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niramo
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Lorient : Adama Touré à Gijon

Mis à l'essai la semaine dernière par le Sporting Gijon, Adama Touré a signé pour un an et demi avec le club espagnol. Transféré du PSG en début de saison, le milieu malien de 20 ans n'a fait aucune apparition avec le FC Lorient cette saison.

L'Equipe.fr
giovanni pontano
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Exclusif : Vingt ans après, David Ginola raconte son passage au
stade brestois 29


David, dans quelles conditions êtes-vous arrivé à Brest ?

J'étais au Racing Paris et Lagardère, le président, venait de partir. Malgré que nous ayons joué la finale de la Coupe de France, le club est relégué en Division 2. J'avais besoin de me relancer et de trouver un nouveau club, un nouveau challenge. Les gens de Brest, François Yvinec, Slavo Muslin et Christian Le Garrec, sont venus me voir et j'ai dit ok. J'avais besoin de travailler dans le calme, la sérénité. François Yvinec est quelqu'un de passionné, amoureux de sa ville, de son club, de ses supporters. Je ne connaissais pas la Bretagne et quand on y arrive, avec l'accent du Sud, c'est un peu compliqué. Mais, je m'y suis plu : nous habitions Gouesnou et notre enfant Andréa est née à la clinique St Louis. Brest nous a marqué !

Quel fut votre sentiment en arrivant à Brest ?

Avec le recul, je me dis que c'était un passage obligé ! Quel club aurait pu me donner cette force de croire ainsi en mes possibilités ? Avec Brest, nous avons réalisé des performances fabuleuses. J'ai le souvenir de voir Francis Le Blé en ébullition ! On savait s'y faire respecter et il y avait un bon équilibre entre jeunes et plus anciens. Mis à part Racine Kane et Jos Van Herpen, le groupe était quand même jeune. Ce stade est vraiment extraordinaire par ce qu'il véhiculait ! J'ai le sentiment que mon séjour à Brest était écrit, fallait que j'y passe. Bon, la fin fut plus délicate avec cette impression d'être piégé par les dirigeants mais bon, je garde d'excellents souvenirs de Brest !

Comment le méridional que vous êtes s'est-il fondu dans cette ville, cette région ?

J'arrivais de Paris et de se retrouver, là, à Gouesnou, fut un peu compliqué au départ. Mais bon, j'étais venu à Brest pour travailler et la météo m'importait peu. Dans le Sud, le soleil rend un peu fainéant et là, à Brest, j'ai bossé comme un malade. Nous habitions dans une résidence et je me souviens des parties de pêche, de surf casting, le soir, à la plage. Et puis, avec un ostréiculteur partenaire du club, j'ai mangé les meilleus huîtres et homards de ma vie. Les Brestois sont des gens extras !

Au sujet du départ de Nolan Roux, un supporter a déclaré qu'il n'aura pas marqué Brest comme vous...

(Silence) C'est magnifique ! Brest, c'est vraiment une terre de foot … C'est fou ! Quand tu es ancien footballeur d'entendre cela, en France, c'est fort ! Ça me touche beaucoup. Cela prouve qu'il ya du respect, de la reconnaissance à mon égard, sur ma carrière et cela ne se limite pas à 10 secondes malheureuses avec l'équipe de France face à la Bulgarie ! Je suis vraiment, toujours, le 1er supporter du Brest Armorique ( sic ). Je veux dire à ce supporter que si il a gardé de moi un bon souvenir, cela a été réciproque.

Suivez-vous toujours les résultats de Brest ?

J'ai toujours été convaincu que Brest reviendrait, un jour, en Ligue 1 ! En 1991, on s'est battu, moi le premier, pour que ce club continue à vivre même différemment mais pour que des jeunes continuent à y jouer ! Et puis, il fallait aussi penser à ceux qui allaient signer, à Brest ou ailleurs. Une de mes plus belles victoires, dans ma carrière, a été de sortir la tête haute de cette fin du Brest Armorique. On a fait le boulot, nous les joueurs. Nous avons été pris en otage et nous n'y pouvions rien. Je suis vraiment content que le club soit revenu dans l'élite : ce fut long mais Brest est une ville de foot et son public le mérite.

Quel était le secret de cette équipe qui produisait un superbe football ?

La préparation physique était telle que l'on pouvait jouer un match à fond ! C'était impressionnant .. On travaillait dur à l'entrainement et on pouvait, avec cela, être excellent pendant 90 minutes : je me suis vu, en fin de match, sur des terrains difficiles, faire des accélérations qui laissaient l'adversaire sur place. Cette équipe pouvait déplacer des montagnes : la défense était costaud, au milieu il y avait Momo Bouquet et ses trois poumons et moi, je servais de fer de lance aux Salaün et Cloarec qui allaient à 200 à l'heure ! Et puis, on fournissait beaucoup de jeu : Slavo Muslin est un super entraineur qui avait été un très bon milieu de terrain. On prenait beaucoup de plaisir à travailler avec lui. Cette équipe était efficace, équilibrée et homogène.

Lors du dernier match du Brest Armorique en novembre 1991, à Guingamp, vous étiez présent et avez même pris la parole pour calmer les supporters brestois déçus, écoeurés et énervés. Quels souvenirs gardez-vous de cette soirée ?

Ni gâchis, ni tristesse. C'est depuis ce jour-là que je me suis mis Noël Le Graet à dos ! Il faut savoir, qu'à cette époque, nous n'étions plus payé de puis 3 mois. Comme j'étais la capitaine, certains joueurs venaient me voir pour me dire qu'ils avaient les banquiers qui les appellaient. Nous avions un sponsor et nous avions décidé de ne pas le mettre en avant, avant ce match si nous n'étions pas payés. Cela a crée un conflit avec Noël le Graet mais nous ne voulions pas céder. On nous a promis qu'avec le transfert de certains joueurs la somme acquise servirait à payer les salaires. Nous n'étions pas d'accord car c'étaient, encore nous, les joueurs, qui faisions les efforts ! J'étais un jeune joueur et là, j'ai pris 10 ans de maturité : il fallait gérer les copains, les gamins du centre de formation. C'était incroyable … Le Brest Armorique n'avait pas de solides fondations. Y'avait de la qualité mais c'était trop instable. Avec le recul, je me dis que ce n'était pas plus mal de repartir à zéro. Mieux valait tout détruire pour mieux reconstruire et on voit qu'aujourd'hui, le club est plus costaud et a des bases solides. En quelque sorte, je suis heureux d'avoir participé, un peu, à ce renouveau !

Cette équipe de 1990-1991 avait beaucoup de qualités et, derrière, pointaient de jeunes joueurs comme Guivarc'h, Makelele et d'autres. François Yvinec nous disait récemment qu'il a manqué 2 ou 3 années à cette équipe pour en faire un grand club. Le pensez-vous également ?

Oui, franchement ! Sans cette situation financière difficile, le club aurait pu aller très haut. Il y avait de la qualité chez les pros, mais aussi avec les éducateurs, les instructeurs du club. Cette équipe du Brest Armorique défrayait la chronique, même nationale, par la qualité de son jeu, sa fraîcheur et était même, grâce à Slavo Muslin, devenu référent quand à son jeu ! Oui, mais voilà, malgré sa passion, François Yvinec a mal calculé son coup, financièrement parlant. Un club de foot doit se gérer comme une entreprise avec un bilan et là, ça a été catastrophique. Mais oui, cette équipe, avec 2 ans de plus, était au sommet. Je pense même que le Brest Armorique aurait été le FC Nantes des années 90 ! Rageant …

Vous partez, ensuite, au PSG et là, vous retrouvez nombre d'ex-brestois comme Le Guen, Lama, Colleter, Guérin ou Cloarec. Ne l'avez-vous pas vécu, un peu, comme le prolongement du Brest Armorique ?

Déjà, le « fan club David Ginola » m'a suivi au PSG, De 1992 à 1995, nous avons vécu une période remarquable avec une équipe talentueuse. Avec les anciens brestois, nous avons souvent évoqué Brest. Par exemple, entre Patrick Colleter et moi, y'avait une grande complicité sur notre côté gauche et le fait d'avoir joué à Brest, même si nous n'y étions pas ensemble, cela nous a renforcé. On évoquait nos souvenirs : j'aimais beaucoup aller à Bénodet, au Golf de l'Odet, à Audierne manger chez M. Bosser. Nous avions une relation remarquable avec un point commun : Brest !

David, si vous aviez un mot à dire aux supporter brestois ?

Breizh Atao ! Je remercie le public brestois d'avoir cru en moi, de m'avoir porté, de m'avoir accordé une 2è chance après Paris. Tous les samedis, ce public me portait. La deuxième saison, en Division 2, fut plus compliquée : pas facile, quand tu as goûté aux stades comme Marseille, Bordeaux ou Paris, d'aller à Cuiseaux-Louhans ou La Roche, même si je respecte beaucoup ces équipes ! Mais, faut nous comprendre, nous les joueurs …. En plus, la situation était délicate ! Je crois qu'à Brest, j'ai tout vécu : l'euphorie, le beau jeu, les espoirs, la D1, la D2, la chute, le dépôt de bilan. C'est un gâchis pour les supporters qui eux, ont subi cela. En Division 2, c'était dur pour moi avec un coach adverse qui disait à son joueur : « Ginola, tu le tiens, tu ne le lâches pas ! Tu le marques à la culotte. Je remercie encore ce public de m'avoir soutenu ! Qu'ils continuent à croire en leur club. Brest ne gagnera jamais une Coupe d'Europe mais il va jouer les trouble-fêtes en Ligue 1; former des jeunes car cette région est amoureuse de son club … Oui, que les supporters continuent à aller au stade, il faut que Brest reste en Ligue 1 …

Ouestfrance.fr wub.gif
Madi$kwale
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Un agent de l'aéroport de Roissy a porté plainte pour racisme contre Marco Simone. L'actuel entraîneur de Monaco l'aurait insulté en août dernier.

Les faits remontent à août dernier, mais Abid Tayef a décidé de témoigner ce jeudi, sur Cfoot. Cet agent de l'aéroport de Roissy a porté plainte pour racisme contre Marco Simone (qui n'était à l'époque pas encore le coach de l'AS Monaco) après avoir été insulté. « J’arrive avec une personne en chaise roulante (...) Je vois un enfant d’un an, un an et demi qui passe devant moi sans surveillance (..) Au moment où j’ai demandé à qui appartenait cet enfant, une personne, le papa apparemment, est sortie, j’ai dit "Monsieur faites attention à votre enfant", là il me répond en italien "Fais ton travail sale arabe de merde". Voila c’était monsieur Simone », a raconté Abid Tayef.



Kamel Chafni aproved ph34r.gif
Fred
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Ginola accidenté

David Ginola a été victime d'un accident de ski ce mardi après-midi en Haute-Savoie affirme Le Dauphiné Libéré. L'ancien joueur du Paris-SG, qui a percuté un autre skieur, souffre de multiples contusions et d'un traumatisme thoracique.

lequipe.fr
Kaionedirection
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Luccin : "J'ai eu la carrière que je méritais"

A Lausanne depuis quatre mois, Peter Luccin y a trouvé un tremplin pour rebondir après presque deux ans sans jouer. Le milieu de terrain français de 32 ans, à qui l'on prédisait un brillant avenir, reconnaît s'être un peu perdu en chemin. Mais il "ne regrette rien". Ou presque.

