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D'Alessandro
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Foot - Eco
Messi fait sauter la banque

En plus d'être le meilleur sur le terrain, Lionel Messi est aujourd'hui le joueur le mieux payé au monde (33 millions d'euros annuels), selon France Football, qui dévoile mardi les « Salaires des Stars ». Il devance David Beckham (30,4), qui perd sa place de leader par rapport à l'an passé, et Cristiano Ronaldo (30). En Ligue 1, c'est Gabriel Heinze (4,5 millions d'euros annuels) qui succède à Karim Benzema, parti l'été dernier au Real Madrid. Le défenseur argentin de l'OM arrive en tête devant le Bordelais Yoann Gourcuff (4,4) et son compatriote Lucho Gonzalez (4,3). Enfin José Mourinho, coach de l'Inter Milan, redevient l'entraîneur le mieux rémunéré au monde (13 millions d'euros annuels).

lequipe.fr
11G
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Le cauchemar d’Alonzo

Jérôme Alonzo, gardien remplaçant depuis 18 ans, se raconte dans l’Equipe. Il revient sur sa période au PSG, où il a vu un psy.

« Je rentrais sur le terrain, il me manquait un gant ou une chaussure. Le match commençait sans moi. Je revenais, il y avait 2-0. Le psy m’a dit que c’était une image très forte du trac » confie-t-il.

Normal d’être remplaçant pour un joueur qui avoue « que sa quête de bonheur l’a emporté sur sa quête de performance », non ?


So Foot
Julio94
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M. Moulin manager général

Via un communiqué, publié ce mercredi sur le site Internet du MUC 72, le président Henri Legarda a annoncé la nomination de Michel Moulin au poste de manager général en charge du sportif au sein du club sarthois, actuellement dix-neuvième de Ligue 1. « Michel Moulin épaulera dès aujourd'hui (mercredi) les équipes du club sur l'ensemble des affaires sportives dans le cadre d'une mission qui prendra fin à l'issue de la saison 2009-2010, a expliqué le président manceau. Il exercera ses fonctions au MUC 72 à titre bénévole. »


Francefootball.fr
NumeroStar
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L'éphémère conseiller sportif du PSG vient d'être nommé manager sportif du Mans jusqu'à la fin de la saison...
Michel Moulin doit aimer les missions impossibles. Celui qui voulait concurrencer l’Equipe avec Le 10 Sport débarque au Mans (actuel 19e de Ligue 1), comme manager sportif. Le créateur de ParuVendu a neuf journées pour sauver Le MUC 72 de la relégation.


Comment êtes-vous devenu le nouveau manager sportif du MUC 72?

J’ai accepté cette mission par amitié pour son président, Henri Legarda. On se connaît depuis dix ans et quand il m’a demandé de lui donner un coup de main, je n’ai pas hésité une seconde.

Vous ne devez pas ignorer que tout le monde voit déjà Le Mans en Ligue 2 la saison prochaine. Comment pensez-vous changer la donne?
Je suis persuadé que Le Mans peut se maintenir. Vous savez, le football c’est d’abord beaucoup de psychologie. Tout se joue dans la tête. Il suffit de pas grand-chose pour enclencher une dynamique positive. Je pense pouvoir apporter mon enthousiasme. Je suis là pour aider l’équipe à se transcender. Et puis je connais le foot. Je rappelle quand même que c’est moi qui ai conseillé au PSG de recruter Stéphane Sessegnon alors qu’il jouait au Mans justement.

Que retenez-vous de votre court passage au PSG au printemps 2008?
Que du positif. J’ai beaucoup appris sur le foot et le club a évité la relégation en fin de saison. Avec Le Mans, le contexte est complètement différent. Déjà ce n’est pas mon club comme pouvait l’être le PSG. Et puis le président Legarda est un ami alors qu’au PSG j’avais dû parler deux fois à Sébastien Bazin (NDLR : actionnaire majoritaire du club) avant de prendre mes fonctions.

Allez-vous vous installer au Mans ?
Non, je vais faire des allers-retours depuis Paris. Entre ParuVendu, Le 10 Sport, je suis un homme assez occupé.

Vous allez relancer Le 10 Sport (aujourd’hui hebdomadaire) en format quotidien pour la coupe du Monde. A terme, voulez-vous installer le titre comme un quotidien?
C’est l’objectif, mais tout ne dépend pas que de nous. Il faut voir si le groupe Amaury relance Aujourd’hui Sport pour me contrer. Ils sont tout à fait capables de lancer un Aujourd’hui Sport spécial Mondial … Vous savez, je n’ai pas l’argent d’Amaury. Je ne peux pas me permettre d’imprimer 500.000 exemplaires pour en vendre 30.000. Si on est seul face à l’Equipe, on a une chance… J’ai retenu les leçons de la première version du quotidien. On n’était pas prêt, la maquette n’était pas belle. Maintenant, on a une vraie équipe de journalistes, d’ailleurs je ne me mêle presque plus du contenu. J’ai compris que je n’étais pas journaliste mais un type qui sait vendre de la pub.


20 minutes
NumeroStar
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PSG-Moulin: "Je ne voulais pas garder Le Guen"

Intronisé mercredi manager général du Mans, Michel Moulin garde un oeil attentif sur ce qui se passe au PSG, où il est passé brièvement il y a deux ans et où il rêve de revenir. Pour le patron du 10 Sport, interrogé mercredi soir sur Europe 1, "les problèmes d'aujourd'hui sont ceux de Paul Le Guen, de vouloir des joueurs qui n'ont pas de caractère, de ne pas faire jouer Yepes qui, aujourd'hui au Chievo Vérone deux ans après, est toujours debout. Moi, je ne voulais pas garder Paul Le Guen."

Depuis, le Breton est parti, mais les problèmes demeurent. Michel Moulin a sa petite idée là-dessus: "Il ne faut surtout pas critiquer Antoine Kombouaré qui est un mec fabuleux, le problème c'est qu'il n'a pas de joueurs aujourd'hui. Et ce que je crains pour les années à venir, c'est qu'ils ont refait signer tous les joueurs deux ans, l'année prochaine, il y a la même équipe."


Europe 1
NumeroStar
Voici un article que vous avez probablement lu et qui n'est pas d'actualité mais que je trouve énooorme.
C'est sur Pascal Nouma

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Rois de la loose

Chers lecteurs, c’est à un véritable mythe que nous nous intéressons aujourd’hui. Oubliez les foirades de Bakayoko, les attentats de Llacer et l’hygiène de vie de Christopher Wreh. Pascal Nouma a fait tout ça en mieux. Résumer la carrière de cet incroyable bonhomme est impossible, tant elle est vaste, sinueuse et parfois teintée de mystères insondables. Cependant, en voici les grandes lignes et les éléments les plus marquants.

Né à Epinay-sur-Seine, le jeune Pascal intègre très jeune le centre de formation du PSG. Ses imposants arguments physiques lui permettent d’être rapidement surclassés dans les catégories de jeunes et lui offrent également des sélections avec les cadets et les juniors nationaux. Espoir de tout un pays au soir de sa prestation en finale de la Coupe Gambardella 89, le jeune Pascal intègre un effectif pro parisien qui rêve de mettre un terme à l’hégémonie marseillaise naissante. Jusqu’à la vingtaine, Nouma se contente de maigres apparitions en championnat et accepte d’être prêté à Lille, puis à Caen, pour s’aguerrir aux joutes de D1. Les spectateurs assidus du foot français se souviennent assurément des premières sorties remarquées du jeune attaquant sous le maillot du Losc. Ses épaules de déménageur, son jeu de tête puissant, et ses muscles fessiers qu’il n’hésite pas à dévoiler aux supporters lensois au soir d’un tumultueux derby de 1992, sont autant de qualités qui sautent rapidement aux yeux des admirateurs footballistiques.

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Oh non Pascal, tu vas pas nous sortir ton engin encore une fois !


Car, et c’est là l’une des facettes les plus intrigantes de la personnalité de notre ami, Pascal a très tôt été porté sur les blagues grivoises et l’humour pipi-caca. Mais outre ces enfantillages et plaisanteries douteuses, Nouma s’est aussi souvent illustré par des comportements ignobles et des tacles abominables. De retour au PSG après ce double-prêt, le buteur vit mal sa situation de joker bien que plusieurs buts viennent parcimonieusement égayer le palmarès du bougre. Toute cette frustration emmagasinée connaît une éruption scandaleuse sur la cheville du regretté Philippe Raschke. Suspendu suite à cette agression, Pascal ne s’assagit pas pour autant et collectionne les cartons à défaut des réalisations. Jamais avare de la provoc’, le Spinassien de naissance ne quitte pas les supporters parisiens sans leur offrir un ultime fou rire lorsque qu’il imite un canari au sortir d’un cinglant 5 à 0 du PSG face à Nantes.

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« Raschke, t’es un homme mort ! »


A peine ému par la victoire des siens en Coupe des Coupes, Pascal quitte définitivement Paris avec une quinzaine de buts au compteur toutes compétitions confondues. Direction Strasbourg où il retrouve sa victime Raschke et le calamiteux Bruno Rodriguez pour un tandem de choc sur le front de l’attaque alsacienne. Aussi incroyable que cela puisse paraître, Pascal Nouma a réalisé deux très bonnes saisons à la Meinau. Pourtant, les choses ne semblaient pas très bien engagées quand, après seulement quatre matchs sous ses nouvelles couleurs, le fougueux Pascal explosait le nez de Pascal Pierre d’un maître coup de boule. Le plus drôle dans cette histoire rocambolesque est sans conteste la farouche volonté de Nouma à nier cette agression. En prétextant des pulsions suicidaires du défenseur messin qui se serait fracassé lui-même le nez contre le mur des vestiaires, l’ancien parisien ne convainc pas la commission de discipline qui le suspend plusieurs rencontres.

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La folie des grandeurs. Ici, Pascal simule une levrette avec un rhinocéros.

Tout juste 24 ans et déjà légendaire, Pascal profite de ce repos forcé pour travailler son adresse devant le but et revient sur les terrains avec une gnac retrouvée. Il fait trembler les filets adverses à 22 reprises en L1 en deux saisons. Pascal complète aussi son palmarès en s’adjugeant une Coupe de la Ligue au terme d’une séance de tirs au but surréaliste au cours de laquelle Pascal enverra une praline monstrueuse sous la barre du gardien belge des Girondins de Bordeaux, Gilbert Bodart. Le succès strasbourgeois permet à Nouma de disputer la prestigieuse coupe de l’UEFA (à l’époque elle l’était). Malheureusement, un tacle abject sur un joueur écossais des Glasgow Rangers, privera, pour cause de suspension légitime, notre idole de la double-confrontation face à Liverpool et du match aller contre l’Inter. Revenu pour le match retour contre les Italiens, Nouma croquera lamentablement le but de la qualification. Dommage.

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Pascal très attentif aux critiques constructives.


Même si sa deuxième saison alsacienne fût moins spectaculaire que la première (le départ de Zitelli y étant pour beaucoup), Pascal se fait tout de même remarquer en se faisant expulser deux fois en moins d’un mois en 1997. Cela ne l’empêche toutefois pas de montrer ses fesses au public lensois pour la deuxième fois de sa carrière et de jouer le rôle d’un mangeur de choucroute dans une publicité télé, première preuve de son admirable jeu d’acteur. Acteur, Nouma l’a toujours été, aussi bien dans les bons que dans les mauvais cotés. En effet, l’aspect "rockstar" de Pascal lui joue des tours et des rumeurs quant à l’état de santé alarmant du joueur sont étalées dans la presse. Est-ce la fameuse bière alsacienne qui fait grossir son corps à vue d’œil et qui le force à quitter Strasbourg pour le Racing Club de Lens ? Nul ne le sait. Toujours est-il que l’attaquant est accueilli de manière glaciale par le public sang et or à qui il a déjà tant montré…

Maladroit devant le but et droit comme un piquet dans les seize mètres adverses, Pascal ne parvient pas à s’imposer au sein d’un RCL pourtant champion en titre de L1. Acceptant les railleries et les critiques des supporters, Nouma se fait plus discret durant toute la saison 98-99 et revient plus fort que jamais l’année suivante. Irrésistible lors de la mémorable campagne européenne de Lens, l’attaquant verra ses efforts réduits à néant par une équipe d’Arsenal réaliste en demi-finale de l’UEFA.

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« Allez fais voir ! Je suis sûr que j’en ai une plus grosse que toi. »

Alors âgé de 28 ans, Pascal décide de quitter la France pour rejoindre le Besiktas Istanbul à la surprise générale. On peut, de manière médisante, considérer ce transfert comme ayant une visée purement lucrative. Cependant, les performances de Nouma près du Bosphore sont hallucinantes. Dix-huit buts en vingt-quatre matches lors de la saison 2001-02 conduisent l’éléphantesque attaquant aux portes de l’équipe de France. Non content de se faire remarquer par une quantité gargantuesque de buts, Pascal continue également de collectionner les suspensions, notamment en giflant le colérique anglais, Danny Mills. Entre deux agressions envers des journalistes turcs, Nouma poursuit aussi ses esclandres extra-sportifs en buvant plus que de raison dans les différentes boites de nuit stambouliotes.

Régulièrement sollicité par les publicitaires turcs et adulé par tout un peuple, l’attaquant décide contre toute attente en 2001 de quitter son eldorado pour effectuer une pige à l’Olympique de Marseille. Recruté à prix d’or en tant que joker (son transfert ayant été finalisé dix minutes après la clôture de la période des transferts), Pascal n’est jamais vraiment accepté par les supporters phocéens en dépit d’un comportement, pour une fois, irréprochable. Après onze malheureux matches et un seul but, d’un coup de casque supersonique contre le FC Metz, le buteur repart en Turquie où il recouvre son statut de star internationale.

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« Istanbul me manque… »

Mais un geste inconsidéré et grotesque va placer un point final à l’aventure turque de Nouma. Au cœur d’un derby sulfureux contre Fenerbahçe, Pascal inscrit un but important qu’il célèbre en simulant une masturbation. L’image du Français, la main plongé dans son short, provoque un véritable taulé en Turquie et contraint les dirigeants du Besiktas à licencier leur joueur fétiche.


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« Ouf, c’est toujours là. »

Dès lors, Pascal en finit avec le chapitre football, non sans avoir honoré deux derniers contrats, l’un au Qatar, l’autre à Livingston en Ecosse où il ne joue qu’une dizaine de minutes en tout et pour tout. Mais peu importe ! Pascal Nouma a désormais d’autres chats à fouetter. Ses performances remarquées dans certains spots publicitaires ont tapé dans l’œil de la légende cinématographique turque, Cuneyt Arkin, qui engage l’ex-footballeur pour son deuxième volet de Turkish Star Wars. Loin d’être le plus déplorable acteur de cette zèderie démente, Pascal a planté les fondations de sa seconde carrière. Nul doute qu’avec son talent sans pareil pour faire le pitre et cabotiner à outrance, l’ancien International A’ tricolore pourra percer dans le milieu confidentiel du cinéma stambouliote.

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La classe !


