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Homer
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Anelka de retour à Paris

En visite le mois dernier, Nicolas Anelka était de retour hier. Il s’est entraîné sur les installations de son club formateur, alors que le championnat chinois est en trêve hivernale.

Il y avait une nouvelle voiture de luxe hier sur le parking du camp des Loges : une imposante Bentley cinq portes immatriculée en Angleterre. Il ne s’agissait pas de la dernière folie de Sakho, Matuidi ou Nene, tous propriétaires d’un modèle de la célèbre marque anglaise, mais du véhicule d’un invité surprise.

Comme le révélait Leparisien.fr hier, Nicolas Anelka est venu s’entraîner avec son ancien club. Même s’il portait hier les équipements officiels de l’équipe parisienne, il n’a pas été recruté dans le plus grand secret. L’ancienne vedette de Chelsea est juste venu commencer un travail de remise en forme avec un membre du staff. Proche d’Ancelotti dont il a été le joueur à Chelsea durant deux saisons (2009 à 2011), il a été autorisé à s’entraîner sur les installations de son club formateur pendant la trêve hivernale du championnat chinois.

Il aimerait rebondir en Europe

« Il a demandé à faire des entraînements avec nous, explique Leonardo. On est à sa disposition pour l’aider à maintenir son état de forme tant qu’il en a besoin. » L’ancien international aimerait résilier son contrat avec Shanghai Shenshua pour rebondir en Europe ou ailleurs. Il a été approché par les Queens Park Rangers (L1 anglaise), les Los Angeles Galaxy (Etats-Unis) et des clubs du Golfe mais rien n’a abouti, notamment pour des raisons salariales. A 33 ans, Anelka veut prendre son temps. Hier, il a été l’un des derniers à quitter le camp des Loges.


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Hoarau le nouveau mandarin

Guillaume Hoarau, 28 ans, s’est engagé pour les trois prochaines saisons avec le Dalian Aerbin FC, club de 1re Division chinoise. Le PSG a officialisé hier le transfert de l’attaquant réunionnais, qui a inscrit 38 buts en Ligue 1 depuis 2008. En Chine, Hoarau percevra un salaire de 4 M€ annuels net. « Oui, je sais, pourquoi ce choix… Et pourquoi pas? » a posté Hoarau sur son compte Instagram.

Son ami Christophe Jallet s’est quant à lui contenté de ce commentaire : « Il était très important au sein du groupe. Mais la situation était dure à vivre pour lui. La Chine, c’est son choix. Il faut le respecter. On aurait cependant aimé qu’il parte moins loin. »

Le Parisien.fr
Homer
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Leroy : «J'aurais refusé les Bleus»

Désormais passionné de MMA (arts martiaux mixtes), Jérôme Leroy est revenu sur sa carrière dans nos colonnes.

Son tempérament de feu ne pouvait que l'amener vers le MMA (arts martiaux mixtes) à sa retraite. Dans nos colonnes ce jeudi, Jérôme Leroy revient sur une carrière qui l'a vu disputer 418 matches parmi l'élite, auxquels il faut ajouter 35 rencontres de Coupes d'Europe. «On m'a toujours dit que je ne réussirais pas et j'ai arrêté à 37 ans. J'avais le niveau pour jouer en L1. Après, il faut un minimum d'expérience en Coupe d'Europe pour aller en équipe de France et si j'avais été appelé en sélection, j'aurais refusé. Les Bleus, ça se mérite. En 1998, les joueurs de l'équipe de France ont créé une institution. Tout doucement, on aperdu ça en prenant des joueurs par-ci par-là, parfois après seulement une saison de L1!» regrette-t-il.

Aujourd'hui, il observe l'évolution du football français via son fils de 13 ans, qui évolue à Rennes : «Je vois qu'il est déjà formaté quand il joue avec ses copains et qu'il se positionne à son poste en club. Il va là où on le met et il fait bêtement ce qu'on lui demande. Si je devais faire quelque chose dans le foot, ce serait avec les jeunes... pour les déformater ! Il y a trop d'entraînements et ils sont mal entraînés. Ça fait beaucoup, non?» Beaucoup trop, en tout cas, pour ceux qui comme lui prônent le football vrai.

L'Equipe.fr
DIDI.
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Pochettino remplace Adkins!

Quinzième avec trois points d'avance sur la zone rouge, le promu Southampton n'a perdu que trois de ses treize derniers matches toutes compétitions confondues. Mais les Saints, qui sont tout de même éliminés des deux Coupes nationales, ont décidé... de licencier Nigel Adkins ce vendredi ! Libre de tout contrat depuis son départ de l'Espanyol, Mauricio Pochettino (40 ans) remplace l'Anglais de 47 ans.


L'Equipe.fr
Homer
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Boskovic retourne au Rapid

Le milieu de terrain international monténégrin Branko Boskovic (32 ans) quitte DC United, le club de Washington (MLS), pour retourner au Rapid Vienne, dont il a porté le maillot de 2007 à 2010. Boskovic a signé jusqu'en juin 2014.

L'Equipe.fr
Kirk
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Nene réussit ses débuts
Pour son premier match avec Al Gharafa, Nene a fait un joli match, ponctué d'une passe décisive en talonnade et d'un but contre Al-Kharitiyath (3-1). Le Brésilien Tardelli, qui va quitter le club et devrait rentrer à l'Atlético Mineiro, a marqué et donné deux passes décisives. A noter que Djibril Cissé a aussi joué cette rencontre. Cinquième après treize journées, Al Gharafa est à cinq longueurs de la zone de qualification en Ligue des champions d'Asie.

l'equipe.fr
truite38
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Obbadi rejoint Monaco
A la recherche d'un milieu de terrain, Monaco vient de convaincre Troyes de lui céder Mounir Obbadi (29 ans). «Le départ de Mounir pour Monaco est désormais officiel. Cela s’est fait tard hier soir (mardi). Il y a des offres contre lesquelles il est impossible de lutter», a confirmé le président de l'ESTAC, Daniel Masoni, sur le site du club.

lequipe.fr
Carez
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Samuel Pietre, de Poissy à la Pologne

Samuel Pietre, milieu de terrain offensif de 28 ans formé au PSG (CFA, L1), sacré champion du monde en 2001 avec l’équipe de France des moins de 17 ans, est sur le point de s’engager avec le Lechia Gdansk, 6e de Ligue 1 polonaise, avec lequel il a effectué un essai de plusieurs jours conclut par un match amical. Après être rentré en France auprès de sa famille, le joueur qui évoluait depuis la saison dernière à Poissy (CFA) a repris l’avion ce mardi soir en vue de la signature du contrat devant le lier avec le club dont le fait d’armes reste une participation à la Coupe des Vainqueurs de Coupes en 1980.
« L’essai s’est bien déroulé malgré la neige. L’entraîneur (ndlr : Boguslaw Kaczmarek) s’est montré très intéressé. Il m’a demandé de les rejoindre », a confié le joueur juste avant le décollage vers sa nouvelle destination. Après une première expérience en Grèce ( APO Levadiakos en 2007-2008), c’est la deuxième fois que l’ancien pensionnaire de Istres (L 2) et l'US Créteil-Lusitanos (N) se tourne vers l’étranger pour tenter de relancer sa carrière.


http://www.leparisien.fr/sports/iledefranc...013-2502877.php
Homer
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Moins lourd pour Perpère et Graille

La cour d'appel de Paris a légèrement réduit vendredi les peines de prison avec sursis prononcées en 2010 à l'encontre des deux anciens présidents du PSG Laurent Perpère et Francis Graille. Ils étaient poursuivis dans une affaire de compléments de salaires non déclarés versés aux joueurs.

Perpère (1998-2003) a été condamné à 10 mois de prison avec sursis et 30.000 euros d'amende, contre un an avec sursis et 40.000 euros d'amende en première instance.

Graille, son successeur jusqu'en 2005, s'est vu infliger une peine de six mois avec sursis et 15.000 euros d'amende (8 mois avec sursis et 20.000 euros d'amende lors du premier procès).

L'accusation avait estimé qu'ils avaient conclu des «arrangements entre amis sur le dos des organismes sociaux» pour répondre aux exigences financières des joueurs, montées en flèche après le Mondial 1998. Les condamnés ont un délai de cinq jours pour se pourvoir en cassation

L'Equipe.Fr
Homer
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Anelka proche de la Juve

Evoqué ces derniers jours par la presse italienne, le transfert de Nicolas Anelka vers la Juventus Turin est en train de se concrétiser. Selon nos informations, l'ancien joueur du PSG et de Chelsea, qui est en même temps en train de se libérer de son club chinois du Shanghai Shenhua, est sur le point de s'engager avec la Vieille Dame pour cinq mois avec en option une année supplémentaire. Les discussions sont en cours depuis une semaine et elles devraient normalement se finaliser dans les prochaines heures.

L'Equipe.fr
Alex177
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Anelka à la Juventus (off.)
C'est désormais officiel : la Juventus Turin a annoncé samedi la venue de Nicolas Anelka, qui s'est engagé pour cinq mois. A 33 ans, l'attaquant français va découvrir un nouveau championnat.

Nicolas Anelka s'est engagé samedi avec la Juventus Turin, a annoncé le club transalpin, confirmant une information de notre journal. L'attaquant français (33 ans) a signé un contrat de cinq mois (renouvelable), soit jusqu'à la fin de la saison, avec le leader de la Serie A. Il s'est auparavant libéré de son contrat au Shanghai Shenhua, qu'il avait rejoint à l'été 2011. Après avoir exploré la piste Didier Drogba, puis celle menant à Lisandro Lopez, la Juve tient, elle, l’attaquant qu’elle cherchait depuis le début du mercato.
«Anelka n'a pas une condition physique excellente. Il n'a pas joué de matches depuis quelques mois, mais nous le savions quand nous l'avons choisi.»Anelka a atterri samedi soir dans la capitale du Piémont, et s'est dit «content d'être à Turin» aux journalistes italiens qui l'attendaient à l'aéroport. Qualifié pour la Ligue des champions, où les Bianconeri rencontreront le Celtic Glasgow en 8e de finale (12 février-6 mars), l’ancien joueur du Paris-SG devra toutefois probablement patienter avant de défendre les couleurs de sa nouvelle équipe. «Anelka n'a pas une condition physique excellente, a souligné le directeur général du club italien, Giuseppe Marotta, au micro de Sky Sport. Il n'a pas joué de matches depuis quelques mois, mais nous le savions quand nous l'avons choisi.»

L'Equipe.fr
Panenka
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Foot - ARS :
Al-Hilal se sépare de Kombouaré


Sur son site, le club saoudien d'Al-Hilal annonce le limogeage d'Antoine Kombouaré (49 ans), son entraîneur depuis juin dernier. L'ancien technicien du PSG, également passé par Strasbourg et Valenciennes, est remplacé par Dalak Zlatko.


www.lequipe.fr

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Alex177
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« Ceux qui jouaient moins ont lâché »
Prêté à Saint-Etienne pendant six mois, Mathieu Bodmer estime que son aventure avec Paris est terminée. Il décrit avec franchise ses derniers mois au PSG : pour lui, un départ était inéluctable.

Savez-vous pourquoi votre temps de jeu au PSG s’est effondré ces six derniers mois?
MATHIEU BODMER. Oui et non parce que je n’ai pas trop discuté avec l’entraîneur.
Il considérait sûrement qu’il y avait de meilleurs joueurs que moi à mon poste. Je peux le concevoir. La seule décision qui m’appartenait, c’était celle de partir ou pas.

Etes-vous fâché contre le PSG?
Non, dans ma carrière, j’ai assumé ce que j’ai fait. Parfois, je suis parti en étant brouillé avec certaines personnes. Là, non. J’espère que Paris sera champion et ira le plus loin possible en Ligue des champions.

Pensez-vous retourner à Paris à la fin de la saison?
Cela me paraît compliqué. Le PSG achètera sûrement de nouveaux joueurs en juillet. J’aurai 31 ans en fin d’année, je ne suis pas sûr que le PSG mise sur moi la saison prochaine.

Avez-vous fait le maximum pour regagner votre place?
Non… C’est en partie de ma faute, on ne va pas se mentir. Quasiment tous ceux qui jouaient le moins ont lâché. Quand tu t’entraînes et que, le week-end, tu vas en tribune, c’est compliqué de revenir le lendemain et de travailler convenablement. Le problème, c’est qu’en faisant ça on se tire une balle dans le pied. Aujourd’hui, ceux qui étaient dans cette situation sont partis (NDLR : Nene, Hoarau, Lugano). Les dirigeants ont eu raison de nous faire partir.

Cela perturbait le groupe?
Oui, ce n’est pas bon quand des mecs font la gueule à l’entraînement. Je ne pense pas qu’on ait foutu la merde, bien au contraire. Mais, quand cinq ou six joueurs ne sont pas contents, ça embête tout le monde. On est là pour jouer, pas seulement pour encaisser notre chèque à la fin du mois, contrairement à ce que tout le monde dit. J’avais besoin de jouer, de courir, de retrouver du plaisir, d’aller au stade, rien que pour ma vie personnelle.