A 32 ans, Peter Luccin est "un homme heureux". Depuis quatre mois, il est exilé en Suisse, dans un "magnifique cadre de vie, à proximité du Lac Léman". Il a posé ses valises à Lausanne, pour "aider le club à se construire, qu'il arrête de faire le yo-yo". A mi-parcours, son équipe n'est pas totalement sortie d'affaires. Même si le dépôt de bilan du Neuchâtel Xamax et les points de pénalités infligés au FC Sion lui ont donné un matelas confortable dans la course au maintien en Superleague. Samedi, elle se mesurera au FC Bâle, l'indétrônable leader du championnat. "Si la météo le permet, corrige Luccin. Ici, les températures avoisinent les -15°C..."

De l'autre côté des Alpes, Luccin a trouvé de quoi se réchauffer. "Se refaire une santé", comme il nous l'explique au téléphone. "Quand Lausanne m'a contacté, début septembre, ça faisait presque deux ans que je n'avais plus joué au foot. J'appréhendais un peu de savoir comment mon genou allait réagir. Mais je me suis vite rassuré." Lausanne : destination étonnante, pour un ancien espoir du football français, promis à un avenir radieux. "Je n'ai pas signé pour l'argent ou pour des pseudos avantages fiscaux, prévient-il. Je n'ai pas de compte en Suisse. D'ailleurs, mon salaire est viré sur mon compte espagnol. Jouer en Suisse me permet juste de me situer." Loin de "sa famille, restée à Madrid", parce qu'il "ne voulait bouleverser la scolarité de (ses) enfants". "Ils viennent en Suisse une à deux fois par mois, relativise Luccin. Et moi, dès que j'ai quelques jours de repos, je retourne à Madrid."

"Le foot me manquait sans plus"

Le natif de Marseille s'était installé dans la capitale espagnole en 2007, lorsqu'il a signé à l'Atletico, après "trois bonnes saisons au Celta Vigo". "J'ai joué pratiquement dix ans en Espagne. Et je m'y suis régalé. Vraiment." Jusqu'à ce maudit mois de mai 2009. Luccin porte alors le maillot du Racing Santander. Face à Malaga, il se blesse, gravement. Rupture des ligaments croisés du genou droit. La guérison sera interminable. Pendant de longs mois, il est éloigné des terrains. Plutôt que de ruminer, il profite de cette parenthèse pour se ressourcer. "Je l'ai très bien vécue. J'étais entouré dans ma famille, à Madrid. Cette coupure m'a permis de rattraper un peu le temps perdu avec mes enfants. Le foot me manquait un peu. Mais sans plus."

Cette traversée du désert aurait pu l'inciter à raccrocher. "Je n'avais pas l'intention d'arrêter ma carrière. Mon agent me disait que j'avais encore pas mal de touches." Au cœur de l'été 2010, il est même tout proche de signer avec Schalke. "Mais au dernier moment, on m'a dit que le club ne laissait pas les pleins pouvoirs à Felix Magath en matière de recrutement. Ça été un petit coup dur. Tout le monde pensait que c'était fait. Moi le premier. On cherchait déjà un appartement. Je me voyais vraiment m'installer là-bas. C'est un challenge qui m'excitait. La Bundesliga, c'est le championnat de demain. Franchement, pendant une ou deux semaines, j'ai ruminé." Pour mieux "tourner la page". Sans renier son parcours, qui l'a conduit de l'AS Cannes jusqu'à Lausanne, en passant par Bordeaux, Marseille, Paris, Vigo, Madrid et Santander. "Ma carrière aurait pu être meilleure, convient-il. Mais elle aurait pu être pire aussi. Je pars du principe que j'ai eu la carrière que je méritais." Mais il concède : "Après mon départ de Marseille, je n'ai peut-être pas progressé autant qu'on l'attendait."

"L'équipe de France, c'est mon seul regret"

"Avec du recul", il "ne regrette pourtant pas" d'avoir quitté sa ville natale en 2000. Même s'il est conscient que son transfert au PSG a fait couler beaucoup d'encre. "Moi, je voulais rester. C'était inimaginable que je parte. Et puis en toute fin de mercato, les dirigeants m'ont fait comprendre que je devrais accepter l'offre de Paris. Que ce serait bien pour ma carrière. Pendant deux heures, je suis resté avec ma famille et mon agent, sans dire un mot. L'atmosphère était pesante. Tout le monde disait que je partais pour l'argent. Mais on ne me laissait pas vraiment le choix. Quand j'ai signé ma résiliation de contrat avec l'OM, c'était ultra-tendu. Des supporters m'attendaient à la sortie." Luccin rallie donc la capitale, où "Paris cherche à construire une grosse équipe". "Les premiers mois, ça marchait bien, se souvient-il. Et puis, à partir de novembre-décembre, on a connu un vrai passage à vide. Je faisais des matches de merde. Je n'étais pas content de moi. Six mois plus tard, je suis parti. Avec un sentiment d'inachevé." Direction l'Espagne, où il estime "avoir grandi". Mais où, revers de la médaille, "la France l'a oublié".

Annoncé comme un futur grand, Luccin ne portera jamais le maillot bleu. Son "seul regret". "A un moment, quand Claude Makelele a pris sa retraite et que Raymond Domenech a testé beaucoup de joueurs au milieu de terrain, je pensais vraiment avoir ma chance. Ne serait-ce qu'une fois, même en amical. Juste pour voir ce que je valais. Porter ce maillot, représenter ton pays, ça doit être tellement fort..." Luccin, international Espoirs et chez les U21, sait qu'il n'en aura jamais l'opportunité. Tant pis. Même à 32 ans, il assure "avoir les jambes pour jouer encore deux-trois saisons au plus haut niveau", "dans un championnat compétitif comme l'Espagne ou la France". "Si je sens qu'à un moment, je suis moins bien, j'aurai l'honnêteté de dire 'stop'."


Eurosport.fr
Homer
Citation
Sur le plan financier, c'est une bonne chose. Avec un propriétaire capable de mettre des millions pour attirer de grands joueurs, le PSG sera armé pour lutter en Ligue des Champions. Après, certaines choses me dérangent. La super ambiance du Parc n'existe plus, et vouloir le quitter, c'est inconcevable !

Jéröme Rothen, dans l'Equipe.
Kets
Citation
Robin Leproux nommé directeur général de M6 Publicité

L'ancien président de RTL et président du PSG, Robin Leproux, a été nommé vice-président du directoire du groupe M6 en charge des activités commerciales et du développement. Il succédera à Catherine Lenoble au poste de directeur général de M6 Publicité, filiale gérant les espaces commerciaux des chaînes et des sites du groupe M6.

L'information a été annoncée officiellement ce mardi 14 février en interne, et confirmée par un communiqué en fin de journée. A 61 ans, Catherine Lenoble, membre du directoire chargée de la publicité au sein du groupe M6, a choisi de partir à la retraite le 31 mars 2012. Elle a créé la régie il y a 25 ans et avait précédemment travaillé chez TV6 comme directrice de clientèle.

Robin Leproux avait déjà collaboré avec le groupe M6 à partir de 1992, pour y développer les activités de diversification, notamment la stratégie Internet. En 2000, il avait été nommé vice-président du directoire du groupe.


Stratégies
Asagi
Pancrate : « La montée ? J’y crois dur comme fer »

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Invité de Luis Attaque ce mardi, Fabrice Pancrate est persuadé que le FC Nantes, actuellement quatrième à six points de la troisième place, peut décrocher son billet pour la Ligue 1 à l’issue de la saison. « J’y crois dur comme fer et toute l’équipe aussi, a-t-il déclaré. Même si on est à six points du podium, il reste 16 journées. Pas mal de trucs peuvent se passer. Dans ce genre de course en tête, le plus dur, c’est de tenir. On a le beau rôle parce qu’on court derrière les leaders. On essaie de rattraper tout le monde. En Ligue 2, il y a moins de vérités qu’en Ligue 1, tout le monde peut battre tout le monde. On s’accroche. Le public revient petit à petit à La Beaujoire. Ce n’est pas évident en Ligue 2 parce que les horaires sont fixés au samedi après-midi. Les gens sont plus occupés à faire du shopping que venir au stade. Il faudrait qu’ils soient plus nombreux. »


RMC
sylvain
So Foot


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Pauleta : « Je veux que Paris soit champion »



Pedro Miguel Pauleta vit bien sa retraite dans les confins des Açores. Après le petit dej' du samedi en famille, il est déjà en forme pour parler du PSG en marge du match qui les oppose à l'OL ce soir à Gerland. Sympa, discret, direct et réaliste. L'aigle n'a pas changé.




Tu suis un petit peu la saison du PSG ?
Oui, oui, Paris traverse en ce moment une très bonne période, ça fait plaisir à voir. Ils ont une très bonne équipe avec un très bon entraîneur, je pense qu’ils ont les moyens de finir champions cette saison, ça serait mérité.

D’ailleurs si cette année Paris est champion, t’auras pas des regrets ?
Non pas du tout! Les temps changent, moi j’ai joué au PSG à une époque où ça allait un peu moins bien mais j’ai été très heureux là-bas, j’ai gagné des titres et j’ai passé des très grands moments avec les supporters que je remercie encore. Aujourd’hui ça va mieux, et je suis le premier à vouloir que Paris soit champion! Ca serait décevant si ça n'arrivait pas.

Puisque tu parles des supporters, tu penses quoi de la mesure qui a écarté les groupes de supporters historiques du Parc des Princes ?
C’est dommage...C’est dommage parce que les gens dans les virages et derrière les buts étaient les seuls à nous soutenir quoi qu’il arrive. Quand on jouait à huit-clos, on sentait bien la différence. Si le Parc est un grand stade c’est avant tout grâce à l’ambiance qu’il y a à l’intérieur et je pense que c’est dommage qu’ils ne soient plus présents à cause d’une minorité qui foutait le bordel et ne venait pas au stade pour regarder les matchs. Mais malheureusement il faut privilégier la sécurité. Il faut que tout le monde puisse venir au Parc, hommes, femmes et enfants. Et puis bon, nous à l’époque on avait peut-être plus besoin des supporters des virages que le PSG de 2012 vu l’état dans lequel on était (rires).

Il y a quand même des supporters qui ne sont carrément plus pour le PSG à cause de ça, et qui veulent le retour d’un deuxième grand club de la capitale...
Ah bon ? Je n’étais pas au courant. C’est triste d’en arriver là. Je pense que quand on est pour le Paris Saint-Germain, on le reste pour toujours. Mais je comprends que des gens soient déçus.

Plus récemment il y a eu une autre polémique à Paris quant à l’éviction de Kombouaré du poste d’entraîneur. Ta réaction ?
Antoine faisait du très bon travail depuis son arrivée, il était premier avant de partir. C’était sévère pour lui, je pense que le club aurait dû attendre encore un peu. Mais bon c’est comme ça, avec l’arrivée de nouveaux patrons et dirigeants, il y a forcément des nouvelles ambitions et de nouveaux besoins, des nouvelles attentes. Ils veulent que le PSG ait une nouvelle image, que le club soit plus attirant. C’est aussi ça le football.