Aujourd’hui, que retenir de la carrière atypique de Pascal ? Tout d’abord des performances hautes en couleurs, surtout sous le maillot ciel et blanc du Racing Club de Strasbourg et celui du Besiktas qui lui ont permis de planter de nombreux buts. Mais aussi, nous nous souviendrons de sa saison catastrophique à l’OM, de ses craquages en règle sur les chevilles des malheureux défenseurs qui l’ont pris au marquage et des innombrables suspensions qui en ont découlé. A l’instar d’un Eric Cantona ou d’un Basile Boli, le caractère impulsif et entier du joueur manquera évidemment au football français, édulcoré qu’il est aujourd’hui. A cette période où la L1 atteint un niveau de médiocrité rarement atteint, les excès de folie et les personnalités déviantes de certains de ses principaux protagonistes seront indubitablement regrettés. Pour toutes ces raisons, Pascal, nous te remercions pour ta fantaisiste carrière footballistique et te souhaitons bonne chance pour la suite.

Son match parfait

Devenu une star de cinéma, Pascal Nouma a oublié les petits tracas vécus lors de sa vie initiale dans le foot. Pourtant, la déception liée à sa fin de carrière en eau de boudin lui laisse quelques profonds regrets. Soucieux de redorer son image, l’ex-sportif décide d’écrire, de réaliser et de jouer son propre rôle dans un film autobiographique. Légèrement mensonger, ce long-métrage présente Nouma comme le petit prodige du football français préférant migrer en Turquie pour la qualité et la renommée du championnat local. Alors que la scène du match fatidique face au Fener' commence à être tournée, Pascal insiste pour réitérer son geste obscène mais se heurte à la désapprobation de la production et à la bienveillance de la censure nationale. Qu’importe ! Pascal Nouma contourne ces obstacles et vend son film au marché noir. Comme tout produit interdit, « Nouma, itinéraire d’un surdoué » remporte un franc succès et élève Pascal au rang d’idole planétaire. Bien des années plus tard, dans les plus petits hameaux turcs, il n’est pas rare d’assister au spectacle émouvant de jeunes enfants jouant au football avec un caillou et deux buts en cagettes et fêtant leurs réalisations en se mettant la main dans le short.

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« Ouais on a gagné mais te trompe pas de main. »


Deeze

http://piedskarres.free.fr/
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Yepes file à l’AC Milan


L’ex-défenseur de Nantes et du PSG, en fin de contrat au Chievo, aurait signé hier pour le club lombard.

MARIO YEPES, en fin de contrat avec le Chievo Vérone, a signé hier à l’AC Milan pour deux ans et un salaire annuel de 900 000 euros net. C’est ce qu’affirmait ce jeudi après-midi le site Internet de la Gazzetta dello Sport. Aucune officialisation n’est arrivée, ni de la part du Milan ni du joueur, injoignable dans la soirée.

Contacté hier, Ariedo Braida, directeur sportif de l’AC Milan, refusait de confirmer la signature : « Je peux en revanche dire que nous sommes très intéressés. » Giovanni Sartori, directeur sportif du Chievo Vérone, où joue le défenseur depuis 2008, nous a en revanche laissé entendre que c’était réglé : « Oui, je crois que c’est fait. » Le Chievo aurait aimé faire prolonger Yepes. Mais, « quand un joueur a le choix entre le PSG et Grenoble, on sait bien où il va signer. Là, c’est pareil », lâche Sartori.

Le Milan a été convaincu par l’excellente saison de l’ex-défenseur de Nantes (2002-2004) et du PSG (2004-2008). C’est en grande partie grâce à l’international colombien (titulaire de sa sélection nationale lors des matches de qualification pour le Mondial 2010) que le Chievo possède la troisième meilleure défense de la Serie A (un seul but encaissé de plus que le Milan et trois de plus que l’Inter).

Si ce transfert se confirmait, ce serait une excellente nouvelle pour l’AC Milan, qui a des problèmes en défense centrale. Thiago Silva fait l’affaire, mais quel Nesta, trente-quatre ans, retrouvera-t-on lorsqu’il sera remis de son opération au genou droit ? Favalli, lui, a trente-huit ans, et Kaladze est en rupture avec le club. Yepes, âgé de trente-quatre ans, ne va donc pas rajeunir le groupe lombard. Dimanche, contre Naples (1-1), seuls trois Rossoneri avaient moins de trente ans. Au moins, Yepes n’aura pas à chercher un appartement à Milan. Il partage déjà sa vie entre Vérone et la capitale lombarde, où vit sa famille. Ses enfants fréquentent une école française à Milan. Tout ce petit monde habite à un kilomètre environ du stade San Siro, dans une résidence où séjournent quatre joueurs du Milan : Pirlo, Ambrosini, Antonini, Roma. – Y. R. (avec S. K.)


L'Equipe
Parisii
Citation (lequipe.fr)
Abriel cambriolé

Fabrice Abriel, le milieu de terrain de l'OM a été cambriolé jeudi à son domicile d'Aubagne (Bouches-du-Rhône), rapporte vendredi le site Internet de La Provence. Le quotidien de Marseille précise que le ou les voleurs, qui se sont introduits par une baie vitrée, ont dérobé plusieurs maillots de foot, ainsi que des montres et des sacs de luxe. Le joueur s'est rendu compte de l'effraction jeudi soir en revenant dans sa villa vers 19h00.

11G
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Luis Fernandez : « Je ne souhaite pas que le PSG aille en finale »

Luis Fernandez préfère que Quevilly se qualifie pour la finale de la Coupe de France plutôt que le PSG afin d’éviter des incidents en tribune au Stade de France entre supporters parisiens.
Luis Fernandez : « J’espère que Quevilly aura l’opportunité de jouer à Robert-Diochon sa demi-finale contre le PSG. Je ne sais pas ce qui va se passer si les supporters parisiens se retrouvent dans une même tribune au Stade de France en finale. Je ne vois pas comment on peut regrouper les supporters du PSG dans une même tribune. Je n'en ai rien à foutre du tirage au sort. J’en viens à souhaiter que Quevilly dispute la finale au Stade de France contre Monaco ou Lens. Je souhaite qu’on trouve le plus vite possible des solutions au PSG et là à l’heure actuelle je ne souhaite pas que Paris aille en finale. »


RMC
NumeroStar
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L’incroyable défi de Julio Cesar Dely Valdes


Attaquant du PSG entre 1995 et 1996, Julio Cesar Dely Valdes a laissé un souvenir mitigé aux supporters parisiens. Il faut dire qu'il avait la lourde tâche de succéder à George Weah. À 43 ans, Panagol serait prêt à se lancer dans un incroyable défi.

Un Panaméen à Paname. Le titre était évidemment facile. Eté 1995, un attaquant inconnu vient remplacer Mister George Weah, parti au Milan AC. Au Parc des Princes, personne n’a oublié l’attaquant aux dents en or, malgré un bilan pour le moins mitigé. Durant deux saisons, Julio Cesar Dely Valdes a inscrit 23 buts en 64 matches de championnat de France. L’ancien buteur de Cagliari a également pris le temps d’ajouter à son palmarès une coupe d’Europe des vainqueurs de coupe avec le PSG avant d’aller tenter sa chance en Espagne.

Après avoir mis un terme à sa carrière après six ans passés en Liga, à Oviedo puis à Malaga, Dely Valdes avait pris sa retraite. Il fait son grand retour en 2008 en intégrant le staff technique de l’une de ses anciennes formations, Malaga. Le but étant bien évidemment d’emmagasiner de l’expérience pour réaliser son grand rêve, prendre en main la sélection du Panama. Deux ans plus tard, il est en passe de le réaliser puisque son nom revient avec insistance du côté de la FEPAFUT (fédération panaméenne de football), qui n’a pas encore divulgué le nom du prochain sélectionneur. Véritable idole au pays, Julio Cesar Dely Valdes apparaît comme l’homme de la situation.

Interrogé par les médias locaux, l’ancien buteur du PSG a confirmé son envie de prendre en main la sélection nationale « C’est mon rêve. C’est quelque chose que j’attends depuis longtemps. J’ai emmagasiné de l’expérience et je me sens désormais prêt à prendre en main une équipe. J’ai rencontré le président de la Fédération qui est venu à Malaga pour exposer le projet, mais il n’y a toujours rien de concret. » Après avoir échoué une fois de plus dans la qualification pour la Coupe du Monde (défaite en tour préliminaire face au Salvador), sous les ordres de... son frère Jorge Cesar Dely Valdes, le prochain sélectionneur aura la lourde tâche de tenter de qualifier le Panama pour la prochaine coupe du Monde 2014 au Brésil. Un défi qui ne semble pas faire peur au plus célèbre footballeur panaméen de l’histoire...

Sébastien DENIS
30/03/2010 - 16 h 15


footmercato.net
whynot
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Les regrets de Bonaventure Kalou...

Toujours sans club, l’ancien Lensois Bonaventure Kalou s’entraîne avec un coach personnel. Revenu vivre dans les Yvelines où il s’était installé lors de son passage au PSG, il avoue aujourd’hui qu’il n’aurait jamais dû quitter Paris, ce qu’il avait fait pour signer à Lens :

« Je m’entraîne et m’occupe des enfants. Mais c’est vrai que, parfois, c’est un peu ennuyeux. On fait toujours des choix et certains se révèlent mauvais. Je n’ai pas forcément pris les bonnes décisions, surtout celle d’aller aux Emirats. Si j’étais resté au PSG, je n’en serais pas là aujourd’hui… »
cry.gif.com
sylvain
Luis réitère ses propos

So Foot

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Luis à fond derrière Quevilly

Sur son blog "Luis Attaque", Luis Fernandez balance quelques piques de temps en temps.

Dernièrement, il a ardemment souhaité la victoire de Quevilly contre le Paris Sg en Coupe de France.

La raison ? Le bordel causé par la présence du PSG au Stade de France. Mis à mal par quelques commentaires d’internautes, le nouveau sélectionneur d’Israël a réitéré ses propos sur son blog : « Je ne retire pas mes propos sur Quevilly-Paris SG. Je préfère que le petit poucet se qualifie. Je n’ai pas envie de voir les supporters d’Auteuil et de Boulogne dans la même tribune au Stade de France. Je suis désolé de vous dire ça mais c’est la vérité. Si vous ne comprenez pas tant pis pour vous ! Pour moi la sécurité des supporters passe avant l’intérêt sportif. Que cela vous plaise ou non ! ».

Non mais.
MF
Iloved
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Graille et Perpère trop naïfs


Laurent Perpère et Francis Graille, anciens présidents du Paris-SG, ont expliqué mercredi au tribunal correctionnel de Paris qu'ils avaient pêché par naïveté, lors du transfert et de la prolongation de contrat de Gabriel Heinze, réalisés dans des conditions particulièrement acrobatiques. «Aujourd'hui, ça peut paraître surprenant, mais ça ne m'a pas intrigué, a commencé M. Perpère, président au moment de l'arrivée du joueur. Ce n'est pas étonnant qu'un agent qui travaille dans différents pays utilise différentes structures. Est-ce que ces conventions valaient cet argent? Je n'en sais rien». «Les donneurs de leçons, il y en a beaucoup après-coup, a enchaîné M. Graille, qui s'est occupé de la prolongation. J'ai agi dans la continuité et je n'ai pas mis en doute ce qui avait été fait avant. Après, quand on voit le dossier, on ne pense pas pareil».

Les deux hommes, ainsi que l'agent Roberto Rodriguez, ont été interrogés les conventions multiples qu'ils ont passé avec ses différentes sociétés enregistrées à l'étranger. Via les rétributions accordées à ces sociétés, Heinze avait fini par toucher de l'argent, a établi l'enquête. «Je confirme qu'il a dû y avoir de la surfacturation sur les conventions, avait expliqué l'ex-directeur financier du club, Pierre Frelot, à la police. Il semble que M. Graille ait réalisé des faux documents pour payer le joueur».

L'agent est apparu en pleurs et a peiné pour expliquer un prétendu prêt de 400.000 dollars accordé par son poulain. Il a aussi justifié le recours à des sociétés anglaises ou suisses par la crise économique en Argentine qui lui faisait craindre «des représailles». Mais le tribunal lui a opposé que le recours à ses multiples sociétés, dont une enregistrée aux Iles Vierges, un paradis fiscal, avait commencé avant le pic de la crise. Quand d'ailleurs il fut demandé à Laurent Perpère l'intérêt de passer par une société de droit hongrois pour recruter le défenseur Cristobal - en contrat avec le même agent argentin - il a répondu qu'il avait agi ainsi car la Hongrie était «un grand pays de football». (Avec AFP)


France Football.fr
sylvain
Football 365

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Bordeaux : Pauleta de passage

Pauleta était de passage ce vendredi midi au Haillan. L'ancien buteur des Girondins a retrouvé d'anciens coéquipiers encore présents au club, notamment le défenseur central Marc Planus, actuellement arrêté.

Partout où il passe, Pedro Miguel Pauleta reçoit toujours un accueil chaleureux. L'ancien buteur des Girondins de Bordeaux (Ndlr : 91 buts en 130 matchs disputés sous les couleurs bordelaises) a encore pu le vérifier vendredi midi lors de son passage au Haillan.

Au-delà des employés toujours en place au Château et que l'ancien joueur de La Corogne avait connus lors de ses années girondines, Pauleta a surtout profité de sa visite pour saluer Marc Planus, l'un de ses anciens coéquipiers encore en activité.
sylvain
So Foot

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Interview exclusive Jérôme Rothen


Rothen : « On me l’a fait à l’envers »


Jérôme Rothen aurait pu être champion de France. Jérôme Rothen aurait pu être champion d’Europe. Jérôme Rothen aurait pu jouer à Chelsea. Mais Jérôme a choisi Paris, une Coupe de la Ligue et une Coupe de France à la clé. Aujourd’hui, Jérôme joue à Ankara et se raconte comme jamais : son épopée écossaise, sa vision du PSG 2009/10 et son passé d’international. Interview exclusive en trois parties.

PARTIE I – GLASGOW RANGERS

Comment tu as atterri à Ankaragucu ?
Je n’aurais pas résilié mon prêt à Glasgow si j’avais pas été sûr d’avoir quelque chose. Le mercato d’hiver, on sait tous que c’est toujours un peu compliqué, d’une part parce que j’ai un certain statut, un certain salaire, et ensuite parce que tu intéresses forcément des clubs qui sont mal classés, qui ont besoin de se renforcer pour bien finir la saison. Donc j’avais des contacts avec la Grèce, on m’a aussi parlé de la Turquie, moi très honnêtement, le club, je ne le connaissais pas, après le fait que Roger Lemerre venait d’être nommé coach, bon, ça m’a rassuré, là je me dis que ça peut être un truc pas mal, je me renseigne un peu de mon côté, j’ai vu le recrutement qu’ils voulaient faire, ils venaient de prendre Geremi, l’ancien du Real et de Chelsea, donc j’ai bien compris que le club avait vraiment envie de sortir de cette mauvaise zone. Tout de suite ils ont voulu mettre une option sur moi, j’ai dit attendez, moi je veux d’abord voir comment ça se passe, on fait les quatre mois et après, on voit si vous êtes contents et que moi je suis content eh bien pourquoi pas tout en sachant qu’il me reste un an à Paris après. Financièrement, y a pas eu de problèmes, c’était intéressant, et sportivement, avec l’équipe qui se montait, je me suis dit que c’était un beau challenge. Je sais que c’est un club historique ici, un club populaire, avec beaucoup de supporters, c’est des fanatiques ici. Mais bon avant de signer ici, fallait que je règle mes affaires avec les Rangers parce qu’eux, ils me l’ont bien fait à l’envers.

