Son tour arrivera bientôt t'inquiète pas

Putain j'espère qu'il va pas falloir se taper Thierry Adam seul aux commentaires sinon c'est un scandale

RIP Laurent.

Un point

Putain j'espère qu'il va pas falloir se taper Thierry Adam seul aux commentaires sinon c'est un scandale

RIP Laurent.

RENDEZ NOUS PATRICK CHENE ET BERNARD THEVENET !! :ANGRUY:©

Rien ne vaut Robert Chapatte, tu pouvais sentir l'anisette à travers ton poste.

Au revoir Mr Fignon, dernier vainqueur français du Tour et une de mes idoles quand j'étais gamin

C'est Hinault en 1985

RENDEZ NOUS PATRICK CHENE ET BERNARD THEVENET !! :ANGRUY:©

Prudhomme/Thévenet c'était bien aussi
Ah, jeunesse

Faudrait peut-être aussi se souvenir qu'il a failli y passer à 24 ans

Je parlais du Tour d'Italie :mauvaisefoi:
De toute façon, je lui compte le Tour où il finit à 8s, Lemond était déjà à l'EPO

L'arrêt de carrière du blaireau est tellement lointaine que je l'avais oublié

Et que depuis il a gagné 7 tours d'une seule jambe couille

Et que depuis il a gagné 7 tours d'une seule jambe


Fignon aussi

Je parlais du Tour d'Italie :mauvaisefoi:
De toute façon, je lui compte le Tour où il finit à 8s, Lemond était déjà à l'EPO

L'arrêt de carrière du blaireau est tellement lointaine que je l'avais oublié

Michael Douglas dit avoir un cancer à un stade avancé

LOS ANGELES (Reuters) - L'acteur américain Michael Douglas a confié mardi souffrir d'un cancer de la gorge à un stade avancé mais s'est à nouveau dit optimiste quant à sa guérison. Interrogé lors de l'émission télévisée Late Show de David Letterman, l'acteur, qui est âgé de 65 ans, a indiqué que la maladie en était au stade IV. Selon le corps médical, le stade IV signifie que les métastases se sont répandues bien au-delà de la tumeur d'origine et que la maladie est généralement incurable. "Les pourcentages sont bons", a toutefois déclaré le fils de Kirk Douglas et mari de Catherine Zeta Jones. "Il semble que ce soit 80% et avec certains hôpitaux et tout ça, cela s'améliore vraiment". Michael Douglas a expliqué que sa maladie était principalement due à l'alcool et au tabac.

Catherine j'arrive

Catherine Deneuve.

RIP Michael Douglas.

Catherine Ringer.

Un monstre du cinéma français qui vient de mourir.

Faudra éviter d'utiliser la même expression quand Ribéry nous quittera.

Monstre du cinéma ?

http://coupe-du-monde.tf1.fr/928/video/fra...6u1_2o1ih_.html

:Acteurstudio:

Putain j'ai eu peur, j'ai cru que c'était Laurent Cabrol de la famille en or

Décès de l'ancien chanteur de Kassav

L'ancien chanteur de Kassav, Patrick Saint-Eloi, est mort à l'âge de 52 ans, indique samedi le site de RFO. Selon RFO, "PSE" était malade depuis longtemps. Star en Guadeloupe, il a connu le succès avec Kassav, dont les albums ont touché un large public entre la fin des années 1980 et le milieu des années 1990. Patrick Saint-Eloi avait ensuite entamé une carrière solo.

Georges Charpak, Prix Nobel de physique, est mort
LEMONDE.FR | 30.09.10 | 07h32

Georges Charpak, Prix Nobel de physique en 1992, est mort mercredi 29 septembre à Paris, dans sa 87e année, selon un avis publié dans la rubrique Carnet du Figaro. L'œuvre de Georges Charpak a été consacrée à la physique nucléaire puis à la physique des particules de haute énergie, pour lesquelles les détecteurs qu'il a conçus se sont substitués universellement à ceux qui les avaient précédés.

Né à Dabrovica, en Ukraine, alors polonaise, le 1er août 1924, ancien élève de l'Ecole des mines de Paris, Georges Charpak s'était engagé durant la seconde guerre mondiale dans la Résistance. En 1943, il avait connu la captivité au camp de concentration de Dachau. Il travaille de 1948 à 1955 au laboratoire de chimie nucléaire du Collège de France dirigé alors par Frédéric Joliot. Il obtient son doctorat ès sciences en 1955.