Justement puisque tu évoques le fric et donc le Qatar, tu penses que c’est une bonne ou une mauvaise chose pour le club l’arrivée de tous ces pétrodollars ?
Il y a des bons et des mauvais côtés. Dans la mesure où, si l’argent apporte des résultats et permet de redonner au PSG son statut de club fort, avec des très bons joueurs et une grande équipe qui gagne des titres, ça peut-être bon. Mais cela peut mettre en péril la formation qui était en train de redevenir un point fort du club. C’est le danger quand un club est dirigé par des personnes qui sont très riches. Elles pensent qu’il ne suffit que d’acheter des joueurs pour tout gagner. Mais il ne faut pas oublier que rien ne vaut un centre de formation fort, avec des jeunes prometteurs. En plus, des jeunes, il y en à plein à Paris, c’est grand Paris.

Et sinon, tu as un petit pronostic pour le Lyon-PSG de ce soir ?
1-0 pour Paris. C’est pas très objectif parce que je veux que Paris gagne étant donné que c’est mon ancien club. Mais je pense aussi que cette année l’équipe est plus compétitive que l’OL qui est en reconstruction. J’aimerais bien que l’un de mes anciens coéquipiers marque le but de la victoire. Sakho, Armand ou Ceara...Peu importe !

Quel est ton meilleur souvenir d’un match face à l’OL ?
C’était en 2004, l’année où on se qualifie pour la ligue des champions. Le match avait lieu au Parc, c’était la 37è journée. A l’époque c’était le grand OL qui dominait le championnat en France. D’ailleurs ils se sont sacrés champion au terme de ce match mais on avait gagné sur un but que j’avais marqué en début de match. C’était une belle victoire dans la douleur.

A part ça, tu parles toujours un peu français ?
Beaucoup moins qu’avant ! Quand je parle de temps en temps aux médias français ou a des personnes françaises je fais l’effort, mais je ne parle plus aussi bien qu’avant. Déjà qu’avant c’était pas trop ça... Non mais plus sérieusement c’est vrai que j’en ai moins l’occasion puisque je vis tranquillement chez moi au Portugal.

Tu reviens à Paris de temps en temps quand même ?
Bien sûr! J’ai vécu quelques années là-bas, donc quand j’ai le temps ou quand je suis en vacances je passe dans le coin. J’adore la ville, les restos et tout...Quand je suis nostalgique, ça me fait du bien de revenir.
Oyé Sapapaya
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Come-back au Parc des Princes !
27/02/2012

Six ans après sa dernière apparition porte de Saint-Cloud, Vikash Dhorasoo est revenu au Parc le 19 février dernier. Et ce soir-là, le PSG s'est fait malmener par Montpellier. Récit.

Les Qataris feront un jour leur « coming out ». Le Qatar en mécène du PSG ? Le mien, Winamax, est sponsor du PSG. On est dimanche 19 Février j’ai décidé dans la semaine de profiter de leur loge VIP pour me rendre au Parc des Princes assister à PSG-Montpellier. The big match ! 6 ans, et oui 6 ans, sans voir les tribunes du Parc. La dernière fois, c’était pour un classico. Vous vous souvenez ? Celui joué contre les minots marseillais en 2006. 0-0, qu’on avait fait. Guy « Stache-mou » Lacombe avait eu la bonne idée de m’envoyer en tribune pour m’éviter cette humiliation ; et surtout pour me punir. Et puis, de retour de la coupe du monde, j’ai joué mon dernier match officiel de ma carrière au mois de septembre 2010 contre l’OM. Défaite 3-1. Adieu le parc. Adieu le foot professionnel…

Le dimanche matin, le jour du match, je ne suis plus sûr de vouloir retourner Porte de Saint-Cloud. J’ai un peu peur. Peur de quoi ? Je ne sais finalement pas. Evidemment, pour me faciliter la tache, j’avais eu la bonne idée de lancer dans une interview que Paris n’avait pas d’histoire. Ressorti de son contexte, c’était un peu agressif. Les tweets ont fusé, les déclarations de guerre avec. Je n’ai pas bronché. C’est donc avec beaucoup d’appréhension que j’ai pris le risque d’affronter mes anciens supporters. Vers 19h30 Mamat me rejoint. On saute dans un tacos, direction l’inconnu. Je prends soin d’en informer mes followers. Le taxi, à l’approche du stade, panique et nous lâche dans la « jungle » du 16ème, territoire inconnu depuis que je me suis installé dans le 9ème.

Buffet

« Ici c’est Paris, ici c’est Paris ». « Alors, Paris n’a pas d’histoire Vikash ? ». On tourne vite pour trouver l’entrée VIP, alors j’appelle Jean de chez Winamax : « Bon tu prends par là et puis par là…bon bref, démerde toi » . Pierre m’envoie des SMS pour qu’on prépare notre départ pour le Maroc le mardi d’après, où l’on doit diffuser « Substitute » dans deux villes impériales. Je croise un noir sous une capuche.
« Eh Vikash »
« Bonjour Monsieur »
« Mais c’est Patrick M’Boma »
« Toi aussi tu galères ? »
Je suis sur la défensive.

Et puis on trouve. Deux minutes plus tard, nous sommes enfin face au buffet. Expert des salons de tous les stades italiens, et surtout celui de San Siro, je trouve celui du Parc un peu cheap. Je décide donc de boire. J’en profite pour serrer quelques paluches. Alain Roche, Alain Cayzac, Jerome Alonzo… Quelques mecs qui me rappellent vaguement mon bref passage dans le club parisien. Maguy Nestoret, l’adjointe aux sports de la ville de Paris, me fait la visite des lieux. Le match commence enfin.

« Tu as grossi, non ? »

Mi-temps, 1-1, je croise Cayzac, mon ancien président au PSG. Je bois du vin et je recroise Cayzac, alors je rebois du vin. On me tape sur l’épaule, je me retourne, c’est Lilian Thuram.
« Alors mec, tu deviens quand président de la FFF ou ministre des sports ? »
« Je sais pas trop, j’y pense mais c’est pour plus tard… »
« Oui mais un noir président, ça peut péter non ? »
« Oui mais j’ai trop de boulot en ce moment et puis avec les gosses…Et toi ? »
« Oh tu sais, c’est pas trop mon truc de passer ma vie avec des vieux…Tu as grossi non ? »
« Ah ouais, tu trouves ? Pourtant j’ai repris le foot avec le Winamax FC et puis avec Tatane on fait des super trucs, tu devrais nous rejoindre tu sais… »

Le match reprend, je recroise Cayzac. 2-2, fin du match. Je retourne boire du vin et manger - pour la quatrième fois de la soirée -. Bazin, ex-patron du PSG, (celui qui m’a viré), traverse la pièce pour me serrer la main. Je la serre fort, fort, très fort en le regardant droit dans les yeux : « Je suis un mec poli donc je vous serre la main ». Le foot n’a pas de mémoire !

Je tweet un « ce soir, ici c’était Montellier » pour préparer mon prochain match au Parc et je saute dans un taxi direction le Mansart et son baby foot avec Canel Frichet, la DG de Winamax, Mamat et Reg… Ce soir, tard, j’ai encore gagné. N’est-ce pas Régis ?

Par Vikash Dhorasoo


http://www.sofoot.com/blogs/tatane/come-ba...ces-148804.html

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Mursik
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Quand Heinze se paie l'OM

Quand "Gaby" défend son «ami» Lucho, il le fait en taclant. «Il a donné tellement de choses à l'OM que le faire partir ainsi, par la porte de derrière... Ils ne l'ont pas fait partir comme il le méritait (...) Parfois, les personnes, les entraîneurs oublient vite ce qu'a fait un joueur. (...) Deschamps, j'espère le revoir une fois en face à face. J'ai des choses à lui dire que je n'ai pas dites quand je suis parti de l'OM.» Le défenseur argentin estime que son compatriote «méritait que l'entraîneur lui donne plus de respect, plus de choses pour qu'il se sente bien.»

Sur son propre départ, un an avant la fin de son contrat de trois saisons, Heinze exonère "DD" mais allume Jean-Claude Dassier, le prédécesseur de Vincent Labrune dans le fauteuil de président. «J'étais allé discuter avec (lui). Mais il m'a parlé d'argent, et pas de projet ni de football. Moi, je suis un joueur de foot (...) Je suis parti la tête haute, parce que je pensais que le club, et pas Deschamps, se trompait sur certaines choses. Je suis parti parce que j'ai des principes et des valeurs.»

Quand on lui fait remarquer que l'OM n'est que 8e de L1 actuellement, l'Argentin laisse percer une certaine rancoeur personnelle : «Le temps finit toujours par donner la vérité. Ils pensaient que c'était mieux que Gabriel Heinze parte pour faire une bonne saison.»


lequipe.fr
Pauleta75
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Edel : «Je ferai tout pour revenir»



Taiseux de nature, l'ex-gardien du PSG, Apoula Edel, a accepté - pour la première fois depuis son départ à l'Hapoël-Tel Aviv - de se confier en toute simplicité dans les colonnes de France Football de ce vendredi. Extraits. (Photo Presse-Sports)
Pas de rancoeur. Tout juste un regret, celui de ne plus porter les couleurs du Paris Saint-Germain, sa «deuxième famille». Pourtant, Apoula Edel, le portier parisien de 2007 à 2011, s'est vu refuser une prolongation de contrat - quasi actée - à un mois de la fin du Championnat et a dû essuyer les critiques les plus virulentes concernant ses performances. Des critiques qui font «Pschitt !» quand on l'aborde sur ce sujet. Statistiques à l'appui.

«Le PSG a gagné une Coupe de France sans que je n'encaisse le moindre but. On a gagné également le clasico au Parc des Princes, alors que cela faisait six ans que le PSG ne battait plus l'OM à domicile, rappelle très justement Apoula Edel. J'ai aussi égalé le record de matches sans prendre de but toutes compétitions confondues. Je n'ai pas commencé comme titulaire à Paris et je me suis imposé par mes performances. Ça, les gens l'ont très vite oublié.» Des arguments qui ne manqueront pas de faire mouche.

«Au niveau de la pression, je suis blindé»

Une chose est sûre, ce matraquage de reproches n'a jamais fendu l'armure de cet «amoureux du PSG» qui n'a jamais laissé paraître aucune émotion, alors qu'il vivait à la même période un drame dans sa vie personnelle. «J'ai eu le soutien de mes coéquipiers, ils ont toujours été là. Ils étaient au courant de ce que je vivais.» Et il ajoute calmement. «Ça fait partie de la vie, on apprend et on avance.»

Considéré aujourd'hui par la presse israélienne comme l'un des tous meilleurs gardiens du Championnat, Edel n'est pas contre un retour en France. Bien au contraire : «C'est mon souhait le plus cher. Je ferai tout pour revenir, c'est mon objectif. A mon poste, je pense avoir fait le plus dur, je connais la pression et je suis blindé à ce niveau.» - S.F.