Comment ça ils te l’ont fait à l’envers ?

Bah en fait le prêt s’est réalisé le dernier jour parce que ça avait capoté avec Schalke alors que tout était ficelé avec le club. Ils devaient vendre Rafinha au Bayern pour 15 millions qu’ils comptaient réinvestir sur moi mais bon… Et du coup tu te retrouves le dernier jour du marché, tu as demandé à partir parce qu’avec Paris ça n’allait plus, Paris me dit si tu restes, ce sera la CFA, bon moi j’aurais pu dire bah voilà, je reste, je jouerai en CFA et je prends mon salaire tous les mois mais je voulais encore vivre des sensations, les Rangers, tu te dis c’est la Champion’s League, ils vont viser le titre même si c’est un championnat mineur, j’entends leur discours qui est positif et je me dis j’y vais. Mais ça n’a pas du tout correspondu avec ce qu’ils m’ont fait vivre.

C’est à dire ?
Ils te disent, nous, on veut prendre un mec à gauche, donc un mec comme toi avec ton expérience, ça va nous ficeler le côté gauche nickel, c’est au-delà de nos espérances. Les premiers matchs, je les joue à droite, bon. Un match, deux matchs, je fais un bon match en Champion’s League à Stuttgart, tu te dis que ça peut surprendre l’adversaire mais une fois, après moi je ne suis pas Lionel Messi, je ne suis pas un dribbleur, je suis un passeur, quand tu te retrouves sur ton pied droit bah… j’ai pas le pied droit de David Beckham donc c’est compliqué. Mais bon je fais mes matchs, je crois que j’en joue un seul côté gauche en championnat au bout du premier mois, contre Aberdeen et je suis élu homme du match. Le match d’après, le coach me remet à droite, en Champion’s League et on prend 4 à 1 contre les Roumains où je suis encore élu homme du match mais bon je suis réaliste, je sais que si on prend 4-1, j’ai ma part de responsabilité mais bon, je donne la balle de but, je suis à l’origine du pénalty qu’on rate derrière, enfin bref après ce match-là, c’est simple, je n’ai plus jamais joué. En fait c’est clair, il m’a écarté sans rien me dire. Moi je me suis dit, je ne vais pas ouvrir ma gueule là-bas, je me dis que c’est pas un choix sportif, c’est pas possible, l’entraineur veut peut-être me faire reposer un peu, puis trois matchs sans jouer bon je me pose des questions et là quatrième match, c’est de nouveau la Champion’s League, j’avais joué les trois premiers matchs de la compétition, les 90 minutes, je me dis bah il va me remettre, il ne me met pas et il fait jouer un jeune de 18 ans à ma place, et en plus à gauche. Donc là je me dis, y a un réel problème. Pour te rendre compte, j’allais même pas m’échauffer, je restais sur le banc, y avait moi et le deuxième gardien. Je me pose des questions, je me dit j’ai rien dit dans la presse, à l’entrainement je me donne à fond, j’ai rien dit aux autres joueurs et de toute façon avec mon anglais je pouvais pas dire grand chose, j’ai joué une dizaine de matchs où j’ai été élu 4 fois homme du match, je pense avoir montré des choses, après bien sûr je suis d’accord, homme du match y a à prendre et à laisser.

Du coup tu vas voir le coach ?
Voilà, exactement, je demande à lui parler. Écoutez je ne comprends rien, personne ne me dit rien, je ne suis pas là pour ne pas jouer, et en plus j’aimerais bien jouer à mon poste. Et là il me dit écoute je sais, c’est pas évident pour ton adaptation, mais aujourd’hui j’ai besoin de plus de mobilité sur le terrain, j’avais besoin de changer des choses, je lui dis oui mais il n’y a que moi qui ait changé, regardez les stats, je veux bien accepter des choses mais là je ne suis pas d’accord avec vous. Il me dit non mais c’est mon choix, si ça te plait pas, moi je ne ferme pas la porte au mercato d’hiver, il me dit ça, on est fin octobre, ça ne fait que deux mois que j’y suis. Je lui dis mais si vous voulez que je parte au mercato d’hiver, il faut aussi que je joue, le mercato c’est dans deux mois, si je ne joue pas, ça va être compliqué pour moi comme pour vous. Le week-end arrive, on joue les derniers, y a une hécatombe, y a plein de malades, plein de blessés, y a huit absents, donc je me dis tant mieux, je vais jouer, je vais enfin profiter, et là il me fait un coup… il met le jeune de 18 ans à droite, il met l’Américain Beasley qui n’avait plus joué depuis un an, à gauche, il ramène des jeunes qui ne s’étaient jamais entrainés avec nous avant et il me met sur le banc. Donc sur le banc, t’as que des jeunes, le deuxième gardien et moi, des gamins de 17 ans, moi je faisais la nounou. Le match il est bidon, nous on est bidon, et avant la mi-temps, le milieu gauche qui se pète ! Là je me dis que si c’est pas maintenant, ce sera jamais, eh bah non, il fait remonter l’arrière droit en milieu droit et il met le milieu droit à gauche… Suite à ce match-là, il y avait la trêve internationale avec les matchs de barrages tu sais, le France Irlande, donc le match se termine, j’étais énervé, le coach vient me voir et me donne le programme des jours à venir, on avait notre fin de semaine de libre donc je me dis que je vais rentrer à Paris, puis je reviendrai pour jouer le match amical pour ceux qui n’avaient pas joué, et donc là, il me tend la feuille et il me dit, pour toi, c’est 10 jours de repos ! Je lui dis mais ça fait 6 matchs que je ne joue pas et vous me donnez 10 jours de repos ??? J’ai pas besoin de repos ! En fait il y avait le repos pour le capitaine David Ware qui a 40 ans et moi ! Tous les autres, ils avaient entrainement.

Mais pourquoi t’avoir fait venir ?

C’est bien ce que j’ai demandé au président, il parle français là David Dean, je lui dis, je comprends pas, on me fait pas jouer, on me donne des fausses excuses, si j’avais été nul, je comprendrais mais c’est pas le cas, il me dit non mais si tu trouves un club, ce serait mieux pour tout le monde que tu t’en ailles.

Aujourd’hui tu ne connais toujours pas les raisons de cette histoire ?
J’ai creusé un peu de mon côté, je sais qu’ils ont une grosse dette, ils ont voulu faire des économies, moi je leur rapporte rien vu que je suis en prêt et qu’ils ne vont pas pouvoir me vendre en fin d’année, ils se sont dit avec le salaire qu’il a, si on peut le faire dégager au mercato, on économisera au moins six mois. Ils ont dégagé Pedro Mendes qui est parti au Sporting, qui était quand même capitaine en début d’année quand je suis arrivé, Bouga, ils ont aussi voulu le faire partir mais il n’a pas accepté, il a dit qu’il ne partirait qu’au mois de juin, donc voilà à mon avis c’est un problème financier puisque de toute façon, y a rien eu d’autre. Si ça s’était passé il y a 4 ans par exemple, j’aurais pas attendu 6 matchs hein, au bout de deux, je lui disais ses 4 vérités au coach. Là j’ai fermé ma gueule, je me suis dit, vas pas faire une affaire là-bas, on va encore dire que t’es ingérable. En, France les gens se posaient des questions, mais pourquoi il ne joue pas, il a dû foutre le bordel, bon moi j’ai laissé dire, aux Rangers, ils ne pourront pas dire Rothen, il a foutu la merde, Rothen il est parti et heureusement que j’ai trouvé quelque chose sinon je passais encore 6 mois à faire banquette. Et puis le niveau de jeu en Écosse, c’est des rythmes de National, j’ai été surpris franchement, attends tu joues contres des défenseurs, ils ont du bide…

On dit souvent que les supporters turcs sont particulièrement chauds…
Ah ouais, ici, quand tu gagnes ils te le font ressentir, bon même quand tu perds ceci dit… Moi maintenant ils commencent à me connaître donc ils viennent me taper sur l’épaule, m’encourager. Moi je suis content parce que, c’est Umit l’entraineur adjoint qui me racontait ça, ici, les fans sont souvent durs avec les étrangers, et de moi ils sont contents, j’ai déjà ma chanson quand je joue.

Par Alexandre Gonzalez et Mathieu Pécot, à Ankara


Les deux autres parties arriveront quand elles seront mises en ligne. wink.gif
karatekid
Sports.fr

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Newcastle: Pancrate ne restera pas

Sous contrat avec Newcastle jusqu'à la fin de saison, Fabrice Pancrate ne va pas prolonger son aventure chez les Magpies, qui viennent pourtant de valider leur retour en Premier League. L'ancien Parisien, dont les principaux faits d'armes dans le Nord de l'Angleterre resteront un but spectaculaire, son unique cette saison, face à Watford, ainsi qu'une bagarre à l'entraînement avec le fameux Joey Barton le mois dernier, aura passé le plus clair de son temps sur le banc des remplaçants. Ironie de l'histoire, Pancrate aurait demandé à Willie McKay de sonder le marché anglais, McKay n'étant autre que l'agent de... Barton !
sylvain
So Foot

Suite de l'ITW de Rothen

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Interview exclusive Jérôme Rothen

Rothen : « J’ai marqué l’Histoire du PSG »

Jérôme Rothen aurait pu être champion de France. Jérôme Rothen aurait pu être champion d’Europe. Jérôme Rothen aurait pu jouer à Chelsea. Mais Jérôme a choisi Paris, une Coupe de la Ligue et une Coupe de France à la clé. Aujourd’hui, Jérôme joue à Ankara et se raconte comme jamais : son épopée écossaise, sa vision du PSG 2009/10 et son passé d’international. Deuxième partie.

Jérôme Rothen aurait pu être champion de France. Jérôme Rothen aurait pu être champion d’Europe. Jérôme Rothen aurait pu jouer à Chelsea. Mais Jérôme a choisi Paris, une Coupe de la Ligue et une Coupe de France à la clé. Aujourd’hui, Jérôme joue à Ankara et se raconte. Partie II : le PSG.

Partie II – Paris Saint Germain

Un petit mot sur Paris ?
Aujourd’hui, je suis dans la peau du supporter car je ne suis plus joueur là-bas. Je comprends le mécontentement des supporters. L’an dernier, on a fini 6e en jouant le titre jusqu’à début avril. Là, en décembre, on était déjà assurés de ne pas être champions alors qu’il y a eu un recrutement cet été et que l’ambition était de finir dans les cinq premiers. A la 23e journée, tu te dis que même pour ces places-là, ce n’est même plus possible… Bah, c’est un échec total ! Les gens en ont plein le cul, ils ne pensent qu’à se battre entre eux car ils n’ont que ça à se mettre sous la dent. Y’a de la résignation aussi. Il y a deux ou trois ans, si tu prends 3-0 au Parc par Marseille, le stade aurait été retourné. C’est bête, parce que l’année dernière, on avait construit quelque chose d’intéressant, et là, on recule carrément d’un an. Être compétitif, c’est finir dans les quatre premiers. Et pour viser ça, il faut attendre encore deux ans. Comment tu veux afficher des ambitions l’année prochaine après la saison qu’on est en train de faire ? La seule chance qu’on a cette saison, c’est que les équipes du bas de classement sont vraiment très faibles. En général, t’en as une qui s’écroule et les deux autres qui s’accrochent. Heureusement que ce n’est pas le cas cette saison, car avec le bordel qu’il y a au club à tous les niveaux, ça aurait été compliqué. J’espère qu’ils vont faire un truc en Coupe de France pour apaiser un peu ce climat. Même si le prochain tour à Auxerre sera difficile, j’ai bon espoir, car ces dernières années, quand on a fait des mauvaises saisons, une Coupe arrivait en fin d’année pour sauver le truc. Mais bon, c’est pas tous les jours Noël, enfin tous les ans.

Comment expliques-tu la répétition de ces mauvaises saisons ?
Beaucoup pointent du doigt Colony Capital… Colony met l’argent. D’après le discours de Kombouaré, Alain Roche ou Leproux, il n’y a pas eu de restriction. Il y avait l’enveloppe pour recruter, mais ils n’ont recruté personne ! Peut-être que les joueurs qu’ils voulaient étaient trop chers, ça ne me regarde pas. Après tu constates juste sur le terrain. Le championnat est déjà mort, donc c’est une année de merde. Colony met aussi les hommes en place, ils dominent tout, alors ils ont aussi leur part de responsabilité. Ce n’est pas Colony Capital qui court derrière le ballon. Il y a des manques criants dans l’équipe. Il y aussi la malchance : il nous manque ce… (il claque des doigts) ce petit brin de cul, ce brin de confiance, ce brin de réussite.

Paris est-il devenu un club banal dans le foot français ?
Sportivement, c’est le cas. En tant que Parisien et vrai supporter et amoureux du club, je ne peux pas concevoir que les gens pensent de la sorte. L’an dernier, on avait réussi à reprendre le Parc et recommencé à faire peur. Ça s’est mal fini, mais n’empêche, au 1er avril, on jouait encore le titre. Bon, à la fin, on a fait les cons et terminé 6e, mais on devait finir tous les jours dans les trois premiers. Notre saison n’a servi à rien. Le club a essayé de bâtir autre chose, avec un nouvel entraîneur, pour viser plus haut. Maintenant, on va tout recasser pour fabriquer autre chose. Tout ça, c’est un cercle vicieux. Car quand tu fais une saison de merde, il y a des pertes, l’actionnaire a tendance à moins investir, et puis sportivement, un club qui sort d’une sale saison peut difficilement attirer des grands joueurs. Malgré ça, heureusement, Paris fait encore rêver. Mais beaucoup moins qu’avant. Le seul moyen de maintenir ça, c’est de faire une bonne saison.

Étant donné qu’il te reste un an de contrat, est-il possible que tu portes à nouveau le maillot du PSG la saison prochaine ?
Au plus profond de moi, je me dis que je fais ma saison ici à Ankara, mais qu’il me reste un an de contrat à Paris. Quand je regarde les matches à la télé ou que je vais au Parc, même si ça s’est mal passé en fin de saison dernière, je suis prêt à rejouer. J’étais rancunier envers les sifflets du Parc au début, mais maintenant, c’est oublié. Vu le contexte dans lequel je suis parti et ce qu’on m’a fait comprendre, franchement, je suis assez pessimiste. Mais on ne sait jamais. J’ai un an de contrat avec un salaire intéressant qui m’attend à Paris car j’ai bien négocié à ma signature. Les gens oublient d’ailleurs que j’ai fait des concessions à ce niveau-là. Je ne ferai pas de cadeaux là-dessus.

Mais t’es encore amoureux de Paris ?
Pour toujours. J’ai passé cinq années là-bas. Peu de joueurs passent autant d’années dans ce club. Même si la fin gâche un peu les choses, j’ai vécu des moments forts, gagné des Coupes et j’ai réalisé mon rêve. Je reste dans les murs. Si demain, j’arrête ma carrière, les gens sauront que Rothen est passé à Paris. Pour moi, j’ai marqué l’Histoire du club. Et pourquoi pas écrire encore quelques lignes… Je suis dans l’équipe des trente-cinq ans, ça veut dire des choses. Cet amour, je l’ai, et il ne s’effacera pas. Moi je reste dans les murs, demain j’arrête ma carrière, les gens sauront que Rothen est passé à Paris, c’était important de rester dans l’histoire du club et pour moi, je l’ai marquée. Et pourquoi pas encore écrire des lignes, moi l’équipe des 35 ans à Paris j’y étais voilà. Moi tu vois, le poster je l’ai, je suis dessus et on peut pas m’enlever, cet amour pour le PSG c’est là et ça restera. Ça en embête certains mais c’est comme ça.