Vous n’allez pas jouer avec David Beckham…
Ca m’aurait fait plaisir de jouer avec Beckham, mais est-ce que ça m’aurait apporté un plus dans ma carrière? Voir Beckham tous les jours à l’entraînement et ne pas jouer le week-end, ça ne sert pas à grand-chose.

Fuyez-vous la médiatisation?
Oui, ce n’est pas pour moi. Je suis venu à Saint-Etienne parce que j’avais envie de retrouver un environnement moins médiatique. Je retrouve un club comme Lille, avec des valeurs et une vie familiale. Je me reconnais plus dans ce genre de clubs.
Le Parisien
Alex177
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Rabiot : « Je suis parti en sachant que je vais revenir »
Adrien Rabiot a quitté le Paris Saint-Germain cet hiver, pour un prêt de six mois à Toulouse. Revenant au micro de RMC sur ses motivations à avoir fait ce choix, le jeune milieu de terrain, formé au club, avait tenu un discours bien surprenant, peut-être plus maladroit qu’insouciant. Il a souhaité mettre les choses au clair dans une interview à notre partenaire, pasdepub.fr, à qui il a assuré vouloir réussir au Paris Saint-Germain à son retour de prêt.

« Je ne fais pas attention à tout ce qui se dit et ce qu’il y a autour, assure-t-il. Je n’ai pas du tout été blessé. J’ai fait un choix, et toutes les personnes du milieu professionnel que je connais ainsi que mes proches approuvent totalement ce choix. Pour tous les connaisseurs, c’est une bonne chose. Je n’avais tout simplement pas de temps de jeu, ce qui m’importe c’est de jouer chaque week-end pour garder le rythme. Ce n’était pas le cas en équipe première et je le comprends très bien… Ce que je ne comprenais pas, c’est pourquoi on ne m’envoyait pas jouer en CFA ou même u19 ? Ce qui était pourtant convenu lors de la signature de mon contrat. Je suis encore en formation et si je n’avais pas signé pro en juillet, j’aurais joué chaque week-end en CFA ou u19 , donc pourquoi pas jouer en étant devenu Pro ? C’est ce qui était convenu au début. Lorsque que je ne jouais pas en équipe première je devais aller jouer en jeunes, donc oui ça m’aurait convenu. Je ne m’attendais pas à faire 35 matches de championnat lors de ma première saison et je le savais très bien. C’est d’ailleurs pour ça que j’avais demandé qu’on me laisse jouer en jeunes, dès que c’était possible. Je suis parti en sachant que je vais revenir, c’est un prêt. Mais je suis un compétiteur et je vais faire le maximum à Toulouse puisque pour l’instant c’est là que je suis. »

« Est-ce que les jeunes du PSG n’ont finalement pas vraiment leur place dans le projet des qataris ? Après 6 mois, poursuit-il, c’est une question que je me pose encore… Mais ce que je sais, c’est qu’il y a de très bons joueurs en u19 et CFA au PSG et qu’il pourrait y avoir beaucoup plus de jeunes du centre dans l’effectif pro. Beaucoup d’autres clubs de France seraient très contents d’avoir des jeunes joueurs comme il y a au PSG dans leur effectif pro. Toulouse a compris dans quelle situation j’étais. J’ai eu Alain Casanova au téléphone qui a été très convaincant et qui m’a dit que j’aurai du temps de jeu et qu’il comptait sur moi parce-qu’il a un effectif restreint et qu’il recherchait un milieu de terrain avec mon profil. J’ai compris que c’était le meilleur endroit pour moi, et comme le groupe est très jeune, c’était très facile pour l’intégration. »
CS
truite38
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Quand Ronaldinho truande São Paulo.
En Libertadores, Ronaldinho a rusé, demandant à Rogerio Ceni de lui donner de l’eau. Au lieu de se replacer il a profité de la règle du hors-jeu qui n’existe pas sur une touche et a donné une passe décisive à Jô. Le coup monté parfait. Vidéo du coup de génie de Ronaldinho, ci-dessous.

flashfoot
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Homer
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Daniel Bravo: «Le PSG a 99% de chance d’être champion»

FOOTBALL – L’ancien joueur parisien, aujourd’hui consultant à Canal+, ne se fait pas d’illusion sur l’issue du championnat…

Un ouragan? Une épidémie? Une pluie de sauterelles? A 14 matchs de la fin du championnat, le PSG et ses six points d’avance sur Lyon ont déjà tué le suspens. C’est en tout cas l’avis de Daniel Bravo, alors que les coéquipiers de Zlatan Ibrahimovic se déplacent à Sochaux dimanche. Pour l’ancien milieu de terrain parisien, aujourd’hui consultant à Canal+, l’issue de la saison fait assez peu de doute.

Qu’est-ce qui peut empêcher le PSG d’être champion?

Honnêtement, rien. Evidemment, la réponse bateau, c’est de dire que leur principal adversaire aujourd’hui, c’est eux-mêmes. Mais quand on voit ce qu’ils sont capables de faire, leur régularité en ce moment, la solidité défensive, leur façon de jouer en équipe… A partir du moment où ils ont ces vertus en ayant beaucoup plus de qualités que les autres, honnêtement… Il n’y a que Lyon qui pouvait les titiller un peu. Et maintenant que l’OL a craqué, les Parisiens pourront avoir quelques ratés, quelques matchs compliqués.

Décréter que Paris est champion mi-février, ça ne peut pas être dangereux?

Mais dire qu’ils vont être champions, on le dit tous depuis le début. Donc rien n’a changé pour eux. Ce qui a changé, c’est qu’ils ont des certitudes. Avant, on doutait encore un peu, parce que ça ne s’était pas mis en place. Mais avec la force qu’ils doivent ressentir et qu’ils dégagent, avec six points d’avance, ils doivent se dire ‘’si on n’est pas champion c’est qu’on l’aura fait exprès’’.

Quel est leur pourcentage de chance d’être champion selon vous?

A 99%.

Ca va être compliqué de maintenir le suspens sur Canal+!

Moi je ne vendrai rien. L’intérêt, il sera sur les matchs en eux-mêmes, dans la course à la deuxième ou la troisième place, pour le maintien. Paris, je ne me pose même pas la question de savoir s’ils vont être champions. Je le dis depuis le début, et encore plus aujourd’hui. Quand je verrai jouer Paris, je prendrai toujours du plaisir, même si je sais que le championnat est plié.

Si le PSG va loin en Ligue des champions, ça ne peut pas les perturber?

Toutes les équipes qui la jouent peuvent souffrir un peu, parce qu’on y laisse beaucoup de jus physiquement et mentalement. Mais ce qui va permettre à Paris de gérer ça, c’est son effectif. Ils ont maintenant quasiment deux équipes compétitives. Ils ont déjà montré qu’ils pouvaient jouer sans Ibra, sans Thiago Silva, sans Thiago Motta… Ca veut dire qu’Ancelotti peut mettre une équipe compétitive en Ligue des champions et une autre dans les matchs supposés faciles de Ligue 1. Et puis s’ils marchent bien en C1, ça donne aussi du moral, de la joie. Ca peut être aussi un avantage.

Pensez-vous qu’à Marseille ou Lyon, on a déjà fait une croix sur le titre?

Je pars du principe qu’il faut avoir un discours ambitieux, au moins à l’intérieur du vestiaire. Quand Antonetti dit ‘’attendez, vous nous mettez dans les 5 premiers on n’a pas les qualités pour’’, j’ose espérer que c’est un discours de façade. Et pour Lyon, Marseille, même Saint-Etienne, je dirai de ne pas se focaliser sur les Parisiens, parce qu’ils ne boxent pas dans la même catégorie. Mais que pour la 2e place personne n’est meilleur que nous.

C’est déjà arrivé pourtant, et même au PSG, de perdre le titre malgré une avance confortable?

Aujourd’hui vous êtes Lyon, ça ne va pas, vous avez six points de retard et vous regardez Paris à Valence: il n’y en n’a pas un qui se dit ‘’on va gagner le titre’’. Pas un! Les équipes sont réalistes. Ca m’a fait marrer quand André Ayew a dit ‘’on va voir où sont les stars’’ avant de jouer contre le PSG. C’est pour se faire plaisir, parce que franchement, ce n’est pas un discours très réaliste.

20 Minutes. fr
BiBi
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Al Gharafa : Nenê régale encore !

Seizième journée du championnat du Qatar en ce vendredi après-midi, avec notamment à l’affiche Al Gharafa, qui se rendait sur la pelouse d’une équipe d’Umm Salal qui le talonne au classement.


Et les coéquipiers de Djibril Cissé ont su prendre le point du match nul au terme d’une partie spectaculaire (2-2). Et Nenê a une fois de plus endossé le costume de héros, trouvant le chemin des filets à la 54ème minute, pour ce qui constitue son troisième but en quatre matches toutes compétitions confondues sous ses nouvelles couleurs.


ZéroQuatorze
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Guy Lacombe viré d'Al Was

lLargement battu par Al Ahli et sa recrue Quaresma (0-4), Al Wasl a remercié Guy Lacombe. Le technicien français a été remplacé par l'Emirati Eid Baroot à la tête de l'actuel 9e du Championnat où évolue désormais Achille Emana

L'équipe.fr
grincheux
http://www.sharkfoot.fr/2013/02/quand-greg...a-sharkfoot-22/

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Grégory Coupet : « Il y avait une psychose de dingue dans le vestiaire du PSG »

Et puis tu prends la direction du PSG, un peu à la surprise générale. On ne s’attendait pas à te revoir en France.

Alain Roche me sollicite et je fonce tout de suite au PSG. Il faut savoir que la deuxième année de contrat, Madrid me paye plus que ce que me proposent les dirigeants du PSG, donc je viens ici pour jouer et non pas pour l’argent. Puis Paris ce n’est pas commun… Paris, c’est Paris ! En partant de l’OL je m’étais dis que je ne jouerais pas pour un autre club français. Dans ma tête, ce n’était pas possible que je revienne en Ligue 1 pour faire moins que ce que j’avais pu faire durant mes onze saisons à Lyon. Mais Paris, pour moi, représente des grands gardiens comme Lama, Bats, Revault, Landreau et j’avais été marqué par la génération Le Guen, Guérin, Ginola, Weah, Rai… Tout ça, c’est le PSG ! Ce qui m’attire aussi c’est le challenge compliqué, ça m’excitait vraiment, je ne voulais pas de simplicité, surtout pas. Je voulais du dur et de l’ambition, et c’est pour ça que dès que je suis arrivé j’ai annoncé qu’il fallait qu’on joue le titre, et ça avait fait un tollé. Kombouaré était venu me voir et m’avait dit « Putain, faut éviter de déclarer ce genre de trucs, parce qu’on se rajoute une pression supplémentaire ». Je lui ai répondu que si le PSG m’avait recruté pour le jouer le milieu de tableau, ils s’étaient trompés de personne.

Finalement, il n’a pas eu tout à fait tort puisque vous finissez 13e à l’issue de la saison…

Mais tout est dur ! Le truc, c’est qu’ici il y a tellement d’aimants, tu es attiré sans cesse, ce n’est pas simple. Mais ce que j’ai adoré, et ce que tu ne réalises pas quand tu es en dehors du PSG, c’est que les gens t’adorent ici, c’est phénoménal ! De l’extérieur on voit toujours les polémiques sur les supporters, mais quand tu es au sein de cette équipe… Ils bandent pour ce club, c’est fantastique. Moi j’ai pris un pied énorme durant ces deux ans. J’ai rencontré des gens extraordinaires pendant mon passage et c’était le top.

Tu te blesses cette saison-là, tu es en concurrence avec Edel pendant un bon bout de temps, vous vous entendiez bien tous les deux ?


J’ai eu une super complicité avec lui, c’était fantastique. Il m’appelle « Papa » (rires). De l’autre côté moi je l’appelle « Gato », au départ il pensait que c’était comme la pâtisserie car il était costaud ! Effectivement il est costaud, mais c’était en rapport avec le chat. J’avais beaucoup d’admiration pour lui, je le trouvais et je le trouve toujours très bon. Bien entendu, ça n’a pas été facile pour lui au PSG, mais ici c’est beaucoup plus compliqué. Tu peux te permettre de faire des erreurs dans certains clubs, mais à Paris tu te fais lapider à la moindre faute, c’est ce qui rend ce club si exceptionnel ! C’est excitant de jouer ici… J’aimerais revenir à mes 25 ans et rejouer au PSG, surtout quand je vois l’évolution du club en ce moment, je voudrais être là et je serais prêt à reprendre les gants.

Il y a eu du mieux la saison d’après avec cette 4e place accrochée juste derrière l’OL.

Oui, il y a eu une évolution ! J’avais rejoué en fin de saison après avoir repris la place d’Edel, c’était un défi. Jouer au PSG est un défi. Tu n’es pas apprécié en province, tu as la pression médiatique, chaque fait est décortiqué, tu as la fameuse crise de novembre…c’était un truc de fou.

Comment est l’ambiance dans un vestiaire comme celui du PSG ? On entend tellement de choses dans les médias.

