QUOTE (Houdini @ 19/12/2018 21:42)

Vous êtes tellement méprisant avec le peuple
Votre racisme de classe tout ça parce qu’on ne parle pas comme des bourgeois ce me débecte. Avant de juger faudrait peut être expliquer le phénomène de reproduction des élites qui pousse cette brave Obono à parler comme ça. C’est facile pour vous dans votre tour d’ivoire d’être choqué, tout ça pour un mot wesh. Vous êtes tellement matrixés par les dominants, c’est chaud. Heureusement avec cette alliance populaire que nous offre le mouvement gilets jaunes on va enfin avoir des représentants comme nous et c’est tout ce qu’on demande.
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Mardi 18 novembre au matin, une femme âgée d'une cinquantaine d'année a été retrouvée morte sur un brancard aux urgences de l'hôpital Lariboisière, à Paris. Elle avait été admise la veille au soir. Son décès est pour l'instant inexpliqué, et le Parquet de Paris a ouvert une enquête.
Douze heures après son admission au service des urgences de l'hôpital Lariboisière, à Paris, une femme a été retrouvé morte sur un brancard, mardi 18 décembre.
La veille, la patiente âgée d'une cinquantaine d'années, avait été conduite à l'hôpital par les pompiers, et accueillie par une infirmière. Que s'est-il passé ensuite ?
Une patiente oubliée ? Deux enquêtes lancées
"Une enquête interne pour reconstituer la chronologie précise des faits, connaître les circonstances et les causes de ce décès est diligentée", a indiqué l'AP-HP dans un communiqué.
De son côté, le Parquet de Paris a aussi ouvert une enquête "en recherche des causes de la mort", confiée au service de police judiciaire du 10e arrondissement, selon une source judiciaire.
Des urgences saturées
L'hopital Lariboisière dispose du plus important service d'urgences de la capitale.
Il a été conçu pour 180 passages par jour, mais en accueille 300.
"Nous sommes à saturation d'un système. En 1988, il y avait 8 millions de passages aux urgences, on est à 21 millions de passages et les moyens n'ont pas augmenté en conséquence" réagit Patrick Pelloux, médecin urgentiste.
"Les pouvoirs publics doivent ouvrir les yeux sur un système à bout de souffle" ajoute-t-il.
"Ce qui arrive aujourd'hui, malheureusement, n'est que la conséquence de ce que nous avions déjà dénoncé au mois de juillet, puisque nous avions dit qu'un drame arriverait", déplore de son côté Yann Flecher, du syndicat CGT de Lariboisière-Fernand Widal AP-HP.
La CGT a demandé la tenue d'un CHSCT extraordinaire qui sera organisé jeudi.
F3-régions
Ca doit être la faute des FI et autre ultra droite.
monsieur philippe vous voulez un soin ?