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Holicool
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QUE DEVIENS-TU ? / JEAN-LUC SASSUS :« Je suis agent »

Football365 prend des nouvelles chaque mardi d'un ancien joueur de L1 retiré des terrains ou parti tenter sa chance à l'étranger. Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Jean-Luc Sassus, devenu agent de joueurs.

Jean-Luc Sassus, que faites-vous actuellement ?
Je suis agent de joueurs depuis quelques années. Ça se passe bien. C'est un métier intéressant. Il y a beaucoup de « margoulins », des gens qui font ça par intérêt et par ruse, mais ça peut aussi être un beau métier. On s'occupe de jeunes qu'on encourage, qu'on aide et qu'on entoure. De plus en plus, je m'occupe des jeunes parce qu'en tant qu'ancien joueur, je connais la psychologie.

Est-ce une reconversion à laquelle vous pensiez lorsque vous étiez joueur ?
Non parce que j'avais un diplôme d'ingénieur. Mais quand j'ai arrêté à 35 ans, je n'ai pas eu la force de repartir à zéro.

Comment vous êtes-vous retrouvé agent ?
J'avais commencé à entraîner en Division d'Honneur dans la région toulousaine. Ça peut surprendre mais je ne voulais pas entraîner en CFA pour faire des voyages de 1 500 kilomètres tous les quinze jours. J'ai entraîné pendant deux ans. Ensuite, j'ai coupé pendant une saison. Je suis allé à Toulouse parce que j'étais proche de Mombaerts. Et en 2001, ça s'est écroulé et ils sont descendus. En septembre, il y avait les examens d'agent et je suis passé là-dedans. Ce sont les circonstances qui ont voulu ça.

Est-ce un métier qui vous plait ?
Ce n'est pas mal parce que ça permet d'avoir du temps pour la famille. J'ai deux grands enfants d'un premier mariage et j'ai un petit dernier qui a seize mois. Je suis resté proche d'anciens joueurs que j'appréciais. Il y a aussi des jeunes joueurs qui sont supers. Je reste toujours dans le milieu du football tout en n'y étant pas.

De quels joueurs vous occupez-vous ?
Je m'occupe beaucoup des jeunes mais aussi de joueurs comme Paulo Cesar. Je l'ai fait à venir de Paris à Toulouse. Je me suis aussi occupé de Kluivert. C'est un monsieur, un autre niveau. Mais les jeunes joueurs, c'est ce qu'il y a de plus gratifiant. Ça permet aussi à l'agent d'aller le plus haut. C'est ce qui me passionne. J'avais un agent qui s'appelait Rocheteau, un mec bien qui m'a apporté plein de choses. C'est un plus d'avoir un agent qui a joué au football.

« J'ai vendu des parfums au PSG, à Bordeaux et Saint-Etienne »

Vous aviez besoin de souffler un peu après votre carrière…
Je suis parti, j'ai voyagé, j'ai joué au golf, j'ai profité des mes enfants, de mes amis, de ma famille que je n'avais pas vu pendant dix ans. Je ne me voyais pas repartir dans une entreprise à 35 ans.

Vous êtes l'un des rares footballeurs à avoir suivi des études durant votre carrière…
J'avais fait les classes prépa et une école d'ingénieur-chimiste. C'était une passion, j'aimais les études. C'était l'assurance d'avoir une vie réussie. J'aimais faire des maths de haut niveau et de la physique. Ça me plaisait. J'avais des bons potes. Je voulais avoir mon diplôme pour être à l'abri au cas où ma carrière aurait tourné court. Ça a failli être le cas parce qu'en 1989, j'ai eu une infection osseuse. Finalement, je suis reparti pour huit ans. C'était presque inespéré. Et j'ai réussi ma carrière.

N'avez-vous pas eu l'idée de monter une entreprise et de mettre vos études à profit ?
J'ai vendu des parfums à un moment donné au PSG, à Saint-Etienne, à Bordeaux… Je vais peut-être encore en vendre parce que j'ai du stock. C'est bien de faire autre chose. Maintenant, je veux me concentrer sur l'entourage des jeunes footballeurs et leur donner des conseils. Quand on est jeune, on manque de confiance. Il y a des pressions, il ne faut pas être blessé. C'est bien de pouvoir apporter quelque chose.

Vous souvenez-vous de ce passage entre les études et le monde pro ?
J'avais une année de thèse dans la recherche contre le cancer à Toulouse. Quand je suis parti à Cannes, je me suis retrouvé footballeur à 100% et ça n'a pas été évident. On a vécu de belles aventures. On est monté en Première Division en 1987 : je n'ai pas trop eu le temps de m'ennuyer et de me poser des questions. Le football s'est bien passé pour moi. Je n'ai rien fait de mes études mais j'ai quand même un bagage. J'ai bien fini ma carrière. Je me suis fait des amis qui sont aujourd'hui entraîneurs ou directeurs sportifs : Dréossi, Eric Roy, Antoine Kombouaré, Ricardo… On a des souvenirs extraordinaires. Ce sont les plus beaux moments de notre vie professionnelle. On avait 25-30 ans.

« On m'a pris pour un intello »

Quel meilleur souvenir conservez-vous de votre carrière ?
Le plus beau souvenir, ça a été Cannes. C'est là que je suis devenu un bon joueur de Ligue 1 et que je me suis imposé. Il y avait tout autour. J'avais 25 ans, il y avait le soleil, la mer et il y avait les résultats puisqu'on a été européen. Sur le plan purement sportif, c'est le PSG. On a été champion de France, on a joué des demi-finales de Coupe d'Europe. C'était grandiose. Avec Lyon, on était pas mal aussi parce qu'on avait été vice-champion de France et on avait battu la Lazio Rome. C'était le début de Lyon. Mais à Paris, il y avait de bons mecs. A ce niveau, ça a été extraordinaire.

Conservez-vous en mémoire un passage plus mitigé ?
Dans le football, j'ai eu 95% de contacts fabuleux et 5% de contacts douloureux et injustes. C'est pour ça qu'aujourd'hui, je choisis les gens que j'aime. Le fait d'avoir fait des études a eu un petit côté péjoratif. Angel Marcos (ndlr : ancien entraîneur de Nantes notamment) me disait que certains me prenaient pour un intello. Les gens qui me connaissent ne me prennent pas pour un intellectuel. Je suis quelqu'un qui déconne, je suis un bringueur, un mec qui rigole. Je suis juste un bon élève en maths. Mais il y a des gens qui ne supportaient pas ça.

Que conservez-vous de votre passage en équipe de France ? Il y avait eu un petit accrochage avec Basile Boli (ndlr : le défenseur marseillais avait accusé le défenseur parisien d'avoir dit à Laurent Fournier : « Cours pas Lolo ! C'est pas la peine de te fatiguer, les Marseillais jouent entre eux »)…C'est rien ça. Basile, je le connais, on se fait la bise ! J'ai un très bon souvenir de l'équipe de France. J'ai été retenu cinq fois, j'ai disputé deux matchs dont un contre un club qui ne comptait pas. Après, je me suis blessé. Je devais jouer un deuxième match contre la Finlande. A l'époque, il y avait une animosité entre Marseille et Paris. Basile, je le vois aujourd'hui. Je vais aux tournois qu'il organise sur la plage. Ce sont des petits détails de rien du tout. Sur un terrain, on est un peu énervé et des fois on se gueule dessus. Mais ce n'est pas méchant.


La fiche de Jean-Luc Sassus
Né le 4 octobre 1962

1979-1986 : Toulouse
1986-1992 : Cannes
1992-1994 : PSG
1994-jan 1997 : Lyon
jan 1997-1997 : Saint Etienne

Palmarès
1993 : Coupe de France
1994 : Champion de France

1 sélection en équipe de France

Football 365
HHA
Citation
Didier Domi aux Etats-Unis

L'ancien défenseur du PSG, Didier Domi, lequel était sans club depuis son départ de l'Olympiakos, a rejoint New England Revolution. Selon une information de L'Equipe, le latéral gauche de 32 ans a signé pour une saison avec le club de Major League Soccer basé à Boston.


lequipe.fr
sylvain
L'Equipe.fr

Citation
Rothen, retour à Monaco ?

Libre depuis sa rupture de contrat à l'amiable avec le PSG, Jérôme Rothen pourrait rebondir à Monaco. Selon Le Parisien de jeudi, le milieu offensif gauche est un des noms auxquels songe Laurent Banide, le nouvel entraîneur monégasque. Rothen est également en contact avec des clubs turcs, américains et grecs. Par ailleurs, Laurent Banide pourrait relancer Cédric Mongongu, convoité par Valenciennes.
romano
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Quand Pelé charge Ronaldinho...

Le transfert de Ronaldinho à Flamengo a fait couler beaucoup d'encre au Brésil. Pointé du doigt pour son infidélité, Ronaldinho doit également subir les critiques des gloires du pays, dont Pelé.

Pas vraiment réputé pour offrir des retraites dorées, le championnat brésilien a fait de gros efforts financiers pour rapatrier Ronaldinho. Rien de bien étonnant quand on a marqué la Brasileirão de son empreinte. Toutes les folies deviennent alors légitimes. Celle réalisée par Flamengo est ahurissante. Pour attirer dans ses filets le Ballon d'Or 2005, le club de Rio de Janeiro a cassé sa tirelire en lui proposant un contrat de 770 000 euros par mois ! Autant dire une fortune pour un club loin d'être reconnu pour son inépuisable richesse. A titre comparatif, Ronaldinho touche un peu moins que Messi, l'actuel meilleur joueur du monde et double détenteur du Ballon d'Or (environ 900 000 euros par mois).

Forcément, un tel salaire à trente ans passé, ça fait des envieux. Et les critiques n'ont pas tardé à fuser. Le roi Pelé ne s'est d'ailleurs pas fait prier pour commenter avec virulence le choix de son compatriote. « En réalité, Ronaldinho ne va pas jouer par professionnalisme ou pour l'équipe qu'il aime mais juste pour celle qui le paiera le plus », a-t-il déclaré dans une entrevue accordée à Globosporte. La polémique aurait pu s'arrêter à l'aspect économique. Après tout, Ronaldinho ne sera le dernier joueur à avoir eu un goût prononcé pour l'argent. Non, la véritable polémique se situe au niveau du choix du club. Courtisé par Grêmio, son club formateur, Ronnie, à la surprise générale, a refusé l'offre en signant à Flamengo, le club rival.

« S'il aimait vraiment Gremio, il y aurait joué gratuitement, poursuit Pelé. Je pense qu'il a assez d'argent pour vivre tranquillement le reste de ses jours et toute sa famille aussi. Ce n'est que mon opinion mais quand Santos a eu des problèmes économiques, j'ai renoncé à mon salaire pour aider le club et j'ai joué une saison entière gratuitement. » Une belle preuve d'amour devenue aujourd'hui irréalisable. Chez les supporters de Grêmio, la colère est perceptible. « Ronaldinho, que Dieu te pardonne parce que nous ne te pardonnerons pas », pouvait-on lire à son arrivée. L'intéressé, qui a mis un point d'honneur à passer sa première soirée en discothèque lundi à Florianopolis, a été pris à partie par son ancien public. Le retour au pays s'annonce tendu pour Ronnie « l'infidèle ».


football365.fr
Golazo
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Nîmes : Buac libre, Y.Boli à vendre

Le Nîmes Olympique souhaite se séparer cet hiver de Yannick Boli. Vladimir Buac, lui, a résilié mercredi.

L’ex joueur du PSG, Yannick Boli, qui fut un temps annoncé quand il évoluait à Paris au Real Madrid et qui a ensuite été transféré à... Nîmes n’entre pas dans les plans de Noël Tosi cette saison. Le président Jean-Louis Gazeau l’a donc placé sur la liste des joueurs transférables indique le Midi Libre.

Autre indésirable, Vladimir Buac, lui, a résilié mercredi son contrat et devrait retourner évoluer en Serbie.


ODLB (Rédaction Football365.fr)
Biz Markie
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Landreau : «On est sévère avec Edel»

Pour Mickäel Landreau, resté trois ans au PSG entre 2006 et 2009, le bon parcours des Parisiens en Championnat n'est pas une surprise. «Vu ce qu'ils font depuis le début de saison, ils méritent d'être là où ils sont» (2es derrière Lille), estime le gardien du LOSC, samedi dans Le Parisien.

En observateur particulier, l'ancien coéquipier d'Edel, tel un grand frère, porte aussi un regard attendrissant sur son ancien n°2. «A Paris, le gardien est toujours une cible privilgiée. Edel poursuit sa progression et, si le PSG a retrouvé une stabilité, c'est aussi dû à ses performances, explique le portier aux bientôt 500 matches dans l'élite. On est sévère avec lui, il ne joue en Ligue 1 que depuis un an.»

lequipe.fr
sylvain
L'Equipe.fr

Citation
Mendy vers Arles-Avignon ?

