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Dagoberto
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Cissé : « Lugano donnerait sa mère »

« Tu peux me rappeler dans deux minutes ? Je suis sur Skype avec ma famille ». Exilé du côté d’Auxerre, Edouard Cissé profite de son temps libre pour se rapprocher de Paris via Internet. Une fois les retrouvailles quotidiennes terminées, se présente l’occasion de parler ballon rond avec un des briscards de la Ligue 1 avant le déplacement à Lorient.


Pas trop dur d’être loin de la famille ?

Ca va, ça va. Tu sais pour moi là, c’est rien. Je suis à Auxerre, ce n’est pas si loin, parce que parfois, c’est hard…

J’imagine… Mais tu n’es pas parti tout seul à chaque fois, si ?
Non. Mais en Turquie, au départ, j’étais avec toute ma famille, mais ça n’a pas duré. Au début c’était cool, mais après, dans la vie de tous les jours, avec les petites, pour l’école et tout ça, ça devient compliqué. Du coup, pour le côté logistique, ils sont tous rentrés. Ils venaient me voir pendant les vacances scolaires. C’est difficile. A Marseille déjà, c’était plus simple et là, à Auxerre, je suis à une heure et demi, c’est tranquille.

La proximité a joué un rôle décisif dans ton choix de venir ici ?
Ouais, il y a de ça. La proximité de Paris, c’est un luxe. Il y a aussi ma relation avec Laurent Fournier, que je connais bien. C’est également une belle occasion de bosser avec une équipe jeune.

T’es un ancien…
Ouais. Même s’il y a aussi Grichting et Coulibaly. De toute façon, je commence à me rendre compte qu’au vu de mon âge avancé, j’aurais été l’ancien dans pas mal d’équipes ! Mais c’est vrai qu’ici c’est peut-être le cas plus qu’ailleurs.

En plus, au milieu, tu évolues aux côtés du joueur frisson du début de saison, Alain Traoré.
Ouais. Je ne vais pas te mentir, je ne le connaissais pas au début de la saison. En fait, j’ai fait sa connaissance en séance vidéo avec Marseille, avant le déplacement à Auxerre. Le matin du match, Didier nous montre un petit medley des matches de l’AJA, et je vois un mec, un peu milieu avancé, attaquant reculé, bonne patte gauche, bon joueur quoi. Après, il marque contre Montpellier, Didier insiste un peu sur le fait qu’il est en forme. Ensuite on se déplace à l’Abbé-Deschamps, je joue contre lui, je le trouve intéressant et il marque encore. Je me dis, bordel, c’est qui ce type ? Et quand j’arrive à Auxerre, je me rends compte que le mec est très, très bon. Moi je le vois comme ça. On m’a dit que l’an dernier, il était moins relâché, mais là, c’est fort. Il est performant et mature.

Tu me parlais de Marseille. Tu les laisses un peu dans la galère…
Euh, ouais… Je ne sais pas. Ils ont énormément de qualités, mais je ne sais pas… Franchement j’espère qu’ils vont se ressaisir. Moi j’ai les gars qui m’appellent de temps en temps et je sais qu’ils font finir par sortir la tête de l’eau.

De toute façon, tu as connu les débuts de saison difficiles là-bas.

Ouais bien sûr, avec Marseille, c’est souvent comme ça au retour des vacances. Après je pense qu’en interne, il faut qu’ils règlent des petits soucis. Mais je ne me fais pas de souci, ils vont réussir à faire partie du gratin, comme d’habitude.

A Auxerre, ton intégration s’est bien passée ?
Ouais, ouais. Tu sais, je ne suis pas un garçon très compliqué. Peut-être qu’au départ, ils étaient méfiants au vu de mon CV, mais après, ils ont vu que j’étais un mec cool et facile à vivre, donc ils m’ont très bien accueilli. Franchement, je suis content, à 33 balais, c’est exactement ce dont j’avais besoin. Un club où il y a moins de pression, mais où tu dois être performant.

Tu insistes sur ton âge. Tu as signé pour deux ans en faveur de l’AJA. Ca sent la fin pour toi ?
Ouais, à 35 ans, on verra comment sont les jambes, comment tout réagit. Là, le un plus un, c’était la bonne proposition, parce qu’il faut être honnête, il faudra voir l’état dans lequel je suis à la fin de la saison. Si je suis apte pour le service où pas. Aujourd’hui je me sens bien, j’avais envie de relever ce défi, ce nouveau défi. Je voulais connaître ça. Je suis super content.

Ca te fait quoi aujourd’hui, de voir ton PSG à ce niveau-là ?
Ca me fait plaisir. Après, j’ai encore des amis là-bas, et j’espère que les anciens joueurs ne se sentiront pas exclus. Les dirigeants veulent rendre l’équipe la plus compétitive possible, après c’est difficile de donner un jugement, parce que dans le foot, tout va très vite. Je ne connais pas les nouveaux joueurs, je ne connais pas leurs caractéristiques, leur personnalité. Après, si Leo a fait ce recrutement, c’est parce qu’il sait que les mecs sont des gars biens. Lugano, je l’ai connu quand il jouait à Fenerbahce, je peux te dire que tu vois très bien qui il est : c’est l’Uruguayen rugueux qui donnerait sa mère pour l’équipe. Pastore, ça m’a l’air d’être un gars très équilibré. Je pense que ça va bien prendre. Après, je ne suis pas devin. Huit, neuf, nouveaux joueurs, c’est beaucoup. Je suis comme toi, je ne sais pas. Tu connais Paris, tu sais que c’est difficile là-bas.


sofoot
Biz Markie
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Ronaldinho appelé pour trois matches

Le sélectionneur de l'équipe du Brésil de football Mano Menezes a annoncé jeudi l'équipe pour le match retour contre l'Argentine (Superclasico) le 28 septembre à Belem (aller 0-0) et celle qui rencontrera le Costa Rica et le Mexique en amical. Pour ces deux derniers matches internationaux contre le Costa Rica le 7 octobre, et le Mexique, quatre jours plus tard, Menezes sera privé de Robinho, Pato, Paulo Henrique Ganso blessés alors que pour la première fois l'attaquant de Porto Kleber a été retenu. Neymar et Ronaldinho joueront, eux, les trois matches. Le sélectionneur a également appelé le gardien de but de la Fiorentina Neto, le défenseur Revere de l'Atlético-MG, le milieu de terrain Sandro (Tottenham) et celui de la Lazio Hernanes.

La sélection du Brésil contre l'Argentine (à Belem, le 28 Septembre)
GARDIENS : Jefferson (Botafogo) et Rafael (Santos).
DEFENSEURS : Danilo (Santos), Mario Fernandes (Gremio), Bruno Cortes (Botafogo), Kleber (International Porto Alegre), Dédé (Vasco), Revere (Atlético-MG), Emerson (Coritiba).
MILIEUX : Ralf (Corinthians), Paulinho (Corinthians), Casemiro (Sao Paulo), Romulo (Vasco), Lucas (Sao Paulo), Oscar (International), Diego Souza (Vasco), Elkeson (Botafogo).
ATTAQUANTS : Ronaldinho (Flamengo), Neymar (Santos), Fred (Fluminense) et Borges (Santos)

La sélection du Brésil contre le Costa Rica (7 octobre) et le Mexique (11 Octobre)
GARDIENS : Julio Cesar (Inter Milan), Jefferson (Botafogo) et Neto (Fiorentina).
DEFENSEURS : Daniel Alves (FC Barcelone), Fabio (Manchester United), Marcelo (Real Madrid), Adriano (FC Barcelone), Revere (Atlético-MG), Thiago Silva (Milan), David Luiz (Chelsea) et Dedé (Vasco).
MILIEUX : Lucas Leiva (Liverpool), Fernandinho (Shakhtar Donetsk), Sandro (Tottenham), Luiz Gustavo (Bayern Munich), Lucas (Sao Paulo), Elias (Sporting), Oscar (International), Hernanes (Lazio).
ATTAQUANTS : Ronaldinho (Flamengo), Hulk (FC Porto), Jonas (Valence), Neymar (Santos), Kleber (FC Porto) et Fred (Fluminense).
Alexinho
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Mulumbu quitte les Léopards

A seulement 24 ans, le Congolais (RDC) Youssouf Mulumbu a décidé de prendre sa retraite internationale pour se consacrer à son club, West Bromwich Albion, «définitivement et avec effet immédiat».

Le milieu de terrain, formé au PSG, a écrit à la Fédération congolaise pour faire part de son souhait, rapporte la BBC : «Cette décision a été prise après de longues discussions avec ma famille et le staff médical. J'espère pouvoir poursuivre ma carrière professionnelle et garantir l'avenir de mes proches, en me retirant de mes engagements internationaux. C'était une décision très difficile à prendre et je souhaite à l'équipe de réussir.» Claude Le Roy, le nouveau sélectionneur des Léopards, devra donc se passer de lui pour le prochain match, le 7 octobre face au Cameroun.

Francefootball
Beuzech
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Peter Luccin rejoint Lausanne (off.)

L'essai est transformé ! Testé depuis lundi (voir lien), Peter Luccin s'est engagé mardi en fin d'après-midi avec Lausanne Sport. L'ancien milieu de terrain du Paris Saint-Germain et de l'Olympique de Marseille a signé jusqu'à la fin de la saison en Suisse. Le Français de 32 ans n'est pas encore qualifié puisqu'il faut que la Swiss Football League valide son contrat. Dimanche soir, il ne pourra donc pas affronter Sion, qui vient de prêter à Lausanne son attaquant Aleksandar Prijovic (21 ans).


ipanema
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Ronaldinho à Galatasaray ?

L'ancien parisien et barcelonais serait sur le point de signer à Galatasaray. Ronaldinho est toujours un joueur très demandé. Et au lendemain d'avoir aidé la Séleção à s'adjuger la Copa Roca face à l'Argentine (0-0 à l'aller, 2-0 au retour), Ronnie est au coeur d'une rumeur de transfert étonnante mais crédible, au vu de la clause lui permettant de négocier avec n'importe quel club européen lui proposant plus de six millions d'euros/ans (son contrat actuel).

Le ballon d'or 2005 serait sur le point de signer un contrat en faveur de Galatasaray (Turquie). Plusieurs sites brésiliens et turcs relaient l'information selon laquelle Roberto Assis, agent et frère de Ronaldinho, se serait rendu en Turquie pour négocier un contrat qui prendrait effet dès décembre 2011, mais dont le prix et la durée n'ont pas filtrés.

Une hérésie à en croire l'ancien milieu de Montpellier : "Je suis surpris. Je ne suis pas au courant. Je vais vous dire une chose en toute sincérité. Ronaldinho reçoit toujours de nombreuses propositions, mais il a un contrat avec Flamengo. Il est très heureux d'y évoluer et adore vivre à Rio. Il est vrai que je me suis rendu récemment en Europe et comme toujours j'y ai croisé beaucoup de monde." a-t-il reconnu.

Le président de Galatasaray, Ünal AYSAL aurait, de son côté, promis à ses supporters la venue de R10.

SambaFoot


Des journaux brésiliens en parlent aussi au PSG lors du prochain mercato.
Schultzy
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Robin Leproux, un départ à 1,8 M€

Colony Capital et Butler Capital Partners, les deux actionnaires minoritaires du PSG (à hauteur respectivement d’environ 28% et 2%), ont dû assumer une part financière importante du départ de Robin Leproux, l’ancien président parisien. Et ce, alors que l’ex-patron de RTL a été démis de ses fonctions par les nouveaux propriétaires qatariens le 13 juillet dernier, moins de deux semaines après leur prise de contrôle du club.


Les deux fonds d’investissement ont en effet dû verser ensemble près d’un million d’euros. Cette somme correspond à une prime exceptionnelle prévue dans le contrat de l’ancien dirigeant qui avait été renégociée au cours de la première moitié de l’année 2010, quelques mois seulement après son arrivée au PSG. Cette prime devait lui être versée quel que soit le motif de son départ, qu’il soit volontaire ou forcé. La version officielle retient que ce million récompenserait le travail de Robin Leproux pour la recherche de nouveaux investisseurs.

Outre cet engagement, celui qui fut à l’origine du plan sécurité du Parc des Princes bénéficiait également d’un contrat courant jusqu’en 2013, avec un salaire mensuel de 10 000 € brut, assorti d’une prime annuelle de 100 000 € si le PSG se qualifiait pour la Ligue Europa, soit un total annuel de 220 000 €. Pour ses deux années de contrat, la somme de 440 000 € lui était due, à laquelle il convient d’ajouter 100 000 € pour la qualification européenne à l’issue de la saison 2010-2011.

Les parties ont pu négocier un accord amiable

Reste le préjudice de cette séparation, estimé à 200 000 €. Aucun contentieux juridique, selon nos informations, n’étant apparu malgré la rupture brutale de la collaboration, les parties ont négocié un accord amiable.

Le 15e président de l’histoire du PSG n’était pas salarié du club. Il était rémunéré sous forme d’honoraires et facturait, via sa société PGM MEDIA SAS (société par actions simplifiée offrant une grande souplesse de gestion), basée à Levallois-Perret, ses prestations de conseil pour les affaires et la gestion. Elle avait été créée en juin 2009 avec un capital de 40000 €. Contacté, Robin Leproux n’a pas souhaité faire le moindre commentaire sur des « chiffres totalement erronés », selon l’expression de son avocat Florian Bouaziz.

