Evolution de tous les maillots de ce mondial, avec l'historique des anciens tournois
https://www.theguardian.com/football/ng-int...hrough-the-ages
Encore un gros taf du Guardian
Version complète : Coupe du Monde FIFA 2018
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Citation (Nemeto @ 12/06/2018 15:11) 
Encore un gros taf du Guardian
Si on pouvait avoir un guardian de ce niveau à la coupe du monde
C'est là que tu vois que les plus beaux maillots sont ceux des années 90 
Citation (nappy @ 12/06/2018 15:29)
C'est là que tu vois que les plus beaux maillots sont ceux des années 90
Niveau motif? Non parce que les manches courtes qui recouvrent jusqu'aux coudes c'était visuellement degueulasse. Alors y'a sûrement un juste milieu avec le "près du corps" d'aujourd'hui mais on est dans une autre dimension visuelle.
Citation (nappy @ 12/06/2018 15:29)
C'est là que tu vois que les plus beaux maillots sont ceux des années 90
Il y avait un minimum de créativité et différence, aujourd'hui ils se ressemblent tous, sont souvent dégueulasse et coûtent une putain de blinde.
https://twitter.com/Jaimefmacias/status/1006523997813690369
— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011
On n'est pas un pays de football© mais il y a un paquet de français en Russie.
Les deux maillots du Mexique 98
Citation (nappy @ 12/06/2018 15:29)
C'est là que tu vois que les plus beaux maillots sont ceux des années 90
Le maillot de l'Allemagne en 1990 m'a beaucoup marqué ! Je le trouvais si joli
Citation (becker19 @ 12/06/2018 23:26)
Le maillot de l'Allemagne en 1990 m'a beaucoup marqué ! Je le trouvais si joli
Moi c'est toute la CDM 90 qui m'a marqué, ma 1ere
Citation (becker19 @ 12/06/2018 23:26)
Le maillot de l'Allemagne en 1990 m'a beaucoup marqué ! Je le trouvais si joli
Ce maillot, ce mondial
Mon premier mondial réellement vécu en plus j'étais la bas, Milla et le Cameroun dès l'ouverture, la haine de Naples pour l'Italie et le parti pris pour Maradona, Toto Schillaci, RFA/Hollande, les larmes camerounaises et italiennes
C’était à ce point là les napolitains vs le reste de l’Italie ?
Citation (Le Trépied @ 13/06/2018 00:07)
C’était à ce point là les napolitains vs le reste de l’Italie ?
Si y'a un résumé sur Youtube, regarde juste le début avec les équipes montrées à la télévision. Quand Maradonna lève les mains pour saluer le San Paolo, ce vacarme...
Citation (Le Trépied @ 13/06/2018 00:07)
C’était à ce point là les napolitains vs le reste de l’Italie ?
Lors de ce mondial Naples était Argentine et le reste de la botte anti Argentine de Maradona et son Napoli après c'était partagé et c'était quand même leur nation mais c'était lourd, spécial et très pesant.
Citation
ITALIE-ARGENTINE 90, LE JOUR OÙ DIEGO A DIVISÉ NAPLES
Ce soir, l’Italie et l’Argentine s’affrontent à Rome, pour un match amical de luxe. L’occasion de faire un bond en arrière de 23 ans, pour remonter à une époque où le public du stadio San Paolo était tiraillé entre supporter l’Italie, ou supporter son idole.