FranceFootball
wil
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FOOTBALL. LIGUE 1 (27 E J).YOUNOUSSE SANKHARÉ REVIENT SUR SA RELATION AVEC MAMADOU SAKHO.
Sankharé (DFCO) : « Avec Sakho, on est l’ADN du PSG »



Formés au PSG, Sankharé (à g.) et Sakho (à d.) avaient joué l’un contre l’autre en coupe de la Ligue. Photo Philippe Bruchot
Suspendu contre Paris, Younousse Sankharé ne manquera pas de croiser Mamadou Sakho avec qui, il noue une amitié qui dépasse le cadre du football.




C’est au moment de se séparer que l’on sait de qui on est proche, ou pas. Le départ définitif de Sankharé pour Dijon l’été dernier fut en effet révélateur. « C’est même lui qui m’a conseillé de partir chercher du temps de jeu. Si j’avais été à sa place et lui à la mienne, j’aurais fait pareil », résume l’ancien Parisien.

Invité lors de l’anniversaire – très sélect – de “Captain Sakho” le 12 février dernier, Sankharé a de nouveau été de la partie lors de la fête de mariage du Parisien, il y a deux semaines. Décidément très proches, le calendrier de la saison – quatre confrontations entre Dijon et le PSG – les a rendus quasiment inséparables.

Ce n’est pas un hasard, juste la suite logique des choses, qui a commencé dix ans plus tôt. Il faut revenir à leurs premiers pas au centre de préformation du PSG, où ils ont partagé « les bons et les mauvais moments » et étudié le même BEP ‘‘compta’’. Sankharé, originaire de Pierrefitte en Seine-Saint-Denis, Sakho, fils de Barbès sont des Parisiens pur jus avec les aléas qui vont avec…

Une maturité précoce
« Quand tu jouais et qu’il y avait des mecs de Blanc-Mesnil qui te menaçaient, il fallait être fort dans sa tête. » Très jeune, Sankharé a dû prendre les choses en main. Le football est devenu une nécessité, quitte à frauder parfois le métro lorsqu’il rentrait chez lui le week-end… « Ca m’arrivait oui, mais pour aller au centre de formation », s’amuse-t-il. Avant de se reprendre : « Ce n’était pas facile tous les jours dans ma famille. Si on ne réussit pas. Qui va réussir ? Je n’avais pas le choix. »

La situation n’était pas plus confortable pour Mamadou Sakho en perdant son père à l’âge de 13 ans. Ces événements malheureux lui ont forgé un caractère unanimement reconnu. « Chacun a son vécu. Je ne pleurniche pas sur mon sort. Les épreuves m’ont donné une certaine force dont je me nourris », déclarait-il lors d’une interview à l’Equipe Mag.

Et maintenant ? Aujourd’hui, Mamadou Sakho est le patron de la charnière parisienne, le plus jeune capitaine de Ligue 1 à 17 ans et 8 mois… Rien que ça ! Une maturité que l’on retrouve aussi dans la personnalité du Dijonnais, vice-capitaine et écouté de ses coéquipiers : « On sait d’où on vient et ce qui fait qu’on est mature ».

Nés à Paris et formés à Paris, ils représentent à merveille cette équipe, même si le PSG navigue désormais sous pavillon qatari : « Moi et Mamadou, on est l’ADN du PSG ». Sakho en est devenu le symbole : « Tu vois l’emblème du PSG ? Y’a la Tour Eiffel, le berceau… Et bien, Mamadou, il est né dans ce berceau ! »

La trajectoire du Parisien pourrait l’amener aussi vers l’Euro 2012 en Ukraine avec les Bleus.

C’est tout ce que lui souhaite « l’un de ses meilleurs potes » Younousse Sankharé : « C’est dommage qu’on ne fasse pas plus confiance à des jeunes comme lui. Alors qu’à son âge, c’est le meilleur à son poste avec le Montpelliérain Yanga-Mbiwa. » Paroles de meilleur pote.


Le Bien Public
scourmy
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FOOTBALL - HONNEUR L’EX-JOUEUR DE L’ASNL ET DU PSG ENTRAÎNAIT LE CLUB MOSELLAN DEPUIS 4 ANS
ANCIEN PRO ÉCŒURÉ PAR LES ATTAQUES DE DÉLÉGUÉS IL ARRÊTE LE FOOT : « ILS ONT GAGNÉ »
Écœuré par les attaques dont il dit être la cible, miné par une nouvelle algarade avec un délégué de la Ligue, Jean-Philippe Séchet a choisi de tout plaquer : le milieu du football en même temps que le banc de Creutzwald.


Nancy. Hier soir, c’est sans leur entraîneur que les joueurs des SR Creutzwald ont fait le déplacement chez Metz APM…

Au grand dam de son président Robert Della Mea, « désolé de voir s’en aller le principal acteur de la reconstruction du club » — et d’ailleurs toujours bercé par l’espoir de « pourparlers » — Jean-Philippe Séchet a décidé, à 46 ans, de raccrocher, de « couper » avec un milieu du football avec lequel il ne veut « plus avoir affaire ». Profondément marqué, explique-t-il, par son ultime accrochage en date (dimanche dernier, lors du derby contre Sarreguemines) avec un délégué de la Ligue de Lorraine, persuadé d’être victime d’une forme d’acharnement. Explications.

JEAN-PHILIPPE SÉCHET, QUE S’EST-IL PASSÉ EXACTEMENT LE WEEK-END DERNIER ?

Cela n’a rien à voir avec le match en lui-même (NDLR : perdu 3-1 par les SR Creutzwald). Mais ça fait trois fois en deux ans que je me fais insulter par trois délégués différents.

VOUS POUVEZ PRÉCISER ?

La première fois, il me reprochait d’avoir gagné trop d’argent. La seconde, il y a six mois, c’est une déléguée qui m’a demandé si je savais lire. Et dimanche, il me dit texto : « On vous connaît Monsieur Séchet. Vous êtes un toquard, un incapable. On a des dossiers sur vous ; on va vous faire payer votre passé ! »

À QUEL PASSÉ EST-IL FAIT ICI ALLUSION SELON VOUS ? CELUI D’UN JOUEUR RUGUEUX, D’UN ANCIEN… PARISIEN ?

J’ai aussi joué dans les deux grands clubs de la région (NDLR : Au FC Metz, de 1992 à 1994, et à l’ASNL, en 1996/1997). Enfin, je n’en sais rien… Je ne comprends pas trop. Voilà quatorze ans que je ne suis plus dans le circuit du football professionnel et dix ans que je suis gérant de société (Imag’In Communication, à Vany) J’aimerais simplement connaître qui sont ces « on » dont il est question…

SOUPÇONNEZ-VOUS UN ACHARNEMENT QUI REMONTERAIT JUSQU’À LA LIGUE ?

Non, la Ligue est hors de cause. Il s’agit là de gens nourris par le foot mais qui ont horreur du football professionnel. Moi, j’ai travaillé trois ans en usine avant de réaliser, c’est vrai, une belle carrière. Ces dernières années, j’ai fait 100 km quatre fois par semaine pour servir un club amateur. Alors oui, je vous le dis : ces attaques me touchent au plus haut point…

« LONGTEMPS, J’AI FAIT L’ÉPONGE »
VOUS PENSEZ DONC PLUTÔT À UNE AVERSION QUI VISERAIT L’ANCIEN PRO ?

Je sais que pour d’autres, ce n’est pas non plus facile. Regardez José Souto (*), il a disparu de la circulation… Mais le problème, c’est que la parole d’un délégué est toujours supérieure à celle d’un éducateur. Mais le délégué, que fait-il lui, la semaine, vis-à-vis des jeunes ? Ces personnes-là sont intouchables ! Un exemple : quand j’ai réagi aux propos de l’officiel qui me reprochait d’avoir gagné trop d’argent, j’ai pris quatre matchs. Lui a continué à officier…

VOUS-MÊME, N’ESTIMEZ-VOUS RIEN AVOIR À VOUS REPROCHER ?

Si, j’ai un seul défaut : celui d’être gagneur et perfectionniste. Ce qui peut me pousser à tenir, parfois, des propos véhéments, déplacés. Mais jamais d’insultes ! Et je suis comme ça durant les matchs comme avec mes joueurs. Simplement, ça ne passe pas très bien au niveau des instances. La saison dernière, je suis quand même le seul dirigeant passé devant la commission d’éthique… sur dénonciation. Et même le seul en cinq ans. Comme s’il n’y avait que moi qui m’étais permis de critiquer l’arbitrage.

DIMANCHE, COMMENT AVEZ-VOUS RÉAGI AUX MENACES QUE VOUS DÉNONCEZ ?

J’ai répondu par des propos déplacés, c’est vrai, je l’assume (NDLR : « Vous êtes un charlot, un parasite du foot »). Mais doit-on toujours courber l’échine tout le temps ? De toute façon, j’ai baissé les bras. Longtemps, j’ai fait l’éponge. Aujourd’hui, je ne peux plus rien absorber. J’en ai ras-le-bol.

VOTRE DÉCISION DE « COUPER » AVEC LE FOOTBALL EST DONC DÉFINITIVE ?

Après le match de dimanche, je n’ai pas dormi durant deux nuits. Je sais qu’il s’agit là d’une décision lourde de conséquences. Mais j’ai fait le tour de la question : je ne veux plus rien avoir à faire avec le football. Je ne sais toujours pas qui étaient ces « on » qui voulaient me faire payer mon passé. Mais ils ont gagné ! Dorénavant, j’irai à la pêche. Au moins, je ne risque pas de me faire insulter par les poissons…

PROPOS RECUEILLIS PAR FRANÇOIS VADOT

(*) L’ancien milieu offensif de Metz, Strasbourg ou du Stade Lavallois, a entraîné Thionville durant huit saisons (de 1992 à 2000). Lassé par le football et les fonctions de coach, José Souto travaille aujourd’hui dans la rénovation de bâtiments. À Metz.
Kaionedirection
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Jean-Pierre Adams, 30 ans dans le coma



Il y a trente ans, le 17 mars 1982, l'ex-international français Jean-Pierre Adams tombait dans le coma suite à une erreur médicale. Il ne s'est depuis jamais réveillé.

Avec Marius Trésor, il formait la garde noire. Une expression aux relents colonialistes, mais imageant parfaitement la sécurité que les deux hommes apportaient à l'Equipe de France. Jusque ses 22 ans, Jean-Pierre Adams évoluait pourtant au poste d'avant-centre. Repéré par Kader Firoud, l'entraîneur du Nîmes Olympique, il rejoint les Crocodiles en 1970. Le franco-sénégalais venait de remporter la finale du championnat de France amateur avec l'Entente Fontainebleau. Envoyé en DH dans un premier temps, Adams s'impose rapidement au sein de l'entre-jeu gardois. Sa progression est telle qu'il est appelé en Equipe de France dès 1972. Il dispute son premier match international lors d'un tournoi organisé à Rio, que les Bleus débutent en affrontant une sélection continentale, l'Afrique.

L'Afrique, Jean-Pierre Adams la quitte en 1958. Il a alors dix ans. Sa grand-mère, qui l'a élevé, cède à un appel mystique et l'inscrit dans un établissement scolaire religieux à … Montargis. L'aïeul repart à Dakar, et l'enfant seul est finalement recueilli par un couple de retraités d'un village environnant. Au terme de ses études, Adams travaille chez un fabriquant de produits de caoutchouc, et écume les clubs du Loiret, sans se fixer nulle part. La première étape de son ascension vers le professionnalisme se produira quand son ami, Beudot, le rabat vers l'Entente Fontainebleau. Adams s'y imposera, mais il perd son ami dans un accident de voiture, dont lui ressort indemne. Premier grand drame de son existence.

