Citation (Homer @ 13/08/2016 23:04)

S'il le sous-entend seulement, ca va alors

Depuis le départ de Rousseau, c'est chaud apparemment.
Les britts qui se cachent meme pas et mettent carrément leurs dopées cancereuses sur le podium

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"Le bronze par équipes, on va le prendre comme un lot de consolation. Mais à titre individuel, malgré mon investissement contre vents et marées, ce n’est pas passé. Je suis venu ici en essayant d’oublier le passé mais au très haut niveau, ce sont les petits détails qui font la différence et la performance. Il y a des détails qui nous ont échappés. La préparation n’a pas été facile et ce sont les athlètes qui sont sur le devant de la scène…"
Manifestement, à l’instar de Michaël D’Almeida, le nonuple champion du monde (cinq titres par équipe, quatre en individuel) estime ne pas évoluer dans les meilleures conditions. Et pas question ici de pointer du doigt l’éventuel dopage technologique des adversaires. "Pourquoi la piste française est en perte de vitesse ? Je n’en sais rien. C’est une question que nous, athlètes, allons-nous poser. Mais clairement, on n’a jamais les mêmes analyses (que l’encadrement, ndlr). Le jour où on avancera tous ensemble, peut-être que la tendance s’inversera. Il y a quatre ans, le sprint français bataillait avec les meilleurs, aujourd’hui c’est loin d’être le cas. Pour ceux qui vont repartir sur quatre ans, il va falloir trouver des solutions."
Proche de Florian Rousseau, entraîneur des sprinters jusqu’en mars 2013 et sa démission pour incompatibilité d’humeurs avec la FFC, Grégory Baugé ne cache pas sa nostalgie. "Ça n’a pas été facile ces quatre dernières années… j’y ai vraiment cru en arrivant ici. J’ai eu le soutien de Florian, qui est venu en début de session me faire signe. Depuis son départ, il y a eu des moyens financiers et humains investis, c’est sûr. Après, est-ce que les moyens humains étaient bons, je ne sais pas… Moi en tout cas, je ferai ma propre analyse, le staff aussi peut-être. Il faut se poser les bonnes questions.