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Blanc instille le doute
Hier, pour la première fois, l’entraîneur du PSG a suggéré qu’il pourrait ne pas prolonger son contrat. Un an après le feuilleton Ancelotti, un nouveau point d’interrogation assombrit le banc parisien.
IL Y A UN AN, malgré l’échec en quarts de finale de Ligue des champions contre le FC Barcelone (2-2, 1-1), Carlo Ancelotti avait reçu un appel de félicitations du cheikh Tamim Ben Hamad al-Thani, satisfait de la bravoure observée lors du retour au Camp Nou. Cette semaine, Laurent Blanc n’a reçu aucun coup de fil réconfortant, ni du nouvel émir du Qatar – un peu plus accaparé par une crise diplomatique avec les pays voisins –, ni de Nasser al-Khelaïfi, resté à Londres au lendemain de la défaite face à Chelsea (0-2), le moral dévasté.
Au cours de sa conférence de presse, hier au Camp des Loges, l’ancien sélectionneur des Bleus a d’abord décrit le climat post-élimination. « Les joueurs et moi, on a du mal à avaler cette élimination, mais je leur ai demandé de passer à autre chose. (…) Parfois, on dirait que c’est la fin du monde depuis mardi soir… Mais on peut quand même encore gagner le Championnat et la Coupe de la Ligue. À Paris, on est en train de banaliser les titres nationaux et de ne juger la réussite d’une saison qu’à travers la Ligue des champions. C’est une grande erreur… » Blanc (48 ans) a admis sa
« part de responsabilité » , même s’il ne l’a pas détaillée. Il a assuré « comprendre les critiques » qui le visent depuis mardi soir, notamment sur le manque de caractère de son équipe face aux Blues, et sur sa propre difficulté à réagir face au coaching piquant de José Mourinho. Il a également révélé un reproche adressé à son groupe au retour de Stamford Bridge, en référence au premier but londonien, inscrit par André Schürrle : « J’ai bien fait remarquer aux joueurs qu’on est la seule équipe de ces quarts de finale à avoir encaissé un but sur une touche adverse… C’est peut être le détail qui a fait la différence. »
Puis il a laissé surgir un point d’interrogation inattendu au moment de répondre à une question sur son avenir au PSG. « J’ai une proposition, et je me donne dix jours pour y répondre, parce qu'il y a des choses importantes qui vont se passer sur le terrain, a déclaré Blanc. Je serais très heureux de continuer, c'est juste une question de patience. Des choses peuvent évoluer. En attendant, je suis très motivé par ce qui se passe sur le terrain. » L’ex-entraîneur de Bordeaux (2007-2010) est sous contrat à Paris jusqu’en 2015, dans l’attente d’une éventuelle prolongation d’un an. Un avenant dont la signature était programmée cette semaine, après le séjour à Londres. L’accouchement s’avère difficile : prévues par le club dès octobre, amorcées puis interrompues en janvier, les négociations ont repris en mars, après un mois de février glacial en coulisses.
À MADRID, ON ÉVOQUE LA PISTE SIMEONE
Mercredi, la hiérarchie du club assurait qu’il n’y avait « aucun danger » au sujet de l’entraîneur, tout en qualifiant de « grosse claque » l’élimination en C 1… et en rappelant qu’une Coupe nationale restait l’un des objectifs incontournables, avec le titre en L 1, assignés au successeur d’Ancelotti.
Le résultat de la finale de la Coupe de la Ligue, samedi prochain face à Lyon, ne va pourtant pas conditionner entièrement l’avenir de Blanc. Le coach semble attendre plus de garanties sur les contours du staff la saison prochaine, son influence sur le recrutement ou encore la nomination éventuelle d’un nouveau directeur sportif, dont il a parfois regretté l’absence, en privé.