Libre de tout contrat depuis son départ de Hull l'été dernier, Bernard Mendy s'entraîne depuis le mois d'octobre avec son ancienne équipe de Caen. Un club qui ne serait pas forcément prêt à s'offrir les services de l'ancien international français (trois capes). Selon L'Equipe, Arles-Avignon conserve «un petit espoir» de faire signer Mendy, comme l'a déclaré Michel Salerno, le président du club. «Il n'y a rien de fait. Je suis dans une période de réflexion. Mais la balle est dans mon camp», a expliqué le défenseur qui aurait aussi quelques pistes à l'étranger.
Julian 83
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Tottenham Hotspur line-up moves for Gabriel Heinze and Lassana Diarra


TOTTENHAM boss Harry Redknapp is targeting Gabriel Heinze and Lassana Diarra – while also trying to offload Wilson Palacios.

Redknapp has been chasing his old Portsmouth star Diarra – now at Real Madrid – for several months and he is willing to let Honduras midfielder Palacios, 26, go to raise some funds.

Stoke boss Tony Pulis and Wolves manager Mick McCarthy are both interested, but Spurs believe Palacios is worth around £8million.

And White Hart Lane chairman Daniel Levy has promised Redknapp that money from any sale can be used to sign Diarra.

The Frenchman, 25, has been touted around the Premier League for several months, after Real boss Jose Mourinho let it be known he was surplus to requirements.

But Redknapp’s move for former Manchester United left-back Heinze, 32, has come out of the blue.

The Argentina defender has been in outstanding form for Marseille and will be out of contract in the summer.

Both Heinze and Diarra would be cup-tied for Tottenham’s Champions League campaign.

Spurs are keen to sign two full-backs, having already asked about two of Heinze’s former United team-mates, Phil Neville and Wes Brown. They were told it will cost £3m to sign Brown – and United have said there is no chance of the 31-year-old going out on loan.

Redknapp has reservations about left-back Benoit Assou-Ekotto as well as right-backs Alan Hutton and Vedran Corluka.

The People
Julio94
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Lama jubilera le 11 juin au Parc

Elu «Joueur français» de l'année 1994 par France Football, Bernard Lama va effectuer son jubilé, le samedi 11 juin prochain, au Parc des Princes, dix ans après l'arrêt de sa carrière, à Rennes, où il avait rejoint son ancien coéquipier Paul Le Guen, devenu entraîneur.

Sélectionné à 44 reprises en équipe de France, champion du monde en 1998 (même s'il n'a pas joué un match de la phase finale), le gardien guyanais a défendu les buts de Lille (1981-1982), d'Abbeville (1982-1983), Besançon (1983-1984), de Lille à nouveau (1984-1989), du FC Metz (1989-1990), de Brest (1990-1991), de Lens (1991-1992) et, surtout, du Paris Saint-Germain (1992-1997 puis 1998-2000). Entre-temps, il avait joué douze matches en Angleterre, à West Ham.

Le jubilé de Lama sera l'occasion d'un tournoi triangulaire (les matches dureront, chacun, 45 minutes) avec France 98, le PSG 95-96 et une sélection d'Outre-Mer.


Francefootball.fr
Supra92
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Kezman signe en Chine

Mateja Kezman a décidé de poursuivre sa carrière en Chine. L'ancien attaquant du Paris-SG s'est engagé ce jeudi avec South China FC, club où il retrouvera l'ancien joueur de Manchester United, Nicky Butt. «J'ai évolué toute ma carrière en Europe et j'avais besoin d'un nouveau challenge dans ma vie. L'opportunité de jouer pour South China m'excite et je sens que je vais apporter beaucoup à l'équipe», a-t-il avancé sur le site du club. La durée du contrat signé par le Serbe n'a pas été précisée.


lequipe.fr
11G
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Benachour à Maritimo

L’international tunisien Selim Benachour va de signer un contrat d’une an et demi avec Maritimo. A 29 ans, l’ex-milieu de terrain de Guimarães est de retour en Liga !
« Je viens de rencontrer les dirigeants de Maritimo. Je devrais signer un contrat d’une saison et demi, ici. Je suis super content d’être de retour au Portugal ! » Vendredi, à peine un pied à Madère, Selim Benachour confie à Blogolo ses premières impressions sur sa nouvelle destination.
Sans club depuis l’été dernier et son passage à Malaga, l’international tunisien est de retour en Liga portugaise. En 2005/06, le milieu de terrain de 29 ans avait porté – avec brio – le maillot du Vitoria de Guimarães. « Le championnat portugais est une super vitrine. Nous avons privilégié cette piste. On règle les derniers détails et Selim est très heureux », explique son agent, Alexandre Mouelhi.
Ces dernières semaines, le joueur entretenait la forme avec le Paris-SG, son club formateur. Après son passage dans le Minho, Selim était passé par la Russie (Rubin Kazan) et le Koweït (Al-Qadsia).
A Funchal, Benachour retrouvera une équipe déjà très francophone avec Dylan, Roberge, Cherrad et Baba. « C’est une bonne chose, ça va faciliter mon intégration. »


Blogolo (Ma Chaine Sport)
Golazo
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Foot - NAT - Strasbourg : Zeidler remplace Fournier

Avant même le match de 16e de finale de Coupe de France contre Evian-Thonon Gaillard (L2), samedi (20h45) à la Meinau, les jours de Laurent Fournier sont comptés. En place depuis le début de saison, l'ancien entraîneur du Paris-SG (février à décembre 2005) ne survivra pas à la défaite concédée à Cannes (0-1), la semaine dernière.

De source allemande, c'est Peter Zeidler, adjoint de Ralf Rangnick à Hoffenheim, qui le remplacera dès la semaine prochaine. Zeidler, 47 ans, est un entraîneur allemand qui parle couramment le français. Il aura pour charge de tenter de faire remonter le RC Strasbourg en Ligue 2. A vingt journées de la fin, le club alsacien compte neuf points de retard sur Cannes, le 3e du National.- J.-M. B.

Beuzech
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Fournier maintenu !

La qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe de France, samedi au détriment d'Evian (1-0), a permis à Laurent Fournier de sauver sa place sur le banc de Strasbourg. C'est ce qu'a annoncé dimanche Jean-Luc Witzel, le directeur sportif du club. «J'ai eu (le président Jafir Hilali) plus d'une heure au téléphone après la rencontre et lui ai fait valoir mes arguments qu'il a su écouter», a-t-il déclaré. Witzel était partisan du maintien de l'ancien entraîneur du PSG, et semble donc l'avoir obtenu. (avec AFP)


Sekor_92
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Auteur de son 12e but en Serie A, dimanche soir contre Cesena (2-0) avec l'AC Milan, Zlatan Ibrahimovic a tenu à mettre en avant la belle prestation de Mario Yepes. Titularisé en défense centrale à la place de Thiago Silva, aligné au milieu devant la défense pour palier la blessure à l'échauffement de Gennaro Gattuso, le défenseur colombien s'est montré à son avantage et a été crédité de la note de 7 sur 10 dans La Gazzetta dello Sport.

«Yepes a fait un grand match, il a été le meilleur joueur sur le terrain. Ça signifie qu'on a un super groupe. On a des joueurs qui ne jouent pas toujours mais qui font du bon boulot lorsqu'ils rentrent», a ainsi souligné Ibrahimovic après la rencontre. «Ses paroles signifient beaucoup pour moi. On forme un groupe uni. Ce qu'a dit Ibra à mon sujet, je le pense de tous mes coéquipiers», a commenté Yepes lundi en conférence de presse. A 35 ans, le Colombien, ancien défenseur du PSG entre 2004 et 2008, disputait dimanche son septième match en Serie A avec les Rossoneri (dont trois titularisations). Nesta blessé à l'épaule et absent trois-quatre semaines, le Colombien devrait pouvoir augmenter son temps de jeu au Milan. (Photo Presse-Sports)


Francefoot.fr
Golazo
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Foot - Transferts : Rocchi à Arles-Avignon

Le milieu de terrain Romain Rocchi est arrivé lundi en Provence. Le désormais ancien joueur de l'Hapoël Tel-Aviv (Israël) s'est engagé pour deux ans et demi avec Arles-Avignon. Faruk Hadzibegic, qui cherche toujours un attaquant, a indiqué que le défenseur Carlos Pavon « ne devrait pas quitter le club ». L'Espagnol était initialement annoncé partant. - A. B.

NeiBaF
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Ragued file en Turquie

Après un an et demi au Slavia Prague, Hocine Ragued a été transféré ce lundi en Turquie. Le milieu de terrain international tunisien s'est engagé avec Karabükspor jusqu'en juin 2012. Ragued est le septième joueur à quitter le Slavia Prague ce mois-ci. Le club tchèque doit faire face à d'importants problèmes financiers.

Jesus De Nazareth
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I HAVE A DREAM! by VIKASH DHORASOO

Adebayor a signé au grand Real Madrid et il en a rêvé. C’est en tout cas ce qu’il a dit en conférence de presse face aux journalistes espagnols, et tout ceci dans un anglais parfait.

Débarqué du Togo à Metz, il est vite parti à Monaco, un vrai rêve de gosse j’imagine. C’est bien connu. Tout le Togo est fan du club de la principauté. Assez moyen, il a réussi à partir dans le club de ses rêves : Arsenal (au Togo, on rêve aussi d’Arsenal) où il a plutôt pas mal réussi. Plus tard, il quitte les Gunners, pour Man City ( il devait rêver de millions). C’est dur de quitter le club de ses rêves !

Rooney récemment a failli partir au Real, club dont il rêvait évidemment, club surtout qui lui offrait la revalorisation que Man U lui refusait et puis, MU a finalement cédé et le beau Wayne est resté dans son club. Normal, c’est le club de ses rêves.

Payet veut rejoindre le PSG et quelque chose me dit que le club de la capitale doit être le club de ses rêves. Normal quand on s’appelle Payet !

Kaka l’an passé avait quitté le club de ses rêves, l’AC Milan pour un autre club des ses rêves : le Real Madrid. Pourtant, il a toujours promis qu’il ne quitterait jamais le Milan.

Voilà, les joueurs de foot quittent toujours le club de leurs rêves pour le club de leurs rêves.

J’ai démarré ma carrière au HAC, le club de ma ville natale. J’ai vraiment rêvé de jouer au stade Jules Deschaseaux, à la place de mes idoles de l’époque, les Bensaoula, Llorens, ou Krimau…Et un jour, c’est arrivé. J’étais fier, heureux de jouer devant ma famille, mes amis, pour ma ville.

Et puis je suis parti à Lyon. J’avoue que je n’ai pas pu dire que Lyon était le club de mes rêves. Je ne savais même pas où se situait Lyon sur la carte de France. C’était plutôt un tremplin mais ça non plus, je n’ai pas pu le dire. Alors, j’ai inventé quelque chose pour plaire aux journalistes et aux supporters du genre “C’est un rêve de jouer dans la capitale des Gaules et d’y retrouver Alain Cavéglia”. J’y ai d’abord joué 3 ans mais la dernière année a été difficile et in extremis, le 30 août, avant-dernier jour du mercato, j’ai été prêté aux Girondins de Bordeaux. J’ai toujours rêvé de jouer à Bordeaux, c’est pour ça que l’affaire s’est conclue si tard. Entre-temps, j’avais failli signer au Barca, au Milan ou à la Juve, mais je ne rêvais pas vraiment de ces clubs. Ça, c’est ce que me racontait mon agent. J’espère qu’il ne me faisait pas rêver.

J’ai tellement rêvé du club au scapulaire que cette année, il n’y avait pas de scapulaire sur le maillot et lorsque la saison s’est terminée, c’est en courant que je suis rentré à Lyon. Et oui, Lyon me manquait. L’OL était vraiment devenu le club de mes rêves.

Je suis allé au bout de mon contrat et c’est libre et en lousdé que j’ai signé au grand Milan. Et là, même si vous ne me croyez pas, j’ai ce jour là signé dans LE club de mes rêves. J’avais dans le vestiaire, en face de moi, Rui Costa, capitaine du Portugal, Cafu, le capitaine du Brésil, avec qui je démarrais l’échauffement de chaque entraînement, Maldini, capitaine de l’équipe d’italie, Chevshenko, Ballon d’or, Kaka futur Ballon… Je venais de réaliser mon rêve.