Il y a des matchs, comme ça, que l’on oublie pas. Parce que le scénario est dingue. Parce qu’un but d’anthologie y est inscrit. Parce qu’un geste inoubliable y est réalisé. Le Italie-Argentine disputé lors du Mondial 90, en Italie, n’a rien de tout ça. Pas de scénario fou, pas de but mémorable. Pourtant, cette rencontre, 23 ans après, demeure l’un des moments forts de l’histoire des deux nations. Il faut d’abord se replacer dans le contexte. Nous sommes le 3 juillet 1990. L’Italie et l’Argentine s’affrontent en demi-finale de la Coupe du monde. La Nazionale arrive à cette demi-finale avec une stat impressionnante : elle n’a pas encaissé le moindre but depuis le début de la compétition. En face, c’est l’Argentine de Maradona, championne du Monde, qui se dresse face aux Azzurri. Le Pibe, capitaine de la sélection argentine, connaît mieux que quiconque son adversaire : voilà six saisons qu’il évolue à Naples, club dont il est devenu l’idole et avec lequel il a tout gagné : le Scudetto (1987 et 1990), la Coupe d’Italie (1987) et la Coupe UEFA (1989). Évidemment, comme si cela avait été fait exprès, le match se dispute au stadio San Paolo de Naples. Là où, deux mois plus tôt, Maradona a remporté son deuxième sacre national avec le Napoli, laissant la ville dans un état de joie et d’allégresse exceptionnel. Mais en ce 3 juillet 1990, Diego est dans le camp adverse. Il est l’ennemi. Vraiment ?
Nord et Sud
Lors de cette Coupe du monde italienne, tous les stades sont contre l’Argentine. Lors du match inaugural, perdu par les Argentins face au Cameroun, le stadio San Siro n’a cessé de siffler les joueurs au maillot bleu et blanc. Mais le stadio San Paolo n’est pas un stade comme les autres. Car depuis 1984, Maradona en a fait son stade, sa demeure. Et le numéro 10 n’hésite pas à le rappeler à tous, juste avant le début de la rencontre, histoire de semer le troubler. « Amis napolitains, pendant 364 jours par an, vous êtes considérés comme des étrangers dans votre propre pays. Aujourd’hui, vous devez faire ce qu’ils veulent que vous fassiez, en supportant l’équipe d’Italie. À l’inverse, moi, je suis napolitain pendant 365 jours par an » affirme-t-il. Un message qu’il faut tout de même décrypter. Naples est une ville du Sud de l’Italie. Or, on le sait, en Italie, les relations entre le Nord du pays et le Sud ne sont pas toujours excellentes. Pour faire concis (et un peu réducteur), les gens du Nord sont les riches, la clase sociale supérieure, tandis que ceux du Sud sont les pauvres, souvent traités de « paysans » .
Au cours de ses années à Naples, Maradona a vite assimilé cette différenciation. Il s’est posé en porte-étendard de Naples, et les Napolitains lui sont reconnaissants pour avoir emmené le Napoli au sommet de l’Italie, faisant ainsi la part-belle aux grandes puissances du Nord. « Je me sens plus napolitain qu’italien » nous avait affirmé Paolo Cannavaro, capitaine du Napoli, lors d’une interview accordée en 2011. Ce sentiment est évidemment partagé par une grande partie des habitants de Naples. Voilà pourquoi, à quelques heures du coup d’envoi de cette demi-finale, le public du San Paolo est encore tiraillé. D’un côté, il y a une potentielle finale de Coupe du monde pour la Squadra Azzurra, qui deviendrait ainsi la nation la plus titrée de l’histoire (à ce moment là, elle est égalité avec le Brésil, avec trois sacres). De l’autre, il y a Diego. Diego qui a déjà remporté le Mondial 1986, et qui rêverait d’en remporter une deuxième d’affilée. D’autant plus sur les terres de son pays d’adoption.
Invincibilité brisée
3 juillet, donc. 19h50. Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse. Pas de sifflets pour l’Argentine, contrairement à ce qui s’était produit sur toutes les autres pelouses de la pelouse. Diego pénètre dans son antre. Il est accueilli par une belle banderole déployée dans la Curva. « Maradona, Naples t’aime, mais l’Italie est notre pays » . Le choix est fait. Le San Paolo a, quelque part, écouté l’appel des joueurs de la Nazionale. « Ce n’est pas vrai que la ville de Maradona est discriminée par rapport au reste de l’Italie. Les fans n’ont pas besoin de le supporter » avait affirmé Toto Schillaci, qui sait de quoi il parle puisqu’il est né à Palerme, et qu’il joue à ce moment là à la Juventus. Pourtant, malgré la bannière, les tifosi partenopei ne peuvent pas s’empêcher de s’émerveiller à chaque « giocata » , chaque dribble de Diego. Le stade est derrière l’équipe d’Italie, mais, pour la première fois dans cette compétition, l’équipe d’Argentine est traitée avec respect. Et le match, dans tout ça ? Il va être dramatique, au sens premier du terme. L’Italie ouvre rapidement le score par l’inévitable Schillaci. La rencontre est intense, beaucoup de contacts, pas mal de fautes. Au fur et à mesure de la partie, Maradona monte en puissance. À la fin du match, la presse locale affirmera qu’il a disputé là la meilleure prestation de son tournoi. Finalement, à la 67e minute, l’Argentine brise l’invincibilité de Walter Zenga, et parvient à égaliser par Claudio Caniggia. 1-1. Prolongations.
