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RC Lens : faut-il vraiment croire à un retour aux affaires de Gervais Martel ?

Publié le 16/05/2013

Par La Voix du Nord

| FOOTBALL LENS |

Le Racing Club de Lens est à la croisée des chemins. Dans l'attente d'un signal de reprise par un investisseur, le club jouera demain son dernier match de la saison à Bollaert. L'occasion de voir enfin le (ou les) repreneur(s) potentiel(s) ? Ne dit-on pas que Gervais Martel aurait noué des contacts avec le propriétaire (fortuné) du FC Bakou, en Azerbaïdjan, et que, dès lors, il pourrait vite revenir en première ligne...
Aux yeux des supporteurs lensois, Gervais Martel a gardé une image forte, celle avant tout d'une réussite antérieure, d'une passion.


C'est un sujet hypersensible. Et pas seulement par le fait qu'il engage l'avenir même du Racing sous son angle le plus aigu : celui de son rayon d'action financier, de ses ressources futures. Lens a besoin aussi d'une vraie crédibilité sportive, donc de compétences, de forces vives, pour renaître.

> Vrai ou faux ? Depuis de longs mois, le refrain de la reprise du club est sur toutes les lèvres. Il a tellement hanté les esprits qu'on en est venu à se demander si cette histoire, née quasiment avec le départ de Gervais Martel il y a un an, ne va pas s'évanouir, noyée dans le brouillard de trop belles intentions. À en croire Luc Dayan, les choses évoluent au rythme qui était prévu. Le président lensois annonce d'ailleurs la présence du futur investisseur demain au stade Bollaert-Delelis.

En l'état actuel des choses, il faut espérer que tout ça ne soit pas du vent car le Racing, soutenu à bout de bras par le Crédit Agricole, ne redécollera qu'à la condition expresse qu'il bénéficie d'une réelle dynamique économique.

> S'il y a reprise. C'est le cas de figure idéal, quand bien même il ne faudrait pas s'attendre à une révolution comme celle qui a « boosté » le Paris SG. L'investisseur - s'il y en a un - devra d'abord assurer le quotidien. Quand on songe que le RC Lens perd actuellement 10 millions par an (perte assumée par le Crédit Agricole), on mesure mieux l'ampleur de la mission. Mais, au moins, le Racing aurait une vraie vision à long terme, un vrai projet.

Alors qui ? Régulièrement, le fantôme de Gervais Martel resurgit des ténèbres. L'ex-président, qui jouit d'un droit de préemption, a-t-il la capacité aujourd'hui d'obtenir ce qu'il n'a pas réussi à ficeler hier (reprendre la main dans le capital du RCL avec 9 millions à la clé) ? On le dit, selon L'Équipe, en contact avec le président du FC Bakou, Haziz Mammadov, un riche industriel azéri, qui a déjà conclu un accord de partenariat avec l'Atletico Madrid et qui souhaite étendre son influence. Une autre piste - espagnole celle-là et qui n'est pas nouvelle - est également évoquée.

> S'il n'y a pas reprise. Il est clair que si les négociations échouent, les Lensois ont du souci à se faire. L'actionnaire, qui a déjà fait beaucoup, fera des coupes franches. Le budget 2012-2013, qui avait toujours des saveurs de Ligue 1 (25 millions), dégringolera pour épouser les normes de cette division (8 à 10 millions). Ça passera par une nouvelle vague d'économies : départ de salariés de La Gaillette, vente ou location d'une certaine partie des locaux, réduction du nombre d'équipes, du budget formation, etc. En outre, Lens n'aurait pas le loisir de recruter comme il l'entend. Des mesures drastiques ont déjà été prises par Gérard Lévêque, le directeur général du Racing mandaté par le Crédit Agricole. D'autres suivraient.

> Lueur d'espoir. Selon Luc Dayan, on devrait en savoir plus très bientôt. Car, en cas de reprise, la nouvelle direction devra présenter un budget prévisionnel à la DNCG pour la mi-juin, et se pencher au plus vite sur le suivi de l'effectif. Si rien n'a bougé à ce jour, le fait que Lens soit sur le point de valider le transfert de Yohan Touzghar, moyennant une indemnité de 500 000 euros payés à Amiens, constitue peut-être un signal.

