Citation (JeromeTouboulArnaudHermant @ 05/12/2011 à 22:52)

Et sur son adaptation au club, comment il perçoit le club il dit quoi? Voit-il le PSG comme un tremplin ou lui a t-on décrit un vrai projet dans la durée?
Rien à ce sujet. A part sur la L1, "rapide, physique, avec peu d'équipes jouant au ballon. Ici on joue tête baissée."
Sinon mea culpa après relecture sur 2 points:
- L'interview n'est pas reprise de l'étranger, mais bien de SoFoot par Pierre Boisson et Javier Preta Santos.
- Se dédouane t-il par le positionnement de son match à Marseille ? Finalement oui un peu. En fait cette partie vient après une question sur son match au vélodrome "où il a été mauvais" comme le dit le journaliste. C'est son ancien coach qui répond d'abord en disant qu'il a "besoin de plus de liberté. Il doit participer au jeu, aller où il veut.[...]Il est toujours là où il faut et pas où on lui dit d'être. Javier tu ne peux pas rester prisonnier d'une zone. C'est pénalisant pour ton équipe. Tu es d'accord avec ça ?".
Pastore répond qu'il joue pour le PSG et doit s'adapter. Qu'il n'a plus autant de liberté qu'à Huracan. Qu'il a appris de nouvelles choses, mais qu'il ne se sent pas bien. Qu'il n'a pas l'impression de pouvoir exprimer ses qualités comme il le voudrait.
Il explique qu'il aime aller partout et là on lui demande de rester dans une zone, donc il le fait. Plus loin, il ajoute qu'il devrait reculer et avoir tout le terrain dans son champ de vision.
Sur notre jeu en général, il dit que ses débuts ont été très bons, que tout le monde était très mobile et que le PSG arrivait facilement à se procurer des occasions. Que leur façon de jouer à énormément changé depuis quelques matchs et qu'ils sont devenus prévisibles. Mais qu'il est certain qu'ils vont retrouver leur niveau de début de saison.
Voilà, je me devais de rectifier. Mon impression à la relecture c'est qu'il n'est pas heureux de son positionnement, mais ce n'est pas non plus le bureau des pleurs. Il voudrait mener le jeu de l'équipe c'est clair. Et il n'a sans doute pas encore la carrure pour décider de s'affranchir des consignes de l'entraîneur

.
Par contre, on ressent pas une grande admiration pour Kombouaré ("J'écoute toujours ce qu'il dit, car s'il est là ce n'est sans doute pas par hasard." (qui a dit "si" ?

) ). Mais son premier coach n'est pas très tendre en filigranes avec Kombouaré et c'est peut-être ça qui fait ressortir cette impression.
Enfin, son idole était Riquelme et sa dernière référence Kaka.