Du côté du club, aucun reproche majeur n’est encore adressé à Blanc. Mais on reste à l’écoute des remarques d’une partie du vestiaire, qui attend plus de poigne d’un entraîneur. Les mots de Thiago Silva sur le site du club, vendredi, soulignant que Chelsea avait « des joueurs et un entraîneur très expérimentés », peuvent suggérer, dans l’esprit du capitaine, ce qui manque encore au PSG pour grandir sur le théâtre européen.
Le club surveille également le marché du banc, et ses pistes éventuelles, comme celle menant à Arsène Wenger, s’il ne prolonge pas à Arsenal. Hier, le quotidien madrilène AS évoquait notamment Diego Simeone, l’entraîneur très en vogue de l’Atlético, où il est sous contrat jusqu’en 2017. Déterminé à inscrire son nom au palmarès de la C 1, le PSG de Qatar Sports Investments vivrait mal un nouvel échec en quarts, l’an prochain. Blanc sera sans doute prolongé, histoire de ne pas revivre le brouillard du printemps dernier. Reste à savoir si cet entraîneur – devenu mystérieux sur son avenir – incarne encore, au sommet du club, l’homme qui peut permettre au PSG de rêver plus grand.
Hier, pour la première fois, l’entraîneur du PSG a suggéré qu’il pourrait ne pas prolonger son contrat. Un an après le feuilleton Ancelotti, un nouveau point d’interrogation assombrit le banc parisien.
IL Y A UN AN, malgré l’échec en quarts de finale de Ligue des champions contre le FC Barcelone (2-2, 1-1), Carlo Ancelotti avait reçu un appel de félicitations du cheikh Tamim Ben Hamad al-Thani, satisfait de la bravoure observée lors du retour au Camp Nou. Cette semaine, Laurent Blanc n’a reçu aucun coup de fil réconfortant, ni du nouvel émir du Qatar – un peu plus accaparé par une crise diplomatique avec les pays voisins –, ni de Nasser al-Khelaïfi, resté à Londres au lendemain de la défaite face à Chelsea (0-2), le moral dévasté.
Au cours de sa conférence de presse, hier au Camp des Loges, l’ancien sélectionneur des Bleus a d’abord décrit le climat post-élimination. « Les joueurs et moi, on a du mal à avaler cette élimination, mais je leur ai demandé de passer à autre chose. (…) Parfois, on dirait que c’est la fin du monde depuis mardi soir… Mais on peut quand même encore gagner le Championnat et la Coupe de la Ligue. À Paris, on est en train de banaliser les titres nationaux et de ne juger la réussite d’une saison qu’à travers la Ligue des champions. C’est une grande erreur… » Blanc (48 ans) a admis sa
« part de responsabilité » , même s’il ne l’a pas détaillée. Il a assuré « comprendre les critiques » qui le visent depuis mardi soir, notamment sur le manque de caractère de son équipe face aux Blues, et sur sa propre difficulté à réagir face au coaching piquant de José Mourinho. Il a également révélé un reproche adressé à son groupe au retour de Stamford Bridge, en référence au premier but londonien, inscrit par André Schürrle : « J’ai bien fait remarquer aux joueurs qu’on est la seule équipe de ces quarts de finale à avoir encaissé un but sur une touche adverse… C’est peut être le détail qui a fait la différence. »
Puis il a laissé surgir un point d’interrogation inattendu au moment de répondre à une question sur son avenir au PSG. « J’ai une proposition, et je me donne dix jours pour y répondre, parce qu'il y a des choses importantes qui vont se passer sur le terrain, a déclaré Blanc. Je serais très heureux de continuer, c'est juste une question de patience. Des choses peuvent évoluer. En attendant, je suis très motivé par ce qui se passe sur le terrain. » L’ex-entraîneur de Bordeaux (2007-2010) est sous contrat à Paris jusqu’en 2015, dans l’attente d’une éventuelle prolongation d’un an. Un avenant dont la signature était programmée cette semaine, après le séjour à Londres. L’accouchement s’avère difficile : prévues par le club dès octobre, amorcées puis interrompues en janvier, les négociations ont repris en mars, après un mois de février glacial en coulisses.
