Citation (JCD @ 21/02/2014 18:50)

Vraiment le sport de l'arnaque franchement
Sur le coup la française se fait vraiment avoir

La validation du résultat par les juges prend plus de temps que la course elle-même

Sympa l'ambiance dans le patinage de vitesse français
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Il y a de l’amertume ?
Macé : C’est plus que de l’amertume. Il n’y a personne au monde que je déteste plus que les dirigeants de notre fédération. Ils nous ont pourris la vie pendant trois ans. C’est malheureux à dire, mais c’est comme ça.
Contin : Deux heures avant la course, Didier Gailhaguet (le président) a donné une interview, mensongère sur le cas d’Ewen. Au mois de juin, il y aura un nouveau président, une nouvelle équipe, et sans doute un bel avenir pour le patinage de vitesse français, que ce soit le short-track ou la grande piste. Je suis content que M. Gailhaguet prenne position publiquement sur ses échecs des deux dernières olympiades et dise qu’il assume ses responsabilités.
Et si cela ne change pas ?
Fernandez : Avec Benjamin et Alexis, on s’entraîne dans des équipes étrangères. Avec tous les problèmes qu’on vit, voudront-ils encore nous conserver? Quand vous voyez comment mon coach s’est fait traiter (par la FFSG) dans les médias... Or on n’a plus de coach français, il a été viré et travaille en Allemagne. C’est la question qu’il faudra poser: que deviendra l’équipe de France si aucun groupe étranger ne veut plus s’occuper de nous?
Souhaitez-vous continuer ?
Fernandez : On peut tous continuer s’il y a un réel projet, pas comme celui d’il y a quatre ans qui s’est arrêté au bout de six mois. Mais il reste une course. Ce qu’il faut souligner, c’est une belle histoire. On s’est tous donné, tous dépassé, Alexis encore plus que nous aujourd’hui. C’est un beau sport, au-delà des problèmes, il faut faire comprendre qu’on a vécu une belle aventure. On voudrait donner envie aux gens de connaître et reconnaître notre sport.»