Citation
Dans ma tête, je suis parisien »
CHRISTOPHE JALLET, défenseur de Lorient
Contacté par le PSG depuis plusieurs semaines, le Lorientais Christophe Jallet souhaite plus que jamais être présent à la reprise de l’entraînement parisien le 3 juillet.
Voulez-vous toujours rejoindre le PSG ?
Christophe Jallet. C’est mon souhait numéro un. Quand un club comme Paris s’intéresse à vous, il faut saisir cette chance.
Passer de Lorient au PSG ne se refuse pas. Je suis d’accord avec le club sur les conditions d’un contrat de quatre ans sans clause libératoire. Le reste ne dépend plus de moi. Je n’ai pas eu le président de Lorient au téléphone car ce n’est pas mon rôle. Mais j’espère que tout le monde respectera tout le monde dans cette histoire. Je ne vois pas pourquoi Lorient m’empêcherait de signer à Paris.
Avez-vous d’autres pistes ?
Je n’ai pas de plan B. Dans ma tête, je suis parisien.
Savez-vous comment Antoine Kombouaré compte vous utiliser ?
Je sais qu’il apprécie mon punch et ma capacité à aller vite vers l’avant. A la base, je suis là pour jouer latéral droit même si je suis capable de jouer dans l’axe et à gauche. Je suis là pour concurrencer Ceará. Je sais que je n’arrive pas comme titulaire parce qu’il était là avant moi et qu’il a fait une bonne saison. Mais je me battrais pour jouer et ce sera au coach de choisir. Chacun devra donner le meilleur.
Avez-vous conscience que le changement entre Lorient et le PSG risque d’être grand ?
Oui, on m’a prévenu. A la base, je suis quelqu’un de discret et qui aime bien rester dans son coin. Je ne sais pas si ce sera possible à Paris (rires). S’il le faut, je m’adapterai.
CHRISTOPHE JALLET, défenseur de Lorient
Contacté par le PSG depuis plusieurs semaines, le Lorientais Christophe Jallet souhaite plus que jamais être présent à la reprise de l’entraînement parisien le 3 juillet.
Voulez-vous toujours rejoindre le PSG ?
Christophe Jallet. C’est mon souhait numéro un. Quand un club comme Paris s’intéresse à vous, il faut saisir cette chance.
Passer de Lorient au PSG ne se refuse pas. Je suis d’accord avec le club sur les conditions d’un contrat de quatre ans sans clause libératoire. Le reste ne dépend plus de moi. Je n’ai pas eu le président de Lorient au téléphone car ce n’est pas mon rôle. Mais j’espère que tout le monde respectera tout le monde dans cette histoire. Je ne vois pas pourquoi Lorient m’empêcherait de signer à Paris.
Avez-vous d’autres pistes ?
Je n’ai pas de plan B. Dans ma tête, je suis parisien.
Savez-vous comment Antoine Kombouaré compte vous utiliser ?
Je sais qu’il apprécie mon punch et ma capacité à aller vite vers l’avant. A la base, je suis là pour jouer latéral droit même si je suis capable de jouer dans l’axe et à gauche. Je suis là pour concurrencer Ceará. Je sais que je n’arrive pas comme titulaire parce qu’il était là avant moi et qu’il a fait une bonne saison. Mais je me battrais pour jouer et ce sera au coach de choisir. Chacun devra donner le meilleur.
Avez-vous conscience que le changement entre Lorient et le PSG risque d’être grand ?
Oui, on m’a prévenu. A la base, je suis quelqu’un de discret et qui aime bien rester dans son coin. Je ne sais pas si ce sera possible à Paris (rires). S’il le faut, je m’adapterai.
Le Parisien
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Deux petits morceaux d'interview (datant de deux ans) :
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Son entraîneur, Christian Gourcuff a renouvelé ses compliments au sujet de son joueur : « « Il est phénoménal, sur le plan athlétique. Que ce soit sur le plan de l'explosivité, celui de l'endurance ou de la détente. Il n'y a qu'au niveau du gabarit qu'on pourrait trouver à redire. Sur le plan athlétique, sinon, il est le plus fort. J'ai rarement vu un garçon réunir autant de qualités athlétiques. En plus, il sait utiliser ses qualités à bon escient, ce qui fait qu'il a énormément progressé un an ».
http://www.football365.fr/depeches/filinfo...ne-bourre.shtmlCitation
Le système ?