À MADRID, ON ÉVOQUE LA PISTE SIMEONE
Mercredi, la hiérarchie du club assurait qu’il n’y avait « aucun danger » au sujet de l’entraîneur, tout en qualifiant de « grosse claque » l’élimination en C 1… et en rappelant qu’une Coupe nationale restait l’un des objectifs incontournables, avec le titre en L 1, assignés au successeur d’Ancelotti.
Le résultat de la finale de la Coupe de la Ligue, samedi prochain face à Lyon, ne va pourtant pas conditionner entièrement l’avenir de Blanc. Le coach semble attendre plus de garanties sur les contours du staff la saison prochaine, son influence sur le recrutement ou encore la nomination éventuelle d’un nouveau directeur sportif, dont il a parfois regretté l’absence, en privé.
Du côté du club, aucun reproche majeur n’est encore adressé à Blanc. Mais on reste à l’écoute des remarques d’une partie du vestiaire, qui attend plus de poigne d’un entraîneur. Les mots de Thiago Silva sur le site du club, vendredi, soulignant que Chelsea avait « des joueurs et un entraîneur très expérimentés », peuvent suggérer, dans l’esprit du capitaine, ce qui manque encore au PSG pour grandir sur le théâtre européen.
Le club surveille également le marché du banc, et ses pistes éventuelles, comme celle menant à Arsène Wenger, s’il ne prolonge pas à Arsenal. Hier, le quotidien madrilène AS évoquait notamment Diego Simeone, l’entraîneur très en vogue de l’Atlético, où il est sous contrat jusqu’en 2017. Déterminé à inscrire son nom au palmarès de la C 1, le PSG de Qatar Sports Investments vivrait mal un nouvel échec en quarts, l’an prochain. Blanc sera sans doute prolongé, histoire de ne pas revivre le brouillard du printemps dernier. Reste à savoir si cet entraîneur – devenu mystérieux sur son avenir – incarne encore, au sommet du club, l’homme qui peut permettre au PSG de rêver plus grand.
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31
LE PSG A DOMINÉ LA POSSESSION DU BALLON 31 fois en 32 matches de L 1 cette saison. Seule exception : les 45,7 % à Marseille, le 6 octobre dernier (2-1), alors que les Parisiens avaient évolué une heure à dix contre onze.
22
LE PSG N’A UTILISÉ que 22 joueurs en L 1 cette saison, total le plus bas à égalité avec Lille.
LE PSG A DOMINÉ LA POSSESSION DU BALLON 31 fois en 32 matches de L 1 cette saison. Seule exception : les 45,7 % à Marseille, le 6 octobre dernier (2-1), alors que les Parisiens avaient évolué une heure à dix contre onze.
22
LE PSG N’A UTILISÉ que 22 joueurs en L 1 cette saison, total le plus bas à égalité avec Lille.
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Plus qu’un échauffement
Moins d’une semaine avant de se retrouver en finale de la Coupe de la Ligue, Paris mais surtout Lyon doivent digérer leur élimination des compétitions européennes.
QUI A LA PLUS GRANDE? Ce soir, dans les couloirs de Gerland, Lyonnais et Parisiens pourront comparer la taille de leurs plaies, un jeu qui ne sera pas d’un grand réconfort mais qui devrait les mettre d’accord sur un point : ça pique. Les deux clubs savaient de longue date qu’ils s’affronteraient une première fois en Championnat moins d’une semaine avant de se retrouver en finale de la Coupe de la Ligue, samedi prochain au Stade de France. Ils ignoraient, en revanche, que cette première levée réunirait les deux grands blessés de la semaine européenne.
