Version complète : Le Buteur
Forum de Culture PSG > Les forums du Haut : L'actualité du PSG et du football > Le football en général
Faudel>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>Luis.
CHAI.
CHAI.
Guedioura retrouvera le Moulinex Stadium
Le milieu de terrain de Nottingham Forest, Adlène Guedioura, se rendra aujourd’hui à Wolverhampton. Sur le terrain de son ancien club, le milieu de terrain de l’EN retrouvera avec plaisir les supporteurs des Wolves qui l’avaient adopté dès sa première saison en Premier League. Pour revenir au match, Nottingham Forest, qui a perdu quelques places au classement, tentera de garder le contact avec les équipes de tête.
Le milieu de terrain de Nottingham Forest, Adlène Guedioura, se rendra aujourd’hui à Wolverhampton. Sur le terrain de son ancien club, le milieu de terrain de l’EN retrouvera avec plaisir les supporteurs des Wolves qui l’avaient adopté dès sa première saison en Premier League. Pour revenir au match, Nottingham Forest, qui a perdu quelques places au classement, tentera de garder le contact avec les équipes de tête.
https://twitter.com/Le_Buteur/status/278037086228082688
— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011
Omar Ghrib, président du Mouloudia d'Alger : «On m’accuse d’avoir fait de la prison, mais Mandela aussi en a fait…»
http://www.lebuteur.com/ligue-1/actualites...a-fait%E2%80%A6
http://www.lebuteur.com/ligue-1/actualites...a-fait%E2%80%A6
Le journal d'un scribouillard du Buteur envoyé 2 semaines avant la CAN dans la ville la plus paumée d'Afrique du Sud et ne sait pas trop quoi raconter mais doit essayer de quand même combler une page :
Putain ils commencent fort ces couillons, 1 mois de grands moments littéraires en perspective
Citation
Le Buteur et El Heddaf, les premiers à Rustenburg
Ville morte à cause des festivités de fin d’année. Leur nombre a augmenté après la Coupe du monde 2010.
Mardi 1er janvier 2013, il était 11h00 heure sud- africaine, 10h40 heure algérienne lorsque l’appareil A380 de la compagnie française Air France s’est posée sur le tarmac de l’aéroport international de Johannesburg. A son bord, il y avait un très grand nombre de passagers, mais aussi l’équipe du Buteur dépêchée sur place pour entamer son travail, en prévision de la 29e édition de la Coupe d’Afrique des nations dont le coup d’envoi est prévu le 19 janvier. Pour rappel, l’Afrique du Sud s’est vue attribuer l’organisation de cette CAN, après ce qui s’est passé en Libye où elle était prévue au départ. Après les formalités d’usage, l’équipe du Buteur a pu quitter l’aéroport de Johannesburg pour rejoindre la ville où résidera l’Algérie.
Le Buteur, premier organe de presse présent en Afrique du Sud
Cette fois-ci, Le Buteur n’est pas seulement le premier organe algérien à avoir mis ses pieds en Afrique du Sud pour commencer son travail, mais le premier organe étranger présent en Afrique du Sud pour la couverture de la CAN. C’est d’ailleurs un officier de la Police des frontière sud-africaine qui nous l’a fait savoir avec un air d’étonnement, au moment où nous étions en train d’accomplir les formalités d’usage pour rentrer sur le sol sud-africain : «Vous venez pour couvrir la Coupe d’Afrique des nations ? Vous êtes venus très tôt. Vous m’avez surpris parce que vous êtes les premiers étrangers à être venus pour la CAN.»
Si ce n’était un problème de visa, notre présence allait être la fin 2012
Notre arrivée à l’aéroport de Johannesburg a coïncidé avec le premier jour de cette nouvelle année 2013. Cependant, ça aurait pu être bien avant. Au départ, il a été décidé que notre voyage se fasse le dimanche, pas le lundi, afin de communiquer le plus tôt possible toutes les informations qui concernent la participation de l’Algérie à cette CAN, trois ans après la dernière, en 2010, en Angola. Mais cela n’a pu se faire à cause d’un problème administratif. Après qu’il eut été décidé que l’ensemble des journalistes algériens désirant couvrir la CAN avaient le droit de rentrer en Afrique du Sud sans visa, la donne a changé par la suite. Au moment où nous étions prêts à rallier Johannesburg dimanche dans la soirée, une surprise de dernière minute nous a empêchés. Le personnel de l’aéroport international d’Alger a refusé de nous laisser passer, sous prétexte que les Sud-Africain ne leur avaient rien signifié.
Nous étions obligés de reporter le voyage de 24h, le temps d’avoir le visa car, en même temps, le chef d’escale d’Air France avait refusé lui aussi d’en prendre la responsabilité car il fallait faire escale à Paris, avant de rejoindre l’Afrique du Sud. 
Des taxieurs spécialistes de l’arnaque
Il faut dire que notre sortie de l’aéroport de Johannesburg ne s’est passée comme on le croyait. En effet, après une prise de bec avec certains taxieurs qui voulaient profiter de cette occasion pour nous fixer des tarifs exorbitants, nous sommes tombés d’accord avec un taxieur d’un certain âge. Après discussion, le prix du voyage Johannesburg-Rustenburg a été fixé à 120 euros. Il faut dire que ce chauffeur ded taxi a fini par craquer devant notre instance, face à la pression exercée par ses collègues taxieurs.
Le chauffeur a failli nous déposer à mi-chemin, au milieu d’une forêt, pour exiger un supplément…
Une fois que le chauffeur taxi a démarré, grande fut notre surprise lorsqu’il a décroché le compteur. Interrogé, il nous a dit : «J’ai mis mon compteur en marche uniquement pour ne pas avoir des problèmes avec la police.» Une justification qui nous a un peu rassurés, puisqu’on ne connaît pas l’Afrique du Sud. Mais après avoir parcouru la moitié du chemin vers Rustenburg, le chauffeur de taxi nous surprend en garant sa voiture sur la file gauche, en pleine forêt. A ce moment-là, il a décidé de nous faire du chantage en exigeant de lui verser 120 euros plus un supplémentent de 100 euros, faute de quoi il nous laissera livrer à nous-mêmes au milieu de la jungle. Après des palabres, il a fini par accepter un bakchich de 30 euros pour redémarrer.
…puis nous menace de recourir à la police
Une fois arrivés à notre hôtel, ce même chauffeur taxi voulait à tout prix nous arnaquer dans le but de gagner plus d’argent. Sentant que sa stratégie avait complètement échoué, ledit taxieur nous a menacé : «Je vais aller me plaindre à la police, le trajet est beaucoup plus long que prévu.» Notre ami nous a fait savoir que le compteur qu’il avait mis en marche a mentionné un tarif plus important, alors qu’au départ, on s’était entendus sur un montant forfaitaire. Il aura fallu aussi le convaincre avant de le laisser partir.
L’arrivée à Rustenburg sous une forte chaleur...
De Johannesburg, il fallait parcourir presque 150 kilomètres pour arriver à Rustenburg pendant deux heures. Le taxieur connaissait très bien la route, mais il a fait plusieurs détours. Nous sommes arrivés à Rustenburg vers 15h, il faisait très chaud.
… suivie d’une forte pluie
Cette chaleur n’a pas duré longtemps, du moment qu’une pluie battante commençait à tomber en fin d’après- midi sur la ville de Rustenburg et sa périphérie. D’ailleurs, il était 17h lorsque nous avons fait un petit tour à la ville qui était complètement vide.
:ahok:
Ville morte à cause des festivités de fin d’année
Que ce soit avec la très forte chaleur ou la pluie, la ville de Rustenburg était une ville carrément morte. Mis à part quelques véhicules de particuliers et d’étrangers, quelques taxis, on n’a rencontré aucun citoyen. Renseignement pris auprès de la réceptionniste de l’hôtel, la ville était vide à cause des festivités de fin de l’année.
Beaucoup d’Algériens résident à Rustenburg…
Pendant notre première tournée dans cette ville, nous avons constaté qu’il y’a un très grand nombre d’Algériens qui résident à Rustenburg. D’ailleurs, nous nous sommes arrêtés devant un jeune pour lui demander quelques renseignements mais il s’est excusé poliment du fait qu’il ne pouvait pas parler anglais. Par la suite, on a su qu’il était de nationalité algérienne. Il nous a fait savoir qu’environ 200 personnes d’origine algérienne vivent ici à Rustenburg.
… dont un grand nombre travaille dans la coiffure et la restauration :AHHHHHHHHHOKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKK:
Pour ce jeune Algérien, ses compatriotes exercent presque tous le métier de coiffeur ou de restaurateur. Certains travaillent en effet dans des salons de coiffure alors que les autres profitent du fait de la disponibilité de nourriture hallal pour trouver un job en compagnie de leurs voisins marocains et tunisiens.
Leur nombre a augmenté après la Coupe du monde 2010
Toutefois, le nombre d’Algériens résidant en Afrique du Sud n’était pas très important avant le déroulement de la dernière Coupe du monde disputée en 2010. En effet, beaucoup de jeunes Algériens ayant réussi à obtenir un visa pour suivre les matchs de l’équipe algérienne durant le Mondial ont préféré s’établir dans le pays de Nelson Mandela qui leur offre l’opportunité de travailler.
Une mosquée située à l’entrée de la ville avec un imam originaire du Malawi
Pour les Algériens qui vont venir à Rustenburg soutenir l’équipe algérienne, ils ne seront pas dépaysés du tout. Outre la nourriture hallal disponible, il y a aussi une petite mosquée située à l’entrée de la ville de Rustenburg. Elle permet aux musulmans résidant ici d’accomplir leurs prières dans la mosquée. L’imam de cette mosquée est originaire du Malawi.
------
Il y a beaucoup de papillons
Ce qui a attiré notre attention durant notre présence ici à Rustenburg, c’est la présence d’un grand nombre de papillons. Il suffit de sortir dehors pour le constater surtout en début d’après- midi.
