Oh l'idiot

Tu mettras ça sur mon compte Crédit Agricole de Douarnenez

Il va nier et dire que le russe n'a pas compris la langue.
Franchement ça me paraît vraiment trop gros comme histoire, faut vraiment être con. Il a vraiment jouer sur le coté mafieux russe pensant se refaire la cerise ou quoi?
Hey, c'est pas Laurent Blanc en face bouffon.

Mais a la base c'est la Fédé qui voulait que Monaco déménage son siège social ou ça venait de plus haut genre ministère ?

Comme dit plus haut, Le Graët niera. Ça n'ira pas bien loin.
Par contre ça décrédibilise la fédé dans le bras de fer qu'elle a engagé avec Monaco.
En tout cas essayer d'extorquer de l'argent à un russe avec des moyens illimités. :goldenanigo:

Je pense que c'est monnaie courante dans ce type de négociations "allez tu me donnes ca et on en parle plus". Sauf que là l'autre n'a pas marché dans la combine et s'ils peuvent amener des preuves, Le Graet dégagera et Monaco n'aura pas à payer ses taxes. Bien joué.

Ou alors c'est un coup monté

pour moi ça décrédibilise surtout le proprio de Monaco

ça pu le mytho pour essayer de faire pression sur la fédé leur histoire, une façon de leur dire que l'ASM utilisera tous les moyens possible pour faire plier la fédé y compris les plus crades

La FFF dément la version de l’ASM

La FFF a répondu en début d’après-midi au communiqué de l’AS Monaco publié ce dimanche matin, révélant que la FFF et la LFP auraient réclamé 200 millions d’Euros au club du rocher lors d’une réunion vendredi pour ne pas avoir à délocaliser son siège en France. Selon la fédération française, la somme évoquée aurait été proposée par le club du Rocher. « La Fédération Française de Football avait décidé d’organiser une réunion entre la Fédération, la Ligue de Football Professionnel et l’AS Monaco FC. Des discussions préliminaires avaient été entamées avec des représentants de l’AS Monaco FC, discussions au cours desquelles le montant de 200 millions d’euros a été avancé par l’AS Monaco FC, selon un échéancier et des modalités à définir, précise un communiqué de la FFF. A l’issue de ce rendez-vous, il était convenu que les représentants de la Fédération, de la Ligue de Football Professionnel et de l’AS Monaco FC se réunissent dans la semaine du 20 mai. La Fédération réitère sa volonté de tout mettre en œuvre pour trouver une solution à même de concilier l’ensemble des intérêts des parties. »

Mais a la base c'est la Fédé qui voulait que Monaco déménage son siège social ou ça venait de plus haut genre ministère ?

Enfin Plenel doit peut être avoir l'enregistrement de la discussion.

"Contrairement à ce qui est avancé par la Fédération française de football ce dimanche, le chiffre de 200 millions a bien été demandé par la FFF, a indiqué dimanche Jean-Louis Campora à l'AFP: le club AS Monaco FC n'a jamais fait de proposition financière ni à la FFF ni a la LFP."

D'autre part, M. Campora a précisé qu'il "n'a jamais été confirmé par le président (NDLR: de l'AS Monaco), M. Dmitry Rybolovlev, qu'une réunion aurait lieu entre la FFF, la LFP et le club la semaine du 20 mai comme évoqué dans le communiqué de la Fédération."

Demande à IBR, il a peut etre quelque chose.

Qu'au nom du fairplay (), il préfère négocier avec Monaco plutôt que d'envisager des sanctions, éventuellement pour des montants un peu en-dessous de 200m€

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Qu'au nom du fairplay ( ), il préfère négocier avec Monaco plutôt que d'envisager des sanctions, éventuellement pour des montants un peu en-dessous de 200m€

Certain clubs de ligue1 menace de ne pas jouer contre l'ASM l'année prochaine selon l'équipe

AS Monaco : la théorie du boycott refait surface, l’OL en prend pour son grade !

Le conflit opposant l'AS Monaco aux instances dirigeantes du football français penche de plus en plus vers le ridicule. Et pourtant, certains clubs de l'élite se disent toujours prêts à boycotter la formation princière.