Le Parisien.fr
Schultzy
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Ricardo : «Je pense revenir en février»

Plus d'un mois après avoir été victime d'un grave AVC (accident vasculaire cérébral), Ricardo, l'entraîneur brésilien du Vasco de Gama, a annoncé qu'il espérait de nouveau entraîner à partir de février 2012. «Je récupère très bien (...) Je pense revenir en février. Les médecins et moi-même tentons de faire pour le mieux», a déclaré Ricardo au quotidien Extra, pour sa première interview depuis sa sortie de l'hôpital, le 18 septembre dernier.

S'agissant de l'AVC dont il a été victime le le 28 août lors du match Vasco de Gama - Flamengo, le technicien brésilien s'en veut car cet accident est notamment lié au fait qu'il ne prenait pas son traitement contre la pression artérielle. «Ce qui s'est passé m'incombe car j'ai été stupide, je dois faire plus attention. Aujourd'hui, je prends ce médicament», a-t-il assuré. (Avec AFP - Photo Presse-Sports)

France football.fr
Beuzech
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Susic, candidat pour entraîner le PSG ?

Safet Susic, sélectionneur de la Bosnie, sera à Paris mardi pour affronter les Bleus lors du dernier match de qualification à l'Euro 2012. Le coach, «déjà très heureux d'être qualifié pour les barrages», lancera toutes ses forces dans la bataille pour tenter de dominer les Français : «Je n'ai pas une équipe pour subir, et ce match ne finira pas sur un 0-0.» Le sélectionneur aimerait ainsi continuer l'aventure le plus loin possible, lui qui a refusé de prolonger son contrat à la tête de l'équipe. La Fédération lui avait proposé de rester jusqu'en 2014, mais Susic a décliné, rapporte L'Equipe. Il s'arrêtera donc après les barrages si son équipe est éliminée, ou bien après l'Euro, si la Bosnie se qualifie. (Photo Presse-Sports)

«Paris peut être champion de France»

A Paris, le Bosnien, joueur emblématique du PSG entre 1982 et 1991, ne sera pas en terrain inconnu, lui qui possède également un passeport français et un pied-à-terre dans les Yvelines. Il se réjouit d'ailleurs de la forme actuelle de son ancienne équipe : «Elle terminera dans le trio de tête, elle peut même être championne de France». D'ailleurs, Susic avait proposé sa candidature en 2009 pour entraîner le PSG. Et même s'il considère que Kombouaré est «un bon mec», auquel il «souhaite de réussir», Susic précise sur cette candidature : «Depuis, je ne l'ai pas retirée...»


FranceFootball.fr
Playground
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Ligue 2. Angers Sco : Charbonnier élu meilleur joueur de septembre


Gaëtan Charbonnier (Angers Sco).
Blandine Lempérière
L’attaquant d’Angers, Gaëtan Charbonnier vient d’être élu meilleur joueur du mois de septembre de L2.

Nul doute que son très bon début de saison a largement penché en sa faveur (6 buts inscrits en 9 matches de championnat). Avec 55 % des suffrages, il est arrivé loin devant le Rémois Kamel Ghilas (31 %) et le Clermontois Jean-François Rivière (14 %).


ouest-france.fr
Beuzech
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Ogbeche à Middlesbrough

Après s'être exilé au Qatar, puis découvert l'Espagne (Alaves, Valladolid et Cadiz) ainsi que le Grèce, Bartholomew Ogbeche continue son petit bonhomme de chemin. L'ancien joueur du PSG, libre depuis son départ de Kavala, s'est engagé jusqu'en fin de saison avec Middlesbrough, a annoncé mardi dans un communiqué le club actuel troisième de D2 anglaise. A l'essai depuis plusieurs jours, l'attaquant nigérian aujourd'hui âgé de 27 ans a convaincu l'entraîneur Tony Mowbray en marquant notamment deux buts en match amical avec la réserve. «Je ne voudrais pas que les gens à [?] pensent que nous avons de faire signer Lionel Messi, a aussitôt déclaré le coach de Boro pour présenter sa nouvelle recrue. C'est un joueur travailleur. Mais à l'entraînement, il semble savoir aussi où se trouve le but avec ses pieds».


Croco30
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ET REVOILÀ YANNICK BOLI !
18/10/2011 - 22 h 10

Porté disparu depuis une courte expérience à Nîmes, Yannick Boli (23 ans) pourrait bien rebondir à Southend United (League 2, équivalent du CFA). À l’essai dans le club anglais, l’ancien espoir du Paris SG espère avoir sa chance. Il disputera un nouveau match avec la réserve ce mardi pour convaincre la direction de lui offrir un contrat. Le coach Graham Coughlan semble d’ailleurs optimiste dans les colonnes de The Echo.

« Yannick est un talent excitant et nous allons l’observer à nouveau. Yannick. Il s’est bien débrouillé lors du match de la semaine passée et nous a impressionné lorsqu’il avait le ballon. Nous avions peur qu’il ne puisse pas répondre au défi physique mais il nous a fait mentir », a-t-il indiqué. Dire qu’il était annoncé au Real Madrid il y a quelques années...


Source : Mercato Foot + vérification sur le site officiel du club.
Schultzy
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Houllier enfonce encore Ginola

Gérard Houllier n'a toujours pas digéré... L'ancien sélectionneur en a remis une couche au sujet de David Ginola, coupable d'avoir perdu un ballon que les Bulgares ont exploité dans la foulée pour battre les Bleus (2-1) en novembre 1993, les empêchant de participer à la Coupe du monde 1994. «Sans lui, je suis sûr qu'on se qualifiait», a asséné Houllier au sujet de l'ancien milieu offensif.

«J'ai tellement à dire ! La part de Gérard Houllier est d'avoir fait entrer David Ginola. Quand on est décalé dans l'équipe, on est décalé dans le match. A mon avis, j'ai fait l'erreur de ne pas l'exclure. Aimé Jacquet (son adjoint) m'en a empêché. Je voulais le dégager. Sans lui je suis sûr qu'on se qualifiait», explique Houllier dans le livre «Secret de coaches», cosigné par Daniel Riolo et Christophe Paillet. (Photo Presse-Sports)

France Football.fr
Panenka
Pour compléter:

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"Sans Ginola, je suis sûr qu'on se qualifiait"
jeu, 20 oct 14:54:00 2011

Employant à nouveau des mots très durs ("salaud") à l'encontre de David Ginola, Gérard Houllier est sorti de son quasi-mutisme sur le sujet de l'élimination des Bleus de la Coupe du monde en 1993, dans un livre qui paraît aujourd'hui. La blessure n'est pas refermée. Peut-être même plus brûlante.

"Un crime contre l'équipe". Ces mots, prononcés à chaud à l'encontre de David Ginola, après la défaite historique de l'équipe de France contre la Bulgarie (1-2) en novembre 1993, Gérard Houllier, alors sélectionneur, a toujours eu du mal à les faire partager. Trop violents pour qualifier la "simple" perte d'un match de football. Trop centrés sur un seul homme, le chouchou du Parc, coupable à la fois d'avoir joué n'importe comment un coup franc à la dernière minute et surtout d'avoir parlé dans la presse à deux jours du match pour défendre sa candidature. En général, le temps referme les blessures et encourage à la prise de recul. Mais dans le dossier France - Bulgarie, les bientôt dix-huit années qui se sont écoulées n'ont fait, semble-t-il, que renforcer la rancoeur du prédécesseur d'Aimé Jacquet.

"C'est un salaud"

Très économe de sa parole sur l'échec le plus fort de sa carrière, Gérard Houllier a accepté de répondre à plusieurs questions sur le sujet dans un livre d'entretiens qui paraît aujourd'hui sous la signature de Daniel Riolo et Christophe Paillet, Secret de coaches (éditions Hugo&Cie). Dans cette interview très riche sur sa conception du métier et la façon dont il l'a exercé, Houllier livre une version toujours à charge sur David Ginola, avec des mots d'une violence rare. "J'ai tellement à dire ! La part de Gérard Houllier est d'avoir fait entrer David Ginola, résume-t-il d'emblée. Quand on est décalé dans l'équipe, on est décalé dans le match."

"Je voulais le dégager, Jacquet m'en a empêché"

A deux reprises, Houllier emploie le terme de "salaud" pour qualifier celui qui était alors joueur du Paris-SG, et qu'il avait lancé avec les Bleus quelques mois plus tôt. "Là où il est salaud, c'est qu'on joue au Parc des Princes. Le PSG joue au Parc. L'ennemi du PSG, c'est Marseille. Quand il dit (ndlr : deux jours plus tôt dans L'Equipe) que Papin ou Cantona (titulaires et ex-joueurs de l'OM) ne devraient pas jouer en équipe de France mais que lui devrait jouer... Il a dit ça ! C'est un salaud parce qu'à chaque fois que Papin ou Cantona touchaient le ballon ils se faisaient siffler." JPP, capitaine ce soir-là, s'était notoirement fait conspuer au moment de son remplacement par Ginola. "J'ai fait l'erreur de ne pas l'exclure, regrette Houllier avec le recul. Aimé Jacquet (son adjoint) m'en a empêché. Je voulais le dégager. Sans lui je suis sûr qu'on se qualifiait."

"On est tombés sur l'affaire VA-OM"

Sélectionneur des Bleus dans la foulée de l'élimination au premier tour de l'Euro 1992, Gérard Houllier aura passé seize mois à la tête de l'équipe de France "dans un climat très dur" explique-t-il avec le recul. "Michel Platini avait dit que les joueurs étaient tous des peintres, qu'ils avaient les pieds carrés. Il fallait les convaincre, un par un, de revenir. Ils avaient tous démissionné de l'équipe de France. (...) Le problème, c'est qu'on est tombés sur l'affaire VA-OM. En septembre 1993, on gagne en Finlande. Dans le bus, il n'y avait aucune joie. Tout le monde voulait savoir si Marseille allait descendre. L'OM était interdit de Coupe d'Europe. Tous les Marseillais cherchaient à quitter le club. (...) Maintenant, je fais très attention à l'environnement."


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niramo
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Yannick Boli en D4 anglaise ?

Info L'Equipe. Formé au Paris-SG (deux apparitions en Ligue 1), l'attaquant Yannick Boli (23 ans), libre de tout contrat depuis son départ de Nîmes (National), devrait s'engager avec les Blues... de Southend, club de League Two (D4 anglaise) situé à Southend-on-Sea, dans le comté de l'Essex, à une soixantaine de kilomètres de Londres.


L'Equipe
ohvillelumière
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Fournier :«Je ne changerai pas»

Laurent Fournier a débarqué à Auxerre avec l'intention d'y appliquer ses principes de jeu. Entretien avant la venue de Caen, mercredi en Coupe de la Ligue.

Laurent Fournier veut voir son équipe aller de l'avant. (EQ)

Quand Gérard Bourgoin vous a proposé d'entraîner Auxerre, vous a-t-il demandé comment vous souhaitiez faire jouer votre équipe ?
Non, pas du tout. Il m'a juste demandé si le poste m'intéressait, de regarder l'effectif et de réfléchir pour l'améliorer en faisant venir certains joueurs. Une fois que j'ai accepté, je me suis penché sur le recrutement. La saison dernière, c'est un milieu - Benoît Pedretti - qui faisait partie des meilleurs buteurs (5 buts). La priorité, c'était de recruter des attaquants, car sans eux, on ne peut pas faire jouer une équipe. Aujourd'hui, il y en a huit, il y a de la concurrence.

Vous avez entraîné plusieurs équipes de National. Ce Championnat est-il un bon laboratoire pour mettre en place ses idées ?
Mais peu importe la division ! En National, malgré le peu d'intérêt médiatique, la pression est là ! Moi, j'ai toujours fonctionné comme cela, au Paris-SG ou à Strasbourg. En National, je ne tentais pas plus de choses qu'aujourd'hui. Mon idée est toujours la même : aller le plus vite possible dans la zone de vérité.

On a du mal à imaginer qu'Artur Jorge, qui vous a entraîné au PSG, soit votre première source d'inspiration...

Mais Jorge n'était pas aussi défensif que cela ! Avec le PSG, nous avons réussi des matches de grande qualité offensive, notamment en Coupe d'Europe contre Naples ou le Real Madrid. Jorge disposait d'excellents attaquants comme Loko, Raï ou Djorkaeff, et il savait s'en servir. Et puis, quand j'étais joueur, je ne voulais pas être entraîneur.

Maintenant que vous êtes celui d'Auxerre, estimez-vous que vos principes commencent à s'y imposer ?
Des matches, on en gagnera et on en perdra. Pour l'instant, j'ai vu des choses intéressantes, d'autres moins. C'est normal. On a changé de système, il faut que les joueurs s'adaptent. Mais cela ne me convient pas encore. On manque de maturité, d'expérience, et même de vice. En tout cas, je ne changerai pas d'idée. Il faut savoir quel football on veut .Soit on joue bas, en proposant un jeu d'attente, on se fait chier, et là, ce sera sans moi. Soit on joue haut, sachant qu'on prend des risques.

Avez-vous une règle de base pour expliquer cela à vos joueurs ?
Je répète souvent qu'on peut se replacer derrière le ballon dans le camp adverse, et que défendre en avançant, c'est possible. Je sais aussi que face à certaines grosses équipes, ce n'est pas forcément évident de tenir ce rythme, car cela demande beaucoup d'énergie.

Le turn-over fait aussi partie de vos principes...
Oui. Tout l'effectif est concerné. Contre Caen en Coupe de la Ligue mercredi (20 h 50), cela tournera à nouveau. Comme ça, ceux qui font la gueule parce qu'ils ne jouent pas pourront montrer ce qu'ils savent faire... »


L'équipe.fr
Homer
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Je les appelle les Harlem Globetrotters...
Luis Fernandez, le sélectionneur d'Israël, ne se reconnait plus vraiment dans ce nouveau PSG et ses stars.