Sauf qu’à la fin de cette même saison, mon agent m’appelle et me dit que le PSG me veut. Et là, je n’ai pas pu refuser la proposition du club de mes rêves. Alors, je suis allé voir Galliani, l’administrateur délégué du Milan et je lui dis que je dois partir, que c’est dur car je dois quitter le club de mes rêves pour l’autre club de mes rêves. Galliani a d’abord refusé catégoriquement, me disant que j’étais un élément important de l’effectif milanais. Mais, plus tard, il m’a compris et m’a laissé partir lorsque le PSG a posé les millions que demandait le club lombard.

Petit gosse du Havre, le PSG représentait le club des riches, des privilégiés. On détestait ce club mais on était un peu jaloux de leurs jeunes. Alors, quand j’ai signé, ça n’a pas été très dur de dire en conf de presse que le PSG était le club de mes rêves.

L’aventure parisienne s’est plutôt mal passé. J’ai été licencié (je ne faisais pas rêver Lacombe, mon coach) et j’ai signé à Livourne, en Italie. Et là, pour le coup, ce n’était vraiment pas le club de mes rêves. Alors, j’ai résilié mon contrat et j’ai arrêté ma carrière.

Aujourd’hui il me reste 3 grands rêves à accomplir: être un jour président du HAC, voir l’Inde en finale de la Coupe du monde et gagner les WSOP de poker. J’ai toute la vie pour les réaliser…


sylvain
Sports 365
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Vasco : Ricardo nouvel entraîneur

L'ancien entraîneur de Bordeaux et de Monaco, Ricardo Gomes, s'est décidé à reprendre du service. C'est avec le club brésilien du Vasco de Gama qu'il va poursuivre sa carrière.

Alors que de nombreuses rumeurs annonçaient un éventuel retour en France de celui qui a déjà entraîné le PSG ou plus récemment Bordeaux et Monaco, Ricardo Gomes va continuer sa carrière d'entraîneur au Brésil avec le Vasco de Gama. Il a été présenté avec son adjoint, Christopher Bennett, ce mercredi, avec l'ambition de terminer dans la première partie de tableau après une onzième place l'an passé dans le championnat brésilien.

G.D (Rédaction Football365.fr)



So Foot
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Au premier match de Ronaldinho

Hier soir, le spectacle était dans les tribunes. Motivé mais pas en grande forme, R10 a livré une prestation correcte mais sans plus. Heureusement que les supporters étaient là pour mettre le feu.

Ronnie peut remercier Wanderley. Sans son but de raccroc à la 85e , la grande fête de son retour au Brésil aurait été gâchée par une drôle d’équipe au maillot orange fluo. Flamengo bat Nova Iguaçu 1-0 et la star peut quitter le terrain tout sourire, saluant longuement les 42 000 supporters en fusion qui ont rempli le stade Engenhão. A son entrée sur la pelouse en vedette américaine, quelques secondes après le reste de l’équipe, il est accueilli par un tifo géant : « Bem-vindo R10 ». Dans les tribunes, si certains supporters secouaient des drapeaux à son effigie, d’autres portaient carrément des masques caricaturant ses cheveux longs et ses dents du bonheur.

Juste avant le coup d’envoi, Léo Moura, le taulier, au club depuis six ans, remet le brassard de capitaine au « petit nouveau ». Un geste loin d’être anodin, qui en dit long sur les intentions du coach Vanderlei Luxemburgo et des dirigeants du club : confier les clés de l’équipe à Ronaldinho, histoire de rentabiliser à fond l’investissement, aussi bien au niveau sportif qu’en termes de marketing. L’héritier du mythique n°10 de Zico l’a bien compris, c’est pourquoi il montre d’emblée une belle dose de motivation. Il se positionne en neuf et demie, tournant autour de l’ancien Bordelais Deivid dans l’axe ou décrochant côté gauche. Quand il touche son premier ballon à la 3e minute de jeu, les supporters exultent : jamais on aura vu une passe foirée autant acclamée…

Peu avare en efforts, il n’hésite pas à aller au pressing. Et ça paie : à la 6e, les torcedores rugissent de plaisir en le voyant récupérer un ballon après un duel gagné au milieu de terrain. Deux minutes plus tard, sur un coup-franc excentré côté droit, il tente même de refaire le coup du centre-tir-lob du quarts de finale de coupe du monde 2002, contre l’Angleterre. Pas de chance, en face, ce n’est pas David Seaman, mais Diogo Silva, jeune gardien prometteur qui reste sagement sur sa ligne et capte parfaitement le ballon. Le portier de Nova Iguaçu va jouer une nouvelle fois les trouble-fête en repoussant d’une superbe claquette main opposée un autre coup-franc, cette fois tiré plein axe, d’une frappe enveloppée avec amour, dans le pur style Ronaldinho. Ce sera sa plus belle occase de la soirée.

Les mains sur les genoux

Son plus beau geste : une talonnade pour lancer un une-deux avec Deivid. A part ça, de timides passements de jambes, quelques ouvertures lumineuses, d’autres moins. Bref, rien de magique, mais il a fait le job. Au sein d’une équipe assez limitée, il a le mérite d’apporter une palette de jeu variée et une touche technique non négligeable. Mais bon, c’est bien beau tout ça, mais ça ne suffit pas pour gagner des matchs. Surtout qu’en seconde mi-temps, Ronnie montre qu’il est encore à cours de forme, se montrant beaucoup plus discret et posant à plusieurs reprises ses mains sur les genoux. Les supporters commencent à s’inquiéter et les premiers cris de « timinho » (littéralement, « petite équipe », qu’on pourrait traduire par « équipe de merde ») à vingt minutes de la fin. Mais au même moment, Ronnie décale Thiago Neves, qui frappe juste au-dessus. En voyant ses deux stars à l’œuvre, la torcida se réveille et décide de pousser jusqu’au bout.

Et il faut croire que ça a payé : alors que l’on s’acheminait vers score nul et vierge, Wanderley, entré à la place d’un Deivid copieusement sifflé à sa sortie du terrain, délivre les siens en s’arrachant sur un ballon qu’il va chercher pratiquement dans les gants du gardien. Ouf, Ronnie peut dormir tranquille, on lui pardonnera son manque de fraîcheur, en espérant qu’il redeviendra décisif lors des prochaines rencontres. Lors de la conférence de presse d’après-match, alors qu’un petit malin est tout fier d’annoncer que le nouveau capitaine de Flamengo a touché 47 ballons, Vanderlei Luxemburgo se dit satisfait de la performance de son poulain, s’avouant même « agréablement surpris qu’il ait réussi à tenir 90 minutes ».

Louis Génot, à Rio de Janeiro


A l'entraînement, Ronnie:
niramo
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Foot - ANG - 26e j.
Sessegnon, deuxième défaite

Deuxième match et deuxième revers pour Stéphane Sessegnon avec Sunderland, battu samedi chez Stoke (3-2) grâce à Huth (doublé) et Carew.

Le stade Britannia n'a pas été le symbole espéré. Stéphane Sessegnon a concédé samedi son deuxième échec anglais avec sa nouvelle équipe de Sunderland, sur la pelouse dégradée et venteuse de Stoke City (2-3). Comme lors de la défaite (2-4) des Black Cats contre Chelsea, mardi, l'ex-Parisien a disputé l'intégralité de la rencontre. L'international béninois, qui a évolué au poste de milieu offensif gauche, a réussi quelques enchaînements mais a paru parfois peiner physiquement et a récolté un carton jaune sur un tacle en retard à l'heure de jeu. D'autres anciens de la L1 se sont illustrés dans cette partie rythmée par de nombreuses situations dangereuses.

Carew marque enfin

John Carew, l'ex-Lyonnais, qui disputait lui aussi son deuxième match depuis son transfert à Stoke en provenance d'Aston Villa, a remis son équipe dans le match en égalisant en première période. Le Norvégien, qui n'avait plus marqué depuis mai dernier, a exploité du bout du pied un duel aérien mal négocié par Gordon, le portier de Sunderland (32e). Il a encore été dans le coup sur la deuxième égalisation de Stoke en fin de match (82e) : une action confuse conclue par Huth, le défenseur allemand également buteur décisif sur un dernier coup de pied arrêté dans temps additionnel (90e+3).

Avant les autres matches, Stoke entre dans la première moitié du tableau (9e), tandis que le Sunderland de Sessegnon et Gyan, l'ex-Rennais auteur d'un beau but inutile (48e), reste 6e. (rédaction)


lequipe.fr http://tinyurl.com/6kc2q9t
Dagoberto
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Sessegnon n'a «pas triché» à Paris


Transféré du Paris-SG à Sunderland au mercato, Stéphane Sessegnon est revenu dimanche dans Téléfoot sur son bras de fer avec les dirigeants parisiens. «Je ne méritais pas certaines choses dans ce club, argumente le milieu international béninois, même si certaines personnes pouvaient m'en vouloir en se disant "il n'est pas à la hauteur de ce qu'il a fait la première saison". C'est quand même dommage, car je n'ai jamais triché. Peut-être qu'à un moment donné, j'étais moins bien, mais j'étais satisfait d'être là parce que j'apportais quand même quelque chose à l'équipe. Quand elle gagnait, j'étais toujours content. Personne ne peut dire le contraire.»

A-t-il tout dit sur les origines du clash et de son départ ? «Je ne suis pas le mec qui va révéler tout ce qui s'est passé, répond-t-il. J'ai passé deux années et demie excellentes à Paris. Vu comment Paris était quand je suis arrivé, et vu où l'équipe en est aujourd'hui, je ne peux être que satisfait. On peut dire qu'on a franchi un cap. Il faut surtout garder ça.» En Angleterre, Stéphane Sessegnon a joué deux matches en intégralité pour... deux défaites mardi face à Chelsea (2-4) et samedi contre Stoke City (2-3).


Equipe.fr
Beuzech
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Vampeta : «Je n'ai pas eu la patience de Rai»

Champion du monde avec la Seleçao en 2002, Vampeta est une star au Brésil. En France, on ne se souvient de lui que comme l'un des ratés les plus spectaculaires de l'histoire du Paris-SG. Le désormais entraîneur des moins de 20 des Corinthians se confie en exclusivité pour Francefootball.fr. (Photo Presse-Sports)

Le Paris-SG

«Je suis arrivé au PSG à un moment critique de son histoire (2001). Tous les joueurs en avaient marre de ce club. Edouard Cissé voulait partir. Anelka s'est cassé très vite. Okocha aussi. J'ai adoré le Parc des Princes mais je n'ai pas eu la patience de Rai. Dans ma tête, je ne pensais qu'à la Coupe du monde 2002, et je ne voulais surtout pas la rater. Pour Rai aussi, la première saison a été difficile. Et à la Coupe du monde 1994, il a perdu sa place de titulaire au profit de Mazinho. Notre situation, lors d'une première saison au PSG, est quasi-similaire mais Rai a été plus patient. Moi, je suis plus agité. J'aime la fête. Et Luis Fernandez était encore plus fou que moi. Si je suis parti du PSG si vite, c'est parce que je voulais réintégrer la Seleçao dès que possible. Nous n'étions qu'à quelques mois de la Coupe du monde 2002. La meilleure option était de rentrer au Brésil pour me montrer. J'ai eu raison puisque j'ai été sélectionné et je suis devenu champion du monde.»

La politique

«J'ai tenté ma chance aux dernières élections (en septembre 2010). Je voulais devenir député fédéral de l'Etat de Sao Paulo. J'aime la politique. C'était super ! Malheureusement, je n'ai pas été élu, contrairement à Romario ou Bebeto. Mais j'ai obtenu 15 300 voix ! Et sans pub à la télé ! Grâce à Dieu, je suis une personne publique au Brésil et je veux aider les gens. Les footballeurs ont aussi une responsabilité sociale. Ça n'a pas marché car c'était ma première élection et la campagne était très chère. J'ai beaucoup compté sur le bouche à oreille et beaucoup de gens ne savaient même pas que je me présentais. Mais qui sait ? Peut-être que la prochaine fois, je serai élu. Je suis né pour gagner.»

L'homophobie

«L'amour n'est pas un pêché. Il doit être respecté. J'ai fait des photos un peu osées dans une revue masculine. C'est ma liberté et j'ai été très bien payé pour le faire. Je ne suis pas homosexuel mais même si je l'étais, chacun fait ce qu'il veut. Je suis contre toutes les discriminations, qu'elles soient raciales ou sexuelles. Les supporters traitent souvent les joueurs ou se traitent de pédé. C'est regrettable. Il y a bien sûr des joueurs de foot homosexuels mais ils n'assument pas car ils seraient critiqués par leurs propres supporters. J'ai connu l'homophobie. Pas en France ni en Italie, mais dans les pays arabes. Personnellement, j'adore les femmes, comme la plupart des joueurs de foot, mais il faut respecter le plaisir de chacun. Si quelqu'un demande des comptes, c'est sur le terrain que cela doit se régler. En dehors, chacun sa vie !»