L’AS Monaco évoluera-t-il en Ligue 1 la saison prochaine ? Premier du classement de Ligue 2, le club princier est tout proche de valider son retour parmi l’élite. Mais le conflit l’opposant au football français traine toujours. Résultat : après avoir révélé que la FFF lui réclamait pas moins de 200 M€ pour avoir le droit de jouer tout en conservant ses avantages fiscaux, l’ASM reste sous la menace d’un boycott de la part de certaines équipes de L1.

Dans ses colonnes, L’Équipe indique en effet que tous ne sont pas contre Monaco. La formation du Rocher disposerait d’ailleurs de deux soutiens de poids : les présidents de Lyon et de Valenciennes. Mais pour ses détracteurs, l’ASM aurait tout simplement « acheté » ces voix en leur promettant de se montrer généreux à l’heure de venir recruter un ou plusieurs éléments lors du prochain mercato estival, permettant ainsi à ces clubs de se refaire une santé financière.

Une version qui pointe surtout l’OL du doigt. En effet, alors que Jean-Michel Aulas faisait partie des dirigeants hurlant souvent au scandale des avantages fiscaux monégasques, beaucoup s’interrogent sur le retournement de veste de JMA. Les propos tenus par ce dernier en faveur de M. Rybolovlev ont d’ailleurs fait réagir. « Je pense qu’au contraire, si on permet ça à Monaco, ce sera une façon de décourager les investisseurs prêts à venir dans les clubs français n’ayant pas la même fiscalité » , a déclaré son homologue bordelais Jean-Louis Triaud.

Le dirigeant aquitain en a d’ailleurs profité pour en remettre une couche. « Ces 200 millions d’euros, ce n’est pas une solution. (...) Tout ça n’est qu’un pis-aller et le mot même d’arrangement est une forme d’insulte. Boycotter Monaco la saison prochaine, dans le cas contraire ? Tout le monde peut y penser, moi aussi, mais ce serait une solution extrême. » Impossible à régler dans de brefs délais, le dossier asémiste frôle décidément le grand n’importe quoi.

Dépôt de bilan imminent pour le Mans paraît-il.

Opération « fond de tiroir » au Mans FC
Si les Manceaux sont sortis de la zone de relégation, ils ne sont pas sûrs de pouvoir terminer la saison. Franck Dubray
Si les Manceaux sont sortis de la zone de relégation, ils ne sont pas sûrs de pouvoir terminer la saison.© Franck Dubray
Reprise. Réunion au sommet hier entre le maire et les candidats à la reprise du club. Au menu des débats : où trouver l'argent pour financer la venue du Havre ?
C'est désormais à chaque match du Mans FC le même refrain. La réception du Havre, prévue vendredi soir au MMArena, aura-t-elle lieu ? C'était l'objet d'une réunion au sommet, hier soir, à la mairie du Mans. Autour de la table : le maire et des élus du Mans d'une part, les candidats à la reprise du Mans FC d'autre part. Avec un problème urgentissime à résoudre : où trouver les 120 000 € nécessaires à l'organisation du match ? Et d'autres problèmes à venir : où trouver les 120 000 € pour la réception de Lens le 24 mai ? Et accessoirement, les 500 000 € de la paye d'avril des salariés du club...

Le Mans FC n'a plus un sou. Depuis plusieurs semaines, ce sont les repreneurs potentiels du club (Veolia...), regroupés derrière l'entrepreneur manceau Claude Hervé, qui paient, uniquement pour terminer la saison. Hier soir, il devait donc être question d'un nouveau chèque pour assurer la réception du Havre. Mais, cette fois, la Ville a accepté de donner un coup de pouce sous la forme d'un achat massif de places : au moins 2 000 seront distribuées aux clubs sarthois, via le district de foot. Peut-être davantage via d'autres canaux.

Un geste de la Ville destiné à encourager des repreneurs potentiels un brin... découragés. La semaine dernière, selon une source proche des repreneurs, Claude Hervé était tout prêt de renoncer. Sans aucune garantie d'un maintien en Ligue 2, ni de parvenir à réunir assez d'argent pour sauver le club, les candidats repreneurs seraient lassés, comme au poker, « de payer pour voir ».