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PAR PIERRE DIÉVAL

Le Mans vers le dépôt de bilan

En cas de relégation en National, Le Mans FC devrait déposer le bilan et repartir, au mieux, en CFA la saison prochaine.

Après Strasbourg et Grenoble, un troisième club illustre devrait déposer le bilan dans les prochaines semaines. Il s’agit du Mans, relégable à une journée de la fin du Championnat depuis sa défaite contre Monaco vendredi (1-2).

Selon nos informations, le club sarthois, qui ne maîtrise plus son destin, n’évoluera probablement pas en National la saison prochaine, mais au mieux en CFA, où évolue actuellement la réserve, si la FFF accorde une dérogation comme elle l’a fait pour Strasbourg et Grenoble.

Le dépôt de bilan aurait des conséquences désastreuses : perte du statut pro, de l’agrément du centre de formation. Sans oublier le coût pharaonique qui pèserait sur les contribuables pour amortir la construction du MMArena (30 à 44 millions d’euros).

Si depuis quelques temps un candidat à la reprise du Racing était connu, en la personne d’Hafiz Mammadov via le président emblématique Gervais Martel, il semblerait que le second lié cette fois à Luc Dayan chargé de mission du Crédit Agricole et actuel président du Racing le soit également. En effet selon nos informations, il s’agit de Genii Capital, via sa société de capital-risque Mangrove Capital Partners dont le président avait été aperçu avec Luc Dayan lors du dernier match de la saison.

Un intérêt qui ne surprend pas, en effet, l’été dernier, Genii Capital, acteur majeur du sport automobiles, avait évoqué le désir d’étendre ses activités au football et d’acquérir rapidement 5 clubs européens afin d’y injecter 500M€. Une structure qui ferait penser fortement à celle de l’Italien Giampaolo Pozzo, propriétaire d’Udinese, Grenade et Watford, à la différence que dans le cas du Luxembourgeois si l’investissement lourd dans des clubs de championnat différent les amenaient jusqu’à des compétitions européennes , se poseraient un problème de règlement, l’UEFA interdisant de posséder plusieurs clubs participant à une même compétition.

Reste aujourd’hui que si les 2 candidats à le reprise sont maintenu connus, rien n’indique qu’ils n’ont concrétisés leur intérêt par une offre. Dans les 2 cas, le Racing n’est pas forcément le seul club envisagé, en effet Hafiz Mammadov avait déclaré chercher un club français et dans le cas de Genii Capital, les luxembourgeois étaient en contact avec l’AS Nancy Lorraine cet hiver. Cependant dans les 2 cas, le dossier lensois est très avancés et ces candidats possèdent largement les moyens de redonner au Racing sa place en Ligue 1.

L’intérêt d'acquérir 5 clubs de football ?

C'est déja assez le bordel d'en gérer un seul.

Si ça fonctionne comme avec Udinese c'est loin d'être con, ça peut-être bien foutu et avoir une réserve de joueurs intéressent... Après je vois pas trop comment ça va passer avec les règles UEFA

Si ça fonctionne comme avec Udinese c'est loin d'être con, ça peut-être bien foutu et avoir une réserve de joueurs intéressent... Après je vois pas trop comment ça va passer avec les règles UEFA

Gervais Martel de retour ?

Dans un communiqué publié lundi, le Crédit Agricole, actionnaire majoritaire du RC Lens, a annoncé que Gervais Martel, président de 1988 à 2012, avait fait parvenir une lettre d'intérêt en vue d'une reprise en association avec un investisseur étranger. Une information publiée dès dimanche dans nos colonnes. «Après avoir pris connaissance des termes de cette lettre d'intention, le Credit Agricole Nord de France a décidé de demander à Gervais Martel des éclaircissements et des précisions afin d'être en mesure de prendre rapidement position», explique le Crédit Agricole dans un communiqué.
L'Equipe.fr

Il aurait déclaré "Je serai de retour avant le Beaujolais nouveau".