Augusto Suares


francefootball.fr
Jesus De Nazareth
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QUE DEVIENS-TU ? / LAURENT LEROY :« FOOTBALLEUR ET POMPIER »

Laurent Leroy, que faites-vous actuellement ?
Je joue à Grasse en CFA2. Je suis toujours dans le milieu du football et je prépare mes diplômes d'entraîneur. Depuis que je suis revenu de Chine en 2007, j'ai toujours repris une licence amateur, à Saint-Raphaël d'abord et maintenant à Grasse. Je veux aider le club à essayer de monter en CFA.

Où en êtes-vous de vos diplômes d'entraîneur ?
J'ai commencé cette année. Je suis sur le BE et après, je préparerai le DEF. Il faut bien s'arrêter un jour. Je prépare donc mon après carrière. J'aimerais entraîner une équipe en CFA2 ou pourquoi pas être adjoint dans un club de Ligue 1 pour entraîner les attaquants. Ça me plairait bien.

Vous avez aussi été agent immobilier, non ?
J'ai arrêté. Je me concentre sur ma famille. J'ai envoyé des CV pour entrer à la Mairie ou entraîner. Il faut trouver une occupation. Pour l'instant, je ne fais que du football.

Vous participez aussi à la vie d'une caserne de pompiers…
Oui, j'ai passé mes diplômes de pompier volontaire. Ça s'est bien passé et ça m'a plu. J'y vais de temps en temps : c'est une occupation. Rester sans rien faire, c'est chiant. Je me rends à la caserne, je prends les appels téléphoniques mais je ne pars pas en intervention.

« Dans le Sud, ils n'aiment pas les Parisiens »

Vous avez terminé votre carrière pro un peu dans l'oubli avec des expériences en Bulgarie et en Chine…
Quand on arrête sa carrière, il n'y a plus beaucoup de monde derrière. Quand tout va bien, on a beaucoup d'amis et de gens autour. Et quand on ne joue plus au haut niveau, c'est chacun pour sa gueule. Je m'y étais préparé donc je savais comment ça se passerait. Ce n'est pas évident mais je gère bien. J'ai été un peu connu avec Paris. Après, ce n'est pas grave, la vie continue. Ça me fait ni chaud ni froid.

Qu'avez-vous retenu de votre passage en Chine ?
J'y ai passé un mois et demi. C'était difficile avec la langue. C'est une autre culture et c'est pour ça que je suis parti. Après, j'ai fait des essais à droite à gauche et j'en ai eu marre de m'entendre dire toujours la même chose : « Tu as été souvent blessé ». J'ai dit stop et j'ai préféré prendre du plaisir en CFA2 pour apporter l'expérience que j'ai eue en Ligue 1.

Vous reconnaît-on toujours sur les terrains des CFA2 ?
Oui. Les joueurs adverses sont toujours motivés. Ça prouve que j'ai quand même été reconnu dans ce milieu. Ça leur fait plaisir de jouer contre un ancien Parisien d'autant que dans le Sud, ils n'aiment pas les Parisiens. C'est plus dur. Il y a toujours cette jalousie. Je le ressens dans les paroles et au niveau des contacts. Mais ça me plaît.

C'est vrai que votre nom est systématiquement associé à celui du PSG…
Paris, c'est mon club de cœur. C'est là que je me suis fait connaître. Les gens m'ont aimé. Ça me manque. Je suis fier de ce que j'ai fait à Paris, même si ce n'était pas évident. Je pensais que je n'y jouerais jamais mais en fait, j'ai souvent été titulaire. Même s'il y avait des grands noms, je me suis toujours imposé. C'est ma fierté.

Avez-vous un rapport spécial avec ce club ?
Quand je vais à Paris et que je me balade sur les Champs-Élysées, je discute souvent avec certains supporters. Ils me demandent ce que je deviens. Même quand je vais au Parc, je suis toujours bien accueilli.

« Mon caractère et ma combativité ont plu aux supporters »

Quel souvenir particulier retenez-vous de votre passage au club ? Votre doublé à La Corogne ?
Il n'y a pas que celui-là, il y a aussi le match du Bayern Munich. Je me souviens de tous les matchs de Ligue des Champions. C'était un club qui jouait souvent l'Europe. C'est bien pour mon palmarès même si je n'ai rien gagné. Je suis content de ma petite carrière.

Comment expliquez-vous le fait que vous ayez été adopté par les supporters ?
Dans un grand club comme Paris, on est sous les projecteurs. Je me suis imposé même si je n'étais pas le plus connu. Mon caractère et ma combativité ont plu aux supporters. Je me battais pour le maillot. Or aujourd'hui, je n'en vois pas beaucoup qui se battent comme je le faisais à l'époque, à part Chantôme. Maintenant, les joueurs restent un ou deux ans et partent dans un autre club. Moi, j'y suis resté six ans et j'ai toujours joué.

Quel a été le plus mauvais souvenir de votre carrière ?
Ce sont les deux fractures du tibia que j'ai eues. Si je n'avais pas eu ça, je serais encore en train de jouer en Ligue 1. Je me suis blessé une première fois, je suis revenu. Mais la deuxième fracture, ça m'a tué. Ces blessures m'ont plombé. J'étais bien à Paris et je jouais bien. Si j'avais été dans un petit club, j'aurais eu le temps de revenir. Mais à Paris, ça pousse et des joueurs ont pris ma place. Le plus dur a été de revenir.

L'arrivée de Vahid Halilhodzic a aussi été un moment difficile pour vous…
Vahid ne m'a pas respecté. J'étais déçu mais il m'a tellement mis la misère qu'à un moment, j'ai préféré partir. Il a tout cassé à Paris. Il a amené ses Bosniaques et il n'a rien gagné. Avec son tempérament, il a une mauvaise image maintenant.


La fiche de Laurent Leroy

Né le 16 avril 1976 à Saint-Saulve

1995-1996 : Valenciennes
1996-1998 : Cannes
1998-dec 1998 : PSG
Jan 1999 - 1999 : Servette Genève
1999-jan 2003 : PSG
Jan 2003-2003 : Troyes
2003-2004 : Neuchâtel Xamax
2004-2005 : Cannes
2005-dec 2005 : Bordeaux
Jan 2006-2006 : Créteil
2006-dec 2006 : Sans club
Dec 2006-mars 2007 : Levski Sofia
Mars 2007-2007 : Shanghai Shenhua

Palmarès
1999 : Champion de Suisse
2000 : Finaliste de la Coupe de la Ligue

11G
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Pancrate à Larissa ?

Sans club depuis juin dernier, l'ancien joueur du Paris SG Fabrice Pancrate (30 ans) pourrait d'après nos informations rebondir à Larissa, en Grèce. À la recherche d'un club depuis son passage à Newcastle, Pancrate a reçu une offre de l'actuel 15e du Championnat grec et pourrait rapidement s'engager avec celui-ci.

Par ailleurs, Bernard Mendy (29 ans) et Jérémie Aliadière (27 ans) ont également été approchés par Larissa. Toutefois, si un accord financier était en passe d'être trouvé, les deux joueurs n'ont pas satisfait à la traditionnelle visite médicale.


L'Equipe
HHA
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L'ex-attaquant du PSG, Fabrice Pancrate jouera en Grèce

L'ancien attaquant du PSG, Fabrice Pancrate jouera jusqu'à la fin de la saison en Grèce. Il s'est engagé ce mardi avec l'équipe de Larissa (L1 grecque). Depuis son départ de Newcastle l'été dernier, il était sans club. Agé de 30 ans, Fabrice Pancrate est notamment passé par Guingamp, Le Mans et Paris. Larissa est actuellement 15e (sur 16) du championnat grec.


lequipe.fr
Dagoberto
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B. Mendy vers le Danemark

A la recherche d'un club depuis son départ d'Hull City à la fin de la saison dernière, Bernard Mendy (29 ans) va se relancer au Danemark. L'ancien latéral droit du PSG va s'engager mercredi avec Odense Boldklub, actuellement deuxième du championnat danois, qui reprend le mois prochain. Jusque-là, le joueur s'entraînait avec Caen, son club formateur.


Equipe.fr
Panenka
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Foot - ISR
Fernandez en veut à ses dirigeants


La tension montre entre la Fédération israélienne et Luis Fernandez, qui pourrait bien terminer son bail plus tôt que prévu.

Luis Fernandez est «fâché contre la Fédération» israélienne (L'Equipe)
Les relations entre Luis Fernandez et la fédération israélienne ne sont pas au beau fixe. Et la tension entre les deux parties est montée d'un cran mardi soir quand l'entraîneur français a déploré le fait que les Espoirs israéliens jouent sur le même terrain juste avant un match amical des A contre la Serbie. «Je suis fâché contre la Fédération, c'est illogique de jouer sur un terrain, deux heures après la fin d'un autre match», a pesté l'entraîneur français. Et la réponse d'un des responsables de la Fédération ne s'est pas faite attendre : «On ne demande pas à Fernandez d'être jardinier mais entraîneur.» edhelas.gif

La presse nationale évoque déjà le départ du sélectionneur, qui n'a pas réussi à convaincre depuis sa prise de fonction en mai 2010. Israël occupe la quatrième place de son groupe de qualifications à l'Euro 2012, loin des objectifs fixés par la Fédération. La prochaine rencontre face à la Lituanie le 26 mars prochain s'annonce décisive pour Luis Fernandez. A moins qu'il n'ait déjà claqué la porte d'ici là. (Avec AFP)


www.lequipe.fr
Befa
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«J'ai beau m'appeler Bernard Mendy...»

C'est un peu la surprise de cette fin de mercato. A 29 ans, Bernard Mendy, ancien international français, s'est engagé pour dix-huit mois avec Odense, au Danemark. Sur place depuis trois jours, le joueur nous a accordé un long entretien. Paris, Caen, les Bleus, son grand pont sur Roberto Carlos, le joueur nous dit tout. Sans détour. Entretien.

«Bernard Mendy, vous vous êtes engagé avec Odense, au Danemark (*). Pourquoi ce choix ?
Parce que j'avais l'opportunité de signer dans un club qui peut se qualifier pour la Ligue des champions. Mais aussi histoire de me relancer. J'ai connu huit mois compliqués, j'ai essayé d'attendre de meilleures opportunités, mais elles ne sont pas venues, ou je les ai refusées. Odense a alors contacté mon agent et ça s'est fait très rapidement.

Votre nom a pourtant été évoqué un peu partout, notamment à Arles-Avignon, à Evian ou en Turquie. Pourquoi ça ne s'est pas fait ?
A Arles, le coach, Faruk Hadzibegic, que je remercie, m'a contacté. Mais le club était contrôlé par la DNCG et on n'a pas pu tomber d'accord. Pourtant, contrairement à ce qu'on dit, je ne demande pas beaucoup. C'était juste un problème de DNCG. Moi, le défi m'intéressait, je n'avais pas peur.

Avez-vous eu d'autres propositions ?
Oui, il y a eu la Turquie et la Grèce, mais si on n'a pas de garantie bancaire, ça ne sert à rien. Larissa voulait me faire signer, mais le club a voulu me la faire à l'envers. On s'était mis d'accord pour un bail de quatre mois, tout était ficelé. J'y suis allé et ils ont changé leur proposition au dernier moment. J'ai préféré décliner. Eux ont dit que je n'avais pas satisfait à la visite médicale, mais c'est faux. Si je pouvais revenir en arrière, j'aurais choisi Evian. J'avais rencontré le président, le directeur sportif, le challenge m'intéressait parce qu'ils jouent la montée. Finalement, j'ai choisi la Grèce et j'ai pris une banane... J'ai rappelé le président d'Evian, mais on était à deux heures de la fin du mercato, c'était trop tard.

Avez-vous eu des contacts pendant la première moitié de saison ?
Oui, j'aurais pu signer à Saint-Etienne à l'intersaison. Le président était tombé d'accord avec mon agent, mais j'ai préféré attendre, en espérant avoir mieux, sans dénigrer ce club. Mais il venait de faire une saison très difficile et s'était maintenu de justesse. C'est de ma faute.

«Quand j'étais à Paris, j'ai eu la possibilité de signer à Manchester United»

Et Caen, où vous vous êtes entraîné depuis le début de la saison ?
Je tiens déjà à remercier ce club, mon club formateur, qui m'a très bien accueilli, qui m'a permis de m'entraîner pendant six mois. Que ce soit avec le président, Franck Dumas (le coach), les joueurs ou l'encadrement, de l'intendant à la cuisinière, tout s'est très bien passé. Malheureusement, ça ne s'est pas fait. Ils ont signé Proment et n'avaient plus les fonds pour moi.

