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Partouche : «Créteil, j'ai dit banco tout de suite»
De nouveau sous contrat après son exil raté en Grèce, Maxime Partouche, 21 ans, a retrouvé le bonheur en signant récemment à Créteil. Il évoluera sous les ordres de Jean-Luc Vasseur, l'un de ses mentors. Entretien. (Photo Presse-Sports)
«Maxime Partouche, vous avez signé à Créteil pour un an, plus une autre année en option. Quel effet ça vous fait d'avoir retrouvé un club ?
Ça fait plaisir ! En plus, c'était l'objectif de rester en France. Qui plus est, proche de Paris. C'est bien de rester près de la capitale. En Grèce, à Panionios, je n'ai pas tellement de bons souvenirs. C'était juste une expérience.
A quand remontent vos premiers contacts avec l'USCL ?
On m'a appelé il y a deux ou trois mois pour me dire qu'on me suivait. Juste qu'ils avaient un oeil sur moi, rien de plus. Et comme j'ai de bonnes relations avec Jean-Luc Vasseur (le nouvel entraîneur, ndlr), dès qu'il a été nommé, il m'a appelé. Il m'a expliqué son projet. J'ai dit banco tout de suite.
Qu'attendez-vous pour la saison prochaine ?
Le National, c'est un tremplin. C'est un Championnat relevé. Le club essaye de recruter des joueurs revanchards, qui n'ont pas vraiment eu leur chance. En plus, Créteil possède de super structures. Je remercie encore l'entraîneur, Jean-Luc Vasseur. Il va me donner ma chance. C'est à moi de jouer désormais. En tout cas, j'ai reçu un très bon accueil. J'ai senti tout de suite qu'on comptait sur moi. C'est un club d'envergure.
Cette année, vous avez été testé par Lorient et Auxerre, pourquoi cela n'a pas marché ?
Effectivement, j'ai effectué des essais dans ces clubs-là. Tout s'est bien passé et cela a été bénéfique pour moi. J'ai également fait un essai à Angers. Mais les dirigeants du SCO voulaient attendre de faire signer quelques joueurs. Si j'y allais, c'était plus dans un rôle de doublure. Après, je suis parti en Espagne faire un essai à Villarreal. C'était pour l'équipe B, en deuxième division. Même si j'ai eu de très bons retours là-bas, ils étaient un peu frileux pou les étrangers. Les essais, c'est important. Ça te fait un peu de promo.»
De nouveau sous contrat après son exil raté en Grèce, Maxime Partouche, 21 ans, a retrouvé le bonheur en signant récemment à Créteil. Il évoluera sous les ordres de Jean-Luc Vasseur, l'un de ses mentors. Entretien. (Photo Presse-Sports)
«Maxime Partouche, vous avez signé à Créteil pour un an, plus une autre année en option. Quel effet ça vous fait d'avoir retrouvé un club ?
Ça fait plaisir ! En plus, c'était l'objectif de rester en France. Qui plus est, proche de Paris. C'est bien de rester près de la capitale. En Grèce, à Panionios, je n'ai pas tellement de bons souvenirs. C'était juste une expérience.
A quand remontent vos premiers contacts avec l'USCL ?
On m'a appelé il y a deux ou trois mois pour me dire qu'on me suivait. Juste qu'ils avaient un oeil sur moi, rien de plus. Et comme j'ai de bonnes relations avec Jean-Luc Vasseur (le nouvel entraîneur, ndlr), dès qu'il a été nommé, il m'a appelé. Il m'a expliqué son projet. J'ai dit banco tout de suite.
Qu'attendez-vous pour la saison prochaine ?
Le National, c'est un tremplin. C'est un Championnat relevé. Le club essaye de recruter des joueurs revanchards, qui n'ont pas vraiment eu leur chance. En plus, Créteil possède de super structures. Je remercie encore l'entraîneur, Jean-Luc Vasseur. Il va me donner ma chance. C'est à moi de jouer désormais. En tout cas, j'ai reçu un très bon accueil. J'ai senti tout de suite qu'on comptait sur moi. C'est un club d'envergure.
Cette année, vous avez été testé par Lorient et Auxerre, pourquoi cela n'a pas marché ?
Effectivement, j'ai effectué des essais dans ces clubs-là. Tout s'est bien passé et cela a été bénéfique pour moi. J'ai également fait un essai à Angers. Mais les dirigeants du SCO voulaient attendre de faire signer quelques joueurs. Si j'y allais, c'était plus dans un rôle de doublure. Après, je suis parti en Espagne faire un essai à Villarreal. C'était pour l'équipe B, en deuxième division. Même si j'ai eu de très bons retours là-bas, ils étaient un peu frileux pou les étrangers. Les essais, c'est important. Ça te fait un peu de promo.»