Je n'ai pas le talent de certains pour les CR (Ashura

) mais je l'ai fais avec le coeur.
Voici un long résumé de mon escapade à Créteil Soleil, pour ceux intéressés par les histoires d’ado ©
Pour remettre dans le contexte :
En 2014, je pars dans le sud, chez la famille d’un très bon pote. Au programme vacances entre potes : bateau, piscine, plages,…
Un jour quand on arrive au repas du midi chez les parents, mon pote me dit qu’il y a également en invité, sa tante et sa cousine. Elles habitent à la Réunion, elles sont en métropoles pour quelques jours.
La cousine est une jeune fille de 16 ans plutôt jolie mais bon je n’ai aucun intérêt pour cette gamine (NDLR : j’ai 28 ans à ce moment-là).
Quelques jours après, elle m’ajoute sur Facebook et elle vient me parler. Elle aimerait qu’on se revoit avant qu’elle rentre à la Réunion. Je lui dis que c’est impossible, on ne se parle plus de plusieurs mois.
Elle revient me parler de temps en temps, prendre des nouvelles, m’ajoute sur Snapchat. Petit à petit les conversations deviennent plus tendancieuses et coquines.
Ça finit régulièrement par des photos chaudes de sa part et des mots crus du mien.
Bref, on se chauffe bien et on se dit que quand elle viendra 10 jours en juillet, on se verra et ça sera chaud.
Une fois arrivé à Paris, elle fait un peu la timide, ça semble compliqué de se voir. J’insiste. Lourdement.
Elle a finalement un créneau, le lundi 17 juillet. Son père doit aller chez le dermato. Il laisse innocemment femme et enfant à Créteil Soleil à 15 heures pour une belle après-midi shopping.
Il passera à 18 heures.
Je pars de Paris centre à 14h15 en Autolib.
Je vous passe mes déboires sur la route, les erreurs du GPS, je parviens enfin à me garer à 14h55.
Première impression de Créteil Soleil, c’est pas So Ouest putain. C’est vieux et moche.
Je profite de ma petite avance pour faire un tour du centre commercial avec pour objectif de trouver un endroit calme pour fourrer ma réunionnaise comme elle le mérite.
Je suis assez surpris de trouver un centre commercial bien plein un lundi à 15 heures. Des jeunes en juillet c’est compréhensible, mais des familles au grand complet

Moi qui pensais trouver le truc quasi désert…
Je pars donc en repérage en suivant les panneaux « Toilettes » du 1er étage. En arrivant, surprise, ya la queue

Je passe la tête, je vois que les portes ne sont pas du tout isolantes. C’est clairement pas ici que je parviendrais à faire ma basse besogne.
En sortant, un flash dans ma tête quand je vois le logo « UGC ». Quoi de mieux qu’un cinéma pour s’adonner à des attouchement ?
Ça sera forcément plus tranquille qu’ici.
Ma douce arrive enfin, on se fait la bise. Elle se retourne, sa mère ne nous regarde pas, c’est bon, on s’embrasse sur la bouche

.
« ça te dit on va faire un tour au cinéma, on sera tranquille là-bas ! »
On doit passer par un parking pour y arriver. « J’espère qu’on va pas croiser mon père qui vient de nous déposer, il me tuerait ». Je la rassure. Je marche un peu devant elle au cas où.
On arrive au comptoir de l’UGC, je demande des places pour le film le plus ancien à l’affiche, dans l’espoir d’être seul dans la salle. Ça sera Baywatch.
Le film n’est que dans 20 minutes, on attend devant la salle. On s’embrasse fougueusement, je commence à bander fort et je sens que de son côté, ça monte bien.
Je l’amène entre le couloir et la salle, le sas où il fait noir. Je la plaque contre le mur, je fais passer ma main sous sa jupe et sa culotte, elle mouille à mort.
On commence à bien se chauffer mais madame a peur qu’on soit découvert, on ressort.
Dehors c’est plus calme mais on s’embrasse fort, on se chauffe, je lui claque le cul. On est seul dans les couloir, il y a des caméras, je soupçonne qu’on nous regarde.
Je lui propose de retourner dans le sas, trop exité. Elle ne veut pas, je la tire par le bras