LE MONDE "ABSOLUMENT MYSTÉRIEUX" DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES

Détaché en 1959 au laboratoire synchrocyclotron du CERN (laboratoire européen pour la physique des particules), il y devient physicien permanent en 1963 et y reste jusqu'en 1989. C'est à cette époque qu'il conçoit le détecteur de particules qui lui vaudra son prix Nobel, la "chambre proportionnelle multifils".

"On touchait à un monde qui était absolument mystérieux, le monde des particules élémentaires", explique le physicien peu après l'annonce du lauréat du Nobel 1992. "J'avais une envie folle de faire un détecteur aussi bien que [la chambre à bulles, l'appareil utilisé à l'époque]. Celui-là, il était mille fois trop lent..."

Dans son laboratoire, il bricole un appareil que, très vite, il sent beaucoup plus performant que les dispositifs existants. Le physicien ne s'arrêtera pas là et inventera plusieurs détecteurs de particules dans les années suivantes. "J'en ai fait d'autres beaucoup plus amusants, mais je n'aurais pas eu le prix Nobel : ils avaient des applications beaucoup moins importantes", explique-t-il.

M. Charpak était titulaire, depuis 1984, de la chaire Joliot-Curie à l'Ecole supérieure de physique et de chimie de Paris. Il s'est investi en 1996 dans La Main à la pâte, un programme destiné à enseigner la science de manière ludique.

Comment Arthur Penn vécut, comment il est mort

Il avait changé l’histoire du cinéma avec «Bonnie and Clyde»; le père de «Little Big Man» s’en est allé mardi, à l’âge de 88 ans

«Vous avez lu l’histoire de Jesse James?» demandait la chanson de Gainsbourg. Et celle de Billy The Kid incarné par Paul Newman dans Le Gaucher (1958)? Ça vous a plu, hein? Et vous avez aimé Miracle en Alabama avec Anne Bancroft (1962), cette histoire d’une petite fille de 7 ans privée de la vue, de l’ouïe et de la parole suite à une maladie? Et vous en avez demandé encore après La Poursuite impitoyable (The Chase, 1966) où Robert Red­ford affrontait Marlon Brando? Et après Bonnie and Clyde (1967) qui racontait en filigrane l’histoire d’un couple dont l’homme est impuissant (avec Warren Beatty, il fallait oser)? Et après Alice’s Restaurant (1969), cet hymne hippie? Et après Little Big Man (1970) où Dustin Hoffman devenait soudain le plus grand acteur (comique) du monde?

Mais connaissiez-vous l’auteur, presque toujours scénariste et réalisateur, de tous ces chefs-d’œuvre (ainsi que d’autres, plus tardifs, comme le western Missouri Breaks ou le mélo Georgia dont nos mouchoirs sont encore humides)? Eh bien lisez l’histoire d’Arthur Penn, comment il vécut, et comment il est mort mardi à l’âge de 88 ans sur l’île de Manhattan.

Alors voilà. Arthur était né le 22 septembre 1922 à Philadelphie, Pennsylvanie. Il était le frère cadet du grand photographe Irving Penn, décédé l’an dernier et auquel le Musée de l’Elysée à Lausanne consacrera une exposition à partir du 9 octobre. Arthur formait également un des couples les plus tenaces de l’histoire du cinéma, avec l’actrice Peggy Maurer, qui lui survit et qu’il avait épousée en 1955, juste après l’avoir rencontrée sur ses toutes premières réalisations à l’enseigne du show The Philco-Good­year Television Play­house de la chaîne NBC.

Arthur Penn était donc un homme fidèle. A ses amours comme à ses principes. C’était un gars loyal, honnête et droit. Mais il faut croire que c’est la société (du moins l’industrie du cinéma dès la fin des années 1970 et l’avènement d’un cinéma pour teen-agers qui n’était pas fait pour lui) qui l’a définitivement abîmé. Qu’est-ce qu’on n’avait pas écrit sur lui, dans les milieux conservateurs des Etats-Unis, après Bonnie and Clyde et l’onde de choc de son exécution finale (aussi importants pour la révolution du cinéma américain que l’Easy Rider de Dennis Hopper un an plus tard). On a prétendu qu’il filmait de sang-froid. Au point de ne pas trouver drôle sa manière de voir la naissance de son pays, dans la farce Little Big Man ou à travers le cow-boy d’opérette incarné par Brando dans Missouri Breaks (1976). Et de trouver franchement aigre ce trouble-fête qui venait dire la dérive angoissante de son pays dans la guerre du Vietnam (La Fugue, Night Moves , 1975). Et l’industrie a été bien obligée, comme toujours dans ces cas-là, de faire taire celui qui se met à gueuler.