C’est très calme par rapport à Pretoria
Entre Rustenburg et Pretoria, il y a une grande différence. Alors qu’à Pretoria, il y a des quartiers qui constituent parfois un danger pour les étrangers, puisque le taux d’agressions physiques est élevé, ce n’est pas le cas à Rustenburg qui est très clame. D’ailleurs, certains habitants que nous avons rencontrés nous ont fait savoir qu’aucune agression n’a été signalée depuis un bon moment à Rustenburg.
La nourriture hallal existe
Les supporters algériens qui souhaitent se rendre en Afrique du Sud pour soutenir l’Equipe nationale pendant la phase finale de la CAN n’ont pas à craindre la nourriture. En effet, il existe la nourriture hallal. A l’entrée de la ville, de grandes surfaces sont mises à leur disposition pour s’approvisionner.
C’est une ville industrielle, pas agricole :wikipedia:
Contrairement à ce qu’a été dit de Rustenburg, comme quoi c’est une ville agricole, notre présence nous a fait constater que c’est tout le contraire. Il s’agit d’une ville industrielle puisque nous avons remarqué la présence de BMW, Hunday... Outre le volet de l’industrie, c’est aussi une ville commerciale puisqu’elle compte de grandes surfaces et des supermarchés.
A 15 kilomètres de Johannesburg, un quartier au nom de l’Algérie
Au moment où nous étions sur le chemin de Johannesburg pour rejoindre Rustenburg, nous avons constaté qu’un quartier portait le nom de l’Algérie. C’était en pleine autoroute, à 15 kilomètres de l’aéroport de Johannesburg. La plaque était bien claire, Algéria, tout comme l’Angola, quelques kilomètres plus tôt. Aujourd’hui, on peut dire que les Sud-Africains ont beaucoup d’estime pour les Algériens.
On n’a pas l’impression que la CAN va se dérouler en Afsud
En faisant une tournée à Rustenburg, on n’a pas eu l’impression que la Coupe d’Afrique des nations va avoir lieu dans presque trois semaines. En effet, nous n’avons constaté aucune plaque publicitaire concernant la CAN, ni de l’engouement pour ce tournoi.
Un Algérien rencontré par hasard
Au moment où nous étions en train de chercher quelques personnes de passage pour essayer d’avoir des renseignements sur la ville et connaître certains coins, nous sommes tombés sur un Algérien comme par hasard. Il s’agit de Abdelhalim Ghouil, originaire de Jijel et qui est là depuis deux semaines. Lui aussi exerce le métier de coiffeur.
Les plus belles bâtisses, c’est dans les montagnes
Ce qu’on a remarqué, c’est que les plus belles bâtisses de Rustenburg sont situées dans les montagnes. Leurs propriétaires y ont placé un grillage afin de parer à toute mauvaise surprise.
Beaucoup d’Européens y ont passé le Réveillon
Beaucoup d’étrangers, notamment des Européens, ont choisi la ville de Rustenburg pour passer le Réveillon. Ainsi, nous avons aperçu des Européens en train de manger chez Mc Donalds et faire le tour de la ville à bord de voitures de location.
On a allumé des milliers de feux d’artifice la veille
Au moment nous étions en train de faire le tour de la ville de Rustenburg, notre surprise était grande lorsque nous avons trouvé par terre un grand nombre de feux d’artifices. Ils étaient tous jetés après avoir été utilisé. Seulement, c’est que ce type de feux d’artifices, a rarement était utilisé chez nous en Algérie.
Ville morte à cause des festivités de fin d’année. Leur nombre a augmenté après la Coupe du monde 2010.
Mardi 1er janvier 2013, il était 11h00 heure sud- africaine, 10h40 heure algérienne lorsque l’appareil A380 de la compagnie française Air France s’est posée sur le tarmac de l’aéroport international de Johannesburg. A son bord, il y avait un très grand nombre de passagers, mais aussi l’équipe du Buteur dépêchée sur place pour entamer son travail, en prévision de la 29e édition de la Coupe d’Afrique des nations dont le coup d’envoi est prévu le 19 janvier. Pour rappel, l’Afrique du Sud s’est vue attribuer l’organisation de cette CAN, après ce qui s’est passé en Libye où elle était prévue au départ. Après les formalités d’usage, l’équipe du Buteur a pu quitter l’aéroport de Johannesburg pour rejoindre la ville où résidera l’Algérie.
Le Buteur, premier organe de presse présent en Afrique du Sud
Cette fois-ci, Le Buteur n’est pas seulement le premier organe algérien à avoir mis ses pieds en Afrique du Sud pour commencer son travail, mais le premier organe étranger présent en Afrique du Sud pour la couverture de la CAN. C’est d’ailleurs un officier de la Police des frontière sud-africaine qui nous l’a fait savoir avec un air d’étonnement, au moment où nous étions en train d’accomplir les formalités d’usage pour rentrer sur le sol sud-africain : «Vous venez pour couvrir la Coupe d’Afrique des nations ? Vous êtes venus très tôt. Vous m’avez surpris parce que vous êtes les premiers étrangers à être venus pour la CAN.»
Si ce n’était un problème de visa, notre présence allait être la fin 2012
Notre arrivée à l’aéroport de Johannesburg a coïncidé avec le premier jour de cette nouvelle année 2013. Cependant, ça aurait pu être bien avant. Au départ, il a été décidé que notre voyage se fasse le dimanche, pas le lundi, afin de communiquer le plus tôt possible toutes les informations qui concernent la participation de l’Algérie à cette CAN, trois ans après la dernière, en 2010, en Angola. Mais cela n’a pu se faire à cause d’un problème administratif. Après qu’il eut été décidé que l’ensemble des journalistes algériens désirant couvrir la CAN avaient le droit de rentrer en Afrique du Sud sans visa, la donne a changé par la suite. Au moment où nous étions prêts à rallier Johannesburg dimanche dans la soirée, une surprise de dernière minute nous a empêchés. Le personnel de l’aéroport international d’Alger a refusé de nous laisser passer, sous prétexte que les Sud-Africain ne leur avaient rien signifié.
Nous étions obligés de reporter le voyage de 24h, le temps d’avoir le visa car, en même temps, le chef d’escale d’Air France avait refusé lui aussi d’en prendre la responsabilité car il fallait faire escale à Paris, avant de rejoindre l’Afrique du Sud. Des taxieurs spécialistes de l’arnaque
Il faut dire que notre sortie de l’aéroport de Johannesburg ne s’est passée comme on le croyait. En effet, après une prise de bec avec certains taxieurs qui voulaient profiter de cette occasion pour nous fixer des tarifs exorbitants, nous sommes tombés d’accord avec un taxieur d’un certain âge. Après discussion, le prix du voyage Johannesburg-Rustenburg a été fixé à 120 euros. Il faut dire que ce chauffeur ded taxi a fini par craquer devant notre instance, face à la pression exercée par ses collègues taxieurs.
Le chauffeur a failli nous déposer à mi-chemin, au milieu d’une forêt, pour exiger un supplément…
Une fois que le chauffeur taxi a démarré, grande fut notre surprise lorsqu’il a décroché le compteur. Interrogé, il nous a dit : «J’ai mis mon compteur en marche uniquement pour ne pas avoir des problèmes avec la police.» Une justification qui nous a un peu rassurés, puisqu’on ne connaît pas l’Afrique du Sud. Mais après avoir parcouru la moitié du chemin vers Rustenburg, le chauffeur de taxi nous surprend en garant sa voiture sur la file gauche, en pleine forêt. A ce moment-là, il a décidé de nous faire du chantage en exigeant de lui verser 120 euros plus un supplémentent de 100 euros, faute de quoi il nous laissera livrer à nous-mêmes au milieu de la jungle. Après des palabres, il a fini par accepter un bakchich de 30 euros pour redémarrer.
…puis nous menace de recourir à la police
Une fois arrivés à notre hôtel, ce même chauffeur taxi voulait à tout prix nous arnaquer dans le but de gagner plus d’argent. Sentant que sa stratégie avait complètement échoué, ledit taxieur nous a menacé : «Je vais aller me plaindre à la police, le trajet est beaucoup plus long que prévu.» Notre ami nous a fait savoir que le compteur qu’il avait mis en marche a mentionné un tarif plus important, alors qu’au départ, on s’était entendus sur un montant forfaitaire. Il aura fallu aussi le convaincre avant de le laisser partir.
L’arrivée à Rustenburg sous une forte chaleur...
De Johannesburg, il fallait parcourir presque 150 kilomètres pour arriver à Rustenburg pendant deux heures. Le taxieur connaissait très bien la route, mais il a fait plusieurs détours. Nous sommes arrivés à Rustenburg vers 15h, il faisait très chaud.
… suivie d’une forte pluie
Cette chaleur n’a pas duré longtemps, du moment qu’une pluie battante commençait à tomber en fin d’après- midi sur la ville de Rustenburg et sa périphérie. D’ailleurs, il était 17h lorsque nous avons fait un petit tour à la ville qui était complètement vide.
:ahok:Ville morte à cause des festivités de fin d’année
Que ce soit avec la très forte chaleur ou la pluie, la ville de Rustenburg était une ville carrément morte. Mis à part quelques véhicules de particuliers et d’étrangers, quelques taxis, on n’a rencontré aucun citoyen. Renseignement pris auprès de la réceptionniste de l’hôtel, la ville était vide à cause des festivités de fin de l’année.
Beaucoup d’Algériens résident à Rustenburg…
Pendant notre première tournée dans cette ville, nous avons constaté qu’il y’a un très grand nombre d’Algériens qui résident à Rustenburg. D’ailleurs, nous nous sommes arrêtés devant un jeune pour lui demander quelques renseignements mais il s’est excusé poliment du fait qu’il ne pouvait pas parler anglais. Par la suite, on a su qu’il était de nationalité algérienne. Il nous a fait savoir qu’environ 200 personnes d’origine algérienne vivent ici à Rustenburg.
