Mais d'où tu sors ça ? On est plus en 1890 avec papa à la mine et maman qui gère les mioches et qui boit des tisanes avec ses copines

Les femmes au foyer ça existe toujours hein, et c'est pas rare.

Mais d'où tu sors ça ? On est plus en 1890 avec papa à la mine et maman qui gère les mioches et qui boit des tisanes avec ses copines

Fais pas semblant de pas comprendre. Je dis juste que le cliché les femmes s'en battent les couilles de la vie professionnelle, tout ce qu'elles aiment c'est les arts et se balader dans les parcs c’est globalement éculé.

Nan mais va faire un tour à la sortie des classes pour voir qui est là pour récupérer les gosses. Et regarde qui les gère quand ils sont malades.

Aujourd'hui les femmes ont toutes un boulot et fait des études mais même si les choses ont énormément évolué la répartition des tâches à la maison reste encore largement perfectible.

Et ça se fait au détriment de rester tard pour faire du zèle et sur le long terme décrocher une promotion.

Les hommes sont égoïstes c tout

Mais évidemment. Je dis juste que ça c'est un héritage de centaines d'années qui fait qu'on en est encore là et que certains et certaines se battent pour que ces mentalités changent. Les revendications que portent les féministes (en dehors des enragés qu'on peut y trouver) ont pour but de casser cette tradition femme = tisane et traitement des bobos des enfants et papa = carrière et thune.

Ce sont des choix personnels, c'est pas aux féministes de décider ça.

Fais pas semblant de pas comprendre. Je dis juste que le cliché les femmes s'en battent les couilles de la vie professionnelle, tout ce qu'elles aiment c'est les arts et se balader dans les parcs c’est globalement éculé.

Faut se mettre d'accord sur la définition de sexisme du coup.

L'idée c'est justement que quand tu es face à une personne, tu es sensé ignorer les statistiques de ce genre. Et que ta boîte n'est pas sensé dire à ses RH de prendre ça en compte. Elle est même plutôt sensée être clair et rappeler que ce n'est pas un critère, ni de sélection, ni de salaire.

A mon sens donc, dire ce que tu dis (en supposant que les statistiques le prouvent) n'est pas du sexisme mais le prendre en compte pour déterminer l'offre salariale que tu proposes à une potentielle employée, ça le devient. Du moins au sens "moderne" du terme c'est à dire faire preuve de discrimination.

Nan mais va faire un tour à la sortie des classes pour voir qui est là pour récupérer les gosses. Et regarde qui les gère quand ils sont malades.

Aujourd'hui les femmes ont toutes un boulot et fait des études mais même si les choses ont énormément évolué la répartition des tâches à la maison reste encore largement perfectible.

Et ça se fait au détriment de rester tard pour faire du zèle et sur le long terme décrocher une promotion.

C'est cliché mais globalement les femmes ont des centres d'intérêts différents de ceux des hommes qui suffisent à expliquer les 20% de différence de salaire.

Pour moi le sexisme c'est de se dire qu'une meuf sera forcément moins forte qu'un mec pour un taf lambda. Après pragmatiquement si tu es dans une petite boite et que tu embauche une nana de 32 ans sans gosses tu prends des risques. Oui c'est faire preuve de discrimination, mais c'est assez logique. Et ça change et ça changera encore.


Encore une fois ça évolue, parmi mes proches il y a deux couples où la nana gagne beaucoup plus et le mec baisse ses ambitions.


Si ta femme gagne 200k€ , c'est faisable de vouloir rien branler et t'amuser. Ou aller jouer au golf et être la pour faire les devoir du petit.

Si ta femme gagne 200k€ , c'est faisable de vouloir rien branler et t'amuser. Ou aller jouer au golf et être la pour faire les devoir du petit.

Si ta femme gagne 200k€ t'as même beaucoup plus intérêt à garder ton poste, même lambda, pour pas être pris au dépourvu quand elle se cassera

https://twitter.com/Cathy_Penflam/status/1199953721213497344?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

https://twitter.com/lonaan_/status/1147426068128784386?s=21

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

https://twitter.com/riverblackquinn/status/1198215900282970112?s=21

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Quelque chose me dit que le viol il a lieu avec sa bite. Tu te fais violer par le chibre d'une meuf, ca doit pas etre simple de s'en remettre. Quelle époque.

Je comprends pas la moitié des mots

Je comprends pas la moitié des mots

Mais du coup si iel va en prison, elle ira dans une prison pour hommes ou pour femmes ?

Personne pour lui lancer un OK boomer ?

OK Boomer

Ca fait plusieurs fois que je remarque ça en lisant tes posts en effet.

https://twitter.com/TheRalphRetort/status/1201753144931340288?s=19

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011

Quelle catastrophe

16 minutes sérieux. Résumé ?

Greta Thunberg et le spectre de «l’écologie décoloniale»

En prenant position pour une lecture racialiste de la crise climatique, l’activiste suédoise, désignée «personnalité de l’année» par le Time Magazine, prend le risque de cliver.

Quel point commun y a-t-il entre Greta Thunberg, la reine d’Angleterre et Joseph Staline? Au moins celui-ci: tous ont été désignés «person of the year» par le Time Magazine. Et après tout, le choix de l’adolescente suédoise n’est pas illogique, puisque la jeune activiste a en effet bénéficié cette année d’une rare et intense attention médiatique. En seulement un an, la lycéenne a discouru devant plusieurs assemblées prestigieuses, rencontré Barack Obama, le pape François, ou encore… Leonardo di Caprio. On murmure même qu’elle aurait échappé de peu au Prix Nobel.

Cependant, le soutien apporté par la militante à une vision idéologiquement très située de l’écologie a de quoi préoccuper. Dans une tribune intitulée «Why we strike again» publiée le 29 novembre dernier et dont Greta Thunberg est l’une des trois cosignataires, on lit ainsi que la crise écologique est aussi une «crise des droits humains, de la justice et de la volonté politique. Une crise créée et alimentée par des systèmes d’oppression coloniaux, racistes et patriarcaux ». Le thème de «l’écologie décoloniale» est décidément en vogue: c’est l’objet du dernier essai de Malcom Ferdinand, ingénieur en environnement et chercheur au CNRS. L’auteur défend, dans un entretien accordé à Libération le 6 décembre, une «conceptualisation de l’écologie qui articule les enjeux environnementaux, les questions de justice sociale et de discrimination de genre, ainsi que les luttes contre le racisme et les formes de dominations (post) coloniales.» Arrimant ainsi la préoccupation climatique au navire amiral des luttes intersectionnelles, qui constituent une critique systémique de la modernité au prisme du racisme et du sexisme, les deux péchés originels du monde contemporain, dont l’injustice tient à la domination qu’ont exercée et qu’exercent encore les hommes blancs sur le reste de l’humanité.

https://twitter.com/Marie_Peltier/status/1216746890471137281?s=20

— CulturePSG (@CulturePSG) November7, 2011