Cinq jours ont passé depuis l’élimination du PSG par Chelsea en quarts de finale de la Ligue des champions (0-2 ; aller 3-1), seulement soixante-douze heures depuis celle de l’OL par la Juventus Turin en quarts de la Ligue Europa (1-2 ; 0-1), mais il n’est pas certain que la digestion soit plus difficile pour les Lyonnais. C’est l’avantage d’avoir l’habitude des petites contrariétés : entre blessures et calendrier démentiel, ces derniers ont appris à faire avec les moyens du bord et à vivre dans l’inconfort. À en juger par le climat qui s’est brusquement alourdi cette semaine au Camp des Loges, l’imprévu est beaucoup plus fâcheux pour leur adversaire du jour.
28 POINTS D’ÉCART
Seulement, l’enjeu du match de ce soir comme les ressources dont disposent les deux équipes ne sont pas comparables. Rattrapé par Marseille, Lyon a six rencontres pour assurer son avenir européen, et ne pas tout perdre après avoir longtemps joué sur tous les tableaux. « Prendre un point serait bien » , a déjà annoncé l’entraîneur Rémi Garde. Pour le PSG, la seule inconnue porte sur la date à laquelle il remportera son deuxième titre d’affilée, ce qui demeure très supportable. Contrairement à la saison dernière, ce ne sera pas pour ce soir à Gerland puisque Monaco a fermé la fenêtre hier à Rennes (1-0).
En attendant, rappeler que vingt-huit points (!) séparent le leader du cinquième de la L 1, et que l’OL n’a battu qu’une fois le PSG version QSI (*), suffit à situer l’équilibre des forces, malgré l’absence de Zlatan Ibrahimovic (cuisse). Laurent Blanc, le technicien parisien, a parlé hier de Lyon comme d’une « très, très bonne équipe » en ayant relevé devant sa télé les problèmes qu’elle avait posés à la Juve. Il faudrait juste qu’elle n’ait pas abandonné trop de forces dans ce dernier combat pour réussir à exister ce soir.
Moins d’une semaine avant de se retrouver en finale de la Coupe de la Ligue, Paris mais surtout Lyon doivent digérer leur élimination des compétitions européennes.
QUI A LA PLUS GRANDE? Ce soir, dans les couloirs de Gerland, Lyonnais et Parisiens pourront comparer la taille de leurs plaies, un jeu qui ne sera pas d’un grand réconfort mais qui devrait les mettre d’accord sur un point : ça pique. Les deux clubs savaient de longue date qu’ils s’affronteraient une première fois en Championnat moins d’une semaine avant de se retrouver en finale de la Coupe de la Ligue, samedi prochain au Stade de France. Ils ignoraient, en revanche, que cette première levée réunirait les deux grands blessés de la semaine européenne.
Cinq jours ont passé depuis l’élimination du PSG par Chelsea en quarts de finale de la Ligue des champions (0-2 ; aller 3-1), seulement soixante-douze heures depuis celle de l’OL par la Juventus Turin en quarts de la Ligue Europa (1-2 ; 0-1), mais il n’est pas certain que la digestion soit plus difficile pour les Lyonnais. C’est l’avantage d’avoir l’habitude des petites contrariétés : entre blessures et calendrier démentiel, ces derniers ont appris à faire avec les moyens du bord et à vivre dans l’inconfort. À en juger par le climat qui s’est brusquement alourdi cette semaine au Camp des Loges, l’imprévu est beaucoup plus fâcheux pour leur adversaire du jour.
28 POINTS D’ÉCART
Seulement, l’enjeu du match de ce soir comme les ressources dont disposent les deux équipes ne sont pas comparables. Rattrapé par Marseille, Lyon a six rencontres pour assurer son avenir européen, et ne pas tout perdre après avoir longtemps joué sur tous les tableaux. « Prendre un point serait bien » , a déjà annoncé l’entraîneur Rémi Garde. Pour le PSG, la seule inconnue porte sur la date à laquelle il remportera son deuxième titre d’affilée, ce qui demeure très supportable. Contrairement à la saison dernière, ce ne sera pas pour ce soir à Gerland puisque Monaco a fermé la fenêtre hier à Rennes (1-0).