… dont un grand nombre travaille dans la coiffure et la restauration :AHHHHHHHHHOKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKKK:
Pour ce jeune Algérien, ses compatriotes exercent presque tous le métier de coiffeur ou de restaurateur. Certains travaillent en effet dans des salons de coiffure alors que les autres profitent du fait de la disponibilité de nourriture hallal pour trouver un job en compagnie de leurs voisins marocains et tunisiens.
Leur nombre a augmenté après la Coupe du monde 2010
Toutefois, le nombre d’Algériens résidant en Afrique du Sud n’était pas très important avant le déroulement de la dernière Coupe du monde disputée en 2010. En effet, beaucoup de jeunes Algériens ayant réussi à obtenir un visa pour suivre les matchs de l’équipe algérienne durant le Mondial ont préféré s’établir dans le pays de Nelson Mandela qui leur offre l’opportunité de travailler.
Une mosquée située à l’entrée de la ville avec un imam originaire du Malawi
Pour les Algériens qui vont venir à Rustenburg soutenir l’équipe algérienne, ils ne seront pas dépaysés du tout. Outre la nourriture hallal disponible, il y a aussi une petite mosquée située à l’entrée de la ville de Rustenburg. Elle permet aux musulmans résidant ici d’accomplir leurs prières dans la mosquée. L’imam de cette mosquée est originaire du Malawi.
------
Il y a beaucoup de papillons
Ce qui a attiré notre attention durant notre présence ici à Rustenburg, c’est la présence d’un grand nombre de papillons. Il suffit de sortir dehors pour le constater surtout en début d’après- midi.
C’est très calme par rapport à Pretoria
Entre Rustenburg et Pretoria, il y a une grande différence. Alors qu’à Pretoria, il y a des quartiers qui constituent parfois un danger pour les étrangers, puisque le taux d’agressions physiques est élevé, ce n’est pas le cas à Rustenburg qui est très clame. D’ailleurs, certains habitants que nous avons rencontrés nous ont fait savoir qu’aucune agression n’a été signalée depuis un bon moment à Rustenburg.
La nourriture hallal existe
Les supporters algériens qui souhaitent se rendre en Afrique du Sud pour soutenir l’Equipe nationale pendant la phase finale de la CAN n’ont pas à craindre la nourriture. En effet, il existe la nourriture hallal. A l’entrée de la ville, de grandes surfaces sont mises à leur disposition pour s’approvisionner.
C’est une ville industrielle, pas agricole :wikipedia:
Contrairement à ce qu’a été dit de Rustenburg, comme quoi c’est une ville agricole, notre présence nous a fait constater que c’est tout le contraire. Il s’agit d’une ville industrielle puisque nous avons remarqué la présence de BMW, Hunday... Outre le volet de l’industrie, c’est aussi une ville commerciale puisqu’elle compte de grandes surfaces et des supermarchés.
A 15 kilomètres de Johannesburg, un quartier au nom de l’Algérie
Au moment où nous étions sur le chemin de Johannesburg pour rejoindre Rustenburg, nous avons constaté qu’un quartier portait le nom de l’Algérie. C’était en pleine autoroute, à 15 kilomètres de l’aéroport de Johannesburg. La plaque était bien claire, Algéria, tout comme l’Angola, quelques kilomètres plus tôt. Aujourd’hui, on peut dire que les Sud-Africains ont beaucoup d’estime pour les Algériens.
On n’a pas l’impression que la CAN va se dérouler en Afsud
En faisant une tournée à Rustenburg, on n’a pas eu l’impression que la Coupe d’Afrique des nations va avoir lieu dans presque trois semaines. En effet, nous n’avons constaté aucune plaque publicitaire concernant la CAN, ni de l’engouement pour ce tournoi.
Un Algérien rencontré par hasard
Au moment où nous étions en train de chercher quelques personnes de passage pour essayer d’avoir des renseignements sur la ville et connaître certains coins, nous sommes tombés sur un Algérien comme par hasard. Il s’agit de Abdelhalim Ghouil, originaire de Jijel et qui est là depuis deux semaines. Lui aussi exerce le métier de coiffeur.
Les plus belles bâtisses, c’est dans les montagnes
Ce qu’on a remarqué, c’est que les plus belles bâtisses de Rustenburg sont situées dans les montagnes. Leurs propriétaires y ont placé un grillage afin de parer à toute mauvaise surprise.
Beaucoup d’Européens y ont passé le Réveillon
Beaucoup d’étrangers, notamment des Européens, ont choisi la ville de Rustenburg pour passer le Réveillon. Ainsi, nous avons aperçu des Européens en train de manger chez Mc Donalds et faire le tour de la ville à bord de voitures de location.
On a allumé des milliers de feux d’artifice la veille
Au moment nous étions en train de faire le tour de la ville de Rustenburg, notre surprise était grande lorsque nous avons trouvé par terre un grand nombre de feux d’artifices. Ils étaient tous jetés après avoir été utilisé. Seulement, c’est que ce type de feux d’artifices, a rarement était utilisé chez nous en Algérie.
Putain ils commencent fort ces couillons, 1 mois de grands moments littéraires en perspective
Génial.
Le coup des papillons 
Et ca se vend ce journal la ? 
Ils sont géniaux. 
Un récit sur tous les détails insignifiants.
Un récit sur tous les détails insignifiants.
L'impression de lire la rédac d'un gamin de CM1/CM2 qui raconte ses vacances. Enorme !
Citation
Aït Kaci (pdt. du comité des supporters) : «On s’est fait caillasser, comme si on était des juifs»
De son côté, Lakhdar Aït Kaci, qui est le président du comité des supporters, nous a fait part de sa profonde déception par le traitement qui a été réservé aux supporters de l’USMH sur le trajet Béjaïa-Alger : «Jusqu’à présent, on n’arrive pas à croire que cela s’est passé dans notre pays. Nous sommes un peuple musulman mais le traitement qui nous a été réservé dans les communes de Chorfa et de Rafour me laisse perplexe. On s’est fait caillasser comme si on était des juifs. Si cela s’est passé à Béjaïa, j’aurais sûrement pensé à des supporters béjaouis, mais comme c’était à M’chedallah, qui est une commune rattachée à Bouira, je n’ai aucune explication à ces incidents.»
Le Buteur
Citation (KaRiMZiANiSiSiLaFaMiLLe93 @ 06/01/2013 12:42) 
l'enculé
Citation
MCA : Un international israélien à Vitesse Arnhem !
Même si le match contre Vitesse Arnhem est prévu pour le 11 de ce mois, il n’empêche que les joueurs du Mouloudia se trouvent dans une situation très délicate. Et pour cause, alors que le rendez-vous face au club hollandais devait constituer le point d’orgue de ce stage en terre ibérique, il pourrait devenir un véritable cauchemar pour les Vert et Rouge. En effet, les gars du MCA viennent d’apprendre que l’équipe d’Arnhem compte dans ses rangs un défenseur qui est un international israélien répondant au nom de Dani Mori. Ce natif de Tel-Aviv a disputé l’année passée trois matches internationaux avec sa sélection d’Israël. De quoi mettre dans l’embarras Babouche et les siens qui doivent l’affronter et même lui serrer la main avant le coup d’envoi. En d’autres termes, ce sera l’ultime affront pour les gars du Mouloudia qui n’ont nullement envie de se retrouver face à un international israélien, dans un match à caractère amical, qui aura de surcroît lieu un vendredi.
Le Buteur
Même si le match contre Vitesse Arnhem est prévu pour le 11 de ce mois, il n’empêche que les joueurs du Mouloudia se trouvent dans une situation très délicate. Et pour cause, alors que le rendez-vous face au club hollandais devait constituer le point d’orgue de ce stage en terre ibérique, il pourrait devenir un véritable cauchemar pour les Vert et Rouge. En effet, les gars du MCA viennent d’apprendre que l’équipe d’Arnhem compte dans ses rangs un défenseur qui est un international israélien répondant au nom de Dani Mori. Ce natif de Tel-Aviv a disputé l’année passée trois matches internationaux avec sa sélection d’Israël. De quoi mettre dans l’embarras Babouche et les siens qui doivent l’affronter et même lui serrer la main avant le coup d’envoi. En d’autres termes, ce sera l’ultime affront pour les gars du Mouloudia qui n’ont nullement envie de se retrouver face à un international israélien, dans un match à caractère amical, qui aura de surcroît lieu un vendredi.
Le Buteur
J'en peux plus
La dernière phrase high top level
Merci pour les articles.
Le "et même lui serrer la main" est exceptionnel
C'est génial. On peut s'abonner ?
Le Buteur >
Bob, remue toi, le mercato sur Le Buteur c'est plus passionnant qu'ici.
Citation
JSK : Découverte de l’arnaque Elié Moisés
La direction a décidé de résilier son contrat pour limiter les dégâts. Sa libération paraît bizarre, mais c’est la triste vérité. L’Ivoirien, que les dirigeants ont présenté comme un vrai chasseur de buts, n’a pas le niveau ni de jouer à la JSK ni dans une autre équipe algérienne. Mais comment se fait-il qu’un grand club comme la JSK se fait arnaquer de la sorte ? Les dirigeants l’ont recruté après leur avoir dit qu’il est issu de l’école de formation de Barcelone. Mais ils auraient pu éviter ce scandale, s’ils avaient jugé de se renseigner sur lui. Pourtant, le joueur a été renvoyé de l’EST en août 2011. Il a été aussi chassé par un club jordanien avant que la JSK ne lui signe un contrat de deux saisons sans l’avoir vu à l’œuvre. Les dirigeants kabyles ne tarissaient pas d’éloges sur lui, mais la projection de la vidéo de l’entraîneur de l’Esperance de Tunis, Nabil Maâloul, sur les réseaux sociaux, dans laquelle il a affirmé qu’Elié Moisés qui a été mis à l’essai par le club tunisien en août 2011, il apparaît que le joueur n’a même pas le niveau pour jouer avec les espoirs de l’EST, les a vite refroidis. Ils étaient très inquiets avant de décider finalement de se séparer de ses services. Les responsables kabyles l’ont jugé seulement sur des séquences vidéo.
