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L’énigme Sakho
A priori titulaire ce soir, le défenseur central international du PSG apparaît comme la victime d’une concurrence qui peut, parfois, lui sembler biaisée.
LE RETOUR DE MAMADOU Sakho dans le onze du PSG, ce soir à Valenciennes, ressemble autant à une bouffée d’oxygène qu’à un virage à bien négocier. Après quatre matches relégué sur le banc, toutes compétitions confondues, le jeune défenseur central international français (22 ans) devrait de nouveau goûter à la compétition, ce qui ne lui était plus arrivé depuis le 11 novembre et son expulsion à Montpellier (1-1). Mais, après quatre rencontres au cours desquelles la charnière Alex-Thiago Silva n’a pas commis d’erreur majeure, Sakho débarque avec la pression de celui qui n’a surtout pas le droit de passer au travers.
Bien sûr, le Parisien est logé à la même enseigne que tous les joueurs évoluant dans les plus grands clubs européens. Mais son sort, par certains aspects, relève d’une certaine injustice. Parce qu’à chaque fois que Sakho a joué cette saison, il a été bon, souvent meilleur qu’Alex même, son principal concurrent en charnière. Parce que son expulsion contre Montpellier était davantage liée à la mauvaise passe en retrait de Marco Verratti qu’à son comportement. Et parce qu’il flotte à Paris l’impression que la préférence de Thiago Silva pour une association avec Alex pèse d’un poids non négligeable dans les décisions de son entraîneur.
Dans l’histoire, Sakho subit mais ne baisse pas les bras, s’agace mais demeure silencieux. Au moment où il s’impose comme un titulaire en sélection, il voit son statut dégradé en club sans que son attitude ni ses performances ne soient remises en cause. Au contraire. Hier, Carlo Ancelotti déclarait ainsi : « La chose la plus importante c’est que Sakho s’entraîne bien et soit en bonne condition. Il s’est nettement amélioré par rapport à la saison dernière. Il a retrouvé l’équipe de France, il a joué beaucoup de matches, c’est ce qu’il faut retenir. » Pas certain que son défenseur retienne la même chose...
Ancelotti : « Il n’est pas en position de demander à partir »
Lui voit surtout son temps de jeu incertain et il avouait, samedi, au micro de Canal +, « ne pas toujours comprendre les choix du coach », tout en précisant qu’il « fallait les respecter ». Ils apparaissent parfois d’autant plus difficiles à cerner qu’Ancelotti peut varier d’un jour à l’autre. À l’image du week-end dernier. À la veille de la réception d’Évian (4-0, samedi), Ancelotti avait annoncé : « Oui, Sakho sera sûrement utilisé demain. » Deux heures avant le coup d’envoi, il affichait une composition sans le Français... dont il promettait une apparition prochaine une demi-heure après le coup de sifflet final. « Après Évian, j’ai dit qu’il jouerait le prochain match mais je n’ai pas dit que ce serait contre Valenciennes, se défendait, hier, le technicien italien. Cela peut être demain (ce soir) ou contre Lyon. »
Si la titularisation de Sakho se confirme ce soir, elle se lira plus comme une volonté de laisser Alex au repos dans l’optique du match contre Lyon dimanche que comme une réelle marque de confiance témoignée à l’endroit du Français. Qui, sauf blessure, devrait se rasseoir sur le banc face au leader actuel de la Ligue 1 dans cinq jours. Ancien capitaine de l’équipe, il ne fait pas partie aujourd’hui des dix joueurs de champ les plus utilisés par son entraîneur et pourrait manifester des envies de départ en janvier. « Sakho n’est pas en position de demander à partir, a répliqué Ancelotti, hier. Il reste ici car c’est un joueur important. Il ne comprend pas à 100 % les choix de l’entraîneur mais c’est normal. »
DAMIEN DEGORRE et ALEXANDRE CHAMORET
A priori titulaire ce soir, le défenseur central international du PSG apparaît comme la victime d’une concurrence qui peut, parfois, lui sembler biaisée.