Je me souviens d’une réunion ayant lieu lors de ma deuxième saison à Paris, il y avait eu un coup de gueule de plus, un parmi tant d’autres ! Le lendemain la causerie est sortie dans la presse, mais limite mot pour mot… Et dans ta tête tu te dis « Ce n’est pas possible, y’a des micros dans le vestiaire ». Même quand un journaliste t’appelle et qu’il te pose des questions sur ça, tu ne peux pas retranscrire parfaitement la chronologie de l’action. Il y avait une psychose de dingue dans le vestiaire à ce moment-là. Ça fout un gros malaise quand tu sais que ça sort de l’intérieur du groupe.

Cela avait-il un rapport avec l’altercation Nenê-Hoarau de l’époque ?

Non pas cette fois-ci, mais à propos des deux joueurs que tu cites j’avais du intervenir derrière. Il y a eu un quiproquo au niveau des propos de Guillaume, et ça avait foutu un malaise entre les deux joueurs alors qu’ils s’entendaient super bien. Nenê nous a fait la gueule pendant pas mal de temps… J’ai fini par faire une réunion pour qu’il y ait une discussion et qu’ils arrêtent leur connerie. Ça m’embêtait qu’un élément extérieur puisse affecter ces deux joueurs, et j’aurais aimé qu’on soit plus costauds tous ensemble durant cette période, mais très franchement on avait un bon petit groupe avec Maké, Peguy, Sylvain Armand.

Tu gardes encore quelques contacts avec des joueurs du PSG actuellement ?

Oui, Christophe Jallet notamment. On est arrivé la même saison au PSG, on s’était retrouvé dans le même hôtel également. Puis on partage les mêmes passions, le rugby, le cognac, le vin, donc on a pas mal de sujets qui nous rapprochent. On se voit très peu, par rapport au travail que je fais, car je n’ai pas envie qu’il pense que je vais à la pêche aux infos par exemple. On a pris un peu de recul, mais dès qu’on se voit, ce n’est que du bonheur. On parle très peu foot quand on se voit d’ailleurs (rires)

C’est Sirigu qui prend ta place la saison suivante dans les buts PSG, que penses-tu de ce joueur ?

J’adore ! Au début j’étais très frustré pour Nico Douchez, car c’est un gars pour qui j’ai beaucoup d’admiration et de respect, et humainement c’est un mec juste géant, j’en suis encore plus fan à présent car je le connais un peu mieux. Mais il faut admettre que Sirigu est un super gardien, on sent qu’il a été éduqué « à la Buffon ». Il a une sobriété dans ses attitudes et une efficacité terrible, ça fait son charme. Puis quand le gars parle français au bout de trois mois, ça force le respect.

Dernièrement Bernard Lama avait émis des critiques à son encontre, tu étais du même avis que lui ?

Non pas du tout, je ne comprends pas que Bernard se permette de dire ça. Pour moi nous sommes une confrérie des gardiens et on doit se soutenir. Tu peux émettre des doutes bien entendu, mais dire que Sirigu ne sait pas bloquer un ballon, c’est faux. Il faut prendre en compte les nouveaux ballons aussi, les trajectoires sont très aléatoires. Et déjà lors des mes dernières années, j’étais frustré de ne pas pouvoir bloquer un ballon comme auparavant. Il faut s’adapter. Il faut vivre avec le changement.
Alex177
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PSG : Bodmer regrette
Ce mardi, Matthieu Bodmer a effectué une excellente prestation lors de la victoire des Verts contre Lille en huitième de finale de Coupe de France (3-2).

Une perf' qui fait regretter au joueur prêté à Sainté de ne pas avoir joué à ce niveau lorsqu’il était au PSG. C'est en tout cas ce qu'a déclaré le Havrais dans L’Equipe du jour : « Je m’en veux car j’aurais pu faire beaucoup mieux à Paris. J’avais besoin de plaisir et de temps de jeu. Or, j’étais voué à pas ou peu jouer à Paris. Je ne prends donc pas de risque en venant à Saint-Étienne. C’est une remise en question. J’avais besoin de m’oxygéner de Paris. »

Bodmer a ensuite parlé de sa « cassure » avec Carlo Ancelotti : « Je ne sais pas quand. Je n’en ai jamais parlé avec lui. Ce n’est pas évident non plus pour un entraîneur s’il doit se justifier tous les week-ends auprès de ceux qui ne jouent pas. Dans mon esprit, ce n’est jamais de la faute des autres. »

Si l’ancien Lyonnais continue de délivrer des prestations comme celles de mardi, l’entraîneur du PSG pourrait bien lui donner une deuxième chance.

So Foot.fr
Panenka
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Foot - MLS :
Luccin absent de six à huit mois


Peter Luccin a été opéré jeudi d'une déchirure du ligament croisé antérieur du genou gauche. Le milieu de terrain défensif de 33 ans, qui a signé au FC Dallas en décembre, devra patienter six à huit mois avant de faire ses débuts en MLS, dont la saison débute samedi. Il s'était blessé au début du mois de février lors de la préparation avec son nouveau club.


lequipe.fr
Alex177
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L'agent de Jérémy Clément (ASSE) hausse le ton après les déclarations de Valentin Eysseric (Nice)
Alors que personne n'avait souhaité accabler Valentin Eysseric depuis samedi et son agression sur Jérémy Clément, l'agent du Stéphanois a vivement réagi mardi. David Venditelli n'a pas apprécié l'interview accordée par le Niçois au journal L'Equipe et le fait savoir, tranchant ainsi avec l'ambiance apaisée des derniers jours.

L'atmosphère était pourtant à l'apaisement. De l'entourage de Jérémy Clément à Christophe Galtier en passant par les dirigeants de Saint-Etienne, personne n'avait souhaité en rajouter depuis ce week-end. Mais trois jours après l'agression de Valentin Eysseric sur l'ancien Parisien lors de la victoire des Verts face à l'OGCN samedi (4-0, 27e journée de L1), David Venditelli a lancé une première pique. "Le journal L’Equipe qui donne une interview d’Eysseric alors que Clément est lui sur son lit d’hôpital, je trouve ça limite de la part du journal…", a lâché l'agent du milieu stéphanois sur son compte Twitter.

Même s'il met davantage en cause le quotidien sportif que le joueur, Venditelli regrette le timing et cette déclaration contraste avec l'ambiance pacifiée de ces derniers jours. Elle fait suite au long entretien d'Eysseric publié dans les colonnes de L'Equipe mardi. Une interview au cours de laquelle le Niçois a réitéré ses excuses et tenté de faire amende honorable. Sous la menace d'une douzaine de matchs de suspension selon le barème de la Commission de discipline de la Ligue, le natif d'Aix-en-Provence assure qu'il "culpabilise toujours énormément".


Clément souriant sur des photos postées sur Twitter

"Je n’avais pas le droit de tenter ce geste et je ne peux que m’excuser à nouveau de l’avoir blessé, reconnait Eysseric. Je suis profondément désolé, même si je me sens un peu mieux depuis que j’ai pu l’avoir au téléphone. Je lui avais laissé un message et un texto samedi soir, mais je n’ai pu lui parler que dimanche. Il m’a dit que l’opération s’était bien passée, qu’il en aurait pour plusieurs mois mais qu’il rejouerait au football." Opéré samedi dans la soirée d'une double fracture tibia-péroné de la jambe droite, Clément restera hospitalisé pendant une semaine, comme l'avait annoncé l'ASSE dans un communiqué dimanche.

Mais contrairement à ce que le staff médical de Saint-Etienne craignait initialement, l'astragale (os qui s'articule avec ceux de la jambe) n'a pas été touché. L'ex-Lyonnais en a donc pour six mois d'indisponibilité au minimum mais il reviendra à terme à la compétition. Ce qui a contribué à le rassurer. Si tous les joueurs présents sur la pelouse de Geoffroy-Guichard ont été choqués, à commencer par Eysseric, victime d'un malaise vagal en rentrant aux vestiaires, Clément garde le moral. Il pose même souriant sur des photos postées sur Twitter en compagnie de son président Roland Romeyer ou de Yohan Mollo notamment.

Eysseric : "Il m’a même dit de ne pas m’inquiéter"

Eysseric confirme qu'il a discuté avec un homme tout sauf abattu. "À la limite, c’est lui qui m’a rassuré. J’ai trouvé cela très classe de sa part. Moi, s’il m’avait fait ça, je lui en voudrais. Il doit donc m’en vouloir, et c’est normal, mais il n’a rien laissé paraître. Il m’a même dit de ne pas m’inquiéter, que ce sont des choses qui arrivent, que c’était une erreur de jeunesse. J’ai parlé à son père, aussi, qui m’a dit de ne pas écouter ce qu’on allait dire sur moi." Venditelli était lui aussi venu à la rescousse du Niçois dans un premier temps lundi. "Jérémy Clément sait que Valentin Eysseric n'a pas voulu le blesser volontairement et espère qu'il ne sera pas sanctionné trop sévèrement", avait-il écrit sur Twitter. Mais cette fois, il a changé de ton. Comme pour rappeler que Clément passe par des moments difficiles. Et que la première victime de cette affaire était bien son joueur.

Eurosport - Geoffrey Steines
Kirk
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Clément « touché par la solidarité des gens »

Beaucoup de joueurs auraient perdu le moral après avoir subi une grave blessure, pas Jérémy Clément. Le joueur qui a reçu la visite de ses coéquipiers à l’hôpital s’est exprimé pour la première fois depuis le match face à Nice (4-0).

« J’ai le moral. J’arrive à relativiser. Je n’ai jamais paniqué. Ça fait partie du jeu. Dans ce métier, il y a parfois des risques », a-t-il confié avec beaucoup de lucidité dans une vidéo diffusée mercredi sur le site officiel des Verts. Touché par le soutien que de nombreuses personnes lui ont apporté, le milieu stéphanois reste optimiste : « J’ai une liste longue à remercier, le chirurgien qui m’a opéré, les personnes du service qui s’occupent bien de moi. Après les gens du club, les supporters (…) et tous les joueurs de Saint-Étienne. Ma famille et mes amis aussi, évidemment. »

Désormais, le joueur doit penser à sa récupération. Une remise en forme qui s’annonce longue : « Je vais sortir de l’hôpital demain ou après-demain. Je ne devrais pas poser le pied par terre pendant 45 jours, donc je vais trouver le temps un peu long. Et après, il y aura la rééducation avec les kinés du club. Il faut prendre son mal en patience, je pourrais rejouer rapidement, donc ça va… »

Chapeau Jérémy !


SoFoot.fr
Schultzy
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Carlos Bianchi, ancien buteur du PSG:
«Quand je viens en France, on m’appelle encore le Goleador»



FOOTBALL – Actuel coach de Boca Juniors en Argentine, Carlos Bianchi détient le record de buts marqués sur une saison avec le PSG…
Pour parler à Carlos Bianchi, il faut composer avec le calendrier des matchs de foot. C’est donc à la mi-temps de Barça-Real que le légendaire buteur du PSG et de Reims a pris un peu de temps. Dans un français délicieux, légèrement matiné de son accent de «porteno», il parle de tout: de Zlatan Ibrahimovic, de Javier Pastore, du PSG, de la Ligue 1 et de la France, son pays d’adoption.

Vous détenez toujours le record du nombre de buts marqués en une saison avec le PSG (37, en 77-78). Pensez-vous que Zlatan Ibrahimovic (24 buts à 10 matchs de la fin) peut vous le prendre?

Tout est possible, pourquoi pas? Ce sont des histoires complètement différentes, la sienne et la mienne. Lui c’est un phénomène, moi j’étais un grand buteur. Et puis il joue dans une équipe qui joue le titre, qui est la meilleure de France. Tant que ce sera le cas, la possibilité qu’il me batte existera.

A votre époque, le PSG était une équipe de milieu de tableau…

C’est ça. Vous savez combien on a fini? 11e! Et j’ai marqué 37 buts, sur les 74 que l’équipe avait marqué.

Quels souvenirs gardez-vous de vos deux saisons au PSG?

Je me souviens que j’ai fini par rompre mon contrat! Mais aussi que j’ai eu le soulier d’argent. Cette année-là, je l’ai perdu contre Krankl, qui était un buteur autrichien. Mais son championnat avait un système différent: il n’y avait que dix équipes. Et c’était quatre fois les matchs aller et retour. Ce n’est pas qu’il jouait plus que moi, non. Mais il jouait quatre fois contre le dernier, quatre fois contre l’avant-dernier (rire)… Moi je ne jouais que deux fois contre le dernier!

Faire partie du patrimoine d’un club comme le PSG, ça vous fait quoi?

Dans le football, on n’oublie pas. Moi je regarde les informations sur TV5 tous les jours à 6h du matin. On suit beaucoup la vie française, parce qu’on est français aussi. Et hier (lundi), aux informations ils ont parlé de Fangio! Et Fangio il était champion du monde il y a cinquante ans. Encore aujourd’hui, quand vous voyez quelqu’un dans la rue qui roule vite, vous ne lui dites pas: «Tu te prends pour Alain Prost?» ou «tu te prends pour Ayrton Senna?» Vous lui dites: «Tu te prends pour Fangio?» Moi quand je viens en France, on m’appelle encore le Goleador (rires). Parce que j’avais cette qualité de marquer des buts.