Même si le coach de l’EST s’était vite rendu compte qu’Elié Moisés n’avait pas le niveau pour porter le maillot de son équipe, il regrettait de l’avoir laissé s’entraîner avec le groupe pendant quelques jours avant de l’aligner lors de la rencontre amicale disputée face à la JSMB. «Elié Moisés n’a même pas le droit d’être mis à l’essai ni celui de garder le parc de l’Espérance de Tunis», avait-il tonné.
Pour éviter le scandale, il sera renvoyé aujourd’hui
L’option de renvoyer l’attaquant ivoirien est envisagée par la direction en fin de matinée d’hier. Les dirigeants avaient décidé au départ de le mettre à l’essai ce mercredi face à la formation de Boumerdès, mais ils ont fini par changer d’avis au début de soirée. La décision de le renvoyer aujourd’hui a été prise à l’unanimité. Il leur a suffi de trois séances d’entraînement pour se rendre compte que Moisés n’a rien à voir avec le football. Non seulement il n’a pas le niveau de jouer à la JSK, mais aussi dans les divisions inferieures. La direction kabyle lui a permis néanmoins de visiter notre pays avant d’être prié de retourner chez lui.
La direction a décidé de résilier son contrat pour limiter les dégâts. Sa libération paraît bizarre, mais c’est la triste vérité. L’Ivoirien, que les dirigeants ont présenté comme un vrai chasseur de buts, n’a pas le niveau ni de jouer à la JSK ni dans une autre équipe algérienne. Mais comment se fait-il qu’un grand club comme la JSK se fait arnaquer de la sorte ? Les dirigeants l’ont recruté après leur avoir dit qu’il est issu de l’école de formation de Barcelone. Mais ils auraient pu éviter ce scandale, s’ils avaient jugé de se renseigner sur lui. Pourtant, le joueur a été renvoyé de l’EST en août 2011. Il a été aussi chassé par un club jordanien avant que la JSK ne lui signe un contrat de deux saisons sans l’avoir vu à l’œuvre. Les dirigeants kabyles ne tarissaient pas d’éloges sur lui, mais la projection de la vidéo de l’entraîneur de l’Esperance de Tunis, Nabil Maâloul, sur les réseaux sociaux, dans laquelle il a affirmé qu’Elié Moisés qui a été mis à l’essai par le club tunisien en août 2011, il apparaît que le joueur n’a même pas le niveau pour jouer avec les espoirs de l’EST, les a vite refroidis. Ils étaient très inquiets avant de décider finalement de se séparer de ses services. Les responsables kabyles l’ont jugé seulement sur des séquences vidéo.
Même si le coach de l’EST s’était vite rendu compte qu’Elié Moisés n’avait pas le niveau pour porter le maillot de son équipe, il regrettait de l’avoir laissé s’entraîner avec le groupe pendant quelques jours avant de l’aligner lors de la rencontre amicale disputée face à la JSMB. «Elié Moisés n’a même pas le droit d’être mis à l’essai ni celui de garder le parc de l’Espérance de Tunis»,
avait-il tonné.Pour éviter le scandale, il sera renvoyé aujourd’hui
L’option de renvoyer l’attaquant ivoirien est envisagée par la direction en fin de matinée d’hier. Les dirigeants avaient décidé au départ de le mettre à l’essai ce mercredi face à la formation de Boumerdès, mais ils ont fini par changer d’avis au début de soirée. La décision de le renvoyer aujourd’hui a été prise à l’unanimité. Il leur a suffi de trois séances d’entraînement pour se rendre compte que Moisés n’a rien à voir avec le football. Non seulement il n’a pas le niveau de jouer à la JSK, mais aussi dans les divisions inferieures. La direction kabyle lui a permis néanmoins de visiter notre pays avant d’être prié de retourner chez lui.
Citation
«Le recrutement de Moises n’était pas une arnaque. Il a été renvoyé, car il était venu sans même prévenir son père !»
La résiliation du contrat de l’Ivoirien Elié Moises a fait le buzz chez les supporters de la JSK, lesquels ne croient toujours pas que la JSK s’est fait, encore une fois, arnaquer. 24 heures après son arrivée à Boumerdès, Moises a été vite renvoyé par les responsables de la JSK. Selon ces derniers, il a été congédié à cause de sa malhonnêteté. A ce sujet, Hannachi dira : «Moises n’a pas été renvoyé au vu de ses prestations. Au contraire, c’est un bon joueur. Seulement, il ne s’est pas montré correct. La preuve, je lui ai prêté mon téléphone pour contacter son père, il l’a masqué pour le faire. Cela veut dire qu’il avait des choses à cacher. Ce n’est pas correct !»
La résiliation du contrat de l’Ivoirien Elié Moises a fait le buzz chez les supporters de la JSK, lesquels ne croient toujours pas que la JSK s’est fait, encore une fois, arnaquer. 24 heures après son arrivée à Boumerdès, Moises a été vite renvoyé par les responsables de la JSK. Selon ces derniers, il a été congédié à cause de sa malhonnêteté. A ce sujet, Hannachi dira : «Moises n’a pas été renvoyé au vu de ses prestations. Au contraire, c’est un bon joueur. Seulement, il ne s’est pas montré correct. La preuve, je lui ai prêté mon téléphone pour contacter son père, il l’a masqué pour le faire. Cela veut dire qu’il avait des choses à cacher. Ce n’est pas correct !»
Citation
En ce mercato hivernal, un scandale en cache un autre. Avant même que le public ne digère celui de l’Ivoirien, Elié Moisés, et Hamza Bencherif, un autre a été étouffé dans l’œuf. En effet, selon certaines indiscrétions, le Panaméen dont les dirigeants n’ont pas cessé de parler depuis le mois de décembre dernier ne viendra pas à la JSK. Son manager avec lequel les dirigeants ont négocié en France, aurait reçu une somme d’argent afin de se rendre jusqu’à Panama pour faire venir le joueur, il aurait dépensé l’argent sans se donner la peine d’aller chercher le joueur . Le président Hannachi a justifié la non-venue de l’attaquant panaméen par la difficulté des démarches administratives pour faire venir un joueur de Panama jusqu’en Algérie. Mais cet argument ne tient pas vraiment la route puisque les dirigeants kabyles ont entamé les démarches pour le faire venir depuis bien longtemps. Ils lui auraient envoyé en plus d’une invitation, un billet d’avion. Le cas de l’attaquant panaméen est un peu obscur. Il suffira à n’importe quel club moins d’un mois pour faire venir un joueur d’un continent à l’autre. Cette histoire traîne depuis bien longtemps et si toute la lumière sera faite, cela risque de mettre certaines personnes dans des positions inconfortables. On se demande pourquoi les dirigeants ne souhaitent pas s’exprimer sur ce Panaméen que le staff technique leur a vivement recommandé après avoir visionné quelques unes de ses rencontres.
Le président Hannachi a justifié la non-venue de l’attaquant panaméen par la difficulté des démarches administratives pour faire venir un joueur de Panama jusqu’en Algérie. Mais cet argument ne tient pas vraiment la route puisque les dirigeants kabyles ont entamé les démarches pour le faire venir depuis bien longtemps. Ils lui auraient envoyé en plus d’une invitation, un billet d’avion. Le cas de l’attaquant panaméen est un peu obscur. Il suffira à n’importe quel club moins d’un mois pour faire venir un joueur d’un continent à l’autre. Cette histoire traîne depuis bien longtemps et si toute la lumière sera faite, cela risque de mettre certaines personnes dans des positions inconfortables. On se demande pourquoi les dirigeants ne souhaitent pas s’exprimer sur ce Panaméen que le staff technique leur a vivement recommandé après avoir visionné quelques unes de ses rencontres.Citation
Moises n’a pas été renvoyé au vu de ses prestations. Au contraire, c’est un bon joueur. Seulement, il ne s’est pas montré correct. La preuve, je lui ai prêté mon téléphone pour contacter son père, il l’a masqué pour le faire. Cela veut dire qu’il avait des choses à cacher. Ce n’est pas correct !»
non mais
Citation
Même si le coach de l’EST s’était vite rendu compte qu’Elié Moisés n’avait pas le niveau pour porter le maillot de son équipe, il regrettait de l’avoir laissé s’entraîner avec le groupe pendant quelques jours avant de l’aligner lors de la rencontre amicale disputée face à la JSMB. «Elié Moisés n’a même pas le droit d’être mis à l’essai ni celui de garder le parc de l’Espérance de Tunis» avait-il tonné.
Pour éviter le scandale, il sera renvoyé aujourd’hui
L’option de renvoyer l’attaquant ivoirien est envisagée par la direction en fin de matinée d’hier. Les dirigeants avaient décidé au départ de le mettre à l’essai ce mercredi face à la formation de Boumerdès, mais ils ont fini par changer d’avis au début de soirée. La décision de le renvoyer aujourd’hui a été prise à l’unanimité. Il leur a suffi de trois séances d’entraînement pour se rendre compte que Moisés n’a rien à voir avec le football. Non seulement il n’a pas le niveau de jouer à la JSK, mais aussi dans les divisions inferieures. La direction kabyle lui a permis néanmoins de visiter notre pays avant d’être prié de retourner chez lui.