Toujours sous contrat avec Israël jusqu'au 31 décembre, Luis Fernandez n'a pas encore quitté le pays malgré la non-qualification pour l'Euro. L'ancien Parisien ( 52 ans ) profite de son temps libre pour réfléchir à ce que pourrait être son avenir dans ce milieu auquel il a encore du mal à s'identifier. Tout comme à ce Paris-SG new look qui grandit peut être trop vite.

Que faites vous encore en Israël alors que votre sélection est éliminée de la coure à l'Euro depuis trois semaines ?
- Mais j'ai un contrait qui se termine fin décembre. Et puis, j'ai encore un peu de travail. Je viens à la Fédération, je discute avec le Président. On fait le point sur tout ce qui a été mis en place.

Qu'avez vous bien encore à vous dire ?
- Je me tiens à sa disposition. Je ne suis pas de ceux qui s'en vont comme ca. Moi, je ne démissionnerai pas car je ne suis pas en situation d'échec.

Votre Président ( Avi Luzon ) a pourtant déclaré que c'était une "honte" de ne pas avoir terminé dans les deux premiers du groupe ( La Grèce, première, devant la Croatie )...
- ... non, non, non. Tout ce qui a été fait n'a pas été négatif. C'est même positif à 75%. Le problème, c'est qu'Israël ne s'est jamais qualifié pour l'Euro en quarante ans. Et pourtant, ce pays a pu compter sur des générations beaucoup plus fortes et beaucoup plus douées que la mienne.

Quels sont vos projets désormais ?

- Je ne sais pas encore. J'ai des activités très prenantes avec la radio ( RMC ) et la télé ( Orange ). Ce qui est sûr, c'est que je ne reviendrai pas sur un terrain avant la fin de la saison. Je vais profiter de cette période pour réfléchir à mon avenir.

Votre avenir ?

- Mon avenir en général. Cela fait neuf ans que je suis sur RMC. C'est une longue aventure. Chaque année, mon contrat est renouvelé et c'est vraiment le seul "club" qui m'a maintenu sa confiance. Mais je ne sais pas. Je me dis que peut-être il va falloir que je choisisse un côté, les médias, ou l'autre. Et puis j'ai d'autres projets.

Dans le foot ?

- Oui, mais pas comme entraineur. Le milieu a tellement évolué, tellement changé. Les mentalités ne sont plus les mêmes.

Vous ne vous reconnaissez plus dans le foot actuel ?

- ( Il hésite ) C'est difficile parce que les changements sont très importants, très brutaux. toutes ces valeurs, le respect, le travail, l'honnêteté, je ne les retrouve plus tout à fait. Je ne sais pas si c'est en bien ou en mal, mais le monde du foot a énormément évolué.

Comme le Paris-SG auquel vous étiez identifié ?
- Les Qatariens ont acheté la marque PSG. Mais un club, surtout celui-la, c'est aussi une âme, une identité.

Un Paris-SG comme celui-la, justement, aurait-il pu vous faire envie en tant qu'entraineur ?
- Si on avait pu avoir les mêmes moyens à l'époque ou je l'entrainais, peut etre aurions-nous pu les devancer. Moi, j'ai connu l'ère Canal+ et quand je suis arrivé, le club était placé sous interdiction de recrutement.

"Je ne me positionnerai plus jamais pour entrainer le Paris-SG"


Vous n'avez pas répondu. Ce club vous fait-il rêver ?

- Moi ce qui me fait peur... Je veux dire qu'en Italie ou en Espagne, dans les gros clubs, les joueurs savent ce qu'est la concurrence. En France, ils doivent encore apprendre que les clubs comme le PSG ou l'OM, qui sont des institutions, passent avant tout. Je ne sais pas s'ils sont encore prêts. Le danger pour Paris, il est la.

Vous êtes inquiets pour Antoine Kombouaré ?
- Antoine, c'est quelqu'un que j'apprécie, que j'aime. Une personne vraie, entière. Je souhaite simplement qu'on le laisse travailler tranquillement.

Auriez vous pu travailler, comme lui, avec Leonardo au-dessus de la tête ?
- Non. Leo, c'est quand meme un garçon qui a été entraineur lors des deux dernières saisons en Italie ( à l'AC Milan puis à l'Inter ). Quand on voit les éléments qui sont arrivés au mercato, ceux qu'Antoine désirait et ceux que Leo a apportés... Il faut être clair. Vous savez, c'est parfois un peu trop facile de montrer une belle image.

Que voulez vous dire ?
- Que, parfois les gens possèdent une double facette. Je n'en dirais pas plus.

Vous ne serez donc pas entraineur du Paris-SG ?
- Je ne me positionnerai plus jamais pour entrainer le Paris-SG. C'est hors de question.

Vous ne semblez pas convaincu par l'avenir de ce club ?

- Ce club, j'y ai grandi, j'ai porté son maillot pendant huit ans, j'ai gagné des titres et je crois donc que je peux m'exprimer librement sur le PSG. Alors, j'espère me tromper, mais oui, je suis un peu inquiet.

Par rapport à quoi ?

- Dans un an ou deux, quand le Parc sera rénové, l'équipe partira jouer au Stade de France. La-bas, c'est 80000 personnes au lieu de 40000. Il y'a debelles loges et de grosses possibilités marketing et j'ai bien peur que les Qatariens ne veuillent plus en partir. Alors que le PSG, c'est le Parc. Là ou on est né, là ou on a grandi. Je le répète, il y a une identité, une âme au Parc. J'ai entendu récemment le Brésilien Cearà dire qu'il aimait bien ce qu'il se passait à Paris, que cette équipe ressemblait un peu à celle du Santos de Pelé dans les années soixante, qu'elle était capable de gagner ses matches par des 4-2 ou des 5-3. Moi, désormais, les Parisiens, je les appelle les Harlem Globetrotters. Mais rassembler des individualités comme ça, c'est tellement fragile. A tout moment, ca peut exploser !

L'Equipe rolleyes.gif
nappy
So Foot:
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Sessegnon, retour en France ?

Il était parti par la petite porte. Il pourrait effectuer un retour inattendu. Lui, c'est Stéphane Sessegnon, le meilleur pote d'Antoine Kombouaré.

Plutôt apprécié du côté de Sunderland, le Béninois fait face à un problème d'ordre familial. En effet, sa femme et ses cinq enfants auraient du mal à franchir le pas et à s'installer dans ce coin de l'Angleterre. « Ce n'est pas que Stephane ou sa femme n'aiment pas la région. C'est juste que leurs cinq enfants sont toujours en France. Quand il ne joue pas ou ne s'entraine pas, il passe son temps sur Skype à parler avec sa famille » explique un proche du dossier dans les colonnes d'Hotline.

Du coup, le milieu offensif pourrait faire un pas en arrière et faire une croix sur une carrière en Premier League pour revenir en Ligue 1, où plusieurs écuries seraient intéressées. Dont l'OM, si l'on en croit les rumeurs... En tout cas, à moins de deux mois de l'ouverture du mercato hivernal, les rumeurs et bruits en tout genre commencent à bourgeonner. Ca promet.
Peyton
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Ginola assigne Houllier en justice

L'ancien international David Ginola a assigné pour "injure publique et diffamation" devant le tribunal correctionnel de Toulon l'ex-sélectionneur national Gérard Houllier pour l'avoir traité de "salaud" dans son dernier livre, a-t-on appris lundi auprès de son avocat.

L'audience est prévue le 12 décembre au Tribunal de grande instance de Toulon.

"David Ginola a assigné pour injures publiques et diffamation Gérard Houllier qui une nouvelle fois le traite de salaud dans son livre +Secrets de coachs+, pour avoir raté en novembre 1993 un centre face à la Bulgarie lors du match qualificatif pour la Coupe du monde de 1994", a déclaré à l'AFP Me Jean-Claude Guidicelli.

"Gérard Houllier est en état de récidive. Déjà, il y a deux ans il avait dérapé lors d'une émission télévisée et nous lui avions adressé un carton jaune, l'invitant à faire preuve de plus de mesure, plus de discernement. Cette fois il est allé trop loin. David Ginola a décidé de lui adresser un carton rouge," ajoute l'avocat.

Le 17 novembre 1993, au Parc des Princes à Paris, l'équipe de France jouait sa qualification pour la Coupe du monde 1994 face à La Bulgarie. A la 89e minute, alors que le score était de 1 à 1, David Ginola avait raté un centre permettant à Emil Kostadinov de marquer d'une frappe puissante le but de la victoire. La France avait alors été éliminée.

"David avait été contraint de s'exiler en Angleterre et son fils qui débutait dans le football était sifflé dès qu'il rentrait sur le terrain", rappelle Me Guidicelli.

C'est cet événement que Gérard Houllier raconte dans son livre co-écrit par deux journalistes David Riolo et Christophe Paillet.


Eurosport.fr
BiBi
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Bernard Mendy de retour en Ligue 1 ?

19/11/2011 - 09 h 48

Parti s'exiler au Danemark après une pige en Angleterre, Bernard Mendy pourrait retrouver les pelouses françaises. Ce serait en tout cas le souhait d'un ténor de L1 cherchant à se relancer.

« Au poste d’arrière droit, je n’avais que Sané et Krychowiak. Il nous manque clairement un arrière droit pour être compétitif. » Signés Francis Gillot, ces propos datant du 25 octobre visaient clairement un Mathieu Chalmé auteur alors de performances plus que décevantes. Si depuis l’arrière droit des Girondins de Bordeaux a retrouvé du crédit auprès de son entraîneur, l’ancien coach de Sochaux penserait toujours à renforcer ce poste.

Selon Le Parisien, les Marine-et-Blanc seraient intéressés par le profil de Bernard Mendy. Âgé de 30 ans, l’ex-Parisien évolue du côté d’Odense au Danemark. Titulaire indiscutable, le natif d’Évreux n’a certes plus trop l’expérience des grands championnats, mais la présence de son club en Europa League lui permet de se mesurer à quelques noms bien connus de la scène européenne tels que Twente ou Fulham. Joueur d’expérience, Mendy ne serait donc pas un renfort quelconque pour les Girondins.

Lié à la formation scandinave jusqu’en juin prochain, le défenseur possède un double avantage. Celui bien sûr de ne pas coûter cher vu sa situation contractuelle, mais également un profil polyvalent lui permettant de pouvoir évoluer aussi bien au poste de latéral droit qu’au milieu de terrain. Reste maintenant à savoir si l’intéressé voudra retrouver une Ligue 1 qu’il a quittée il y a plus de trois ans.

->Matthieu Margueritte

FootMercato
HHA
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B. Mendy ciblé par Bordeaux ?

Bernard Mendy, l'ancien défenseur du Paris-SG, a été contacté par Bordeaux en vue du mercato hivernal, annonce Le Parisien - Aujourd'hui en France, samedi. Le latéral droit (30 ans) évolue actuellement dans le club de D1 danoise du OB Odense. Selon le quotidien, il avait déjà été sollicité la saison dernière par Jean Tigana, l'ancien entraîneur des Girondins.


lequipe.fr
Homer
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Anelka évoque Chelsea au passé

Annoncé avec insistance du côté de la Chine, Nicolas Anelka confirme implicitement son départ prochain de Chelsea mais ne donne aucune précision quant à sa future destination.

Dans une interview accordée au Times mercredi, l'attaquant français Nicolas Anelka a tacitement confirmé son départ prochain du club londonien, en déclarant notamment que Chelsea «a constitué la meilleure période» de sa carrière. «Chelsea a constitué la meilleure période de ma carrière et ça a été une grande joie de jouer et de gagner avec des gars formidables comme Didier Drogba, John Terry, Franck Lampard et Florent Malouda. J'adore jouer ici. J'espérais gagner un autre titre en championnat cette saison avec Chelsea mais, maintenant, visiblement, ce ne sera pas le cas» a déclaré le joueur de 32 ans dont les apparitions se font rares actuellement du côté de Chelsea.

Pas d'accord avec le Shangaï Shenhua

Anelka n'entre vraisemblalement plus dans les plans de son entraîneur portugais, André Villas-Boas, qui ne l'a même pas retenu dans le groupe pour le match de Ligue des champions face au Bayer Leverkusen mercredi soir. Son départ semble donc acté et est annoncé avec de plus en plus d'insistance, son contrat arrivant à expiration en juin 2012. Pourtant, rien ne dit qu'Anelka honorera son contrat jusqu'à son terme, plusieurs clubs ayant manifesté leur intérêt pour la venue du Français dès le mercato d'hiver : le Milan AC, l'Anzhi Makhachkala, les New York Red Bulls et le club chinois de Shangaï Shenhua, entre autres. Pour ce dernier, un porte parole du club a bien confirmé s'être renseigné sur le joueur mais la concurrence est rude et aucun accord n'aurait été trouvé.

L'Equipe.fr

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Le démenti d'Anelka

Nicolas Anelka a formellement démenti les informations du Times, qui a publié ce mercredi un article, assorti de déclarations, évoquant son éventuel départ de Chelsea. «Suite aux propos rapportés en mon nom ce jour dans un quotidien anglais, je tiens à démentir catégoriquement avoir donné la moindre interview et encore moins avoir évoqué mon avenir», a fermement expliqué l'attaquant des Blues. Je suis sous contrat avec Chelsea jusqu'à la fin de saison avec de nombreuses échéances sportives».