En 4-4-2 ! Le coach [Christian Gourcuff, ndlr] s'y est toujours tenu, mais c'est son système de prédilection. On le travaille encore à l'entraînement, toutes les semaines : exercice à 10 contre 0, petites oppositions. Vous n'avez jamais fini. Pour nous, les aspects tactiques figurent un peu notre planche de salut. Les enchaînements de passes, la progression collective. Dès lors, il est important de savoir où se trouve le partenaire, c'est-à-dire de travailler les automatismes. Si on fait le contraire en balançant de longs ballons devant, on rentre dans le combat : face à des formations comme Lyon, Toulouse ou Le Mans, nous ne pouvons pas rivaliser physiquement. Elles font mal.
Le 4-4-2 est le système de jeu le plus utilisé au monde. Forces et faiblesses ?
Les deux lignes défensives rassurent. Dit autrement, ce système favorise le pressing et la récupération en position haute sur le terrain. Et c'est en récupérant le ballon chez l'adversaire qu'on marque des buts, car celui-ci n'a pas le temps de s'organiser. Les faiblesses : le 4-4-2 demande beaucoup de travail de replacement aux quatre joueurs du milieu. Si un ou deux éléments sont moins bien physiquement, l'équipe sombre ; pas d'échappatoire.
Christian Gourcuff a l'image d'un entraîneur froid, un peu abstrait. Et vu par ses joueurs ?
Assez froid, oui. Il a ses idées. Pour nous, il y a quand même un côté rassurant ; on sent que ça ne peut pas partir dans tous les sens. Pendant les séances vidéo, il nous rabâche l'importance de sortir du duel, de l'affrontement physique. Je n'utiliserais pas le terme «directif» : il nous donne des indices, que le joueur doit exploiter selon sa sensibilité.
Un exemple ?
Avant le match de samedi, il m'avait parlé de Florent Malouda : «Même quand il est coincé, il peut s'en tirer sur un geste inattendu, un truc à lui.» Voilà. Il m'avait aussi conseillé d'empêcher Malouda de prendre de la vitesse, parce que là...
Quels sont les adversaires qui vous ont marqué en Ligue 1 ?
Comme j'évolue à droite, je vais parler de deux joueurs évoluant côté gauche : Florent Malouda et Eric Abidal lors du match aller, à Lorient. Là, j'ai vu le niveau international : le «coffre», la puissance... Techniquement, Malouda est très impressionnant. Avec Abidal, ils se trouvent les yeux fermés.
Est-il vrai que, depuis la sortie du sélectionneur Raymond Domenech sur votre attaquant André-Pierre Gignac, vous le surnommiez «Raymond» dans le vestiaire ?
Je confirme. Vous savez, les footballeurs sont très taquins.
Originaire de la région de Cognac, vous avez un BTS d'oenologie. Le vin, pour un footballeur...
Ce n'est pas pire que du Coca ! Je n'abuse pas et surtout, il y a un moment pour tout. C'est une passion discrète. J'adore découvrir les vins inconnus. Je me suis notamment attaché au Château de la Louvière, un pessac-léognan. J'ai bien aimé son évolution au fil des années. Assez riche, fruité... il n'a rien à envier à des vins autrement prestigieux, type saint-émilion. Un peu boisé, peut-être. Mais il passe bien.
En 4-4-2 ! Le coach [Christian Gourcuff, ndlr] s'y est toujours tenu, mais c'est son système de prédilection. On le travaille encore à l'entraînement, toutes les semaines : exercice à 10 contre 0, petites oppositions. Vous n'avez jamais fini. Pour nous, les aspects tactiques figurent un peu notre planche de salut. Les enchaînements de passes, la progression collective. Dès lors, il est important de savoir où se trouve le partenaire, c'est-à-dire de travailler les automatismes. Si on fait le contraire en balançant de longs ballons devant, on rentre dans le combat : face à des formations comme Lyon, Toulouse ou Le Mans, nous ne pouvons pas rivaliser physiquement. Elles font mal.