Avez-vous regretté à un moment de ne pas être resté à Hull ?
Non. Dans mon contrat, je pouvais partir libre si le club descendait en D2. J'aurais pu continuer l'aventure, mais j'ai préféré arrêter là. Surtout que ça devenait difficile dans l'encadrement, plusieurs coaches sont arrivés, ont été virés... C'était compliqué. J'y ai fait deux bonnes saisons. Je pensais pouvoir rebondir ailleurs, mais ça ne s'est pas fait. Comme quoi, j'ai beau m'appeler Bernard Mendy, ce n'est pas évident.

Vous avez été international (cinq sélections), et vous vous retrouvez aujourd'hui au Danemark, à 29 ans. Avez-vous le sentiment d'avoir loupé une marche ?
Il ne faut pas vivre avec des regrets. J'ai 29 ans, il faut que je me relance et j'ai un an et demi pour le faire. On sait que tout peut aller très vite dans le football. Il ne faut pas regarder derrière, mais essayer d'avancer.

Vous ne regrettez donc rien ?
On peut toujours avoir des regrets. Quand j'étais à Paris, j'ai eu la possibilité de signer à Manchester United, mais ça ne s'est pas fait. C'était un grand club, Paris aussi. C'est comme ça... Le seul vrai regret que j'ai aujourd'hui est de ne pas avoir trouvé de club cette saison. Que la France m'ait un peu mis de côté alors que j'ai joué sept ans à Paris, que j'ai été international. Je pense que j'avais ma place dans un club français.

«Ici, je sais où me situer et où aller manger, c'est déjà bien...»

Qu'avez-vous pensé de la fin de votre histoire avec Paris ?
J'aurais aimé rester, bien sûr. Mais j'étais en fin de contrat et on ne s'est pas entendu sur les conditions. On se renvoyait la balle, il fallait donc que je parte.

Ce fameux grand pont sur Roberto Carlos (*), pensez-vous finalement qu'il a vous a servi ou desservi ?
Moi, je ne parle jamais de ça. C'est plus les gens qui se souviennent de moi par rapport à ça. Mais j'ai fait beaucoup d'autres choses en France pour qu'ils se rappellent de moi.

Vous êtes arrivé au Danemark lundi. Comment se passe votre intégration, sur et en dehors du terrain ?
Tout naturellement. Il y a ici des joueurs comme Djemba-Djemba ou Mohamed Traoré, qui m'aident. Et puis je parle anglais. Au niveau du club, c'est plutôt familial, comme Caen. Après, en dehors, il fait très très très froid, je dis bien très froid. Je suis là depuis trois jours et j'ai déjà le nez qui coule... Sinon, j'ai un hôtel en plein centre-ville, je sais où me situer et où aller manger, c'est déjà bien...

Et quels sont vos objectifs avec le club ?
Jouer la C1. Pour le titre, Copenhague est largement au-dessus (*). Après, on espère rester deuxième et jouer les barrages pour la Ligue des champions.

L'après Odense, vous y pensez déjà ?

Mon but est déjà de rejouer, de prendre du plaisir sur le terrain. Après, j'espère bien sûr que ça me servira de tremplin pour rebondir. Mais tout dépendra de mes prestations ici.»

*Il est le sixième joueur français à évoluer au Danemark après Franck Strugeon (Aarhus et Viborg, de 1993 à 1998), Arthur Sorin (Aarhus, de 2009 à 2011), Garra Dembelé (Aarhus en 2007-08), Mickaël Murcy (Esbjerg de 2004 à 2008) et William Prunier (FC Copenhague en 1995-96).
*France-Brésil, le 20 mai 2004.
*Copenhague est 1er avec 51 points, Odense 2e avec 32.

francefootball.fr
Baghib!
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Foot - L1 - Lille

Landreau, cap sur les 500

Mickaël Landreau va disputer dimanche contre Toulouse (21h00) son 500e match en Ligue 1. «Je suis content mais ça reste un match comme les autres», a avancé le Lillois.


Le cap des 500 matches au niveau professionnel, Mickaël Landreau l'a dépassé depuis longtemps. Pas encore en Ligue 1, mais le portier lillois atteindra ce nombre, signe d'une exceptionnelle longévité, dimanche, à l'occasion de la réception de Toulouse (21h00). Landreau avait un peu plus de 17 ans quand l'aventure a débuté au stade de Furiani pour un déplacement à Bastia (0-0, 10ème journée). C'était le 2 octobre 1996, sous la direction de Jean-Claude Suaudeau. Exit Dominique Casagrande et Eric Loussouarn, poussés sur le banc, et place à 335 rencontres dans l'élite avec le FC Nantes (jusque 2006), 114 avec le Paris Saint-Germain (2006-2009) et 50 avec Lille (depuis 2009).

De quoi entrevoir, avec sa récente prolongation de contrat jusque 2014, le record de 602 matches en Première Division de Jean-Luc Ettori avec Monaco. «Mais je ne me projette pas aussi loin !», sourit le gardien, qui s'estime dans ses meilleures années, notamment physiquement. De sa première apparition au plus haut niveau, «il reste tout, car on me la rappelle tout le temps. C'était un contexte difficile avec déjà un penalty arrêté (face à Moravcik, ndrl). Finalement, ce ne sont que des bons souvenirs».

Des souvenirs, justement, Landreau en conserve à la pelle. Les belles saisons sont au nombre de deux... et demie. «Une année (1996-1997) exceptionnelle avec ces débuts à 17 ans, et 28 premiers matches en étant invaincus. J'aimerais bien que ça se reproduise, mais ça n'arrivera jamais. Il y a aussi 2000-2001 et le titre de champion.» Mais aussi la première moitié de l'exercice actuel avec les Dogues. Au rayon des galères, des maintiens acquis sur le fil avec Nantes en 2000 et 2005 ou Paris, en 2008. «Des saisons difficiles mais terminées sur de belles joies.»

Pour ce qui est du présent, le gardien lillois, 31 ans, ne s'attarde pas sur ces 500 rencontres en Ligue 1 : «Je suis content mais ça reste un match comme les autres. Je pense qu'il s'agit plus d'une barre symbolique médiatiquement.» Tout juste concède-t-il avoir été fidèle à sa personnalité depuis bientôt 15 ans. «J'ai toujours essayé de garder la même ligne de conduite en respectant tous les gens qui pouvaient travailler autour de notre métier sans créer de personnage. Ce qui fait que je ne me sens pas perdu ou en décalage sur le long terme avec ce que je suis et l'image que je renvoie. Je suis le même que sur le terrain. Et puis, je m'investis à fond dans tout ce que je fais et je donne le maximum. Pour durer, je pense qu'il faut avoir cet équilibre là.» - Olivier MAILLARD, à Luchin
lequipe.fr
Beuzech
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Dalmat n'en rate pas une

Stéphane Dalmat a été interpellé en état d'ébriété mardi au petit matin au retour d'une soirée à Tours. Les gendarmes ont surpris le mileu de Rennes à l'approche de la capitale bretonne alors qu'il poussait sa voiture après être tombé en panne d'essence. L'ex-Sochalien (2007-2010), qui présentait un taux d'alcool de 0,7 g/l d'air expiré (1,4 g/l de sang), a été conduit au poste. Il est attendu ce mercredi matin à l'entraînement.

Ce n'est pas la première fois que le joueur se fait épingler par la maréchaussée. Le 1er juillet dernier, il avait été condamné à deux mois de prison avec sursis pour «violence aggravée et rébellion», lors d'une bagarre avec des policiers, le 30 mars 2009 sur les Champs-Élysées. Egalement à son "palmarès", un accident de la circulation en état d'ébriété alors qu'il se rendait à l'entraînement à Sochaux, en mai 2009.


léquipe.fr
sylvain
L'Equipe.fr

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Fernandez interdit de banc

La FIFA a décidé de sévir à l'encontre de Luis Fernandez en le suspendant de toute activité liée au football pour un problème juridique.


Pas au mieux avec la sélection israélienne, Luis Fernandez pourrait quitter son poste, mais pour des raisons bien éloignées de ses mauvais résultats. Dans un communiqué, la Fédération israélienne dit avoir «reçu une demande officielle de la FIFA concernant le sélectionneur national Luis Fernandez, disant qu'il doit immédiatement arrêter tout activité en lien avec le football». La raison ? La FIFA évoque le fait que l'ancien entraîneur du Paris-SG ne s'est pas plié à une décision disciplinaire datant de 2009. Le contentieux remonterait plus précisement au départ de Fernandez du club d'Al Rayyan (qu'il a entraîné de juin à novembre 2005) pour le Beitar Jérusalem.

Fernandez: «Le problème sera bientôt réglé»

La clause libératoire, fixée à 400 000 euros, ne serait jamais parvenue au club qatari, qui réclame des comptes à son ancien entraîneur, condamné en novembre 2009 par la FIFA à rembourser ces dettes. Le technicien français s'est néanmoins montré rassurant : «C'est une bataille juridique qui dure depuis des années. Je suis persuadé que le problème va être réglé avant les matches de la fin du mois de mars» pour la reprise des éliminatoires de l'Euro 2012. «S'ils veulent suspendre, ils peuvent suspendre, une plainte est en cours, je suis tranquille, je suis calme», a-t-il ajouté sur RMC. Accompagné de ses avocats, il rencontrera Avi Luzon, le président de la Fédération, la semaine prochaine pour décider des suites à donner à cette décision de la FIFA.
HHA
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Digard : « Content pour Paris »

A 24 piges, Didier Digard est un mec tranquille. Le milieu de terrain de Nice progresse, sans bruit. Un altruiste qui kiffe la belle saison de son ex.

Jouer contre le PSG quand on a porté le maillot parisien, c’est forcément spécial, non ?

Franchement pas plus que ça. Quand c’est au Parc, oui, là c’est quelque chose de fort mais sinon c’est un match comme un autre. Alors c’est spécial pour nous compte tenu de notre situation délicate et parce qu’on affronte une équipe de tête.

Et comment le groupe vit-il cette mauvaise période ?

Entre joueurs, il y a plus de déception qu’autre chose. On doit faire mieux. Il va falloir engranger des points.

Pourquoi les Aiglons galèrent-ils autant cette saison ?

On ne croit pas assez en nous. On n’a pas une mentalité de guerriers sur le terrain. Alors qu’on serait à la dixième place ça ne ferait pas tâche.

Tu as été pas mal blessé ces derniers mois. Tu te sens mieux ?

Ca va. Il me faut encore un peu de temps pour être à 100%. Physiquement je me sens bien mais je peux encore gommer certaines erreurs que je ne dois pas faire. Je continue de progresser, je suis encore jeune.

Nice reste sur cinq succès contre Paris à domicile. Et le PSG va moins bien, ces derniers temps. Ca vous donne des idées ?

Je ne connaissais pas cette stat. Je ne m’y intéresse pas vraiment. Mais c’est vrai que je me souviens avoir perdu au Ray avec le PSG (1-2). Mais bon, tout est fait pour avoir une fin. Et puis, je ne sais pas si on peut dire que le PSG va moins bien. Ils ont tellement d’occasions… Ils n’ont pas été dominés sur leurs derniers matches. Ils sont peut être moins bons au niveau comptable mais pas au niveau du jeu.

Quand tu as joué au PSG, le club avait terminé à la 16ème place, la même qu’occupe aujourd’hui l’OGC Nice. Peut-on comparer ?

Ce n’est pas pareil. Il y a tellement d’attentes à Paris que c’était vraiment particulier. Là-bas, finir 16ème, c’est la fin du monde. Un club comme le PSG doit lutter dans le haut de tableau. Nice est un club qui pense avant tout à se maintenir aujourd’hui. C’est un club en transition.

On a l’impression que cette phase de transition dure depuis un moment déjà, au Ray…

Il y a le nouveau stade qui arrive, un vrai projet se met en place… J’espère que les dirigeants vont faire confiance au staff actuel et lui laisser le temps. Si on veut réussir, il faut de la longévité dans le travail.

Il y a pas mal d’anciens parisiens dans le groupe niçois. Vous parlez entre vous de vos passages dans la capitale ?

On écoute surtout les mecs comme Létizi ou Pailsey qui ont connu les grands joueurs et les grandes heures du PSG. C’est un bonheur d’entendre leurs anecdotes. Mais c’est toujours un plaisir pour un ancien parisien de jouer contre Paris.

Le Paris-SG peut-il prétendre au titre ?

Pour les avoir beaucoup regardé cette saison, je pense, oui. Ils sont vraiment solides, très complets. Il n’y a pas de gros manques dans cette équipe.

Tu as gardé des potes à Paris ?

Celui avec qui je suis le plus en contact c’est Peg (Peguy LUYINDULA) mais ça ne chambre pas plus que ça. On ne parle pas foot entre nous.

Un peu d’amertume de n’avoir passé qu’une année au Parc ?

