Pour moi, mes plus beaux souvenirs et dans l'ordre chronologique :
PSG/ASSE et PSG/Nantes finales de la coupe de France 82 et 83 : mes premiers souvenirs d'enfant, mes premières sensations de bonheur indescriptibles et mes premières fiertés parisiennes.
PSG/Monaco 86 : le match où c'est presque dans la poche pour notre premier titre. Le but de Sène, la délivrance, la joie et aussi le soulagement après cette aventure historique
Le parcours UEFA en 92/93 avec en point d'orgue les matchs retours contre Anderlecht et le Real. En Belgique, où l'on pensait qu'on ne marquerait jamais avec ce diable de défenseur belge, Boffin, qui avait sauvé sur sa ligne au moins trois buts. Au Parc contre le Real, où même avant le coup d'envoi, on sentait une odeur particulière (comme quelques années après contre Bucarest) dans l'atmosphère. L'ambiance inoubliable et la fête après pareil...
PSG/Toujouse en 94 pour notre sacre, mais bizarrement moins jouissif qu'en 86, c'était plus dans la logique des choses que la première fois. Nous avions un groupe très fort qui se devait de dominer le championnat (et pour ma part, je pense qu'en gardant Artur Jorge, nous aurions plus d'un titre de champion de France mais c'est ainsi)
PSG/Rapid de Vienne en 96 : Vainqueur d'une coupe d'Europe, c'était beau. Un match qu'on aurait du gagner (comme le championnat en passant) plus largement. Par contre on a eu droit aux frayeurs de fin de match. Et quel déplacement de folie...
PSG/Bucarest en 97 : magique pour plusieurs raisons, inoubliable également... putain pourquoi t'es parti, Léonardo !
Puis je rajouterai un match qui m'a particulièrement marqué en terme de jeu, de buts et d'ambiance au Parc, en 95/96 quand on bat Nantes 5 à 0. Quel match, quel spectacle de folie. Dans le Parc, on s'imaginait déjà champion mais l'histoire fut autrement, malheureusement.
Plein d'autres matchs m'ont ému (le dernier match de Raï), enthousiasmé (Bayern/PSG avec ce but de Mister George. Peu de supporters avaient fait le déplacement en Allemagne, donc ambiance étrange mais moment de folie après le but), transporté (nos victoires en 98 au Stade de France contre Bordeaux et Lens) mais il fallait faire un choix