«Chelsea a constitué la meilleure période de ma carrière et ça a été une grande joie de jouer et de gagner avec des gars formidables comme Didier Drogba, John Terry, Frank Lampard et Florent Malouda, aurait dit l'ancien international français, cité par le Times. J'adore jouer ici. J'espérais gagner un autre titre en Championnat cette saison avec Chelsea mais maintenant, visiblement, ce ne sera pas le cas», ajoutait-il dans le même article. (Avec AFP - Photo Presse-Sports)
France Football.FR

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Cissé : «Au lieu de dénigrer les footballeurs...»

Dans une tribune libre sur le site Internet du Nouvel Observateur, Edouard Cissé, 33 ans et 15 saisons professionnelles au compteur, s'épanche sur les stéréotypes qui collent aux crampons des footballeurs. Le joueur de l'AJ Auxerre comprend certaines représentations véhiculées par le milieu, d'autres moins.

«On attend beaucoup des footballeurs. Probablement trop. On aimerait qu'ils servent de modèle alors qu'ils ne sont pas là pour ça. Notre boulot, c'est de taper dans un ballon, rappelle Cissé. Qu'on nous demande d'être irréprochables dans le cadre de notre métier, je le conçois. On doit accepter la critique des journalistes, du public, cela fait partie du jeu. Mais ce n'est pas parce qu'ils passent à la télévision que les footeux seraient à l'abri de faire des conneries comme les autres. Qui n'a pas fait de connerie dans sa vie ?»

«Pas des modèles»

L'ancien milieu du Paris Saint-Germain et de l'Olympique de Marseille refuse également les étiquettes d'exemples que certains souhaitent voir endossées par les footballeurs professionnels. «Des modèles ? Non. Des formidables athlètes et de super joueurs ? Certainement. J'ai toujours vécu avec deux modèles. Un modèle professionnel, Ronaldo, pour son attitude sur le terrain. Mon modèle dans la vie est mon père, qui a passé sa vie à travailler dans l'hôtellerie.»

«Les footballeurs ont évolué comme le reste de la société»

Simplement, Cissé pense «que les footballeurs ont évolué comme le reste de la société. Ils sont plus individualistes qu'autrefois. Comme tout le monde. Ils pensent un peu plus à l'argent, ils passent du temps sur Facebook au lieu de sortir voir des gens, ils se baladent avec leur casque sur les oreilles». «On peut les critiquer pour ça, admet-il. Mais au lieu de dénigrer les footballeurs, on ferait sans doute mieux de s'interroger sur les évolutions de la société.»

France Foot
DIDI.
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Bueno : «J'avais les qualités pour m'imposer à Paris»

Depuis son arrivée chez les modestes mexicains des Gallos de Queretaro en janvier 2011, l'ex fantôme parisien, Carlos Bueno, cartonne. Avec 21 buts en 34 matches, dont un retentissant doublé le week-end dernier en quart de finale de Liguilla face aux Chivas, l'Uruguayen est, de loin, le meilleur réalisateur de l'année en pays aztèque. Il nous en dit plus sur son année faste, et se souvient de son séjour parisien.

Les Gallos devaient lutter pour le maintien, et vous vous retrouvez en Liguilla (le tournoi entre les huit meilleurs de la saison régulière qui parachève la saison), comment l'expliques-tu ?
Nous savons à quoi on joue. On n'a pas deux, trois stars dans notre effectif, comme la plupart des autres équipes, mais on donne vraiment tout Ça correspond vraiment à mon style, de courir, de lutter jusqu'au bout pour l'emporter.

En quoi le football mexicain est-il propice à ton expression personnelle ?
En matière de rythme, je crois que ce football me convient mieux. Ici, le championnat est vraiment équilibré. Toute le monde peut battre tout le monde. Tu as donc ta chance à tous les matches, ou presque. Je pense que je peux donner encore plus. Physiquement, je peux encore m'améliorer pour ne plus subir de baisse de régime en fin de match.

Pourquoi avoir accepté l'offre des Gallos de Queretaro, un club sans aura internationale ?
Jusqu'à là, j'ai toujours joué dans des équipes candidates au titre (Peñarol, PSG, Sporting Portugal, Real Sociedad en L2 espagnole, U de Chile). Lutter pour le maintien représentait un nouveau défi, et les dirigeants m'ont convaincu en m'assurant que ce club constituerait un tremplin vers une plus grosse écurie.

Tu penses encore pouvoir revenir en Europe ?
Non, à mon âge, 31 ans, je crois que les clubs européens ne s'intéressent plus à toi. Je mise davantage sur une belle offre en provenance d'un grand club mexicain. Enfin, pour le moment, je pense avant tout à bien terminer cette Liguilla. Nous disposons d'une belle opportunité de nous qualifier pour les demi-finales.

Et la Celeste que tu n'as plus retrouvée depuis 2008, tu y crois encore ?
Bien sûr. J'y pense tous les jours. Je m'efforce au maximum pour qu'on me prenne à nouveau en compte. Je suis toujours en contact avec Oscar Tabarez. Après, je sais qu'il y a de grands joueurs devant moi, meilleurs que moi, enfin non, plutôt, des joueurs qui se distinguent en Europe. Personnellement, cela fait trois ans que je fais bien les choses. Avec la Real Sociedad j'ai marqué des buts, et on est monté en première division. A la U de Chile, ça s'est aussi bien passé pour moi. D'ailleurs, je reçois toujours les pré-convocations. Lors du dernier match de la Celeste, étant donné le forfait de Forlan, j'attendais fébrilement le dévoilement de la liste, mais bon, ça n'a pas été pour cette fois

Le doublé de Bueno face aux Chivas


Comment expliques-tu ton échec à Paris ?
La suspension de la FIFA nous a vraiment pénalisé, moi, et Cristian Rodriguez. Peñarol en avait appelé à la justice sportive, car on était parti sans que le club ne reçoive d'indemnité de transfert, ce qui nous a valu d'être interdit de compétition pendant plusieurs mois. Physiquement, ces mois sans jouer nous ont coûtés cher, mais je garde quand même de bons souvenirs de Paris, comme la Coupe de France remportée face à l'OM. Je suis devenu très ami avec Pauleta et Mario Yepes, qui nous ont très bien accueillis, moi et Cristian, alors que l'on ne parlait pas un mot de français. Comme je voulais jouer davantage, je me suis fait prêter au Sporting Portugal. A mon retour, le PSG ne comptait pas sur moi, et j'ai demandé à partir. Pour moi, j'avais les qualités pour m'imposer à Paris, d'autant que je venais de réaliser une grande saison en Uruguay. Mais je me suis blessé, et la suspension de la FIFA n'a rien arrangé.

Pour toi, en quoi la Ligue 1 se distingue des autres championnats ?
En France, on s'entraîne vraiment dur. Je n'ai rien vu de comparable au Portugal, en Espagne, ou en Amérique latine. La priorité est donnée au physique plutôt qu'à la technique.

Tu suis toujours les résultats du PSG ?
Oui, dès qu'ils diffusent un match d'Europa League, je regarde. Je crois que l'arrivée de Leonardo va vraiment être bénéfique au club. Il connaît très bien le PSG, et visiblement il fait bien les choses, puisque Paris est en tête du championnat.

Cette semaine, se disputera OM-PSG. Toi qui a joué un paquet de Nacional-Peñarol, les deux rivalités peuvent-elles se comparer ?
Je n'ai jamais été aligné lors des PSG-OM, mais je crois que les joueurs qui disputent un Nacional-Peñarol ont davantage les couleurs de leur club dans le sang. En général, avant de devenir pro, on a tous été supporters de l'un des deux clubs. Les PSG-OM, c'est différent, on perd, et le lendemain tu passes à autre chose. En Uruguay, en cas de défaite, tu n'oses pas sortir dans la rue. Dans le même temps, la tension entre supporters me paraît plus importante en France. Quand je me suis rendu à la finale de la Coupe de France, qu'on a remportée, j'ai constaté que les fans ne s'aimaient vraiment pas! Bon, en tout cas, j'espère que Paris va gagner, ils ont vraiment une bonne équipe.

Propos recueillis par Thomas Goubin


sofoot.com
HHA
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Le Bonheur, par JP Sorin

A l'occasion du classique OM/PSG, Juan Pablo Sorin inaugure son blog sur le dotcom de SoFoot. Au menu aujourd'hui, il revient sur son départ forcé du PSG. En cause: ses relations avec Vahid.

Après plusieurs années d’absence c’est avec un grand plaisir que je retrouve amis, supporters et amoureux du football français. Depuis la chaleur du Brésil, avec le céleste et blanc de l’Argentine agrafé au cœur et après avoir passé 15 années à parcourir le monde pour vivre et respirer le football de 6 championnats différents, je profite de l’occasion pour vous remercier de l’affection que vous m’avez toujours manifestée durant mon passage en France. Ensemble, nous allons désormais partager émotions, anecdotes, confessions... Bref, des moments de bonheur intense mais aussi de profondes tristesses. Je vous raconterai ce qu’il se passe, ici, en Amérique du Sud en espérant avec impatience vos commentaires.

Durant la saison 2003/2004 j’ai été prêté au PSG. Ce fut pour moi 10 mois de vies parisiennes, de bohème, d’amitié sincère et de bon temps. Ce furent aussi 30 matchs disputés avec le maillot parisien sans connaître une seule fois le goût amer de la défaite. Et puis, ce fut un titre : une coupe de France. Un trophée remporté après avoir éliminé l’Olympique de Marseille lors du Clasico… Grâce à un but marqué par mes soins, de la tête, lors du temps réglementaire au Stade Vélodrome. Un moment inoubliable ! Cette saison nous avions fini vice-champion de France, juste derrière l’heptacampeon Lyon.

A Paris on m’a donné le surnom de « Bonheur » parce que j’étais une sorte de talisman pour l’équipe. J’ai été invaincu. Le fait de ne pas connaître la défaite avec un maillot de football sur le dos c’est une sensation unique que je n’ai pu expérimenter qu’une seule fois dans ma vie. A l’époque les supporters du PSG avaient même inventé une jolie chanson pour me rendre hommage et à ma grande surprise j’ai aussi été élu comme l’un des 40 joueurs les plus importants de l’histoire du club... Alors que je n’y est passé que 10 mois! Néanmoins, -et malgré le fait que le prix de mon transfert n’était pas excessif-, j’ai dû quitter le PSG. Contre ma volonté. Mais aussi contre la volonté des supporters du club qui m’avait montré leur soutien en manifestant leur colère. J’ai fait mes valises, en laissant derrière moi une ville merveilleuse et l’un de mes maisons préférées: le Parc Des Princes. Sept ans après, je vous raconte aujourd’hui pourquoi…

Personalidad, liderazgo...au revoir!


Monaco est une ville aristocratique et son stade est plutôt glacial. C’est là que j’ai eu une discussion importante avec mon entraîneur (Vahid Halilhodžić, ndlr) de l’époque. Une conversation, qui, entre autres choses m’a coûté “l’exil” forcé. Comme on dit en Argentine...”tasa, tasa, cada uno en su casa”. Je suis parti de Paris à contre coeur. C’est le prix que j’ai payé pour ma liberté de penser, pour ne pas trahir mes valeurs et pour avoir refusé d’abandonner la sélection argentine. On jouait contre Monaco et comme d’habitude avant chaque match, le coach a pris la parole pour donner ses dernières instructions: -Ici, personne ne peut se permettre de rentrer sur le terrain pour gagner. Même le Real Madrid.... C’est là que je l’ai interrompu: - Pardon Coach, mais le Real dispute toujours ses matchs pour les gagner. Peu importe le stade. (Je suis bien placé pour le savoir, grâce à mon passé Blaugrana) Nous sommes le PSG et nous pouvons gagner le match mais...certainement pas en jouant la défense!

La tension a flottée dans l’air pendant encore quelques minutes. Puis nous sommes finalement rentré sur la pelouse… Pour y suivre les directives du coach: jouer en spéculant. Au final, match nul. 1-1. Nous avons fini deuxièmes du championnat après avoir gagné contre Lyon lors de la dernière journée. La qualification directe pour la Ligue des Champions était ainsi assurée. Le coach fêtait et triomphant il bougeait ses bras partout comme un moulin alors que de mon coté j’essayais de retenir les larmes de mes yeux injectés de sang…

Dans le vestiaire: - Qu’est-ce qui se passe? Tu n’es pas content? - Vous savez très bien ce qui se passe, je lui ai répondu. Vous vous rappelez du match de Monaco? Si on avait gagné ce jour là nous serions aujourd’hui en train de fêter un titre de champion...Vous comprenez ce que c’est? Champions...

Finalement, je suis parti de Paris, où je reviens souvent pour sa magie, et où j’ai laissé de grandes relations affectives. A l’époque, je n’avais même pas pu négocier la moindre ligne d’un contrat. La dernière fois que j’ai parlé au coach, je me rappelle qu’il m’avait “suggéré” de jouer la moitié des matchs de la sélection argentine si je voulais rester. Logiquement, j’ai refusé… Résultat: je suis retourné deux mois au Cruzeiro en 2004, avant d’être transféré à Villarreal. Là-bas, moi et mes compagnons avons réalisé une saison fantastique en nous qualifiant notamment pour une demi-finale de Ligue des Champions…

On se retrouve la prochaine fois pour parler du Classico.

A très vite. D’ici là je vous souhaite d’avoir plein d’énergie positive.

Abrazo,

JP


sofoot.com
romano
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Mendy: « Mon but sur une passe de...Lizarazu »

Du fin fond de sa SuperLiga danoise, où il défend aujourd’hui les couleurs d’Odense, Bernard Mendy capte Canal Sat’ et sera bien assis dans son canapé pour savourer cet OM-PSG. Interview nostalgie, analyse et pronostic avec l’ancien latéral droit parisien.