Et ça c’est plus fort que d’avoir signé à Chelsea par exemple ?
J’aurais eu des regrets de ne pas jouer à Paris, la fin ça a été un peu difficile, de se faire siffler par son propre public, j’ai payé pour l’équipe la fin de saison, même pas de déclarations parce que je n’avais rien dit, sur des “on dit” on m’a sifflé…

C’est une forme d’honneur, celui qu’on siffle, c’est celui qu’on aime…
Oui voilà. Si je reviens et que je dois rejouer, c’est à moi de reconquérir le public avec mes performances, il me faut de la force, et ici je me requinque, je suis en cure en quelque sorte.

On te parle d’Erding ici ?
Ouais, ils veulent connaître ses performances, c’est normal, mais moi je dis que du bien de Mev’, c’est quelqu’un de très à l’écoute et le fait qu’il marque beaucoup de buts alors que le club va mal, c’est pas anodin. Il veut être le meilleur buteur du club, il s’est fixé un objectif, de marquer 15 buts, il va les atteindre. Ça se voit que c’est quelqu’un qui a beaucoup de talent, c’est un bon mec. Je souhaite que Paris puisse le garder, moi j’ai joué quelques matchs amicaux avec lui en début de saison et je me suis régalé. On s’est revus sur Paris, on a mangé ensemble et tout. Même lui était content de jouer avec moi. On s’est trouvés tout de suite, y’a des joueurs comme ça, tu sais pas pourquoi mais tu te trouves super facilement, moi c’est le genre d’attaquant que j’apprécie.

Par Alexandre Gonzalez et Mathieu Pécot, à Ankara


Une troisième partie est à suivre. wink.gif
NumeroStar
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Newcastle : Pancrate "kiffe à mort" (06/04/2010)


Coincé en deuxième division cette saison, l'attaquant de Newcastle, Fabrice Pancrate (29 ans, 16 matchs et 1 but en championnat cette saison), espère que les Magpies, désormais assurés de retrouver la Premier League, le conserveront la saison prochaine. "Je suis heureux à Newcastle car c'est vraiment un gros club. J'ai été surpris de voir l'ambiance qu'il y a, il n'y a pas de quoi être déçu. Je ne m'attendais pas à ce que ce club soit autant mis en avant en Angleterre. Les supporters sont des fanatiques, hier il y avait 45 000 spectateurs. La remontée est maintenant assurée en Premier League. Ce serait bien de continuer ici car c'est un club que je kiffe à mort. Je croyais que Liverpool était le premier club anglais mais non c'est Newcastle, la ville vit pour le club", a raconté l'ancien Parisien sur RMC. (Par Nicolas Lagavardan)



maxifoot
Beuzech
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EXCLU365 - LE MANS / M.MOULIN :
« Le PSG ? La faute de Le Guen »


Si son arrivée au Mans n'a pas encore eu d'effet sur les résultats du MUC, Michel Moulin n'a pas perdu son franc-parler. Le conseiller du président Legarda dresse ainsi un état des lieux sans concession du club sarthois ainsi que du PSG.

Michel Moulin, c'était déjà compliqué avant votre arrivée il y a deux semaines pour que Le Mans se maintienne. Est-ce devenu mission impossible avec les défaites contre Rennes et à Saint-Etienne ?
Je suis arrivé pour faire plaisir à Henri Legarda, qui est mon ami. De façon bénévole et avec tout mon enthousiasme. Ce n'est pas en quinze jours que… On aurait gagné les deux matchs, ce n'aurait pas été grâce à moi mais grâce aux joueurs, à ce club qui est super. J'essaye de mettre tout ce je peux avec mon enthousiasme. Après, ce n'est jamais fini. On perd des batailles mais tant que ce n'est pas fini mathématiquement, il faut relever la tête pour les spectateurs, pour les gens qui aiment ce club. Il est d'ailleurs tellement structuré que je pense qu'une descente en Ligue 2 ne serait pas catastrophique. Il remontera de suite.

Quels ont été vos mots depuis deux semaines ?
Les mots, ce sont toujours les mêmes. D'amener de l'enthousiasme, de relever la tête, de continuer à jouer. Après, à un moment donné, vous gagnez des matchs. Personne n'a la science infuse dans le foot et c'est pour ça qu'on aime tous ce sport. Il y a la chance, le truc… A Saint-Etienne, on mérite de revenir à la mi-temps avec 1-0 pour nous. Bon, on ne marque pas ce but et on craque en deuxième mi-temps.

Avez-vous trouvé le groupe réactif ?
Oui, c'est un bon groupe. Il manque un peu de leaders, ça c'est sûr, mais comme dans beaucoup d'équipes aujourd'hui. Il y a des mecs supers qui ont envie, qui n'ont pas lâché. Ce qui manque un peu, ce sont des leaders de vestiaire. Comme il y avait Romaric il y a quelques années. Ce genre de joueur permet aux autres de relever la tête, de ne pas être déstabilisés. C'est ce que j'ai essayé mais bon, pour l'instant, ça n'a pas marché.

En vous demandant de prendre ce rôle, Henri Legarda a voulu que vous apportiez du caractère à des joueurs qui en manquent…
Il y a plusieurs choses. Henri, je l'avais conseillé plusieurs fois. Pour l'arrivée de Sessegnon notamment. Il était content, il m'a appelé plusieurs fois. Cette année, c'est la première fois que je lui ai dit « ça va être compliqué, je sens que ton équipe n'est pas trop bien ». Il a pas mal de boulot en ce moment, nous aussi vous allez me dire, et puis il faut avoir quelqu'un de présent. Donc j'y vais tous les matins pour parler à l'entraîneur, aux joueurs. Voilà, ça me plaît. Dans tous les cas, il n'en sortira que du positif à l'arrivée parce que je sens que les gens sont des gens sains. Pour la plupart, ils m'écoutent. Moi, je les écoute aussi. Ça amènera certainement des points positifs pour les mois à venir, que ce soit en L1 ou en L2.

Est-ce que c'est plus difficile de secouer un peu un club comme Le Mans qu'un club comme Paris, où vous aviez fait pas mal de bruit il y a deux ans ?
Ce n'est pas pareil. Paris, il restait trois ou quatre matchs de championnat. Il y avait trois points de retard. Bon là, Le Mans, il y avait huit points de retard quand je suis arrivé je crois. Donc c'est différent. Ce sont deux situations complètements différentes. Au Mans, quand la saison commence, ils visent le maintien. A Paris, ils visent les cinq premières places. Vous ne parlez pas aux mêmes joueurs.

Avez-vous trouvé qu'il y avait eu des erreurs commises au Mans cette saison ?
Je ne porterai pas de jugement là-dessus. Comme je l'ai dit, le football n'est pas une science infuse. Des erreurs, tout le monde en fait. Il y a de l'humain et c'est toujours compliqué. Des fois, il y a des gens que l'on croit très bons footballistiquement mais ils n'ont pas l'esprit qui va avec, l'esprit de compétition. Et puis vous avez des joueurs un peu moins forts mais qui ont un gros esprit de compétition. C'est certain que quand vous êtes dix-huitièmes, c'est qu'il y a des erreurs qui ont été faites. Maintenant, est-ce que j'en aurais fait moi-même ? Oui, non, peut-être des plus grosses ? On serait peut-être derniers. Mais même quand vous êtes premiers, vous faites des erreurs. Regardez Bordeaux : il y a trois mois, tout le monde disait qu'ils allaient être champions avec quinze points d'avance. Les spécialistes comme ils se disent, ils auraient mieux fait de se taire. Quand j'entends Jacques Crevoisier, qui endort tout le monde sur Canal+ quand il parle, critiquer Ribéry… Qu'a-t-il fait lui pour parler de Ribéry ? Le mec, son seul fait d'armes, ça a été de prendre Sochaux en 2007. Avec une équipe qui marchait bien, il a pris Hantz puis a essayé de le tuer pour prendre sa place et s'est fait virer six mois plus tard en laissant le club avant-dernier.

A propos du PSG que vous avez bien connu même si votre passage a été rapide, qu'auriez-vous fait à la place de Robin Leproux cette saison en voyant que ça ne tournait pas rond ?
Robin Leproux, je ne le connais pas. La seule chose, c'est qu'on a des loges à Paris et que personne n'est jamais venu nous dire bonjour. Mais bon, c'est autre chose. Je ne pourrais pas parler de Robin Leproux. Moi, depuis le début, j'insiste sur le fait que ce n'est pas de la faute de Robin Leproux ou même d'Antoine Kombouaré, c'est de la faute de Paul Le Guen… Des joueurs comme Yepes par exemple, dont on dit qu'ils sont finis, vous le voyez faire deux belles saisons après. Il part libre du Paris Saint-Germain alors qu'aujourd'hui, vous avez quand même besoin d'un défenseur central à Paris. Lui, il prend Bourillon pour faire partir Mario Yepes, qui va signer au Milan AC cet été. Tous les joueurs que Le Guen a pris, ce sont des joueurs à faible caractère. De bons petits joueurs pour la plupart mais qui n'avaient rien à voir avec Paris.

Est-il le responsable de la situation sportive du PSG malgré son départ au printemps dernier ?
L'héritage de Paul Le Guen est là. On a une équipe sans caractère et sans leader. Clément, c'est un bon joueur mais il n'a rien à faire à Paris. Il n'a pas ce truc pour jouer à Paris. Il aurait fallu garder Diané au lieu de prendre Giuly. Giuly, 272 000 euros par mois. Diané, il gagnait 75 000 euros. Pourquoi fait-on partir Diané, qui était un super joueur ? Gignac, Toulouse n'en voulait pas. Il fallait prendre Gignac, vous faisiez une attaque Gignac-Diané, c'était des joueurs à tempérament. Mais Paul Le Guen ne voulait pas ce genre de joueurs. Aujourd'hui, ce qui me choque, j'ai peut-être tort, mais quand je vois Ludo Giuly faire l'imbécile sur Canal+ dimanche soir sur le banc alors que le club est 12eme et qu'il y a un mort, je ne comprends pas. Si je suis président du club, Giuly, il prend carton. Il fait le pitre avec Paganelli, c'est inadmissible. En Angleterre ou en Espagne, vous voyez un joueur faire ça ? Il se fait virer du club. Là, ils sont 12emes, ils jouent mal. Dimanche, c'était à pleurer. Il n'y a pas de système… Makelele, le meilleur, il a 37 ans. Et Giuly, qui gagne 272 000 par mois, il fait les interviews sur le banc. C'est là que je me dis qu'on n'aurait pas dû prendre ce genre de joueurs. Je vous le dis, je vous le redis, c'est Paul Le Guen et son acolyte Colleu qui ont créé ce truc-là. Sébastien Bazin, je ne le remercierai jamais assez de m'avoir mis là. Mais ce n'est pas un spécialiste du football et il n'a pas voulu faire l'effort financièrement d'arrêter Paul Le Guen. Parce qu'en dehors de ça, Paul Le Guen est un garçon intéressant, propre sur lui… Mais le mur, ils l'ont pris à cause de lui.

D'autres personnes au sein du club sont-elles également responsables ?
Il y a d'autres personnes au club mais il ne les écoutait pas. Pour moi, Alain Roche, on peut le faire devenir très bon. Le problème, c'est que Le Guen ne voulait pas parler à Alain Roche. Il lui proposait un bon joueur mais Le Guen n'en voulait pas. Après, il y a d'autres personnes qui n'ont pas fait du bien comme Boindrieux. Plus personne n'en parle mais des mecs comme Boindrieux et D'Hallavillée, le gars de la sécurité, ils ont de la chance. Vous ne mettez pas un mec de la communication à la sécurité. Et vous ne mettez pas un comptable qui sort de NRJ à la direction générale du club. Après, qui dirige ? Tout ça fait que Robin Leproux, pas grand monde ferait mieux que lui aujourd'hui, moi compris. Il n'y a pas d'organisation. J'ai entendu Pereira l'autre jour, le président des Boulogne Boys. Le premier jour où je suis arrivé au Paris Saint-Germain, il était dans les bureaux. Boindrieux lui avait dit de venir. Il m'a mal reçu, je croyais que c'était un salarié du club. Le mec m'a presque menacé alors que j'arrivais au club.

Pensez-vous que la direction du club est en cause dans les incidents entre supporters ou a-t-elle été dépassée ?
Il y a des torts et des raisons. A un moment donné, il faut avoir du courage et aller affronter le problème. Pereira, ça a l'air d'être un mec sympa mais il n'a rien à faire dans les bureaux du club. Quand vous voulez faire le copain, c'est difficile après d'être dur avec eux. C'est comme le patron qui tutoie ses salariés, qui fait la bise à tout le monde. Le jour où il faut virer la personne qu'il tutoie et à laquelle il fait la bise, c'est plus compliqué que quand vous avez une simple relation patron-salarié. Même si c'est cordial, même si le patron doit aimer ses salariés, il y a toujours une barrière. C'est compliqué de tenir les gens après. Ce qui s'est passé, c'est gravissime. C'est pour ça que Ludovic Giuly plaisantant sur le banc dimanche, c'est encore plus catastrophique. Il faut un respect de ce qui s'est passé. Il faut aller parler aux gens, c'est tout un travail. Et ce ne sont ni Boindrieux, ni D'Hallavillée qui peuvent faire ça. J'en mets mon bras à couper. C'est un patron, un vrai. C'est pour ça que Robin Leproux, je ne le connais pas mais il n'est pas venu me saluer. Et quand vous êtes président du Paris Saint-Germain, vous devez allez saluer les gens qui payent des loges. Ça, c'est la moindre des choses. En dehors de ça, je pense que pas grand monde ferait mieux que lui. Ils ont été gentils mais dans la vie, vous ne pouvez pas être que gentils. Le foot, ce n'est pas une association, c'est fini ça. C'est une vraie entreprise. Il faut des gens qui agissent comme dans une entreprise.


Source : Football365
sylvain
So Foot

Troisième et dernière partie de l'interview de Rothen (Première et deuxième partie plus haut dans le topic).


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Rothen : « Domenech ne m’a pas fait de cadeaux »

Jérôme Rothen aurait pu être champion de France. Jérôme Rothen aurait pu être champion d’Europe. Jérôme Rothen aurait pu jouer à Chelsea. Mais Jérôme a choisi Paris, une coupe de la ligue et une coupe de France à la clé. Aujourd’hui Jérôme joue à Ankara et se raconte comme jamais : son épopée écossaise, sa vision du PSG 2009/10 et son passé d’international.

Partie III – Équipe de France

Quel regard tu portes sur l’Équipe de France ?
Aujourd’hui c’est compliqué parce que la cote d’amour, elle n’existe plus du tout. On l’aime moins parce qu’il y a un personnage à sa tête qui n’est pas aimé.