Le début de la fin au PSG

Athlétique, volontaire, mais frustre techniquement, Adams va apprendre sur le tas une fois intégré à l'effectif du Nîmes Olympique. Brillant élève, il est transféré en 1973 vers l'OGC Nice, un cador de l'époque. Au fur et à mesure que sa carrière progresse, le franco-sénégalais recule sur le terrain. Il finit par se fixer dans l'axe de la défense. Sa carrière au très haut niveau ne s'éternise cependant pas. En 1976, il connaît sa dernière sélection en Bleu. Le changement de sélectionneur et le choix d'Adams de s'engager avec le PSG en 1977 vont avoir raison de sa carrière internationale. Club flambant neuf et ambitieux, le PSG va cumuler ennuis sportifs et en coulisses (scandale de la double billetterie), lors des deux saisons qu'honorent le stoppeur.

Au final, Adams a toujours considérée sa carrière professionnelle comme une sorte d'heureux accident. Il la savourait au quotidien, et une fois le festin touchant à sa fin ne s'est pas attardé à table. En 1981, une rencontre entre anciens du PSG et Auxerre fait office de jubilé du stoppeur. La célébration se déroule à Chalon-sur-Saône, où le défenseur tape encore le cuir en DH. A Chalon, Adams ouvre un magasin de sport. Ce père de deux enfants vient d'entamer une vie d'heureux provincial, quand une rupture du tendon le contraint à passer sur le billard. «Tout va bien, je suis en pleine forme. C'est à 11H que je vais être opéré. Pense à moi quand même, mais vient me chercher dans huit jours, et n'oublie pas alors, une paire de béquille !». Ce sont les derniers mots de Jean-Pierre Adams, prononcés le 17 mars 1982 avant d'entrer en salle d'opération, et tirés de la biographie que lui a consacré Doris Rognon. L'ex-binôme de Marius Trésor ne se réveillera jamais, victime d'une terrible erreur de l'anesthésiste. Depuis, sa femme, Bernadette, veille sur lui à Rodilhan, près de Nîmes. Des stades, gymnases portent son nom, comme s'il s'agissait d'un défunt. Jean-Pierre Adams a 64 ans.


Sofoot.fr
Homer
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Fournier débarqué

La défaite de l'AJA samedi contre Evian-TG (0-2) a été fatale à Laurent Fournier. Ce dernier a été limogé. «Nous venons de le décider», nous a expliqué ce dimanche matin Gérard Bourgoin, le président d'Auxerre à l'issue d'une réunion de crise. Le nom de son successeur n'a pas encore été dévoilé.

Varino
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Ginola débouté

LE 7 MARS DERNIER, David Ginola (45 ans) et Gérard Houllier (64 ans) s’étaient affrontés devant le tribunal correctionnel de Toulon. Le premier (17 sélections, 3 buts) poursuivait le second pour complicité d’injure publique et diffamation à la suite des propos qu’il avait tenus dans un livre sorti l’an dernier, Secrets de coaches. Après avoir déjà reproché à l’ancien milieu offensif d’avoir perdu le ballon qui amena au but de Kostadinov lors de France-bulgarie (1-2, le 17 novembre 1993) et priva les Bleus de la Coupe du monde 1994, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France avait employé dans cet ouvrage le terme de « salaud », au sujet de Ginola, qu’il voulait « dégager » de l’équipe à l’époque. Hier, le tribunal varois a rendu sa décision, mais sans émettre de jugement sur le fond. Il a débouté Ginola sur un plan juridique pour cause d’irrégularités dans la citation, donnant raison à la défense, qui s’était interrogée sur les fondements de la double qualification retenue (injure et diffamation). Néanmoins, Houllier n’a pas obtenu les 10 000 euros de dommages et intérêts qu’il réclamait, notamment pour procédure abusive. « Ça fait 0-0, estime Me Guidicelli, l’avocat de Ginola. Houllier s’en sort miraculeusement. Les deux parties sont renvoyées dos à dos pour une erreur de droit dans la citation alors que la jurisprudence était favorable… Je suis assez surpris, ils n’en ont pas tenu compte. Néanmoins, il fallait marquer le coup, et j’espère désormais que Houllier s’abstiendra de tels propos. Je ne pense pas qu’on fasse appel. » – J. Ri.

L'Equipe
parcdesprinces
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Shanghai : Anelka promu entraîneur !

Les tribulations de Nicolas Anelka en Chine n’ont pas fini de rebondir. Nouvel épisode du folklorique séjour de l’ancien international à Shanghai : le voilà promu entraîneur en remplacement de Jean Tigana, limogé. Anelka, 33 ans, qui a marqué son deuxième but de la saison en cinq matchs, lors du nul contre Hangzhou Greentown (1-1) ce week-end, restera néanmoins joueur. Ainsi en a décidé Zhu Jun, le détonant PDG du Shangai Shenhua, mécontent des résultats de son équipe : 11e sur seize dans le championnat chinois.

Exit Jean Tigana donc, 56 ans, arrivé en décembre pour mener le club au titre. Le technicien, qui avait démissionné de Bordeaux à la fin de la saison 2010, aura à peine entamé son contrat d’une saison. L’aventure s’est terminée au bout de cinq matchs seulement. Son staff est débarqué avec lui, notamment son adjoint Baptiste Gentili. Nicolas Anelka, star embauchée rubis sur l’ongle (230 000 € par semaine) en décembre pour deux saisons, aura pour mission de mener de front, au moins provisoirement, sa carrière de joueur et celle toute nouvelle d’entraîneur.

L’arrivée de Drogba ne semble plus d’actualité
Cette expérience dorée sous les lumières de la Perle de l’Orient, cité aux dimensions titanesques (23 millions d’habitants), est due surtout aux extravagances du patron, quadra ayant fait fortune dans les jeux vidéo, qui voulait bâtir une citadelle imprenable à coups de millions en attirant toutes les stars possibles. Le nom de Didier Drogba revenait souvent dans les gazettes locales, mais il semble qu’aujourd’hui son arrivée dans ce chaudron fumeux ne soit plus d’actualité. Zhu Jun, actionnaire à moins de 30% des parts (quatre entreprises publiques possèdent 70% des actions), qui a investi 600 millions de yuans (71 M€), a même laissé entendre qu’il voulait jeter l’éponge. Coup de bluff? Quelques tribulations de plus en perspective…

Le club confirme la promotion d'Anelka mais nie le licenciement de Tigana
Un représentant du club de Shangai a confirmé jeudi la promotion de Nicolas Anelka. Cette source anonyme citée par l'AFP nie en revanche le licenciement de Jean Tigana. Selon le responsable du Shangai Shenhua, seuls les trois entraîneurs adjoints ont été évincés mais l'ancien entraîneur de Bordeaux resterait en place au côté de Nicolas Anelka.

Le Parisien
Biz Markie
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Fin de saison pour Arteta
Touché dès la 10e minute de jeu lors de la défaite d'Arsenal contre wigan (1-2), Mikel Arteta ne jouera plus de la saison. Le milieu espagnol de 30 ans a été victime d'une lésion aux ligaments de la cheville. Wilshere à l'infirmerie, Diaby en phase de reprise et Benayoun non sélectionnable face à Chelsea, Arsène Wenger devrait faire confiance à Ramsey pour remplacer l'ancien Parisien. Rosicky, Oxlade-chamberlain et Song devraient accompagner le Gallois dans l'entrejeu.


lequipe.fr
remix
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Kombouaré dit non à Canal +


Kombouaré dit non à Canal +

L'ancien entraineur du PSG, Antoine Kombouaré, licencié en décembre dernier, a refusé l'offre de Canal +, qui lui proposait un poste de consultant jusqu'à la fin de cette saison, indique Le Parisien.

Le technicien Kanak qui espère trouver un club cet été, pourrait revenir vers la chaine cryptée, et reconsidérer l'offre si il ne trouve pas d'équipe à diriger pour la saison prochaine.

Sait-on jamais, le Paris-Saint-Germain pourrait de nouveau avoir besoin de ses services...


Sofoot
Biz Markie
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Rothen va rester

Jérôme Rothen a affirmé lundi qu'il souhaitait continuer l'aventure avec Bastia, quasiment assuré de l'accession en Ligue 1 après sa victoire contre Châteauroux (2-1) lors de la 33e journée de L2. «Je n'ai pas vécu tout ça pour quitter le navire», a déclaré l'ancien attaquant reconverti en milieu de terrain. «Je n'ai pas envie de lâcher à l'étage supérieur. [...] Si ce retour en L1 peut redonner le sourire aux familles qui ont tant souffert... C'est un moment tellement fort. 20 ans après [le drame de Furiani, ndlr], c'est beaucoup d'émotion, ce sont des choses à jamais gravées dans ma mémoire».

Avec AFP


lequipe.fr
ZéroQuatorze
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Mickaël Landreau «braqué» par son voisin

Le gardien de but de l’équipe de football de Lille et ancien portier du PSG, Mickaël Landreau, a connu une drôle de mésaventure, jeudi, vers 19h30, alors qu’il regagnait son domicile à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Le joueur de 32 ans a eu maille à partir avec un de ses voisins, visiblement très remonté. Ce dernier, âgé de 62 ans, a tenté de suivre l’épouse du gardien de but alors qu’elle rentrait chez elle, après un banal différend de voisinage.

Elle est parvenue à l’empêcher de pénétrer dans l’enceinte de sa propriété avant d’appeler son mari. Une fois de retour à son domicile, Mickaël Landreau est parti demander des explications à son voisin. Le ton est monté. « Le voisin a alors sorti une arme de poing qu’il portait sur lui avant de menacer Mickaël Landreau, relate une source proche de l’affaire. Des policiers qui passaient à proximité ont aussitôt désarmé l’agresseur, avocat de profession. Il a été conduit au commissariat pour être placé en garde à vue. » La femme du joueur a déposé plainte, hier. L’arme brandie par l’auteur des faits — un pistolet de collection à poudre noire — a été saisie par la police.

Le Parisien.fr
Madi$kwale
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Bastia : Rothen savoure le titre de champion


Le milieu de terrain de Bastia, Jérôme Rothen est heureux de voir que le travail de tous les joueurs du club corse soit récompensé par une montée en Ligue 1. Une élite que l'ancien parisien retrouve après l'avoir quittée en 2010.