LE RETOUR DE MAMADOU Sakho dans le onze du PSG, ce soir à Valenciennes, ressemble autant à une bouffée d’oxygène qu’à un virage à bien négocier. Après quatre matches relégué sur le banc, toutes compétitions confondues, le jeune défenseur central international français (22 ans) devrait de nouveau goûter à la compétition, ce qui ne lui était plus arrivé depuis le 11 novembre et son expulsion à Montpellier (1-1). Mais, après quatre rencontres au cours desquelles la charnière Alex-Thiago Silva n’a pas commis d’erreur majeure, Sakho débarque avec la pression de celui qui n’a surtout pas le droit de passer au travers.
Bien sûr, le Parisien est logé à la même enseigne que tous les joueurs évoluant dans les plus grands clubs européens. Mais son sort, par certains aspects, relève d’une certaine injustice. Parce qu’à chaque fois que Sakho a joué cette saison, il a été bon, souvent meilleur qu’Alex même, son principal concurrent en charnière. Parce que son expulsion contre Montpellier était davantage liée à la mauvaise passe en retrait de Marco Verratti qu’à son comportement. Et parce qu’il flotte à Paris l’impression que la préférence de Thiago Silva pour une association avec Alex pèse d’un poids non négligeable dans les décisions de son entraîneur.
Dans l’histoire, Sakho subit mais ne baisse pas les bras, s’agace mais demeure silencieux. Au moment où il s’impose comme un titulaire en sélection, il voit son statut dégradé en club sans que son attitude ni ses performances ne soient remises en cause. Au contraire. Hier, Carlo Ancelotti déclarait ainsi : « La chose la plus importante c’est que Sakho s’entraîne bien et soit en bonne condition. Il s’est nettement amélioré par rapport à la saison dernière. Il a retrouvé l’équipe de France, il a joué beaucoup de matches, c’est ce qu’il faut retenir. » Pas certain que son défenseur retienne la même chose...
Ancelotti : « Il n’est pas en position de demander à partir »
Lui voit surtout son temps de jeu incertain et il avouait, samedi, au micro de Canal +, « ne pas toujours comprendre les choix du coach », tout en précisant qu’il « fallait les respecter ». Ils apparaissent parfois d’autant plus difficiles à cerner qu’Ancelotti peut varier d’un jour à l’autre. À l’image du week-end dernier. À la veille de la réception d’Évian (4-0, samedi), Ancelotti avait annoncé : « Oui, Sakho sera sûrement utilisé demain. » Deux heures avant le coup d’envoi, il affichait une composition sans le Français... dont il promettait une apparition prochaine une demi-heure après le coup de sifflet final. « Après Évian, j’ai dit qu’il jouerait le prochain match mais je n’ai pas dit que ce serait contre Valenciennes, se défendait, hier, le technicien italien. Cela peut être demain (ce soir) ou contre Lyon. »
Si la titularisation de Sakho se confirme ce soir, elle se lira plus comme une volonté de laisser Alex au repos dans l’optique du match contre Lyon dimanche que comme une réelle marque de confiance témoignée à l’endroit du Français. Qui, sauf blessure, devrait se rasseoir sur le banc face au leader actuel de la Ligue 1 dans cinq jours. Ancien capitaine de l’équipe, il ne fait pas partie aujourd’hui des dix joueurs de champ les plus utilisés par son entraîneur et pourrait manifester des envies de départ en janvier. « Sakho n’est pas en position de demander à partir, a répliqué Ancelotti, hier. Il reste ici car c’est un joueur important. Il ne comprend pas à 100 % les choix de l’entraîneur mais c’est normal. »
DAMIEN DEGORRE et ALEXANDRE CHAMORET
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58,33
Mamadou Sakho a réussi 58,33 % de ses tacles en Ligue 1 cette saison. C’est le plus faible total parmi les défenseurs parisiens qui ont joué au moins huit matches. Il se situe derrière Armand (80 %), Alex (78,95), Thiago Silva (78,26), Maxwell (75), Van der Wiel (69,23) et Jallet (64,52).