Le 4-4-2 est le système de jeu le plus utilisé au monde. Forces et faiblesses ?
Les deux lignes défensives rassurent. Dit autrement, ce système favorise le pressing et la récupération en position haute sur le terrain. Et c'est en récupérant le ballon chez l'adversaire qu'on marque des buts, car celui-ci n'a pas le temps de s'organiser. Les faiblesses : le 4-4-2 demande beaucoup de travail de replacement aux quatre joueurs du milieu. Si un ou deux éléments sont moins bien physiquement, l'équipe sombre ; pas d'échappatoire.
Christian Gourcuff a l'image d'un entraîneur froid, un peu abstrait. Et vu par ses joueurs ?
Assez froid, oui. Il a ses idées. Pour nous, il y a quand même un côté rassurant ; on sent que ça ne peut pas partir dans tous les sens. Pendant les séances vidéo, il nous rabâche l'importance de sortir du duel, de l'affrontement physique. Je n'utiliserais pas le terme «directif» : il nous donne des indices, que le joueur doit exploiter selon sa sensibilité.
Un exemple ?
Avant le match de samedi, il m'avait parlé de Florent Malouda : «Même quand il est coincé, il peut s'en tirer sur un geste inattendu, un truc à lui.» Voilà. Il m'avait aussi conseillé d'empêcher Malouda de prendre de la vitesse, parce que là...
Quels sont les adversaires qui vous ont marqué en Ligue 1 ?
Comme j'évolue à droite, je vais parler de deux joueurs évoluant côté gauche : Florent Malouda et Eric Abidal lors du match aller, à Lorient. Là, j'ai vu le niveau international : le «coffre», la puissance... Techniquement, Malouda est très impressionnant. Avec Abidal, ils se trouvent les yeux fermés.
Est-il vrai que, depuis la sortie du sélectionneur Raymond Domenech sur votre attaquant André-Pierre Gignac, vous le surnommiez «Raymond» dans le vestiaire ?
Je confirme. Vous savez, les footballeurs sont très taquins.
Originaire de la région de Cognac, vous avez un BTS d'oenologie. Le vin, pour un footballeur...
Ce n'est pas pire que du Coca ! Je n'abuse pas et surtout, il y a un moment pour tout. C'est une passion discrète. J'adore découvrir les vins inconnus. Je me suis notamment attaché au Château de la Louvière, un pessac-léognan. J'ai bien aimé son évolution au fil des années. Assez riche, fruité... il n'a rien à envier à des vins autrement prestigieux, type saint-émilion. Un peu boisé, peut-être. Mais il passe bien.
Une récente :
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Après trois saisons à Lorient, Christophe Jallet (25 ans) devrait changer de cap cet été. L'ancien Niortais aimerait beaucoup atterrir dans un club du calibre de Paris ou Bordeaux. Mais Nancy et Lens sont également intéressés.
Christophe Jallet, avez-vous été contacté directement par les dirigeants du PSG ?
Non mais je sais qu'ils sont intéressés par mon profil et qu'ils me suivent régulièrement depuis un an. Ça me fait plaisir mais pour l'instant, il n'y a rien de fait. Mon agent me tiendra au courant mais s'ils veulent me rencontrer, ça sera avec plaisir. Pour moi, le PSG représenterait un superbe tremplin et surtout un autre challenge à relever. Car Paris a quand même d'autres ambitions que Lorient. Je serais très content que ça puisse se faire.
Dans votre plan de carrière, avez-vous pour objectif de rejoindre un grand club français la saison prochaine ?
En tout cas, un club qui me permette de jouer autre chose que le maintien. L'objectif lorientais va encore se limiter à ça la saison prochaine donc pour franchir un palier, il faut partir à un moment dans un club qui joue les premiers rôles et qui a envie de réaliser une grosse saison. Pour franchir ce cap, quasiment tous les clubs qui ont fini devant nous cette année sont intéressants.