Brest : Alex Dupont est de retour

Comme prévu, Yvon Kermarec est le nouveau président du Stade Brestois, trois jours après la démission de Michel Guyot. Le nouveau patron du club breton a d'ailleurs annoncé le retour d'Alex Dupont sur le banc pour la saison prochaine.
Le technicien avait été licencié en avril 2012 pour mauvais résultats.

Le RC lens tout prêt d'être repris par.... Gervais Martel et des capitaux Azerbaïdjanais. Mammadov du Fc Baku qui a déjà noué des partenariat avec le FC Porto et l'atlético madrid.

https://twitter.com/Laurentmazure/status/342022305150541824

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

https://twitter.com/Laurentmazure/status/342022712736243712

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Martel Putain de soulard avec ton crédit revolving

C'est quoi ça? On dirait un putain de dialogue de film mafieux.
Il s'est engagé dans quoi le Gervais?

En gros il a fait un crédit Cofidis. Pas besoin d'aller jusqu'en Azerbaijan, il y avait la même à 30 bornes à Villeneuve d'Asq.

FOOT/ La pelouse du XXIe siècle posée en avant-première


Publié le jeudi 06 juin 2013 à 11H06 - Vu 1097 fois




Troyes - La pelouse sera plantée sur un substrat révolutionnaire qui sera adapté pour la première fois en France à un terrain de foot. Coût de l'innovation : 900 000 €


Depuis lundi, les engins de chantier ont remplacé les joueurs au stade de l'Aube. C'est parti pour dix semaines de travaux qui vont révolutionner la pelouse que l'on connaissait jusqu'alors.
La dernière fois que le terrain a été refait en profondeur remonte à 1995, même si des aménagements ont été ajoutés depuis. Désormais, les dernières technologies ont été ajoutées pour faire de la pelouse du stade un objet de toutes les attentions.

Le stade de l'Aube avant le Stade de France

La partie la plus innovante est sans conteste cette couche de 15 cm, comprise entre le gazon et le système de drainage, qui sera posée dans un mois.
Jusqu'à présent, l'ancienne structure était composée d'un mélange de sable et de pouzzolane qui avait le mérite d'avoir une bonne portance doublée d'une bonne perméabilité. Problème, ce mélange présentait des blessures abrasives dont les joueurs qui chutaient au sol se plaignaient.
La future couche sera cette fois composée d'un mélange de sable très fin, de fibre synthétique et de liège. Le procédé révolutionnaire a été mis au point par la société Natural Grass, basée en Ile-de-France.
Depuis plusieurs années, cette société familiale s'est spécialisée dans la recherche d'un substrat de synthèse alliant les avantages du gazon naturel à la résistance des surfaces synthétiques. Après des hippodromes, des terrains de golf et de base-ball, le stade de l'Aube sera le premier terrain de foot de haut niveau en France recouvert de ce substrat révolutionnaire nommé Radicalé ®. C'est ce procédé qui sera généralisé sur les pelouses du Stade de France en 2014.
Le principal atout sera d'offrir une parfaite planimétrie. En clair, voir des personnes qui, à la mi-temps et à la fin du match, remettent en place des mottes de terre enlevées, fera partie du passé. « Toute la démarche a été faite en collaboration avec l'Estac », précise-t-on au Grand Troyes.

Meilleure perméabilité

La programmation de ces travaux a été actée par le conseil communautaire du Grand Troyes il y a un peu plus d'un an. Les résultats sportifs ne sont donc pas rentrés en ligne de compte ni les récents événements relatifs à l'épisode de crue. Par la remontée des nappes phréatiques, les drains furent en effet complètement inondés, ce qui n'était pas sans poser quelques inquiétudes en cas de fortes pluies. Ces craintes devraient être balayées par un nouveau système de drainage.
La surface de 10 000 m2 sera entièrement curée d'ici à vendredi. Dès lundi prochain, les mini-pelles rentreront en action afin de refaire entièrement le système de drains. Celui-ci sera disposé en épis.
Le terrain mis à nu laisse aujourd'hui apparaître des surfaces noires, témoignant d'une grande humidité. « À l'origine, il y a plusieurs milliers d'années, le lit de la Seine devait passer par ici », explique un habitué des lieux.
À 40 cm de profondeur, la nouvelle couche drainante de 15 cm d'épaisseur, type géotextile, sera apposée pour mieux isoler la plateforme et ainsi éviter les éventuelles remontées de nappes phréatiques. Elle absorbera parfaitement l'humidité.