C’est Domenech qui cristallise ce désamour ?
Bah si tu prends les joueurs un à un, c’est quand même une super équipe. C’est pas comme à l’époque où tu avais des joueurs détestés. C’est un tout, l’arrogance qui ressort… Quand sur le terrain, tu n’offres pas du spectacle, parce qu’en France on est plus spectateurs que supporters. Y’a des sifflets, y’a des critiques, c’est pas évident pour les joueurs… T’as des équipes qui sont largement en avance sur nous. L’Espagne nous a donné une leçon, et sur le papier, si tu prends les deux équipes, j’ai pas l’impression que l’Espagne soit vraiment meilleure que nous. Tu sens qu’il y a un réel problème. Après sur une compétition… en 2006, on avait le même problème et on a été jusqu’au bout parce qu’on avait un grand Zidane, bah là il peut y avoir un grand Henry, un grand Ribéry, et en plus avec les saisons qu’ils ont fait plus ou moins, ils peuvent être en pleine bourre. Après c’est à double tranchant…

Quand tu vois cette équipe, tu as quelques regrets dans le sens où quand Domenech prend l’équipe, l’une des premières choses qu’il fait, c’est te lancer…
Je sais pas, il ne m’a jamais fait de cadeaux… Il m’a mis parce que c’était la continuité de l’Euro 2004, je me souviens que j’ai joué son premier match amical, c’était à Rennes, après j’ai joué le match de qualification contre Israël, au Stade de France, j’étais titulaire, on fait 0-0, on a des occasions, on les rate. Le match d’après, il me punit, moi et Patrice Evra, il nous sort des titulaires sans explications. Après je n’ai plus fait que des bouts de matchs, donc quand tu entres, c’est aussi compliqué. Je comprends que quand je suis arrivé, j’étais un remplaçant, y’avait franchement des grands joueurs, Zidane, Pires, mais c’est vrai que l’arrivée de Domenech aurait pu m’être bénéfique et au final, il m’a que donné des bouts de matchs, après je me suis pété malheureusement en arrivant à Paris donc 5 mois d’arrêt, la première année elle était morte. En fin de saison, j’avais repris l’Équipe de France avec un amical contre la Hongrie à Metz et j’avais fait un gros match, il l’avait dit. On avait joué à trois gauchers avec Malouda et Abidal mais derrière, il n’a jamais renouvelé l’expérience. Ensuite il m’a remis aux iles Féroé, où j’ai marqué. Bon après ça reste les iles Féroé, j’allais pas m’enflammer non plus, après il ne m’a pas remis, va savoir pourquoi, et enfin il me redonne un match cacahuète contre le Maroc. Il me l’avait donnée celle-là, tiens cadeau ! Tu joues le Maroc au Stade de France, le stade il est 100% marocain, les joueurs en face, ils ont la bave comme ça, on fait 1-1, ça a été difficile, s’il me juge sur cette rencontre là où j’ai pas fait un grand match… Si attends, je fais le match amical en Espagne, on perd là-bas, il me fait jouer avec les A’, tu sais il avait convoqué 34 joueurs. Il me fait jouer contre le Congo, personne dans le stade, j’étais le plus vieux sur le pelouse, il me fait jouer ce genre de rencontre pourquoi ? Il me connaît, mais bon, je joue le jeu.

Et ensuite...
Après on joue l’Angleterre au Stade de France, mais moi je suis envoyé pour jouer le Mali à Charlety, il me sort à la mi-temps parce que j’avais la finale de la Coupe de la Ligue avec Paris, il me dit, c’est bon Jérôme, repose toi, prépare bien ta finale, et aussi dans ta tête le championnat d’Europe, en 2008 là, donc je me dis super, j’ai marqué des points. Il donne un groupe de 32 pour la compétition et je suis même pas dedans. Bon Ok avec Paris on joue le maintien cette année-là mais je peux te dire que je suis très bon cette saison-là… J’avais fait toutes les sélections jusque-là, et là il me prend pas ? Je me dis ok bah, c’est bon… Depuis, plus de nouvelles. Bon après en même temps, depuis j’ai pas mérité ma place, l’année dernière n’a pas été très bonne même si je finis meilleur passeur du club.

On dit souvent que Domenech parle peu de jeu avec ses joueurs...
C’est vrai que j’ai connu des entraineurs qui tactiquement étaient plus intéressants à écouter. Moi son discours d’avant-match ou à la mi-temps, c’est pas les discours qui me motivent le plus. Après c’est mon avis.

Par Alexandre Gonzalez et Matthieu Pécot, à Ankara
whynot
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Leonardo sur le départ ?

Selon le quotidien italien Le Corriere dello Sport, Leonardo pourrait quitter le Milan AC à la fin de la saison. L'entraîneur du club lombard ne supporterait plus le comportement de Silvio Berlusconi, qui a critiqué ses choix.
lequipe.fr
CL
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Moulin ne lâche pas l'affaire

Michel Moulin, le manager général du Mans, 19e de Ligue1, n'a pas été tendre avec les quelques personnalités du football français qu'il a pris en grippe. En première ligne, Jacques Crevoisier. Le consultant sur Canal+, lors de Saint-Etienne - Le Mans, le 3 avril dernier (2-0), avait notamment critiqué les choix de l'équipe sarthoise. «Monsieur Crevoisier, ce docteur en psychologie, a mal parlé du Mans. Il a dit que le club faisait n'importe quoi. Il a dit que j'étais un pantin. Il ne me connaît pas», a indiqué Michel Moulin dans L'Equipe de lundi.

«On m'attaque, je réponds. Je ne peux pas faie le dos rond, c'est impossible. Ce n'est pas dans ma nature» a-t-il poursuivi. Samedi déjà, il avait eu les mêmes mots au sujet de celui qui a remporté la Coupe UEFA en 2001 en tant qu'entraîneur-adjoint de Liverpool. «Je les maintiens», s'est il emporté lundi.

Le Guen et Nicollin visés

Autre cible : Paul Le Guen, désigné par Moulin comme le responsable de la situation actuelle du club parisien. «Tous ces gens n'ont pas envie qu'un mec comme moi, avec son franc-parler, arrive dans le milieu», a-t-il dit, en faisant notamment allusion au sélectionneur du Cameroun.

Enfin, l'homme d'affaires a répondu à Louis Nicollin, le président de Montpellier qui avait déclaré après le match, samedi soir au Mans (2-2) que Moulin était «un drôle de clown». L'ancien conseiller sportif du PSG en avril-mai 2008 n'a pas manqué de réagir : «Il m'a traité de clown alors que deux heures avant, il me claquait la bise. Je peine à comprendre», a-t-il conclu, dubitatif.

Lequipe.Fr
11G
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Procès du PSG: 18 mois et 12 mois de prison avec sursis requis à l'encontre de Laurent Perpère et Francis Graille

PARIS (AP) — Le ministère public a requis lundi 18 mois de prison avec sursis et 40.000 euros d'amende à l'encontre de Laurent Perpère et 12 mois de prison avec sursis et 25.000 euros d'amende à l'encontre de Francis Graille, deux anciens présidents du Paris Saint-Germain, lors du procès devant le tribunal correctionnel des transferts présumés suspects du club de football de la capitale entre 1998 et 2003.

Le procureur Bruno Nataf a également demandé 120.000 euros d'amende à l'encontre de Nike France et 150.000 euros d'amende contre le PSG pour un présumé système de compléments de salaires versés aux joueurs entre 2000 et 2003.

Une peine de six mois de prison avec sursis a été requise à l'encontre de Pierre Frelot, ancien directeur financier du PSG, de six mois avec sursis contre Jean-Pierre Petit, ancien président de Nike France, et d'un an avec sursis contre Olivier Jaubert, directeur du marketing de Nike France. Enfin, des peines de trois à huit mois avec sursis ont été demandés à l'encontre de la dizaine d'agents de joueurs, également poursuivis. AP


Nouvel Obs
Hari
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QUE DEVIENS-TU ? / S.BENACHOUR :
« J’ai gagné ma place à Malaga »


Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Selim Bénachour, relancé à Malaga après des expériences au Portugal, en Russie et au Koweït.

Selim Benachour, vous avez quitté le PSG il y a cinq ans et depuis, on parle beaucoup moins de vous. Peut-on revenir sur ce départ forcé à l’été 2005…
A Paris, ça s’est mal passé car je n’ai pas eu de chance. C’était l’époque où il y avait de grosses stars au PSG et quand tu étais jeune, c’était très difficile pour jouer par rapport à maintenant. Aujourd’hui, je vois beaucoup de jeunes qui sortent du centre de formation : c’est beaucoup plus facile pour eux. Financièrement, le club n’a plus les reins solides comme avant donc ils font plus confiance aux jeunes. Moi, je suis tombé dans la mauvaise période. Malgré ça, j’ai quand même joué un peu. Et alors que j’étais un enfant du club, que Paris était ma ville et le PSG mon club de cœur, les dirigeants ne m’ont pas gardé. Guimaraes m’a alors appelé pour un challenge d’un an et on connaît la suite.

Avez-vous eu du mal à vous remettre de ce départ forcé ?

Oui, c’est clair car j’étais bien au PSG mais je ne jouais pas non plus beaucoup. Ce n’est pas grave, je suis parti au Portugal où ma carrière aurait pu se relancer puisque beaucoup de clubs se sont bousculés pour moi après ma saison à Guimaraes. Mais au lieu d’avancer avec le Sporting, ma carrière a empiré et empiré encore avant d’arriver en Espagne. Et aujourd’hui, après avoir appris comment ça fonctionnait en Espagne et avoir ingurgité le jeu espagnol, je peux espérer refaire une bonne saison l’année prochaine pour pourquoi pas partir dans un meilleur club espagnol. J’ai toujours cru en moi. Les gens à Paris disaient que j’étais trop frêle et que je n’étais pas un monstre de guerre physiquement. Mais dans le football de nos jours, les petits réussissent aussi. Il n’y a pas besoin d’être grand et costaud pour réussir. Il n’y a qu’à prendre l’exemple de Barcelone où il n’y a que des petits comme Xavi, Iniesta et Messi qui réussissent. Beaucoup de joueurs du championnat espagnol sont comme ça : petits et vifs et ça ne les empêche pas de réussir. En Espagne, les gens n’ont pas la même philosophie qu’en France. Ils sont plus axés sur le jeu et la technique et c’est ce qui me plaît.

Avez-vous connu de vrais moments difficiles ?
Des moments où les gens m’appelaient moins… Mais c’est la vie du football. Quand vous jouez au PSG et que vous êtes connu, les gens sont autour de vous, ils vous appellent. Ce n’est pas que pour moi, c’est pour tout le monde pareil. En revanche, quand ça va un peu moins bien, vous n’avez plus de nouvelles de personne. Il ne faut en vouloir à personne. Le plus important est d’être fort dans sa tête. Ma femme m’a toujours soutenu et ma famille aussi. Résultat, je suis toujours là, j’ai confiance en moi et je sais que je réussirai. Je suis encore jeune, j’atteins l’âge mur, l’âge auquel on joue le mieux : j’espère pouvoir encore jouer de longues années en Espagne.

Vous évoquiez Guimaraes et une bonne saison là-bas. Pourquoi n’aviez-vous pas signé dans un gros club portugais à cette époque ?
Parce qu’il y a eu des complications. Pourtant, j’avais fait une superbe saison à Guimaraes. C’était même la meilleure saison de toute ma carrière. C’est pour ça que beaucoup de clubs se sont manifestés, notamment le Sporting. Mais ça ne s’est pas fait à cause de beaucoup de problèmes. Des problèmes d’agent, des problèmes de club, c’est la vie… Le destin a décidé que j’aille ailleurs et c’est comme ça que je suis passé par la Russie, le Koweït et maintenant l’Espagne. Je ne me prends pas la tête, j’essaie d’oublier ça et de travailler. Mais c’est clair que le Sporting aurait été un beau challenge. J’étais jeune encore, je sortais d’une belle saison, je connaissais le championnat portugais et le Sporting allait faire la Ligue des Champions. Mais comme ça, c’est de l’histoire ancienne.

Votre passage en Russie a été bref au Rubin Kazan. Pourquoi ?

La vie était vraiment difficile pour ma femme comme pour moi. Il faisait froid, les gens étaient froids aussi, et c’était pareil pour le football. C’était engagé, physique, ça balançait beaucoup… Que ce soit dans la vie ou le football, je ne me plaisais pas en Russie. J’ai quand même passé un an et demi là-bas mais j’étais content de partir.

« Au Koweït, j’avais un peu grossi »

Pourquoi avoir pris alors la direction du Koweït ?

Franchement, je me suis bien plu au Koweït au niveau de la vie. Mais sur le plan du football, c’était vraiment difficile car il n’y avait pas de rythme. J’étais encore jeune donc je me suis dit qu’il fallait vraiment que je revienne en Europe pour retrouver mon niveau ainsi que des matchs et des entraînements durs. Concernant mon départ au Koweït, j’étais en Russie où je ne m’étais pas bien adapté. Quand le Koweït m’a appelé, il me restait encore un an et demi de contrat et ce qu’ils m’ont proposé financièrement était vraiment très intéressant. J’ai accepté en sachant que j’étais encore jeune. Mais après un an et demi au Koweït, je sentais que je régressais, que j’avais un peu grossi et que mon football partait. Je n’étais vraiment pas bien dans ma peau. Au niveau de la vie, ça m’a vraiment plu et j’ai pris beaucoup de plaisir avec ma famille mais au niveau du foot, c’était très dur. C’est pour ça que j’ai opté pour un retour en Europe. J’ai eu la chance de faire un essai à Malaga, qui cherchait un numéro dix, et comme cet essai de deux semaines s’est super bien passé, ils m’ont fait signer deux ans.

C’était presque inespéré ?

C’est clair. J’ai eu vraiment beaucoup de chance de revenir en Europe et en plus dans le meilleur championnat du monde. Maintenant, ce n’est pas une fin en soi et c’est à moi de montrer aux gens qui se sont trompés sur mon compte en France que j’ai du talent. Aujourd’hui, ils peuvent voir que j’ai gagné ma place à Malaga car cela n’a pas été facile. J’ai commencé remplaçant et j’en suis à peu près à 1 400 minutes de jeu aujourd’hui. Après être passé un an et demi par le Koweït, je trouve que c’est vraiment pas mal.

Cette saison à Malaga est donc satisfaisante…
Ça fait trois-quatre mois que je joue tout le temps titulaire. Je suis content et j’espère que ça va continuer comme ça. J’espère que nous allons continuer à bien jouer et que nous allons nous maintenir. Là, nous sommes six points devant le premier relégable donc ça fait quand même une avance. Il reste neuf matchs et j’espère que nous allons nous maintenir.

Pensez-vous toujours à la sélection tunisienne ?
C’est dur car ça fait un an et demi que je ne suis pas retourné en sélection. Depuis que je suis parti au Koweït, on ne m’a plus appelé et c’est tout à fait normal car j’étais dans un championnat vraiment faible. Mais là, je joue, je me suis imposé ici en Espagne, donc j’espère que je vais être rappelé. Le problème, c’est que nous n’avons plus rien à jouer aujourd’hui, pas de Coupe du Monde. Nous avons juste en perspective les éliminatoires pour la CAN 2012 donc j’espère être appelé pour ces matchs. Si je continue à jouer à Malaga, il n’y a pas de raison que je retourne en sélection.

Roger Lemerre ne vous a pas rendu service…
C’est vrai que j’ai eu un conflit avec Roger mais il n’y a pas eu que moi. Il y a eu beaucoup de problèmes. Et aujourd’hui, il y a de nouveaux joueurs, une nouvelle sélection, avec beaucoup plus de jeunes. Ça serait bien de remettre la Tunisie en marche, comme en 2004.