En attendant, rappeler que vingt-huit points (!) séparent le leader du cinquième de la L 1, et que l’OL n’a battu qu’une fois le PSG version QSI (*), suffit à situer l’équilibre des forces, malgré l’absence de Zlatan Ibrahimovic (cuisse). Laurent Blanc, le technicien parisien, a parlé hier de Lyon comme d’une « très, très bonne équipe » en ayant relevé devant sa télé les problèmes qu’elle avait posés à la Juve. Il faudrait juste qu’elle n’ait pas abandonné trop de forces dans ce dernier combat pour réussir à exister ce soir.
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Six changements au coup d’envoi ?
« Demain, il y aura une équipe différente de celle de mardi. Il y a une fatigue physique, mais aussi mentale. Certains joueurs surmontent la déception mieux que d’autres. » Laurent Blanc n’a pas caché, hier, que l’équipe qui débutera à Gerland sera sensiblement renouvelée, cinq jours après la défaite à Chelsea (0-2), en quarts de finale de la C1.
Au regard de la séance à huis clos d’hier après-midi, six changements pourraient être opérés, dont l’intégralité du trident du milieu. Blanc a admis avoir été contrarié par la prestation d’un joueur comme Verratti, tout en soulignant la qualité globale de la saison de l’Italien. Et il a livré cette réflexion, assez révélatrice : « Pourquoi ne pas faire jouer la concurrence plus durement que ce qui a été fait jusqu’à maintenant ? »
Derrière, les latéraux devraient changer, Van der Wiel reprenant son poste à droite tandis que Digne devrait permettre à Maxwell de souffler, six jours avant la finale de la Coupe de la Ligue face à l’OL. En attaque, Lucas pourrait retourner sur le banc, au profit de Ménez.
Très décevant mardi, Cavani restera titulaire en l’absence d’Ibra, blessé à la cuisse droite et actuellement en Suède après le décès de l’un de ses frères des suites d’une longue maladie. Au sujet de l’Uruguayen, Blanc a répété que « son rôle était devenu encore plus important en l’absence d’Ibra » . Et d’ajouter : « J’espère – et je pense – qu’il va se remettre dans le droit chemin contre Lyon.
Sirigu- VDW, Alex, Silva, Digne- Rabiot, Cabaye, Pastore- Menez, Cavani, Lavezzi
« Demain, il y aura une équipe différente de celle de mardi. Il y a une fatigue physique, mais aussi mentale. Certains joueurs surmontent la déception mieux que d’autres. » Laurent Blanc n’a pas caché, hier, que l’équipe qui débutera à Gerland sera sensiblement renouvelée, cinq jours après la défaite à Chelsea (0-2), en quarts de finale de la C1.
Au regard de la séance à huis clos d’hier après-midi, six changements pourraient être opérés, dont l’intégralité du trident du milieu. Blanc a admis avoir été contrarié par la prestation d’un joueur comme Verratti, tout en soulignant la qualité globale de la saison de l’Italien. Et il a livré cette réflexion, assez révélatrice : « Pourquoi ne pas faire jouer la concurrence plus durement que ce qui a été fait jusqu’à maintenant ? »
Derrière, les latéraux devraient changer, Van der Wiel reprenant son poste à droite tandis que Digne devrait permettre à Maxwell de souffler, six jours avant la finale de la Coupe de la Ligue face à l’OL. En attaque, Lucas pourrait retourner sur le banc, au profit de Ménez.
Très décevant mardi, Cavani restera titulaire en l’absence d’Ibra, blessé à la cuisse droite et actuellement en Suède après le décès de l’un de ses frères des suites d’une longue maladie. Au sujet de l’Uruguayen, Blanc a répété que « son rôle était devenu encore plus important en l’absence d’Ibra » . Et d’ajouter : « J’espère – et je pense – qu’il va se remettre dans le droit chemin contre Lyon.
Sirigu- VDW, Alex, Silva, Digne- Rabiot, Cabaye, Pastore- Menez, Cavani, Lavezzi
L'Equipe