L’Argentine se retrouve à 10 après l’expulsion de Giusti, mais tient bon. L’Italie ne parvient pas à faire sauter le verrou, et il faut s’en remettre à la loterie des tirs au but. Baresi, Baggio et De Agostini ne flanchent pas côté italien, Serrizuela, Burruchaga et Olarticoechea non plus. 3-3 après trois tirs. Donadoni s’élance mais Goycoechea, le portier argentin, détourne magnifiquement la tentative. Le quatrième tireur argentin s’avance. C’est Diego Maradona. Un sentiment inexplicable s’empare de la Curva napolitaine. Depuis six ans, ils vouent un culte sans faille à ce joueur. Ce même joueur qui a désormais l’occasion d’éliminer l’Italie. Des sifflets presque incontrôlées arrivent des tribunes. Mais l’émotion ne submerge pas Diego, qui ajuste Zenga sans trembler. 4-3. Serena n’a pas les nerfs solides, et rate le dernier tir au but italien. L’Argentine est en finale. Les Italiens sont dévastés, le stade est quasiment muet. Maradona, lui, est en transe. Chez lui. L’Argentine s’inclinera quelques jours plus tard en finale contre l’Allemagne. Et Diego quittera Naples un an plus tard. 23 ans plus tard, il demeure toujours le joueur le plus aimé de l’histoire du club. Et peu importe ce 3 juillet 1990...
Ce soir, l’Italie et l’Argentine s’affrontent à Rome, pour un match amical de luxe. L’occasion de faire un bond en arrière de 23 ans, pour remonter à une époque où le public du stadio San Paolo était tiraillé entre supporter l’Italie, ou supporter son idole.
Il y a des matchs, comme ça, que l’on oublie pas. Parce que le scénario est dingue. Parce qu’un but d’anthologie y est inscrit. Parce qu’un geste inoubliable y est réalisé. Le Italie-Argentine disputé lors du Mondial 90, en Italie, n’a rien de tout ça. Pas de scénario fou, pas de but mémorable. Pourtant, cette rencontre, 23 ans après, demeure l’un des moments forts de l’histoire des deux nations. Il faut d’abord se replacer dans le contexte. Nous sommes le 3 juillet 1990. L’Italie et l’Argentine s’affrontent en demi-finale de la Coupe du monde. La Nazionale arrive à cette demi-finale avec une stat impressionnante : elle n’a pas encaissé le moindre but depuis le début de la compétition. En face, c’est l’Argentine de Maradona, championne du Monde, qui se dresse face aux Azzurri. Le Pibe, capitaine de la sélection argentine, connaît mieux que quiconque son adversaire : voilà six saisons qu’il évolue à Naples, club dont il est devenu l’idole et avec lequel il a tout gagné : le Scudetto (1987 et 1990), la Coupe d’Italie (1987) et la Coupe UEFA (1989). Évidemment, comme si cela avait été fait exprès, le match se dispute au stadio San Paolo de Naples. Là où, deux mois plus tôt, Maradona a remporté son deuxième sacre national avec le Napoli, laissant la ville dans un état de joie et d’allégresse exceptionnel. Mais en ce 3 juillet 1990, Diego est dans le camp adverse. Il est l’ennemi. Vraiment ?