Tes meilleurs souvenirs d’un PSG-OM en tant que supporter ?

Évidemment, je pense tout de suite au match où Ronaldinho leur met la misère chez eux. Celui où il marque un but de folie, alors qu’en fait c’est Jérôme Leroy qui pousse la balle au fond des filets. Avec Fernandez qui dansait devant son banc... Il avait d’ailleurs failli se faire buter ce soir-là en sortant du stade ! Et puis je me souviens aussi de Jay-Jay Ockocha, de son fameux geste placé sur un Patrick Blondeau qui était parti un peu à l’Ouest.

Ce sont davantage des souvenirs de joueurs, de gestes, d’instants...

Bah ouais, parce que ces matchs là, je ne les ai pas joués ! J’étais en tribune ou devant ma télé...

Et concernant ceux que tu as disputés ?

Direct, le match de coupe où je marque au Vélodrome, contre Fabien Barthez en plus, avec une passe décisive de Lizarazu... (Rires) Sinon, il y a la victoire au Parc quand Pauleta met son super but, cette frappe complètement excentrée sur Barthez encore une fois. Et puis y’a la finale de Coupe de France qu’il fallait absolument gagner, avec ce but incroyable de Vikash. On l’a tellement charié après le match ! Ce genre de frappe, il n’en a mis qu’une seule dans sa carrière et c’est celle-là. C’était vraiment un beau but, et une belle victoire qu’on a fêté dignement. Barrio Latino pour tout le monde !

T’en as joué combien des PSG/OM ?

Franchement, je ne sais pas. Faudrait que je regarde sur internet...

Tu ne les as pas compté ?

Non, mais je suis resté sept ans à Paris, donc on peut faire le calcul si tu veux.

« Paris dans la même catégorie que ManU »

Comment tu le trouves ce nouveau PSG ?

Le PSG version Qatari, c’est bien pour le football français. Pour l’instant, ils font les bons choix, dans la mesure du raisonnable. Le recrutement est bon, même si l’équipe ne pratique pas encore un aussi bon football que l’année dernière. Il faut que la mayonnaise prenne, mais de toute façon, pour être champion, il faut surtout gagner les matchs, peu importe comment... Du moment que tu gagnes, c’est parfait. Que demander de plus ? C’est à la fin des concerts, de la musique ou je sais pas quoi qu’on... Ah ouais non, c’est à la fin du bal qu’on paye les musiciens ! Bien sûr que les journalistes, les téléspectateurs aimeraient que le jeu soit élégant. Mais on ne peut pas faire du beau jeu tous les jours.

Un mot sur la rumeur Ancelotti ?

C’est un secret pour personne ! Depuis qu’ils sont arrivés, les Qataris cherchent un entraîneur à mettre à la tête de “leur” PSG. Ça n’a pas pu se faire pour l’instant, donc ils continuent avec Kombouaré. De là à le virer maintenant, ce serait injuste car aujourd’hui les résultats parlent pour lui. Il fait un excellent travail parce qu’il est assez fort mentalement pour faire la part des choses et coacher ses mecs sans trop se poser de questions. Il sait qu’à n’importe quel moment, Leonardo peut aller voir d’autres joueurs, d’autres entraîneurs. Tout simplement parce que Paris est entré dans une autre dimension. Aujourd’hui, Paris joue dans la même catégorie que Manchester United.

Et l’OM, tu les suis un peu ?

Même s’ils se sont bien repris en championnat, ils sont dans une situation difficile, dos au mur en Champions League. La rupture entre Deschamps et Anigo, les histoires avec Gignac, tout ça n’arrange rien. Entre les joueurs qui sont pro-Anigo et ceux qui se rangent du côté de Deschamps, je crois vraiment que le club n’a pas besoin de ça. La situation de Marseille est difficile pour tout le monde, et surtout pour le football français en Europe.

Et aussi pour le PSG... Parce qu’un clasico avec Paris et Marseille aux commandes de la Ligue 1, ça a quand même plus de gueule, non ?

Oui c’est sûr, mais c’est vraiment un match à part. Quoi qu’il arrive, les supporters te mettent la pression et tu sens vraiment que par rapport à eux, tu peux presque sauver ta saison si tu gagnes. Marseille peut tout à fait retrouver la lumière sur ce match.

Un prono ?

Bodmer, Armand, Mandanda, Diawara, Fanni, Cheyrou... J’ai des potes des deux côtés du terrain, mais je mise sur une victoire 1-0 de Paris. Avec un but de Bodmer, parce qu’il faut qu’il marque un peu mon p’tit gros ! Ça, ce serait l’idéal.

Si Bernard Mendy pouvait jouer ce soir, il évoluerait de quel côté et à quel poste ?

Milieu droit à Marseille ! Mais Paris ne risque rien, je n’ai jamais marqué contre un de mes anciens clubs. LOL.


Sofoot.com
Carlton
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Nicolas Anelka mis à pied par Chelsea !


Nicolas Anelka a été mis à pied vendredi par le club londonien et ne jouera donc pas cet après-midi contre Newcastle. Il ne peut plus s'entraîner avec le groupe professionnel et a été mis à à la disposition de l'équipe réserve. | AFP/Olly Greenwood

Nicolas Anelka, 32 ans, l'attaquant français de Chelsea, a été mis à pied hier par le club londonien et ne jouera donc pas cet après-midi contre Newcastle. Il ne peut plus s'entraîner avec le groupe professionnel et a été mis à à la disposition de l'équipe réserve. Alex, le défenseur brésilien des Blues, est également visé par cette procédure.

On ne connaît par encore les motifs réels de cette décision, mais celle-ci pourrait être liée aux velléités de départ de ces deux joueurs. On sait, en effet, qu'Anelka, en fin de contrat avec le club anglais en juin prochain, est actuellement en contacts avancés avec le club chinois de Shanghai Senshua.


leparisien.fr
Julio94
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Le Nacional de Gallardo champion

Entraîné par l'ancien Monégasque et Parisien Marcelo Gallardo, le Nacional Montevideo a remporté le Championnat d'ouverture uruguayen. C'est un petit miracle puisqu'il y a quelques semaines, le club comptait sept points de retard sur le leader. Mais grâce à une super fin de championnat (22 points lors des huit derniers matches!), le Nacional est remonté et a été sacré après sa victoire sur le Liverpool de Montevideo (1-0). L'unique but de la rencontre a été marqué par Alvaro Recoba, feu le joueur le mieux payé du monde.


lequipe.fr
Homer
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Fernandez bientôt fixé

L'avenir de Luis Fernandez à la tête de la sélection israélienne devrait se jouer dans les prochaines semaines. Malgré des résultats décevants et un contrat qui expire fin 2012, la Fédération n'excluerait pas la possibilité de prolonger l'entraîneur français au poste de sélectionneur. «Son contrat se termine fin décembre et la Fédération (israélienne de football) se réunira début janvier pour décider de l'identité de l'entraîneur de l'équipe nationale», a déclaré une source au sein de la Fédération. Recruté en 2009 avec l'objectif de qualifier Israël pour la phase finale de l'Euro 2012, Fernandez a échoué à la troisième place de son groupe derrière la Grèce et la Croatie.

D'après l'entourage de l'ancien entraîneur du PSG, il «attend la décision de la fédération qui doit examiner le rapport qu'il a présenté sur son bilan à la tête de la sélection». Il avait déclaré en Septembre qu'il resterait tant qu'on voudrait de lui, affirmant s'être «complètement investi (...), je continue, car je veux réussir». Selon la presse israélienne, qui n'a jamais apprécié Fernandez, Eli Guttman, ancien coach de l'Hapoël Tel Aviv, considéré comme l'un des meilleurs entraîneurs d'Israël, est le favori pour succéder au Français

L'Equipe
PetaiceJay
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Jean-Michel Badiane, un «bénévole» à la relance

FOOTBALL - L'ancien défenseur du PSG tente un retour avec le Paris FC où il joue gratuitement...

Il n’y a pas de traitement de faveur au Paris FC. Même avec son statut d’ancien joueur de L1 et d’international espoir, Jean-Michel Badiane range les buts mobiles comme tout le monde, quand il fait partie de l’équipe des perdants à l’entraînement. Depuis quelques semaines, l’ex-défenseur du PSG s’entraîne à la Porte de Montreuil sous les ordres d’Alain M’Boma, le seul coach qui a accepté de le mettre à l’essai depuis son départ de Sedan, il y a deux ans et demi. Après deux années passées au côté des jeunes du centre de formation du PSG, Badiane a proposé ses services gratuitement au PFC. En échange, «ils doivent (l’aider) à retrouver le plus haut niveau.»

A 28 ans, le défenseur central attend toujours sa première apparition en National pour effacer la déprime des derniers mois. Il faut déjà remonter quatre ans en arrière pour trouver trace de son dernier match officiel. Un an et demi pour son dernier salaire, versé par Pôle Emploi. «Quand il n’y a pas de compétition pendant une deux, trois saisons, on tombe dans une spirale qui n’est pas facile à enrayer. Mais je me bats parce que j’ai confiance en mon football et mes moyens physiques.» L’ancien de l’INF Clairefontaine a surtout dû se battre contre une rumeur le donnant perdu pour le foot. Avec cette étiquette de blessé longue durée «aucun club ne voulait prendre le risque de (le) relancer. A Sedan, certaines personnes faisaient croire que j’étais blessé. Je pense que le but était de se séparer de moi à moindre frais. Puis j’ai compris que cette rumeur prenait de l’ampleur. J’ai dû prouver que j’étais en bonne santé.»

«Coach, sans prétention, j’ai déjà joué la Ligue des champions…»

Depuis une arthroscopie du genou gauche en 2005, son corps ne couine plus. Mais les portes se sont toutes fermées. «Les clubs de L1, L2, mon agent les a tous fait. Ils disaient non. Les clubs de National, ils me disaient on ne vous connait pas.» Le meilleur ami de Jérémie Aliadière se souvient notamment de cet entretien surréaliste dans le bureau d’un coach de National qui lui reprochait de ne jamais avoir joué à ce niveau. «Je l’arrête un moment je lui dis: “coach, sans prétention, j’ai déjà joué la Ligue des champions…” Ah bon? Je vais regarder sur Internet, parce que je ne te connais pas…»

Avant de renouer avec le quotidien d’un club, Badiane a donc profité de son temps libre pour regarder des dizaines de matchs à l’étranger, à Londres, Barcelone ou Madrid. Ces quatre années de chômage technique lui ont aussi permis de tirer certaines leçons sur son milieu. «A Paris, on a beaucoup de soi-disant amis et même si ça m’a arrangé, on s’aperçoit que beaucoup disparaissent quand ça va moins bien.» Sur son compte en banque, quelques zéros se sont aussi envolés si bien qu’à 28 ans, Jean-Michel Badiane est retourné vivre chez ses parents. «Un choix par contrainte» pour celui qui a rejoint l’INF Clairefontaine à 13 ans. «Financièrement, passer de tout à rien, ça reste très compliqué. Un contrat de trois ans au PSG ne met pas à l’abri du besoin. Heureusement que j’ai des parents qui savent que ce n’est pas toujours évident. Ils me soutiennent, comme quand ils venaient me voir sur des terrains pourris où je n’avais même pas envie de jouer.» Voilà pourquoi le stade Charlety a de quoi le faire rêver.


20Minutes.fr et édition papier de ce Lundi 12 Décembre.
Homer
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Djorkaeff et Gallardo pressentis à Monaco

L'homme d'affaires russe Dmitri Rybolovlev sera bien le nouvel homme fort de l'AS Monaco. Etienne Franzi, l'actuel président du club, l'a confirmé mardi après son passage à Paris devant la DNGC : «Avant la fin de l'année, il y aura un nouvel actionnaire majoritaire à l'ASM, qui sera M. Rybolovlev et son groupe».

Mais la 93e fortune mondiale, selon le dernier classement du magazine américain Forbes, ne devrait pas débarquer seule en Principauté. Youri Djorkaeff est pressenti pour devenir le futur directeur sportif du club de la Principauté, et il pourrait être rejoint après la trève par un autre ancien Monégasque, l'Argentin Marcelo Gallardo. L'ancien international, qui a mis un terme à sa carrière en mai dernier, pourrait remplacer Marco Simone au poste d'entraineur, rapporte L'Equipe.

Nommé coach du Nacional Montevideo en juin 2011, Gallardo vient de remporter le championnat Apertura avec le club uruguayen. (Photo Presse-Sports)

France Football
Beuzech
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Dalmat sur le départ

«En situation d'échec», dixit son entraîneur Frédéric Antonetti, le milieu offensif du Stade rennais Stéphane Dalmat (32 ans, sous contrat jusqu'en juin prochain) pourrait quitter la Bretagne dès cet hiver pour retrouver du temps de jeu (49 minutes en quatre apparitions cette saison en L1). Alors que l'ensemble du groupe pro est en route pour Madrid et le match de Ligue Europa face à l'Atletico Madrid (jeudi, 21h05), l'ancien Sochalien, arrivé au club à l'été 2010, est le seul à ne pas être du voyage. «Pour raisons personnelles» a expliqué mardi Antonetti, qui lui ouvre la porte à un départ en janvier. «Est-ce que cela serait bien pour lui de repartir sur un autre challenge ? On se pose la question, lui aussi. (...) C'est un très bon joueur, il le montre parfois. Mais on n'a pas été en réussite ensemble. Il a une part de responsabilité, mais pas tout


Moux
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Sessegnon: "A Paris, je ne pouvais pas continuer"



Près d'un an après son arrivée à Sunderland, Stéphane Sessegnon ne regrette pas d'avoir quitté le PSG. Dans France Football, le Béninois explique qu'il lui était devenu impossible de s'entraîner "sous les ordres" d'Antoine Kombouaré.