Le patron du Leclerc des Fontenelles aurait été convaincu in extremis, par le maire du Mans, de financer le déplacement qui a permis la victoire contre Ajaccio. Si Claude Hervé n'y croit plus beaucoup, c'est qu'il ne parvient pas à réunir les 13,5 millions d'euros qu'il estime indispensables au sauvetage du Mans FC. Avant fin juin et le passage devant la DNCG, le gendarme financier du foot pro, il faut combler une partie du déficit du club (environ 14 millions d'euros). Mais, il faut également regarnir la trésorerie pour monter une équipe capable de tenir la route en Ligue 2.

Pas de reprise en cas de descente

Contrairement à ce qu'il avait annoncé en février au début de la mission de sauvetage, Claude Hervé ne croit plus au scénario d'une reprise du club en National. Si Le Mans FC est relégué, c'est désormais le dépôt de bilan assuré et, selon le règlement du foot français, la mort du club professionnel. Pour tout le monde, le seul scénario viable aujourd'hui, c'est un maintien en Ligue 2, capable de convaincre d'autres investisseurs d'y aller

Et encore... Dans ce scénario idéal qui verrait le Mans se sauver sur le terrain, Claude Hervé estime que la Ville ne pourra pas éviter de donner un gros coup de main. Il a évoqué la somme de 3 millions d'euros, qui s'ajouteraient aux presque 2 millions que doit rapporter au club le rachat du centre d'entraînement de la Pincenardière.

Là, ce n'est pas gagné ! Même avec la perspective de se retrouver avec un stade vide sur les bras et une facture de plusieurs dizaines de millions d'euros à régler au concessionnaire Vinci, une majorité d'élus, dont le maire du Mans, ont dit publiquement qu'il n'était pas question d'injecter directement de l'argent de la Ville dans le club. Personne ne peut donc croire à ce scénario. Sauf ceux qui savent qu'avec le foot, tout est possible.
Patrick ANGEVIN. Ouest-France

Les mecs veulent être médiocres.
Et le moins mauvais des médiocres tu finis champion.

C'est ca leur raisonnement.

pendant ce temps là ça parle que léonardo, vive la France du foot...

Monaco contre la France du foot : les histoires fiscales finissent mal, en général

La Fédération française de foot essaye de convaincre l'AS Monaco de renoncer à ses avantages fiscaux. Une partie loin d'être gagnée...


Qui veut la peau de l'AS Monaco (ASM) ? Le club de la principauté, qui va sans doute remonter en Ligue 1 à la fin de la saison, sort la grosse artillerie contre les instances du foot français.

Tout commence quand les présidents de clubs votent, en mars, l'obligation d'installer le siège social des équipes évoluant dans les championnats français de Ligue 1 et de Ligue 2 sur le territoire français. Une mesure qui ne concerne que l'AS Monaco. Ce dernier ne paie pas d'impôt sur les sociétés, et les joueurs non-français de son effectif sont exemptés d'impôt sur le revenu. Ce qui le rend très attractif. L'ASM se drape dans son bon droit, rappelant la convention fiscale signée entre les deux pays en 1963. La FFF propose alors un arrangement financier à 200 millions sur sept ans. L'ASM se cabre de nouveau et menace d'aller au tribunal, dimanche 5 mai. Ça va mal finir, c'est certain.
Dans le passé, ça n'a jamais rien donné

Tous les dix ans environ, une campagne est organisée par des politiques ou des présidents de club, sur le bien-fondé des impôts à prix d'ami payés par le club monégasque. En 1958, relève le blog Une autre histoire du foot, un sénateur avait regretté que l'ASM puisse représenter la France en coupe d'Europe. En vain.

En 2003, Christophe Bouchet, alors président de l'OM, et Jean-Michel Aulas, son homologue à Lyon, avaient mené la fronde. En vain une fois de plus, même s'ils avaient obtenu, quelques années plus tard, la création du Droit à l'image collective (DIC). Ce mécanisme permettait de verser jusqu'à 30% du salaire d'un joueur sans payer d'impôt. Après son abrogation, en 2010, puis l'arrivée de l'épouvantail de la taxe à 75%, la question monégasque revient comme par hasard sur le tapis.