1,1
C’est le nombre d’interceptions par match de l’international français en Championnat. Son ratio est le moins bon des défenseurs parisiens ayant disputé au moins huit matches en L 1. Il se situe derrière Maxwell (2,57), Jallet (2,55), Alex (2,23), Thiago Silva (2), Armand et Van der Wiel (1,22).
Opta
Mamadou Sakho a réussi 58,33 % de ses tacles en Ligue 1 cette saison. C’est le plus faible total parmi les défenseurs parisiens qui ont joué au moins huit matches. Il se situe derrière Armand (80 %), Alex (78,95), Thiago Silva (78,26), Maxwell (75), Van der Wiel (69,23) et Jallet (64,52).
1,1
C’est le nombre d’interceptions par match de l’international français en Championnat. Son ratio est le moins bon des défenseurs parisiens ayant disputé au moins huit matches en L 1. Il se situe derrière Maxwell (2,57), Jallet (2,55), Alex (2,23), Thiago Silva (2), Armand et Van der Wiel (1,22).
Opta
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Nene toujours sanctionné
UNE NOUVELLE FOIS et même s’il a « bien travaillé à l’entraînement », Nene n’a pas été retenu par Carlo Ancelotti. Le Brésilien avait déjà été écarté contre l’Évian-TG (4-0), samedi, en raison de son mouvement d’humeur face à Porto (2-1). Le milieu offensif s’était agacé de ne pas entrer en jeu. Face à VA, l’entraîneur italien ne devrait pas modifier son 4-4-2. « L’équipe est dans un bon moment. Mon seul point d’interrogation, c’est Thiago Motta, a confié Ancelotti, hier. Parce que je ne veux pas prendre de risque (de blessure). Dans le nouveau système, il y a beaucoup de concurrence avec Motta, Matuidi, Verratti et Chantôme. » Matuidi et Verratti, suspendus face à l’ETG, devraient débuter aux côtés de Pastore. – A. C.
UNE NOUVELLE FOIS et même s’il a « bien travaillé à l’entraînement », Nene n’a pas été retenu par Carlo Ancelotti. Le Brésilien avait déjà été écarté contre l’Évian-TG (4-0), samedi, en raison de son mouvement d’humeur face à Porto (2-1). Le milieu offensif s’était agacé de ne pas entrer en jeu. Face à VA, l’entraîneur italien ne devrait pas modifier son 4-4-2. « L’équipe est dans un bon moment. Mon seul point d’interrogation, c’est Thiago Motta, a confié Ancelotti, hier. Parce que je ne veux pas prendre de risque (de blessure). Dans le nouveau système, il y a beaucoup de concurrence avec Motta, Matuidi, Verratti et Chantôme. » Matuidi et Verratti, suspendus face à l’ETG, devraient débuter aux côtés de Pastore. – A. C.