"Je suis bien là où je suis." A Sunderland, Stéphane Sessegnon est un footballeur comblé. "Il n’y a pas de Qataris à la tête du club, mais il vit bien quand même." Et même si les Black Cats bataillent dans les profondeurs de la Premier League, le Béninois (27 ans) s'épanouit de l'autre côté de la Manche. La France, il l'a quittée en janvier dernier. "Je ne pouvais pas continuer mon métier avec cette personne et dans ce contexte", clame-t-il dans les colonnes de France Football. "Cette personne" n'est autre qu'Antoine Kombouaré. "Ce contexte" ? Le Paris Saint-Germain. L'ancien Manceau dit être "toujours attaché à ce club". Il en a porté les couleurs durant deux ans et demi. Pour un bilan de 10 buts en 88 matches.

Le clash de trop

"Sur le plan personnel, je me suis bien senti la première saison, mais on a fini sans trophée. J’étais libre dans le jeu. Je faisais peut-être moins d’efforts défensifs, j’avais plus de jus pour les phases offensives. Et puis, il y a eu le changement d’entraîneur." Durant l'été 2009, Antoine Kombouaré a remplacé Paul Le Guen. Ses relations avec le Kanak se sont vite détériorées. Jusqu'à ce clash du 21 décembre 2010. "Dans le bureau, il y a eu des échanges qui sont allés trop loin, qui m’ont blessé", raconte Sessegnon. Les insultes fusent. La rupture est totale. "Je pouvais continuer à m’entraîner, tout en demandant à partir, mais je ne pouvais plus participer aux séances sous les ordres de cet entraîneur. Ce n’était pas une façon de mettre la pression parce que j’avais des propositions de l’autre côté. C’était une question de principe."

"Je n’ai pas l’habitude d’abandonner"

Sessegnon entame alors un bras de fer avec le club parisien. Pendant un mois, il ne s'entraîne plus. Avec le recul, il regrette. "Si les choses avaient été différentes, je serais peut-être revenu à l’entraînement. Je sais tout ce que j’ai perdu pendant ce mois-là, de la condition physique, une partie de ma réputation et de l’argent." Mais sa décision est prise : il veut faire ses bagages. "Je ne me serais pas levé du jour au lendemain pour dire que je voulais quitter Paris, sans raison. Je n’ai pas l’habitude d’abandonner. Même quand c’est difficile, je m’accroche. Si j’ai décidé de partir, ils savent pourquoi, mais je ne veux pas ressortir les mots qui ont été prononcés." Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts. Sessegnon affirme avoir tourné la page. Même s'il nourrit "un petit regret" : "C’était peut-être aussi à moi de m’adapter, mais je n’ai pas été capable de montrer tout ce que j’étais capable de faire." Avant d'insister : "Je n’ai jamais triché, jamais lâché. Dans l’état d’esprit, je n’ai rien à me reprocher."


Eurosport - Gil BAUDU
NeiBaF
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Luis Fernandez au Paris FC ?

Luis Fernandez, qui a décidé de ne pas poursuivre avec l'équipe nationale d'Israël, s'est peut-être trouvé un nouveau challenge. L'ancien entraîneur du PSG a révélé mercredi être en discussion avec les dirigeants du Paris FC pour «diriger un projet sportif». Il a précisé qu'il ne sera ni entraîneur, ni président, mais qu'il voulait entrer dans le capitale du club. Guy Cotret, l'actuel président, a avoué à notre quotidien qu'il avait rencontré Fernandez «il y a trois semaines». Les deux hommes pourraient se revoir en fin de semaine afin d'entrer dans une phase plus concrète.



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romano
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« Une espèce de mégalomanie puante »,

EXCLU365 - PSG / F.LLACER, Transferts PSG

Interrogé par nos soins sur l'éviction d'Antoine Kombouaré, Francis Llacer a salué le travail du coach kanak. Surtout, l'ancien latéral parisien a tiré à boulets rouges sur Leonardo, « hautain et incompétent » selon lui.

Francis Llacer, quelle est votre première réaction après l’éviction d’Antoine Kombouaré ?
Même si aujourd’hui tout le monde avait compris que le divorce était consommé, je ne trouve pas ça très élégant la façon dont ça s’est fait. Ce n’est pas digne d’un directeur sportif du PSG. Il faudra qu’on m’explique comment on peut faire mieux qu’être champion d’automne ? Avoir 50 points ? Mais ça ne s’est jamais vu dans le championnat de France. Antoine a réussi à faire un truc exceptionnel avec l’équipe. Les joueurs sont arrivés très tardivement et il a réussi à créer une osmose, une dynamique. Contrairement à ce que les gens veulent bien raconter, il a recadré des joueurs quand il le fallait, parce qu’il y en avait quelques uns qui pensaient un petit peu s’envoler (sic). Pour moi, il a fait un travail exemplaire, et le virer comme ça d’un revers de main, c’est limite insultant.

Est-ce que l’image « classe » de Leonardo risque de pâtir de cette décision ?
C’est plus que limite. Avec ce qu’il s’est passé pendant la trêve internationale, je ne vois pas comment Leonardo peut avoir l’image d’un gentleman. Quand on est capable de prendre une chambre d’hôtel à son nom pour y loger un entraîneur pour virer l’autre, je ne pense pas que ce soit tout à fait digne de la part de quelqu’un de « classe ». Et qu'on ne me dise pas qu'Ancelotti est venu à Paris pour faire ses courses. Son fonctionnement est complètement à côté de la plaque.

« Leonardo va être au pied du mur »


Etre virer quand on est leader, ça doit être difficile à accepter pour Kombouaré ?
C’est simple, c’était le joueur emblématique du club, c’était la seule relation qu’il pouvait y avoir avec un PSG historique. Aujourd’hui, qu’est ce qui reste au PSG ? Rien. Il connaît la maison mieux que personne. C’était quelqu’un qui était inscrit dans le passé et qui voulait s’inscrire dans l’avenir. L’envoyer dans le mur de la sorte, c’est vraiment un manque de respect pour l’homme, pour l’image, mais aussi pour l’histoire du club. C’est pour ça que je trouve ça très dégradant et pas très élégant. Surtout, j’ai beaucoup de peine pour lui. Il entraîne avec son cœur et il mérite plus de respect que ça.

Avec cette décision, Leonardo ne se met-il pas plus de pression sur les épaules ?
J’espère bien. Qu’on puisse enfin le démasquer. On ne peut pas toujours se cacher et jeter la pierre aux autres. Maintenant, il va falloir qu’il assume ses responsabilités et ses choix. On va voir. Il aura des joueurs et un entraîneur qu’il a choisi. Il va être au pied du mur, et on va voir comment ça se passe. Ce que je lui souhaite, c’est qu’il y ait un changement rapide. Il va falloir qu’ils soient premiers et qu’ils gagnent le championnat avec 25 points d’avance.

La communication de Leonardo est remise en cause. N’est-ce pas étonnant de sa part alors qu’il est tout de même passé par des clubs prestigieux ?
C’est bien, bravo. Il est passé par des clubs prestigieux, c’est bien, j’en connais plein des joueurs comme lui. Mais il a gagné quoi ? Aujourd’hui, il est en place parce que les Qataris l’ont choisi. Point. Il a été directeur sportif du Milan AC, et alors ? En l’occurrence, si c’était géré de la même façon, il était simplement là pour décorer. Parce que s’il avait géré de la même façon, Berlusconi lui aurait fait prendre la porte rapidement. Ce fonctionnement me dérange profondément. Ce fonctionnement hautain, imbu de sa personne, dégageant une espèce de mégalomanie puante, me pose de vrais problèmes. Ce ne sont pas les valeurs du club. Et ce ne sont pas du tout les valeurs que veulent donner les gens pour lesquels il travaille.

« De l’amateurisme le plus complet »


On parle avec insistance de l’arrivée de Carlo Ancelotti sur le banc du PSG. Un ami proche de Leonardo…
Aujourd’hui, mettre un entraîneur différent de Carlo Ancelotti, avec qui il a travaillé très longtemps au Milan AC, va être très compliqué. Si on prend quelqu’un avec une certaine envergure, la personne ne voudra pas être réduite aux faits de l’entraîneur basique. Il voudra prendre plus de décisions. La seule chose que je souhaite avec celui qui va arriver, c’est d’être champion avec plus de six points d’avance. Sinon je pense que ça risque d’être très compliqué pour Leonardo, mais surtout pour Nasser al-Khelaifi. Leonardo est en train de le mettre dans une situation intenable. Demain, si Leonardo saute du PSG, il trouvera toujours un pied à terre. Mais je pense que Nasser al-Khelaifi va avoir quelques difficultés s’il ne remplit pas le cahier des charges qui lui a été donné par le Prince. Quand je vois Leonardo qui dit qu’il laisse Tevez au Milan AC. Je ne savais pas que les Qataris étaient là pour avoir les seconds choix. Ce sont des erreurs de communication qui sont de l’amateurisme le plus complet.

Les Qataris ont-ils fait une erreur en s’attachant les services de Leonardo ?
Le problème, c’est qu’on leur a vendu l’image de Leonardo comme quelqu’un de très policé, très propre, gentleman. Je pense que la réalité est toute autre. On a fait tomber les masques, tout simplement. On se rend compte de qui est réellement Leonardo et de son incompétence en l’occurrence. Si demain j’ai la même somme d’argent pour aller faire les courses, je ne suis pas plus mauvais que lui.


Homer
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Coupet : «J'attends le coup de blues»
Présent aux Etoiles du Sport, Grégory Coupet en a profité pour évoquer sa carrière, qui s'est récemment terminée. L'ancien gardien international est en pleine forme, mais craint que ça ne dure pas.


«Grégory Coupet, quel bilan tirez-vous de votre carrière ?

Je ne pouvais pas rêver de faire le parcours que j'ai accompli. Ma plus grande fierté, c'est d'avoir su passer de Saint-Etienne à Lyon, et surtout d'avoir vécu des vraies rencontres humaines. Paris, je n'y suis passé que deux ans, mais ce club, les gens que j'y ai rencontrés, m'auront marqué. Même l'année à l'Atletico m'a apporté un bonheur immense. Mis à part l'équipe de France et le clash de Tignes, je ne regrette rien. Et encore, je me suis construit dans tout. Tous les moments, en bien ou en mal, ont été importants à vivre. Ma carrière m'a comblé. Et en plus je ne pensais pas pouvoir durer aussi longtemps.

Si vous aviez un meilleur souvenir, lequel serait-il ?

Il y en a tellement... (il réfléchit) J'aurais tendance à dire un titre, le premier avec Lyon. C'était le Graal ! En plus, à l'époque, on commençait à nous titiller, à nous appeler les Poulidor du football, ce qui en soi n'est pas catastrophique, parce qu'il a fait une belle carrière. Mais ça énerve aussi. Et puis la manière dont ça s'est passé : gagner ce championnat sur 90 minutes. Quand c'est le premier, c'est encore plus fort. Toutes ces sensations sont fabuleuses. Mais s'il fallait retenir une seule chose, ce sont les aventures humaines que j'ai vécues, partout... Gagner des titres, c'est ce que le public retient, mais garder les amitiés que j'ai connues, c'est ce qu'il y a de plus important pour moi.

Et le plus mauvais souvenir...

C'est Tignes (lors du stage de préparation des Bleus avant la Coupe du monde 2006, Coupet quitte le camp de l'équipe de France pendant quelques heures, s'estimant victime d'une injustice face à Fabien Barthez, le gardien titulaire, avant de se raviser et revenir, ndlr). C'est le seul moment où je n'ai pas réussi à canaliser quoi que ce soit. Le ras le bol est passé au-dessus de tout. Et ça été très difficile à vivre. Je suis content d'avoir réussi à continuer derrière, à ne pas m'être blessé, mais j'ai vraiment vécu un mauvais moment. Aujourd'hui encore, rien que d'en parler, ça me touche encore.

«Le foot, c'est tout de même un monde parallèle, dans lequel il est facile de se perdre, même s'il est fabuleux.»

Il y a des moments de votre vie de sportif qui vous manquent ?

Non, pas du tout, et d'ailleurs ça m'étonne. Je n'arrête pas de me dire que le coup de blues va finir par arriver (sourire). Je pense que c'est inévitable, car j'étais tellement heureux dans ce que je faisais, j'aimais tellement m'entraîner. Je suis très étonné que le foot ne me manque pas plus que ça. En même temps, je fais beaucoup de choses, je suis curieux de nature, j'ai la chance de découvrir d'autres domaines. C'est presque indécent d'être aussi heureux. Ça va forcément me tomber dessus à un moment ou à un autre, ce n'est pas possible (sourire). Et j'ai aussi la sensation que mon corps me dit merci d'avoir arrêter. Je ressens un grand bien-être, je n'ai mal nulle part. Mais j'attends le coup de blues...

Si vous n'aviez pas été un sportif de haut niveau, quel métier auriez-vous aimé faire ?
J'aurais sûrement travaillé dans la communication. Ou alors comme mes parents l'ont été, VRP. J'ai le contact facile. Et dans mes gênes je suis un peu comme mon père, qui était très fort. Vous aviez besoin d'un four, il arrivait à vous vendre un frigo (sourire). Il a une force de persuasion assez extraordinaire, et j'ai gardé ce plaisir de découvrir, d'échanger.