Aurélien CANOT


football365.fr
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Rothen voulait jouer un mauvais tour au PSG

15/04/2010 - 17 h 15

Prêté par le Paris SG à Ankaragüçü jusqu’à la fin de la saison, Jérôme Rothen (32 ans, 8 apparitions cette saison en Super Lig) garde visiblement une dent amère envers le club de son cœur et le traitement de faveur qu’il lui a réservé. Du coup, le milieu gauche international français aurait voulu jouer un mauvais tour au PSG à en croire L’Équipe.

« Si tu veux des tuyaux pour gagner la Coupe de France, rappelle-moi... » Voilà le texto que l’ancien Monégasque a envoyé à l’entraîneur de Quevilly Régis Brouard, qu’il a côtoyé à Caen (1997-1999), quelques jours avant la rencontre. L’intéressé n’a pas eu le temps. On connaît la suite...


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Démenti de Jérôme Rothen

Jérôme Rothen, prêté à Ankaragücü (Turquie) jusqu’à la fin de la saison, tient à démentir les propos qui lui sont attribués ce jour dans la presse.
« Le soir de la qualification de Quevilly pour la demi-finale de la Coupe de France, j’ai envoyé un texto d’encouragement pour la suite de la compétition à Régis Brouard, ami de longue date et non des tuyaux, comme le stipule un quotidien. De plus, le tirage au sort des demi-finales n’avait pas encore eu lieu », a tenu à préciser Jérôme Rothen, qui se réjouit par ailleurs de la qualification du PSG pour la finale.
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Foot - Transferts
Yepes va signer au Milan


Le défenseur du chievo Vérone, Mario Yepes a confirmé lundi, sur les ondes d'Europe 1, qu'il sera bien au Milan AC, la saison prochaine. «J'ai eu pas mal de contact, mais je peux vous confirmer que l'année prochaine je serai au Milan AC, ça c'est certain. On attend la fin du championnat pour tout officialiser, a déclaré l'ancien nantais. J'espère que cela va bien se passer pour la suite de ma carrière», a-t-il indiqué. A 34 ans, Yepes et le Milan devraient annoncer prochianement la signature d'un contrat de deux ans.


Lequipe.fr

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Arnaud, le baromètre

En difficulté en début d’année, l’attaquant de Clermont prêté par le Paris-SG va mieux.

Comme son équipe, qui reste sur six victoires et un nul.

DIFFICILE de se retrouver dans ce Championnat de Ligue 2. L’exemple de Clermont illustre parfaitement cette situation mouvante. Le 19 mars dernier, avant la réception de Vannes (1-0), ce club luttait pour ne pas descendre, à trois points du premier non-relégable. Sept rencontres plus tard et à quelques heures de la réception de Bastia, il est devenu un outsider sérieux pour l’accession en Ligue 1.

Prêté par le Paris-SG en janvier dernier, Loris Arnaud raconte ce brutal renversement : « Avant ce match contre Vannes, on s’est parlé. On s’est dit des choses. Il fallait le faire. » Depuis, l’équipe entraînée par Michel Der Zakarian ne perd plus. Ce dernier assure n’avoir rien bouleversé. Il parle d’une solidité défensive retrouvée.

Et l’apport de Loris Arnaud, recruté en janvier ? « Quand il est arrivé, il n’avait que quatre matches de CFA dans les jambes, explique son entraîneur. Il est de mieux en mieux. Il a marqué trois buts, fait marquer et provoqué des penalties. C’est un excellent point d’appui, techniquement propre. Il manque encore un peu de vitesse, mais c’est normal après une grave blessure (rupture du ligament interne du genou droit, en octobre 2008). Je suis très content de lui. De son implication et de son exemplarité dans le groupe. »

Arnaud est heureux. « À vingt-trois ans, c’est le vrai début de ma carrière, raconte-t-il. À Paris, quand t’es jeune, c’est difficile de s’imposer. Vingt-trois ans, c’est un âge pour jouer. Ici, le coach me fait jouer dans l’axe, mon vrai poste, celui que je travaille depuis ma formation. Quand j’ai porté le maillot du PSG, surtout avec Paul Le Guen, c’était à droite. » Ce soir, il sera à nouveau titulaire, prêt à défier Bastia.

Pour cette rencontre, le stade Gabriel-Montpied devrait être plein. « Ce week-end, il n’y a pas de match de rugby, explique Arnaud. Donc, les gens qui vont généralement soutenir les rugbymen vont venir nous voir. » Der Zakarian confirme : « On a déjà vendu 7 000 places. Les dirigeants espèrent 9 000 spectateurs. »


L'Equipe
sylvain
SO fOOT

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Luis Fernandez : « Une revanche pour Lacombe »

Luis Fernandez est à l’image de Paris. Surprenant. Quand on l’appelle pour avoir son avis sur la finale, ses premiers mots sont caustiques “Qui le demande ?”. Luis est comme ça, un brin mégalo mais bourré de souvenirs. Au PSG, Luis pèse trois finales de Coupe de France sur le pré, dont une contre l’ASM. Alors forcément, il a des choses à dire.

Comment prépare-t-on une finale de Coupe de France au Paris SG ?
C’est toujours un grand moment. C’est une ambiance exceptionnelle. Comme c’est Paris, la pression est plus forte. On n’a pas le droit de se rater. A mon époque, c’était un peu différent. Les finales se jouaient au Parc des Princes. Autant dire à la maison pour le coup. Là avec le Stade de France, ce n’est plus vraiment le cas. Mais c’est quasiment à la maison. L’attente est grande, si le PSG gagne la Coupe, ils auront à moitié sauvé leur saison.

Quels souvenirs gardez-vous de la Coupe ?
Une grande émotion. C’était et c’est toujours une compétition très prisée par les joueurs. Dans les années 80, lorsque l’on bat Sainté, c’est le premier trophée de l’Histoire du Paris Saint-Germain. C’était fantastique. Le président Borelli qui mange l’herbe, les penalties stoppés par Doumé (Baratelli), le but de Touré. C’était un grand moment. Mine de rien, on a réussi à conserver notre trophée la saison d’après contre Nantes. C’était quelque chose. On a commencé à écrire l’histoire du club via cette Coupe. Pour moi, ça reste une compétition majeure. Dommage que le charme se soit un peu envolé. Avant on se laissait pousser la barbe tant qu’on était dans la course. Ça manque aujourd’hui.

Justement, pourquoi le Paris SG entretient-il un rapport si étroit avec la Coupe de France ?
C’est comme ça. Il y a souvent des choses irrationnelles en football, et c’en est une. On était taillés pour la Coupe, les matches couperets. Plus que pour les compétition sur le long terme. Sur les matches à élimination directe, on savait se transcender. Ça nous excitait. C’était une compétition faite pour nous. C’est resté ancré dans le patrimoine génétique du club. Car en 40 ans, c’est 7 Coupes de France, 3 finales perdues. C’est un joli chiffre. Je pense que ça sera toujours ainsi.

Vous souvenez-vous de la finale de 1985 perdue contre Monaco ?

Bien entendu. J’étais le capitaine. En face, je me souviens d’un grand Jean-Luc Ettori et du but de Bernard Genghini dans une finale très fermée. Mais cette année-là on n’était pas très bien. On était à la rue en championnat. On n’avait aucun collectif. A l’image de la finale, hachée, on luttait pour faire trois passes de suite. C’est bizarre, car avec quasiment la même équipe, on est champions de France dix mois plus tard. Comme quoi...

Guy Lacombe sera-t-il revanchard compte tenu de son passé au Paris SG ?
Oh oui ! C’est lui la menace numéro 1. Il va savoir motiver ses troupes, arranger les joueurs. C’est important pour lui de ne surtout pas perdre contre le Paris SG. Son départ, un peu compliqué, avec l’affaire Dhorasso etc, ça l’a contrarié je pense. D’ailleurs, depuis son départ en 2006, il ne perd plus contre le PSG. Et puis il reste surtout sur une défaite en finale de Coupe de France contre Guingamp l’an dernier. Le genre de souvenir qui fait mal, très mal. Il aura à cœur de prendre une double revanche.

En trois jours, le Paris-SG a livré deux prestations très différentes, une plutôt convaincante contre Rennes (1-1) et une autre hideuse à Grenoble (0-4). Que retenir de ces deux matches ?
Le match de Grenoble ne sert à rien. L’équipe alignée comportait des remplaçants. C’était pour faire souffler les cadres. Contre Rennes en revanche, c’était surement le onze de la finale. On peut donc en tirer plus d’enseignements. Notamment sur le duo Hoarau-Erding qui marche de mieux en mieux et sur Edel qui s’affirme petit à petit dans les cages. Tout le monde le voit comme le point faible, mais contre Rennes, je l’ai trouvé très bon. Idem pour le petit Jallet qui devient de plus en plus décisif sur son côté.

Certains joueurs parisiens seront déterminants ?
Claude (Makelele) par son expérience de la Ligue des Champions. C’est quand même sept demi-finales Claude, ce n’est pas rien. Ludo (Giuly) pour les mêmes raisons. Coupet, même s’il est sur le banc, sera très important dans l’approche du match. Et puis il y a Antoine Kombouaré. Il a remporté la Coupe avec Paris en 1993, il connaît les ambiances de finale, c‘est important à ce niveau.

Votre favori ?
Paris !

Mathieu Faure
sylvain
L'Equipe.fr

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Fournier va quitter Créteil

Toujours en course pour la montée en L2 (quatrième à trois journées de la fin avec cinq points de retard sur le podium), Créteil devra faire l'an prochain sans Laurent Fournier. L'entraîneur cristollien a confirmé son départ du club dans un entretien au Parisien. «Je quitte Créteil. Après avoir longuement réfléchi, je me suis dit qu'il serait difficile de faire mieux, a-t-il expliqué. Je n'ai pas senti au club une envie de se professionnaliser. On n'avance pas. Les préparateurs physiques, les coaches des gardiens : Tout le monde est à mi-temps ! Ma décision est prise et je pense que c'est la meilleure. Je ne changerai pas d'avis, je ne veux plus faire de rafistolage.» Laurent Fournier n'a pas d'autre proposition mais compte continuer avec un club plus professionnel.
NeiBaF
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Kantari et Brou Apanga prolongent

Officiellement en Ligue 1 depuis vendredi et sa victoire face à Tours (2-0), le Stade Brestois a fait resigner, ce lundi, deux de ses défenseurs, Ahmed Kantari et Moïse Brou Apanga. Le premier a prolongé de deux ans, le second de trois. Les deux hommes sont désormais liés au Stade Brestois jusqu'en juin 2013.

Panenka
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Ligue 1 - OM
Edouard Cissé VS Action Discrète

3 mai 2010

Voici un quizz écrit spécialement par Seb Thoen, membre du groupe de comiques Action Discrète, pour Edouard Cissé, probablement futur champion de France avec l’OM. Le reste de l’interview est dans le magazine, dans les kiosques dès demain. Un teaser, en somme.
Thoen : Édouard, je te propose un quizz ‘17 ans sans titre’, afin de savoir si tu es Parisien ou Marseillais. Il faut répondre à 17 questions en 20 secondes. OK ? Alors c’est parti : jambon beurre ou bouillabaisse ?
Edouard Cissé : Bouillabaisse.


Champs-Elysées ou Canebière ?
Canebière.

Picon ou Pastis ?
Picon.

Périph’ ou Calanque ?
Périph’.

Bateaux Mouches ou camions pizzas ?
(rires) Bateaux Mouches.

Sympathie pour la communauté portugaise ou arménienne ?
(rires) Portugaise !

KOP de Boulogne ou Yankee Virage Nord ?
Virage Nord.

Vedettes de Canal + ou stars de Plus Belle la Vie ?
Plus Belle la Vie.

Michou ou chicha ?
Haha, Chicha !

Pigeons ou poissons ?
Heu… Pigeons.

Ne réfléchis pas ! Bon, tasse-pé ou cagole ?
(rires) Cagole.

Vaseline ou crème à bronzer ?
(rires) Vaseline.

La Courneuve ou la Corniche ?
(mort de rire) Corniche !

Grand Corps Malade ou Jean-Claude Gaudin ?
Grand Corps Malade.

Benjamin Biolay ou IAM ?
Biolay.

Bigard ou Bosso ?
Bosso.

Bertrand Delanoé ou Brandao ?
Brandao.

Thoen : C’est bon, t’es Marseillais, dans mes bras putain !

Cazarre (Julien de son prénom, membre de la troupe) : Attends, attends. Moi, j’ai deux questions pour savoir si tu es plus Parisien que Marseillais. La première : qui est le meilleur buteur portugais du PSG ?
Ba, Pauleta.
Cazarre : Exact. Et qui était l’arrière gauche titulaire à Marseille en 1976 ?
(rires)…
Cazarre : Voilà, merci, c’est tout pour moi.


So Foot
Biz Markie
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La piste Gerets ?
Jean-Louis Triaud, le président de Bordeaux, aurait coché plusieurs noms en cas de départ de Laurent Blanc en fin de saison. Eric Gerets et Paul le Guen seraient bien placés.

Bordeaux se serait positionné sur Eric Gerets pour remplacer Laurent Blanc. (L'Equipe)
La rumeur circule depuis le passage d'Eric Gerets en France, le week-end de PSG-OM (0-3). Les Girondins de Bordeaux penseraient à l'ancien entraîneur de l'OM pour prendre en main les destinées de l'équipe, en cas de départ de Laurent Blanc à la fin de la saison. Si l'actuel coach de Bordeaux n'a pas encore arrêté sa décision, L'Equipe révèle dans son édition de ce mardi que le président Jean-Louis Triaud commencerait à prendre des renseignements concernant d'éventuels remplaçants.

«PAUL LE GUEN ET ERIC GERETS SONT DES PERSONNES POUR QUI J'AI DE L'ESTIME. MAIS CE QUE JE DIS N'ENGAGE À RIEN. JE N'AI CONTACTÉ PERSONNE».

Si le nom de Gerets apparaît en bonne place dans la short-list, la concurrence de Hambourg pourrait s'avérer fatale : la femme du technicien est allemande et elle souhaiterait rester dans son pays, où elle réside toujours. De plus, Gerets a toujours eu un faible pour la Bundesliga. D'autres pistes sont évoqués : Paul Le Guen (Cameroun), Jean Fernandez (Auxerre), Christian Gourcuff (Lorient) voire Frédéric Antonetti. A moins qu'Alain Perrin, dont l'agent est l'influent Jean-Pierre Bernès, ne rafle la mise.

Invité à s'exprimer sur ces rumeurs, Jean-Louis Triaud a reconnu que «Paul Le Guen et Eric Gerets sont des personnes pour qui j'ai de l'estime. Mais ce que je dis n'engage à rien. Il ne faut pas y voir de sous-entendu. Je n'ai contacté personne». La FFF, en revanche, a bien contacté Laurent Blanc. Le Cévénol pourrait rencontrer Jean-Pierre Escalettes, le président de la FFF, la semaine prochaine.
lequipe.fr
EduSuperGoleador
Beuzech
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Landreau, Cech et le PSG

Sa façon de juger un gardien, son admiration pour Petr Cech (Chelsea) et son regard rétrospectif sur le PSG : Mickaël Landreau livre ses réflexions à Libération avant la visite de Lille à Toulouse (19h00).