Imaginez-vous que Lorient puisse encore vous refuser un bon de sortie cet été ?
Non, j'espère qu'ils seront assez conciliants et que tout se passera bien si j'ai l'opportunité de partir. L'année dernière, ils ne m'avaient pas laissé partir et m'avaient demandé de refaire une saison, ce que j'ai fait. S'ils trouvent leur compte et moi aussi, je ne vois donc pas pourquoi ils me retiendraient. Ça a été éclairci entre nous. Nous en avons reparlé en fin de saison. Je suis toujours lorientais, il n'y a pas de souci. Mais si une opportunité se présente, j'espère que nous saurons la saisir, le club et moi.
Etes-vous également au courant de l'intérêt de Bordeaux ?
Non, je ne suis pas au courant mais c'est un club qui m'intéresse (rires). Ils ont déjà des joueurs à mon poste mais s'ils me font une proposition, je l'étudierai. Pour le moment, je n'ai rien reçu.
« Mon objectif premier est de rester en France »
Avez-vous conscience que si vous quittez Lorient pour Bordeaux ou Paris, vous arriverez comme doublure du titulaire au départ ?
Oui, bien sûr. De toute façon, quand on arrive dans un très bon club, il y a forcément de la concurrence. Même si j'arrive comme n°2, ce sera à moi de prouver que j'ai la capacité pour passer n°1. C'est ce qui s'est passé à Lorient où j'arrivais de Niort en tant que n°3 ou 4. Il a fallu que je me fasse une place. Maintenant, à cœur vaillant rien d'impossible. Je donnerai tout pour devenir le n°1.
Etes-vous flatté d'entendre que Nancy, où vous aviez été à deux doigts de signer l'été dernier, s'intéresse toujours à vous ?
Oui, bien sûr. Même si Nancy a fait une saison moyenne cette année, ça fait toujours plaisir de voir qu'un club s'intéresse à moi, surtout que ce n'est pas juste une passade car ça fait maintenant deux ans qu'ils me suivent. J'étudierai avec ma femme et mon agent quel est le meilleur choix pour moi. Pour revenir à Nancy, le président me voulait, c'est vrai, mais je ne m'étais pas fait trop de films car le président lorientais m'avait dit qu'il ne me laisserait pas partir sauf en cas de proposition exceptionnelle. Je ne l'ai donc pas mal vécu. D'autant que je me suis blessé cette saison. Et quitte à me blesser et me faire opérer, c'était peut-être mieux que ça se passe à Lorient que dans mon club suivant.
Lens s'intéresse également à vous. Un challenge dans ce club qui connaît bien la L1 et dans cette ville qui respire le foot pourrait-il vous séduire ?
C'est clair. Très peu de clubs en France peuvent se vanter d'avoir une ambiance comme à Lens. Donc c'est vraiment quelque chose auquel il faut réfléchir. Maintenant, eux non plus ne m'ont pas encore contacté directement. Et avant de penser à un arrière droit, je pense que les Lensois ont d'autres priorités.
Avez-vous vraiment envie de rester en France ?
Oui, pour l'instant, je préfère me consacrer à la France. J'ai encore beaucoup à apprendre ici avant de partir à l'étranger, qui ne fait pas du tout partie de mes plans d'avenir proche. Mon objectif premier est de rester en France.
Christophe Jallet, avez-vous été contacté directement par les dirigeants du PSG ?
Non mais je sais qu'ils sont intéressés par mon profil et qu'ils me suivent régulièrement depuis un an. Ça me fait plaisir mais pour l'instant, il n'y a rien de fait. Mon agent me tiendra au courant mais s'ils veulent me rencontrer, ça sera avec plaisir. Pour moi, le PSG représenterait un superbe tremplin et surtout un autre challenge à relever. Car Paris a quand même d'autres ambitions que Lorient. Je serais très content que ça puisse se faire.
Dans votre plan de carrière, avez-vous pour objectif de rejoindre un grand club français la saison prochaine ?
