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PSG : une occasion en or pour monter sur le podium
Lyon battu, Paris peut s’emparer de la troisième place de la Ligue 1, qualificative pour le tour préliminaire de la Ligue des champions, au bénéfice d’un succès contre Rennes.
C’est une opportunité unique de prendre la troisième place pour ne plus la lâcher. Pour Paris, la surprenante défaite de Lyon à Valenciennes hier soir (2-0) est un demi-ticket pour la Ligue des champions. En cas de victoire en fin d’après-midi face à Rennes, les Parisiens porteraient un coup de grâce à des Lyonnais au fond du trou.
Avec des confrontations à venir face au Mans, Auxerre, Valenciennes et Monaco, un sans-faute est loin d’être utopique.
« Nous aurions tous signé en début de saison pour nous battre pour la troisième place »
« Remonter sur le podium peut nous donner encore plus d’espoir mais il faudra rester mobilisés, ça se jouera sur cinq matchs, pas forcément ce week-end », prévenait Paul Le Guen avant le début du match Valenciennes - Lyon. Dans un Parc des Princes plein à craquer, ses joueurs doivent absolument saisir l’occasion de prendre l’ascendant sur le champion en titre.
Dans ce mano a mano imprévisible, la prudence reste de mise. Le moindre point, le moindre but et la moindre décision litigieuse de l’arbitre peuvent se révéler déterminants. Les circonstances sont favorables aux Parisiens. Si Rennes n’est pas un client facile, sa visite intervient au meilleur moment : quatre jours après une indigeste défaite face à Bordeaux à la dernière seconde (3-2) et, surtout, une semaine avant une historique finale de Coupe de Bretagne contre Guingamp. Ce match de la 34 e journée ne revêt qu’un intérêt relatif. « On ira chercher une victoire, mais, si l’on fait un bon match nul avec des certitudes dans le jeu, on aura fait un grand pas pour la confiance dont on a besoin avant d’aller au Stade de France », résume Bruno Cheyrou. Avec un effectif au complet, plein de fraîcheur, les Parisiens ont les faveurs des pronostics. Et leur détermination est intacte. « Nous aurions tous signé en début de saison pour nous battre pour la troisième place, rappelle Jérôme Rothen. Nous sommes débordants d’ambition et de motivation pour réaliser cet exploit, car ce serait un exploit de finir devant Lyon. » Désormais, le PSG a son destin en main. A lui de jouer !
Lyon battu, Paris peut s’emparer de la troisième place de la Ligue 1, qualificative pour le tour préliminaire de la Ligue des champions, au bénéfice d’un succès contre Rennes.
C’est une opportunité unique de prendre la troisième place pour ne plus la lâcher. Pour Paris, la surprenante défaite de Lyon à Valenciennes hier soir (2-0) est un demi-ticket pour la Ligue des champions. En cas de victoire en fin d’après-midi face à Rennes, les Parisiens porteraient un coup de grâce à des Lyonnais au fond du trou.
Avec des confrontations à venir face au Mans, Auxerre, Valenciennes et Monaco, un sans-faute est loin d’être utopique.
« Nous aurions tous signé en début de saison pour nous battre pour la troisième place »
« Remonter sur le podium peut nous donner encore plus d’espoir mais il faudra rester mobilisés, ça se jouera sur cinq matchs, pas forcément ce week-end », prévenait Paul Le Guen avant le début du match Valenciennes - Lyon. Dans un Parc des Princes plein à craquer, ses joueurs doivent absolument saisir l’occasion de prendre l’ascendant sur le champion en titre.
Dans ce mano a mano imprévisible, la prudence reste de mise. Le moindre point, le moindre but et la moindre décision litigieuse de l’arbitre peuvent se révéler déterminants. Les circonstances sont favorables aux Parisiens. Si Rennes n’est pas un client facile, sa visite intervient au meilleur moment : quatre jours après une indigeste défaite face à Bordeaux à la dernière seconde (3-2) et, surtout, une semaine avant une historique finale de Coupe de Bretagne contre Guingamp. Ce match de la 34 e journée ne revêt qu’un intérêt relatif. « On ira chercher une victoire, mais, si l’on fait un bon match nul avec des certitudes dans le jeu, on aura fait un grand pas pour la confiance dont on a besoin avant d’aller au Stade de France », résume Bruno Cheyrou. Avec un effectif au complet, plein de fraîcheur, les Parisiens ont les faveurs des pronostics. Et leur détermination est intacte. « Nous aurions tous signé en début de saison pour nous battre pour la troisième place, rappelle Jérôme Rothen. Nous sommes débordants d’ambition et de motivation pour réaliser cet exploit, car ce serait un exploit de finir devant Lyon. » Désormais, le PSG a son destin en main. A lui de jouer !
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Le Guen, c’est flou
Paul Le GUEN participe à toutes les réunions de réflexion et d’élaboration de l’effectif parisien pour la prochaine saison. Il l’a répété hier tout en précisant qu’il n’en savait pas plus sur son avenir, et que rien n’était arrêté. « Je ne veux pas encombrer avec ça. On discutera le jour venu et puis on avisera.
» Annoncera-t-il sa décision le 30 mai, après le dernier match ? « Je ne sais pas. Je ne sais même pas si j’aurai une décision à prendre. » En fin de contrat, il n’aura rien à dire si Sébastien Bazin décide de ne pas le garder. Mais c’est loin d’être la tendance.