Dans un long entretien à Libération, mercredi, Mickaël Landreau, le gardien de but de Lille, en déplacement à Toulouse ce mercredi soir (19h00), livre sa vision de son poste en expliquant que «seul le temps construit une hiérarchie des gardiens». Explication du portier international aux 474 matches de L1 : «Un gardien fait quoi ? 50 matches par an. Vous avez celui qui fait trois ou quatre erreurs. Puis celui qui en fait dix. Et celui qui en fait quinze. La sélection se fait comme ça. A ce poste, c'est la régularité, c'est-à-dire le temps qui seul peut construire une hiérarchie. En France, un mec fait trois gros matches et tout le monde veut le voir chez les Bleus. Le sport ne marche pas comme ça.»

Landreau, qui candidate au rôle de 3e gardien pour la Coupe du monde, illustre son propos avec l'exemple du gardien de Chelsea. «On en fait des tonnes sur les "maladresses" de Petr Cech. Comme si on pouvait garder les buts d'un club comme Chelsea depuis 2004 par hasard ! Là, Cech vient de boucler son 100e match sans prendre de but sur les 178 qu'il a disputé en Premier League. Cette statistique parle toute seule. Petr Cech, c'est trois erreurs par saison. Et tous les gardiens que l'on voit lors des derniers tours de la Ligue des champions sont dans ces eaux-là.»

Interrogé également sur son passé au Paris-SG (entre 2006 et 2009), Landreau fait remarquer que la saison de son dernier titre (1994), le club parisien comptait dans ses rangs «trois titulaires en sélection brésilienne et six internationaux français. Ça voudrait dire qu'en 2010, vous auriez Kakà au PSG. Plus Lucio, Luis Fabiano, Abidal, Lloris, Toulalan. Et qu'avec tout ça, le club serait certes dans les trois premiers, mais pas forcément champion de France : il ne l'était pas chaque année, que je sache.» Et de conclure : «Les temps ont changé plus vite que les objectifs du club.» Pendant que Mickaël Landreau défendra avec Lille une 3e place qualificative pour la Ligue des champions, le PSG, vainqueur de la Coupe de France, recevra Valenciennes, 10e place en jeu.


léquipe.fr
aleksandre08
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Pancrate non conservé

Fabrice Pancrate ne sera pas conservé par Newcastle à l’issue de la saison.

Arrivé au mercato d’hiver pour un contrat de six mois, Fabrice Pancrate ne sera pas prolongé par Newcastle révèlent ce jeudi le joueur et son agent dans The Shields Gazette. «Je suis vraiment déçu de ne pas jouer pour Newcastle la saison prochaine. C’est le meilleur club pour lequel j’ai eu la chance de jouer, avec les meilleurs supporters», confie l'ancien Parisien. «Il a signé jusqu’à la fin de saison, avec une option pour une année supplémentaire, mais le club a décidé de ne pas lever cette option. Fabrice ne reviendra pas, la décision du club est prise», a indiqué lui Lee Anderson, son agent. En tout, Pancrate aura participé à 19 matches et marqué 1 but avec les Magpies.


Sport24
Baghib!
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Valdo : « Le PSG reste mon club »

De passage au Camp des Loges cette semaine, l’ancien joueur du PSG Valdo a évoqué un club qu’il a fréquenté pendant quatre ans (1991-1995) et dont il a marqué l'histoire.

Valdo, pourquoi es-tu au Camp des Loges ce matin ?
« Tout d’abord, je suis venu voir mes amis, notamment Antoine Kombouaré avec qui j’ai joué au PSG et Cearà. Le PSG reste mon club. Je l’aime toujours. »

As-tu regardé la finale de la Coupe de France ?
« Je suis malheureusement arrivé à Paris pendant le match. J’ai quand même pu voir la fin de la rencontre à la télévision. J’étais très touché et content de voir le PSG s’imposer. Avoir la chance de remporter un titre, c’est magnifique. »

Quel est ton meilleur souvenir en tant que joueur du PSG ?
« Il y en a beaucoup ! Le plus marquant reste tout de même le match face au Real Madrid. Nous nous étions imposés 4-1 et c’était magnifique. On avait marqué des buts extraordinaires, notamment David (Ginola), le but de la tête de George (Weah) ou le mien. Mais le but qui fait la différence, c’est celui d’Antoine (Kombouaré). Il avait mis un coup de tête magnifique qui nous permettait de nous qualifier. »

Le terrain ne te manque-t-il pas ?« J’étais un gars tranquille. J’ai joué au football pendant vingt-sept ans et ai vécu beaucoup de belles choses. Aujourd’hui, je reste quelqu’un de tranquille en dehors du terrain. J’aime regarder de beaux matches et voir mes amis jouer. »

As-tu un message pour les supporters du PSG ?
« J’aime beaucoup les supporters du PSG. Pour moi, le plus important est qu’ils restent toujours derrière le club, le coach et les joueurs. J’espère qu’ils seront toujours là pour que le PSG gagne le plus de titres possibles. C’est ça qui fait l’histoire d’un club. »
PSG.fr
NainSG
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Coupe du monde 2010 - Anelka espère Vieira

Dans un livre à paraître mercredi où il revient sur sa carrière et sa vie, Nicolas Anelka milite clairement pour la présence de Patrick Vieira à la Coupe du monde. Extraits, en exclusivité, des confidences du taiseux de Trappes.

"Vieira reste notre capitaine"

"On s’est toujours bien entendu. Je n’avais pas le permis à mes débuts à Arsenal et, chaque matin, il venait me cueillir pour m’emmener à l’entraînement. (...) Il a aussi été mon capitaine en équipe de France. Aujourd’hui, à 33 ans, il joue à Manchester City, l’un de mes anciens clubs. Sa présence au sein d’un groupe rassure. Si Raymond Domenech le prend pour le Mondial, sûr qu’il fera du bien. On a besoin de son expérience. Son statut en impose. Il reste notre capitaine."

"Toi, je ne te prends pas, c'est normal"

"Certes Aimé Jacquet m’a offert ma première sélection en équipe de France, le 22 avril 1998, en Suède. J’avais 19 ans et j’ai joué plus d’une heure. Mais, le mois suivant, (...) j’appartiens aux six exclus de Clairefontaine lors du final cut. (...). « Toi, je ne te prends pas. C’est normal. » Rien d’autre. Ces mots resteront gravés à vie. Il a dit ça devant les cinq autres exclus (Ba, Lamouchi, Djetou, Leitizi, Laigle). Voulait-il dire que c’était normal car j’étais jeune et que j’avais le temps ? Je l’ignore. Mais ce fut très dur à entendre. Après Jacquet, ce fut au tour de Roger Lemerre (…). Il était gentil mais parfois il me tutoyait, d’autres fois il me vouvoyait. Désarçonnant. (...) Je n’ai pas aimé une phrase qu’il a prononcée un jour : « J’ai joué ma vie avec Anelka.» Qu’est-ce que cela signifie ? Ça peut prêter à confusion. Qu’il s’explique (…).”

"Domenech éclaire le jeu de l'équipe"

"Jamais je n’ai eu de dialogue comme ça avant avec un entraîneur des Bleus. (...) Je considère qu’il m’a donné ma chance de revenir en sélection et de prouver que j’avais le niveau, ce dont je n’ai jamais douté. Avec lui, je communique, j’échange. Il a compris que je n’étais pas un fouteur de merde ! Je peux parler tranquillement, de tout et de rien, avec Domenech. Cela change de ses prédécesseurs. Il donne aussi des explications, éclaire le jeu de l’équipe. Jusque-là, le dialogue était inexistant. (...) Je garderai le souvenir d’un homme qui parle beaucoup aux joueurs et qui les comprend. C’est un vrai technicien, qui connaît le football. Je sais qu’il est impopulaire, mais je vous promets que le personnage est marrant."

"On s'est cachés, mais on est passés"

"Entre Thierry (Henry) et moi, cela a toujours été instinctif. Malgré la concurrence, on a systématiquement voulu jouer ensemble, se donner les ballons. Cela a constamment collé. (...) Un mot sur son fameux geste face à l’Irlande en match de barrages. (...) Il a assumé. Tout le monde a vu qu’il avait fait main, de toute façon… Dans le foot, il y en a partout, sur tous les terrains, hélas. Il n’y a qu’à mettre la vidéo. Et puis, la qualification pour la Coupe du monde, c’est à l’aller en Irlande qu’on l’a obtenue. (...) Au retour, on sait bien qu’on n’a pas été bons, tétanisés par l’enjeu. On s’est cachés, mais on est passés. Je sais que Thierry a été atteint par les polémiques après sa main, tout le monde lui est tombé dessus. Il reste mon ami pour la vie. Il va prendre part à son quatrième Mondial de suite. C’est hallucinant."

"Claude (Makelele) a encore largement le niveau"

"Le PSG est le seul club français que j’aie connu dans ma carrière. Si jamais un jour je devais revenir en France, même si je pense que cela n’arrivera pas, ce serait à Paris. Claude Makelele, lui, s’apprête à y terminer son parcours. (...) Je ne comprends pas pourquoi le club l’a fait venir alors que, derrière, le projet n’est pas abouti. (...) À 37 ans, il reste affûté et a été l’un des meilleurs milieux défensifs du monde. Il va stopper sa carrière, mais il a encore largement le niveau. Son coach à Paris est à la hauteur. Mais on ne peut pas lui réclamer de faire des merveilles avec si peu de moyens."

"Avec cette équipe de fous..."

"Mon deuxième passage au PSG n’aura duré qu’une année et demie. (...) Je croyais dans le projet exposé, à savoir une équipe qui représente Paris et sa région. Faire appel à des jeunes joueurs de la région parisienne ou de la banlieue tout court, représentatifs du public. Un mélange de jeunes du centre de formation et par ailleurs des copains, comme Fabrice Abriel, Sylvain Distin, Bernard Mendy, Grégory Paisley, Fabrice Kelban, Édouard Cissé ou Pierre Ducrocq, ainsi que des joueurs plus expérimentés tels que Ali Benarbia, Laurent Robert ou Lionel Letizi. Avec en plus Ronaldinho, Jay-Jay Okocha, Peter Luccin ou Stéphane Dalmat, on bénéficiait d’une équipe de malades. Le résultat n’a pas été à la hauteur. Pourtant, avec cette équipe de fous, on aurait pu faire ce qu’a réalisé l’Olympique Lyonnais, à savoir dominer le Championnat de France durant sept ans. Seulement, on ne nous a pas laissé le temps. (...) Bergeroo a sauté. Et la politique du club a changé. Dès lors, les histoires ont commencé à pleuvoir, les rumeurs aussi. Du grand n’importe quoi."

"Je savais que j'allais manquer mon penalty"

"(A Chelsea), le coach, Avram Grant, ne me témoigne pas une confiance absolue. Et comme je fonctionne beaucoup à l’affectif… Ça se ressent notamment lors de la finale de la Ligue des champions, la seconde à laquelle je participe. (...) L’entraîneur m’a lancé d’un coup, sans me prévenir. Alors que notre capitaine John Terry avait l’occasion de nous offrir le trophée lors des tirs au but – sa tentative a heurté le poteau –, je rate finalement l’ultime de la série, repoussé par Van der Sar. C’est un peu le symbole de ma demi-saison avec Chelsea. Triste à dire, mais je savais que j’allais manquer mon penalty. Grant me prenait un peu de haut, comme si pour lui je devais être fier et ne rien réclamer, sous prétexte que j’avais été recruté à Bolton."

Arnaud Ramsay, “Anelka par Nicolas Anelka”, Editions Hugo&Cie, 125 pages, 15,50 euros. Parution le 12 mai.


Eurosport
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Foot - CM - URU
Une liste de 26 sans Rodriguez


Oscar Tabarez, le sélectionneur de l'Uruguay, a dévoilé lundi une première liste élargie de 26 joueurs pour la Coupe du monde 2010. Une compétition durant laquelle la Celeste débutera contre l'équipe de France, le 11 juin, avant de se coltiner l'Afrique du Sud et le Mexique. Le milieu de terrain Cristian Rodriguez, encore sous le coup d'une suspension de deux matches, en est le principal absent. L'ancien joueur du Paris-SG, qui évolue aujourd'hui à Porto, ne pouvait pas être aligné face aux Bleus, puis contre le pays organisateur, le 16 juin.

Comme prévu, l'ancien entraîneur de l'Inter Milan a fait primer la «continuité» et retenu essentiellement des joueurs qui ont participé à la campagne de qualification. Il a ainsi maintenu sa confiance au latéral droit Martin Caceres, qui a rejoué dimanche avec la Juventus Turin après plus de deux mois d'arrêt en raison d'une pubalgie, ou au milieu de terrain de l'AIK Stockholm Sebastian Eguren, longtemps sans club.

Tabarez a également retenu le meneur de jeu Ignacio Gonzalez, absent en sélection depuis plus d'un an et demi à cause de blessures à répétition, et la révélation du repêchage contre le Costa Rica, Nicolas Lodeiro, bien qu'il ait peu joué depuis son transfert à l'Ajax Amsterdam en janvier dernier. D'ici au 1er juin, le coach de l'Uruguay devra enlever trois joueurs de cette liste élargie. Deux sauteront probablement au milieu de terrain, un secteur où il a convoqué 11 éléments, dont trois des quatre joueurs évoluant encore en Uruguay (Egidio Arevalo Rios, Jorge Rodriguez et Alvaro Gonzalez). En attaque, derrière les titulaires Diego Forlan et Luis Suarez, et le joker Sebastian Abreu, ce sont Edinson Cavani, Sebastian Fernandez et Jorge Martinez qui semblent à la lutte pour une ou deux places.


Les 26 Uruguayens :

GARDIENS: Fernando Muslera (Lazio Rome/ITA), Juan Castillo (Deportivo Cali/COL), Martin Silva (Defensor)

DEFENSEURS: Diego Lugano (Fenerbahce/TUR), Diego Godin (Villarreal/ESP), Andres Scotti (Colo Colo/CHI), Jorge Fucile (Porto/POR), Martin Caceres (Juventus/ITA), Mauricio Victorino (Universidad de Chile/CHI)

MILIEUX: Walter Gargano (Naples/ITA), Egidio Arevalo Rios (Penarol), Sebastian Eguren (AIK Stockholm/SWE), Diego Perez (Monaco/FRA), Maximiliano Pereira (Benfica/POR), Alvaro Pereira (Porto/POR), Jorge Rodriguez (River Plate), Ignacio Gonzalez (Valence/ESP), Nicolas Lodeiro (Ajax Amsterdam/HOL), Alvaro Gonzalez (Nacional), Alvaro Fernandez (Universidad de Chile/CHI)

ATTAQUANTS: Luis Suarez (Ajax Amsterdam/HOL), Diego Forlan (Atletico Madrid/ESP), Sebastian Abreu (Botafogo/BRA), Edinson Cavani (Palerme/ITA), Sebastian Fernandez (Banfield/ARG), Jorge Martinez (Catane/ITA)


NainSG
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Mondial - Brésil: Dunga annonce sa liste de 23 joueurs sans Ronaldinho ni Adriano

RIO DE JANEIRO (Brésil) (AFP) - Le sélectionneur de l'équipe du Brésil, Dunga, a annoncé mardi sa liste de 23 joueurs pour le Mondial-2010 (11 juin-11 juillet), dans laquelle ne figurent ni le milieu offensif du Milan AC, Ronaldinho, ni l'attaquant de Flamengo, Adriano.