Nord et Sud
Lors de cette Coupe du monde italienne, tous les stades sont contre l’Argentine. Lors du match inaugural, perdu par les Argentins face au Cameroun, le stadio San Siro n’a cessé de siffler les joueurs au maillot bleu et blanc. Mais le stadio San Paolo n’est pas un stade comme les autres. Car depuis 1984, Maradona en a fait son stade, sa demeure. Et le numéro 10 n’hésite pas à le rappeler à tous, juste avant le début de la rencontre, histoire de semer le troubler. « Amis napolitains, pendant 364 jours par an, vous êtes considérés comme des étrangers dans votre propre pays. Aujourd’hui, vous devez faire ce qu’ils veulent que vous fassiez, en supportant l’équipe d’Italie. À l’inverse, moi, je suis napolitain pendant 365 jours par an » affirme-t-il. Un message qu’il faut tout de même décrypter. Naples est une ville du Sud de l’Italie. Or, on le sait, en Italie, les relations entre le Nord du pays et le Sud ne sont pas toujours excellentes. Pour faire concis (et un peu réducteur), les gens du Nord sont les riches, la clase sociale supérieure, tandis que ceux du Sud sont les pauvres, souvent traités de « paysans » .
Au cours de ses années à Naples, Maradona a vite assimilé cette différenciation. Il s’est posé en porte-étendard de Naples, et les Napolitains lui sont reconnaissants pour avoir emmené le Napoli au sommet de l’Italie, faisant ainsi la part-belle aux grandes puissances du Nord. « Je me sens plus napolitain qu’italien » nous avait affirmé Paolo Cannavaro, capitaine du Napoli, lors d’une interview accordée en 2011. Ce sentiment est évidemment partagé par une grande partie des habitants de Naples. Voilà pourquoi, à quelques heures du coup d’envoi de cette demi-finale, le public du San Paolo est encore tiraillé. D’un côté, il y a une potentielle finale de Coupe du monde pour la Squadra Azzurra, qui deviendrait ainsi la nation la plus titrée de l’histoire (à ce moment là, elle est égalité avec le Brésil, avec trois sacres). De l’autre, il y a Diego. Diego qui a déjà remporté le Mondial 1986, et qui rêverait d’en remporter une deuxième d’affilée. D’autant plus sur les terres de son pays d’adoption.
Invincibilité brisée
3 juillet, donc. 19h50. Les deux équipes font leur entrée sur la pelouse. Pas de sifflets pour l’Argentine, contrairement à ce qui s’était produit sur toutes les autres pelouses de la pelouse. Diego pénètre dans son antre. Il est accueilli par une belle banderole déployée dans la Curva. « Maradona, Naples t’aime, mais l’Italie est notre pays » . Le choix est fait. Le San Paolo a, quelque part, écouté l’appel des joueurs de la Nazionale. « Ce n’est pas vrai que la ville de Maradona est discriminée par rapport au reste de l’Italie. Les fans n’ont pas besoin de le supporter » avait affirmé Toto Schillaci, qui sait de quoi il parle puisqu’il est né à Palerme, et qu’il joue à ce moment là à la Juventus. Pourtant, malgré la bannière, les tifosi partenopei ne peuvent pas s’empêcher de s’émerveiller à chaque « giocata » , chaque dribble de Diego. Le stade est derrière l’équipe d’Italie, mais, pour la première fois dans cette compétition, l’équipe d’Argentine est traitée avec respect. Et le match, dans tout ça ? Il va être dramatique, au sens premier du terme. L’Italie ouvre rapidement le score par l’inévitable Schillaci. La rencontre est intense, beaucoup de contacts, pas mal de fautes. Au fur et à mesure de la partie, Maradona monte en puissance. À la fin du match, la presse locale affirmera qu’il a disputé là la meilleure prestation de son tournoi. Finalement, à la 67e minute, l’Argentine brise l’invincibilité de Walter Zenga, et parvient à égaliser par Claudio Caniggia. 1-1. Prolongations.