Si vous n'aviez pas été Grégory Coupet, quel sportif auriez-vous aimé être ?

Michael Jordan (sans hésitation). Il a toujours été la référence pour moi. Pour ce qu'il a été sportivement, ce qu'il a apporté à la NBA, mais pas seulement. J'admire aussi son évolution. Il a été la figure emblématique d'un sport mais il a également su évoluer par rapport à l'adversité, aux défis qu'on lui proposait. Quelle force mentale ! Il s'est arrêté, a essayé un autre sport, puis est revenu au basket. Quand on voit ce qu'il est devenu, un businessman accompli, c'est un bel exemple. Il continue à faire ce qu'il aime.

Au final, de quoi êtes-vous le plus fier ?
D'avoir réussi à construire une vie de famille. Le foot, c'est tout de même un monde parallèle, dans lequel il est facile de se perdre, même s'il est fabuleux. Mais ça n'a rien bouleversé dans ma vie personnelle, et c'est peut-être pour ça aussi que je suis si heureux aujourd'hui. J'ai encore plein d'objectifs. Si je devais être tout seul à assumer ma retraite aujourd'hui, ça serait beaucoup plus dur. J'ai la chance d'être bien accompagné.»

L'Equipe
Homer
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Mulumbu est touché

Touché au niveau des adducteurs lors du match nul de West Bromwich Albion face à Manchester City (0-0), ce lundi, Youssouf Mulumbu va passer cette semaine des examens afin de déterminer la gravité exacte de sa blessure. Mais au moment de sa sortie à la 80e minute, l'ancien Parisien grimaçait fortement. «Savoir à quel point c'est sérieux, je ne peux pas le dire pour le moment», a expliqué Roy Hodgson, le manager des Baggies, après la rencontre

France Football
Homer
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Luis Fernandez a rendez-vous avec le Paris FC

Les relations entre Luis Fernandez et le Paris FC sont toujours aussi bonnes. Le technicien de 52 ans, qui officie actuellement en tant que consultant à la radio, a rendez-vous le 2 janvier avec les dirigeants du club francilien, rapporte Le Parisien dans son édition du jour. L'ancien joueur a l'intention de s'impliquer «dans le capital du club, en ayant la volonté de peser sur les décisions.» Mais «sans ambitionner d'être président ni entraîneur». L'entrevue devrait permettre à Fernandez, libre de tout contrat après son échec avec Israël, de présenter les bases de son projet

France Football
Homer
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Rocheteau prend du galon

Le conseil de surveillance de l'AS Saint-Etienne a décidé d'étendre les responsabilités de Dominique Rocheteau. L'ancien international assurera désormais la coordination sportive du club. Il sera notamment responsable du centre de formation, de la cellule observation, de la post-formation, mais aussi des relations avec les supporters. Christophe Galtier, l'entraîneur des Verts, reste, lui, sous l'autorité de Roland Romeyer

L'Equipe
Steff14
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Sochaux intéressé par Cana

En difficulté en Ligue 1 depuis le début de la saison, Sochaux pourrait profiter du mercato hivernal pour se renforcer. L'entraîneur Mécha Bazdarevic souhaite ainsi recruter «un ou deux joueurs de qualité, rapporte L'Est Républicain, ce jeudi. J'ai pris l'initiative pour certains. Avec Cana, je serais content comme le bon Dieu», ajoute même le coach sochalien. L'Albanais porte actuellement les couleurs de la Lazio de Rome mais est peu utilisé par son entraîneur. Le salaire élevé de l'ancien marseillais pourrait toutefois poser problème. Par ailleurs, le nom de Peguy Luyindula a également été évoqué du côté du Doubs. «On m'avait demandé mon avis il y a un mois et demi, cela me semblait intéressant. C'était une piste, mais on n'en a pas reparlé depuis», évoque Bazdarevic.


lequipe.fr
MadininaScal
Un article interessant qui prend toute la presse a contrepied...Surement un mec de Culture! ph34r.gif

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Antoine qui ?

Et si le Paris Saint-Germain Football Club avait pris l’une des plus heureuses décisions de son existence en choisissant de foutre Antoine Kombouaré à la porte ? Problème : cette vérité a du mal à être validée par une opinion publique autant moralisatrice qu’à la ramasse.

Deux sondages, au hasard. Un premier sur lequipe.fr sitôt la rumeur de mise à l’écart de Kombouaré confirmée : « Approuvez-vous la décision du Paris-SG de se séparer d’Antoine Kombouaré ? ». 16% de OUI, 82% de NON, 2% de personnes dont le cœur est alors trop lourd pour se prononcer. Un deuxième sur RMC : « Selon vous, fallait-il virer Kombouaré? ». OUI : 21%. NON : 79%. Naïve qu’elle est, la France est sous le choc. La tendance est là, et ne concerne pas seulement les acteurs passifs du foot français. Les anciens joueurs du PSG n’ont par exemple pas tardé à montrer les dents au moment de défendre leur ex-coéquipier. « Ce n’est pas logique, l’équipe a 40 points, elle est championne d’automne (…) C’est dégoûtant, ce n’est pas normal, son travail n’est pas récompensé », grimaçait Laurent Fournier dans les colonnes de L’Equipe le 23 décembre. Le coach auxerrois est alors suivi par Daniel Bravo : « Ce qui est discutable, c’est le timing. S’il ne voulait pas d’Antoine Kombouaré, Leonardo aurait pu convaincre les Qatariens dès le début de la saison. Les entraîneurs sont des êtres humains».

Antoine Kombouaré est un être humain qui palpera une indemnité de quelque 3 millions d’euros au moment où son contrat le liant au PSG sera soigneusement chiffonné puis envoyé dans la corbeille. Le genre de lot de consolation qui a le pouvoir de dissoudre n’importe quel sentiment d’humiliation. Pour le reste, Fournier et Bravo ont faux et encore faux. Est-il logique de virer l’ancien entraîneur de Valenciennes alors que le PSG est champion d’automne ? A priori, être vainqueur d’une saison « météorologique » n’a jamais pesé lourd dans un CV, exception faite pour les lauréats des Printemps de Bourges.

Rester bon ou devenir meilleur

Le bilan du Kanak est très bon depuis l’entame du championnat, avec 63,16% de victoires (12 en 19 rencontres) qui tranchent avec les maigrichons 35,52% de succès atteints par le club de la capitale lors des deux précédents exercices (27 victoires en 76 matches). Des chiffres dont l’évolution favorable résulte davantage de l’arrivée des biftons de Qatar Sports Investment et la manière dont les a utilisés Leonardo que du génie tactique du Nouméen. Kombouaré quitte Paris avec un bilan ni fabuleux, ni mauvais. Et après tout, peu importe, car ce n’est pas sur ses résultats que l’ancien défenseur central a été jugé - quand bien même l’argument de l’élimination en Europa League a été hypocritement avancé. Simplement, ce n’est pas parce que le PSG est bon qu’il doit s’interdire de songer à un avenir meilleur. C’est pourtant le procès que 80% de Français et des poussières attentent à Nasser al-Khelaïfi et Leonardo. Eux s’en cognent et continuent de diriger leur engin comme des robots. Et si le Paris Saint-Germain était la seule entreprise au sein de laquelle le patron et le DRH bossent en mettant leur cœur de côté, ça se saurait.

Quant au « mauvais timing » qui semble chagriner l’opinion publique, il est plutôt parfaitement bon. Quoi de plus vulgaire que de virer un coach pour « mauvais résultats » ? En éjectant Antoine au moment où il pilote le leader de L1, les dirigeants parisiens donnent un généreux coup de pied aux fesses de la routine du championnat de France. Deviner qu’un type plafonne est un geste plutôt louable et complètement novateur. Malgré ça, la décision prise par al-Khelaïfi et Leonardo a du mal à passer dans le gosier du Français contestataire, qui trouve matière à grogner en oubliant le vilain paradoxe qui l’habite : habitué à cracher sur le spectacle offert par la Ligue 1 tout en se caressant devant Manchester City, Barcelone et le Real Madrid, il continue de gueuler en snobant l’ambition d’un beau football auquel le PSG 2.0. aspire. Car offrir une place de parking au Camp des Loges à Carlo Ancelotti et les remorques de poids lourds qui vont suivre n’est pas de son goût. C’est l’âme du PSG à laquelle on est en train de toucher en faisant venir le Qatar, Beckham et la crème de la Serie A du côté de la Porte d’Auteuil.

Un coup du fil du Mans

Débarquent aussi tous ces fans du club qui tuent leur temps en exigeant qu’on ne les mette pas dans le même sac que ceux qui viennent de se joindre à la fête. Comme si le fait d’avoir vu sévir Safet Susic il y a vingt-cinq ans leur donnait plus de légitimité qu’un type devenu amoureux du blason depuis que 2011 lui a appris que Javier Pastore et Christophe Jallet ne faisaient pas tout à fait le même métier. Pendant ce temps-là, Antoine Kombouaré digère. Il a reçu mercredi un coup de fil pour entraîner Le Mans, 17ème de Ligue 2. Pour l’instant, c’est tout ce que le football français peut lui proposer. Pour un mec soutenu publiquement par tout un milieu, c’est peu. A moins que les bla-bla récités à chaud pour remonter le moral du licencié aient fait suffisamment de bruit pour éclipser un sujet un peu plus embarrassant : la valeur d’Antoine Kombouaré sur le marché.

Par Matthieu Pécot


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Foot - BLR - BATE Borisov
Kezman non conservé


L'ancien attaquent du PSG (2008-novembre 2010), Mateja Kezman (32 ans), quitte le BATE Borisov, a annoncé le club biélorusse lundi sur son site officiel. Son contrat prenait fin le 31 décembre et n'a pas été renouvelé. Le Serbe s'était engagé en août dernier après une expérience de cinq mois dans le club chinois de South China. Avec Borisov, il aura disputé six matches de Championnat et cinq de Ligue des champions.

lequipe.fr
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Pilorget remplace Guion

David Guion n'est plus entraîneur de Cannes. Parti au Red Star, l'ancien membre du staff de Laurent Roussey à Saint-Etienne est remplacé par Jean-Marc Pilorget. Agé de 53 ans, cet ex-joueur du PSG connaît la maison puisqu'il a évolué à l'ASC (aujourd'hui 12e du groupe C du CFA) lors de la saison 87-88.

source: lequipe.fr
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Bourillon indisponible plusieurs semaines

Alors qu'il avait rejoué face à Caen (0-0, 21/12), le défenseur central de Lorient Grégory Bourillon (abdominaux) devrait être arrêté plusieurs semaines. Il saura demain si une intervention chirurgicale est nécessaire.

L'Equipe
Homer
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Mabiala vers Karabükspor

L'ancien parisien Larrys Mabiala quitte Nice et la France. Le défenseur de 24 ans s'envole ce mercredi pour la Turquie et Karabükspor où il doit passer sa visite médicale. C'est le site officiel du club azuréen qui a annoncé la nouvelle et précisé que les derniers détails financiers étaient encore à régler

L'Equipe
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Après le PSG, Antoine Kombouaré recharge les batteries avant de repartir au combat

FOOTBALL - Viré du PSG le 22 décembre, l'ancien coach parisien souffle avant de revenir sur le marché...

«Il dit toujours «on» quand il parle du PSG», s’amuse Francis Decourrière. L’ancien président de Valenciennes est resté très proche d’Antoine Kombouaré, qui fut son coach à Valenciennes de 2004 à 2009. Débarqué le 22 décembre par Leonardo, le Kanak n’a tout de même pas renié le PSG. «Il a vécu un moment très difficile. Mais au téléphone cette semaine, il m’a expliqué qu’il s’était révélé à lui-même», ajoute son ami Nordiste. «Il m’avait dit que sa seule chance de rester aux commandes était de terminer premier, ça n’a pas suffi», enchaîne un de ses proches. Aujourd’hui, «en aucun cas il ne reste aigri», assure Christian Karembeu, qui considère l’ancien coach parisien comme son «grand-frère».

Golf avec Laurent Blanc à Noël, la Nouvelle-Calédonie en janvier

Ce sentiment d’aigreur aurait pourtant été légitime. Mais Antoine Kombouaré l’a évacué dès son casier du Camp des Loges débarrassé. Son cercle rapproché affirme aussi que le tacticien a été très touché des marques de soutiens venues de toute la Ligue1. Pour les fêtes, il s’est donc envolé pour le Maroc l’esprit un peu plus léger. Là-bas, il a enchaîné les parties de golf avec Laurent Blanc, le sélectionneur de l’équipe de France, un autre de ses proches. Parti avec un chèque de 4 millions d’euros en indemnités, Il terminera la digestion d’un épisode mouvementé en s’envolant dans les prochains jours pour un mois vers sa terre natale, la Nouvelle-Calédonie. «J’espère qu’il en profitera pour se ressourcer», indique Christian Karembeu.

Decourrière: «Il a déjà reçu quelques propositions, mais il n’a pas intérêt à se précipiter»

Chez Casque d’Or, la déprime n’est de toute façon pas un sentiment connu. De fait, Antoine Kombouaré est déjà dans l’après-PSG. «Il a déjà reçu quelques propositions, mais il n’a pas intérêt à se précipiter», indique Francis Decourrière. L’une d’elles menait au Mans, mais il l’a décliné. En quittant Paris sur un poste de champion d’automne, il est conscient d’avoir conservé une très bonne côte sur le marché. De quoi envisager un retour rapide sur les bancs? «Ca, il n’y a qu’Antoine qui peut le décider. Mais ce métier lui tient à cœur, et ce n’est pas le genre d’homme à rester longtemps au repos», remarque Christian Karembeu.