Vous suivez beaucoup le PSG cette saison?

Surtout en Champion’s league. En championnat, j’ai vu le match contre Reims (ndlr: un autre de ses anciens clubs), et je vous dis la vérité, quand le Rémois a été expulsé à trente minutes de la fin, je me suis dit que c’était fini. Et puis le Stade de Reims a marqué et a gagné (1-0). Le football, parfois, ça ne se passe pas comme prévu, même si le PSG est une très bonne équipe, avec une très bonne attaque, et des réserves un peu partout. Mais dans le championnat français, il faut être honnête: il y a une vitesse pour le PSG, et une autre pour tout le reste. Quand vous achetez un joueur comme Lucas Moura, qui ne joue pas tous les jours, et que vous dépensez 40 bâtons, alors… Qui peut se le permettre ça?

En France, à part Paris, personne…

Et dans le monde entier, vous croyez qu’on achète un joueur 40 bâtons pour qu’il soit remplaçant? Non!

C’est suffisant en Ligue 1. Mais le PSG peut-il gagner la C1 dès cette année?

Et pourquoi pas? La vérité, c’est qu’à part le Barça, je pense que contre n’importe quelle équipe, le PSG peut faire un bon match. Ce n’est que deux matchs! Le PSG ne sera pas ridicule s’il joue contre le Real Madrid ou le Bayern Munich.

Votre compatriote Javier Pastore a du mal à confirmer en France. Selon vous, est-ce un grand joueur?

Parfois, changer d’équipe ce n’est pas se rendre service. Je pense à Gourcuff. A Bordeaux, c’était un très grand joueur. Et après, ce n’est plus le même. Kaka, ça fait trois ans qu’il ne joue pas au Real Madrid. Et on parle de Kaka! Vous ne croyez pas que Kaka peut jouer dans n’importe quelle équipe du monde? Dans le cas de Pastore, peut-être que le football français ce n’est pas quelque chose pour lui. Il ne faut pas oublier qu’Ancelotti le voyait jouer tous les week-ends en Italie, et Leonardo aussi. C’est un des premiers joueurs qu’ils ont acheté.

Vous prenez du plaisir à regarder le championnat de France?

Je le regarde du coin de l’oeil, je dois être sincère. Il y a tellement de foot à la télé. Là ce soir (mardi), c’est Barcelone contre Milan. Mais sur l’autre chaîne, il y a Schalke 04 contre Galatasaray. Je vais être honnête, moi je ne passe pas deux heures devant ma télé pour regarder Schalke 04 contre Galatasaray! Ce sont des équipes très fortes, mais j’ai un travail qui me dit que c’est plus intéressant d’un coté que de l’autre. Vous ne pouvez pas regarder tous les matchs à la télévision. C’est comme si je vous donnais 20 chaînes où il y a 20 films différents, et que je vous demandais d’en choisir un. Vous prenez le meilleur, et les 19 autres, vous allez les laisser de côté.

Vous pourriez revenir entraîner une équipe française?

Oui, pourquoi pas, ça me ferait plaisir. Mais je suis tellement content d’être ici à Boca... C’est un club très important dans le monde. Moi ce que j’aime, c’est vivre en France, c’est différent. Là oui, je peux y aller demain, et je ne suis pas dépaysé. Paris… Je n’y ai passé que deux saisons comme joueurs, mais ensuite, j’y ai vécu des années. De 1988 à 1993, et puis je suis rentré pour prendre le Velez Sarsfield. Ensuite, pendant mes années sabbatiques, de 1997 à 1998, puis de 2006 à 2007. Paris, c’est une ville extraordinaire… Les années où je ne travaille pas, je passe trois ou quatre mois à Paris.

Propos recueillis par Antoine Maes
20 minutes.fr
Beuzech
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Luyindula enfin aux Red Bulls

Après avoir suivi la préparation d'avant-saison des New York Red Bulls durant plusieurs semaines, Peguy Luyindula (33 ans) s'est enfin officiellement engagé mardi avec la franchise new-yorkaise, a annoncé le club de Thierry Henry. L'ancien attaquant du PSG, qui avait résilié son contrat cet hiver avec l'actuel leader de Ligue 1, va devoir néanmoins attendre encore un peu pour jouer en MLS, et l'obtention de son visa, nécessaire pour un étranger souhaitant travailler aux Etats-Unis. «Il possède un très bon pedrigree et a désormais retrouvé sa meilleure forme», s'est félicité Andy Roxburgh, Directeur sportif des Red Bulls. Ajouté dès aujourd'hui à l'effectif, Luyindula portera le numéro 88. La durée de son engagement n'a pas été précisée.


lequipe.fr
Homer
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Luyindula a reçu son visa

Quelques jours seulement après s'être engagé avec les New York Red Bulls, Peguy Luyindula est déjà opérationnel pour jouer avec sa nouvelle équipe. L'ancien attaquant du PSG a en effet reçu son visa nécessaire pour évoluer en MLS, a confirmé jeudi son entraîneur après l'entraînement. «Je suis très heureux et surpris que ce soit allé aussi vite», a déclaré Mike Petke. En l'absence de Thierry Henry, blessé, Luyindula pourrait débuter ce samedi à Montréal.

L'Equipe.fr
Homer
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NY, Luyindula et Juninho battus

Les New York Red Bulls ont subi leur deuxième défaite en quatre rencontres, samedi à Montréal (0-1). Malgré les premières titularisations de Peguy Luyindula et Juninho, la franchise new-yorkaise a confirmé ses difficultés en ce début de saison. Toujours à la recherche de sa première victoire, l'équipe de Thierry Henry, absent pour cause de blessure, s'est inclinée sur un but du vétéran italien Marco Di Vaio (14e), déjà buteur à la journée précédente. Avec ce quatrième succès consécutif en autant de matches, l'Impact conforte sa première place de la Conférence Est.


L'Equipe.Fr
Varino
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« Certaines étapes vous abîment »

Le nouvel attaquant des New York Red Bulls, revient sur ses derniers mois tourmentés sous le maillot du PSG.


Après deux dernières saisons très compliquées au Paris-SG, Peguy Luyindula (33 ans, 6 sélections et un but en équipe de France) a rompu son contrat en décembre dernier pour rejoindre la Major League Soccer (MLS) et les NewYork Red Bulls, où il s’est officiellement engagé le 19 mars, pour deux saisons. Un choix qui ressemble à sa dernière aventure professionnelle. Après un premier match perdu le week-end dernier à Montréal (0-1), le nouveau coéquipier de Thierry Henry affrontera Philadelphie samedi.

« Comment vous êtes- vous retrouvé à New York ?
– J’ai parlé avec les dirigeants de New York tout au long du mois de janvier et en février j’ai rejoint l’équipe pour m’entraîner tout en poursuivant les discussions. La MLS a beaucoup de règles et de contraintes. Ici il y a un salary-cap (plafond salarial) donc un budget à ne pas dépasser, un nombre d’étrangers maximal dans l’effectif et beaucoup d’autres règles compliquées. C’est pour ça que les choses ont traîné.

– Pourquoi les États-Unis ?
– J’aurais pu continuer à jouer en France, mais j’avais envie d’une nouvelle aventure et de me construire une autre façon de vivre. Je souhaitais aussi une vraie coupure avec l’Europe.

– Après plusieurs années conflictuelles avec le PSG (*), cette expérience américaine constitue-t-elle une reconstruction ?
– Certaines étapes vous abîment dans la vie, d’autres vous détruisent presque. Mais il faut sans arrêt essayer de se construire ou de se reconstruire. Là, pour moi, il s’agit juste d’une étape supplémentaire dans ma vie et ma personnalité. J’ai trente-trois ans et, à un moment, tout cela va s’arrêter. Je dois savoir ce que je vais faire après le football. C’est donc une transition pendant laquelle je vais bâtir la seconde partie de ma vie, après une première qui fut superbe !

« J’adorerai toujours le PSG ! »

– Vous avez rejoint Thierry Henry. Est-il plus simple de s’acclimater avec un compatriote à vos côtés ?
– Je me suis toujours construit mes propres repères et je ne suis pas du style à prendre ceux des autres. Mais c’est bien que Thierry soit là, parce qu’on se connaît et qu’on s’apprécie.

– Comment sont perçus les joueurs français en MLS ?
– Ici, les gens n’ont pas trop la culture du football européen. Il n’y a pas non plus beaucoup de matches français diffusés ici, même s’il y a un peu plus d’intérêt avec le nouveau PSG.

– Justement, quel regard portez-vous sur votre ancien club ?
– J’adorerai toujours le PSG ! Et puis l’avantage quand on est fan d’un club c’est qu’on ne peut pas vous foutre à la porte. Vous êtes supporter à vie !

– Et le supporter n’a pas été dégoûté par ce que le joueur a traversé là-bas ?
– Je sais pourquoi les choses se sont passées et dans ces conditions je ne suis pas rancunier. Et puis j’ai quand même prolongé mon contrat. Ensuite, quand j’ai voulu le rompre, je me suis retrouvé face à des gens intelligents. J’ai beaucoup parlé avec le coach (Carlo Ancelotti), Leonardo (le directeur sportif) et le président Nasser al-Khelaïfi. Ils ont compris mon désir et on a pu se séparer dans la cordialité.

– Y a-t-il toujours de la place pour des joueurs français dans ce PSG ?
– Tout le monde peut remplacer tout le monde. Aujourd’hui, l’entraîneur n’est jamais serein à 200 %, même Leonardo n’est jamais serein à 200 %. Le PSG est devenu une entité plus forte que tout. Ils ont créé un monstre taillé pour gagner et c’est le seul truc que l’on va demander à ce club. Après ils feront tout pour préserver son identité, mais comme dans toutes ces grosses équipes, à partir du moment où on est un peu moins performant et où ils auront la possibilité de prendre quelqu’un qui l’est beaucoup plus, eh bien ils ne se gêneront pas ! Parce que le football reste un sport très difficile et un business. »

RENAUD BOUREL

(*) Peguy Luyindula avait porté plainte en février 2012 contre le PSG après avoir été mis à l’écart du groupe par Antoine Kombouaré, le 1er août 2011. Le 21 mai 2012, il prolongeait son contrat jusqu’au 30 juin 2013 et s’engageait à retirer sa plainte.

L'Equipe
Homer
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Luyindula : « New York est une ville parfaite pour moi »

Depuis son hôtel de Manhattan, il lui faut une demi-heure de voiture pour rejoindre le centre d’entraînement des New York Red Bulls, situé dans le New Jersey. Péguy Luyindula a signé pour deux ans avec l’équipe où évolue déjà Thierry Henry.

A 33 ans, l’ancien attaquant du PSG, qui a disputé (et perdu 1-0) son 1er match le week-end dernier à Montréal, s’exprime pour la 1re fois depuis son départ de Paris.

Pourquoi avoir quitté le PSG?

Péguy Luyindula. J’ai eu la proposition des New York Red Bulls et j’avais envie de découvrir le championnat américain (Major League Soccer). Quand j’en ai parlé aux dirigeants du PSG, ils ont compris ma position. En plus, je ne disputais que des bouts de match en coupes. Après, comme je suis attaché à Paris et au club, je ne serais pas parti n’importe où. Au PSG, où j’ai passé cinq années, je me sentais important dans le groupe même sans jouer.

Qu’appréciez-vous à New York ?

Cette ville est parfaite pour moi qui suis un urbain. Elle bouge vite, tout le temps, et en même temps on y est tranquille. Mon coin préféré dans la ville est Soho, au sud de Manhattan, les immeubles sont plus bas que dans le centre et il y a moins de monde. C’est moins touristique.

La présence de votre ami Thierry Henry à New York a-t-elle compté dans votre décision ?

Non. Thierry m’a appelé quand il a su que le club discutait avec moi. Mais j’aurais très bien pu signer à Los Angeles ou à Chicago. Avec Thierry, on est ami depuis très longtemps, on s’appelait régulièrement avant que je signe à New York, et à chaque fois que je venais ici on se voyait. Maintenant, c’est pareil. Récemment je suis allé voir un match du PSG chez lui.

Avez-vous trouvé votre logement ?

Pas encore. Je souhaite vivre à Manhattan, et ce n’est pas évident car l’immobilier y est très cher. Le plus difficile, c’est l’éloignement d’avec ma femme et mes trois enfants, dont mon petit garçon de 1 an. Heureusement, il y a Skype (NDLR : un moyen de communication gratuit par Internet), comme ça les enfants voient que leur papa existe toujours (sourire.) Ils vont me rejoindre cet été et s’installer définitivement avec moi.


Le Parisien.fr
Alex177
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Kombouaré : «Il n'y a pas que le PSG»
Licencié du PSG le 23 décembre 2011, Antoine Kombouaré a été évincé d'Al-Hilal, en Arabie Saoudite, le 31 janvier dernier. Dans notre quotidien mardi, l'entraîneur assure ne pas ressortir abîmé de ces deux évictions.