Non, aucune. Le coach (Paul Le Guen) ne voulait pas de moi et puis il y a eu l’évolution de ma blessure. Je ne suis pas du genre à regretter les choses. Bien au contraire, je suis content de ce que les Parisiens réalisent. Et je suis content de retrouver des gens que je connais.

On te sent hyper serein, très posé comme mec...

Il faut relativiser par rapport au métier qu’on fait. Si je me mets la pression avant un match, ça ne sert à rien. Après, chacun se concentre à sa façon. Moi, j’y pense dans le vestiaire. C’est vrai que je suis assez détaché. On a la chance d’avoir beaucoup de gens, des enfants qui viennent nous voir. On peut donner des émotions à travers ce qu’on fait. Ce n’est pas comme aller dans une maison en feu pour sauver des vies. Là, j’aurais la pression.

Entre Paris et Nice. Quels sont les supporters les plus oufs ?

Difficile à dire… Ils sont plus nombreux à Paris mais à Nice ils défendent aussi très haut leurs couleurs. Ce qui est marrant ici, c’est que c’est générationnel. Ils sont supporters de père en fils.

Qu’est-ce qui te manque le plus que tu avais à Paris et que tu n’as pas à Nice ?

La famille. Mes parents, mes amis étaient juste à côté. J’étais près de chez moi. Et puis le fait d’être au Paris-SG…


sofoot.com
Julio94
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B. Kalou:Pourquoi j'arrête

A trente-trois ans, le milieu international ivoirien Bonaventure Kalou explique à francefootball.fr les raisons qui l'ont conduit à mettre un terme à sa carrière.

«Bonaventure, qu'est-ce qui vous motive à annoncer la fin de votre carrière ?

Je n'ai tout simplement plus la motivation que j'avais au début. Comme en plus je n'ai pas trouvé le club qu'il me fallait pour poursuivre, j'ai donc décidé de mettre un terme à ma carrière.

Vous quittez le foot à l'âge de trente-trois ans alors que d'autres trentenaires comme Pirlo, Vieira ou encore Drogba continuent au plus haut niveau...

La différence c'est que ces joueurs-là s'épanouissent actuellement dans leur club, ce qui n'est plus mon cas depuis que je suis parti de Heerenveen.

«Quitter Lens, ma pire décision»

N'est-ce pas une déception d'avoir fini votre carrière dans l'anonymat, du côté justement de Heerenveen, aux Pays-Bas?

Pendant toute ma carrière, j'ai évolué au plus haut niveau (Feyenoord, Auxerre, Paris-SG et Lens). Je suis forcément déçu que ce soit terminé ainsi. Mais je pense avoir fait ce qu'il fallait... même si à un moment donné, j'ai pris de mauvaises décisions.

Quelle fut la pire ?

Celle, sans doute, d'avoir quitté Lens, seulement quelques mois après y avoir signé (en août 2007). Après le départ surprise de Guy Roux en début de saison, je me suis rendu compte que je n'étais pas dans les plans du nouvel entraîneur, Jean-Pierre Papin. Je n'ai pas voulu insister et je suis donc parti aux Emirats (Al Jazira). J'avoue que c'était un mauvais choix. A peine arrivé là-bas, je me suis rendu compte que je n'avais pas pris la bonne décision. Là encore, je ne suis resté que quelques mois avant de revenir illico presto, en Europe, à Heerenveen (en juin 2008).

«Je vais devenir le manager de mon frère, Salomon»

Qui vous a le plus marqué durant votre passage en France ?
Je dois forcément beaucoup à Guy Roux. C'est un technicien qui avait une préférence pour les joueurs doués techniquement comme moi. Quand je suis donc arrivé à Auxerre, il m'avait tout de suite adopté.

Que comptez-vous faire désormais ?

Je me lance dans un rôle de manager. Mon frère (Salomon, de Chelsea) me l'a demandé. Je vais donc m'occuper de lui. J'envisage aussi de collaborer avec des agents anglais. Je vais également me consacrer à la Fondation Kalou qui aide à la guérison de l'insuffisance rénale.»


Francefootball.fr
Golazo
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PSG : Saison blanche selon Dhorasso

Pour Vikash Dhorasoo, ancien joueur du club parisien, le PSG n’a aucune chance d’être sacré champion de France cette saison. L’ancien Parisien va même plus loin en affirmant que Paris ne décrochera même pas de billet pour la Ligue des Champions.

De passage à Calcutta (Inde) où il a notamment assisté aux séances d’entraînement de Chirag United et United Sikkim, Vikash Dhorasoo ne s’est pas montré tendre envers son ancien club, le PSG. « Il n'y a aucune chance que le PSG gagne le championnat ou se qualifie pour la Ligue des champions, a déclaré l’ancien joueur du PSG à nos confrères du site Goal.com Inde. Des équipes comme Lyon, Lille et Marseille sont bien meilleures que le PSG. »

Concernant l’équipe de France, Dhorasoo se montre beaucoup plus optimiste. « Elle fait de bonnes choses. Le nouveau sélectionneur fait du bon travail. Des joueurs comme Karim Benzema, Franck Ribéry ou Samir Nasri sont des hommes clés pour la France maintenant. Nasri est un très bon jeune joueur. S'il peut travailler avec Benzema et Ribéry, ce sera bien pour la France. Mais il doit travailler dur et prouver que c'est un joueur de classe internationale. »

A.C (Rédaction Football365.fr)
scourmy
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Superstar en Turquie où il habite désormais, Pascal Nouma a eu les honneurs d’Eurosport Turquie. Durant une longue interview, le fantasque attaquant reconverti en acteur est revenu sur l’ensemble de sa carrière. Il y évoque notamment un cancer en 2003, resté secret jusqu’à l’an dernier, qui l’a tenu éloigné des terrains durant plusieurs mois entre son passage à Marseille et son retour au Besiktas Istanbul, avant de revenir sur le devant de la scène. Il parle également de son envie d’entraîner un jour, mais uniquement s’il s’agit du club d’Istanbul. Mais il a aussi eu l’occasion de démontrer qu’il n’avait rien oublié de son passage au RC Lens, au moment où on lui a montré une photo de lui sous les couleurs artésiennes. Avant d’envoyer un baiser à la caméra à destination des supporters Sang et Or, (« Rien à voir avec les couleurs de Galatasaray » comme il prend soin de le préciser), il raconte à la télé turque :

« J’ai passé deux superbes saisons à Lens. C’est une ville qui a beaucoup de problèmes car elle est pauvre, mais il y a là-bas des supporters qui sont comme ceux du Besiktas. Il y a aussi dans ce club un président qui s’appelle Gervais Martel et qui est énorme. Il fait vivre la ville par rapport au football. Bonjour à tous ceux qui aiment Lens ! »


lensois.com
Biz Markie
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Sessegnon, le Black Cat

Sunderland a perdu tous ses matches depuis que Stéphane Sessegnon est arrivé. Le déplacement à Arsenal samedi

Stéphane Sessegnon n'a toujours pas gagné le moindre match avec Sunderland.(EQ)
La vie est parfois une drôle d'histoire. Ou une histoire drôle, c'est au choix. Imaginez. Vous êtes un joueur du PSG réduit à jouer les utilités. Vous faîtes part de votre mécontentement à votre entraîneur et demandez à partir. Il vous rétorque que vous êtes «un joueur de merde». C'en est trop. Vous décidez alors d'entamer une grève de l'entraînement et vous obtenez satisfaction : le club vous laisse partir à Sunderland. Patatras. Votre arrivée coïncide avec la pire série du club depuis le début de saison : quatre défaites d'affilée. Série en cours, avant d'aller affronter Arsenal ce samedi.

«IL EST DÉÇU, CAR IL EST TRÈS BON DEPUIS SON ARRIVÉE, MAIS NOUS N'AVONS PAS RÉUSSI À GAGNER UN MATCH.» STEVE BRUCE.

Cette histoire, c'est celle de Stéphane Sessegnon. Malgré lui, le Béninois est l'incarnation même d'un club où les joueurs sont surnommés les Black Cats, chats noirs en français. La mauvaise série du club a commencé dès le 1er février, trois jours après son arrivée, avec une défaite à domicile contre Chelsea (2-4). Elle s'est poursuivie contre Stoke City (2-3), Tottenham (1-2) et Everton le week-end dernier (0-2). Une situation qui ne sied guère au milieu offensif, comme l'a expliqué son entraîneur Steve Bruce dans la presse britannique : «Il est déçu, car il est très bon depuis son arrivée, mais nous n'avons pas réussi à gagner un match.»

C'est tout le paradoxe Sessegnon. Il joue bien, comme son coach le reconnaît, mais aussi son adjoint, le bien nommé Eric Black : «C'est un garçon discipliné qui a montré tout ce qu'il pouvait nous apporter dès ses premier matches.» Ou ses coéquipiers, Titus Bramble en porte-parole : «Sessegnon est un joueur fabuleux, un véritable cerveau. Il a cette capacité à trouver les espaces, à conserver la balle quand il le faut ou à aller de l'avant.» Mais Sunderland perd. La rencontre à l'Emirates Stadium sera une occasion parfaite pour briser la malédiction, six mois après le nul du match aller (1-1). Nul doute que Sessegnon signerait tout de suite pour un tel résultat. - Alexis DANJON

lequipe.fr
Biz Markie
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La FIFA réhabilite Fernandez

Interdit de toute activité liée au football depuis le mois dernier, Luis Fernandez a vu sa sanction être officiellement levée par la FIFA, lundi soir.


La FIFA a officiellement levé la suspension de Luis Fernandez, a indiqué lundi la Fédération israélienne dans un communiqué. Le sélectionneur français d'Israël avait été interdit de toute activité liée au football depuis le mois dernier. «A présent, nous pouvons tous aller de l'avant», s'est-il brièvement réjoui sur le site de la Fédération israélienne.
Fernandez, 51 ans, avait été suspendu le 20 février dernier d pour ne pas s'être plié à une mesure disciplinaire de 2009 relative à un contentieux financier avec un club qu'il avait entraîné au Qatar. La décision de la commission de discipline de la FIFA, révélée le mois dernier, remontait au 26 novembre 2009. L'ancien coach du Paris SG a entraîné le club qatari Al-Rayyan entre juin et novembre 2005. (Avec AFP)

lequipe.fr
sylvain
So Foot
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L.Leroy : « On était des gladiateurs »


C’était l’homme bicyclette du temps de l’AS Cannes avant de devenir le chouchou du Parc des Princes au début des années 2000. Toujours footeux (il joue en CFA2 à Grasse), Laurent Leroy n’a pas oublié le PSG ni le clasico.


Quand on joue au PSG, le clasico c’est un match vraiment à part ?
C’est surtout un très bon match à jouer. La semaine qui précède la rencontre, la pression monte petit à petit. On est dans l’obligation de gagner, notamment vis-à-vis des supporters. Pour passer une saison peinard, il faut gagner les deux matches, ce que tu fais après, c’est presque secondaire.

Vos meilleurs souvenirs ?
Les deux gifles 3-0 quand Ronaldinho était là. Celui au Vélodrome est fou car on ne s’y attend pas. Ni nous, ni eux. Tout avait été parfait ce soir-là. Le premier but de Jérôme Leroy, puis, le festival de Ronnie. C’était comme dans un rêve. On se sentait injouables. Enfin, surtout Ronnie.

Il y avait une véritable rivalité entre les deux équipes sur le terrain ou c’était surjoué ?
Chaque équipe voulait gagner. Les médias plantaient le décor. Les anciens joueurs aussi. Puis, les supporters ne nous lâchaient pas de la semaine. C’était impossible d’en faire abstraction. Et sur le terrain, c’était deux équipes de gladiateurs. Aujourd’hui, tout le monde se fait la bise. C’est surement mieux comme ça, mais le folklore des années 80, 90 avait quelque chose de magique.

Vous le sentez comment celui de ce soir ?
C’est délicat car les deux équipes sont en difficulté. Marseille a perdu à Manchester avec des regrets et Paris reste sur trois matches décevants. Celui qui va perdre dira adieu au titre et peut-être même aux trois premières places.

Que s’est-il réellement passé avec Jérôme Leroy au Vélodrome pour que vous en veniez aux mains ?
Jérôme venait de signer à Marseille en quittant Paris. On sait comment ça se passe dans ces cas-là. Il faut se faire accepter par les supporters. Il a mis énormément d’agressivité dans ses interventions. Malheureusement, c’est tombé sur moi et l’action se passe devant le banc marseillais. Ça dure deux secondes, mais je réagis à son intervention musclée et on se prend le bec. C’était inévitable.

On a l’impression que ce genre de fait de match n’est plus possible ?
C’est vrai. Il y a moins de joueurs qui s’identifient au maillot. Aujourd’hui, les mecs signent et restent à peine deux ans avant d’aller voir ailleurs. Mais il reste des petits signes qui font mal. Comme Gabriel Heinze qui marque le but vainqueur au Vélodrome l’an dernier.