A partir des années 1980, Arthur Penn n’a plus guère eu l’occasion de s’exprimer, lui qui n’hésitait par exemple pas à dire, même après avoir travaillé avec Marlon Brando ou Dustin Hoffman, même après avoir permis à des poignées de comédiens d’être nominés ou primés aux Oscars, que Lee Strasberg, «avec sa merde d’Actor’s Studio, avait ruiné des générations d’acteurs». Un film ou deux on le laissa encore tourner. Trois à la limite. Puis au placard, à la télévision, tout juste bon pour bâiller en producteur exécutif de séries comme Law & Order. Plus personne ne voulait qu’à chaque fois qu’un policeman se ferait buter sur grand écran, qu’un garage ou qu’une banque se ferait braquer, ça ne fasse pas de mystère: ce serait signé Arthur Penn.

Depuis lors, après seulement dix films, douze à peine, en cinquante ans de carrière, à chaque fois qu’on le croyait rangé, installé tranquille dans un meublé de New York, le voilà, tac tac tac, qui revenait à l’attaque de nos souvenirs. En 1998, en direct sur Canal + pendant le Festival de Cannes, un présentateur perspicace l’avait reconnu marchant seul et oublié sur le trottoir d’en face, l’homme-tronc l’avait hélé pour lui demander pourquoi il ne faisait plus de films et Arthur Penn lui avait répondu à peu près ceci, qu’il répétait souvent depuis le début des années 1980: «Le cinéma a changé: il y a aujourd’hui de formidables raconteurs d’histoires comme Spielberg qui font des films bénins au succès énorme. Moi, je suis connu surtout pour faire des films sur des gens qui se tirent dessus et s’étripent. J’aime mon métier, mais je ne pourrais jamais fabriquer ce qui se fait aujourd’hui.»

Et, comme il fallait bien qu’un de ces quatre nous retombions sur Arthur Penn, ce fut à Lyon l’an dernier. Il s’était mis à la photographie depuis un certain temps et exposait, dans le cadre du 1er Festival Lumière, des images qu’il avait consacrées à la ville de Lyon. Des images fragiles dont on ressortait tremblant. Celles d’un homme qui ne pouvait plus s’en sortir. C’était il y a un an exactement. Et il devait alors être hospitalisé pour une première pneumonie à 87 ans. Plus d’un cinéphile le suivra au paradis.

L'acteur Tony Curtis est mort

L'acteur américain est décédé à l'âge de 85 ans.


L'acteur américain Tony Curtis, célèbre pour ses rôles au cinéma dans les années 50 et 60 (Certains l'aiment chaud de Billy Wilder), est décédé ce jeudi 30 septembre 2010 à l'âge de 85 ans

RIP Tante Rachel de PBLV, Colette Renard est morte...

Gérard Vivès victime d’un grave accident sur le Juste Prix

Gérard Vivès, qui co-anime l’émission Le Juste Prix aux côtés de Vincent Lagaf’, se trouve dans un état critique après un accident qui s’est produit sur le plateau de tournage.

C’est une mauvaise blague qui aurait mal, très mal tourné selon un témoin qui s’est confié à nos confrères de 20minutes.fr. Vincent Lagaf’ aurait voulu s’amuser en accrochant Gérard Vivès à une pelle mécanique et en le montant à trois mètres du sol. « Il était balancé de droite à gauche puis l’élingue a lâché », raconte ce spectateur qui était venu assister à l’enregistrement de l’émission. L’animateur serait tombé lourdement sur la tête, « avec un bruit sourd », précise le témoin ajoutant qu’il « y avait du sang ». « L’équipe du plateau s’est pressée autour de Gérard Vivès pour mettre un drap autour de lui, le protéger du regard des spectateurs » lesquels auraient rapidement été évacués de la salle.

TF1 a confirmé au site Internet qu’un accident s’était effectivement produit mais que Gérard Vivès avait repris connaissance peu de temps après sa chute. L’inquiétude règne cependant puisque TF1 n’a pas été en mesure de donner des nouvelles rassurantes de la santé de l’animateur qui a été aussitôt transporté à l’hôpital.

Nous vous tiendrons bien évidemment informés de l’évolution de l’état de Gérard Vivès, acteur que le grand public avait découvert dans son rôle du musculeux Gérard dans la sitcom Les filles d’à côté.