L’Argentine se retrouve à 10 après l’expulsion de Giusti, mais tient bon. L’Italie ne parvient pas à faire sauter le verrou, et il faut s’en remettre à la loterie des tirs au but. Baresi, Baggio et De Agostini ne flanchent pas côté italien, Serrizuela, Burruchaga et Olarticoechea non plus. 3-3 après trois tirs. Donadoni s’élance mais Goycoechea, le portier argentin, détourne magnifiquement la tentative. Le quatrième tireur argentin s’avance. C’est Diego Maradona. Un sentiment inexplicable s’empare de la Curva napolitaine. Depuis six ans, ils vouent un culte sans faille à ce joueur. Ce même joueur qui a désormais l’occasion d’éliminer l’Italie. Des sifflets presque incontrôlées arrivent des tribunes. Mais l’émotion ne submerge pas Diego, qui ajuste Zenga sans trembler. 4-3. Serena n’a pas les nerfs solides, et rate le dernier tir au but italien. L’Argentine est en finale. Les Italiens sont dévastés, le stade est quasiment muet. Maradona, lui, est en transe. Chez lui. L’Argentine s’inclinera quelques jours plus tard en finale contre l’Allemagne. Et Diego quittera Naples un an plus tard. 23 ans plus tard, il demeure toujours le joueur le plus aimé de l’histoire du club. Et peu importe ce 3 juillet 1990...
Merci pour l’article Tonio.
Niveau football par contre on s'est quand même fait excessivement chier en 90. Il n'y a eu que ce bon Roger Milla et le Cameroun pour donner un peu de vie et d'émotion à ce mondial bien terne.
Citation (Jaxx @ 13/06/2018 00:32)
Niveau football par contre on s'est quand même fait excessivement chier en 90. Il n'y a eu que ce bon Roger Milla et le Cameroun pour donner un peu de vie et d'émotion à ce mondial bien terne.
À l'image de la finale ouais, l'Angleterre aussi m'avait bien plu mais que d'émotion malgré tout, en 94 aussi c'était bof bof mais bon c'était le début d'un nouveau foot après les folles et magnifique de jeu années 70/80.
Citation (Mackay @ 13/06/2018 00:03)
Moi c'est tout la CDM 90 qui m'a marqué, ma 1ere
Idem, j'avais 9 ans et j'ai pleuré comme une madelaine en voyant l'argentine de maradona perdre, j'etais à fond pour Diego
J'ai l'impression d'avoir vu des drapeaux italiens 
Citation (Kev' @ 13/06/2018 08:27)
Donc ca c'est la chanson off de la CDM ?
J'ai pas l'impression que la CDM commence bientot en faite, pas clip off de la CDM balance 25 fois par jour par TF1 , pas 20 reportage par jours ... ou alors je passe a coté
Citation (Rene Boisrond @ 13/06/2018 09:47)
Donc ca c'est la chanson off de la CDM ?
J'ai pas l'impression que la CDM commence bientot en faite, pas clip off de la CDM balance 25 fois par jour par TF1 , pas 20 reportage par jours ... ou alors je passe a coté
J'ai pas l'impression que la CDM commence bientot en faite, pas clip off de la CDM balance 25 fois par jour par TF1 , pas 20 reportage par jours ... ou alors je passe a coté
Tu as raté le matraquage France 98 ?
Rien voulu regarder mais chaque soir tu as un reportage, un documentaire, un match bidon hier soir...
Citation (Rjay @ 13/06/2018 09:48)
Tu as raté le matraquage France 98 ?
Rien voulu regarder mais chaque soir tu as un reportage, un documentaire, un match bidon hier soir...
Rien voulu regarder mais chaque soir tu as un reportage, un documentaire, un match bidon hier soir...
Quasiment rien vu non plus bon après je mate peu la télé et absolument jamais TF1 mais quand même on a connu plus grosse sensibilisation.
Citation (Rjay @ 13/06/2018 09:48)
Tu as raté le matraquage France 98 ?
Rien voulu regarder mais chaque soir tu as un reportage, un documentaire, un match bidon hier soir...
Rien voulu regarder mais chaque soir tu as un reportage, un documentaire, un match bidon hier soir...
C'est vrai que c'est lourd. Ok c'est les 20 ans, ça fait des souvenirs, mais se palucher sur un vieux résultat ça fait penser à un certain club...
Citation (Rene Boisrond @ 13/06/2018 09:47)
Donc ca c'est la chanson off de la CDM ?