"Avant l'arrêt Bosman (1995), les clubs français étaient obligés de faire jouer huit joueurs français sur le terrain. L'accord fiscal [de 1963] suffisait largement, analyse Christophe Bouchet, contacté par francetv info. La convention fiscale suffisait largement à maintenir l'équité. Mais maintenant que chaque club peut aligner librement autant de joueurs de tous les pays du monde, le problème est criant. C'est le même qu'en 2003, mais la taxe à 75% va accentuer le différentiel entre Monaco et les autres clubs de L1, de même que l'arrivée du milliardaire russe Dmitry Rybolovlev à la tête de l'équipe."
Les négociations vont mal finir

"On aurait pu lancer une négociation habile, amicale, discrète, qui aurait abouti à un accord à l'heure actuelle, regrette Christophe Bouchet. Au lieu de ça, on a mis le sujet sur la table de façon bravache. Les Monégasques sont remontés, et ils ont des arguments solides à faire valoir." La perspective d'un dénouement sanglant en justice fait frémir tout le monde. A commencer par les présidents des gros clubs, qui mettent le holà, comme Jean-Michel Aulas : "Nous pourrions être attaqués juridiquement par Monaco, ce qui pourrait nous coûter très cher." Un avocat spécialisé, interrogé dans Nice-Matin, affirme que l'ASM a le droit européen pour lui. A la FFF, on réfléchit à des contre-mesures, comme la possibilité de ne pas verser au club ses droits télé, ou de le contraindre à recruter des joueurs français.

Le championnat ne va pas non plus sortir grandi de cet affrontement. "Alors qu'en Espagne, on privilégie le fait d'avoir des grands clubs, en France, on préfère un championnat égalitaire, analyse Jacques Saurel, spécialiste de la fiscalité du football, interrogé par francetv info. La "passion française de l'égalité", chère au penseur Alexis de Tocqueville, a fait des émules chez les présidents de L1. "La Ligue 2 est composée de nombreuses équipes de L1, des historiques du championnat de France, tandis qu'en L1, on trouve des clubs habitués à la L2. Ça ne peut faire qu'un petit championnat."
Les combines fiscales seront toujours les plus fortes

Et même en admettant que la FFF parvienne à ses fins et que Monaco localise son siège social en France, rien ne dit que son pouvoir d'attraction diminuera. "Les clubs ont toujours la possibilité de faire verser le salaire des joueurs par plusieurs entités, explique Jacques Saurel. Imaginons que l'AS Monaco recrute un joueur étranger. Elle peut lui payer 100 000 euros au titre de son activité footballistique, qui seront fiscalisés, mais une société monégasque peut lui verser 80 000 euros en droit d'image, qui eux échapperont à l'impôt. Monaco peut rester un paradis fiscal du foot."

N'allez pas croire que la France est une exception. Le Pays basque espagnol bénéfice également d'un régime fiscal spécial, ce qui a empêché le FC Barcelone de recruter le milieu de l'Athletic Bilbao Javi Martinez. En Catalogne, les taxes sur le salaire sont deux fois plus élevées... Pire encore outre-Atlantique : Ryan Losi, avocat fiscaliste qui conseille 70 sportifs aux Etats-Unis, explique à Bankrate.com relayé par Yahoo! Finance (en anglais) : "Les joueurs de foot américain doivent composer avec 10 à 12 fiscalités différentes, les joueurs de NBA, entre 16 et 20, et les joueurs de base-ball, entre 20 et 26." Ainsi, le quaterback de l'équipe de foot américain de New York, Eli Manning, habite à Hoboken, dans le New Jersey, séparé de Manhattan par l'Hudson River. A 500 mètres près, il économise 5 points d'imposition sur son salaire.

Chaud le 8-0 de Gungamp face à Lens qui leur assure presque la montée en L1 (sauf s'ils déconnent quoi). A ce niveau je sais qu'il est très facile de soupçonner un quelconque arrangement, mais quand même non?

Les supporters nantais vont faire un suicide collectif en cas de défaite de leur club à Caen.

Non pas 8 que 7

Un peu HS mais il a bien pris Monterrubio depuis la retraite