En tout cas, un club qui me permette de jouer autre chose que le maintien. L'objectif lorientais va encore se limiter à ça la saison prochaine donc pour franchir un palier, il faut partir à un moment dans un club qui joue les premiers rôles et qui a envie de réaliser une grosse saison. Pour franchir ce cap, quasiment tous les clubs qui ont fini devant nous cette année sont intéressants.
Imaginez-vous que Lorient puisse encore vous refuser un bon de sortie cet été ?
Non, j'espère qu'ils seront assez conciliants et que tout se passera bien si j'ai l'opportunité de partir. L'année dernière, ils ne m'avaient pas laissé partir et m'avaient demandé de refaire une saison, ce que j'ai fait. S'ils trouvent leur compte et moi aussi, je ne vois donc pas pourquoi ils me retiendraient. Ça a été éclairci entre nous. Nous en avons reparlé en fin de saison. Je suis toujours lorientais, il n'y a pas de souci. Mais si une opportunité se présente, j'espère que nous saurons la saisir, le club et moi.
Etes-vous également au courant de l'intérêt de Bordeaux ?
Non, je ne suis pas au courant mais c'est un club qui m'intéresse (rires). Ils ont déjà des joueurs à mon poste mais s'ils me font une proposition, je l'étudierai. Pour le moment, je n'ai rien reçu.
« Mon objectif premier est de rester en France »
Avez-vous conscience que si vous quittez Lorient pour Bordeaux ou Paris, vous arriverez comme doublure du titulaire au départ ?
Oui, bien sûr. De toute façon, quand on arrive dans un très bon club, il y a forcément de la concurrence. Même si j'arrive comme n°2, ce sera à moi de prouver que j'ai la capacité pour passer n°1. C'est ce qui s'est passé à Lorient où j'arrivais de Niort en tant que n°3 ou 4. Il a fallu que je me fasse une place. Maintenant, à cœur vaillant rien d'impossible. Je donnerai tout pour devenir le n°1.
Etes-vous flatté d'entendre que Nancy, où vous aviez été à deux doigts de signer l'été dernier, s'intéresse toujours à vous ?
Oui, bien sûr. Même si Nancy a fait une saison moyenne cette année, ça fait toujours plaisir de voir qu'un club s'intéresse à moi, surtout que ce n'est pas juste une passade car ça fait maintenant deux ans qu'ils me suivent. J'étudierai avec ma femme et mon agent quel est le meilleur choix pour moi. Pour revenir à Nancy, le président me voulait, c'est vrai, mais je ne m'étais pas fait trop de films car le président lorientais m'avait dit qu'il ne me laisserait pas partir sauf en cas de proposition exceptionnelle. Je ne l'ai donc pas mal vécu. D'autant que je me suis blessé cette saison. Et quitte à me blesser et me faire opérer, c'était peut-être mieux que ça se passe à Lorient que dans mon club suivant.
Lens s'intéresse également à vous. Un challenge dans ce club qui connaît bien la L1 et dans cette ville qui respire le foot pourrait-il vous séduire ?
C'est clair. Très peu de clubs en France peuvent se vanter d'avoir une ambiance comme à Lens. Donc c'est vraiment quelque chose auquel il faut réfléchir. Maintenant, eux non plus ne m'ont pas encore contacté directement. Et avant de penser à un arrière droit, je pense que les Lensois ont d'autres priorités.
Avez-vous vraiment envie de rester en France ?
Oui, pour l'instant, je préfère me consacrer à la France. J'ai encore beaucoup à apprendre ici avant de partir à l'étranger, qui ne fait pas du tout partie de mes plans d'avenir proche. Mon objectif premier est de rester en France.
http://www.football365.fr/infos-clubs/lori...r-un-cap-.shtml
Bon voilà, un latéral droit qui serait en concurrence avec Ceara (toujours pas prolongé, plus qu'un an de contrat) et qui pourrait dépanner dans l'axe voire à gauche (ça je ne le savais pas) en cas de besoin.
Joueur plutôt régulier, qui ne fait pas de bruit, semble être un mec sympa et pas trop con, il peut être une bonne surprise "à la Bonnart" ou moins à la "Pichot".
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