.
Une fois dedans, avant même de recommencer à la toucher, un vieux sort de la salle et nous surprend. Au moment où l’on sort, l’homme de ménage débarque aussi alors qu’il reste 10 minutes de film, je pense qu’il nous avait vu.
Nous parvenons enfin à rentrer dans la salle pour la nouvelle séance. On se met tout en haut à gauche. Objectif affiché : être tranquille pour se toucher pendant la séance.
Les bandes annonces sont plus mauvaises les unes que les autres et à chaque publicité, elle souffle « vivement que les lumières s’éteignent ». Tout mon sang est dans mon boxer, je suis chaud bouillant.
C’est à ce moment-là qu’un couple et son gosse de 8 ans rentrent dans la salle. Dans ma tête je les supplie d’aller loin de nous et de notre espace d’intimité. Mais non, en bon beaufs qu’ils sont, ils viennent se foutre la rangée devant nous, le gosse est à 2 sièges de moi. C’est comme les connards sur la plage qui viennent te coller.
Le film commence enfin, c’est affligeant de bêtise. Je reconnais Venice Beach. Je dis à ma coquine pour l’impressionner : « j’y suis déjà allé, c’est super cool comme endroit, c’est près de LA ». Elle s’en branle complétement.
Pendant qu’un gros se coince la bite entre 2 planches d’un sommier (dans le film), je lui plote les seins et elle me dégrafe ma ceinture.
Ma bite me dit « putain faut qu’elle te suce », mais je vois le gosse devant moi et je sais que c’est une très mauvaise idée.
Du coup, reviens comme un boomerang l’idée des toilettes. Je lui glisse à l’oreille « je vais aux toilettes des hommes, une fois que jy suis, je t’envoie un message pour te dire dans laquelle je suis et tu me rejoins ».
Je sors de la salle, monte d’un étage. Et là le graal, je vois des toilettes handicapés ! Un grand espace et une porte qui se ferme parfaitement

Elle me rejoint. La musique est à fond là-dedans (la chaleur aussi), ça couvrira le bruit quand je lui claque le cul.
Un peu de pisse par terre, mais je suis plus à ça prêt, on se déshabille, tout en s’embrassant et se caressant. Putain ça y est on y est. Des mois que j’attendais ça ! Je lui bouffe ses tétons marrons.
Par message elle me chauffait à base de « j’ai trop envie de te sucer, je me l’enfoncerai au fond de la gorge. Si j’y arrive pas, tu m’appuieras sur la tête ». Je lui demande donc de me sucer et là elle hésite, elle a pas envie

J’insiste, elle finit par descendre, elle fait 2 allers retours et se relève, la bouche baveuse, en me disant « je sens que je le fais mal ». Je pense surtout qu’elle n’avait jamais sucer personne. Choqué et déçu.

Je me prépare à la baiser, elle me dit « vazi sans capote »
moi :

. Ah tu prends la pillule ?
Elle : « non »
moi :

.
J’enfile le préservatif, et je la fourre tant bien que mal. Elle a mal au début. Too big ©
Et ça finit par bien coulisser et elle gémit bien.
Par 3 fois, des gens tentent d’ouvrir la porte de notre petit lieu d’amour. J’imagine la sécurité ou un handicapé qui se retient. Ça me fait légèrement débander sur le coup, mais ensuite je repars de plus belle.
Au moment où j’ai envie de terminer, je n’ose lui demander de le faire dans sa bouche, vu la tristesse de la pipe 20 minutes avant. Je décide de jouir sur ses seins. Je suis en mode Peter North, ça part comme jamais (1 semaine que j’avais rien fait).
La petite hallucine, ça lui coule de partout. Le temps de d’essuyer, je vois qu’il est 17h51. Wow le padre va pas tarder.
On se rhabille en speed.
Elle prend son téléphone. Son mec lui a envoyé un sms « pas de nouvelles, c’est pas cool… ». Elle répond puis va se prendre une bouteille d’eau.
J’ai le temps de jeter un coup d’œil à son tel

On rejoint le centre commercial, son père est dans les bouchons, elle a 20 minutes de rab. Elle me propose d’aller à la fnac acheter ses livres pour sa rentrée des classes

Je suis plus distant qu’auparavant, j’ai envie de rentrer chez moi. « Je comprends pas, tu as l’air pressé de rentrer »
- non c’est pas ça, c’est juste que j’ai beaucoup de transports, 1h10 jusqu’à chez moi . je peux pas rentrer trop tard.
18h30, sms de sa mère, elle attend devant Camaieu. On se cache pour un dernier baiser. Je lui dis « a dans 3 ans ».
On part, chacun se retourne pour un dernier regard mi-amusé mi-complice.
C’est le moment de reprendre la ligne 8, de quitter surement à jamais Créteil Soleil, le coeur lourd et les couilles vides.