Allez je me lance. Arthurooo, 19 ans, 1ère année de BTS, Reims.
Arthurooo parceque je n'ai jamais réussi à trouvé un pseudo correct, j'suis passé de Ichoride (c'est une carte Magic) à winder (parce que ça ressemblais à winner

).
Bref
J'ai commencé à être supporter du PSG à partir de 13-14 ans, lors de la saison 2003-2004 (et oui c'est tard). A l'époque je regardai téléfoot, juste après la grâce mat du dimanche matin. Et lorsqu'arrivait le résumé du match du PSG, on voyait très souvent des victoires du PSG 1-0, but de Pauleta. Tous les joueurs de l'époque (Déhu, Cana, Mendy, Sorin) se regroupaient félicité Pedro en dessous des tribunes en délire agitant des fumigènes. Et c'est ça qui m'a fait rêver.
L'année suivante je "m'affirme" comme étant un supporter du PSG. Je découvre alors l'impopularité de ce club tant on se moque de lui. En plus il y a de bonnes raisons de se moquer, le club de la capitale joue mal. Tans pis je les défend tant bien que mal. Mais le match déclic qui me montra que mon coeur était désormais rouge et bleu, ce fut ce match contre le CSKA perdu 3-1 à domicile. Pour la 1ère fois de ma vie, un match de foot me retarde dans mon sommeil. J'enchaine par un déplacement au Parc avec mon père. Un 0-0 contre le TFC, mais le plus marquant c'était le bruit que faisaient les supporters en criant "FRANCIS GRAILLE DEMISSION" ou "VAHID DEMISSION". Maintenant, on a beau me conseiller de supporter un autre club parceque au PSG il y a des hooligans, j'men fou, je resterai supporter du PSG, point!
Le plus frustant est que ce club n'a quasiment jamais un jour de gloire depuis que je "m'investis psycologiquement" dans ce club. N'empêche, les rares fois ou ils m'ont fait fibrer, comme ce 2-1 en finale de coupe de france qui fit taire toute la toute la france, ou alors m'ont fait trembler comme jamais avec ce dernier match décisif contre Sochaux, eh bien c'est énorme ce que procure ce club (dans les bons et les mauvais moments).
Pour répondre à Philo j'ai découvert le site après avoir réalisé que sur planete seuls les relou étaient là, et que surtout les piliers étaient partis