Cette double absence n'est pas une grande surprise, les deux joueurs n'ayant que peu participé aux qualifications, marquant seulement chacun un but.

Ronaldinho, champion du monde en 2002 et aujourd'hui âgé de 30 ans, n'a plus été convoqué en sélection depuis avril 2009.


Adriano, lui, avait connu une éclipse de plusieurs mois l'an dernier, après son départ de l'Inter Milan début avril.

Venu soigner une dépression au Brésil après s'être séparé de sa fiancée, Adriano avait d'abord songé à faire une pause dans sa carrière, avant de resigner à Flamengo, huit ans après y avoir fait ses débuts professionnels.

"L'Empereur" avait retrouvé la seleçao à la fin de l'été, mais ces dernières semaines, Dunga lui reprochait des absences répétées aux entraînements de son club et un surpoids inquiétant (106 kg début mars, soit huit de trop).

"On a tout fait pour le récupérer, mais il a fallu prendre une décision", a déclaré l'entraîneur national à son sujet Dunga.

Il est remplacé dans la liste par l'ancien attaquant du Mans, Grafite, qui joue désormais à Wolfsburg, champion d'Allemagne en 2009.

Fidèle à ses choix, Dunga n'a pas davantage sorti de se retraite internationale le meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du monde (15 buts), Ronaldo, qui n'a plus joué en sélection depuis le quart de finale du Mondial-2006 perdu contre la France (1-0).

Le mois dernier, le vétéran de 33 ans a lui-même reconnu qu'il ne méritait pas sa place étant donné le peu de matches qu'il a joués cette saison.

Le Ballon d'or 2007 Kaka, auteur d'une saison en demi-teinte au Real Madrid, est en revanche du voyage tout comme Luis Fabiano, meilleur buteur de la zone Amsud (9 buts).

L'une des rares surprises est la sélection en défense du gaucher de Lyon Michel Bastos.

Le quintuple champion du monde partira le 26 mai pour l'Afrique du Sud, où il figurera dans le groupe G, l'un des plus difficiles avec la Côte d'Ivoire, le Portugal et la Corée du Nord. Il débutera contre l'équipe asiatique le 15 juin.

"Les joueurs que j'ai convoqués ont ma totale confiance", a déclaré Dunga. "Malheureusement, je ne peux en retenir que 23 joueurs", a ajouté celui qui a privilégié comme valeurs dans son choix "l'engagement, l'attitude, la capacité des joueurs à assumer une responsabilité et la passion".

La liste des 23 Brésiliens:

Gardiens: Julio Cesar (Inter Milan/ITA), Doni (AS Roma/ITA), Gomes (Tottenham/ENG).

Défenseurs: Luisao (Benfica/POR), Lucio (Inter Milan/ITA), Juan (AS Roma/ITA), Thiago Silva (Milan AC/ITA), Maicon (Inter Milan/ITA), Daniel Alves (FC Barcelone/ESP), Michel Bastos (Olympique Lyonnais/FRA), Gilberto (Cruzeiro)

Milieux de terrain: Gilberto Silva (Panathinaikos/GRE), Josué (Wolfsbourg/GER), Elano (Galatasaray/TUR), Kaka (Real Madrid/ESP), Ramires (Benfica/POR), Felipe Melo (Juventus/ITA), Julio Baptista (AS Roma/ITA), Kleberson (Flamengo)

Attaquats: Luis Fabiano (Séville/ESP), Nilmar (Villarreal/ESP), Grafite (Wolfsbourg/GER) et Robinho (Santos)


AFP
sylvain
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France Football

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«Il casse les couilles, Gaby...»


Auteur de quatre buts en Ligue 1 pour sa première saison avec l'OM, Gabriel Heinze (photos Presse-Sports) est resté muet presque toute l'année. Mais l'Argentin, sélectionné pour la Coupe du monde, a pris la parole ce jeudi dans un entretien accordé à L'Equipe. Et forcément, d'entrée, ça parle du titre. «Un joueur m'a demandé sur la pelouse: "Gaby, tu es trop content. C'est différent de ce que tu as gagné avant ?" Je lui ai répondu: "Oui, et je ne sais pas pourquoi." Peut-être est-ce dû aux dix-huit ans sans titre de champion de France de l'OM». Le défenseur ne sait pas très bien ce qui l'a poussé dans l'euphorie, mais il se rappelle très bien du déclic. «Ce 23 décembre (...) on est partis en vacances sur des insultes. Ça m'a beaucoup marqué, ça m'a demandé plus d'efforts. J'ai eu mal ce soir-là. Alors quand j'ai vu ce stade en feu contre Rennes...»

«J'ai tellement donné pour le PSG...»

De Paris à Marseille, il n'y a qu'un pas. Et pourtant. «Si on me l'avait dit à une époque, j'aurais répondu que c'était impossible.» Heinze a hésité avant de venir dans le club phocéen. «Ça n'a pas été facile de dire oui car je passais de l'autre côté, chez le grand rival... Mais Marseille me proposait un projet qui me plaisait». Et concernant le PSG-OM (0-3) du 28 février dernier au Parc des Princes, l'Argentin ne pensait vraiment pas être si mal accueilli. «J'ai tellement donné pour le PSG... Ça m'a touché, c'est ma pire journée de footballeur. Heureusement, quand je suis allé vers l'hôtel, un petit jeune m'a interpellé: "Gaby, tu vas toujours rester dans mon coeur, même si tu es parti." Ça m'a fait du bien.»


«Ici, il n'y a pas de mauvais mecs»

Les premiers mois passés à l'OM n'ont pas été de tout repos, mais Heinze se félicite de son rôle qu'il a joué au sein de sa nouvelle équipe. «Je pouvais amener de l'expérience, comme Lucho, Cheyrou, Diawara, Niang, Morientes... Comment ? J'arrive une heure avant, je montre qu'il faut faire des soins. Il n'y a pas d'autres manières pour réussir». Un tempérament de battant et de professionnel qui aurait pu en agacer plus d'un. «(Rires) C'est sûr que des copains pensent: "Il casse les couilles, Gaby, mais il est trop gentil quand même..." Ici, il n'y a pas de mauvais mecs, c'est un vrai bon groupe. Et des gars de vingt-trois ans peuvent me dire: "Gaby, tu te trompes..." Je l'accepte.»

«Le maillot argentin (...) mon pays, mon sang, ma vie...»

Concernant le futur, Heinze rêverait d'un triplé en Coupe du monde avec l'Argentine. «Si ça m'arrive, je pense dire merci au football et arrêter. C'est le rêve de ma vie. Le maillot argentin est l'unique maillot qui m'a fait pleurer. Je lui donne tout. C'est mon pays, mon sang, ma vie...» Mais il reconnaît être très triste pour Lucho Gonzalez qui ne participera pas à l'aventure en Afrique du sud. «Je connais aussi le rapport de Lucho à ce maillot... Il a vécu des moments durs cette année. Après Rennes, je l'ai embrassé et je lui ai soufflé: "Tu vois, tu as fait fermer la bouche à tout le monde. Tu es un grand monsieur, un grand joueur !" Je n'ai jamais douté.» Quant à Didier Deschamps, «il a la qualité pour aller très loin. Il commence une histoire avec Marseille et j'espère qu'il va la poursuivre. Moi, il me reste un an et je suis tranquille.»
Schultzy
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Fin de carrière pour Revault

Christophe Revault (Photo Presse-Sports) a décidé de mettre un terme à sa carrière, après 21 saisons au plus haut niveau, dont 11 au Havre. Outre son club formateur, le gardien de 37 ans a également porté les couleurs du PSG, de Rennes et de Toulouse. Revault a décidé d'accepter la reconversion qui lui a été proposée par Jean-Pierre Louvel, le président du HAC. Il sera toujours au Havre l'an prochain.

France Football.fr
Schultzy
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Leonardo quitte l'AC Milan

C'était dans l'air, c'est désormais officiel, Leonardo ne sera plus l'entraîneur de l'AC Milan la saison prochaine.Le Brésilien a annoncé vendredi en conférence de presse qu'il quittait ses fonctions «d'un commun accord» avec les dirigeants du club lombard. Le président Galliani parle également d'une «décision commune, à l'amiable.»

France Football.fr
Biz Markie
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RONALDINHO JOUERA CONTRE L'IMPACT


MONTRÉAL – 24 heures après avoir annoncé que la majorité des joueurs du club italien Fiorentina seront à Montréal le 23 mai prochain, l’organisation montréalaise a annoncé vendredi que l’AC Milan a également confirmé que plusieurs joueurs-étoiles seront à Montréal pour le match international amical contre l’Impact, qui sera disputé le 2 juin au Stade olympique.

Parmi les joueurs vedettes de l’AC Milan qui feront le voyage, on retrouve les gardiens Nelson Dida et Christian Abbiati, les défenseurs Alessandro Nesta et Luca Antonini, les milieux de terrain Massimo Ambrosini, Mathieu Flamini, Clarence Seedorf et Ronaldinho, de même que les attaquants Alexandre Pato et Filippo Inzaghi.

« L’AC Milan est un des plus grands clubs au monde et l’équipe sera à Montréal avec ses meilleurs joueurs, alors ce sera vraiment extraordinaire, a noté le directeur technique de l’Impact Nick De Santis. Ils ont des partisans partout dans le monde. Les amateurs de soccer de toutes les nationalités connaissent ces joueurs. Ce sera une chance en or de les voir jouer. »

Ronaldinho a été élu meilleur joueur au monde en 2005. Il a marqué plus de 30 buts avec l’équipe nationale du Brésil. Avant de joindre l’AC Milan, le joueur de 30 ans a joué avec le FC Barcelone, de 2003 à 2008, remportant la Ligue des Champions en 2006. Ronaldinho a marqué plus de 70 buts en Liga A, en Espagne. Cette année, il a inscrit 10 buts en 35 matchs de Serie A.


Ambrosini, capitaine de la formation italienne, a joué plus de 250 matchs avec l’AC Milan et a porté les couleurs de l’équipe nationale d’Italie pendant plus de 10 ans. Seedorf, qui a marqué plus de 50 buts en Serie A et qui a joué plus de 80 matchs avec l’équipe nationale des Pays-Bas, est le seul joueur à avoir remporté la Ligue des Champions de l’UEFA avec trois clubs différents. Flamini, un joueur français de 26 ans, a joué quatre saisons avec le club anglais Arsenal, avant de joindre Milan en 2008. Pato, un jeune attaquant brésilien, a jusqu’ici marqué 12 buts en 22 matchs cette saison. Il avait pris part à la Coupe du monde U20 de la FIFA, à Montréal en 2007. Inzaghi, un ancien international italien, est un vétéran de 36 ans qui a marqué plus de 100 buts avec l’AC Milan, depuis 2001.

Plus de 25 000 billets vendus

L’Impact a également annoncé vendredi avoir vendu plus de 25 000 billets pour ce match international.

« Il y a un réel engouement pour ce match et nous sommes ravis de la réponse des amateurs, a déclaré le vice-président exécutif de l’Impact de Montréal Richard Legendre. Ce sera une occasion unique de voir ce club mythique chez nous, à Montréal. Notre ville s’affirme de plus en plus comme étant un des grands marchés de soccer international en Amérique du Nord. »

http://www.rds.ca/impact/chroniques/298967.html
11G
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Leonardo vers Flamengo ?

Leonardo, qui a annoncé vendredi son départ de l'AC Milan à l'issue de la dernière journée de Serie A ce week-end (voir lien ci-dessous), pourrait retourner au pays la saison prochaine. Le Brésilien pourrait en effet devenir l'entraîneur ou le directeur sportif de Flamengo selon O'Globo. « Fla », le club de Rio, où évolue l'ancien attaquant de l'Inter, Adriano, non retenu pour la Coupe du monde par le sélectionneur Dunga. D'autres rumeurs envoyaient justement Leonardo sur le banc de la sélection auriverde en remplacement de Dunga qui a déjà annoncé qu'il quitterait ses fonctions après le Mondial.


France Football

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Biz Markie
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Nice : Civelli oui, Digard non

Prêtés à Nice depuis l'hiver dernier, Renato Civelli et Didier Digard ne devraient pas continuer dans le même club la saison prochaine. Selon L'Equipe de lundi, les dirigeants azuréens auraient décidé de lever l'option d'achat du défenseur argentin, mais pas celle du milieu français. Le problème ne se situe pas sur le plan sportif, puisque les deux joueurs ont convaincu sur le terrain, mais bien au niveau financier. La somme demandée (1,7 millions d'euros) par San Lorenzo pour l'ancien Marseillais est abordable pour le Gym. Celle réclamée pour l'ancien Parisien par Middlesbrough (6 millions d'euros) l'est beaucoup moins.


lequipe.fr
11G
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Mendy quitte Hull City

Premier League : Bernard Mendy, ancien joueur du PSG et international français, va quitter le club anglais Hull City qu'il avait rejoint en juillet 2008. Le club, relégué en Championships (deuxième division anglaise), qui veut stabiliser ses finances, a accepté le départ de son défenseur.

"Tout le monde à Hull City remercie Bernard pour ses efforts fournis pendant ses deux saisons au KC Stadium et lui souhaite le meillleur pour le futur."


Eurosport
paseric
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Fournier à Strasbourg ?
Alors que Laurent Fournier s’apprête à diriger, vendredi à Plabennec, son dernier match à la tête de Créteil, son nom s’est mis à être évoqué, ces derniers jours, du côté de Strasbourg (relégué en National). « Je sais que mon nom circule. Mais je n’ai eu aucun contact direct. C’est un club qui peut m’intéresser », confie Fournier, qui ne semble pas effrayé par les conflits internes au club alsacien et par ses problèmes financiers.

Le Parisien
Peyton
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Dépêche
Médias : Juninho et Pauleta à Canal
Rédaction Football365

mercredi 19 mai 2010 - 13h13
Canal + a annoncé mercredi avoir recruté des consultants supplémentaires pour la Coupe du Monde. L'ancien Lyonnais Juninho et l'ancien Parisien Pauleta en font partie.

Erik Gerets, Juninho, Pedro Miguel Pauleta, Marco Simone et Patrick Mboma rejoignent Canal +. La chaîne les ajoutent à leur équipe de consultants pour la Coupe du Monde le mois prochain. Ils interviendront dans le Canal Football Club.

L.P. (Rédaction Football365.fr)


Football365.fr
Baghib!
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Foot - ANG - Everton

Arteta ne partira pas


Selon son agent Inaki Ibanez, le meneur de jeu espagnol d'Everton Mikel Arteta devrait rester à Goodison Park la saison prochaine, malgré des rumeurs de départ évoquée par la presse anglaise. Annoncé à Arsenal pour pallier le possible départ de Cesc Fabregas, l'ancien parisien pourrait aller au bout de son contrat qui prendra fin en 2012. «Les journaux disent beaucoup de choses. Mikel a une femme et des enfants et il est très heureux dans cette ville», a insisté son agent. Arteta, qui est revenu de blessure en janvier de cette année après un an d'invalidité, est arrivé à Everton en 2005 de la Real Sociedad. A l'époque, Manchester United était également sur les rangs.
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