Le CIES partait sur une décotte en moyenne de 28% de la valeur joueur.
Coté club ceux qui n'ont pas d'actionnaires capable de faire face et surtout qui ont poussé la logique de croissance à son paraoxisme, ceux là sont dans une melasse dont il est difficile de mesurer les conséquences. Barcelone en est un bon exemple, outre leur masse salariale délirante, ils ont mis en place une politique de croissance basé sur la dette et l'emprunt, l'objectif étant d'être le premier à passer les 1 millards d'euro de CA en 2021, avec un système d'achat basé sur des remboursements fonction de l'amortissement (ils ammortissent au même rythme qu'ils payent), à celà ils ont ajoutés de l'emprunt, 140M en 2019 à un taux de 1,8% sur 5 ans, qui se justifiait à l'époque, ils avaient une croissance moyenne de 7%, alors emprunter à 1,8 pour pouvoir profiter de suite des benefices (recettes, droits TV..) de dans 5 ans, c'est dangereux mais pourquoi pas, l'UEFA n'a rien trouvé à y redire. Mais si la valeur des joueurs baissent, et qu'en plus tu connais un ralentissement important, alors là tes actifs financés avec de l'emprunt deviennent toxiques, tu n'arrives plus à rembourser, tes besoins en trésorerie augmentent alors que tes recettes sont en baisse, plus de possibilité d'empruter à pas chère, et tu n'as pas d'actionnaires pour recapitailser, la seule solution c'est vendre et maigrir. Jusque ou, difficile de dire, mais si on n'a appris un truc de 2008, c'est que personne n'est "too big to fail".
Dorénavant plus aucune banque ne suivra de tel prêt, terminé les croissances forcés à coup d'emprut dont les italiens sont si friands, l'an passé 170M€ pour la juventus, qui elle en plus est coté en bourse -54% en mars.. En france on n'est plus ou moins tranquille car les banques rechignent a préter aux clubs mais par contre comme nos recettes dépendents trop de la vente joueurs, la claque va ête sévère aussi.
Coté club ceux qui n'ont pas d'actionnaires capable de faire face et surtout qui ont poussé la logique de croissance à son paraoxisme, ceux là sont dans une melasse dont il est difficile de mesurer les conséquences. Barcelone en est un bon exemple, outre leur masse salariale délirante, ils ont mis en place une politique de croissance basé sur la dette et l'emprunt, l'objectif étant d'être le premier à passer les 1 millards d'euro de CA en 2021, avec un système d'achat basé sur des remboursements fonction de l'amortissement (ils ammortissent au même rythme qu'ils payent), à celà ils ont ajoutés de l'emprunt, 140M en 2019 à un taux de 1,8% sur 5 ans, qui se justifiait à l'époque, ils avaient une croissance moyenne de 7%, alors emprunter à 1,8 pour pouvoir profiter de suite des benefices (recettes, droits TV..) de dans 5 ans, c'est dangereux mais pourquoi pas, l'UEFA n'a rien trouvé à y redire. Mais si la valeur des joueurs baissent, et qu'en plus tu connais un ralentissement important, alors là tes actifs financés avec de l'emprunt deviennent toxiques, tu n'arrives plus à rembourser, tes besoins en trésorerie augmentent alors que tes recettes sont en baisse, plus de possibilité d'empruter à pas chère, et tu n'as pas d'actionnaires pour recapitailser, la seule solution c'est vendre et maigrir. Jusque ou, difficile de dire, mais si on n'a appris un truc de 2008, c'est que personne n'est "too big to fail".
Dorénavant plus aucune banque ne suivra de tel prêt, terminé les croissances forcés à coup d'emprut dont les italiens sont si friands, l'an passé 170M€ pour la juventus, qui elle en plus est coté en bourse -54% en mars.. En france on n'est plus ou moins tranquille car les banques rechignent a préter aux clubs mais par contre comme nos recettes dépendents trop de la vente joueurs, la claque va ête sévère aussi.

Merci !