On vous sent toujours attaché au PSG
C’est mon club de cœur. Sans mes deux blessures au tibia, qui sait... Quand je suis arrivé, j’étais jeune, insouciant. Je courais partout. Je n’étais pas le plus technique, mais dès que je ratais une passe ou tir, je galopais pour aller défendre. Et je pense que le public aimait cette mentalité. Le mec un peu fou qui se donne à fond. C’est peut-être ça qui manque au club aujourd’hui. J’aime bien Clément Chantôme. Il me ressemble dans son investissement. Il va au contact, ne se dégonfle jamais. D’autres son tétanisés. Si tu as peur de l’entourage du club, tu es mort à Paris. Erding par exemple, il vient de Sochaux où il était couvé. Là, le contexte semble le bouffer.

On peut être tétanisé par un clasico ?
Ça me paraît difficile. L’avantage de ce match, c’est que tu as une semaine pour le préparer dans le sens où tout le monde en parle avant. Chaque jour, chaque heure. Tu arrives le dimanche soir, tu es sous pression depuis une semaine. Tu es acclimaté. Et de toute façon, tu dois être bon.

Vous allez regarder le match ?
Je voulais aller au Vélodrome mais je n’ai pas eu de place. En plus, je ne connais plus personne au PSG, tout a changé. Déjà quand Vahid est arrivé, il avait viré pas mal de monde, alors aujourd’hui, dix ans après mon départ, les gens sont partis. Je vais donc être sur mon canapé bien sagement.

Vous avez pensé à votre reconversion ?
Oui, plein de fois. Mon rêve serait d’intégrer le staff de Valenciennes, c’est mon club familial. Je suis de là-bas. Ils vont avoir un nouveau stade et le projet m’intéresserait. Ou alors, une spécificité comme responsable des attaquants. Ça me plairait bien.

Votre pronostic ?
Je vois un match nul. Mais si Paris peut gagner, ça me va.
HHA
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NGoyi out 3 semaines ?

Sorti à la 81e minute samedi, contre Lille (1-2), le milieu brestois Granddi Ngoyi souffre d'une luxation d'un ménisque. Il pourrait être absent trois semaines.


lequipe.fr
sylvain
France Football

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Rothen, direction Ajaccio ?

Libre depuis octobre, Jérôme Rothen est toujours à la recherche d'un club. Selon nos informations, Ajaccio, favori numéro un pour la montée en Ligue 1, est en contact avec lui.


Sans club depuis le mois d'octobre et sa résiliation de contrat à l'amiable avec le PSG, Jérôme Rothen (32 ans) vit actuellement une saison blanche. Toutefois, l'ancien Parisien pourrait reprendre du service l'été prochain. Selon une source proche du joueur, le milieu de terrain, dont le pied gauche peut encore rendre quelques services, serait en contact avec Ajaccio, actuellement en tête de la Ligue 2. Si le club corse parvient à monter en Ligue 1, les choses pourraient alors s'accélérer entre les deux parties.

La Major League Soccer le tente aussi

De son côté, Olivier Pantaloni, l'entraîneur de l'ACA, joint par nos soins, a démenti être intéressé par le joueur. «Il ne nous intéresse absolument pas. Pour l'année prochaine, on va bien réfléchir avec le président (Alain Orsoni, NDLR). On va recruter, mais ce ne seront pas des joueurs avec des gros salaires. Il ne faut pas qu'on ait les pieds qui dépassent du lit (sic).»

Mais l'ancien international (13 sélections, 1 but), qui touchait quasiment 180 000 euros mensuels dans la capitale, consentirait alors un gros sacrifice financier pour rejoindre l'île de Beauté. Par ailleurs, la Major League Soccer aux Etats-Unis, où évoluent actuellement sept Français, apparaît toujours comme un point de chute intéressant pour le natif de Châtenay-Malabry, même si ce n'est pas une priorité. - Tanguy LE SEVILLER
EduSuperGoleador
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AJA : PARTOUCHE N’EST PAS CONSERVÉ
26/03/2011 - 11 h 59
Arrivé mardi à Auxerre dans le cadre d’un essai avec le club bourguignon, Maxime Partouche ne sera finalement pas conservé. Formé au PSG, ce jeune milieu de terrain vient d’effectuer un bref passage à Panionios (Grèce) avant d’être mis à l’essai avec l’AJA.

Il va donc rapidement quitter le club, selon L’Équipe. Âgé de 20 ans, Maxime Partouche ne compte qu’une seule participation en Ligue 1, lors de la saison 2008-2009 avec le club parisien.

Guillaume de Saint Sauveur


FootMercato.net

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HHA
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Rothen décidé à rejouer en pro

Jérôme Rothen ne joue plus en pro depuis presque 10 mois, mais l'ancien gaucher du Paris-SG refuse de dire son dernier mot : il cherche un club.

Sans club à bientôt 33 ans (dans quelques jours), Jérôme Rothen espère encore retrouver un contrat pro, quitte à jouer en Ligue 2. «Je suis affûté, loin d'être fini» lance l'ancien milieu international (13 sélections) dans une interview à L'Equipe, lundi. Il reconnaît avoir raté le coche lors du dernier mercato hivernal et expose sa situation particulière : bien que séparé officiellement du Paris-SG depuis novembre, il ne peut s'engager librement avant juin prochain puisqu'il était encore sous contrat en début de saison. Il espère toutefois «rejoindre un club dès à présent, afin de reprendre le rythme professionnel et être prêt dès l'entame de la saison prochaine».

«Ce n'est pas parce que je dis les choses que je suis une tête de con ou ingérable.»

Jérôme Rohten, qui s'entretient en région parisienne, reste ouvert à toutes les propositions, y compris celles qui pourraient provenir de L2, un challenge qui l'intéresse, assure-t-il. «Je regrette de ne pas l'avoir dit assez fort et de m'être laissé endormir par des mecs qui te vendent du rêve à l'étranger», explique le gaucher qui se dit prêt à consentir de «gros sacrifices» sur le plan salarial. Sa réputation de joueur difficile à gérer ? «Ce n'est pas parce que je dis les choses que je suis une tête de con ou ingérable. (...) Quand on me dit qu'on aura du mal à me gérer, je suis comme un fou ! (...) J'ai parlé (au PSG) pour faire avancer les choses, alors que j'aurais mieux fait de fermer ma gueule.»

«Ça me rend fou»


«Je ne veux pas finir comme ça», avance encore Jérôme Rothen pour justifier son envie de continuer. Lui qui se verrait bien plus tard dans la peau d'un entraîneur a encore envie «de rêver et de faire rêver les gens» sur un terrain où il a encore sa place selon lui. «Quand je vois que beaucoup d'équipes manquent de joueurs sur le côté gauche, capables de ressortir proprement le ballon, ça me rend fou. Je me dis que mon pied gauche peut encore rendre des services. Vous savez, un gaucher, c'est important dans l'équilibre d'une équipe.» Cela vaut quasiment petite annonce


lequipe.fr
Parisian
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Foot: Raï regrette sa participation au match de gala en Tchétchénie

SAO PAULO (Brésil) (AFP) - L'ancien milieu de terrain Rai regrette d'avoir participé au match de gala entre une équipe de champions du monde brésiliens et une sélection tchétchène à Grozny (Russie), un événement qu'il juge "manifestement politique", a-t-il déclaré sur son blog.
"J'ai pris part à une chose que je condamne fortement: j'ai participé à un événement manifestement politique, populiste, dans un contexte inconnu pour moi, sans en comprendre les conséquences possibles, ni les intentions", a déclaré le champion du monde 94, qui a notamment évolué pour le Paris SG dans les années 1990.
Rai a admis sa "naïveté" et sa "négligence", ajoutant que dorénavant il allait "suivre de près le processus politique en Russie et Tchétchénie".
Le 8 mars à Grozny, une équipe composée de champions du monde brésiliens 1994 et 2002 a disputé un match de gala face à une équipe tchétchène entraînée par le Néerlandais Ruud Gullit et dans laquelle figurait Ramzan Kadyrov, le président de cette république du Caucase russe, accusé d'enlèvements et d'assassinats par les défenseurs des Droits de l'Homme.
Le match a été disputé devant 10.000 spectateurs, dans un stade de Grozny orné de photos d'Akhmad Kadyrov, père de Ramzan et ancien leader tchétchène tué en 2004, ainsi que du Président russe Dmitri Medvedev et du Premier ministre Vladimir Poutine.
La Tchétchénie, ravagée par deux guerres successives à partir de 1994 avec les forces russes, est sous le contrôle de Ramzan Kadyrov, un président adoubé par le Kremlin, qui y a à peu près maté la rébellion avec ses milices redoutées.


yahoo.fr
Golazo
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Lazio Rome : La piste Ibisevic

Selon le quotidien italien Corriere dello Sport, Vedad Ibisevic, l'attaquant de Hoffenheim, figurerait en bonne position sur les tablettes de la Lazio Rome.

Sous contrat jusqu'en juin 2013 avec Hoffenheim, l'attaquant international bosnien Vedad Ibisevic (26 ans) serait pisté par la Lazio Rome.

Des clubs anglais seraient aussi sur le coup.

R.L. (Rédaction Football365.fr)
gegenne
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Foot - Transferts
Haddad vers Saint-Etienne ?

En tête du classement des passeurs (9 passes décisives), et considéré comme l'un des meilleurs éléments à son poste en Ligue 2, le milieu de terrain de Châteauroux Rudy Haddad (26 ans) suscite l'intérêt de plusieurs formations de Ligue 1. D'après nos informations, le joueur, sous contrat avec la Berrichonne jusqu'en juin 2012, serait notamment en discussions avec l'AS Saint-Etienne pour la saison prochaine. Si les Verts semblent les plus actifs sur le dossier du joueur formé au Paris Saint-Germain, d'autres clubs se sont également renseignés, à l'image de Lens, Sochaux ou encore Nancy. - L. V.


Biz Markie
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Ronaldinho distingué

Ronaldinho a reçu la plus haute distinction de l'Académie brésilienne des lettres, lors d'une cérémonie au cours de laquelle il a été honoré du titre de «Docteur Ronaldinho». «Jamais je n'aurais imaginé un tel moment. C'est un honneur de recevoir cette médaille, c'est une énorme joie. Mais le titre de "docteur", non s'il vous plaît», a déclaré Ronaldinho, qui a offert un maillot de Flamengo à Marcos Vilaça, le directeur de l'ABL.


lequipe.fr
sylvain
Le Parisien


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Sessegnon, le porte... malheur




Parti à Sunderland cet hiver, après un long conflit avec le PSG, Sessegnon ne rencontre pas plus de réussite dans son nouveau club.


Le 29 janvier, à l’issue d’un bras de fer de plus d’un mois avec le PSG, Stéphane Sessegnon filait enfin à Sunderland. Tout à sa joie, l’international béninois n’avait alors sans doute pas prêté attention au surnom des joueurs du club du nord-est de l’Angleterre : The Black Cats (les chats noirs). Aujourd’hui, cette appellation prend pourtant une tout autre résonance. L’ancien milieu de terrain parisien semble en effet porter la poisse à sa nouvelle équipe. Les chiffres claquent : huit matchs joués, un nul et sept défaites (sept buts marqués, vingt et un encaissés)! Attendu comme le messie, son rendement confine presque au néant.