« Je pense que l’on mérite notre titre. On a beaucoup travaillé cette saison, sur la même dynamique que l’année dernière. On a réussi à faire abstraction de toute cette pression parce que la Ligue 2 n’était pas facile cette année, a déclaré Jérôme Rothen après l’obtention du titre de champion de Ligue par Bastia. L’ancien parisien est ravi de pouvoir retrouver l’élite l’année prochaine avec un nouveau club : « Chaque aventure a son histoire et celle-là, elle est fabuleuse. »
Biz Markie
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Foot - Trophées UNFP :
L'ensemble des nommés


Meilleur joueur L2
Romain Alessandrini (Clermont), Kamel Ghilas (Reims), Ryan Mendès (Le Havre), Jérôme Rothen (Bastia).


lequipe.fr
Homer
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Arsenal veut Sessegnon

Arrivé à Sunderland en janvier 2011, Stéphane Sessegnon (28 ans) pourrait bien ne pas y rester très longtemps malgré un contrat qui court jusqu'en 2014. Selon nos informations, l'ancien Parisien aurait tapé dans l'oeil d'Arsenal où Arsène Wenger souhaiterait en faire sa recrue phare à l'intersaison. Mais acheté pour 7 millions d'euros (+1 millions en bonus) au PSG, le milieu offensif international béninois en vaut aujourd'hui beaucoup plus après une saison très réussie avec les Black Cats (7 buts notamment). Ses dirigeants réclameraient en effet la somme de 22 millions d'euros pour accepter de s'en séparer.

Homer
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Kombouaré «J'aimerais que le PSG soit champion»
L'ancien entraîneur du PSG a participé ce jeudi à la 19e édition du Trophée Sport Passion au golf de Feucherolles., avec notamment Alain Roche rolleyes.gif, le responsable de la cellule recrutement parisien. L’occasion pour Antoine Kombouaré de revoir ses anciens joueurs Christophe Jallet et Nicolas Douchez mais aussi de répondre aux questions du Parisien.
fr.

Comment allez-vous depuis votre départ du PSG en décembre dernier?
Antoine Kombouaré. Je vais très bien. Je suis parti près de deux mois en Nouvelle-Calédonie. J'ai revu ma famille et je suis allé pêcher ou jouer au golf (sourire). J'ai aussi passé beaucoup de temps avec les miens sur l'Ile des Pins. Ces derniers temps, ils me voyaient de loin ou au travers du petit écran. Ca m'a fait beaucoup de bien. Et maintenant je suis disposé à écouter les propositions que je vais recevoir car je suis prêt à reprendre du service dans un club pour la saison prochaine.

Avez-vous déjà reçu des offres?
Oui, de plusieurs clubs mais je ne souhaite pas trop en parler. J'ai la chance d'être sollicité et je suis prêt à entraîner.

Le PSG, occupe-t-il toujours une place dans votre emploi du temps?
J'ai tourné la page mais je reste un supporteur assidu du club. Je suis son actualité et, depuis que je suis revenu de Nouvelle-Calédonie, j'ai regardé deux matchs à la télévision. Je lui souhaite le meilleur pour l'avenir. J'aimerais que le PSG soit champion car il y a encore un espoir.

Vous avez pu discuter avec vos anciens joueurs Jallet et Douchez. Comment se sont passés les retrouvailles?
J'étais très heureux de les retrouver. Ca m'a fait plaisir de les revoir et je pense que c'était réciproque. Je les ai encouragés pour les derniers matchs, ils peuvent faire un grand coup et finir champions.

Homer
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Fournier avec Anelka ?

Sans club depuis son licenciement d'Auxerre il y a un mois, Laurent Fournier serait sur le point de rebondir. Selon nos informations, l'ancien technicien strasbourgeois pourrait très certainement rejoindre la Chine et le Shanghaï Shenhua, club de Nicolas Anelka.

France Football
Parisian
Citation
Foot - L1 :
Kombouaré : «J'ai franchi un palier»


Antoine Kombouare veut entraîner de nouveau, au plus vite et si possible par n'importe qui. Il ne s'en cache pas : «Je me sens capable de diriger des grands clubs.»

Limogé cet hiver du PSG, Antoine Kombouaré est de nouveau prêt à entraîner. Ce n'est pas la première fois qu'il lance un appel du pied, mais la saison étant bientôt terminée et la prochaine arrivant très vite, l'ex-coach parisien veut être sûr que son message sera entendu. Alors il le crie sur tous les toits : oui, il «a envie» d'être sur un banc à la reprise, répète-t-il mardi dans France Football. «J'aime le quotidien. Construire, gérer un effectif, mettre des stratégies en places. (...) Je me sens costaud depuis mes débuts à Strasbourg, en Ligue 1. J'ai vécu des expériences très différentes et à chaque fois, j'ai franchi un palier, explique celui qui avait laissé le PSG en décembre à la première place du Championnat. Je me sens fort, insiste le Kanak. J'ai confiance en moi, en mon travail, en mon staff. Je me sens capable de diriger des grands clubs».
Un intérêt de Rennes ?
Si Le Parisien évoque mardi un intérêt de Rennes en cas de départ d'Antonetti, pour l'OM par exemple, Kombouaré se refuse pour l'instant à dévoiler le moindre nom pour son éventuelle future destination. Mais a-t-il déjà été contacté au moins ? «Oui, répond-il. Mais il y a l'effet inverse aussi. Des clubs moins importants n'osent plus m'appeler car ils pensent que ça ne m'intéressera pas». Or pour l'instant, il ne semble fermé à aucune proposition.
Il n'en veut pas à Leonardo
Également interrogé par France Football sur ses relations avec Leonardo, le directeur sportif du PSG responsable de son départ, Antoine Kombouré se montre catégorique. Il ne lui en veut «pas du tout». «J'ai de nombreux proches qui lui en veulent, mais là, c'est l'affectif qui parle. Moi, je n'avais que des relations professionnelles avec lui. Il était dans son rôle de dirigeant, il voulait faire évoluer le club rapidement en faisant venir un entraîneur renommé, qui a gagné la Ligue des champions, et qui, de surcroît, est son ami. Il a fait son métier et je respecte sa décision. Je n'étais pas d'accord et je ne le serai jamais. Moi, je voulais continuer. Je n'ai jamais baisser les bras. Je voulais leur montrer que j'étais un entraîneur compétent, que j'étais capable d'avoir des résultat et de gérer un effectif.»


lequipe.fr
Homer
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Rothen, un an après
Le 26 mai 2011, Jérôme Rothen s'engageait avec le SC Bastia après huit mois passés au chômage. Ce vendredi 18 mai 2012, il mettra un point final à une saison couronnée de succès, collectif et personnel.


«C'est le scenario idéal, mais ce n'était pas gagné.» Il y a un an, le 26 mai 2011 plus précisément, Jérôme Rothen s'engageait pour deux saisons (plus une en option) avec Bastia, fraîchement promu en Ligue 2. Un pari osé pour ce pur Parisien qui sortait de huit mois de chômage après la résiliation de son contrat au PSG, mais aussi pour le Sporting, qui souhaitait se refaire doucement un nom dans le paysage footballistique français. C'est finalement avec éclat que Rothen et son club sont revenus sur le devant de la scène. Le SCB a été sacré champion de Ligue 2, retrouvant l'élite après sept saisons de purgatoire, alors que son milieu de terrain a été élu joueur de l'année par ses pairs et s'apprête à remporter l'Etoile d'Or France Football, avec une moyenne de 6,33 à l'aube de la 38e journée, ce vendredi à Istres (20h30).

«Si j'étais venu pour prendre le soleil et me la couler douce, je pense qu'ils me l'auraient mis dans la tête», confiant Jérôme Rothen à FF il y a quelques semaines. Heureusement, il est venu pour tout sauf ça. «Je me suis bien préparé l'année dernière, même si ça a été dur tout seul, nous a-t-il expliqué après la cérémonie des Trophées UNFP. Je suis arrivé dans un groupe fantastique, qui a su faire en sorte que je m'adapte au plus vite et que je sois performant d'entrée. Les qualités, je les avais, il fallait que je les remette en forme et au plus haut niveau.» S'il n'a évidemment plus ses jambes de vingt ans, Rothen, placé au coeur du jeu par Frédéric Hantz, n'a rien perdu de sa vision du jeu et de sa combativité. Comme lui, ses statistiques ont retrouvé une seconde jeunesse, avec quatre buts et sept passes décisives.

«En L1, je n'ai pas envie de jouer la 17e place»

Aujourd'hui, Rothen se montre plus philosophe que revanchard au moment d'évoquer ce retour d'enfer : «J'ai vécu des choses extraordinaires, que jamais je n'aurais pensé atteindre. Il y a eu une période de moins bien, et maintenant je suis sur le dessus de la vague. Il faut y rester le plus longtemps possible, parce que les années passent.» Le numéro 25 bastiais estime cependant que «des saisons comme ça, (il peut) encore en faire une dizaine ! Tu ne vieillis pas, au contraire tu rajeunis...» Privé de vestiaire et de compétition durant près d'un an, il savoure. «Ce qui m'avait le plus manqué, c'est le collectif, les ambiances de groupe, l'adrénaline que tu as quand tu gagnes un match ou que tu le prépares. Quand il y a eu des moments durs dans la saison, le fait d'avoir passé huit mois au chômage m'a permis de relativiser et de me dire que c'est une réelle chance de vivre une saison comme celle-là.»

S'il admet qu'il est encore «difficile de se projeter sur la saison prochaine alors que celle-ci n'est pas encore finie», Jérôme Rothen ne cache pas qu'il a «vraiment hâte d'être au 11 août», date de la reprise de la Ligue 1. Histoire de prouver une fois de plus qu'il est toujours au niveau : «Les qualités technique, je les ai. Après, ce qui fait avancer, c'est le physique et le mental. J'avais une faim énorme en début de saison pour me remettre au niveau et apporter un plus à cette équipe. C'est fait, donc ce sera la même chose l'année prochaine parce que je vais retrouver la Ligue 1. Elle me manquait.» Et pas question d'y faire de la figuration. «L'objectif principal sera de se maintenir. Après, moi je reste ambitieux, je n'ai pas envie de jouer la 17e place.» Rendez-vous dans un an ?

France Football
Beuzech
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C.Rodriguez quitte Porto

Auteur de seulement dix matches avec Porto en Championnat cette saison, Cristian Rodriguez quitte le club avec qui il se trouvait en fin de contrat. Le milieu offensif international uruguayen passé par le PSG a bien reçu une proposition pour prolonger son bail mais «trop tard» affirme-t-il à O Jogo. Agé de 26 ans, celui qui dit avoir payé un différend avec Joao Moutinho, cherche donc un nouveau club.


léquipe.fr


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La Ligue 1 courtise Charbonnier

Gaëtan Charbonnier, auteur de 16 buts cette saison avec Angers (12 en L2, 3 en Coupe de France et un en Coupe de la Ligue), figure sur les tablettes de plusieurs clubs de l'élite. L'attaquant de 23 ans (photo Presse-Sports), sous contrat avec le SCO jusqu'en juin 2013, a l'embarras du choix en Ligue 1 : Montpellier, l'AS Saint-Etienne, et le FC Sochaux-Montbéliard, notamment, sont intéressés par le profil du numéro dix angevin. - T.S.


Francefootball.fr
Oni
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Mboma jubile

Patrick Mboma organise son jubilé en ce moment à Yaoundé (Cameroun). A 41 ans, il est passé par la France, l'Italie, le Japon, l'Angleterre et même la Libye... L'attaquant, qui a arrêté en 2005, revient pour l'occasion sur sa riche carrière.