Antoine Kombouaré ne se «pose même plus la question» de savoir pour quelles raisons il a été évincé. Un an et un mois après son licenciement du PSG, le 23 décembre 2011, l'entraîneur a été remercié fin janvier par Al-Hilal, après sept mois sur le banc alors qu'il était deuxième du Championnat. «Quand on est entraîneur, on est jugé sur son travail et ses résultats... Peut-être que là, il y a une raison : j'étais deuxième...»
«Aucun regret»

Dans une longue interview dans notre quotidien mardi, celui qui a également entraîné Valenciennes avance qu’il a été en contact avec plusieurs clubs : West Bromwich Albion, Swansea, Tottenham, Montpellier, Rennes et Moncaco. Il assure également n’avoir «aucun regret» de ne pas avoir terminé la saison dernière sur le banc du Paris-SG. «Je savais depuis le début que je ne faisais pas partie du projet. Ce n'était qu'une question de temps. (...) J'ai fait mon boulot, j'ai dit aux joueurs : "A tout moment, je peux être viré, mais je veux être viré le plus haut possible."»

«Ménez a une attitude, parfois, de petit "branleur"»

En ce qui concerne l’attitude des joueurs français mécontents de leur temps de jeu à Paris, Kombouaré «comprend leur frustration ou leur sentiment d’injustice» mais il «n’approuve pas leur comportement». «A la fin de la saison, ils auront tout loisir d’aller voir le club pour demander à partir. Mais avant, c’est inadmissible.» Quant à Jérémy Ménez, il estime «qu’il a une attitude, parfois, de petit "branleur"». «Si j’étais là, je lui dirais de la même manière : "Arrête de faire chier ton monde avec ton désarroi ! Tu es un super joueur, tu gagnes bien ta vie, tu es en équipe de France…" Le très haut niveau ne pardonne pas ces problèmes d’attitude.»


L'Equipe.fr
Alex177
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Rothen : «J’en ai pris plein la tronche»
«Franchement, il n’y a qu’à Paris qu’on peut voir ça. Quand ça va trop bien, le club se crée des problèmes tout seul.»

Jérôme Rothen le concède : «J’ai toujours eu un nom qui fait parler». En mal comme en bien. Si le milieu de terrain s’éclate aujourd’hui sous les couleurs de Bastia, sa carrière a été une succession de hauts et de bas. Il rêvait du Paris-SG ? Il y est allé, mais l’aventure s’est finie en eau de boudin. Parce qu’il a également porté les couleurs d’un club nommé Ankarugucu, l’(ancien) international français ne pouvait pas échapper à mon questionnaire loose ou pas loose. Il s’y est prêté avec humour.

«Jérôme Rothen, avoir préféré le PSG à Chelsea au moment de quitter Monaco, loose ou pas loose ?
Pas loose. C’est mon club de cœur, je ne regrette rien. Toute ma carrière, j’ai toujours essayé de tirer le maximum de ce que je pouvais, avec les qualités que j’avais. Quand tu réalises ton rêve, il n’y a rien de plus beau.

A l’époque où tu jouais à Troyes, Luis Fernandez qui disait que tu n’avais pas les épaules assez larges pour jouer au PSG, loose ou pas loose ?
Loose parce qu’il ne faut pas juger les gens sans les avoir côtoyés. A l’époque, il y avait des discussions. Beaucoup de gens à Paris voulaient que je vienne, mais lui avait apparemment d’autres perspectives niveau recrutement. Il a certainement dit ça pour que les gens changent d’avis, et finalement, je suis parti à Monaco. Là encore, sans regret. Mais j’étais jeune et sur le coup, j’ai trouvé ça gratuit, dévalorisant. Franchement, Luis, comme beaucoup d’autres joueurs charismatiques, ça fait partie des mecs qui ont bercé mon enfance alors venant de lui, ça m’a touché encore plus. Aujourd’hui ? C’est arrangé, on a de très bons rapports. Il s’est excusé et rien que pour ça… Quand on connaît son caractère, ce n’est vraiment pas évident de le faire changer d’avis (il se marre).

« Être pris en grippe par les supporters parisiens, c’est loose. Mais ça venait d’une incompréhension.»

Durant la saison 2005/2006, Laurent Fournier est remplacé à la tête du Paris-SG par Guy Lacombe. Loose ou pas loose ?
Loose. Avec « Lolo », on était deuxième. Avant la trêve, ce qui n’est jamais une période facile, on fait nul face à Ajaccio et il se fait évincer. Ça avait surpris tout le monde. Enfin presque parce que s’il s’est fait virer, c’est qu’il y a quand même certains joueurs qui ont fait pencher la balance. Résultat : on passe de deuxième à huitième. Franchement, il n’y a qu’à Paris qu’on peut voir ça. Quand ça va trop bien, le club se crée des problèmes tout seul.

A Paris, tu as aussi été pris en grippe par les supporters. Loose ou pas loose ?
Loose, mais ça venait d’une incompréhension entre les supporters et moi à cause d’une affaire de tract*. A l’époque, on enchaînait les mauvais résultats et parfois, tu dis des choses… Me donner ce tract, une heure avant un match, ça m’avait énervé. J’avais réagi à chaud, et ensuite, mes propos avaient été déformés. Ça avait engendré beaucoup de tension. Heureusement, je me suis accroché, j’ai fait abstraction…

A l’été 2009, le Real Majorque, l’Espanyol Barcelone, Blackburn, Nice ou encore Schalke pensent à toi. Et finalement, tu choisis les Rangers. Loose ou pas loose ?
Avec le recul, ce n’était pas un bon choix, mais à la base, je ne pensais vraiment pas me tromper. Les Rangers, c’est quand même un gros club du Royaume-Uni, qui jouait chaque année la Ligue des champions. Quand toi, tu ne l’a pas jouée depuis quatre ans, ça donne envie. Et puis, sportivement, je me suis quand même éclaté. Quand, sur douze matches, tu es élu sept fois homme du match, c’est que tu montres des choses, non ? Le problème, c’est qu’il y a eu pas mal d’incompréhensions avec le manager de l’époque, Walter Smith. Déjà, alors que j’avais toujours joué à gauche, lui me faisait jouer à droite. Il a peut-être voulu faire la même chose que la conduite sur la route…

Après les Rangers, tu es prêté à… Ankaragucu. Je ne te demande même pas si c’est loose ou pas loose. Même toi ça doit te faire rire aujourd’hui…
Oui, forcément (il se marre encore). Par rapport aux autres clubs où j’ai évolué, ce n’est pas un nom qui claque. Mais le fait que je ne pouvais pas rester aux Rangers a fait que… Quand tu te retrouves au mois de janvier, qu’il faut que Paris, les Rangers et un troisième club se mettent d’accord, c’est compliqué. Et puis, il y a eu cette opportunité à Ankarugucu. Il y avait là-bas Roger Lemerre que je connaissais bien. Sans lui, je n’y serais pas allé. Malgré tout, et même si c’est moins médiatisé, le championnat est de bon niveau. J’y ai appris des choses.

Quelques questions subsidiaires. Avoir sorti une biographie en étant toujours en activité, loose ou pas loose ?
C’est loose parce qu’en France, les gens ne sont pas habitués à ça. A l’étranger, d’autres joueurs en ont sorties, en étant beaucoup plus virulents que moi, et ça s’est très bien passé. Après, le fait que je sois un joueur du PSG qui attise pas mal de jalousie, le fait à l’époque que mes prestations n’étaient pas à la hauteur… Tout ce mélange a fait que je m’en suis pris plein la tronche gratuitement. Moi, j’ai toujours eu un nom qui fait parler. On m’aime ou on m’aime pas, mais ça correspond bien à mon caractère parce que moi aussi, je suis comme ça. Mais oui, j’aurais dû attendre…


«En France, les gens ne sont pas habitués à ce qu’un joueur sorte une autobiographie. A l’étranger, d’autres le font, en étant beaucoup plus virulents que moi, et ça s’est très bien passé.»

Le fait d’être le dernier joueur à avoir marqué un coup franc direct en équipe de France. Loose ou pas loose ?
Pas loose. Ou plutôt si, c’est loose pour l’équipe de France. Quand tu passes 5 ou 6 ans sans marquer un but sur coup franc direct… Pourtant, il y a des grands joueurs, des joueurs de talent, mais même eux n’y arrivent pas. A la limite, tant mieux, à chaque match de l’équipe de France, on parle de moi.

Avoir su te relancer en France, même si tu as dû en passer par la case L2, loose ou pas loose ?
Pas loose. J’ai vécu une année extraordinaire avec une récompense incroyable à la fin. Franchement, être élu meilleur joueur de L2, c’était beaucoup d’émotions. Et surtout, ce n’était pas gagné d’avance. En même temps, c’est dans mon caractère, je suis un joueur de challenge. Celui-là, je le sentais bien, et ça m’a souri. C’est quelque chose qui a marqué et qui marquera ma carrière».

*Avant un PSG-Caen, Rothen s’était accroché avec un supporter de la tribune Boulogne, venu sur la pelouse lui présenter un tract, distribué à l’ensemble du public et qui expliquait la grève des encouragements pendant quinze minutes. Sous le coup de la colère, il avait jeté le tract et lâché : «On se passera de vous».

Propos recueillis par Emery TAISNE (@EmeryTaisne) Blog L'Equipe
Biz Markie
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Sessegnon est bien suspendu 3 matches

Exclu à Aston Villa lundi soir (6-1), Stéphane Sessegnon ne rejouera plus cette saison avec Sunderland. Le Béninois a vu sa suspension de trois matches confirmée mercredi par la Fédération anglaise, malgré l'appel du club, dont les arguments n'ont finalement pas été retenus


www.lequipe.fr
succo
Citation (maxifoot.fr)
PSG : Nenê - "Paris gagnera la Champions League" (02/05/2013)

Cédé au club qatari d'Al Gharafa cet hiver, Nenê n'a jamais exprimé de rancune à l'égard du PSG, dont il a porté les couleurs deux ans et demi durant. Dans un entretien accordé au site émirati Sport360, le Brésilien se montre même très enthousiaste à l'évocation du club de la capitale.

"Ce n'est qu'une question de temps avant que le PSG n'arrive au sommet du football européen, au côté d'équipes comme Barcelone, le Real et Manchester. Je suis sûr que les meilleures années sont pour bientôt et que dans un ou deux ans, Paris gagnera la Ligue des Champions. Mais je suis partial, je suis un fan !"
Nenê souligne par ailleurs le rôle important, dans la progression du club, de l'entraîneur Carlo Ancelotti, dont le départ semble de plus en plus probable...
Dagoberto
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Divers : Fiorèse ouvre un glacier
RMC Sport


L’ancien joueur du PSG et de Marseille, Fabrice Fiorèse (37 ans), vient d’ouvrir un glacier à Annecy. Quatre ans après avoir arrêté sa carrière, l’attaquant également passé par Guingamp ou Troyes quitte donc le milieu du football après un dernier passage en tant que dirigeant à Saint-Tropez. « Au début, je pensais vivre une retraite paisible mais j’ai fini par tourner en rond et ça énervait ma femme, explique-t-il dans le Dauphiné. Je me suis toujours investi à fond dans ma tâche. Je suis issu d’un milieu populaire et j’aime le travail bien fait dans le respect de ceux qui m’entourent. »
DelSpooner


Parce que ça mérite la revue de presse kratos77.gif
Alex177
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Vincent Guérin : « Surtout une libération »
Vincent Guérin est un amoureux du Paris Saint-Germain. Pas étonnant puisqu'il a vécu l'une des périodes les plus fastes du club, entre 1992 et 1998, et remporté le deuxième titre de champion de France du PSG en 1994. Avant-hier, il était présent au stade Gerland pour assister à la victoire des hommes de Carlo Ancelotti contre Lyon (1-0) et à ce troisième sacre de l'histoire du club. L'occasion pour nous de revenir avec lui sur ce succès tant attendu par la plupart des supporters parisiens.

Un 3e titre pour le PSG, c'est quelque chose de grand pour un ancien de la maison, non ?
Oui, c'est le titre tant convoité par tous les joueurs, celui qui consacre la constance. Le PSG a été l'équipe la plus forte et la plus constante cette saison. Je pense que c'est logique et mérité.

Vous avez versé une larme ?
Non ! Mais j'étais au match à Lyon, ça a été un bon match, avec une belle entame de la part des Lyonnais. Mais après, le PSG a commencé à reprendre le dessus, à avoir la mainmise sur le jeu. Les Lyonnais ont fini par reculer. Le Paris Saint-Germain était mieux armé mentalement. De toute manière, on savait que le titre, ça serait contre Lyon, ou dans une semaine au Parc face à Brest. L'émotion a été palpable au coup de sifflet final, ça a été une libération pour les joueurs, mais surtout un aboutissement.