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Ancelotti : « Sneijder ne viendra pas »
HIER, Carlo Ancelotti est revenu sur l’éventuelle arrivée en janvier de Wesley Sneijder, le milieu de l’Inter Milan, ou de Daniele De Rossi, le milieu de l’AS Rome. « Le seul nouveau joueur sera Lucas Moura, a insisté l’entraîneur italien du PSG. Le mercato est fini. Sneijder, on n’a pas discuté avec lui. C’est sûr qu’il ne viendra pas. Comme De Rossi. » En revanche, « Carletto » s’attend aux départs de Siaka Tiéné et Diego Lugano. « Ils ont été professionnels et peut-être demanderont-ils à quitter le club. Nous devrons satisfaire ces décisions », a-t-il commenté. Enfin, concernant Guillaume Hoarau et Nene, la situation est différente pour l’entraîneur italien. « Ils n’ont pas demandé à partir, explique-t-il. Si Nene demande à partir, ce qu’il n’a pas fait, nous devrons décider s’il doit partir ou s’il est important pour notre futur. On n’a rien décidé parce qu’il n’a pas demandé à partir. » – A. C
HIER, Carlo Ancelotti est revenu sur l’éventuelle arrivée en janvier de Wesley Sneijder, le milieu de l’Inter Milan, ou de Daniele De Rossi, le milieu de l’AS Rome. « Le seul nouveau joueur sera Lucas Moura, a insisté l’entraîneur italien du PSG. Le mercato est fini. Sneijder, on n’a pas discuté avec lui. C’est sûr qu’il ne viendra pas. Comme De Rossi. » En revanche, « Carletto » s’attend aux départs de Siaka Tiéné et Diego Lugano. « Ils ont été professionnels et peut-être demanderont-ils à quitter le club. Nous devrons satisfaire ces décisions », a-t-il commenté. Enfin, concernant Guillaume Hoarau et Nene, la situation est différente pour l’entraîneur italien. « Ils n’ont pas demandé à partir, explique-t-il. Si Nene demande à partir, ce qu’il n’a pas fait, nous devrons décider s’il doit partir ou s’il est important pour notre futur. On n’a rien décidé parce qu’il n’a pas demandé à partir. » – A. C
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Avec Bordeaux, Valenciennes est la seule équipe invaincue à domicile en L 1 cette saison. L’équipe de Daniel Sanchez reste sur six victoires et trois nuls au Hainaut. Sa dernière défaite à la maison remonte au 6 mai dernier, 3-4. Son vainqueur ce soir-là ? Le PSG.
Opta
Avec Bordeaux, Valenciennes est la seule équipe invaincue à domicile en L 1 cette saison. L’équipe de Daniel Sanchez reste sur six victoires et trois nuls au Hainaut. Sa dernière défaite à la maison remonte au 6 mai dernier, 3-4. Son vainqueur ce soir-là ? Le PSG.
Opta
L'Equipe
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Entre Nene et Paris, le divorce est acté
Ecarté du groupe pour la deuxième fois en quatre jours, Nene semble avoir atteint un point de non-retour avec Carlo Ancelotti, son entraîneur. Son départ dès cet hiver est plus que probable.
Ça sent la fin… Pour la deuxième fois d’affilée, Nene ne figure pas dans le groupe retenu par Carlo Ancelotti pour défier Valenciennes ce soir. Samedi, lors de la réception d’Evian, le Brésilien payait son mouvement d’humeur sur le banc lors de PSG - Porto après avoir ostensiblement manifesté sa colère de ne pas entrer plus tôt dans le match.
Mais sa mise à l’écart prolongée, et peut-être définitive d’ici l’ouverture du mercato, renvoie à un mal plus profond, à une nouvelle fracture entre le no 10 parisien et son entraîneur.
Une discussion animée les a opposés la semaine dernière. Le point de non-retour semble ainsi avoir été atteint, malgré un discours qui se veut rassurant du côté du technicien italien : « Nene s’est bien entraîné, glissait le Mister hier à la mi-journée. Avant de savoir si je le retiens dans le groupe, je veux voir le dernier entraînement (NDLR : hier après-midi). Il a eu une bonne attitude ces derniers jours. » Entraînement au cours duquel Nene évoluait en attaque en compagnie de Guillaume Hoarau dans l’équipe des remplaçants.