Pour éviter le scandale, il sera renvoyé aujourd’hui
L’option de renvoyer l’attaquant ivoirien est envisagée par la direction en fin de matinée d’hier. Les dirigeants avaient décidé au départ de le mettre à l’essai ce mercredi face à la formation de Boumerdès, mais ils ont fini par changer d’avis au début de soirée. La décision de le renvoyer aujourd’hui a été prise à l’unanimité. Il leur a suffi de trois séances d’entraînement pour se rendre compte que Moisés n’a rien à voir avec le football. Non seulement il n’a pas le niveau de jouer à la JSK, mais aussi dans les divisions inferieures. La direction kabyle lui a permis néanmoins de visiter notre pays avant d’être prié de retourner chez lui.
Non mais
Citation
Bagarre entre Mbolhi et deux supporters qui l'ont insulté
Mbolhi en est venu aux mains avec deux supporters qui ont insulté sa mère
Le vol Air France qui a transporté 12 joueurs de l'équipe nationale de Johansburg à Paris a connu un retard à cause de deux supporters algériens qui ont pris à partie Raïs Mbolhi et Foued Kadir dans la salle d’embarquement. Le gardien de but algérien s’est vu dire que Azzedine Doukha était meilleur que lui, mais il n’a pas bronché. Mais les deux supporters sont allés plus loin en insultant sa mère. Là, Mbolhi n’a pas pu se retenir et il en est venu aux mains avec eux. Il a fallu l’intervention de ses coéquipiers pour le calmer.
La police de l’aéroport a mené une enquête rapide grâce aux caméras vidéo
Même Kadir n’a pas été épargné. Il lui a été reproché un rendement jugé loin des espérances et de son potentiel réel. Devant la tournure prise par les événements, la police de l’aéroport a été alertée de suite. Avec une discrète efficacité, cette dernière a visionné rapidement la scène grâce aux enregistrements des caméras de surveillance implantées un peu partout dans l’aéroport et a conclu que les deux supporters ont agressé les joueurs.
Les deux supporters ont été arrêtés dans l’avion, le vol a été retardé d’une heure
De ce fait, un mandat d’arrêt a été rapidement délivré. Les deux incriminés ont été descendus de l’avion manu militari. Comme ils avaient des bagages, le décollage de l’avion a été retardé de près d’une heure, le temps de chercher leurs valises parmi les centaines entassées dans la soute de l’imposant Airbus A380. Ce n’est qu’après que les deux supporters eurent été descendus de l’avion avec leurs bagages que l’avion a pu partir.
Mbolhi en est venu aux mains avec deux supporters qui ont insulté sa mère
Le vol Air France qui a transporté 12 joueurs de l'équipe nationale de Johansburg à Paris a connu un retard à cause de deux supporters algériens qui ont pris à partie Raïs Mbolhi et Foued Kadir dans la salle d’embarquement. Le gardien de but algérien s’est vu dire que Azzedine Doukha était meilleur que lui, mais il n’a pas bronché. Mais les deux supporters sont allés plus loin en insultant sa mère. Là, Mbolhi n’a pas pu se retenir et il en est venu aux mains avec eux. Il a fallu l’intervention de ses coéquipiers pour le calmer.
La police de l’aéroport a mené une enquête rapide grâce aux caméras vidéo
Même Kadir n’a pas été épargné. Il lui a été reproché un rendement jugé loin des espérances et de son potentiel réel. Devant la tournure prise par les événements, la police de l’aéroport a été alertée de suite. Avec une discrète efficacité, cette dernière a visionné rapidement la scène grâce aux enregistrements des caméras de surveillance implantées un peu partout dans l’aéroport et a conclu que les deux supporters ont agressé les joueurs.
Les deux supporters ont été arrêtés dans l’avion, le vol a été retardé d’une heure
De ce fait, un mandat d’arrêt a été rapidement délivré. Les deux incriminés ont été descendus de l’avion manu militari. Comme ils avaient des bagages, le décollage de l’avion a été retardé de près d’une heure, le temps de chercher leurs valises parmi les centaines entassées dans la soute de l’imposant Airbus A380. Ce n’est qu’après que les deux supporters eurent été descendus de l’avion avec leurs bagages que l’avion a pu partir.
Pas du grand buteur, mais régulier dans la pertinence, construction classique en 3 paragraphes.
Le premier avec une punchline efficace pour eveiller l’interet « Le gardien de but algérien s’est vu dire que Azzedine Doukha était meilleur que lui, mais il n’a pas bronché. Mais les deux supporters sont allés plus loin en insultant sa mère ».
Le second pour donner les conclusions de l’enquete, tout en félicitant les autorités de manière tres originale, et leur « discrète efficacité ».
Et enfin le dernier paragraphe, assimilé a une conclusion, qui nous livre les détails indispensables a la bonne compréhension des evenements « Comme ils avaient des bagages, le décollage de l’avion a été retardé de près d’une heure, le temps de chercher leurs valises parmi les centaines entassées dans la soute de l’imposant Airbus A380 ».
Et toujours les mêmes approximations de langages : "Comme ils avaient des bagages, le décollage de l’avion a été retardé de près d’une heure"
Le déroulement à la Prison Break
Big up aux deux supporters. C'est largement mieux que les fils de putes que j'ai vu prendre des photos avec Ghezzal et Habib Belaid à l'aéroport de Johannesburg en 2010.
Citation (KaRiMZiANiSiSiLaFaMiLLe93 @ 03/02/2013 20:27)
Bizarrement ils ont sorti une interview mito de lui
http://www.lebuteur.com/en/actualites/desa...s-et-techniques
http://www.lebuteur.com/en/actualites/desa...s-et-techniques
Je reprends ici, mais je vois que les journaux sont dispo en PDF gratuitement
vu la gueule des unes, j'ai pas pu résister à regarder ce qu'il y avait dedans, et là, dans l'edition je tombe sur un article totalement surréaliste Citation
Anniversaire
Le petit Imad-Adam Fodil fête aujourd'hui ses 3 ans. Tout heureux, son papa lui a concocté un gâteau tout beau, décoré de fraises toutes rouges et de raisins noirs, en allusion, on l'aura deviné, à l'USMA, son club de coeur. Quelques tranches de pomme verte ou de banane jaune n'auraient pas été de trop sur ce gâteau fruit qui ne serait que plus succulent, avec une pensée délicieuse pour la JSK! Joyeux anniversaire et longue vie à Imd-Adam. Plutôt cent fois qu'une!
Le petit Imad-Adam Fodil fête aujourd'hui ses 3 ans. Tout heureux, son papa lui a concocté un gâteau tout beau, décoré de fraises toutes rouges et de raisins noirs, en allusion, on l'aura deviné, à l'USMA, son club de coeur. Quelques tranches de pomme verte ou de banane jaune n'auraient pas été de trop sur ce gâteau fruit qui ne serait que plus succulent, avec une pensée délicieuse pour la JSK! Joyeux anniversaire et longue vie à Imd-Adam. Plutôt cent fois qu'une!
Le tout avec la photo du gamin
Je fait comme toi je click par hasard la dessus
http://www.lebuteur.com/pdf-lebuteur/voir-journal/1548
Arrache
http://www.lebuteur.com/pdf-lebuteur/voir-journal/1548
Arrache
MDDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
Merci je l'avais jamais vu celle là
Merci je l'avais jamais vu celle là
Putain mais
100pour100 algérien ©
100pour100 algérien ©
Citation
Selon le Daily Mail, Danny Simpson dont le contrat expire au terme de cet exercice a été laissé inconscient et en sang en pleine rue du côté de Manchester ! Après avoir passé une longue soirée pour le moins agitée, le joueur voulait se prendre un kebab, quand les choses ont dégénéré avec un homme présent sur les lieux. Le joueur est resté inconscient pendant 15 minutes, avant que l’ambulance n’arrive sur les lieux. Finalement, Simpson a retrouvé ses esprits.
Et les medias francais qui ne nous parlent pas des vraies histoires, heureusement le buteur et son sens du détail est la.
On retrouve la construction en 3 grandes lignes.
1)Déjà le lien entre la fin de contrat et le fait qu’il reste en sang dans la rue.
2)Le détail du kebab
3)La conclusion magique
Pourquoi préciser qu'il est en fin de contrat?
Confirmation c'est bien un mec du Buteur qui a pris la tarte de Desailly, un ancien simple forumeur de DZfoot qui a réussi à se faire embaucher en copinant avec eux lors d'un déplacement
Interview dans Le Buteur
«L’Algérie, c’est mes racines, je ne mange pas de porc»
Très fier de ses origines, Florian Raspentino rappelle qu’il a reçu une éducation à l’algérienne, que sa grand-mère lui a inculquée lorsqu’il était très jeune. Il évoque cela avec émotion : «Je suis très fier de mes origines. Ma grand-mère paternelle y va tous les étés, en Algérie. Je suis très proche d’elle. Dès que je suis dans le Sud, je vais souvent la voir, manger avec elle. Elle me raconte que ç’a beaucoup changé là-bas. Même si je n’y suis jamais allé, contrairement à mon grand-frère, et que je n’y connais pas grand-chose, ce sont mes racines. Par exemple, je ne mange pas de porc.»
Ah ok.
«L’Algérie, c’est mes racines, je ne mange pas de porc»
Très fier de ses origines, Florian Raspentino rappelle qu’il a reçu une éducation à l’algérienne, que sa grand-mère lui a inculquée lorsqu’il était très jeune. Il évoque cela avec émotion : «Je suis très fier de mes origines. Ma grand-mère paternelle y va tous les étés, en Algérie. Je suis très proche d’elle. Dès que je suis dans le Sud, je vais souvent la voir, manger avec elle. Elle me raconte que ç’a beaucoup changé là-bas. Même si je n’y suis jamais allé, contrairement à mon grand-frère, et que je n’y connais pas grand-chose, ce sont mes racines. Par exemple, je ne mange pas de porc.»
Ah ok.
Quel con 
.