Mon plus beau but
« C'était lors d'un match exceptionnel entre la France, championne du monde et d'Europe en titre, contre le Cameroun, champion d'Afrique et olympique (1-1). L'hymne avait été chanté comme si on était à Yaoundé ! Pour moi, c'était l'affiche impossible de ma jeunesse. Et nous y sommes dans ce stade de France, le bruit ... Womé fait une touche, Foé et Desailly ratent la balle, Petit est derrière moi. La balle rebondit et je déclenche un retourné en lucarne. Sur le coup, je fais preuve de spontanéité et d'adresse. Mais j'ai un peu de chance aussi...»

Mon meilleur équipier
« Mister George (Weah). Au moment où j'arrive au PSG, je suis un concurrent d'attaque, je me prends à rêver d'une grande carrière, à rêver de lui chiper sa place... Luis (Fernandez) est entraîneur, je suis ambitieux mais j'ai vite compris qu'il fallait mieux l'avoir comme modèle que comme adversaire potentiel ! ça ne m'a pas empêché pas d'avancer mais il est parti en Italie, il a été Ballon d'or, il n'y avait rien à dire, ni à faire. »

Mon moment le plus dur
« La mort de Marc-Vivien Foé. J'étais au Japon, j'ai vu à la télé le match entre le Cameroun et la Colombie. Je m'endors sur la qualification. Puis coup de fil dans la nuit, le choc. (...) Le seul point positif, si je peux dire, c'est que je me suis rapproché de sa famille, nous sommes très unis maintenant. Les témoignages entendus après la mort de Marco m'ont montré l'immensité de sa personne. Je ne le connaissais finalement pas vraiment bien avant car il était assez secret. »

Mon plus beau souvenir
« Notre victoire aux Jeux olympiques de Sydney en 2000. Nous avions logé deux jours au village. Je revois Gebreselassie, les basketteurs français... A côté de nous, il y avait des sauteurs en hauteur cubains. Nous étions simplement reconnaissables grâce à nos survet' marqués Cameroun dans le dos. Les JO, c'est un autre monde. On se sent petit, humble... Quand tu vas te servir à la cantine, tu fais la queue comme tout le monde. Il y a un esprit, une humanité que le foot ne peut pas te donner. C'est une parenthèse magique. Il y a une fraternité que je n'ai jamais vue ailleurs. »

Le Japon, soleil levant
« Le Japon m'a relancé (il y est allé en 1997 à Gamba Osaka). J'ai appris l'acceptation de la différence. En France, c'était assez cosmopolite, je suis arrivé dans un environnement avec des règles et des modes de pensée très différents. Je ne comprenais pas tout. Mais j'ai su m'adapter. Je n'ai pas fait l'inverse. Je me suis rendu compte alors que je n'étais pas un envahisseur mais quelqu'un qui savait se fondre dans un moule. Sans ce départ, je n'aurais pas fait ensuite ma carrière sportive.»

Lions indomptables, à la vie à la mort
« C'est tout pour moi. C'est la raison pour laquelle j'organise mon jubilé à Yaoundé. J'y ai tout connu, je m'y suis fait des amis, j'ai obtenu de la crédibilité, des titres... Quand vous enfilez ce maillot, ce n'est plus l'argent, mais le drapeau, la famille, le coeur. On représentait notre nation. J'aurai simplement un regret : la Coupe du monde 2002. Nous avons revendiqué pour des primes et ça nous a contraint à rester bloqué à Paris plus de 3 jours. Au départ, c'était de la faute des dirigeants mais on n'a pas su, aussi en contre-partie, fédérer. On a donné le bâton pour se faire battre. On a bousillé notre Coupe du monde. »

Mon équipe type de mes équipiers
Buffon - Thuram, Cannavaro, Song, Womé - Bravo, Foé, Lauren - Eto'o, Mboma, Weah. Entraîneurs : Pierre Lechantre (Cameroun) et Ventura (Cagliari).

Hervé PENOT

lequipe.fr
Homer
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Dehu prochain coach de Tarbes ?

L'ex-joueur de l'OM et du PSG Frédéric Dehu pourrait endosser le costume de coach dans les prochaines semaines. A la recherche d'un nouvel entraîneur pour remplacer le probable démissionnaire Laurent Strzelczak, le club de Tarbes a récemment contacté l'ancien défenseur. «J'ai rencontré une dizaine d'entraîneurs dont Frédéric Déhu, a reconnu le président Jean-Michel Nérin dans la Dépêche du Midi. J'ai reçu une cinquantaine de curriculum vitae, pour l'instant, rien n'est officiel».

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Guy Lacombe vers Brest ?

A la recherche de son nouvel entraîneur, Brest serait actuellement en discussions avec Guy Lacombe et Philippe Montanier, rapporte le Parisien. L'ancien coach du PSG partirait avec une longueur d'avance car il aurait les faveurs du directeur sportif Corentin Martins. L'ancien sélectionneur des Bleus Jacques Santini complèterait quant à lui la short-lis

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Distin prolonge à Everton

Après de longs mois de négociations, Sylvain Distin a finalement prolongé son contrat avec Everton jusqu'en juin 2013. Le défenseur des Toffees, âgé de 34 ans, nous a confié son soulagement de pouvoir évoluer au moins une saison de plus dans le Championnat le plus intense du monde : «A bientôt 35 ans, c'est normal que le club fasse attention, et ça ne me pose pas de problème. Je ne cherchais pas forcément deux ans de contrat.»

«Je suis surtout heureux de pouvoir continuer à en profiter, dans un club où je me sens bien, à un super niveau contre des super joueurs, a-t-il ajouté. Je n'avais vraiment pas envie de partir. Ça a pris plus de temps que je l'aurais espéré, mais depuis le premier jour, j'ai dit que je voulais rester et les dirigeants m'ont répondu qu'il voulaient me conserver. Ça fait trois ans que je suis ici, il y a une super ambiance avec le staff et les joueurs, et je ne ressens pas le besoin de bouger. La preuve, je n'ai même pas regardé ailleurs.»

France Football
Beuzech
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Rodriguez de Porto à l'Atletico

L'ancien Parisien (2005-2007) Cristian Rodriguez s'est mis d'accord avec l'Atletico Madrid sur un contrat de quatre ans, annonce le club espagnol, lundi. En fin de contrat au FC Porto où il a évolué pendant quatre saisons, l'attaquant international uruguayen (26 ans, 47 sélections) est la première recrue des Matelassiers en vue de la saison prochaine. Surnommé "l'oignon" (parce qu'il fait pleurer les défenses !), Rodriguez est salué par le directeur sportif de l'Atletico, José Luis Pérez Caminero : «c'est un joueur très rapide, polyvalent, avec un gros caractère. Un gagnant


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Nancy pense à Sankharé

A la recherche d'un milieu de terrain susceptible de pallier le départ le Malien Bakaye Traoré, qui a signé pour trois ans à l'AC Milan, Nancy s'intéresse au milieu de terrain dijonnais Younouse Sankharé (22 ans), qui a disputé 33 matches cette saison (4 buts), et qui est lié au DFCO jusqu'au 30 juin 2014. « Il fait partie des joueurs qui peuvent remplacer Traoré », a admis Jean Fernandez, l'entraîneur de l'ASNL.


lequipe.fr
Oyé Sapapaya
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El Karkouri range les crampons

Le vétéran marocain Talal El Karkouri, a décidé de mettre un terme à sa carrière footballistique. A 36 ans, l’ancien capitaine des Lions de l’Atlas, a décidé de se convertir en entraîneur. Totalisant 53 sélections et ayant évolué au Paris Saint-Germain durant quatre ans, celui qui a porté pendant longtemps à bout de bras le Raja de Casablanca d’où il a commencé sa carrière en 1995, pense avoir le bag grounds nécessaire pour le mettre au service d’autres jeunes.

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Befa
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Hellebuyck raccroche les crampons

Après treize saisons au plus haut niveau, David Hellebuyck (33 ans), passé par Lyon (1996 à jan. 2000), Guingamp (jan. 2000 à juin 2000), Lausanne Sports (2000-01), Saint-Etienne (2001-06), le PSG (2006-07) et Nice (2007-12), a décidé de mettre un terme à sa carrière professionnelle. La raison à un genou gauche en vrac depuis près de deux ans.

«Lorsque je me suis fait opérer en décembre 2010, le chirurgien m'a prévenu que l'issue était incertaine, a expliqué, ce mercredi sur le site de l'OGCN, le désormais ex-milieu de terrain. Grâce au travail du staff, j'ai réussi à revenir (douze apparitions en L1 cette saison). Déjà une grosse victoire, même si je me savais en sursis. Et j'ai eu beau essayer plusieurs traitements, je n'ai aujourd'hui plus de ménisque, ni de cartilage. Je ressens une grosse douleur à chaque impact, au moindre changement de direction. J'ai donc décidé d'en rester là.»

Vainqueur de la Coupe Gambardella 1997 avec l'Olympique Lyonnais et sacré champion d'Europe U19 la même année avec l'équipe de France, David Hellebuyck a disputé son premier match professionnel face à Metz le 3 avril 1999 avec l'OL. La suite ? 406 matches en pro, dont 210 (17 buts) de L1, 115 (8 buts) de L2 ou encore 9 en Ligue Europa.

francefootball.fr
Biz Markie
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Flamengo suspend Ronaldinho

Ronaldinho a été suspendu par Flamengo pour ne s'être pas présenté à un rendez-vous avec son équipe, partie jouer un match amical dans le nord-est du Brésil. Si l'ancien attaquant du PSG avait reçu la permission de rendre visite à sa mère malade après la rencontre, il a non seulement raté l'entraînement de mercredi mais il n'a ensuite pas pris le vol pour Teresina ce jeudi.

Alors que la suspension de Ronaldinho n'a pas encore été officialisée par le club, l'info est venue du vice-président de Flamengo, Paulo Cesar Coutinho, lequel a déclaré à un groupe de supporters que Ronaldinho avait été écarté, cette scène ayant été filmée. C'est une mauvaise période que traverse "Ronnie", hué samedi dernier quand il a été remplacé après une erreur qui a conduit à l'égalisation de l'équipe adverse, l'Internacional (3-3). Entre le joueur fantasque et son club de Flamengo, les relations étaient déjà fraîches. Avec ce nouvel épisode, elles ne risquent pas de se réchauffer.


lequipe.fr
ZéroQuatorze
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Ronaldinho peut quitter Flamengo

Ronaldinho va pouvoir quitter Flamengo, alors que le club de Rio de Janeiro doit 40 millions de reales (16 millions d'euros) à l'attaquant, après la décision en ce sens d'un tribunal du travail. « L'athlète a obtenu que le contrat soit annulé. Le défaut de paiement en est la raison. Il y a un retard de salaire de quatre mois, ce qui est un motif valable de résiliation aux yeux de la loi », a déclaré l'avocate du joueur Gislaine Nunes, sur le site du journal Terra, précisant que Ronaldinho demande également une indemnité.