Comment avez-vous trouvé l'ambiance au sein du groupe à la fin de la rencontre ?
Je ne suis pas resté très très longtemps dans le stade... Mais il y a eu beaucoup de joueurs qui ont explosé de joie. On est évidemment très contents de ce titre. Mais je pense que ce fut surtout une libération pour le staff et les joueurs.

Malgré ce qu'on a pu lire en début de saison dans la presse, ce titre n'a pas été simple à décrocher, vous attendiez-vous à ce que ce soit aussi dur ?
Ce n'est jamais évident de conquérir le titre de champion. Il n'y a que dans les médias que l'on trouve que c'est facile ! Un championnat, c'est très long. Il y a des blessures, des suspensions, des choses qui font que, en fin de compte, ça ne va pas toujours comme on le souhaiterait. Ce n'est jamais facile, même s'ils étaient donnés favoris - ce qui est normal - en début de saison. Ce n'est vraiment pas évident. Au contraire, on est attendu par tout le monde, c'est encore plus difficile.

Ce titre a-t-il la même saveur que ceux de 86 et de 94 ?
Je pense que oui. Après, c'est l'évolution du football en elle-même qui est différente. Mais au sein du groupe et auprès des supporters, je pense qu'il a une saveur toute particulière. Après, je ne suis pas à l'intérieur du groupe qui est champion aujourd'hui (rires), tout comme je n'étais pas dans celui de 86, mais cela reste toujours des faits marquants dans la carrière d'un joueur. Les victoires et les titres fédèrent. C'est donc très positif pour l'avenir du Paris Saint-Germain.

Les Français ne semblent pas très emballés par ce champion. Vous arrivez à comprendre cela ?
Ouais, c'est pas sûr... Le PSG a fait une très belle saison, ils sont champions, ils sont sortis des deux coupes nationales aux tirs au but, contre le Barça ils sortent sur deux matchs nuls... Je pense de toute manière que les coupes européennes fédèrent l'amour envers un club. Ce sont les exploits européens qui font que l'amour d'un club grandit. Maintenant au niveau national, c'est un peu plus délicat c'est vrai. Il y a une grande ferveur autour des clubs de province où l'on est anti-Parisiens la plupart du temps. Paris est vu comme étant l'endroit du pouvoir, c'est normal. Moi, j'ai joué dans des clubs de province (Brest Armorique, Montpellier, ndlr) et je peux vous assurer que le match de l'année, c'était toujours contre le PSG.

Quels souvenirs gardez-vous de votre titre de 1994 au Parc ?
Ah ben c'était quelque chose ! Il y avait vraiment une osmose entre le stade et les joueurs. Mais je pense que ça allait de pair avec la santé du foot français de l'époque. Il était en haut de l'affiche à ce moment-là, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui vu le classement FIFA de notre équipe nationale... Les clubs étaient en verve aussi, on avait des clubs qui allaient loin dans les compétitions européennes. En plus, il y avait beaucoup de joueurs français au club à l'époque. Il y avait une vraie alchimie entre les supporters, les joueurs, le club, le staff ; une vraie proximité.

Quel est l'avis des anciens sur ce nouveau Paris Saint-Germain version QSI ?
C'est super ! On a (les médias, le public, ndlr) souvent critiqué Canal + à notre époque, jusqu'à ce qu'ils se désengagent, malheureusement. On a besoin d'actionnaires forts dans le football aujourd'hui, on le voit partout sur la planète foot, il faut des investisseurs. Là, il y en a un au PSG qui est puissant et ça ne peut être que bénéfique pour le football français. Après il y a souvent des querelles de clocher au niveau national, on le voit encore avec Monaco d'ailleurs, alors que le foot français a besoin de clubs forts. Il faut avoir des clubs forts. Ne serait-ce que pour redresser la barre quand on voit qu'aujourd'hui le Portugal est devant nous à l'indice UEFA... c'est complètement anormal.

Désormais il va falloir s'attendre à souvent voir gagner le PSG ?
Vous savez, dans le football, il n'y a pas de vérité. La seule vérité, c'est celle du terrain. Il faut être prêt à chaque match pour défendre son blason et donner le meilleur de soi. Et on l'a vu cette année, c'est toujours compliqué d'être champion et ce qui est le plus difficile encore, c'est de conserver cette supériorité. La plus grande difficulté, c'est de pouvoir durer dans le temps. Nous, on a eu la chance de le faire, eux sont au début d'une belle aventure. C'est très bien parti avec ce premier titre, mais rien n'est jamais acquis d'avance. Ce n'est qu'un éternel recommencement.

Un club a besoin de stabilité pour progresser. Pensez-vous que cela va beaucoup bouger cet été au club ?
Non, je ne pense pas. QSI veut bâtir un projet à long terme. Je pense que Carlo Ancelotti va rester.

Ah oui ?
Oui, il y a des raisons de le penser en tout cas. Il a été au début du projet après Antoine Kombouaré. Les perspectives qui lui sont offertes sont très intéressantes pour l'avenir. En plus, il a l'adhésion des joueurs. Il a réussi à construire une bonne base de travail avec un effectif intéressant. Après, au niveau des joueurs, je ne suis pas à la place des dirigeants. Mais ils connaissent très bien leur sujet, ils ont construit de solides bases pour le futur. Après, il y aura certainement la venue de joueurs de très gros calibre, mais il faut essayer de garder cette stabilité. Il y aura sûrement quelques départs aussi, mais il ne faudrait pas qu'il y en ait trop.

Propos recueillis par Aymeric Le Gall



So Foot
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Fiorèse : «L’OM a flingué ma carrière»
Publié le 29 mai 2013

Un jour, Fabrice Fiorèse sera peut-être plus célèbre pour ses glaces, domaine dans lequel il vient de se reconvertir du côté d’Annecy, que pour la haine qu’il a suscitée lors son transfert du PSG à l’OM à l’été 2004. Impossible de ne pas se souvenir des «Fiorèse, Fiorèse, on t’enc…» (entre autres amabilités) des supporters parisiens ou encore du cordon de CRS qui le protégeait à chacun de ses corners lors de son retour au Parc lors de la 13e journée de la saison 2004-2005 de Ligue 1. «Le calvaire de Fiorèse», avait d’ailleurs titré L’Equipe le lendemain. Ironie du sort : après deux saisons et demie passées dans la capitale, l’ancien milieu de terrain n’a pas seulement été pris en grippe par les supporters du PSG, mais aussi par ceux de l’OM, qui ne l’ont jamais adopté. Fiorèse a donc réussi l‘exploit de se faire détester par les deux camps. Retour avec lui sur cette période très «loose».


«Fabrice Fiorèse, les premières images qui me reviennent quand je pense à toi, c’est ton retour au Parc des Princes et la haine des supporters à ton égard. Toi, quel(s) souvenir(s) en gardes-tu ?
Psychologiquement, j’étais prêt à voir des choses invraisemblables, inimaginables. Mais à la base, ça me faisait plutôt rire, parce que je suis un peu provocateur. Une heure trente avant le match, le staff de l’OM m’avait dit de ne pas aller sur le terrain, mais je leur avais répondu : «Vous m’avez fait venir au club, je vais aller sur le terrain et faire comme d’habitude». Là, j’ai vite pris la température, mais je n’ai pas eu peur. Tu sais que tu es moins en danger sur le terrain qu’en dehors. Après, ce qui m’a étonné, c’est qu’un fameux latéral gauche qui est encore au PSG m’a mis un attentat devant la tribune présidentielle. Il a failli me péter la cheville alors qu’il n’avait rien à avoir dans ces histoires. Vraiment un petit con. Quand je vois que huit ans après, vu ce qu’il a apporté à ce club, il est toujours là, je me dis qu’il a vraiment dû… Pour certains, on devrait faire un test de QI. Il n’y a pas que les pieds qui comptent.

Avec le recul, que t’inspirent les réactions que ton départ a suscitées ?
Je me suis toujours dit : c’est hallucinant, c’est démesuré. Je suis toujours parti du principe que ce n’était que du sport… Avant le joueur qui tape dans un ballon, il y a l’humain aussi. Qu’il y ait une rivalité entre les deux clubs, je le comprends, mais que ça devienne à ce point de la haine….

En quittant le PSG pour l’OM dans les dernières heures du mercato alors que tu étais considéré comme le chouchou du Parc, tu n’avais pas imaginé que ça allait être très mal perçu ?
Le problème, c’est qu’on a fait croire que c’était prémédité, alors que pas du tout. Dans l’intérêt du club, il valait mieux dire que Fiorèse partait comme un voleur. Vahid (Halilhodzic) a très bien joué le coup. On venait de prendre un point en trois matches. Ça l’a bien arrangé pendant 15 jours que les médias me tombent dessus.

Si ce n’était pas prémédité, qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce choix ?
Une semaine avant la fin du mercato, on s’est pris le bec. Comme les résultats n’étaient pas terribles, ça commençait à crier dans les chaumières (sic). Le club avait fait venir Rothen et Yepes, qui n’étaient que l’ombre d’eux-mêmes. Vahid ne les avait pas mis dans les meilleures conditions, or, au PSG, il faut être bon tout de suite. En tant que vice-capitaine, je suis allé lui parler pour lui dire de donner plus de lest, d’aider les nouveaux, mais il a pensé que je venais revendiquer des choses dans mon intérêt… Il s’est senti trahi, il est devenu parano, il a tout mélangé…

«C’était un concours de circonstances»

A l’époque, Frédéric Dehu, avec qui tu t’entendais très bien, s’était déjà engagé avec l’OM depuis quelques semaines. Tu peux comprendre que les gens y aient vu une coïncidence «un peu trop grosse» ?
Mais à trois jours de la fin du mercato, je n’avais qu’un club sur moi : Sochaux. Guy Lacombe avait su que j’étais en froid avec Vahid, et il m’avait proposé de venir. José (Anigo), je ne l’ai eu que 48 heures avant la fin du mercato. Ils venaient d’en prendre trois à Metz. Ils jouaient en 3-5-2 et Lizarazu militait pour qu’ils jouent en 4-4-2. Ils avaient quelqu’un pour jouer à gauche, mais personne à droite…

Et Frédéric Déhu ? Quel rôle a-t-il joué dans ta venue ?
C’était un concours de circonstances. Fred, le pauvre, venait de perdre son papa. Je le considérais comme un grand frère, alors quand il est allé à l’enterrement de son papa, une semaine avant la fin du mercato, je lui ai dit de passer deux jours à la maison plutôt que d’aller à l’hôtel. Du coup, il a vécu en direct le clash avec Vahid. Et quand il est retourné à la Commanderie, c’est là qu’il a parlé de ma situation.

«Quand 60 000 personnes te sifflent dès que tu touches la balle alors que tu es censé être dans ton jardin (…) J’étais devenu un pestiféré»

A l’arrivée, tu débarques à Marseille. Et là, rien ne se passe comme tu veux…
Déjà, j’ai eu un handicap monstrueux, c’est que les supporters marseillais pensaient que j’étais parisien d’origine. L’autre handicap que j’ai eu, c’est que quelques mois avant, j’avais marqué à la dernière minute (1-0), un soir où sincèrement, on aurait dû en prendre 5. Ça avait été une joie extrême et j’avais fait un poing rageur. Vahid a joué avec ça. Dans ces déclarations, il l’a joué fine : comment peut-il aller dans un club alors qu’il a fait un bras d’honneur aux supporters marseillais quelques mois avant ? Et puis, j’ai pris plus de deux mois pour marquer un but, j’avais pris le numéro 11 de Drogba… Tout ça a fait que c’était invivable. Quand 60 000 personnes te sifflent dès que tu touches la balle alors que tu es censé être dans ton jardin, c’est impossible d’être performant. Le pire, c’est que ça a rejailli sur mes équipiers. Eux aussi, du coup, prenaient la bronca le temps que je leur redonne le ballon. Ça a mis toute l’équipe en difficulté. J’étais devenu un pestiféré.

Au quotidien, comment l’as-tu vécu ?
J’étais convaincu que je pouvais faire quelque chose, mais quand tu ne te sens pas bien, pas épaulé, tu es un peu comme un lion en cage. C’est : «Démerde toi ou crève». Au départ, je pensais que ça allait s’arranger, mais au bout de trois mois, j’ai compris. A la sortie de la Commanderie, j’allais pour signer des autographes et là, le petit groupe de supporters partait en me disant : «Va te faire enc… Tu crois qu’on en veux de ta signature ?» J’ai surtout essayé de protéger ma famille. Mon quotidien se résumait à : maison-Commanderie ; Commanderie-maison. L’OM a flingué ma carrière, mais je suis aussi responsable de mon choix. Je n’avais pas mesuré l’ampleur du truc.»