Lettre de motiv pour jouer en selection nationale ? Bon sur le CV il y a Marseille, même s'il y a peu joué. C'est déjà ça
. Lettre de motiv pour jouer en selection nationale ? Bon sur le CV il y a Marseille, même s'il y a peu joué. C'est déjà ça
Citation (AdiLRATmiSiSiLaFaMiLLe8013 @ 28/02/2013 16:22)
Interview dans Le Buteur
«L’Algérie, c’est mes racines, je ne mange pas de porc»
Très fier de ses origines, Florian Raspentino rappelle qu’il a reçu une éducation à l’algérienne, que sa grand-mère lui a inculquée lorsqu’il était très jeune. Il évoque cela avec émotion : «Je suis très fier de mes origines. Ma grand-mère paternelle y va tous les étés, en Algérie. Je suis très proche d’elle. Dès que je suis dans le Sud, je vais souvent la voir, manger avec elle. Elle me raconte que ç’a beaucoup changé là-bas. Même si je n’y suis jamais allé, contrairement à mon grand-frère, et que je n’y connais pas grand-chose, ce sont mes racines. Par exemple, je ne mange pas de porc.»
Ah ok.
«L’Algérie, c’est mes racines, je ne mange pas de porc»
Très fier de ses origines, Florian Raspentino rappelle qu’il a reçu une éducation à l’algérienne, que sa grand-mère lui a inculquée lorsqu’il était très jeune. Il évoque cela avec émotion : «Je suis très fier de mes origines. Ma grand-mère paternelle y va tous les étés, en Algérie. Je suis très proche d’elle. Dès que je suis dans le Sud, je vais souvent la voir, manger avec elle. Elle me raconte que ç’a beaucoup changé là-bas. Même si je n’y suis jamais allé, contrairement à mon grand-frère, et que je n’y connais pas grand-chose, ce sont mes racines. Par exemple, je ne mange pas de porc.»
Ah ok.
Alors que le monde était tourné vers le stade d’Old Trafford de Manchester, pour voir le Real croiser le fer avec United, du côté des Algériens, l’affiche de ces huitièmes de finale retour de la Ligue des champions, c’était plutôt le match Paris Saint Germain-Valence.
Pour l’unique et simple raison que dans l’effectif de Valence se trouve l’unique rescapé algérien encore en course dans la compétition des clubs la plus prestigieuse du monde, qui est, cerise sur le gâteau, le maître à jouer et la figure de proue de l’équipe nationale et la coqueluche des supporters algériens. Compétition s’est glissé au cœur de ce match de Ligue des champions pour vous parler de ce huitième de finale, vu à travers le prisme de Feghouli, comme si vous y étiez.
Valence a attaqué, Paris a géré
Sofiane Feghouli avait pourtant prévenu, mardi en fin de soirée, lors de la conférence de presse d’avant-match, qu’il avait animée avec son entraîneur Valverde, à l’auditorium du Parc des Princes. Il avait annoncé la couleur en déclarant : «Si nous n’étions pas convaincus que nous pouvons inverser la tendance nous ne serions pas là. Le match l’aller (1-2) nous a fait mal mais nous sommes ambitieux et nous devrons attaquer dès le début de la partie avec beaucoup de détermination et d’intensité si nous voulons nous qualifier.» Cela n’a pas empêché l’équipe parisienne d’être surprise par le début de la première mi-temps des Valencians, mais le head coach du PSG, Carlo Ancelotti, est, comme son nom l’indique, italien et donc maître en ce qui concerne la gestion d’un score. Dès la lecture de la feuille de match, il était aisé de comprendre qu’il allait y avoir une confrontation tactique entre des Valencians qui se devaient d’attaquer pour revenir au score et essayer de se qualifier et des Parisiens qui resteraient bien campés en défense en exploitant les contres avec les deux flèches Lavezzi-Moura. La première mi-temps, très tactique accouchera d’un timide 0-0.
Des buts en deuxième mi-temps
En seconde période, notamment grâce aux changements dans les deux camps, le match a pris une tournure plus débridée, moins organisée et les filets ont tremblé. Valence a été récompensée à la 55e minute, grâce à un but de Jonas, et Lavezzi à la 66e sur un énième contre laser, avec Gameiro cette fois, a égalisé. 1-1 score final, le Paris Saint Germain est qualifié, Valence éliminé. Sofiane Feghouli a commencé le match comme titulaire et a été remplacé à la 62e minute de jeu.
Le match de Feghouli
Hormis la frayeur que les Algériens ont eue en voyant l’athlétique Thiago Motta tomber sur lui à l’entrée de la surface de réparation parisienne, comme à la CAN face aux Tunisiens, on peut dire que Sofiane Feghouli, en bon professionnel qu’il est, a fait son match. Le numéro 8, chouchou de Mestalla et coqueluche de Tchaker, a, après avoir satisfait au protocole Ligue des champions et exécuté sa prière habituelle , évolué sur le côté droit durant toutes les 62 minutes qu’il a passé sur le terrain.
Il avait les pieds sur la ligne de touche
Durant cette rencontre face au Paris St Germain, Feghouli a joué dans le même registre que le Néerlandais Marc Overmars à l’époque où il évoluait à l’Ajax. L’Algérien avait carrément les pieds sur la ligne de touche et dès qu’il recevait le ballon, éliminait son adversaire en entrant à l’intérieur grâce à un grigri dont seuls ses pieds ont le secret.
Sofiane au four et au moulin
Durant cette rencontre, le stratège de l’équipe nationale a montré l’étendue de son talent, de sa condition physique et de sa polyvalence. Il n’a pas arrêté de faire le «piston» le long de sa ligne de touche entre le front de l’attaque et la cage de son gardien. A chaque temps fort, il montait, et à chaque temps faible il descendait prêter main-forte à son arrière droit qui avait fort à faire avec les contres laser parisiens. Feghouli a été égal à lui-même, il a distillé quelques bons centres, notamment à la 14e, et aurait pu marquer à la 42e minute, après une course de 40 m où il a passé en revue toute la défense parisienne, donnant la «une», mais ne recevant jamais la «deux», alors qu’il était à l’intérieur de la surface. «Soso» a aussi montré lors de ce match qu’il était doué à la récupération et que, malgré sa technique, il savait aussi défendre, gêner les relances des défenseurs parisiens et faire des tacles rugueux qui ont failli lui coûter un carton en fin de première mi-temps.
Soso a joué à domicile
A chacun de ses dribbles chaloupés, à chacun de ses crochets et à chacun de ses gestes techniques, les nombreux Algériens venus le voir au Parc applaudissaient, à tel point qu’on aurait cru qu’il jouait à domicile , pas seulement parce qu’il est né en région parisienne.
Les Algériens de France l’ont bichonné
Depuis que le destin avait choisi d’opposer le Paris SG au Valencia CF, les Algériens de Paris se préparaient à recevoir leur «Soso national». La figure de proue des Fennecs a été accueillie par ses compatriotes résidant à Paris et sa région dès sa sortie de l’avion. Partout où l’Algérien est passé avec son équipe, il y avait toujours des Algériens pour le saluer, l’encourager, se prendre en photo avec lui et lui demander s’il n’avait besoin de rien. Même les nombreux supporters algériens du Paris SG étaient pour une fois partagés sur l’issue du match opposant leur équipe de cœur à leur joueur de cœur. Sofiane Feghouli a durant ce week-end montré une grande disponibilité envers les Algériens qu’il a pu croiser lors de son séjour parisien.
Il sait gérer les médias et la pression
Lorsqu’on a vu l’aisance avec laquelle il a géré sa conférence de presse d’avant-match et la pertinence de ses réponses après le match, on comprend que ce joueur a le bagage intellectuel pour évoluer dans un très grand club type Real Madrid ou FC Barcelone un jour, tant sa communication est parfaite. Feghouli sait gérer la pression médiatique et sa communication, c’est indéniable. Un domaine où les joueurs maghrébins en général n’excellent pas habituellement.
Compétition
Pour l’unique et simple raison que dans l’effectif de Valence se trouve l’unique rescapé algérien encore en course dans la compétition des clubs la plus prestigieuse du monde, qui est, cerise sur le gâteau, le maître à jouer et la figure de proue de l’équipe nationale et la coqueluche des supporters algériens. Compétition s’est glissé au cœur de ce match de Ligue des champions pour vous parler de ce huitième de finale, vu à travers le prisme de Feghouli, comme si vous y étiez.
Valence a attaqué, Paris a géré
Sofiane Feghouli avait pourtant prévenu, mardi en fin de soirée, lors de la conférence de presse d’avant-match, qu’il avait animée avec son entraîneur Valverde, à l’auditorium du Parc des Princes. Il avait annoncé la couleur en déclarant : «Si nous n’étions pas convaincus que nous pouvons inverser la tendance nous ne serions pas là. Le match l’aller (1-2) nous a fait mal mais nous sommes ambitieux et nous devrons attaquer dès le début de la partie avec beaucoup de détermination et d’intensité si nous voulons nous qualifier.» Cela n’a pas empêché l’équipe parisienne d’être surprise par le début de la première mi-temps des Valencians, mais le head coach du PSG, Carlo Ancelotti, est, comme son nom l’indique, italien et donc maître en ce qui concerne la gestion d’un score.
Dès la lecture de la feuille de match, il était aisé de comprendre qu’il allait y avoir une confrontation tactique entre des Valencians qui se devaient d’attaquer pour revenir au score et essayer de se qualifier et des Parisiens qui resteraient bien campés en défense en exploitant les contres avec les deux flèches Lavezzi-Moura. La première mi-temps, très tactique accouchera d’un timide 0-0.Des buts en deuxième mi-temps
En seconde période, notamment grâce aux changements dans les deux camps, le match a pris une tournure plus débridée, moins organisée et les filets ont tremblé. Valence a été récompensée à la 55e minute, grâce à un but de Jonas, et Lavezzi à la 66e sur un énième contre laser, avec Gameiro cette fois, a égalisé. 1-1 score final, le Paris Saint Germain est qualifié, Valence éliminé. Sofiane Feghouli a commencé le match comme titulaire et a été remplacé à la 62e minute de jeu.