Paul Le GUEN participe à toutes les réunions de réflexion et d’élaboration de l’effectif parisien pour la prochaine saison. Il l’a répété hier tout en précisant qu’il n’en savait pas plus sur son avenir, et que rien n’était arrêté. « Je ne veux pas encombrer avec ça. On discutera le jour venu et puis on avisera.
» Annoncera-t-il sa décision le 30 mai, après le dernier match ? « Je ne sais pas. Je ne sais même pas si j’aurai une décision à prendre. » En fin de contrat, il n’aura rien à dire si Sébastien Bazin décide de ne pas le garder. Mais c’est loin d’être la tendance.
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LA STAT
75 %
C’est le taux de victoires du PSG face à Rennes au Parc. En 22 rencontres, Paris s’est imposé 15 fois et n’a concédé que 2 défaites : 3-1 la saison dernière et 1-0 en 2000-2001. Entre 1971 et 2000, le PSG a réalisé une série de 14 matchs consécutifs sans défaite face aux Bretons au Parc. Après Caen, le Stade rennais est l’équipe de L 1 qui réussit le mieux aux Parisiens à domicile.
75 %
C’est le taux de victoires du PSG face à Rennes au Parc. En 22 rencontres, Paris s’est imposé 15 fois et n’a concédé que 2 défaites : 3-1 la saison dernière et 1-0 en 2000-2001. Entre 1971 et 2000, le PSG a réalisé une série de 14 matchs consécutifs sans défaite face aux Bretons au Parc. Après Caen, le Stade rennais est l’équipe de L 1 qui réussit le mieux aux Parisiens à domicile.
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Hoarau discute de son avenir
Les negociations concernant l’avenir de Guillaume Hoarau à Paris ont débuté sur de bien mauvaises bases. Thierry Gras, l’agent du joueur, a rencontré récemment Philippe Boindrieux et Alain Roche, respectivement directeur général et responsable de la cellule recrutement du PSG.
Les trois hommes ont débattu d’une prolongation de contrat assortie d’une revalorisation salariale.
En l’état, Hoarau, quinzième salaire du club avec 80 000 € brut mensuels hors prime, ne prolongera pas. La proposition transmise au meilleur buteur du club (17 réalisations) est loin, en effet, d’avoir contenté le joueur et son représentant.
« Le souhait de Guillaume est de rester »
Le Réunionnais la juge négligeable et pas conforme à son rendement cette saison. Il attend donc un effort de son club davantage en rapport avec ce que perçoivent les attaquants des grands clubs de Ligue 1. Pour autant, si cette situation de blocage perdurait, cela ne déboucherait pas automatiquement sur un départ de Hoarau au mercato estival. « Le souhait de Guillaume est de rester. Avec son agent, ils ont établi un plan de carrière très précis », souligne une source proche du dossier. Après avoir intégré l’équipe de France en mars dernier, Guillaume Hoarau a dans le viseur la Coupe du monde 2010 et entend poursuivre sa progression au PSG.
A Paris, il est sûr de bénéficier de temps de jeu et espère découvrir la Ligue des champions. Mais l’attaquant parisien sait aussi qu’il pourra faire jouer sa clause de stabilité dans un an et demi, soit en janvier 2011. Il pourra alors quitter le club sans rien devoir au PSG, sinon sa dernière année de contrat. Dans ce cas, le PSG ferait une bien mauvaise affaire en laissant filer un joueur dont la valeur marchande dépasse aujourd’hui les 10 millions d’euros. « Si des joueurs importants partent, ce sera difficile, ça va faire réfléchir tout le monde. Il ne faut pas en arriver là », résume Sylvain Armand.
Les negociations concernant l’avenir de Guillaume Hoarau à Paris ont débuté sur de bien mauvaises bases. Thierry Gras, l’agent du joueur, a rencontré récemment Philippe Boindrieux et Alain Roche, respectivement directeur général et responsable de la cellule recrutement du PSG.
Les trois hommes ont débattu d’une prolongation de contrat assortie d’une revalorisation salariale.
En l’état, Hoarau, quinzième salaire du club avec 80 000 € brut mensuels hors prime, ne prolongera pas. La proposition transmise au meilleur buteur du club (17 réalisations) est loin, en effet, d’avoir contenté le joueur et son représentant.
« Le souhait de Guillaume est de rester »
Le Réunionnais la juge négligeable et pas conforme à son rendement cette saison. Il attend donc un effort de son club davantage en rapport avec ce que perçoivent les attaquants des grands clubs de Ligue 1. Pour autant, si cette situation de blocage perdurait, cela ne déboucherait pas automatiquement sur un départ de Hoarau au mercato estival. « Le souhait de Guillaume est de rester. Avec son agent, ils ont établi un plan de carrière très précis », souligne une source proche du dossier. Après avoir intégré l’équipe de France en mars dernier, Guillaume Hoarau a dans le viseur la Coupe du monde 2010 et entend poursuivre sa progression au PSG.
A Paris, il est sûr de bénéficier de temps de jeu et espère découvrir la Ligue des champions. Mais l’attaquant parisien sait aussi qu’il pourra faire jouer sa clause de stabilité dans un an et demi, soit en janvier 2011. Il pourra alors quitter le club sans rien devoir au PSG, sinon sa dernière année de contrat. Dans ce cas, le PSG ferait une bien mauvaise affaire en laissant filer un joueur dont la valeur marchande dépasse aujourd’hui les 10 millions d’euros. « Si des joueurs importants partent, ce sera difficile, ça va faire réfléchir tout le monde. Il ne faut pas en arriver là », résume Sylvain Armand.
Le parisien