Trois clubs brésiliens souhaitent le recruter
Il faudrait désormais une hécatombe de blessés ou de suspendus pour le voir réapparaître dans le groupe. Mais ce n’est même pas sûr. Face à ce blocage, le meilleur buteur du PSG de l’exercice 2011-2012 (21 réalisations), qui ne possède pas que des amis dans le vestiaire parisien, devrait choisir de quitter cet hiver la capitale, où il ne lui reste que six mois de contrat. Il dispose de trois offres brésiliennes : Santos, Corinthians et Cruzeiro, le premier se montrant le plus insistant. Un grand nom d’Europe le suit également avec intérêt. Il pourrait s’agir de l’Inter Milan, un temps intéressé cet été par le milieu gauche. « Si Nene demande à partir, nous devons décider s’il doit partir ou s’il est important pour notre futur, ajoutait hier Ancelotti. Il n’a pas demandé à partir. On n’a donc rien décidé. »
Avec la prochaine arrivée de Lucas Moura en janvier, le coach parisien sait qu’il a déjà une solution numérique pour remplacer le Brésilien. Dans son nouveau 4-4-2, les couloirs sont occupés par Lavezzi et Pastore. Lucas Moura deviendra une option supplémentaire alors que ce schéma reste provisoire. En Ligue des champions, face à des adversaires plus cotés que ceux de la Ligue 1, l’entraîneur repassera sûrement en 4-3-3. Remplaçant contre Troyes (il est entré à la pause), à Nice et face à Porto, plus dans le groupe depuis deux rencontres, Nene, qui reste un chouchou du Parc, sait que son histoire d’amour avec le PSG touche à sa fin.
Sylvie De macedo et Dominique Sévérac
Ecarté du groupe pour la deuxième fois en quatre jours, Nene semble avoir atteint un point de non-retour avec Carlo Ancelotti, son entraîneur. Son départ dès cet hiver est plus que probable.
Ça sent la fin… Pour la deuxième fois d’affilée, Nene ne figure pas dans le groupe retenu par Carlo Ancelotti pour défier Valenciennes ce soir. Samedi, lors de la réception d’Evian, le Brésilien payait son mouvement d’humeur sur le banc lors de PSG - Porto après avoir ostensiblement manifesté sa colère de ne pas entrer plus tôt dans le match.
Mais sa mise à l’écart prolongée, et peut-être définitive d’ici l’ouverture du mercato, renvoie à un mal plus profond, à une nouvelle fracture entre le no 10 parisien et son entraîneur.
Une discussion animée les a opposés la semaine dernière. Le point de non-retour semble ainsi avoir été atteint, malgré un discours qui se veut rassurant du côté du technicien italien : « Nene s’est bien entraîné, glissait le Mister hier à la mi-journée. Avant de savoir si je le retiens dans le groupe, je veux voir le dernier entraînement (NDLR : hier après-midi). Il a eu une bonne attitude ces derniers jours. » Entraînement au cours duquel Nene évoluait en attaque en compagnie de Guillaume Hoarau dans l’équipe des remplaçants.
Trois clubs brésiliens souhaitent le recruter
Il faudrait désormais une hécatombe de blessés ou de suspendus pour le voir réapparaître dans le groupe. Mais ce n’est même pas sûr. Face à ce blocage, le meilleur buteur du PSG de l’exercice 2011-2012 (21 réalisations), qui ne possède pas que des amis dans le vestiaire parisien, devrait choisir de quitter cet hiver la capitale, où il ne lui reste que six mois de contrat. Il dispose de trois offres brésiliennes : Santos, Corinthians et Cruzeiro, le premier se montrant le plus insistant. Un grand nom d’Europe le suit également avec intérêt. Il pourrait s’agir de l’Inter Milan, un temps intéressé cet été par le milieu gauche. « Si Nene demande à partir, nous devons décider s’il doit partir ou s’il est important pour notre futur, ajoutait hier Ancelotti. Il n’a pas demandé à partir. On n’a donc rien décidé. »
Avec la prochaine arrivée de Lucas Moura en janvier, le coach parisien sait qu’il a déjà une solution numérique pour remplacer le Brésilien. Dans son nouveau 4-4-2, les couloirs sont occupés par Lavezzi et Pastore. Lucas Moura deviendra une option supplémentaire alors que ce schéma reste provisoire. En Ligue des champions, face à des adversaires plus cotés que ceux de la Ligue 1, l’entraîneur repassera sûrement en 4-3-3. Remplaçant contre Troyes (il est entré à la pause), à Nice et face à Porto, plus dans le groupe depuis deux rencontres, Nene, qui reste un chouchou du Parc, sait que son histoire d’amour avec le PSG touche à sa fin.
Sylvie De macedo et Dominique Sévérac
Leparisien.fr