Le match de Feghouli
Hormis la frayeur que les Algériens ont eue en voyant l’athlétique Thiago Motta tomber sur lui à l’entrée de la surface de réparation parisienne, comme à la CAN face aux Tunisiens, on peut dire que Sofiane Feghouli, en bon professionnel qu’il est, a fait son match. Le numéro 8, chouchou de Mestalla et coqueluche de Tchaker, a, après avoir satisfait au protocole Ligue des champions et exécuté sa prière habituelle
, évolué sur le côté droit durant toutes les 62 minutes qu’il a passé sur le terrain.Il avait les pieds sur la ligne de touche
Durant cette rencontre face au Paris St Germain, Feghouli a joué dans le même registre que le Néerlandais Marc Overmars à l’époque où il évoluait à l’Ajax. L’Algérien avait carrément les pieds sur la ligne de touche et dès qu’il recevait le ballon, éliminait son adversaire en entrant à l’intérieur grâce à un grigri dont seuls ses pieds ont le secret.
Sofiane au four et au moulin
Durant cette rencontre, le stratège de l’équipe nationale a montré l’étendue de son talent, de sa condition physique et de sa polyvalence. Il n’a pas arrêté de faire le «piston» le long de sa ligne de touche entre le front de l’attaque et la cage de son gardien. A chaque temps fort, il montait, et à chaque temps faible il descendait prêter main-forte à son arrière droit qui avait fort à faire avec les contres laser parisiens. Feghouli a été égal à lui-même, il a distillé quelques bons centres, notamment à la 14e, et aurait pu marquer à la 42e minute, après une course de 40 m où il a passé en revue toute la défense parisienne, donnant la «une», mais ne recevant jamais la «deux», alors qu’il était à l’intérieur de la surface. «Soso» a aussi montré lors de ce match qu’il était doué à la récupération et que, malgré sa technique, il savait aussi défendre, gêner les relances des défenseurs parisiens et faire des tacles rugueux qui ont failli lui coûter un carton en fin de première mi-temps.
Soso a joué à domicile
A chacun de ses dribbles chaloupés, à chacun de ses crochets et à chacun de ses gestes techniques, les nombreux Algériens venus le voir au Parc applaudissaient, à tel point qu’on aurait cru qu’il jouait à domicile
, pas seulement parce qu’il est né en région parisienne.Les Algériens de France l’ont bichonné
Depuis que le destin avait choisi d’opposer le Paris SG au Valencia CF, les Algériens de Paris se préparaient à recevoir leur «Soso national». La figure de proue des Fennecs a été accueillie par ses compatriotes résidant à Paris et sa région dès sa sortie de l’avion. Partout où l’Algérien est passé avec son équipe, il y avait toujours des Algériens pour le saluer, l’encourager, se prendre en photo avec lui et lui demander s’il n’avait besoin de rien. Même les nombreux supporters algériens du Paris SG étaient pour une fois partagés sur l’issue du match opposant leur équipe de cœur à leur joueur de cœur.
Sofiane Feghouli a durant ce week-end montré une grande disponibilité envers les Algériens qu’il a pu croiser lors de son séjour parisien.Il sait gérer les médias et la pression
Lorsqu’on a vu l’aisance avec laquelle il a géré sa conférence de presse d’avant-match et la pertinence de ses réponses après le match, on comprend que ce joueur a le bagage intellectuel pour évoluer dans un très grand club type Real Madrid ou FC Barcelone un jour, tant sa communication est parfaite.
Feghouli sait gérer la pression médiatique et sa communication, c’est indéniable. Un domaine où les joueurs maghrébins en général n’excellent pas habituellement.Compétition
Citation (AdiLRATmiSiSiLaFaMiLLe8013 @ 08/03/2013 13:51)
...
Ah ouais quand même
Et bien entendu, après on s'attend à voir l'Algérie tout retourner à la CAN
Benjamin Stambouli :«Mon cœur est plutôt français, mais…»Publié le : 01 / 04 / 2013
Rencontré par nos confrères de Berbère Télévision à la fin de la rencontre entre le PSG et Montpellier au Parc des Princes vendredi passé, le jeune défenseur central (23 ans) de Montpellier Benjamin Stambouli n’a pas fermé la porte à une éventuelle venue en équipe nationale
Le fils de l’actuel directeur du centre de formation de l’OM à savoir Henry Stambouli qui est pour rappel d’origine algérienne et qui a failli prendre part au mondial 1982 avec l’EN, joue dans l’axe de la défense mais peut aussi évoluer en milieu défensif, et quand on lui demande s’il peut un jour faire comme Ghoulam, Brahimi ou Taïder, voilà sa réponse : « Aujourd’hui non, je suis concentré sur mon club, je joue avec l’équipe de France espoirs, l’Algérie pour le moment n’est pas quelque chose qui me traverse l’esprit, mais ça ne m’empêche pas d’y penser un jour », dir&-t-il avant d’ajouter : « J’ai des origines c’est clair, mais, j’ai grandi en France, mon cœur est plutôt français. »
Il se contentera ensuite de répondre par « on verra bien » lorsque nos confrères lui ont dit que c’est le genre de choses que disaient avant lui les Brahimi, Ghoulam et Taïder avant de changer de discours.
«On y réfléchira avec la famille»
Concernant le challenge, celui de jouer éventuellement le Mondial avec les Verts : « On va y réfléchir bien comme il le faut avec la famille, on sait qu’il y a beaucoup de ferveur autour de l’EN.» Avant de souhaiter une qualif’ au mondial. « Qu’ils essayent de se qualifier pour la Coupe du monde, ça serait une belle chose pour le pays », conclura-t-il.
S. M. A.
Rencontré par nos confrères de Berbère Télévision à la fin de la rencontre entre le PSG et Montpellier au Parc des Princes vendredi passé, le jeune défenseur central (23 ans) de Montpellier Benjamin Stambouli n’a pas fermé la porte à une éventuelle venue en équipe nationale
Le fils de l’actuel directeur du centre de formation de l’OM à savoir Henry Stambouli qui est pour rappel d’origine algérienne et qui a failli prendre part au mondial 1982 avec l’EN, joue dans l’axe de la défense mais peut aussi évoluer en milieu défensif, et quand on lui demande s’il peut un jour faire comme Ghoulam, Brahimi ou Taïder, voilà sa réponse : « Aujourd’hui non, je suis concentré sur mon club, je joue avec l’équipe de France espoirs, l’Algérie pour le moment n’est pas quelque chose qui me traverse l’esprit, mais ça ne m’empêche pas d’y penser un jour », dir&-t-il avant d’ajouter : « J’ai des origines c’est clair, mais, j’ai grandi en France, mon cœur est plutôt français. »
Il se contentera ensuite de répondre par « on verra bien » lorsque nos confrères lui ont dit que c’est le genre de choses que disaient avant lui les Brahimi, Ghoulam et Taïder avant de changer de discours.
«On y réfléchira avec la famille»
Concernant le challenge, celui de jouer éventuellement le Mondial avec les Verts : « On va y réfléchir bien comme il le faut avec la famille, on sait qu’il y a beaucoup de ferveur autour de l’EN.» Avant de souhaiter une qualif’ au mondial. « Qu’ils essayent de se qualifier pour la Coupe du monde, ça serait une belle chose pour le pays », conclura-t-il.
S. M. A.
Salam les Kho
Il m'a l'air plus chinois qu'algérien.
USMH : Les joueurs n’ont pas raté la photo d’équipe
Les joueurs de l’USMH n’ont pas perdu leur temps, mardi, à Lavigerie. Autrement dit, le forfait du MCA n’a pas gâché l’après-midi de la bande à Charef qui s’est donnée en spectacle devant des milliers de supporters, venus très tôt prendre place dans les travées du 1er-Novembre. Boualem Charef a organisé une opposition et les joueurs ont fait le con par moment pour égailler l’atmosphère. Pour faire vrai, les joueurs ont posé devant l’objectif pour la traditionnelle photo d’équipe d’avant-match. Vraiment, la bouderie du MCA n’a rien gâché à la fête.
Les joueurs de l’USMH n’ont pas perdu leur temps, mardi, à Lavigerie. Autrement dit, le forfait du MCA n’a pas gâché l’après-midi de la bande à Charef qui s’est donnée en spectacle devant des milliers de supporters, venus très tôt prendre place dans les travées du 1er-Novembre. Boualem Charef a organisé une opposition et les joueurs ont fait le con par moment pour égailler l’atmosphère. Pour faire vrai, les joueurs ont posé devant l’objectif pour la traditionnelle photo d’équipe d’avant-match. Vraiment, la bouderie du MCA n’a rien gâché à la fête.
Toujours un kif
Qu’ont donc offert les joueurs de la sélection nationale aux enfants malades de l’hôpital de Hussein-Dey ? Ce n’était pas des équipements sportifs, qu’on se rassure, mais des cadeaux plutôt respectables : des jouets, des couettes et des consoles de Play-Station. Un autre type de cadeau a été offert : des écrans LCD pour permettre
aux enfants de regarder la télévision dans les différents services où ils sont soignés.
Qu’on se le dise donc : dans chaque service de l’hôpital Parnet où il y a des enfants, un téléviseur à écran LCD est censé exister. On ne sait jamais, des fois que des âmes peu charitables pensent à les dérober ou les détourner, comme c’est souvent le cas quand il s’agit d’enfants. Surtout qu’infirmiers, médecins et professeurs crient famine en multipliant les grèves...
Mais putain golden lolwut
aux enfants de regarder la télévision dans les différents services où ils sont soignés.