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Homer
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Kombouaré aurait refusé Monaco

Antoine Kombouaré, récemment licencié du PSG, aurait refusé de devenir l’entraîneur de l’AS Monaco, lanterne rouge de la Ligue 2. C’est ce qu’indiquait hier la chaîne CFoot. Dmitry Rybolovlev, le nouveau propriétaire russe du club monégasque, aurait décidé de se séparer de l’Italien Marco Simone, arrivé à la mi-septembre en remplacement de Laurent Banide.

Le Parisien
VDV#23
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Pires et Cannavaro en Inde !

Incroyable mais vrai : l'Inde lance son Championnat de football. Pires, Cannavaro mais aussi Okocha, Fowler, Crespo et Morientes sont de la partie !

l y a trois jours, Robert Pires nous expliquait qu'il avait des touches en Inde. Ces dernières se sont concrétisées. L'IFA annonce que l'ancien milieu de l'équipe de France va participer au lancement de la nouvelle Premier League dont la présentation a été faite vendredi soir. Il évoluera dans le West Bengala (un Championnat à six équipes) avec Fabio Cannavaro, Jay-Jay Okocha, Robbie Fowler, Fernando Morientes et Hernan Crespo. Selon la Gazzetta dello Sport, ces stars devraient toucher entre 500 000 et 1 million de dollars pour sept semaines de compétition. Les clubs de Calcutta, Barasat, Howrah, Haldia, Durgapur et Siliguri seront coachés par Peter Reid, John Barnes, Samson Siasia, Marco Etcheverry, Colin Todd, Teitur Thodarson et Milos Rus. Le premier match aura lieu le 25 février. Après dix journées, les quatre premiers disputeront deux demies. La grande finale se tiendra début avril.
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Kombouaré : «Je n'étais pas dupe»
L'ancien coach du PSG Antoine Kombouaré, revient vendredi, dans L'Equipe, sur les conditions de son éviction. Extraits en avant-première.

Antoine Kombouaré, limogé par Leonardo après une dernière victoire à Saint-Etienne (1-0), le 21 décembre dernier, nous a accordé sa première interview jeudi. L'ex-entraîneur du PSG, remplacé par Carlo Ancelotti, ne se dit pas «amer» et estime que c'était inéluctable. Avec Leonardo, il n'avait plus aucun échange depuis deux mois. «Je n'étais pas dupe de la situation (...) Le matin du match à Saint-Etienne, j'avais réuni mon staff pour leur dire : voilà c'est mon dernier match. Je le sentais, je le savais. C'était inéluctable. Dès le départ, j'ai su que ça allait être compliqué pour moi (...) Je ne suis pas amer, j'ai déjà tourné la page. Le fait d'avoir été évincé, je ne peux pas l'accepter, parce que j'étais premier du Championnat, mais je comprends que les Qatariens voulaient un entraîneur de renom», nous a confié le technicien kanak, qui avait gardé le silence depuis son éviction. «Ma plus grande victoire est là, ajoute-t-il. Tout le monde s'attendait à ce que je pète les plombs, que je ne sois pas capable de gérer cet effectif. Mais j'ai montré que j'étais capable de gérer, de gagner mais aussi d'avoir une attitude exemplaire.» Le technicien veut couper, se retrouver en famille, mais espère se relancer dès la saison prochaine dans un autre projet. - A.C., D.D., J.T.

L'intégralité de l'entretien à retrouver vendredi dans L'Equipe.


Lequipe.fr
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LE GUEN POUR REMPLACER BLANC ?


Il a beau passer « de bons moments » avec Laurent Blanc, Noël le Graët semble tout de même décidé à se séparer du Président après l'Euro 2012.

Selon Le Monde daté de vendredi, le président de la FFF songerait déjà à l'après Blanc. Le quotidien affirme que NLG « a déjà en tête le nom du successeur de Laurent Blanc à la tête de l'équipe de France : Paul Le Guen. Un Breton, comme lui ».

Trois titres de champions avec l'OL, une coupe de la ligue avec Paris en 2008, et deux mandats ratés du côté des Glasgow Rangers en 2006 et du Cameroun pour la Coupe du Monde 2010. Voici le CV de l'ancien entraineur du PSG, aujourd'hui sélectionneur du sultanat d'Oman depuis juin 2011.

Mais bon, après tout, s'il est Breton...

AS


So Foot
Dagoberto
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Antoine Kombouaré : « Je ne me sens pas inférieur à Ancelotti »
Antoine Kombouaré, remercié de son poste d’entraîneur du PSG le 22 décembre par Leonardo après un titre honorifique de champion d’automne, revient pour la première fois sur ce qu’il a vécu.


Avant d’entamer un voyage initiatique en Nouvelle-Calédonie, sa terre natale, Antoine Kombouaré nous a reçus hier dans un hôtel jouxtant les Champs-Elysées. A voir le serveur lui parler, la sympathie du public n’a pas diminué à son égard. Les messages de soutien sont venus de partout, de Nicolas Sarkozy à Bertrand Delanoë, en passant par Marc Lavoine ou d’autres stars du showbiz. Pour la première fois depuis son renvoi du PSG, le 22 décembre, le technicien revient sur ses six derniers mois à la tête du PSG qu’il a traversés en miraculé permanent. S’il dit encore « on » quand il parle du PSG, il va maintenant reprendre des forces pour attaquer sur un banc la prochaine saison. Objectif : un club de très haut niveau, en France ou ailleurs. Kombouaré, confessions intimes.

Comment allez-vous quatre semaines après votre éviction du PSG ?

Antoine Kombouaré. Le moral est bon. J’ai pris quelques jours de vacances. Je suis revenu préparer mes affaires pour repartir… en vacances. Je suis le parcours de mon club, de mon équipe. Je leur souhaite d’aller chercher le titre en fin de saison.

Vous sentez-vous libéré ?

Mon premier sentiment, c’était de la déception, mais en même temps, c’était un soulagement…

Pouvez-vous revenir sur les conditions de votre départ ?

A Saint-Etienne, j’ai discuté avec Leonardo qui m’a dit qu’il voulait me voir le lendemain matin. Là, j’ai compris. Je savais que la fin était inéluctable.

Le succès à Saint-Etienne (1-0) pouvait-il vous sauver ?

Non. Le matin du match, j’ai réuni mon staff et je leur ai dit qu’il y avait neuf risques sur dix que ça s’arrête quelle que soit l’issue du match. J’ai senti, pendant les six mois, que je pouvais sauter à tout moment.

Comment votre femme et vos enfants ont-ils vécu cette situation ?

Ils n’ont jamais rien montré mais ils en ont souffert. Mon fils, les deux derniers mois, n’est plus venu au Parc. Il ne voulait plus. Le lendemain matin de Saint-Etienne, je devais partir en vacances. A 5h30 j’ai emmené ma famille à l’aéroport et avant de partir je lui ai dit que je n’étais plus l’entraîneur du PSG à partir de ce jour. Ils étaient contents, mon épouse, ma fille et mon fils.

Leonardo n’a cessé de répéter que vous étiez au courant de tout. Vrai ou faux ?

Je savais qu’il allait rencontrer des entraîneurs, que ça faisait partie de sa façon de travailler. Donc, à tout moment, je savais que ça pouvait être la fin.

Y a-t-il un sentiment d’injustice ?

Attention, j’aurai les boules jusqu’à la fin de mes jours et je me dirai que l’on m’a privé de quelque chose. J’étais préparé à ce qu’il mette quelqu’un à ma place, pas plus fort que moi, mais qui avait gagné des titres. Il y avait une certaine logique par rapport à ça. Je l’avais intégré et je m’étais préparé en conséquence. Je suis un nanti, j’ai la chance de faire un métier fantastique, je gagne beaucoup d’argent, je suis au PSG.

Quand il rencontre Ancelotti à Paris début novembre, vous avez eu une explication orageuse tous les deux…

Je lui ai dit que c’était embêtant de le rencontrer à Paris. Leonardo faisait ce qu’il voulait. Avec lui, je savais à quoi m’attendre et comment il fonctionnait.

Y a-t-il eu un avant et un après ?

Oui, avant et après Bordeaux (le 6 novembre, 1-1). Et là, je lui ai dit : Maintenant, si tu veux me virer, OK, tu mènes ta vie et moi la mienne. On s’est dit les choses et après, pour moi, c’était fini, je n’ai pas fait la gueule. Je ne me sens pas trahi. Tu es trahi par la famille, par un ami. Là, on est dans une relation de travail où je savais dès le départ à quoi m’en tenir. Je ne suis pas amer.

Cette ambiance vous a-t-elle fait perdre l’autorité sur votre vestiaire ?

Le résultat est que l’équipe a fini première des matchs aller. J’entendais que les joueurs ne se replaçaient pas, on a fini meilleure défense ! Tout cela ne m’a jamais fragilisé vis-à-vis de mes joueurs. Quand j’avais des choses à leur dire, je ne me suis pas gêné.

Qu’avez-vous appris sur vous-même ?

A gérer une forte pression, à vivre avec la défiance des dirigeants, à tous les jours me faire taper sur la tronche. Je suis fier du parcours que j’ai fait au PSG en deux ans et demi. On a fait progresser le club.

Comprenez-vous que l’on puisse virer un entraîneur, premier de son championnat, sous prétexte qu’il n’est pas assez connu et titré ?

Je comprends, oui, mais je ne l’accepte pas car j’avais envie d’aller au bout. J’aurais été vexé d’être remplacé par Makelele, par exemple. Mais là, je suis remplacé par Ancelotti. Attention, je ne dis pas que je suis moins bon qu’Ancelotti, mais je peux comprendre.

Leonardo n’a jamais dit pourquoi il vous a limogé. Vous, le savez-vous ?

La seule raison pour laquelle j’ai été viré, c’est parce qu’ils ont engagé Ancelotti. C’est un entraîneur titré, expérimenté et qui est capable d’attirer des grands joueurs. Mais je ne me sens pas inférieur à lui. Je pense qu’ils n’avaient rien contre moi. Depuis le début, les choses étaient claires. Il ne m’avait pas fixé de date mais il m’avait dit qu’à tout moment ça pouvait s’arrêter. A aucun moment je n’ai pensé que je pouvais finir la saison.

Malgré votre renvoi, vous sortez renforcé de votre passage au PSG ?

J’ai franchi un palier exceptionnel qui me permet de sortir par la grande porte. J’ai gagné en notoriété. Je suis gagnant. J’ai donné le bébé à Ancelotti qui va être champion.

Le PSG l’aurait été avec vous aussi ?

Peut-être. Si le PSG est champion, je me sentirai champion de France.

Makelele dans le staff, c’est une bonne idée ?

Bien sûr. Il m’a appelé, je l’ai encouragé à y aller car c’est une chance fantastique pour lui. S’il veut devenir entraîneur, il va beaucoup apprendre avec Ancelotti.

Etiez-vous contre l’arrivée de Beckham ?

Son arrivée aurait fait gagner cinq ans au club en notoriété, en exposition médiatique. Je comprends qu’on ait tout fait pour l’engager. J’aurais été content de l’avoir, mais je ne dis pas qu’il aurait été titulaire à tous les matchs.

Avez-vous refusé d’entraîner Monaco ?

Il n’y a eu ni approche ni contact. J’ai reçu beaucoup de propositions, mais j’ai botté en touche. J’ai décidé de faire un break pour repartir au début de la saison prochaine.

Où souhaitez-vous rebondir ?

Je viens de vivre six mois super enrichissants qui m’ont permis de franchir un nouveau palier. J’ai pu démontrer, aux yeux de tous ceux qui avaient des doutes, ma capacité à vivre sous pression, à gérer des stars, une équipe, à la faire gagner et à ne pas sortir de mes gonds. Je crois que je peux désormais prétendre à des clubs de très haut niveau, en France comme à l’étranger. J’ai fait mes preuves.

En France, on a du mal à vous voir ailleurs qu’au PSG…

Je vais faire du Luis Fernandez : peut-être que je reviendrai un jour au PSG. Quand j’aurai gagné des titres. Ce n’est pas l’objectif aujourd’hui, mais c’est possible. Je travaille pour gagner des titres. Ce club, c’est une partie importante de ma vie de joueur et d’entraîneur. Personne ne pourra me l’enlever.

Vous partez chez vous en Nouvelle-Calédonie. Pourquoi ?

C’est un grand besoin. J’emmène mon fils, qui ne connaît pas l’endroit. Je veux retrouver les miens, mes origines, me ressourcer et reprendre des forces.


Le Parisien

Petite vidéo ici: http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-sa...012-1820359.php
Homer
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Brest : Ferradj rechute, Makonda absent un mois

Le staff médical du Stade Brestois 29 a fait un point sur l'infirmerie du club. Outre la sérieuse blessure de Tripy Makonda, Alex Dupont a vu Brahim Ferradj rechuter après avoir fait son retour dans le groupe.

Alex Dupont a des pépins avec son effectif. Le staff médical de Brest a dressé un état des lieux vendredi et les nouvelles ne sont pas très bonnes. Outre Tripy Makonda, victime d’une entorse du ligament latéral interne du genou et indisponible quatre semaines, Brahim Ferradj a rechuté. L’Algérien, qui avait récemment repris avec le groupe, s'est fait une élongation des ischio-jambiers et passera des examens ce samedi. Bonne nouvelle en revanche du côté de Jonathan Zebina, qui était en délicatesse avec son dos et ses adducteurs, et qui a repris l'entraînement vendredi.

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