Chauffage intégré

Cette couche posée, les entreprises intégreront ensuite un système d'arrosage intégré classique. Une petite vingtaine d'arroseurs seront dissimulés aux quatre coins de la pelouse.
Sur la couche de géotextile, une trentaine de kilomètres de câble métallique sera ensuite tirée et disposée façon serpentin sur l'ensemble de la surface à la mi-juin. Les extrémités seront reliées à une armoire qui sera située sous la tribune d'honneur. Le chauffage sera piloté de là.
Parallèlement à la pose du système, une étude d'ensoleillement du terrain sera menée. Pour une meilleure efficacité du système, quatre grandes zones seront délimitées, ce qui permettra de réguler le chauffage en fonction des besoins. Les zones les plus ombragées seront donc chauffées en priorité. Finies les bâches qu'on déroule et les souffleries qui sont branchées jour et nuit en plein hiver.

Gazon lavé

L'ultime couche sera bien évidemment le gazon en lui-même. Arrivé en rouleau, il sera passé en machine pour être lavé et retiré de ses mottes de terre. « Pour survivre, le gazon nu sera obligé de s'implanter profondément, directement dans le substrat », glisse un technicien.
Le temps que ce travail naturel se réalise, le Grand Troyes a décrété quatre à cinq semaines de repos. La Ligue a accordé que le premier match de l'Estac soit joué à l'extérieur. Le Grand Troyes a demandé que le deuxième le soit également. Réponse dans quelques jours.
Enfin, pour compléter le dispositif, du gazon synthétique sera posé sur trois côtés, hormis le long de la tribune Vitoux. Ce qui évitera le manque de gazon en hiver sur ces endroits très fréquentés.
Coût total de cette opération de grande ampleur : 900 000 € à charge pour le Grand Troyes (une subvention a été demandée au conseil général).

Selon la presse azérie, Mammadov reste seul



Lundi, l’offre de rachat partiel de Mangrove Capital Partner (fonds d’investissements luxembourgeois) avait été présentée hier au Crédit Agricole. Rien n’était donc décidé. Mais la presse azéri du jour possède quelques informations supplémentaires. Attention, il s’agit d’un site de propagande.
La première partie de l’article concerne un accord de sponsor signé entre le président du FC Baku, Hafiz Mammadov, et le RC Lens, mais également son acquisition.
« L’Azerbaijan est devenu sponsor de Lens, un bon club du football français. Hafiz Mammadov a signé un accord de sponsor avec le club. Mammadov a, en achetant des actions du club, réalisé une première au nom de l’Azerbaijan. Nous avons déjà investi à l’étranger, notamment en Russie et en Ukraine, mais cette fois-ci, c’est tout autre chose avec Lens. En effet, il s’agit un club en France, en plein centre de l’Europe. ‘Acheter’ ce club était très important pour l’Azerbaijan et acceptons-le, il s’agit d’un fait historique [...]«
Le titre d’un nouveau paragraphe est sans équivoque : « Les concurrents se retirent », c’est à dire Mangrove Capital Partner. Le paragraphe ne laisse pas réapparaître cette information, rajoutant simplement que « la signature officielle de l’accord de coopération est attendue cette semaine. »
De plus, la fin de l’article mentionne l’arrivée d’une quinzaine de joueurs azéris au sein du club artésien. En effet, selon l’accord, « 15 joueurs azéris joueraient dans les diverses équipes de jeunes de Lens. Cependant, trois joueurs intégreraient le groupe professionnel. Hafiz Mammadov a l’idée avant tout de protéger l’honneur de l’équipe nationale de l’Azerbaijan. C’est pour cela que trois joueurs jouerait dans l’équipe de Lens, ce qui leur permettrait d’acquérir de l’expérience. Hafiz Mammadov pense également en même temps aux intérêts de l’équipe nationale du pays pour avoir de meilleurs résultats. »
Les noms de Kamran Agayev, Elvin Mammadov, A. Nabiev, Rauf Aliyev, Javid Huseynov et Afran Ismailov sont avancés.
« Concernant le nouveau visage de Lens, Hafiz Mammadov va nommer une personne non seulement connue en France mais également en Europe. »
« Avec cet investissement, Lens deviendra plus fort que Monaco. »

Martel favori pour reprendre Lens

LE PROCESSUS DE REPRISE du RC Lens touche à sa fin. Convoqué par la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) mardi prochain, le Crédit agricole nord de France (CANF), actionnaire ultramajoritaire du club artésien, doit désigner, au plus tard la veille, le nom du futur repreneur.