Qu’on se le dise donc : dans chaque service de l’hôpital Parnet où il y a des enfants, un téléviseur à écran LCD est censé exister. On ne sait jamais, des fois que des âmes peu charitables pensent à les dérober ou les détourner, comme c’est souvent le cas quand il s’agit d’enfants. Surtout qu’infirmiers, médecins et professeurs crient famine en multipliant les grèves...
Mais putain golden lolwut
Des barres
Mister You tourne un clip avec le maillot de l’USMH
Son nom civil, Younes Latifi, ne dit peut-être rien aux Algériens, mais son nom de scène est connu des amateurs de rap.
Son nom civil, Younes Latifi, ne dit peut-être rien aux Algériens, mais son nom de scène est connu des amateurs de rap. Lui, c’est Mister You, rappeur marocain vivant en France, connu aussi bien pour ses chansons que pour le fait d’avoir vécu en fugitif durant deux ans après avoir été condamné par contumace pour trafic de drogue. Finalement capturé, son séjour en prison contribuera à augmenter sa réputation. Cette année, il a sorti un nouvel album contenant notamment une chanson, Arbi fi Bariz (Un arabe à Paris). Signe particulier de ce clip : dans certaines séquences, il arbore le maillot de l’USM El Harrach ! Peut-être exprime-t-il le vœu indirectement d’être incarcéré à la prison d’El Harrach s’il sera à nouveau condamné…
Son nom civil, Younes Latifi, ne dit peut-être rien aux Algériens, mais son nom de scène est connu des amateurs de rap.
Son nom civil, Younes Latifi, ne dit peut-être rien aux Algériens, mais son nom de scène est connu des amateurs de rap. Lui, c’est Mister You, rappeur marocain vivant en France, connu aussi bien pour ses chansons que pour le fait d’avoir vécu en fugitif durant deux ans après avoir été condamné par contumace pour trafic de drogue. Finalement capturé, son séjour en prison contribuera à augmenter sa réputation. Cette année, il a sorti un nouvel album contenant notamment une chanson, Arbi fi Bariz (Un arabe à Paris). Signe particulier de ce clip : dans certaines séquences, il arbore le maillot de l’USM El Harrach ! Peut-être exprime-t-il le vœu indirectement d’être incarcéré à la prison d’El Harrach s’il sera à nouveau condamné…
mdrr cassage d'abdos.
El Harrach, ma ville natale
El Harrach, ma ville natale
Notre séjour au Brésil a coïncidé avec la pire situation sportive de Ronaldinho. Ecarté par Luis Felipe Scolari de la Coupe des confédérations, Ronaldinho a dû suivre, la mort dans l’âme, le parcours sans faute et la victoire de la Seleçao qui l’éloigne encore davantage des plans du sélectionneur. On a dit la mort dans l’âme, parce que Ronaldinho continuait à jouer avec l’Atlético Mineiro alors que Kaka, par exemple, l’autre illustre joueur écarté par Scolari, noyait son chagrin en vacances avec sa famille. Pour les Brésiliens, c’était le pire châtiment qu’on pouvait infliger à l’un des joueurs les plus talentueux du moment.
Ronaldinho, heureux au Brésil
Au cours d’une des séances d’entraînement de l’Atlético Mineiro à laquelle on a pu assister, on a vu un Ronaldinho heureux plaisantant avec ses coéquipiers, lançant des boutades par-ci et faisant le boute-en-train par-là. L’un des proches de Ronaldinho nous a expliqué que le joueur est heureux depuis que sa mère, de laquelle il est très proche et qui était gravement malade, a retrouvé sa santé. Pour ceux qui connaissent le joueur, Ronaldinho a changé depuis la maladie de sa mère. Il a appris à relativiser et ne plus se prendre la tête pour une non convocation en équipe du Brésil. C’est vrai qu’il aimerait terminer sa carrière en remportant une autre Coupe du monde devant tout le peuple du Brésil, mais si cela ne viendra pas, il ne perdra pas pour autant son éternel sourire.
Il a refusé toutes les interviews
Pour ne pas entrer en polémique avec Scolari, Ronaldinho a refusé toutes les demandes d’interview, que ce soit du Brésil ou de l’étranger. Vous allez remarquer que les quelques minutes qu’il nous a accordés à l’entrée de l’hôtel… de Santos, à la veille de la rencontre de championnat entre Santos et l’Atlético Mineiro tournait uniquement autour de sa relation très spéciale avec l’Algérie. Lorsque nous avons osé sortir du sujet sur lequel nous nous sommes mis d’accord, il nous a pris gentiment, mais fermement par le bras pour nous arrêter net. Malgré son air extravagant, Ronaldinho ne plaisante pas avec un accord passé.
Merci d’avoir accepté de nous parler. On va vous demander de nous dire quelle image vous gardez des footballeurs algériens que vous croisiez souvent lorsque vous étiez joueur du PSG ?
Je sais qu’il y a de très bons joueurs en Algérie, c’est un football qui continue à monter. Je suis un peu au courant de ce qui passe dans le football algérien grâce aux nombreux amis que j’ai laissé à Paris avec lesquels je suis toujours en contact.
Pouvez-vous nous donner des noms ?
Ce ne sont pas forcément des gens connus, mais je peux vous assurer que j’ai beaucoup, beaucoup d’amis algériens à Paris.
Cheb Khaled est très connu et c’était aussi votre ami, non ?
Oui, c’est vrai. Je suis son ami et son fan. J’aime écouter sa musique.
On nous a dit que vous êtes un excellent chanteur. Allez, chantez-nous un truc de Khaled ?
(Il rit) Ah non ! Je suis trop timide pour chanter.
Vous avez déjà affronté l’Algérie à Montpellier. Vous rappelez-vous encore de ce match ?
C’était un très bon moment de foot. Je garde un excellent souvenir de ce match. Au milieu des supporters algériens, il y avait des drapeaux algériens et brésiliens. Cela prouve que vous aimez le Brésil et le beau jeu. Quand j’étais sur le terrain, je recevais les encouragements des Algériens alors que je jouais contre leur sélection. Ça fait plaisir.
Qu’avez-vous à dire à la sélection algérienne qui est à deux doigts de se qualifier en Coupe du monde ?
Je souhaite beaucoup de chance aux Algériens afin de venir jouer la Coupe du monde au Brésil. Et s’ils se qualifient, j’espère que tout se passera bien pour eux.
Ronaldinho, heureux au Brésil
Au cours d’une des séances d’entraînement de l’Atlético Mineiro à laquelle on a pu assister, on a vu un Ronaldinho heureux plaisantant avec ses coéquipiers, lançant des boutades par-ci et faisant le boute-en-train par-là. L’un des proches de Ronaldinho nous a expliqué que le joueur est heureux depuis que sa mère, de laquelle il est très proche et qui était gravement malade, a retrouvé sa santé. Pour ceux qui connaissent le joueur, Ronaldinho a changé depuis la maladie de sa mère. Il a appris à relativiser et ne plus se prendre la tête pour une non convocation en équipe du Brésil. C’est vrai qu’il aimerait terminer sa carrière en remportant une autre Coupe du monde devant tout le peuple du Brésil, mais si cela ne viendra pas, il ne perdra pas pour autant son éternel sourire.
Il a refusé toutes les interviews
Pour ne pas entrer en polémique avec Scolari, Ronaldinho a refusé toutes les demandes d’interview, que ce soit du Brésil ou de l’étranger. Vous allez remarquer que les quelques minutes qu’il nous a accordés à l’entrée de l’hôtel… de Santos, à la veille de la rencontre de championnat entre Santos et l’Atlético Mineiro tournait uniquement autour de sa relation très spéciale avec l’Algérie. Lorsque nous avons osé sortir du sujet sur lequel nous nous sommes mis d’accord, il nous a pris gentiment, mais fermement par le bras pour nous arrêter net. Malgré son air extravagant, Ronaldinho ne plaisante pas avec un accord passé.
Merci d’avoir accepté de nous parler. On va vous demander de nous dire quelle image vous gardez des footballeurs algériens que vous croisiez souvent lorsque vous étiez joueur du PSG ?
Je sais qu’il y a de très bons joueurs en Algérie, c’est un football qui continue à monter. Je suis un peu au courant de ce qui passe dans le football algérien grâce aux nombreux amis que j’ai laissé à Paris avec lesquels je suis toujours en contact.
Pouvez-vous nous donner des noms ?
Ce ne sont pas forcément des gens connus, mais je peux vous assurer que j’ai beaucoup, beaucoup d’amis algériens à Paris.
Cheb Khaled est très connu et c’était aussi votre ami, non ?
Oui, c’est vrai. Je suis son ami et son fan. J’aime écouter sa musique.
On nous a dit que vous êtes un excellent chanteur. Allez, chantez-nous un truc de Khaled ?
(Il rit) Ah non ! Je suis trop timide pour chanter.
Vous avez déjà affronté l’Algérie à Montpellier. Vous rappelez-vous encore de ce match ?
C’était un très bon moment de foot. Je garde un excellent souvenir de ce match. Au milieu des supporters algériens, il y avait des drapeaux algériens et brésiliens. Cela prouve que vous aimez le Brésil et le beau jeu. Quand j’étais sur le terrain, je recevais les encouragements des Algériens alors que je jouais contre leur sélection. Ça fait plaisir.
Qu’avez-vous à dire à la sélection algérienne qui est à deux doigts de se qualifier en Coupe du monde ?
Je souhaite beaucoup de chance aux Algériens afin de venir jouer la Coupe du monde au Brésil. Et s’ils se qualifient, j’espère que tout se passera bien pour eux.
Mais que foutait le correspondant du Buteur au Brésil ?
Ceci est une version "bas débit" de notre forum. Pour voir la version complète avec plus d'informations, la mise en page et les images, veuillez cliquer ici.