Citation (Nianzeu_vom_Nde @ 11/04/2013 15:05)

J'ai envie de passer un petit coup de gueule or je ne sais pas où le poster car il s'agit du journalisme " à la française" concernant beckham and co.
A l'instar de dave apadoo "journaliste" de france football qui sévit aussi sur la chaine l'équipe 21, les "professionnels de la profession" affirmaient sans aucune preuve que c'était le prince héritier himself qui avait imposé Beckham sur la feuille de match. Il est clair que celui ci a trouvé le temps de faire l'equipe du psg entre deux dossiers. Ce qui me choque c'est que ce "journaliste" peut affimer des conneries sans que ses collègues lui demande des preuves. Dave appadoo imagine des choses dans sa tête et les dit sans aucune enquete au préalable. Il fait fi de ce que represente un coach comme ancellotti. Maintenant que beckham n'ai pas titulaire au match retour, il oublie tout ce qui a dit auparavant comme si cela n'avait jamais existé puis continue de dire d'autre theorie tout aussi fumeuse. Et bien sûr, aucun de ses collegues lui demande pourquoi le prince a imposé beckham au match aller et pas au retour. Le niveau du "journalisme à la française" est tellement bas que cela m'exaspère.

Dans le topic football en général il y a un topic media général (sous titre : la boite à caca! c'est parlant je trouve ) Sinon dans les commentaires de la revue de presse c'est bien aussi.
Après comme le dit fort justement Carlton ce qui m'étonne c'est que ça te choque encore, déontologie, vérification des sources, cohérence... T'en demande beaucoup quand même, pas facile de vendre du papier avec ça.
Le pire c'est que c'est pas limité au domaine sportif. Je dis ça en connaissance de cause pour avoir assisté à pas mal de conférences de presse en tant que technicien, c'est juste ouf comme les journalistes arrivent avec leur articles en tête et à quel points ils posent des questions qui influencent les gens qu'ils interviewent, à quel point ils déforment les propos de leurs interlocuteurs et surtout à quel point le niveau de leurs questions flirte avec le caniveau.