Parce que là on déclare d'autorité que c'est d'utilité publique, donc on fait ce qu'on veut. Mais tu décide ça comment ? Si dans 10 ans ça devient caduque avec les véhicules autonomes, on va mettre combien de temps à changer cet état de fait ?

Sinon à Londres y'a un mec (ou deux si la station est grande) qui surveille les tourniquets à chaque station et quasiment personne ne fraude, si ça peut régler le souci de tout le monde...

D'ailleurs ils avaient fait l'expérience à GDN me semble-t-il, 80%de fraude en moins.

Et c'est le but a atteindre que économiquement ça vaille ce que ça coûte ?

Si ça a utilité publique, alors les usagers seront prêt à payer. D'ailleurs les entreprises financent pour leurs employés quasi systématiquement. Et si la ville ou le département veut mettre au pot, ça a déjà plus de sens. C'est le principe de subsidiarité.

Ben ouais
Sinon tu détruis de la richesse. Ça s'appelle le mésinvestissement.

Et si ça te dérange pas de payer des impôts pour, ça veut dire que tu estimes que ça vaut ce que ça coûte. Mais ça serait moins hypocrite que la facture te soit présentée directement plutôt que cachée. Car comme pour tous 'es services publics, tu sais pas ce que ça te coûte au final. C'est un peu gênant je trouve.

Oulalala malheureux tu veux maintenant résoudre les problemes du futur ? Rappelle toi on nous predisait la fin du petrole pour 2020, donc on ne peut rien rpevoir cqfd

Je propose que tu arretes de payer le chomage, la santé (tant que t'es pas malade), les ecoles (tant que t'as ppas de gamin). C'est quand meme plus equitable (pour toi)

Donc en fait personne ne paie son passe navigo maintenant ?

Avec ton raisonnement en fait plus rien ne se passe en Creuse ou en Ardèche par exemple vu que seuls les impôts locaux financent les projets locaux.

Pour le reste du dits encore de la merde. Le chômage et la santé ce sont des assurances, de la mutualisation de risque. Et c'est d'ailleurs pas financé par l'impôt mais par des cotisations sociales.

Pour l'école tu peux troller, mais on a un des systèmes qui donne le moins de chances aux pauvres (parmi l'ocde) mais on les fait payer quand même. Effectivement, super juste pour eux.

Sauf que y a d'autres chose que la rentabilité economique directe... Par exemple le fait que ca permette a beaucoup de gens de se deplacer et donc d'aller bosser, ou d'aller consommer.
Par exemple le fait que ca limite le nombre de voitures, et sans meme parler de la pollution ça limite les bouchons et donc le temps perdus par beaucoup de citoyen. Temps qu'ils peuvent investir a consommer vu que tu as l'air obsédé par la rentabilité.

Bref, c'est n'imp de voir ca de façon completement décorrélé.

... Le principe es tle meme tu payes pour des trucs qui ne te concernent pas directement et que tu ne choisis pas de payer. Alors que on pourrait supprimer ces assurances obligatoires et les laisser a des organes privés que tu sollicites si tu le souhaites. C'est la liberté Meme chose pour les retraites d'ailleurs.

En fait tu trouves ça anormal que certains trucs soit financés par des personnes qui n'en ont pas besoin? En gros pour toi me service public n'a pas lieu d'être ? Quant à ta remarque sur l'école

Qu'est ce qu'elle a ma remarque sur l'école ?

Déjà comparer des systèmes dans des sociétés différentes, j'ai jamais trouvé ça spécialement pertinent.

Comparaison vaut pas raison. Mais c'est pas une raison pour ignorer tous les signaux.
Et ma remarque portait plus précisément sur l'accès aux études supérieures. Le primaire et secondaire n'étaient pas concernés.

C'est pourtant la base. C'est con.

Pourquoi c'est con ?
Je répondais juste au troll du lyonnais en prenant comme exemple spécifique du financement de l'école au niveau des études supérieures.

Oui, tu parles du système qui donne le moins de chance aux pauvres.
Le truc classique.

Déjà, je pense que pas mal de "pauvres" sautent bien avant les études supérieures d'où ma remarque.
Et j'ai toujours ce besoin de lumière sur les termes employés surtout quand on fait des comparaisons sur des "stats".

Quant au fameux argument OCDE, il me fait souvent marrer parce qu'on y prend toujours ce qu'on a envie d'y prendre.

ne t'inquiète pas , l'entretien des rails ne se fait plus comme avant depuis la mis en concurrence du rail car ca ne rapporte pas assez et du fait de la suppression des postes

T'aventures pas sur les sujets que tu maîtrises pas camarade. Faut pas prendre les tracts de la CGT au premier degré.

Ronan un flic

Les IAS par exemple.
Les assignations à résidence pendant l'état d'urgence. Et les débats sur les transports prennent le même chemin.

Parce que là on déclare d'autorité que c'est d'utilité publique, donc on fait ce qu'on veut.

Pas besoin d'un tract de la CGT
Tu crois que je vais croire un flic

Woerth qui démissionne Et pourtant ils disent tous qu'ils ont enfin compris

Je suis d'accord, pour plus de confort de lecture sur le forum il faut accepter que

Ronan est flic
Touriste est assistante sociale
Tomysg est assistante de direction
Voolool est paki

Pour Talamoni, élu président de l'assemblée de l'île, "la Corse n'est pas un morceau d'un autre pays"

L'élu indépendantiste a prononcé un discours très offensif : "Nous sommes arrivés ici avec tous ceux qui, comme nous, ont toujours combattu les autorités françaises sur la terre de Corse."

