Le Saoudien doit avoir des vues sur l'immobilier à Nice mais c'est une bonne nouvelle si le type est sérieux dans sa démarche. Après faut les reins sacrément solide pour se battre avec les qataris 

C'est pas le but.
Citation
Ligue 1 : L'arrivée d'un Prince saoudien à Nice n'a «rien à voir avec le PSG version QSI»
Le 29/01/2016 à 19:19:55
Le président de Nice, Jean-Pierre Rivère, a confirmé vendredi l'arrivée de deux nouveaux investisseurs, dont l'un était présent à ses côtés en conférence de presse. Il a assuré que le projet établi par le club azuréen ne changerait pas.
Jean-Pierre Rivère a tenu à rassurer les supporters niçois. (L'Equipe)
Jean-Pierre Rivère, le président de l’OGCN, a annoncé dans l’après-midi, au cours d’une conférence de presse, que les quatre actionnaires minoritaires du club - MM. Stellardo, Governatori, Bessis et Bacchialoni - avaient vendu les actions qu’ils détenaient dans l’OGCN à un duo d’hommes d’affaires composé d’un Anglais et d’un Prince Saoudien.
Pour un montant resté confidentiel, les deux hommes ont racheté 49% des actions du club, M. Rivère restant provisoirement majoritaire avec ses 51%. Présent à la conférence de presse, l’Anglais se nomme Edward Blackmore (36 ans), il vit à Londres, est passionné de sport, supporter de Manchester United et s’est spécialisé dans la recherche d’investisseurs saoudiens. Il n’a pas précisé la hauteur de son investissement personnel dans le club, mais il est nettement inférieur à celui de son partenaire saoudien.
Son identité n’a pas été dévoilée et il devrait devenir, à terme, le vrai propriétaire du club. «Il veut rester discret», a expliqué le président Rivère, lequel a dévoilé la deuxième étape du projet. Au plus tard le 30 juin, M. Rivère devrait céder 31% de ses parts au duo anglo-saoudien, qui détiendra alors 80% du capital du club. Si tout se passe comme prévu, Nice devrait donc être détenu à 80% par des capitaux étrangers, à compter du 1er juillet au plus tard.
Rester dans la continuité du projet
Mais M. Rivère, arrivé au club en 2011, en restera le président, et Julien Fournier son directeur général, pour une durée contractuelle de «plusieurs saisons». Ce pourrait être trois ans, jusqu'en juin 2019. La motivation de ce Prince saoudien, propriétaire d’une résidence secondaire sur la Côte d’Azur ? Se faire plaisir avec un club de football européen. Ses ambitions, ses moyens et son projet ? Les nouveaux actionnaires et futurs propriétaires disent vouloir rester dans la continuité du projet niçois, axé sur le développement et la formation des jeunes, avec l’envie d’accélérer les choses et d’injecter l’argent suffisant pour pouvoir se permettre de garder leurs meilleurs jeunes.
Ce duo n’a pas vocation à faire passer le Gym dans une dimension parisienne - «ça n’a rien à voir avec le PSG version QSI», insiste Rivère-, mais à tenter de l’installer dans le top 5 du Championnat. Néanmoins, Nice pourrait consentir des efforts visibles dès l’intersaison.
Les dossiers Hatem Ben Arfa et Claude Puel, dont les prolongations de contrat sont souhaitées par le club, resteront les dossiers de Jean-Pierre Rivère. Mais l’arrivée des nouveaux actionnaires ne peut être qu’un plus dans l’espoir d’un dénouement positif.
Régis TESTELIN, à Nice
Le 29/01/2016 à 19:19:55
Le président de Nice, Jean-Pierre Rivère, a confirmé vendredi l'arrivée de deux nouveaux investisseurs, dont l'un était présent à ses côtés en conférence de presse. Il a assuré que le projet établi par le club azuréen ne changerait pas.
Jean-Pierre Rivère a tenu à rassurer les supporters niçois. (L'Equipe)
Jean-Pierre Rivère, le président de l’OGCN, a annoncé dans l’après-midi, au cours d’une conférence de presse, que les quatre actionnaires minoritaires du club - MM. Stellardo, Governatori, Bessis et Bacchialoni - avaient vendu les actions qu’ils détenaient dans l’OGCN à un duo d’hommes d’affaires composé d’un Anglais et d’un Prince Saoudien.
Pour un montant resté confidentiel, les deux hommes ont racheté 49% des actions du club, M. Rivère restant provisoirement majoritaire avec ses 51%. Présent à la conférence de presse, l’Anglais se nomme Edward Blackmore (36 ans), il vit à Londres, est passionné de sport, supporter de Manchester United et s’est spécialisé dans la recherche d’investisseurs saoudiens. Il n’a pas précisé la hauteur de son investissement personnel dans le club, mais il est nettement inférieur à celui de son partenaire saoudien.
Son identité n’a pas été dévoilée et il devrait devenir, à terme, le vrai propriétaire du club. «Il veut rester discret», a expliqué le président Rivère, lequel a dévoilé la deuxième étape du projet. Au plus tard le 30 juin, M. Rivère devrait céder 31% de ses parts au duo anglo-saoudien, qui détiendra alors 80% du capital du club. Si tout se passe comme prévu, Nice devrait donc être détenu à 80% par des capitaux étrangers, à compter du 1er juillet au plus tard.
Rester dans la continuité du projet
Mais M. Rivère, arrivé au club en 2011, en restera le président, et Julien Fournier son directeur général, pour une durée contractuelle de «plusieurs saisons». Ce pourrait être trois ans, jusqu'en juin 2019. La motivation de ce Prince saoudien, propriétaire d’une résidence secondaire sur la Côte d’Azur ? Se faire plaisir avec un club de football européen. Ses ambitions, ses moyens et son projet ? Les nouveaux actionnaires et futurs propriétaires disent vouloir rester dans la continuité du projet niçois, axé sur le développement et la formation des jeunes, avec l’envie d’accélérer les choses et d’injecter l’argent suffisant pour pouvoir se permettre de garder leurs meilleurs jeunes.
Ce duo n’a pas vocation à faire passer le Gym dans une dimension parisienne - «ça n’a rien à voir avec le PSG version QSI», insiste Rivère-, mais à tenter de l’installer dans le top 5 du Championnat. Néanmoins, Nice pourrait consentir des efforts visibles dès l’intersaison.
Les dossiers Hatem Ben Arfa et Claude Puel, dont les prolongations de contrat sont souhaitées par le club, resteront les dossiers de Jean-Pierre Rivère. Mais l’arrivée des nouveaux actionnaires ne peut être qu’un plus dans l’espoir d’un dénouement positif.
Régis TESTELIN, à Nice