J'ai pas l'impression que la CDM commence bientot en faite, pas clip off de la CDM balance 25 fois par jour par TF1 , pas 20 reportage par jours ... ou alors je passe a coté
J'ai pas l'impression que la CDM commence bientot en faite, pas clip off de la CDM balance 25 fois par jour par TF1 , pas 20 reportage par jours ... ou alors je passe a coté
Attends le vrai hymne est arrivé
https://www.youtube.com/watch?v=5xv-nL1JHY4...AYB9w6tboyivd6O
https://twitter.com/Guillaumemp/status/1006784211867619333
— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011
Quel club de putes aussi à annoncer ca la veille de la CDM.
C'est tellement con en plus, si l'Espagne se fait sortir en poule, elle va être belle la présentation aux médias
Citation (Houdini @ 13/06/2018 10:16)
https://twitter.com/Guillaumemp/status/1006784211867619333
— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011
florentino c'est un éléphant en balade au musée baccara, rien à cirer de personne
Citation (Houdini @ 13/06/2018 10:16)
https://twitter.com/Guillaumemp/status/1006784211867619333
— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011
Tout ça pour se faire dégager par Perez au bout de 6 mois et il aura tout perdu.
Selon Goldman Sachs, le Brésil gagne la CDM et nous élimine en demi.
Je n'ai lu que le début mais j'ai vite lâché vu l'austérité du doc.
http://www.goldmansachs.com/our-thinking/p...edia/report.pdf
Je n'ai lu que le début mais j'ai vite lâché vu l'austérité du doc.
http://www.goldmansachs.com/our-thinking/p...edia/report.pdf
Les joueurs se sont révoltes contre l'intention du licenciement, je demande l'intervention de la fifa, qu'ils soit disqualifiés et que le deuxième de la poule les remplace 
Citation (Verrattissimo @ 13/06/2018 11:56)
Les joueurs se sont révoltes contre l'intention du licenciement, je demande l'intervention de la fifa, qu'ils soit disqualifiés et que le deuxième de la poule les remplace
Il est viré
L'Espagne n'a plus de coach !!!
Citation (Ravié @ 13/06/2018 10:36)
Selon Goldman Sachs, le Brésil gagne la CDM et nous élimine en demi.
Je n'ai lu que le début mais j'ai vite lâché vu l'austérité du doc.
http://www.goldmansachs.com/our-thinking/p...edia/report.pdf
Je n'ai lu que le début mais j'ai vite lâché vu l'austérité du doc.
http://www.goldmansachs.com/our-thinking/p...edia/report.pdf
Non et puis vouloir appliquer des raisonnements scientifiques à un truc aussi imprévisible que le foot, ils ont vraiment rien d'autre à branler de leurs journées ? Avec le bonus "gros enculés" vu de qui ça vient.
Citation (Varino @ 13/06/2018 10:18)
Quel club de putes aussi à annoncer ca la veille de la CDM.
Je sais plus si je l'ai lu ici ou sur Twitter mais apparemment c'était pas prévu que ça sorte si tôt, ils ont été contraints de rusher l'annonce parce que la rumeur commençait à circuler au sein de la sélection. Mais après ouais, dans l'exécution c'est parfaitement raccord avec ce club.
ahahahhahahah à mourir, j'attend la reponse de tebas
Citation (Babou1 @ 13/06/2018 12:06)
Il est viré
C'est fou !
Vous voyez qui comme favori à la victoire finale ? Y a un concours de pronos dans ma boite, j'avais mis l'Espagne mais bon, je vais peut-être plutôt parier pour le Brésil...
Les espagnols doivent avoir une telle rage contre le Real
Citation (Babou1 @ 13/06/2018 12:06)
Il est viré
Bien joué le réal, ils vont pouvoir le récupérer plus tôt
Citation (florian @ 13/06/2018 12:14)
C'est fou !
Vous voyez qui comme favori à la victoire finale ? Y a un concours de pronos dans ma boite, j'avais mis l'Espagne mais bon, je vais peut-être plutôt parier pour le Brésil...