Propos recueillis par Emery TAISNE (@EmeryTaisne)


http://footloose.blogs.lequipe.fr/?p=230
scourmy
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C’était le dossier prioritaire sur le bureau de Patrice Haddad, le président du Red Star. Il est désormais en passe de se régler au plus vite. Le nouvel entraîneur du club de Saint-Ouen devrait en effet être Laurent Fournier. Son nom, comme nous l’évoquions dès dimanche, était en tête de liste depuis le sauvetage miraculeux en National, vendredi soir.
Son officialisation pourrait intervenir aujourd’hui ou demain.
Fournier (48 ans) succéderait à Vincent Doukantie (36 ans), aux commandes depuis octobre 2011, qui s’est vu signifier après deux entretiens avec sa direction, lundi et mercredi, que sa mission à la tête de l’équipe de National ne sera pas prolongée. Sans surprise, tant le sort de l’ex-international malien semblait scellé avant même l’issue de la saison. Selon nos informations, Doukantie, qui dispose d’un contrat à durée indéterminée au club, se serait vu proposer la responsabilité des U19 (DSR). L’intéressé, en vacances pour dix jours, n’a pas souhaité commenter cette décision ni confirmer l’offre qui lui a été faite. Steve Marlet, son adjoint, ne sera pas reconduit non plus dans ses fonctions. Sa future mission reste, elle, à définir.
Les dirigeants du Red Star travaillaient déjà depuis de longues semaines sur cette succession avec, toujours en tête, le projet Ligue 2 à l’horizon 2015. Et le nom de Fournier (sans club depuis son limogeage en mars 2012 d’Auxerre, L1) s’est très tôt dégagé.

Avec Alain Roche sur le dossier du recrutement ?

« C’est la piste la plus chaude… » a admis, hier, la direction du club. L’expérience du monde pro (SC Bastia, PSG) et la connaissance du contexte parisien (il a conduit Créteil à la 4e place du National en 2009) de l’ancien joueur du PSG colle parfaitement au portrait-robot défini par Patrice Haddad. Ce dernier, sollicité récemment par Hubert Velud (ex-coach du PFC et de Créteil, sacré champion d’Algérie ce mois-ci avec Sétif), espère boucler le dossier ce week-end afin d’aborder, dès le début de semaine prochaine, le volet des reconductions de contrats et du recrutement. Selon l’un de ses proches, Fournier — qui avait refusé au dernier moment de venir au chevet du Paris FC en décembre dernier — aurait décidé de répondre favorablement à la cour assidue du Red Star. Les deux parties se seraient mises d’accord « sur l’essentiel ».
L’ex-milieu défensif pourrait ne pas être le seul ancien du PSG à grossir les rangs audoniens. Certaines sources enverraient également Alain Roche (45 ans) du côté de Saint-Ouen pour prendre en charge la politique de recrutement, poste actuellement occupé par Fabrice Bertone. L’ex-défenseur international, injoignable hier, avait cette responsabilité au PSG entre 2006 et 2011. Il a quitté le club parisien en août 2012.


leparisien.fr
Julio94
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LAURENT FOURNIER, NOUVEAU COACH

PORTRAIT DU NOUVEL ENTRAÎNEUR AUDONIEN

Les grands clubs n’ont pas de secret pour Laurent Fournier. Champion de France avec le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille, trois fois finalistes (une fois vainqueur) d’une Coupe d’Europe, unique joueur à avoir porté le maillot des cinq clubs français les plus populaires (Paris, Marseille, Lyon, Saint-Etienne, et Bordeaux), cet ancien milieu de terrain va découvrir au Red Star une autre équipe mythique. Fort d’une expérience d’entraîneur qui dure depuis dix ans, le nouveau coach sera assisté de Patrick Colleter. Portrait d’un duo ambitieux.

Ils sont arrivés ensemble à Bauer ce matin. Comme les inséparables qu’ils ont souvent été. Grognards du PSG des grandes années, Laurent Fournier et Patrick Colleter vont se retrouver sur le banc du Red Star. Complémentaires sur le terrain (l’un droitier, l’autre gaucher), les deux hommes le sont aussi en dehors. L’un a une longue expérience de coach en chef, l’autre a été l’adjoint de Ricardo à Monaco et à Bordeaux. "Le choix de Patrick s’est fait naturellement, on a toujours été proche et animés du même état d’esprit. Il connait bien l’Ile-de-France et j’aime son tempérament combatif. C’était très important de pouvoir venir avec lui" confie d’emblée Laurent Fournier. Joueurs travailleurs et infatigables, les deux hommes n’ont jamais quitté le milieu du football. Entraîneur à tous les niveaux, du CFA (Pacy-sur-Eure, PSG [b] à la Ligue 1 (PSG, Auxerre, Bastia), en passant par la Ligue 2 (Nîmes), et le National (Créteil, Strasbourg), Laurent Fournier s’est forgé une connaissance pointue du football français et plus particulièrement de son troisième échelon : "Je n’ai jamais cessé de suivre ce championnat, que ce soit sur Internet grâce aux direct-vidéo ou au stade. Des équipes comme Reims ou Bastia que j’ai affrontées quand j’étais à Strasbourg ou Créteil sont aujourd’hui en Ligue 1, c’est la preuve que c’est une compétition relevée." . Une expertise qui se double de celle de la région parisienne, un vivier dont le nouveau coach entend bien se servir : "Il y a des jeunes prometteurs, des recalés de centre de formation très talentueux, ce sont des ressources qu’il faudra utiliser ici", continue le technicien.

Sensible au projet audonien, Laurent Fournier a apprécié la ferveur de Bauer lors du match contre Fréjus-Saint Raphaël : "J’ai vu une belle rencontre dans une ambiance vraiment sympa. L’attitude des joueurs en deuxième mi-temps m’a plu, ils n’ont jamais renoncé. Il faudra conserver cette solidarité" raconte le Lyonnais d’origine forcément séduit et fier de prendre en main une équipe où sont passés "Combin, Di Nallo ou Baeza". "Pour moi c’est d’abord beaucoup de plaisir de venir ici et de retrouver le terrain." Ayant terminé deux fois au pied du podium en National (quatrième en 2010 et 2011), l’entraîneur vert et blanc se sent capable de franchir un cap : "J’ai énormément appris de ces parcours. Tout se joue dans les détails et je pense avoir progressé dans mon niveau d’exigence". Pour atteindre les objectifs de montée en Ligue 2, il se donne "deux ans" comme la durée de son contrat à Saint-Ouen et compte s’appuyer sur "certains joueurs du groupe actuel". "Retrouver le professionnalisme ailleurs qu’au PSG dans la région parisienne c’est possible. Il faut trouver un autre modèle car le Paris Saint-Germain, aujourd’hui, ce sont les étoiles.". Le Red Star, lui, n’en est qu’une… mais quelle étoile !


Redstar.fr
Varino
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« Je peux vivre »



RICARDO, victime en août 2011 d’un accident vasculaire cérébral en plein match alors qu’il entraînait le Vasco de Gama, est désormais directeur sportif du club. L’ancien défenseur brésilien du PSG parle de sa longue période de rééducation et de son espoir


Sa poignée de main manque encore de fermeté et sa démarche est boitillante. Son sourire est parfois crispé, surtout quand on lui demande de prendre la pose, mais ses yeux sombres dégagent toujours cette petite lueur si particulière. Une lumière qui a bien failli s’éteindre, en août 2011, lorsque Ricardo, alors entraîneur du club brésilien du Vasco de Gama (Rio de Janeiro), a été victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) pendant le derby face au Flamengo. Après dix jours de coma et des mois de récupération, l’ancien défenseur du PSG (1991-1995) et de la Seleçao (1984-1994) est de nouveau debout. À quarante-huit ans, il a même repris le travail, il y a deux semaines, en tant que directeur sportif du Vasco, et envisage de retourner, un jour, sur un banc de touche. L’ancien entraîneur du PSG (1996-1998), de Bordeaux (2005-2007) et de Monaco (2007-2009) nous a reçus dans les couloirs du vieux stade de Sao Januario.

« COMMENT ALLEZ-VOUS vingt-deux mois après votre accident survenu en plein match ?
– Vingt-deux mois, vous êtes sûr ? (Il prend quelques secondes pour compter.) Ah, oui, vous avez raison. Comme j’ai envie que ça aille plus vite ! Mais je me sens bien, j’ai presque récupéré toutes mes facultés. J’ai encore un manque de sensibilité du côté droit, qui m’empêche de faire certains mouvements, comme boutonner une chemise ou plier une feuille de papier. (Il mime le geste.) J’ai aussi quelques difficultés à me déplacer. Mais, pour le reste, je peux conduire, je peux travailler, je peux vivre !

– Vous revenez de très loin…
– Oui, j’ai vraiment failli mourir. Dans mon malheur, j’ai eu la chance que cet accident se produise en plein match. L’ambulance était à quelques mètres du banc de touche et j’ai été transporté à l’hôpital rapidement. Il se trouve aussi que, au même moment, le neurochirurgien arrivait à l’hôpital pour visiter un patient. Il m’a donc très rapidement pris en charge et m’a sauvé. En fait, trois heures après mon AVC, j’étais déjà en train de me faire opérer.

– Et ensuite ? De quoi vous souvenez-vous ?
– Je suis resté dix jours dans le coma à l’hôpital. Vingt jours après l’AVC, j’étais de retour à la maison, mais je n’étais pas en grande forme. (Sourire.) Ensuite, il a fallu quasiment tout reprendre à zéro. D’abord réussir à me lever du lit, puis réapprendre à marcher, à parler aussi. Au début, c’est le français et pas le portugais qui me venait. C’était très bizarre. Aujourd’hui, c’est l’inverse, je ne retrouve plus trop mon français.

– C’est un miracle de vous retrouver aussi fringant après un accident aussi grave…
– Je ne sais pas s’il s’agit d’un miracle. J’ai failli rester hémiplégique du côté droit. Je m’en sors très bien. Les chirurgiens m’ont dit que je redeviendrais comme avant au bout de trois ans. Quand je me sentirai à 100 %, je pourrai envisager de redevenir entraîneur. Pour l’instant, il n’en est pas question.

– D’où vous vient cette force, cette résistance ?
– Je ne suis supérieur à personne. Je veux récupérer à 100 % pour remercier tous les gens qui m’ont encouragé. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de messages, de cadeaux, de lettres que j’ai reçus pendant toute cette période. Ce sont ces gens qui m’ont donné la force de me battre et me poussent encore aujourd’hui. À côté de l’hôpital, il y a encore un graffiti géant que les supporters du Vasco ont peint pour moi. C’est quelque chose de magnifique, de touchant.

– Pensez-vous que le stress lié à votre poste d’entraîneur a pu provoquer cet AVC ?
– Non, pas du tout, cela n’a rien à voir avec le football. Juninho (l’ancien milieu de Lyon jouait alors au Vasco de Gama) m’a raconté qu’à la mi-temps du match où cela m’est arrivé j’étais super tranquille, je buvais un café en discutant avec lui… En fait, c’est plutôt héréditaire. Mon père est mort d’un AVC à quarante-quatre ans. C’est comme ça, c’est un défaut de fabrication. (Sourire.)

– En quoi consiste votre nouveau rôle de directeur sportif ?
– Je dois reconstruire une équipe ! Nous sommes dans une situation financière très difficile et nous avons été obligés de nous séparer de quatorze joueurs. C’est un moment compliqué, mais l’histoire du Vasco est au-dessus de tout ça. Et j’aime ce nouveau rôle, ça me convient très bien pour l’instant.

– Même avec peu de moyens, pourriez-vous activer vos réseaux français et faire venir un joueur de L 1 ?
– Pourquoi pas ? Malheureusement, au Vasco, nous n’avons pas de gros moyens. (Le plus haut salaire de l’équipe est de 55 000 euros brut par mois.) Mais, s’il y a un joueur que j’aimerais bien avoir, c’est Jérémy Menez. Lui, c’est mon chouchou. Quel talent ! Je sais qu’il ne fait pas l’unanimité, mais personne ne la fait. S’il veut changer de vie, il est le bienvenu ici. (Rire.) »

l'Equipe
Beuzech
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Paul Le Guen approché

En fin de contrat avec Oman, Paul Le Guen a été approché par le Gabon. Selon nos informations, un contrat de deux ans lui a été proposé. Cependant, Oman, avec lequel il a failli se qualifier pour la Coupe du monde 2014, et un club européen sont aussi sur les rangs. Le choix de l'ancien entraîneur de Lyon (2002-2005) ou du PSG (2007-2009) devrait être connu dans la semaine. Actuel sélectionneur des Panthères, Paulo Duarte devrait lui rester au Gabon, mais en tant que directeur technique national (DTN).


léquipe.fr
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SYLVAIN ARMAND : « J'AI VÉCU ICI DES MOMENTS FORTS »

Après neuf saisons passées dans la capitale, Sylvain Armand s'est engagé avec Rennes. Le défenseur est revenu pour PSG.FR sur son aventure parisienne.

