Hier, grosse soirée chez un pote avec dégustation à la clef.
On a commencé par un
Midleton very rare. C'est un whiskey irlandais le top du top de chez Midleton. Nombreuses récompenses, l'excellence de Midleton sélectionné par le maitre de chai de la distillerie. Très doux, fruité, quelques épices, une continuité assez sympa entre le nez, la bouche et la finale. Des notes d'agrumes au nez, la bouche évoque la papaye confite et les fruits exotiques, ananas et coco, finale avec les fruits sucrés qui restent en bouche. La finale s'achève sur des notes de vanilles et de cannelle.
Whisky idéal pour commencer une dégustation, un whisky d'appéritif!
On a mangé. Magret de canard et compoté de navets (oui je sais les navets c'est pas glamour mais en fait c'était une tuerie.) une bouteille de Pauillac du fromage et quelques cannelés maison plus tard et on est repartis pour la suite.
On a enchainé avec un Mezcal de taré, vraiment tellement de sel et de fumée en bouche que tous les Islay du monde peuvent aller se rhabiller.
Ensuite un petit
Arran Machrie Moor. whisky des Iles assez équilibré. Une pointe de tourbe qui assez sympathique vient relever un mélange d'épice et de fruits.
On a enchainé avec le
Laphroaig 15 ans version The artist sortit cette année pour le whisky live.
Description dans le post sur le whisky live. On sent vraiment le passage à un brut de fût et la montée en alcool. Ensuite un Laphroaig de cette qualité c'est juste incroyable. Tourbé à souhait c'est un bonheur.
On a terminé par un
Nikka single cask Miyagiko une pure merveille peut-être le meilleur whisky que j'ai gouté. Je ne me souviens plus de l'année de sortie de distillerie et donc de la version, ce qui est sans doute le plus important.
Les arômes sont tellement changeants que j'ai eu un mal fou à les cerner tous. Belle présence de tourbe et derrière une exubérance d'arômes, herbes fraiches, épices, des notes de fruit très délicates. Le whisky ne cesse d'évoluer dans le verre entre le premier nez et le second, on peut également distinguer deux bouches et une finale qui évolue encore et encore.....
J'ai pris ensuite un
Linkwood 17 ans en fût de sherry Olroso par Gordon et McPhail. Cette touche de fumée et de cuir propre aux sherry m'a accompagné pendant tout le trajet retour.
. J'ai pas de verre special, mais ca reste la phase qui me pose de tres gros soucis, les effluves d'alcool sont trop fortes et je ne distingue rien de tres interessant a part peut ete les notes les plus fortes. Ici, je dirai de la cerise mais je parierai pas ma vie dessus.
, j'en attendais beaucoup et je ne suis pas deçu 
. Par contre 57,7% , c'est facile de passer outre les degrés quand on est pas habitué ? ça me parait fou de mettre de l'eau dans un Cask Strenght non ? 
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