Vous voyez qui comme favori à la victoire finale ? Y a un concours de pronos dans ma boite, j'avais mis l'Espagne mais bon, je vais peut-être plutôt parier pour le Brésil...
Oui change de choix.
Citation (noa @ 13/06/2018 12:14)
Les espagnols doivent avoir une telle rage contre le Real
Ce qui serait beau, même si ça n'a aucune chance de se produire, ça serait que tous les joueurs du Real se retrouvent exclus du 11 de départ
Mais oui
En espérant que ça foute bien le bordel dans ce pays insupportable du foot et dans ce club de matuidi charo qu'est le réal.
Je retire tout ce que j'ai dis sur les portugais, détruisez-les
.
En espérant que ça foute bien le bordel dans ce pays insupportable du foot et dans ce club de matuidi charo qu'est le réal.
Je retire tout ce que j'ai dis sur les portugais, détruisez-les
.
Citation (florian @ 13/06/2018 12:14)
C'est fou !
Vous voyez qui comme favori à la victoire finale ? Y a un concours de pronos dans ma boite, j'avais mis l'Espagne mais bon, je vais peut-être plutôt parier pour le Brésil...
Vous voyez qui comme favori à la victoire finale ? Y a un concours de pronos dans ma boite, j'avais mis l'Espagne mais bon, je vais peut-être plutôt parier pour le Brésil...
Moi j'hésitais mais je vais mettre l'espagne vu qu'ils ont eu la lucidité de dégager le basque avant la compétition.
J'ai cru à une News d'un site à la Gorafi mais non c'est vrai
Qu'ils se plantent
Qu'ils se plantent
C'est complètement dingue. 
Le président de la fédé qui en fait une affaire personnelle et sabote sa sélection à 2 jours de leur premier match.
Espérons qu'ils se plantent en beauté.
Le président de la fédé qui en fait une affaire personnelle et sabote sa sélection à 2 jours de leur premier match.Espérons qu'ils se plantent en beauté.
Un blanchiment du PSG en plus dans la journée et je suis refait !
Citation (DIDI. @ 13/06/2018 12:27)
C'est complètement dingue. Le président de la fédé qui en fait une affaire personnelle et sabote sa sélection à 2 jours de leur premier match.
Espérons qu'ils se plantent en beauté.
Le président de la fédé qui en fait une affaire personnelle et sabote sa sélection à 2 jours de leur premier match.Espérons qu'ils se plantent en beauté.
En conférence le président il a déclaré qu'il a appris la nouvelle 5 minutes avant le twit, qu'il a demandé qui ne soit surtout pas publié pour éviter le scandale, mais le real il s'en foute donc voila le résultat, que W espana .......
Citation (DIDI. @ 13/06/2018 12:27)
C'est complètement dingue. Le président de la fédé qui en fait une affaire personnelle et sabote sa sélection à 2 jours de leur premier match.
Espérons qu'ils se plantent en beauté.
Le président de la fédé qui en fait une affaire personnelle et sabote sa sélection à 2 jours de leur premier match.Espérons qu'ils se plantent en beauté.
Je pense qu’on va surtout se rendre compte de l’inutilité du rôle du sélectionneur. Tu fous un GO, Piqué/Ramos pour motiver le tout et le talent fera quand même la diff.
J’espere me tromper mais je pense que cela ne changera que peu de chose.
Ca parle de Celades, entraineur des -21 ans, ou d'un Hierro-Celades pour le remplacer. Un favori qui vire son coach à 2 jours du premier match, c'est du jamais vu
Citation (Houdini @ 13/06/2018 12:32)
Je pense qu’on va surtout se rendre compte de l’inutilité du rôle du sélectionneur.
Pour les poules peut-être mais dès que ça va tomber contre des gros pays il faut quand même un minimum de préparation tactique.
Citation (Houdini @ 13/06/2018 12:32)
Tu fous un GO, Piqué/Ramos pour motiver le tout et le talent fera quand même la diff.
Ben là en l'occurrence les joueurs ont l'air plutôt opposés à la décision, pas sûr que l'ambiance soit aux castagnettes là.
Zizou
Sergio Ramos entraîneur-capitaine, la fils-de-puterie comme état d'esprit.
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