rien ne vaut les clubs en espagne, là où tu es entouré de bombes sexuelles d'amerique latine et où tu peux te faire tater les couilles sans être obligé de "consommer"

(bon il faut avoir un sacré mental pour resister, surtout que là bas c'est 50 euros la demi-heure et c'est un tout autre calibre que la plupart des escorts vues sur les sites)
dans ma jeunesse, j'y ai croisé Dugarry ("Qu'est ce que tu as à me regarder?"), Darcheville et Kossonogov, un russe à moitié inconnu qui jouait aux girondins à l'epoque (les 2 etaient en rééducation à Capbreton, au centre européen de rééducation pour les sportifs, près de la frontiere donc).
le must restera makélélé , à madrid, cigare au bec, installé dans les banquettes VIP avec une bombe dans chaque bras (veridique!)