camerounais Fabrice Olinga (12/5/1996).
Le plus vieux: Farid Mondragon (21/6/71).
Les plus petit: Lorenzo Insigne (ITA) et Edgard Salli (CAM) avec 1m63.
Les plus légers: Mathieu Valbuena et Harrison Afful (Ghana) avec 58 Kg

Sympa cet article Sneijder.



T'es Balkans ou tu l'es pas. Je ne crois pas vraiment à l'explication de l'inexpérience due à leur première CDM, si t'es une pute tu l'es en toute circonstances et en tout lieu.

On voit bien la putasserie Hondurienne entrapercu durant le match contre nous. Pour les Francais, il y a tout de meme le match contre ces memes bouchers Honduriens qui fait relativisé le temps passé au sol coté Francais.

Les Brésiliens se relèvent vite car ils n'ont jamais véritablement eu une assisse de buts confortable durant un match et ont toujours du arraché leur victoire, voir courir après le score lors de leur premier match notamment, donc ne pas perdre de temps après une tentative de simulation infructueuse. Il est évident que si le score avaient été en leur faveur plus souvent, les 3m18 se serait transformé en 8m45.

J'ai cru voir que Japon faisait partie des équipes avec le plus grand score coté possession, c'est d'autant plus désolant quand on sait ce qu'il en ont fait.

Revendu le 1/4, ça me saoulait de payer 500€ un billet d'avion.

Franchement le nombre de pelouses pourries, avec impossibilité pour les équipes de s'y entrainer la veille cette année. C'est du foutage de gueule cette histoire quand même

Karagounis arrête la sélection

Après l'élimination de la Grèce en huitièmes de finale face au Costa Rica (1-1, 5 tab à 3), le capitaine de la sélection hellène, Giorgios Karagounis (37 ans), a annoncé qu'il s'agissait de son «dernier match» international. «L'équipe a grandi, les jeunes joueurs ont gagné une expérience précieuse. Ce n'est pas un détail. Nous avons permis à cette équipe de prendre de l'âge et nous espérons qu'elle continuera à avoir autant de succès à l'avenir», a déclaré le joueur de Fulham, recordman du nombre de matches joués avec la Grèce avec 139 sélections et champion d'Europe en 2004.

Tu compares avec les attaquants mais une bonne moitié de ceux de ta liste ne sont pas faits pour le foot actuel, le 4-4-2 avec une des deux pointes ne participant pas au jeu étant en voie d'élimination.

J'y vois davantage une évolution du jeu qu'un affaiblissement du niveau général.

Si Saviola est fort, Higuain est une star...
Après, tu peux rajouter les joueurs pas là à cause de Messi, comme Tevez, bien meilleur aujourd'hui qu'en 2006, te rappeler que Crespo était sur la fin et que Messi est à un niveau individuel loin au-dessus de tout ce qu'ils avaient en 2006, même Riquelme.

Et l'Argentine est moins en forte en qualité globale qu'en 2006, personne ne le nie, l'Allemagne est dans le cas contraire (même hors blessures de Reus et Gündogan), l'Espagne a laissé une pelletée de bons joueurs à la maison,.

T'as des pays comme la Colombie qui aurait du se pointer avec une attaque Falcao/Rodriguez, l'Uruguay avec Suarez/Cavani, tu as une hécatombe de joueurs de qualité et des supers joueurs pas qualifiés (Zlatan ou Lewandowski de tête par exemple).

La carte du football a plus été redessinée qu'autre chose, avec une meilleure distribution du talent et des sélections habituellement dominantes moins bonnes (Argentine en défense, Brésil en attaque, Italie en général parmi ceux que tu cites). Après, les mecs arrivent de plus en plus rincés vu que le football de club domine encore plus qu'avant le football de sélection.
Et vu que les meilleurs joueurs viennent de plus de pays différents, c'est normal que les clubs qui les regroupent offrent un meilleur football que les sélections.

Mais t'es dingue