Par Francetv info avec AFP

Mis à jour le 17/12/2015 | 18:34 , publié le 17/12/2015 | 17:48

Jean-Guy Talamoni a prononcé, jeudi 17 décembre à Ajaccio, son discours d'installation à la présidence de l'assemblée de Corse. Dans cette première allocution d'un président indépendantiste depuis la création de l'assemblée, en 1982, l'élu a tendu la main "à tous les Corses", appelant à la "réconciliation" de la communauté. Mais son discours a aussi pris de véritables accents d'indépendance vis-à-vis de la France.

"En votant pour les nationalistes, le peuple corse a dit que la Corse n'était pas un morceau d'un autre pays, mais une nation, avec sa langue, sa culture, sa tradition politique, sa manière d'être au monde", a ajouté Jean-Guy Talamoni qui a prononcé tout son discours de neuf minutes en langue corse, retransmis par nos confrères de France 3 ViaStella.

Dans la foulée de la victoire, dimanche, des nationalistes corses au second tour des élections territoriales, l'élu a obtenu les 24 voix des élus nationalistes sur les 51 sièges de l'Assemblée.

Le "combat" pour que "la Corse demeure une nation"

Dans son discours, Jean-Guy Talamoni a affirmé que les nationalistes "tendaient la main à tous les Corses, mais aussi à ceux qui sont arrivés chez nous il y a peu et qui sont venus en amis pour partager notre destin". "Demain, tous ensemble, nous travaillerons au bien commun", a-t-il poursuivi, demandant aux adversaires des nationalistes "d'abandonner leur peur". "L'heure est venue de la réconciliation de notre communauté avec elle-même", a-t-il ajouté.

"Nous sommes arrivés ici avec tous ceux qui, comme nous, ont toujours combattu les autorités françaises sur la terre de Corse", a également déclaré le nouveau président de l'Assemblée, évoquant notamment "tous ceux qui depuis 1768 n'ont cessé de combattre pour que la Corse demeure une nation".

"Nous sommes arrivés ici avec les soldats de [Pascal] Paoli [père de l'indépendance corse] tombés à U Borgu et à Pontenovu [défaite des Paolistes contre les Français], nous sommes arrivés ici avec les militants du Front [de libération nationale de la Corse] morts pour la Corse", a-t-il dit.
Il réclame la libération des prisonniers corses

"Demain, nous obtiendrons l'amnistie des prisonniers et des recherchés (...) et personne ne pourra s'opposer à cette volonté populaire", a par ailleurs déclaré Jean-Guy Talamoni. Les nationalistes réclament la libération de 25 prisonniers que les autorités françaises refusent de qualifier de "politiques".

Don Barto démissionne aussi

Marion Maréchal-Le Pen victime de "pince-fesses" pendant les meetings



Dans un des échos du Canard Enchaîné, on apprend que la campagne électorale de Marion Maréchal-Le Pen n'a pas été facile tous les jours. En effet, il lui est arrivé de se faire toucher... le derrière !

En échouant face à Christian Estrosi au deuxième tour des élections régionales en Provence-Alpes-Côte-d'Azur (PACA), Marion Maréchal-Le Pen, 26 ans, n'a pas tout perdu. Car la campagne électorale a été longue pour que plus de 40% des votants lui accordent leurs voix. Aujourd'hui, elle est devenue l'un des visages les plus emblématiques du Front National. Mais à quel prix ?

Le Canard Enchaîné pourrait bien nous apporter la réponse. En effet, dans un des échos du journal, on apprend que la campagne électorale de Marion Maréchal-le Pen n'a pas été de tout repos. Et pas seulement en ce qui concerne son emploi du temps chargé. Chacun des meetings est une épreuve pour la nièce de Marine Le Pen. Entre les caméras, autres journalistes, quelques admirateurs, et même vilaines mains baladeuses, la jeune maman, comparée à Jeanne d'Arc par Sarah Palin récemment, a du souci à se faire.
"Ils lui ont touché le cul"

Un colistier raconte ainsi au Canard : "C'est l'émeute médiatique à chaque fois. Mais y a aussi eu d'autres problèmes par le passé : des gars lui ont touché le cul dans des meetings". Une bien jolie manière de dire que, si Marion Maréchal-Le Pen plait à ses électeurs, c'est à tous les niveaux !

Jeune maman ?

Nan mais le truc sur la corse de witchfinder c'est incroyable putain

Nan mais le truc sur la corse de witchfinder c'est incroyable putain

Notamment le fait de vouloir l'amnistie pour un mec reconnu coupable d'avoir assassiné un préfet.

Mais sinon ce n'est pas nouveau, les mecs ils veulent le beurre et l'argent du beurre. Normal.

Notamment le fait de vouloir l'amnistie pour un mec reconnu coupable d'avoir assassiné un préfet.

Mais sinon ce n'est pas nouveau, les mecs ils veulent le beurre et l'argent du beurre. Normal.

Sauf que maintenant en plus ils sont élus...

Ils sont adversaires politiques donc ils devraient ne pas se parler, et se cracher à la gueule.
T'es désespérant

C'est ce qui est reproché à Sylvain Armand