« Je ne peux pas parler de le somme, parce que je suis soumise au secret judiciaire, mais nous exigeons une somme très élevée, les millions auxquels l'athlète a droit », a précisé l'avocate dans une interview avec la chaîne SporTV. Le vice-président du Flamengo, Rafael de Piro, a confirmé qu'il avait reçu notification de la cour et a dit qu'il ferait appel de la décision. (avec AFP)

L'équipe.fr
Julio94
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Metz : Baning va signer

L'ancien milieu de terrain du PSG, Albert Baning, va s'engager à Metz (National) dans les prochaines heures. Le contrat porte sur une durée d'un an, plus une supplémentaire en cas de montée en Ligue 2.
Albert Cartier tient sa première recrue. Relégué en National, le FC Metz va officialiser la venue d’Albert Baning dans les heures qui suivent. L’ancien milieu de terrain du PSG, libre de tout contrat, doit s’engager pour une durée d’un an, plus une en cas de montée en Ligue 2. « Il était convoité par d’autres clubs, explique Dominique D’Onofrio, le directeur sportif messin au Républicain Lorrain. Mais le fait que nous lui ayons permis de s’entretenir avec le groupe du CFA voici quelques semaines ne l’a pas laissé insensible. Il a donc décidé de nous rejoindre. » Passé par la Chine, la Suisse, le PSG, Sedan, Grenoble, Strasbourg puis le Maccabi Tel Aviv, le Camerounais de 26 ans a été victime d’une pubalgie qui l’a privé d’un an et demi de compétition. « Il a rompu son contrat avec le Maccabi et il était donc libre, a ajouté D’Onofrio. Sa blessure est totalement guérie et c’est une belle opportunité d’autant qu’il possède une solide expérience. »


Football365
Homer
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Pantaloni part, Kombouaré approché

Olivier Pantaloni ne sera plus l'entraîneur de l'AC Ajaccio la saison prochaine. Le technicien a décidé de prendre du recul après deux saisons et demis sur le banc du club corse. Même s'il continuait à travailler ces derniers jours dans son bureau du Stade François Coty, Pantaloni a fait part de sa décision de ne pas poursuivre à la tête de l'ACA à son président, Alain Orsoni, au début du mois de juin.

Son départ, qui sera officialisé dans la matinée, représente une réelle surprise. En deux saisons et demie, comme entraîneur de l'ACA, Pantaloni avait d'abord réussi à maintenir le club en L2 (2008-09) avant de le faire accéder à la L1 avec le dix-septième budget de L2 (2009-10), puis de se maintenir cette saison, malgré un effectif limité. Une performance qui, il ne le cachait pas, l'avait usé mentalement. Connue depuis plusieurs semaines par ses dirigeants, la décision de Pantaloni ne laisse pas ces derniers au dépourvu. Le nom du nouvel entraîneur de l'AC Ajaccio devrait être annoncé dans les prochains jours.

Parmi les entraîneurs approchés par le club corse, on trouve Antoine Kombouaré, licencié par le PSG en décembre. Le nom d'Alain Boghossian, adjoint de Laurent Blanc, en équipe de France, a également été évoqué.

L'Equipe
Noreaga
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Sankharé, Mollo à Nancy

Le Parisien annonce dans son édition de jeudi les arrivées prochaines de Younousse Sankharé et Yohan Mollo à Nancy. Le club lorrain va débourser un million d'euros à Dijon pour le transfert du milieu formé à Paris, pour une durée de trois ans. Quant au second, prêté au mercato d'hiver par Grenade, il a vu l'ASNL lever son option d'achat. Il doit signer un contrat de quatre ans.


Lefigaro.fr
Dagoberto
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Ajaccio : Kombouaré nommé mardi ?
A la recherche d'un entraîneur suite au départ d'Olivier Pantaloni, l'AC Ajaccio va nommer un nouveau technicien mardi au plus tard. Libre de tout contrat depuis son dépatrt d'Evian-TG, Bernard Casoni est sur la liste d'Alain Orsoni. Mais, selon nos informations, Antoine Kombouaré est également bien placé. «C'est un excellent entraîneur, un type super. Je l'aime beaucoup», nous a expliqué le président de l'ACA à propos du coach kanak également libre depuis son départ du PSG fin 2011


equipe.fr
sharky
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Uruguay : coach Gallardo sacré !

L'ancien meneur de jeu du PSG et de Monaco, Marcelo Gallardo, a remporté, à 36 ans, son premier titre dans ses fonctions d'entraîneur avec le Nacional Montevideo.

Belle performance que celle de Marcelo Gallardo ! Après avoir décroché le titre de champion d'Uruguay la saison dernière en tant que joueur avec le Nacional Montevideo, l'ancien international argentin a réédité l'exploit, la nuit dernière, en tant qu'entraîneur et avec le même club. En effet, le principal club de la capitale uruguayenne s'est imposé par le plus petit des écarts (1-0) face au Defensor Sporting. Un résultat qui offre un 44e titre national au Nacional !

http://www.topmercato.com/
11G
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Charbonnier signe mardi à Montpellier

Deux ans après avoir fait signer Olivier Giroud en provenance de Tours, Montpellier s'apprête de nouveau à piocher en Ligue 2 pour se renforcer. Selon nos informations, l'arrivée de Gaëtan Charbonnier est sur le point d'aboutir.

Tous les détails de l'opération ont été réglés avec Angers et le longiligne buteur de 23 ans (1m88, 80 kilos), formé au Paris Saint-Germain, doit passer sa visite médicale mardi et signer son contrat dans la foulée. Il pourrait ensuite être présenté à la presse


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Benachour va signer à Nicosie

Quart de finaliste de la dernière Ligue des champions (élimination face au Real Madrid), l'APOEL Nicosie a annoncé avoir trouvé un accord avec Selim Benachour (30 ans). Un temps pressenti du côté de Shanghai où il aurait pu retrouver Nicolas Anelka, l'ancien Parisien va s'engager pour deux ans sous réserve de satisfaire à la visite médicale.


France Football
Beuzech
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Souleymane Bamba à Trabzon

Ancien joueur du PSG, Souleymane Bamba va découvrir la Turquie. Le défenseur central international ivoirien de 27 ans a rejoint Trabzonspor contre 930 000 euros. Ayant signé jusqu'en juin 2017, il arrive de Leicester City après être passé par Dunferlime et Hibernian.


lequipe.fr
11G
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Tottenham songe à Kombouaré

Antoine Kombouaré, approché par Ajaccio en Ligue 1, figure sur la liste établie par la direction de Tottenham, à la recherche d'un nouvel entraîneur depuis le départ d'Harry Redknapp. Si le grand favori reste le coach portugais André Villas Boas, les Spurs ont ciblé d'autres profils, dont celui du technicien kanak (photo Presse-Sports), sans club depuis son renvoi du Paris Saint-Germain le 22 décembre 2011


France Football
Beuzech
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Foot - National - PFC :
Villeneuve en conseiller

Pour la première fois depuis son départ du PSG en février 2009, Charles Villeneuve va de nouveau s'investir dans un club, même s'il n'aura «pas de rôle fonctionnel, ni de rétribution». L'ancien président du seul club de la capitale en Ligue 1 à ce jour «a accepté d'accompagner le projet» du Paris-FC, annonce-t-il mercredi dans Le Parisien.

«Mon rôle sera de conseiller le président Pierre Ferracci, (...) de fédérer autour du projet, que ce soit sur le plan sportif ou en matière de formation, et de travailler sur les relations avec les institutionnels, la presse et l'arrivée de nouveaux investisseurs», y précise-t-il. A terme, l'objectif des dirigeants franciliens et du nouvel actionnaire à hauteur de 15%, Jean-Marc Guillou, est de mener le club dans l'élite dans les six années à venir. Le "renfort" de Villeneuve s'inscrit justement dans ce sens.


lequipe.fr
parcdesprinces
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Red Bull Salzbourg : B.Mendy ciblé

En fin de contrat à Odense, le latéral droit Bernard Mendy suscite l'intérêt prononcé du Red Bull Salzbourg (L1 autrichienne).

Le Red Bull Salzbourg a exprimé son intérêt pour l’arrière droit international français Bernard Mendy (30 ans), en fin de contrat à Odense.

En France, Brest a notamment un œil sur la situation de l’ancien Parisien.

Ayevi
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PSG : Attention, Pauleta revient!
Mercato d'été 2012

Après Makelele et en attendant Maldini, c'est un autre grand ancien du football européen qui va rejoindre l'encadrement du PSG: Pedro Miguel Pauleta.
La simple évocation de son nom suffit à rallumer des étoiles dans les yeux de chaque supporteur parisien. Pedro Miguel Pauleta, c'est 110 buts avec le PSG, soit le meilleur réalisateur de l'histoire du club. Certes, Paris n'a pas vraiment brillé lorsqu'il en occupait l'attaque, ne remportant qu'une Coupe de France et une Coupe de la Ligue, mais le Portugais a laissé l'image d'un attaquant racé et d'une grande abnégation, incroyablement réaliste surtout. L'imaginer revenir au PSG est, probablement, une excellente nouvelle pour tous ceux qui portent ce club dans leur cœur.

Un adjoint par ligne

A 39 ans, l'ancien avant-centre de la Selecçao va rejoindre l'encadrement du club francilien en tant qu'entraîneur des attaquants, un peu comme Sonny Anderson à l'OL. A l'heure actuelle, c'est Claude Makelele qui est son pendant pour les milieux de terrain, alors que Paolo Maldini s'apprête à s'engager pour entraîner les défenseurs -Gilles Bourges étant, lui, dévolu à la préparation des gardiens. A l'image des grands clubs européens, le PSG aura donc un adjoint par ligne, dans le but d'améliorer encore le savoir-faire des joueurs par rapport à leur propre poste.


Francesoir.fr
Dready14
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Bernard Mendy à Brest lundi

L'ancien Parisien Bernard Mendy passera lundi prochain sa visite médicale à Brest

Bernard Mendy, en fin de contrat à Odense, sera à Brest lundi pour passer sa visite médicale. Le défenseur de 31 ans devrait s'engager dans la foulée pour deux saisons avec le club breton. L'ancien Parisien (2000-2002 puis 2003-2008), formé à Caen, était parti à Hull City en 2008. Un club qu'il a quitté en 2010 pour rejoindre le Danemark et Odense, où évolue également l'ancien Nantais Éric Djemba-Djemba. C'est la deuxième recrue pour le club de Michel Guyot, après l'ancien Sedanais Ismaël Traoré.


Lequipe.fr
doll
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Finistère Foot via le Télégrame.

Après des tests médicaux concluants, c'est un Bernard Mendy souriant qui s'est présenté cet après-midi aux médias. L'ancien latéral droit du PSG débarque avec motivation dans son nouveau club qu'il voulait "familial" : "Je suis un peu revanchard par rapport aux années parisiennes. Je veux prouver que je ne suis pas fini. J'ai joué un peu partout à Odense, latéral droit ou gauche, défenseur droit ou gauche. Je peux dépanner si il faut. Je suis content de pouvoir retrouver ma famille aussi car elle ne m'avait pas suivi à Odense. Le club me suit depuis deux ans, il y a quelques semaines j'ai discuté avec Corentin et ça s'est fait rapidement." Le joueur formé à Caen connaît déjà pas mal de Brestois : "Je connais Grougi et Lesoimier avec qui j'ai été au centre de formation à Caen. Il y a aussi Tripy ou Kantari que j'ai connu au PSG comme Raphaël Fèvre le préparateur physique. Je suis impatient de débuter avec ce groupe et d'arriver au premier match"
Le mercato brestois se poursuit toujours et les dossiers attaquant et gardien pourraient connaître leur épilogue cette semaine. La réponse de Geoffrey Dernis est elle attendue dans les prochaines heures.
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