Sylvain, après neuf saisons passées au Paris Saint-Germain, tu quittes le club. La décision a-t-elle été difficile à prendre ?
« Cela n'a pas été évident, car en neuf ans à Paris j'ai vécu des moments forts, intenses. On s'attache aux personnes et au club. Je voulais être Champion avec Paris. Maintenant que c'est fait, je souhaite terminer ma carrière en jouant plus régulièrement. »

Ce titre de Champion conclut de la plus belle des manières ton histoire avec Paris...
« C'est extraordinaire d'avoir pu ainsi participer à cette conquête du titre, d'autant plus que j'ai eu la chance de jouer assez souvent cette saison. J'ai presque tout gagné avec Paris : la Coupe de France, la Coupe de la Ligue et le championnat, sans compter les épopées européennes. J'ai le sentiment d'avoir bouclé la boucle, après deux dernières saisons exceptionnelles. Je tiens à remercier les dirigeants et le staff pour leur professionnalisme, le club a d'ailleurs facilité et rendu possible mon départ pour Rennes. »

As-tu été touché par l'hommage rendu par les supporters lors de la remise du trophée au Parc des Princes ?
« J'ai été très ému par cette ovation. Quand je suis arrivé à Paris il y a 9 ans, ce n'était pas gagné d'avance. J'ai toujours donné le maximum et je n'ai jamais triché. Les supporters m'ont toujours soutenu, notamment dans les moments difficiles et je ne l'oublierai pas. Aujourd'hui, je veux aussi les remercier pour tout cela. »

Comment vois-tu l'avenir du Paris Saint-Germain ?
« Je souhaite à Paris de remporter encore des titres car ce club le mérite. Avec l'arrivée de Laurent Blanc, qui a été Champion avec Bordeaux, et les grands joueurs que compte l'effectif, cela va marcher tout seul. Cela ne fait aucun doute. »


PSG.fr
Julio94
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Jérôme Leroy sort de sa retraite et signe à Istres !

Jérôme Leroy, 38 printemps au compteur, qui avait pris sa retraite en décembre dernier, a décidé de renfiler short et crampons et s’est engagé pour une saison avec Istres (Ligue 2), annonce le club ce samedi. « Rattrapé par la passion du football, et séduit par le projet sportif du FCIOP, ce cadre d'expérience reconnu pour ses qualités footballistiques va venir renforcer l'effectif Istréen. Le club qui a pris l'habitude de relever des challenges, en lançant des jeunes, mais aussi en les encadrant par des joueurs ‘reconnus’, n'a donc pas hésité au moment où s'est présenté l'opportunité de signer un joueur de ce calibre », précise un communiqué. Leroy, près de 400 matches au compteur en Ligue 1, est passé par le PSG, l’OM, Sochaux, le Stade Rennais, où sa patte autant que son caractère bien trempé n’ont jamais laissés indifférent.


RMC.FR
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Michel Denisot vers Monaco

Ancien président de Chateauroux et du PSG, Michel Denisot a de bonnes chances de rejoindre très vite l'AS Monaco. Le journaliste vedette a rencontré Dimitri Rybolovlev, le milliardaire russe propriétaire et président du club monégasque, pendant le dernier festival de Cannes. Au cours des discussions, il a été question d'un rôle de conseiller pour Denisot. Celui qui vient d'arrêter la présentation du Grand Journal, sur Canal+, et qui est directeur de la rédaction du nouveau mensuel "Vanity Fair" ne s'occuperait pas du domaine sportif, mais aurait un rôle institutionnel. Il pourrait notamment représenter le club auprès des institutions du football (Ligue et Fédération). Denisot et Rybolovlev sont convenus de se revoir dans les jours qui viennent pour tenter de finaliser les contours de leur collaboration.
L'Equipe.fr
Beuzech
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Rothen va quitter Bastia

Après deux saisons passées à Bastia, Jérôme Rothen va quitter la Corse. En phase de réflexion depuis plusieurs jours, le joueur, qui arrive en fin de contrat dans un an, a annoncé lundi à ses dirigeants sa décision. Il devrait résilier son contrat dans les prochaines heures.


lequipe.fr
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Rothen retourne à Caen

Jérôme Rothen va rejoindre le club qui l'a lancé en 1997. (L'Equipe)

L’ancien joueur bastiais, Jérôme Rothen, va signer avec le Stade Malherbe de Caen, a indiqué le club normand samedi sur son site internet. C’est un retour aux sources pour le milieu de terrain de 35 ans qui été formé dans le club caennais. Il sera officiellement présenté en début de semaine prochaine, est-il précisé. La durée du contrat n’a pas été communiquée.


L'équipe.fr
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Houllier : « Le PSG doit gagner et plaire »

Depuis un an, Gérard Houllier, ex-sélectionneur des Bleus, ex-manageur de Liverpool, ex-entraîneur du PSG et de l’Olympique lyonnais, occupe une fonction sans équivalent sur la planète football. « Directeur sportif mondial » du projet lancé par la marque de boissons énergétiques Red Bull, il coordonne cinq structures réparties sur trois continents.

Il nous a reçus la semaine dernière dans ses bureaux du IIe arrondissement de Paris. Au menu de l’entretien : sa nouvelle aventure, le PSG, l’équipe de France et son amour du football.

En quoi consiste votre nouveau travail ?


Gérard Houllier. J’ai été nommé par Dietrich Mateschitz (NDLR : PDG et fondateur de la marque Red Bull) pour assurer la liaison avec les cinq structures qui composent le projet : Salzbourg, en Autriche, Leipzig, en Allemagne, New York, une académie au Brésil et une autre au Ghana. Je dois fixer des challenges, donner la philosophie générale et m’occuper du recrutement. J’ai signé en juillet 2012 un contrat d’un an avec une année optionnelle. Comme cela se passe bien, je repars donc pour un an.

Quelle est la finalité de ce projet ?


Au début, je pensais que Red Bull faisait tout cela pour de la visibilité et du marketing. En fait, pas du tout. Mateschitz a racheté Salzbourg pour dépanner un copain. Leipzig, c’est un pari assez malin sur l’avenir. New York, c’est ce qui ressemble le plus à une opération marketing. Au Brésil, il s’agit d’une opération locale avec recherche de visibilité sur le marché brésilien.

Donc, il s’agit bien d’un projet marketing…


Non. Si c’était seulement cela, Red Bull aurait acheté un club européen en ayant pour but de l’amener le plus haut possible en Ligue des champions.

Red Bull pourrait-il racheter un club français ?


Je ne pense pas, cela ne correspond pas à la philosophie du projet pour l’instant.

Quelle perception avez-vous du PSG version Qatar ?


Je trouve cela formidable que les Qatariens aient autant investi. Ils achètent un club, se donnent les moyens et, dès la deuxième année, ils gagnent un titre et arrivent en quarts de finale de la Ligue des champions. Entre leurs intentions et leurs actes, il y a beaucoup de cohérence.

Le départ d’Ancelotti et la difficulté à trouver son successeur peuvent-ils fragiliser durablement Paris ?


Non. Ce qui compte, c’est d’avoir une bonne équipe.

Les propriétaires du club ont beaucoup investi sur le marché des transferts. Ont-ils bien investi ?


Il est encore trop tôt pour le dire.

Que pensez-vous d’Edinson Cavani, dont l’arrivée au PSG serait imminente ?


Avant de l’observer pendant la Coupe des Confédérations (NDLR : Cavani a participé à cette compétition en juin avec la sélection uruguayenne), je pensais que c’était juste une star qui restait devant. En fait, il travaille énormément pour son équipe. Il bosse comme un fou, à droite, à gauche…

Quel est aujourd’hui le principal défi de Laurent Blanc ?

Le PSG ne peut pas gagner n’importe comment. Le PSG doit gagner et plaire en assurant un spectacle de qualité. C’est indispensable. Pas forcément à chaque match, bien sûr, mais le plus souvent possible. En France, on n’aime pas trop cette idée. On pense peut-être que seul le résultat compte.

Pourquoi le caractère spectaculaire du jeu est-il aussi important à vos yeux ?


Tout simplement parce que le football de haut niveau est en concurrence avec d’autres sports, d’autres spectacles audiovisuels et d’autres loisirs. Aujourd’hui, si une équipe propose un football ennuyeux, elle finira par être délaissée par ses propres fans. Avant, ce n’était pas le cas.

Quel regard portez-vous sur le joueur qui a marqué la saison passée du PSG, Zlatan Ibrahimovic ?

Quand il veut jouer, il est le meilleur au monde. C’est un super joueur. Quand on a un joueur comme lui dans une équipe, c’est une très bonne chose. Quand on en a deux, en revanche…

Vous rencontrez souvent des observateurs étrangers. Leur regard a-t-il changé sur le football français avec l’émergence du PSG et de Monaco ?

A l’étranger, les gens restent fixés sur l’image laissée par l’équipe de France lors de la Coupe du monde 2010. Le football français, pour eux, c’est toujours Knysna.

Quelles sont les raisons profondes de cette dégradation de l’image du football français ?


L’une des erreurs du football français, c’est d’avoir fabriqué des bons joueurs de football, mais pas des bons joueurs d’équipes de football. Nous avons été très bons sur le plan de la formation technique mais pour le reste… Notre approche était individuelle et donc individualiste. Tout est parti du modèle de Clairefontaine. Mais les choses sont en train de changer. Le bon parcours et le bon état d’esprit des U20 qui jouent actuellement la Coupe du monde sont un bon signe.

Quels sont les postes les plus importants dans une équipe de haut niveau ?

Une grande équipe est déterminée par le talent de ses attaquants et de son gardien. Ensuite, les latéraux jouent un rôle de plus en plus important. Un défenseur latéral a du temps et de l’espace et peut donc créer des différences s’il dispose des qualités nécessaires. Le joueur qui est devant la défense a aussi une fonction primordiale. C’est Busquets avec la sélection espagnole, Gustavo au Brésil. Mais le plus important, c’est le gardien et l’avant-centre.

Il y a de quoi être inquiet pour l’équipe de France alors…


Non. Les Bleus peuvent compter sur un grand gardien, Lloris. Et Karim (Benzema) va enfin se retrouver seul à la pointe de l’attaque du Real avec le départ programmé d’Higuain. Cela ne peut qu’être positif pour sa confiance et donc pour son rendement en équipe de France.

La sélection de Didier Deschamps va-t-elle se qualifier pour la Coupe du monde ?

Elle aura beaucoup de mal à éviter les barrages. Après, c’est une histoire de chance et de réussite. En tout cas, il est vraiment important que les Bleus se qualifient pour le Mondial. Cette compétition donnera une formidable expérience à la jeune génération de joueurs en vue de l’Euro 2016 en France.

Quel est le favori du Mondial 2014 ?

Le Brésil, probablement. Cela dit, jamais une équipe qui a remporté la Coupe des Confédérations ne s’est imposée dans le Mondial. Mais s’ils sont capables de défendre encore un peu mieux, ils ont une main sur la coupe.


Le Parisien.fr
ribob
Citation
Libre de tout contrat après son expérience de deux ans à l’Hapoël Tel Aviv, Apoula Edel veut revenir en France. L’ancien gardien du PSG (2007-2011) en a même fait une priorité. «J’aime la France, et ma femme est française», nous a-t-il confié. Et puis, il est habité d’un sentiment de revanche. «Il y a deux ans, je suis très mal parti. J’ai quitté Paris sur un échec car j’ai mal fini la saison», a-t-il ajouté. Alors qu’il avait été titulaire une bonne partie de la saison 2010-2011, il avait finalement perdu sa place au profit de Grégory Coupet, redevenu le numéro un.

Le Camerounais vise un club de Ligue 1, même comme doublure, et est même prêt à accepter un bon projet en L2. «Je suis ouvert à tout. Mon objectif est vraiment de rebondir», a-t-il conclu.


L'équipe.fr
Alex177
Citation
Hugo Leal à la retraite

C'est tout un pan de l'histoire du PSG qui s'en va. Passé par le club parisien entre 2001 et 2004, le Portugais Hugo Leal a décidé de mettre un terme à sa carrière à 33 ans, après une saison difficile du côté d'Estoril (6 matchs de championnat seulement).

Éternel espoir (une sélection avec les A), le Portugais avait débuté sa carrière à Benfica, avant de rejoindre l'Atlético Madrid, puis le PSG. Son passage mitigé dans la capitale l'a ensuite conduit à écumer les clubs (Porto, Coimbra, Braga, Belenenses, Trofense, Salamanque, Setúbal, Estoril), sans grand succès. Il s'en va avec un bilan de 18 buts en 354 matchs professionnels.

Son élégance sur le terrain et son serre-tête dans les cheveux nous manquent déjà.

So Foot
Jocelyn Beaumont
Citation (Edel @ 11/07/2013 21:53)
Edel de retour en France ?

«J’aime la France, et ma femme est française. Il y a deux ans, je suis très mal parti. J’ai quitté Paris sur un échec car j’ai mal fini la saison. Je suis ouvert à tout. Mon objectif est vraiment de rebondir »

Le torchon
HHA
Citation
Yepes vers l'Atalanta

Alors qu'un retour en Colombie avait été envisagé pour Mario Yepes, désormais sans club depuis la fin de son contrat avec l'AC Milan, Antonio Percassi, le président de l'Atalanta Bergame, a annoncé que le défenseur allait s'engager dans son club. Une confirmation des informations parues dans la presse transalpine ces derniers jours à propos de l'ancien Nantais et Parisien. L'arrivée du Colombien de 37 ans devrait être prochainement officialisée par le dernier quinzième de la Serie A.


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