Sauf renversement de situation, la banque doit choisir entre l’ancien président Gervais Martel (58 ans, notre photo), associé à l’homme d’affaires azerbaïdjanais Hafiz Mammadov, et le fonds d’investissement luxembourgeois Mangrove Capital Partners. De sources internes, hier, elle considère les deux propositions au même niveau. Cependant, elles sont structurées de manière différente. Avec le fonds d’investissement, la sortie du capital du CANF n’est programmée, et étalée, que sur le moyen terme. Or, la banque cherche à se désengager totalement du club, qu’elle n’a jamais eu vocation à gérer.

Voilà pourquoi l’offre du duo Martel-Mammadov pourrait l’emporter. Gervais Martel a notamment les faveurs des élus politiques locaux qui sont consultés. Certains, comme Daniel Percheron, président (PS) de la région NordPas-de-Calais, ont pris publiquement position en sa faveur. L’offre Martel-Mammadov a également vocation à racheter l’intégralité du RC Lens via la création d’une holding, une augmentation immédiate du capital et une injection de liquidités sur le compte courant.

Après plusieurs jours de négociations et d’ajustements, le CANF est tombé d’accord sur un document commun qui doit désormais être paraphé, via les cabinets d’avocats respectifs, notamment celui de Clifford Chance à Paris, par Gervais Martel et Hafiz Mammadov. C’est la signature de ce dernier acteur qui manquait encore à l’appel tard hier soir, l’homme d’affaires étant difficilement joignable en raison de ses activités de par le monde. Ce qui incite encore le CANF à s’interroger sur la complémentarité de l’attelage formé par Gervais Martel et le président du FC Bakou. Mais, si la signature de Mammadov parvenait au CANF dans des délais rapides, un accord définitif pourrait être scellé avant l’annonce officielle.

J'en profite pour le faire ici : un grand merci pour tous les articles de l'Equipe que tu partages mon bon Varino.

Le 14/06/2013 à 11:29:00
Foot - Ligue 2 : Martel reprend le FC Lens


Info L'Equipe. Actionnaire ultra majoritaire du club artésien, le Crédit Agricole Nord de France, qui communiquera rapidement sur le sujet ce vendredi, vient d'adopter le principe d'une négociation exclusive avec Gervais Martel et l'homme d'affaires azéri Hafiz Mammadov pour la reprise totale du RC Lens. Cette décision écarte, de fait, la proposition du fonds d'investissement luxembourgeois Mangrove Capital Partners. Et entérine le retour de l'ancien président aux commandes du club sang et or.

Tous les détails dans L'Equipe daté du samedi 15 juin.

S'il amène du flouze direct, à la Rybo, il pourrait vite faire revenir son équipe en D1. Trois gros capitaux en France, y'a deux ans, personne aurait parié dessus. Lyon et l'OM peuvent déjà se chier dessus, il va leur rester des miettes.

Ouais mais bon Lens quoi... J'aurai préféré Bordeaux, Sainté ou Nantes quoi.
Et le type est blindé au moins ? Il a l'intention de lâcher du fric ?

Lens a au moins un public derrière lui, certes c'est tous des consanguins alcolos chomeurs pédophiles, mais quand meme. Lille, y'a qui derrière ? ils peinent à remplir le stade tout neuf, Lyon, pas sur qu'ils remplissent le nouveau Gerland, quand il sera construit


Bordeaux, y'a déjà M6, qu'ils lachent les sous ! Ils pourront faire une partouze géante avec les Gics comme ca

Nantes, qu'ils crêvent !