L’étiquette de loser lui colle à la peau

Avant son recrutement, pour près de 8 M€, la formation de Steve Bruce flirtait avec le haut du classement (6e). Elle pouvait même se prévaloir d’une série de trois victoires et d’un nul lors de ses quatre derniers rencontres. Aujourd’hui, elle pointe au 13e rang avec un mince matelas de six longueurs sur le premier relégable.
Bien sûr, Sessegnon ne peut être tenu pour seul responsable des déboires des Black Cats. Une spirale négative s’est installée et le groupe a vu sa confiance s’étioler. Pour autant, la sécheresse des performances du joueur de 26 ans a forcément fragilisé son statut. D’ailleurs, après sept titularisations de suite, il a payé un lourd tribut à sa sortie calamiteuse contre Manchester City (0-5). Le week-end dernier, il était ainsi remplaçant face à West Bromwich Albion (défaite 3-2).
« On peut voir qu’il a du talent et de très bonnes qualités techniques, mais rien ne marche pour lui depuis son arrivée, analyse Graeme Anderson, en charge du club au quotidien pour le Sunderland Echo. Le manageur a confiance en lui, mais il sait aussi qu’il a besoin de temps pour s’adapter au football anglais et à son rythme. C’est pour cela qu’il l’a placé sur le banc pour le dernier match. »

Les supporteurs, quant à eux, perdent patience. Excepté une belle frappe sur la barre transversale contre Tottenham, ils n’ont rien vu de positif chez leur recrue phare du mercato hivernal. « On attendait plus de lui. On nous avait annoncé un super joueur capable de faire tout seul la différence. Pour l’instant, il n’a réalisé aucune différence. L’étiquette de loser commence à lui coller à la peau. Il a quand même coûté 8 M€ au club. Offensivement, il n’est pas bon et il ne défend pas non plus. Ça fait beaucoup. Pour l’instant, il n’est pas sifflé, mais il va vite devoir se montrer meilleur », avance Neil, rédacteur dans un fanzine de supporteurs.
Samedi, pour un déplacement difficile en championnat, à Birmingham, Sessegnon sera probablement de nouveau sur le banc des remplaçants. Comme au temps du… PSG.
taramix
La Lazio veut Cana

Le président de la Lazio de Rome, Claudio Lotito, n'a pas caché son intérêt pour Lorik Cana dans les colonnes du Corriere dello Sport. «J'ai chargé mon coordinateur technique d'amener Cana à Rome. Il peut être utile à notre milieu et à notre défense. Il est toujours au point physiquement et a de l'expérience», a-t-il expliqué. Le joueur de 27 ans vit une saison compliquée avec son club turc de Galatasaray, 14e de Süper Lig. L'ancien marseillais a joué dans trois clubs différents ces trois dernières saisons.

L'EQUIPE.FR
Holicool
Football 365

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QUE DEVIENS-TU ? / LIONEL POTILLON: « Halilhodzic, un dictateur »

Football365 prend des nouvelles chaque mardi d'un ancien joueur de L1 retiré des terrains. Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Lionel Potillon, aujourd'hui au service marketing de Saint-Etienne.

Lionel Potillon, que faites-vous actuellement ?
J'ai arrêté le football en 2007 avec Sochaux lorsque nous avions remporté la Coupe de France. Immédiatement, j'ai repris mes études à la faculté de Rouen où j'ai étudié un master de marketing et management du sport professionnel. En parallèle, je suis revenu à Saint-Etienne où j'ai intégré le service marketing et développement du club.

Retrouver le chemin de la faculté n'a-t-il pas été difficile ?
Difficile non, c'était dans mon intérêt. Je m'étais complètement préparé à cela. Ce n'était pas un arrêt brutal et forcé, bien au contraire, c'était mûrement réfléchi. Cela m'a permis de bien me préparer et puis tout au long de ma carrière, je ne voulais pas me couper complètement de la scolarité. J'avais passé un diplôme de relation public-attaché de presse, un diplôme d'assurance, mon brevet d'entraîneur premier et second degré. J'avais fait différentes choses qui me permettait de garder une certaine activité intellectuelle.

En quoi consiste votre tache à Saint-Étienne ?
C'est tout ce qui est merchandising, développement, relations avec les clubs amateurs de la région. Toute la partie événementielle également et une autre communication et organisation. On fait des déplacements ponctuels avec des professionnels et des entreprises commerciales. On fait des visites aussi avec des joueurs, à la mairie et dans les écoles.

Saint-Étienne est votre club de cœur. Une période inoubliable de votre carrière...
C'est vrai que Saint-Étienne fait partie de ma vie. J'ai toujours aimé, avant d'habiter ici, la ferveur qu'il y a. J'ai toujours dit qu'à la fin de ma carrière, je reviendrai vivre ici, même si à la base, je suis bourguignon et non de Saint-Étienne. Au niveau des mes huit années de footballeur, il y a eu de très bons moments et des plus compliqués aussi, avec notamment l'affaire des faux passeports. Je me souviens aussi de mes différentes blessures, notamment à un genou qui m'avait éloigné des terrains pendant neuf mois. C'est vrai qu'il y a eu des passages compliqués, mais au final, je ne retiens que les points positifs de cette expérience.

Vous auriez aimé finir votre carrière à Saint-Étienne mais ça ne s'est pas fait. Le regrettez-vous ?
Non. Quand j'avais arrêté à Sochaux, je savais que je revenais vivre à Saint Etienne. J'avais déclaré dans un média que si Saint-Étienne avait besoin d'un joueur d'expérience gratuit pendant un an, j'étais prêt à le faire. Malheureusement, l'entraîneur de l'époque Laurent Roussey a estimé ne pas avoir besoin de ce joueur d'expérience, donc cela s'est arrêté là. Mais ça a été complètement oublié de ma part du fait que ce n'était pas du tout quelque que chose de vital pour moi.

« Ronaldinho ? Un artiste »

Puis est arrivé le PSG....

C'était également un très bon moment. Je m'entendais très bien avec Luis Fernandez. Si je suis venu à l'époque à Paris, c'était pour partager une expérience avec un entraîneur tel que lui. Le club en lui-même me convenait parfaitement. J'étais un joueur qui avait besoin de pression, de ferveur médiatique et populaire. A Paris, j'étais gâté parce que c'était comme ça en permanence. J'en avais besoin, contrairement à d'autres joueurs inhibés par ça. L'aventure s'est terminée en queue de poisson dans le sens où Vahid Halilhodzic me fait prolonger quatre ans et dès le lendemain, il me fait comprendre en fait qu'il n'avait pas besoin de moi et qu'il ne comptait pas du tout sur moi. Reynald Denoueix, alors entraîneur de la Real Sociedad, me suivait depuis pas mal de temps, il a souhaité ardemment ma venue, et du coup je suis parti le rejoindre en Espagne.

Pourquoi une telle décision de la part de Vahid Halilhodzic ?
Je ne sais pas. Ce que j'ai pu lire dans la presse, c'est qu'il me considérait, avec Jérôme Leroy, comme un sous-marin de Luis Fernandez, ce qui était absolument faux, bien qu'ayant une très bonne relation avec ce dernier. C'est dommage parce que je pense que l'aventure avec Paris aurait pu continuer et même durer un long moment.

Vous avez côtoyé de grands joueurs au PSG. Lequel vous a le plus marqué ?
Ronaldinho, évidemment. C'est un joueur complètement atypique. Un artiste avec tout ce que cela peut comporter. J'avais souvent l'habitude de dire que je le voyais faire des choses avec une boite de strapping carrée que je ne pourrais pas reproduire avec un ballon. C'était un joueur fabuleux.

Vous êtes ensuite parti en Espagne avec la Real Sociedad...
J'avais absolument demandé à Reynald Denoueix que cela soit un prêt sans option d'achat. C'est-à-dire que j'avais la certitude de revenir après un an. Je ne connaissais absolument pas ce qu'était l'étranger, et étant quelqu'un de familial, quand on part à l'étranger, cela a beaucoup d'incidences sur la vie de tous les jours. Je voulais avoir une première idée avant de m'engager sur une longue échéance. C'est pour cela que je n'ai fait qu'un an, mais cela s'est bien passé. J'étais arrivé en Espagne fin août, il m'a fallu un temps d'adaptation, en plus je m'étais fais une déchirure à la cuisse, mais au final j'ai fait toute la deuxième partie de la saison. Il faut savoir que j'étais en concurrence avec le capitaine historique du club, Agustín Aranzábal, qui avait une quarantaine de sélections en équipe nationale et qui était capitaine depuis de nombreuses années donc c'était loin d'être acquis.

Et donc pourquoi êtes-vous revenu en France ?
Lors de ma négociation pour prolonger, au moment où cela allait se concrétiser, Denoueix a été débarqué, et l'entraîneur qui a suivi était parti sur une autre politique. Les négociations n'ont pas abouti.

Vous avez finalement fini à Sochaux....
A mon retour de prêt, je retourne à Paris. Mais Vahid était toujours là et il était hors de question de travailler avec un dictateur, je ne pouvais pas rester. J'ai donc souhaité partir. Guy Lacombe, alors entraîneur de Sochaux et avec qui je m'entendais bien, me suivait depuis pas mal de temps. Il a contacté mes agents. On était sur la même longueur d'onde, cela s'est donc concrétisé très vite.

« Halilhodzic ? Aucun intérêt pour moi »

Vahid Halilhodzic vous a visiblement marqué...

Pour moi c'était impossible de travailler avec lui. On n'avait pas la même conception de la valeur humaine donc c'était impossible. Ce n'était pas une question de travail, c'est juste qu'humainement, Halilhodzic est le genre de personnage qui, pour moi, n'a aucun intérêt.

Le dialogue était difficile...
Vous savez, lorsqu'un entraîneur vous dit à la première réunion : « Ici on est dans une démocratie, mais ça ne sert à rien vu qu'il n'y a que moi qui parle et qui ait raison », vous avez tout compris. Moi j'ai besoin d'un rapport de confiance, ce qui s'est fait avec tous les autres entraîneurs que j'ai eu, que ce soit avec Nouzaret, Denoueix ou Fernandez. Après, qu'il fasse cela avec d'autres joueurs et qui acceptent ce fonctionnement, c'est leur problème, mais avec moi c'était trop compliqué. Pourtant, je ne pense pas être un joueur compliqué, bien au contraire (rires).

Pourquoi avez-vous refusé d'être l'adjoint de Christophe Galtier à Saint-Etienne après votre carrière ?
Je voulais découvrir la face cachée du football, ce qu'on n'imagine pas lorsque l'on est joueur pour ensuite revenir sur le terrain et devenir un bon manager et un bon entraîneur. La proposition était venue trop tôt.

Il n'est pas à exclure de vous voir sur un banc de touche dans le futur ?
C'est même plus qu'envisageable. J'ai passé les diplômes d'entraîneur. Mais je voulais d'abord découvrir l'autre côté du football pour avoir toutes les cartes en main et être le mieux armé.

Vous avez connu de grands stades avec des ambiances énormes. Si vous deviez n'en retenir qu'un, lequel serait-il ?
Je vais aller plus loin. J'ai eu la chance dans ma carrière de jouer à Saint Etienne avec la pression du Chaudron. J'ai eu la chance de jouer à Paris, au Parc des Princes, où c'était la même chose. J'ai également eu la chance d'aller en Espagne où c'était identique car la Real Sociedad est un club basque très populaire, où le foot est quelque chose d'important. Et puis j'ai fini à Sochaux, où l'ambiance était un peu plus fade. Cela reste un petit regret car il y avait un manque de pression et de ferveur.
HHA
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Rothen, commentateur radio pour PSG - Lyon

Jérôme Rothen va appréhender le Parc des Princes sous un nouveau jour. L'ancien milieu de terrain du PSG, qui a résilié son contrat avec le club de la capitale en octobre dernier, va, pour la première fois en direct et dans un stade, commenter un match de foot à la radio.

L'ancien parisien sera en effet au micro pour PSG – Lyon, dimanche soir (21h), sur France Bleu 107.1, aux côtés du journaliste Bruno Salomon. Rothen a déjà goûté à la radio par le passé, notamment en tant que consultant pour RMC lors de la dernière Coupe du Monde.

Jérôme Rothen, 33 ans, est par ailleurs toujours à la recherche d'un club. L'AC Ajaccio, actuellement 3e de L2, serait intéressé par le joueur en cas de montée en Ligue 1.


leparisien.fr
Baghib!
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Foot - Coupe - Nice

Letizi : «Boucler la boucle»

Lionel Letizi, dans le but mardi soir contre Lille en demi-finale de la Coupe, espère terminer au Stade de France une carrière commencée en 1992.


Lionel Letizi, bientôt 38 ans (le 28 mai) rêve de terminer sa carrière en finale de la Coupe de France, le 14 mai au SDF. Le deuxième gardien niçois, qui gardera le but ce mardi soir au Ray en demi-finale contre Lille (20h30) - «mon dernier match à Nice» - espère même «boucler la boucle» face au Paris-SG, son autre club de coeur (200-2006). «Ce serait fantastique.»

Pour ne prendre aucun risque avant le choc contre le leader de la Ligue 1, Letizi a pris toutes les précautions. «Je ne fais plus rien depuis quatre jours, je ne veux pas prendre un mauvais coup et le rater.» Il compense son manque de matches en se livrant à «des grosses séances spécifiques le dimanche» avec Bruno Valencony, l'entraîneur des gardiens du Gym.

«Le bon moment»

Sa décision - définitive - d'arrêter , l'ancien international (4 sélections) l'a prise en octobre dernier. Un choix «raisonnable» explique-t-il. Il reconnaît qu'il a «mal partout» après les matches et a eu «du mal à récupérer de la préparation». Pour lui, «c'est le bon moment» de mettre un terme à une carrière commencée en 1992. D'où l'importance de la (des) prochaine(s) échéances : «Je mérite de finir sur une belle histoire.»

«Finir sur une belle histoire», à lire dans L'Equipe de mardi
lequipe.fr
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